Max Verstappen a été obligé de mettre sa frustration de côté en 2020

La saison 2020 de Max Verstappen peut sembler mitigée. Même si le Néerlandais est monté 11 fois sur le podium en 17 Grands Prix, il n’a remporté que 2 victoires et 1 pole position.

Un bilan insuffisant pour pouvoir prétendre à jouer le titre mondial face aux Mercedes. Le fait de voir les flèches d’argent ainsi dominatrices en début de saison a généré de la frustration chez le pilote Red Bull : “Au départ j’étais frustré”. a-t-il confié à David Coulthard dans une interview pour le site officiel de la F1.

“Vous vous sentez frustré par rapport à ça [jouer le titre] parce que vous avez cet espoir de dire ‘cela va arriver, cela va arriver’ et finalement, chaque année, cela ne se produit pas.”

“Mais cette année [en 2020] je me suis dis : je peux être frustré de ne jamais gagner, mais peut être devrais-je voir les choses d’une manière différente.”

“Je dois juste essayer de faire de mon mieux, d’extraire le meilleur de moi-même et de trouver cela agréable. C’est ce que j’essaye de faire désormais.”

“Je ne pense pas que l’on puisse faire une saison entière en étant frustré tout le temps.”

Avec 5 abandons et quelques occasions manquées la saison passée, la frustration n’a pas seulement envahi Max Verstappen, mais également son père, qui s’est confié sur la saison de son fils dans une interview réalisée par le sponsor CarNext.com.

“Au début de la saison j’étais…je ne dirais pas en colère, mais plutôt déçu.” précise ainsi Jos Verstappen.

“Tous les ans vous entendez toujours la même histoire qui dit que Red Bull peut gagner le championnat et au final ça n’arrive jamais.”

“J’étais vraiment un peu en colère contre ça, que cela n’arrive toujours pas.”

“La bonne chose c’est que nous pouvons en parler avec Raymond [Vermeulen, le manager de Max Verstappen] et Raymond en parle ensuite à Helmut [Marko, le conseiller de Red Bull] et nous essayons ensemble de trouver des solutions.” conclut Jos Verstappen.

En 2021 Max Verstappen sera associé au pilote mexicain Sergio Pérez qui a quitté l’écurie Racing Point en ayant remporté sa première victoire en Formule 1 lors du Grand Prix de Sakhir.

Ricciardo ne serait pas contre une participation à l’Indy 500 et aux 24 heures du Mans avec McLaren

Après avoir passé deux saisons avec l’équipe Renault, Daniel Ricciardo a choisi de partir chez McLaren à compter de la saison 2021.

Le pilote australien bénéficiera du moteur Mercedes au sein de l’écurie basée à Woking, qui a terminé la saison 2020 à la troisième place du championnat constructeurs.

Mais outre la Formule 1, McLaren est également engagée dans d’autres disciplines du sport automobile et notamment en Indycar.

On se souvient d’ailleurs que Fernando Alonso, alors sous contrat avec McLaren, s’était aligné aux mythiques 500 miles d’Indianapolis.

Daniel Ricciardo pourrait-il alors tenter la même aventure avec sa nouvelle équipe ? La réponse n’est pas si évidente : “C’est vrai que ça sonne plutôt pas mal. Mais j’avoue que les ovales me font un peu peur.” a confié le pilote australien cité par Speedweek.

“L’Indy ça serait cool, mais il faudrait peut être que je fasse des essais avant. J’ai trouvé la performance de Fernando [Alonso] assez impressionnante et je me suis imaginé comment y arriver à sa place.”

“Peut-être que j’essaierai un jour. Enfin, je veux dire, tourner quatre fois à gauche par tour, ça n’a pas l’air si compliqué que ça.” s’amuse Ricciardo.

McLaren envisage également un retour à moyen terme en Endurance et plus particulièrement aux 24 heures du Mans.

L’écurie britannique avait d’ailleurs remporté l’épreuve mancelle en 1995 avec un équipage composé du Français Yannick Dalmas avec à ses côtés JJ. Letho et Masanori Sekiya.

Là encore, Daniel Ricciardo reste ouvert à la possibilité de s’aligner un jour sur cette épreuve : “Certains de mes collègues ont déjà essayé ça.”

“L’idée de partager la voiture avec les mêmes pilotes me plaît bien. En tant que pilote de Grand Prix, vous ne mettez pas toutes vos cartes sur la table, mais au Mans, vos devez partager tous vos secrets avec vos collègues.”

“Je pense qu’une telle collaboration serait formidable. Participer aux 24 heures du Mans me pousserait également à la limite d’un point de vue mental et physique.” conclut le pilote australien.

 

Mick Schumacher est prêt à faire ses débuts en F1

La saison 2021 verra le retour du nom de Schumacher en Formule 1. Mick, le fils de Michael va en effet faire ses débuts dans la discipline reine du sport automobile avec l’équipe américaine Haas.

En attendant le début de la saison, qui a été repoussé au 28 mars avec le Grand Prix de Bahreïn suite au report de la manche australienne, le pilote allemand continue de s’entraîner : “Bien entendu, j’attendais avec impatience la première manche en Australie.”

“Mais du coup, il me reste un petit peu plus de temps pour me préparer encore mieux.” a confié le pilote Haas à nos confrères allemands de Speedweek.

Le champion en titre de Formule 2 ne néglige pas pour autant sa préparation physique : “Je commencerai la saison parfaitement préparé.”

“Actuellement, je suis dans une phase de préparation qui consiste à construire les bases de ma saison. Les changements au calendrier ne modifient pas mon programme. C’est la même chose pour tout le monde de toute façon.”

Même si les restrictions de déplacement dues à la pandémie de Covid-19 empêchent le jeune allemand de se rendre au siège de l’écurie Haas, basé à Kanapolis aux Etats-Unis, et à l’usine de Banbury en Grande Bretagne, il reste néanmoins en contact avec l’équipe : “Je communique toujours beaucoup avec l’équipe, notamment grâce à la vidéoconférence.”

Après s’être séparée de Romain Grosjean et Kevin Magnussen, l’équipe Haas alignera un duo de pilotes néophytes en 2021 avec Nikita Mazepin au coté de Mick Schumacher.

Alpine et Lotus ont signé un partenariat technique

Dans le cadre du développement de la Business Unit Alpine, le Groupe Renault et le Groupe Lotus ont signé un protocole d’accord (MoU) pour étudier un certain nombre de domaines de coopération, dont le développement conjoint d’une voiture de sport électrique.

Les équipes Alpine et Lotus mèneront une étude de faisabilité complète pour l’ingénierie, la conception et le développement conjoints d’une voiture de sport VE en tirant parti des ressources, de l’expertise et des installations des entités respectives en France et au Royaume-Uni.

Alpine et Lotus exploreront également le développement d’une offre de services conjointe combinant leur expertise en ingénierie. Une collaboration visant à tirer parti de la plate-forme de sport automobile d’Alpine couvrant la Formule 1 à la Formule E et à l’Endurance est également à l’étude.

“La signature de ce protocole d’accord avec Lotus montre l’approche allégée et intelligente que nous mettons en œuvre dans le cadre de la nouvelle stratégie de marque Alpine.” nous explique Laurent Rossi, directeur général d’Alpine.

“Les deux marques ont un héritage incroyable et nous sommes très heureux de commencer ce travail ensemble, des solutions d’ingénierie sur mesure au développement d’une voiture de sport VE de nouvelle génération.”

“Cette collaboration ainsi que notre transformation marquent le début d’une nouvelle ère dans laquelle nous porterons le nom et la gamme Alpine vers le futur.”

“Nous mettons la F1 au cœur de notre activité, en tirant parti de notre expertise interne et de nos meilleurs partenaires tels que Lotus pour injecter à nos voitures des performances, une technologie et une motorisation de pointe.”

Dans le cadre de cet accord, la marque Alpine pourrait bien faire son entrée en Formule E aux côtés de Lotus dans un proche avenir, même s’il est encore un peu trop tôt pour connaître les tenants et les aboutissants de cette relation naissante.

Rappelons tout de même que Renault a une grande expérience de la Formule E avec pas moins de cinq titres décrochés, tandis que le groupe Renault continue d’être impliqué dans la catégorie 100% électrique grâce à sa collaboration aux cotés de Nissan.

Autre point intéressant, le départ prochain des constructeurs BMW et Audi, ce qui offrirait à Alpine/Lotus une opportunité de s’engager en Formule E.

Charles Leclerc testé positif au Covid-19

Le pilote Ferrari Charles Leclerc et l’équipe Ferrari ont annoncé ce jeudi que le pilote monégasque a été testé positif au Covid-19 et a donc immédiatement été placé à l’isolement.

“Le pilote de la Scuderia Ferrari, Charles Leclerc, a été testé positif au COVID-19.” confirme l’équipe italienne ce jeudi.

“Conformément aux protocoles de l’équipe, Charles est testé régulièrement et hier, le résultat de son dernier test est revenu positif.”

“Charles nous a immédiatement prévenu et a informé toutes les personnes avec lesquelles il était en contact étroit ces derniers jours.”

“Il se sent actuellement bien avec des symptômes légers et s’auto-isole désormais chez lui à Monaco.”

Charles Leclerc pour sa part a expliqué sur ses réseaux sociaux qu’il avait été en contact avec un cas positif sans le savoir ces derniers jours.

“Je me fait régulièrement testé en accord avec le protocole de mon équipe. Malheureusement, j’ai appris que j’ai été en contact avec un cas positif et j’ai immédiatement été placé à l’isolement […]” a expliqué Leclerc pour rassurer ses fans.”

“Je me sens bien et j’ai de légers symptomes. Je reste à l’isolement chez moi à Monaco en accord avec les règles sanitaires locales. Restez en sécurité et prenez soin de vous.”

Charles Leclerc est devenu le cinquième pilote de Formule 1 à avoir été testé positif au Covid-19 après Sergio Perez, Lance Stroll, Lando Norris et Lewis Hamilton.

Les Grands Prix virtuels de F1 de retour en 2021

Après l’énorme succès rencontré en 2020 par les Grands Prix de F1 virtuels (bien aidé par un premier confinement et le report du début de la saison de F1 à juillet), la Formule 1 a décidé de relancer la compétition virtuelle pour une série de trois courses consécutives.

Les Grands Prix virtuels reviendront le 31 janvier 2021 pour trois événements consécutifs où les dix équipes de la grille s’affronteront pour une œuvre caritative représentées par des anciens pilotes de F1, des pilotes actuels ou encore des célébrités et des joueurs de la série F1 Esports.

Le format a été modifié depuis les événements de l’année dernière, car les pro gamers participeront désormais à une course de sprint de cinq tours pour déterminer l’ordre de la grille de départ pour la course principale, où les duos des équipes s’affronteront ensuite à 50% de la distance de course pour obtenir des points pour le classement général.

Le classement du championnat par équipe sera suivi à travers les événements et déterminera comment les prix seront ensuite distribués aux organismes de bienfaisance désignés.

“C’est fantastique de voir la F1 Esports Series 2020 battre des records d’audience et d’engagement après un brillant championnat où nous avons vu des courses compétitives et un spectacle élevé à chaque événement.” explique Julian Tan, responsable des initiatives commerciales numériques et des sports électroniques auprès de la Formule 1.

“Nous avons dû nous adapter à la manière nous avons opéré pour la série Pro en raison de la pandémie, mais nous sommes ravis de voir que cela n’a pas affecté le plaisir des spectateurs pour l’action.”

“2020 a été une année difficile pour tout le monde, mais nous avons hâte d’apporter plus d’enthousiasme aux fans en 2021, à commencer par le retour des Grands Prix virtuels alors que nous accueillons certains des visages qui en ont fait une expérience si spéciale l’année dernière, tout en invitant de nouveaux aussi, tout cela au nom de la charité.”

La Formule 1 fournira plus de détail concernant ces trois courses dans les prochains jours (horaires, circuits, pilotes…)

Sainz : “j’ai toujours pensé que Ferrari pouvait être une équipe pour moi”

En 2021, Carlos Sainz va courir pour la prestigieuse équipe Ferrari. Même si cette dernière a connu une campagne 2020 des plus compliquées – sa plus mauvaise saison depuis 1980 – elle continue de faire rêver tous les pilotes de la grille.

“Piloter un jour pour Ferrari est dans la tête et les rêves de tous les pilotes de Formule 1. Il est très difficile de dire non à cela.” a ainsi confié Sainz dans les colonnes de crash.net.

Le pilote espagnol était depuis longtemps convaincu qu’il se sentirait à son aise au sein de la Scuderia : “J’étais assez convaincu qu’en tant qu’équipe italienne, et vu que je me suis toujours senti à l’aise avec Toro Rosso…en fait, j’ai toujours pensé que Ferrari pouvait être une équipe pour moi.”

De toute façon, d’un point de vue sentimental, conduire pour l’écurie la plus titrée de l’histoire de la Formule 1 est le rêve de tous les pilotes de la discipline.

L’ex-pilote McLaren se sent déjà comme chez lui à Maranello : “J’ai eu des échanges positifs avec les gens là bas. J’y ai vu de la bonne humeur et des personnes prêtes à se battre pour réussir un vrai retour au premier plan.”

“Tout le monde pousse à fond et vous pouvez déjà constater qu’il y a eu des progrès. Ils ont clairement développé la voiture et vous pouvez constater que l’équipe est déjà en bien meilleure position qu’il y a six ou sept mois.”

“J’espère que nous pourrons franchir la prochaine étape ensemble et que je pourrais également les aider à continuer dans ce sens et à trouver encore plus de performance avec la voiture.”

“Clairement, je ne serais pas venu chez Ferrari si je n’avais pas eu un bon pressentiment.”

Alpine présentera la livrée définitive de sa F1 en février

Ce jeudi 14 janvier, le groupe Renault a présenté son plan stratégique “Renaulution” visant à réorienter la stratégie du groupe Renault de la course au volume à la création de valeur.

Durant cette conférence de presse virtuelle, Laurent Rossi, nouveau directeur général d’Alpine, a dévoilé la monoplace de la saison 2021 de F1, ainsi qu’une livrée provisoire.

Rossi a affirmé que la marque Alpine cherchera à décrocher des podiums dès 2021, avant de monter en puissance lors de la saison 2022 lorsque les nouvelles réglementations seront introduites en Formule 1.

La course va rester au cœur de la marque, nous allons renouveler notre engagement à la Formule 1 avec les nouvelles réglementations 2022.” a annoncé Laurent Rossi ce jeudi.

“Nous voulons viser le podium de façon cohérente. 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes.”

Rossi a également rappelé que la marque Alpine – qui réunira les voitures Alpine, Renault Sport Cars et Renault Sport Racing – devra être rentable d’ici à 2025 y compris avec les investissements dans le sport automobile.

Antony Villain, Directeur du Design Alpine, nous a également expliqué que : “Certains éléments graphiques structurants resteront sur la livrée de course et d’autres vont évoluer.”

“L’emblème Alpine “oversize” et son approche graphique tricolore est le premier symbole fort de l’identité de la marque en compétition.”

“Le bleu, le blanc et le rouge font référence aux couleurs des drapeaux français et anglais, ce qui est très important à nos yeux. De nombreuses déclinaisons sur l’ensemble des activités en compétition restent à venir.”

Donner une identité forte et spécifique à la Formule 1 mais aussi à l’ensemble du programme compétition d’Alpine est une évidence et une chance.”

“En plaçant le sport automobile au centre de notre démarche, l’identité graphique est clé. La livrée présentée ce jour est la première évocation de la nouvelle identité de l’écurie Alpine F1 Team.”

L’histoire derrière la livrée noire de la F1 d’Alpine

Ce jeudi 14 janvier, Alpine a présenté sa monoplace pour la saison 2021 habillée de sa livrée noire hivernale éphémère (la livrée définitive sera présentée en février).

Cette livrée noire (provisoire) est un hommage au prototype l’Alpine A500 F1 de 1975 qui marquait les prémices de l’aventure Renault en Formule 1.

Cette monoplace était destinée à évaluer le moteur turbo et diverses solutions techniques avant que le constructeur Renault ne se lance finalement en Formule 1 en tant qu’équipe d’usine.

Avant de s’engager pleinement en Formule 1, Renault souhaitait le faire avec un concept novateur, l’utilisation du moteur turbo, mais le constructeur français n’avait pas les finances nécessaires pour concourir en F1 et également en endurance où la marque était déjà engagée.

A l’époque, le pétrolier ELF a donc pris en charge le développement d’une monoplace pour étudier le moteur turbo, qui développait après deux moteurs expérimentaux pas moins de 525 chevaux au banc, bien plus que ceux engagés alors en Formule 1.

Pour valider ce moteur, Renault avait besoin d’une voiture laboratoire se rapprochant le plus possible d’une Formule 1 et c’est Alpine qui réalisera le châssis d’une monoplace destinée à tester le moteur Renault turbocompressé.

L’Alpine A500 est donc née en 1975 et arborait une livrée toute noire, permettant à Renault d’engranger de l’expérience lors de tests privés avec cette monoplace équipée de pneus radiaux Michelin (une première à l’époque).

Grâce à ces essais, Renault a réussi à mettre au point son turbo et à réduire son temps de réaction, tandis que les développements continueront jusqu’en 1977 avant que Renault Sport ne naisse et reprenne les études A500 à son compte.

En 1976, l’engagement de Renault en Formule 1 est alors acté et la voiture construite sur la base de l’A500 est mise en production en 1977 et est dévoilée au public quelques mois plus tard et sera baptisée Renault RS01.

La F1 2021 d’Alpine baptisée A521

C’est une révolution chez Renault, ou plutôt une Renaulution ! Ce matin, le constructeur français a profité d’une conférence de presse en ligne présentant sa stratégie dans les années à venir, pour dévoiler la nouvelle monoplace Alpine qui participera à la saison 2021 de Formule 1.

Si la livrée noire (en hommage à la A500), agrémentée des trois couleurs du drapeau français sur le capot moteur, n’est que provisoire, la monoplace est bien celle qui sera alignée sur les grilles de départ en 2021.

Confiée à Fernando Alonso et Esteban Ocon, cette nouvelle monoplace a été baptisée A521 et devrait être officiellement présentée en février, en présence des deux pilotes et de la direction sportive (aucune date n’a encore été dévoilée).

On sait depuis quelques jours désormais que Cyril Abiteboul ne fait plus partie du groupe Renault et que Laurent Rossi aura en charge la direction générale d’Alpine.

L’ambition d’Alpine en Formule 1 est de rapidement atteindre le sommet de la discipline, comme l’a une nouvelle fois précisé Rossi ce jeudi : “Nous voulons viser le podium de façon cohérente.”

“La saison 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes.”

Renaulution : La F1 sera au cœur du projet Alpine

Ce jeudi 14 janvier, le groupe Renault a présenté son plan stratégique “Renaulution” visant à réorienter la stratégie du groupe Renault de la course au volume à la création de valeur.

Ce plan stratégique sera structuré en trois phases lancées en parallèle a annoncé aujourd’hui le PDG du Groupe Renault, Luca De Meo lors d’une conférence de presse :

  • La phase “Résurrection”, qui s’étendra jusqu’en 2023, se concentrera sur le redressement de la marge et de la génération de liquidités,
    • La phase “Rénovation”, qui se poursuivra jusqu’en 2025, verra le renouvellement et
    l’enrichissement des gammes, contribuant à la rentabilité des marques,
    • La phase “Révolution”, qui démarrera en 2025, fera basculer le modèle économique du Groupe vers la technologie, l’énergie et la mobilité, faisant du Groupe Renault un précurseur dans la chaîne de valeur des nouvelles mobilités.

Le plan Renaulution permettra de restaurer la compétitivité du Groupe Renault en :

• allant au-delà du plan 2o221, en améliorant l’efficacité de l’ingénierie et de la production, pour réduire les coûts fixes et améliorer les coûts variables dans le monde,

• tirant parti des atouts industriels actuels du Groupe et de son leadership électrique en Europe,

• s’appuyant sur l’Alliance pour accroître notre force de frappe en termes de produits, d’activités et de technologies,

• accélérant les services de mobilité, ceux dédiés à l’énergie et ceux relatifs aux datas,

• améliorant la rentabilité via 4 business units différenciées, fondées sur des marques pleinement responsables, centrées sur les clients et les marchés.

Une nouvelle organisation mettra en œuvre ce plan : les fonctions, avec l’ingénierie au premier plan, sont responsables de la compétitivité, des coûts et du délai de mise sur le marché. Les marques pleinement responsables, gèrent leur rentabilité.

En cohérence avec cette organisation axée sur la valeur, l’entreprise ne mesurera plus ses performances au travers des parts de marché et des ventes, mais en fonction de la rentabilité, la génération de liquidités et l’efficacité des investissements.

Le Groupe Renault dotera ses quatre business units d’une identité et d’un positionnement forts. Cette nouvelle organisation permettra de créer un portefeuille de produits rééquilibré et plus rentable avec 24 lancements d’ici 2025 – dont la moitié dans les segments C/D – et au moins 10 véhicules électriques.

Cette nouvelle organisation axée sur la valeur et cette offensive produits permettront d’améliorer les prix et le mix produits selon le PDG du Groupe, Luca De Meo.

Parmi ces quatre business units, l’une d’entre-elle sera entièrement tournée sur la marque Alpine qui réunira les voitures Alpine, Renault Sport Cars et Renault Sport Racing au sein d’une nouvelle entité à part entière qui se consacrera au développement de voitures de sport exclusives et innovantes.

La Formule 1 sera au cœur du projet Alpine à travers un engagement pleinement renouvelé en championnat, tandis que le groupe Renault aura pour objectif d’être rentable en 2025 en incluant les investissements dans le sport automobile.

Le groupe Renault a également annoncé le développement d’une voiture de sport électrique nouvelle génération avec Lotus.

Lors de cette présentation, des images d’une livrée provisoire (photo d’illustration de cet article) de la future Alpine F1 ont également été dévoilées et sur lesquelles ont peut apercevoir les couleurs du drapeau tricolore français apposé sur une livrée noire, tandis que le mois prochain, Alpine présentera la livrée définitive de la monoplace 2021.

La course va rester au cœur de la marque, nous allons renouveler notre engagement à la Formule 1 avec les nouvelles réglementations 2022.” a annoncé Laurent Rossi ce jeudi.

“Nous voulons viser le podium de façon cohérente. 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes.”

 

Chez Aston Martin, Vettel et Stroll vont se compléter

Le directeur de l’équipe Aston Martin, l’Américain Otmar Szafnauer, se dit extrêmement ravi du duo de pilotes qu’il aura à sa disposition cette année en F1 pour le retour tant attendu du constructeur britannique en catégorie reine.

Née des cendres de l’équipe Racing Point, l’écurie Aston Martin a déjà fait couler beaucoup d’encre avant même le début de la saison 2021, notamment parce que Lawrence Stroll, le propriétaire d’Aston Martin, a réussi à s’offrir les services d’un quadruple champion du monde pour 2021.

L’Allemand Sebastian Vettel – qui a quitté la Scuderia Ferrari fin 2020 après six années passées à Maranello – fera équipe cette année avec le Canadien Lance Stroll, ce qui enchante particulièrement le directeur de l’écurie, qui estime avoir l’un des meilleurs duo de pilotes de la grille.

“C’est extrêmement excitant pour tout le monde dans l’équipe. Avec Sebastian [Vettel], nous avons un quadruple champion du monde qui a fait ses preuves en aidant les équipes à devenir des équipes gagnantes et en lice pour le championnat.” nous explique Szafnauer.

“C’est pourquoi c’est une signature si importante pour nous. Il apporte une mentalité gagnante et nous apprendrons tous sans aucun doute beaucoup de lui au cours de ce voyage.”

“Avec Lance [Stroll], nous avons un jeune pilote talentueux et travailleur qui a connu sa meilleure campagne à ce jour l’année dernière et qui a vraiment fait des progrès dans tous les domaines.”

“On sait que si on lui donne les bons outils, il est plus que capable d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs.”

“Nous pensons également que Sebastian va faire ressortir le meilleur de Lance, avec Lance poussant fortement Sebastian en retour, nous sommes donc ravis de notre line-up 2021. C’est un mélange idéal d’expérience, de savoir-faire gagnant et de talent brut.”

L’équipe Aston Martin dévoilera la livrée de sa monoplace 2021 au mois de mars depuis le siège du constructeur britannique à Gaydon.

Sebastian Vettel n’est pas inquiet du peu de jours d’essais hivernaux

Cette année, les équipes et les pilotes de Formule 1 vont devoir se contenter de seulement trois journées d’essais hivernaux (contre six en 2020).

Le report du Grand Prix d’Australie, qui était censé ouvrir la saison le 21 mars, a également chamboulé le planning de ces essais hivernaux qui étaient initialement prévus à Barcelone du 4 au 6 mars.

Aucune annonce n’a été officiellement faite mais ces essais se tiendront désormais à Bahreïn, du 12 au 14 mars, afin d’éviter aux équipes et aux membres du paddock de se déplacer avant la première manche de la saison prévue le 28 mars sur la même piste de Sakhir.

Cette saison, plusieurs pilotes vont changer d’équipe et n’auront donc que très peu de temps de roulage devant eux pour s’adapter à leur nouvelle monture.

Parmi eux, Sebastian Vettel, qui va rejoindre l’écurie Aston Martin Racing après avoir passé six années chez Ferrari.

Le quadruple champion du monde allemand n’est cependant pas inquiet de ne pouvoir rouler qu’un jour et demi  – les trois jours d’essais seront partagés équitablement entre lui et son coéquipier Lance Stroll – avant de participer au premier Grand Prix de la saison.

“D’après ce que j’ai entendu, il y aura bien des tests avant la saison et cela sera le première fois que je monterais dans la nouvelle monoplace.”

“Est ce que je suis inquiet ? Non. Si c’est organisé ainsi c’est que ça doit être fait comme ça. Au fil des ans, je pense que l’on s’habitue à avoir très peu de temps en piste et à en tirer le meilleur.”

“Donc même si un jour et demi ne semble pas beaucoup, vous pouvez quand même faire du bon boulot.” explique l’Allemand, cité par le site du championnat du monde.

Les dix équipes et leurs pilotes seront logés à la même enseigne, ce qui ne semble pas insurmontable pour Vettel : “C’est la même chose pour tout le monde !  Et de nos jours, vous pouvez prévoir pas mal de choses à l’avance.”

“Je devine que la clé sera la préparation qui mène aux essais et ensuite à la première course de la saison.”

Melbourne veut reprendre sa place en ouverture de saison dès 2022

A cause de la pandémie de Covid-19 et des restrictions qui en découlent sur le territoire Australien, les autorités du pays, en accord avec la FIA et les promoteurs de la course, ont décidé de reporter le Grand Prix d’Australie initialement prévu en ouverture de la saison le 21 mars prochain.

Déjà contraint d’annuler au dernier moment l’édition 2020, les organisateurs du Grand Prix ont accepté de reporter la course de cette année au 21 novembre.

Mais cette situation n’est que temporaire, et les organisateurs souhaitent retrouver leur place en ouverture de la saison dès 2022.

“Ce n’est pas pour toujours. Nous serons certainement en mesure de revenir à notre place traditionnelle pour l’ouverture de saison en 2022.” a précisé Martin Pakula, le ministre des Sports et du Tourisme du gouvernement de Victoria, dans des propos rapportés par le site Racefans.

Ce report de l’édition 2021 a bien entendu été motivé par la gestion de la crise sanitaire en Australie qui impose par exemple une quatorzaine stricte aux joueurs de tennis professionnels qui viendront disputer l’Open d’Australie qui doit débuter le 8 février prochain à Melbourne.

Quatorze jours à l’isolement qui auraient été impossibles à tenir pour le monde de la Formule 1 : “Je comprends que les circonstances soient différentes pour la F1.” a ajouté Pakula.

“Mais si le tennis n’avait pas pu s’organiser ainsi, nous aurions sûrement eu une conversation similaire avec eux.” conclut le ministre australien.

Aston Martin veut rapidement s’installer parmi les meilleures équipes en F1

Une des grandes nouveautés de cette saison 2021 de Formule 1 sera de découvrir la nouvelle équipe Aston Martin, ex-Racing Point, qui alignera Sebastian Vettel et Lance Stroll sur les grilles de départ des Grands Prix.

L’équipe a prévu d’exploiter au maximum l’expérience du quadruple champion du monde allemand, fraîchement débarqué par Ferrari, pour atteindre ses objectifs : “Avec Sebastian, nous avons un quadruple champion du monde qui a fait ses preuves en aidant des équipes à devenir des équipes gagnantes et se battant pour le championnat.” précise Otmar Szafnauer, le directeur sportif de l’équipe britannique.

“C’est pourquoi sa signature a été aussi importante pour nous. Il apporte une mentalité de gagnant et il a beaucoup à nous apprendre.” poursuit-il.

L’équipe compte également beaucoup sur Lance Stroll, qui n’a rien a envier à Vettel selon Szafnauer : “Lance est un jeune pilote talentueux et travailleur qui a connu la meilleure saison de sa carrière l’année dernière et qui a vraiment fait des progrès dans tous les domaines.”

“Nous savons que si nous lui donnons les outils, il est plus que capable d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs.”

Les objectifs d’Aston Martin sont clairs : viser le podium et la victoire très rapidement tout en s’installant parmi les top teams de la discipline.

“Avec un nouveau nom, des actionnaires engagés, de nouveaux investissements et une équipe expérimentée, nous pensons que nous avons tous les ingrédients en place pour viser encore plus de podiums et, espérons le, des victoires.”

“Alors que le défi consistait autrefois [avec Racing Point] à nous imposer comme étant l’équipe la plus efficace de la grille, il existe maintenant une opportunité excitante de nous établir en tant qu’équipe de premier plan.” ajoute Szafnauer.

L’équipe devrait bénéficier d’ici la fin de l’année 2022 d’une nouvelle usine, toujours basée à Silverstone, siège historique de l’écurie depuis sa création sous le nom de Jordan.

Binotto : “Sebastian Vettel est une personne formidable et un excellent pilote”

La saison 2020 aura été sportivement difficile pour la Scuderia Ferrari qui n’aura signé aucune victoire et aura terminé à une très décevante 6ème place au championnat des constructeurs.

En coulisses, Mattia Binotto, le directeur de l’équipe italienne, a également eu fort à faire après l’annonce de la non-reconduction du contrat de Sebastien Vettel, prié de quitter l’équipe au terme de la saison 2020.

Si l’entente entre le pilote allemand et son équipe semble avoir volé en éclat au fur et à mesure de la saison, Mattia Binotto a tenu à rendre hommage à son désormais ancien pilote : “Je pense que Sebastian est une personne formidable et un excellent pilote. Nous avons passé de bons moments ensemble.” a déclaré le Suisse à Skysports.

La stratégie de la Scuderia Ferrari pour les années à venir étant de se concentrer sur Charles Leclerc, souvent présenté comme l’avenir victorieux de l’équipe, la présence de Sebastian Vettel n’était donc plus envisagée par l’équipe italienne : “Je pense qu’il était temps de prendre une décision différente et d’aller de l’avant.” précise encore Binotto.

Le nouveau duo de pilotes constitué de Charles Leclerc et Carlos Sainz doit donc permettre à Ferrari de se donner un nouvel élan et à ce titre, Binotto confirme bien qu’aucun des deux ne sera privilégié, tout du moins en début de saison : “Il n’y a pas de numéro un et de numéro deux.”

“Ils auront des chances égales, assurément en début de saison. Je suis content qu’ils soient libres de se battre.”

En 2021, Sebastian Vettel roulera pour l’équipe d’usine Aston Martin aux côtés du Canadien Lance Stroll.

La F1 dément tout report de la nouvelle réglementation technique prévue en 2022

Suite à la crise consécutive à la pandémie mondiale début 2020, la Formule 1 a dû s’adapter pour survivre.

A ce titre, la nouvelle réglementation technique qui devait entrer en vigueur dès la saison 2021 avait été repoussée d’un an afin de permettre aux équipes de faire face aux difficultés financières d’un début d’année chaotique.

Cette réglementation, qui a pour but d’améliorer le spectacle et d’encadrer de manière plus stricte les budgets des équipes (le budget capé est déjà introduit depuis 2021), devrait bien être introduite en 2022 malgré les rumeurs rapportées par le journal italien La Gazzetta dello sport, qui faisait état d’un possible nouveau report à la saison 2023 dans ses colonnes.

Des rumeurs face auxquelles la F1 s’est empressée de répondre en confirmant que la saison 2022 verrait bien la nouvelle réglementation entrer en vigueur : “Toute suggestion que le règlement 2022 serait retardé est fausse et n’a pas été discuté.” a précisé un porte parole de la F1 cité par le magazine britannique Autosport.

“Les nouveaux règlements sont conçus pour améliorer la compétition sur la piste et donner à nos fans des courses plus disputées.”

“Ceci, combiné avec les nouveaux règlements financiers, améliorera la F1 et créera un modèle commercial plus sain et plus solide pour l’ensemble de ce sport.”

Si la crise semble encore prégnante en ce début d’année 2021, le fait d’avoir réussi à organiser une saison 2020 quasi complète, avec 17 Grands Prix, a permis aux équipes de consolider leurs finances et d’avoir une vision plus sereine pour les saisons à venir et donc, de faire face au changement de réglementation prévu.

Ferrari ne regrette pas de ne pas avoir signé Lewis Hamilton

Si actuellement Lewis Hamilton n’a toujours pas signé officiellement de contrat avec Mercedes, il ne fait guère de doute que le septuple champion du monde va continuer l’aventure avec l’équipe allemande en 2021.

Durant l’année 2020, des rumeurs avaient fait état d’un possible rapprochement entre le Britannique et l’équipe Ferrari, sans pour autant que cela ne se concrétise.

Mais Ferrari ne regrette pas de ne pas avoir pu attirer Lewis Hamilton dans son équipe, comme le précise Mattia Binotto, directeur de la formation italienne, dans les colonnes de Skysports : “Je ne pense pas qu’il y aura des regrets car, au final, nous avons pris certaines décisions et nous l’avons fait en pensant qu’il s’agissait de bonnes décisions.”

“Aujourd’hui, nous avons un pilote fantastique comme Charles [Leclerc], dans lequel Ferrari a beaucoup investi.”

Pour le directeur sportif suisse, il ne fait aucun doute que Charles Leclerc fait partie des meilleurs et peut donc se battre avec Lewis Hamilton : “Je pense qu’il a beaucoup de talent. S’il a la bonne voiture, je suis presque sûr qu’il peut défier Lewis Hamilton.”

Le duo que Ferrari a formé avec le monégasque et Carlos Sainz pour cette saison 2021 satisfait pleinement l’équipe : “Nous avons fait nos choix et je pense qu’avec Carlos, nous sommes très forts. Je ne pense pas que nous aurons à regretter quoi que ce soit.” précise ainsi Binotto.

“Nous allons avoir un duo de pilotes très jeune, le plus jeune duo qu’ait connu Ferrari depuis 1968 [ndlr : avec Jacky Ickx et Chris Amon], mais ces deux pilotes, Charles et Carlos, sont très forts, très talentueux et même s’ils sont jeunes, ils ont une bonne expérience de la Formule 1.” conclut le manager suisse.

La justice suspend l’accord entre la F1 et São Paulo

Le circuit de São Paulo a récemment réussi à confirmer sa présence dans le calendrier mondial de la Formule 1 pour les cinq saisons à venir, mais voila qu’un juge a décidé de suspendre ce contrat estimant que des “principes de transparence ont été violés.”

La concurrence d’une nouvelle piste au sein de la ville de Rio de Janeiro, dont la candidature a été ardemment soutenue par le président du pays, Jair Bolsonaro, a été finalement écartée et c’est bien São Paulo qui a réussi à décrocher le contrat avec la catégorie reine du sport automobile pour les cinq prochaines années, une annonce officielle ayant même été faite il y a quelques semaines et la Formule 1 elle-même a bien confirmé le Grand Prix du Brésil dans son calendrier 2021 publié ce mardi.

Mais voilà qu’un nouveau contretemps vient donner du soucis aux organisateurs, puisque les médias brésiliens –  dont Globo.com –  rapportent aujourd’hui que la justice du pays a suspendu le contrat signé entre la ville de São Paulo et la société MC Brazil Motorsport Holding Ltda, pour un montant de 100 millions de réals (à peu prés 15 millions d’euros), afin d’organiser le Grand Prix du Brésil sur les cinq prochaines années.

Ce contrat prévoit notamment un paiement annuel, par tranche de 20 millions de réals, jusqu’en 2025.

Une suspicion de complaisance est avancée par la justice brésilienne qui remet en cause, entre autre, l’absence d’appel d’offres et le manque de transparence des deux parties au moment de la signature du contrat.

La justice a donné à la ville de São Paulo un délai de cinq jours pour présenter tous les documents nécessaires à la validation du contrat.

“Les faits révèlent sans aucun doute, en tout cas à ce stade, que les principes de transparence ont été violés de façon explicite.” estime le juge Emilio Migliano.

“Pour cette raison également (l’absence d’appel d’offres), il est nécéssaire de suspendre la l’exécution du contrat afin d’évaluer s’il y a effectivement les ressources pour couvrir les dépenses détaillées dans l’accord signé.”

S’il s’avère que la justice ne reconnaît pas la validité de ce contrat, un doute pourrait alors planer sur l’organisation du Grand Prix du Brésil cette année qui est prévu le week-end du 14 novembre 2021.

Romain Grosjean dévoile une photo de ses mains sans bandage

L’ancien pilote de F1, Romain Grosjean, a publié ce mardi une photo de ses deux mains sans bandage un peu plus d’un mois après son terrible accident au Grand Prix de Bahreïn.

Victime d’un terrible crash lors du premier tour de course au Grand Prix de Bahreïn 2020, la monoplace du Français s’est immédiatement enflammée après un violent impact contre le rail de sécurité sur la piste de Sakhir.

Romain Grosjean a réussi à sortir lui-même des flammes de la carcasse de sa voiture et n’a été que légèrement blessé (brulures aux deux mains et une entorse), ce qui fut un véritable miracle tant le choc a été d’une violence inouïe.

Désormais en convalescence chez lui en Suisse, Romain Grosjean poste régulièrement des messages sur les réseaux sociaux pour tenir ses fans informés de l’avancée de sa guérison.

Aujourd’hui, le Français a publié une photo impressionnante de ses deux mains après avoir définitivement enlevé ses bandages.

“Mes mains sont de retour et Petrus (son chat sur la photo) n’en est pas trop mécontent!
Ce n’est pas encore joli, alors ne glissez pas à droite (faire défiler les photos sur Instagram) si vous n’en avez pas envie.” a t-il écrit sur son compte Instagram.