Massa pense que Vettel a fait son temps chez Ferrari

Felipe Massa pense que Ferrari a probablement fait le bon choix de ne pas renouveler le contrat de Sebastian Vettel, non pas que le pilote allemand ne le méritait pas, mais plutôt pour essayer d’apporter du sang neuf dans une équipe qui ne performe plus.

Ferrari occupe la sixième place au championnat du monde des constructeurs cette saison après les neufs premières courses de l’année et la seconde partie de la campagne 2020 ne devrait pas être meilleure pour l’équipe italienne.

“Voir une équipe aussi importante souffrir de cette façon est très triste. Personne ne veut voir Ferrari avoir de tels problèmes.” explique Felipe Massa à Globo.

Au sujet de la non-reconduction du contrat de Sebastian Vettel – qui quittera l’équipe à la fin de cette saison pour rejoindre Aston Martin en 2021 – Massa estime que le quadruple champion du monde a fait son temps à Maranello après six années passées chez Ferrari.

“Le temps de Vettel est passé. A tel point que ses résultats cette année montrent que Ferrari a peut-être pris la bonne décision de ne pas renouveler son contrat.”

“Carlos Sainz [qui remplacera Vettel chez Ferrari en 2021] est un bon pilote, il est jeune et il aura également beaucoup à faire.”

“Bien-sûr, ils doivent avant tout avoir une voiture compétitive, et je l’espère pour lui et Ferrari. C’est une équipe exceptionnelle, et sans aucun doute différente des autres. C’est un peu comme si c’était une religion.”

Désormais revenu au Brésil après avoir quitté l’équipe Venturi en Formule E pour s’engager en Porsche Endurance Cup, le Brésilien continue tout de même de suivre la F1 dès qu’il le peut.

“Nous avons eu de belles courses comme Monza ou le Mugello. Il y a eu des choses différentes comme la victoire de Gasly. Je pense que tout le monde le soutenait.”

“Mais c’est aussi une autre année où Hamilton a dominé en dominant les autres pilotes et en faisant un travail exceptionnel.”

“Il le mérite pour le pilote qu’il est. Il a sa façon d’être en essayant de soulever des arguments en dehors de la piste. Nous avons tous quelque chose à apprendre de chaque personne, donc si ce qu’il fait est quelque chose de bon, c’est cool et nous devons le respecter pour ce qu’il fait.”

Sebastian Vettel aurait bien voulu s’offrir une Ferrari F2004

Sebastian Vettel a révélé que la Ferrari F2004 était sa voiture de F1 préférée – mais quand il a essayé d’en acheter une pour sa collection privée l’Allemand s’est rendu compte que sa valeur était bien trop élevée.

La Ferrari F2004 a permis à Michael Schumacher de remporter son septième et dernier championnat du monde de F1 en 2004, et l’Allemand a remporté 13 des 18 courses de cette saison là. Son coéquipier Rubens Barrichello ayant pour sa part ajouté deux autres victoires.

Juste avant le départ du Grand Prix de Toscane dimanche dernier, le fils de Michael Schumacher, Mick, a pu réaliser quelques tours au volant de la F2004 dans le cadre des célébrations du 1000e départ de Ferrari en Formule 1.

Vettel – qui est un grand amateur de Formule 1 de collection et qui a récemment acquis la Williams FW14B – a admis qu’il avait envisagé l’achat d’une F2004, mais que le prix demandé était bien trop élevé pour lui.

“Cela reste ma voiture préférée. Si vous regardez, nos voitures actuelles sont tellement plus grandes de nos jours.” a déclaré le quadruple champion du monde dimanche dernier au Mugello.

“De toute évidence, nous avons beaucoup plus d’appui, mais cette monoplace pèse 160-170 kg de moins que la nôtre. Donc, c’est une grande différence.”

“Il y en avait une, pas celle là mais la même de la même année en vente, mais c’était beaucoup trop cher. C’est une voiture incroyable.”

L’ancien pilote de F1 Mark Webber – qui dirigeait l’interview avec Vettel – a ajouté : “Je crois que j’ai déjà percuté cette voiture une fois en Turquie avec Michael, et il n’était pas très content de moi.”

“Mais lorsque je vois cette voiture je pense juste à la performance pure et à Michael. C’était des moments extraordinaires.”

Esteban Ocon surpris par le rythme de la Renault RS20 au Mugello

Bien qu’il ait dû abandonner au Grand Prix de Toscane en raison d’un problème sur le système de freinage de sa monoplace, le Français Esteban Ocon se félicite du rythme démontré par la RS20 sur le tracé du Mugello le week-end dernier.

Avec un Daniel Ricciardo quatrième à l’arrivée du Grand Prix de Toscane, le rythme de course de la Renault RS20 était impressionnant sur le circuit du Mugello et l’Australien occupait même la seconde position à un moment donné du Grand Prix.

Esteban Ocon pour sa part n’a pas pu terminer la course en raison des problèmes de frein sur sa monoplace, mais le Normand admet avoir été surpris par le rythme de la RS20 sur un tracé qui n’était pas forcément adapté aux caractéristiques de la Renault.

“Quand nous sommes arrivés au Mugello, il s’est avéré que nous étions compétitifs, ce qui a été une très bonne surprise.” nous explique Esteban Ocon dans sa chronique d’après course pour le site de la F1.

“Nous ne nous attendions pas à être aussi compétitifs car nous savons où sont les atouts de notre voiture.”

“Le rythme était soutenu en qualifications, j’ai fait une petite erreur lors de mon dernier tour en Q3 et cela nous a coûté. Ensuite [en course], c’était dommage de devoir abandonner si tôt, car cela ressemblait à une course amusante.”

“Je suis heureux que Daniel ait obtenu un bon résultat [quatrième] pour nous et il a montré que ce que nous faisons en tant qu’équipe en ce moment est bon.”

“Beaucoup de choses se sont passées et, encore une fois, vous ne pouvez prédire aucun résultat de qui que ce soit ou comment la course peut se dérouler.”

“Je pense que dans l’ensemble, c’était un bon week-end pour nous même si nous n’avons pas pu terminer la course.”

Horner comprend la frustration de Verstappen après son troisième abandon de l’année

Avec deux abandons consécutifs aux Grands Prix d’Italie [problème moteur] et au Grand Prix de Toscane [sortie de piste], Max Verstappen a vu ses chances de se battre contre Lewis Hamilton pour le titre diminuer fortement au Mugello le week-end dernier.

Au total, depuis le début de la saison 2020, Max Verstappen a connu trois abandons en neuf courses disputées [deux pour des problèmes mécaniques et une sortie de piste].

Les deux derniers abandons consécutifs en Italie et en Toscane ont fait reculer le pilote Red Bull au championnat du monde et le Néerlandais se retrouve désormais troisième avec 25 points de retard sur Valtteri Bottas [second] et 80 points de retard sur Lewis Hamilton [leader du championnat].

Après son abandon au Mugello [en raison d’un crash au troisième virage], Verstappen a exprimé dans sa radio sa colère de voir à nouveau de nombreux points s’envoler, d’autant que sa RB16 semblait être en mesure de se battre au même niveau que les Mercedes en Toscane.

“La frustration de Max face à un autre abandon est tout à fait compréhensible.” a déclaré Christian Horner, le team principal de l’équipe Red Bull.

“Dès le tout premier tour au Mugello, il y était. Nous avions une voiture très rapide et de réels progrès ont été réalisés avec l’équilibre de la voiture.”

“C’est cela qui était si irritant pour lui. Dans le feu de l’action où l’on est passé de l’adrénaline du départ à la déception de se retrouver dans le bac à gravier, il est naturel de se défouler à la radio.”

“Nous avons vraiment senti que dans la course, nous pouvions nous battre contre Mercedes.  Il avait travaillé dur pour battre Lewis au départ, mais bien sûr, cela ne s’est pas concrétisé.”

Horner a ajouté que la passion de Verstappen est l’une de ses grandes caractéristiques en tant que pilote, mais qu’il doit maintenant se concentrer sur la tâche qui l’attend en Russie.

“C’était la deuxième course consécutive où il abandonne et une énorme frustration pour lui parce qu’il a faim et il en veut tellement.”

“S’il n’avait pas cette faim, il ne serait pas le pilote qu’il est et celui que nous voulons tous voir se battre pour des victoires chaque week-end.”

“Il doit sortir de son système de temps en temps et regarder vers l’avenir. Nous allons examiner les choses avec lui avant Sotchi et discuter de ce qui a été fait dans les coulisses entre Honda et le Team pour l’aider afin que tout soit rectifié pour la prochaine course.”

Williams n’avait pas d’autre option que de vendre son équipe

Claire Williams, l’ancienne patron de l’équipe éponyme, a expliqué que le départ inattendu de la société ROKIT – qui était le partenaire principal de l’équipe Williams en 2020 – a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Williams a signé ROKiT comme partenaire titre pour la saison 2019 pour remplacer Martini. Les parties ont alors conclu un nouvel accord pluriannuel la saison dernière, mais au mois de mai dernier, ROKIT a pris la décision de se retirer.

A la suite de cette annonce, Williams a alors annoncé qu’elle envisageait un examen de toutes les options disponibles pour sauver la société, y compris la vente de celle-ci.

Finalement, après avoir étudié plusieurs offres de rachat, Williams a décidé de céder son équipe au fonds d’investissement américain Dorilton Capital.

“Nous avions épuisé toutes les possibilités qui s’offraient à nous et je pensais qu’en arrivant cette année nous avions pris un virage.” explique l’ancienne patronne de l’équipe Williams à The Telegraph.

“Nous avions réussi à trouver un nouveau sponsor principal, puis tout s’est effondré et le Coronavirus est arrivé. Nous n’avions alors plus d’option. Il n’y avait aucun moyen de s’en remettre.”

“Je pense que si ces deux choses ne s’étaient pas produites, nous aurions certainement réussi.” 

Claire Williams explique également que ces dernières années à la tête de l’équipe fondée par son père Sir Frank Williams ont été éprouvantes pour elle.

“La Formule 1 exige beaucoup de vous. Je veux juste me ressaisir après cette période difficile et découvrir qui je suis en dehors de la F1.”

“J’ai toujours été “la fille de Frank Williams” et maintenant je veux juste devenir une personne indépendante de mon nom de famille.”

Après le Grand Prix d’Italie disputé sur le tracé de Monza début septembre, la famille Williams [père et fille] a définitivement quitté le monde de la Formule 1.

Toto Wolff est bien heureux de voir Sebastian Vettel continuer en F1

L’actuel directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, considère que la signature de Sebastian Vettel chez Aston Martin à partir de la saison prochaine ne peut être que bénéfique pour la F1.

Après six années passées chez Ferrari, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel rejoindra l’équipe d’usine Aston Martin en 2021 et fera équipe avec le Canadien Lance Stroll.

Le patron de Mercedes a souligné l’importance de voir continuer le pilote allemand en catégorie reine l’année prochaine.

“J’ai des parts dans Aston Martin, donc à cet égard, c’est quelque chose de formidable.” a commenté Wolff, cité par le média allemand TZ.

“Si réellement il avait quitté la Formule 1, la F1 aurait perdu des spectateurs en Allemagne et c’est un marché très important pour le sport.”

“Seb est le second pilote le plus titré de la décennie. Il est donc important que quelqu’un comme Sebastian, qui est dans la fleur de l’age, ne quitte pas la Formule 1. Il apportera également une quantité importante de connaissance à Aston Martin.”

Toto Wolff – qui a acquis moins d’un pour cent du capital d’Aston Martin Lagonda [maison mère d’Aston Martin] – a assuré qu’il n’aurait aucune influence sur les activités opérationnelles de la nouvelle équipe de course.

Toto Wolff détenait auparavant une participation à hauteur de 16% chez Williams, mais l’a vendu après avoir rejoint l’équipe Mercedes où il détient 30%.

L’Autrichien a récemment déclaré qu’il continuerait avec Mercedes l’an prochain, mais qu’il pourrait réévaluer son rôle au sein de l’organisation.

En F1, les contrôles ne sont plus aussi simples qu’à l’époque des V8

Au cours des dernières semaines, la suppression des modes moteur en F1 a été un sujet largement couvert par les médias et cette interdiction est entrée en vigueur à partir de la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie à Monza.

Le directeur technique de la FIA, Nikolas Tombazis, est revenu un peu plus en détail sur les raisons qui ont poussé la Fédération à bannir les modes moteur en qualifications et en course.

“Malheureusement, ce n’est plus aussi simple qu’à l’époque des moteurs V8.” explique Nikolas Tombazis à nos confrères d’AMUS.

“A l’époque, il suffisait de s’assurer que la vitesse maximale était respectée, que les dimensions du moteur étaient correctes ou que les spécifications de carburant étaient conformes aux règles.”

“Le problème avec les unités de puissance actuelles est que le matériel peut être parfaitement légal, mais il est toujours possible de le faire fonctionner illégalement.”

“C’est pour cela que nous devons surveiller en permanence d’innombrables paramètres via le logiciel, les signaux et les messages des capteurs pendant la conduite.”

“Si un pilote modifie les paramètres du moteur à chaque tour, il devient difficile de vérifier régulièrement le fonctionnement du moteur à chaque tour pour vérifier le respect des règles, surtout dans des moments spéciaux, par exemple le tour avant ou après un arrêt au stand ou lors d’un dépassement.”

Nikolas Tombazis donne alors un exemple très précis : “Nous avons limité la consommation d’huile à 0,3 litres au 100 kilomètres afin d’éviter que l’huile soit utilisée dans le processus de combustion.”

“Nous ne mesurons pas cette consommation sur toute la distance [de la course] mais après chaque tour.”

“Il est interdit de la dépasser durant une courte période. Si vous passez d’un réglage moteur à l’autre, il devient alors extrêmement difficile de suivre la consommation d’huile à tout moment et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons publié cette directive technique.”

Des contrôles à l’improviste

Récemment, la FIA a “fait une descente” pour vérifier la conformité des systèmes ERS de Ferrari, Honda, Mercedes et Renault, mais contrairement à ce qui a été dit par certains médias, ces contrôles sont tout à fait fréquents de la part de la FIA et aucun motoriste en particulier n’était visé.

“Nous effectuons régulièrement toutes sortes de contrôles, et nous aimerions le faire plus souvent.” explique Tombazis.

Ces voitures sont très complexes, et malheureusement, nous n’avons pas toujours le temps de vérifier chaque système.”

“Les équipes viennent souvent nous voir et nous demandent si tel ou tel système est autorisé, ou elles nous préviennent qu’un certain réglage pourrait déjouer les règles.”

“Ensuite, elles nous disent qu’elles ne le feront pas, mais que d’autres pourraient le faire. Nous regardons cela et si nous pensons qu’il y a une possibilité qu’il y ait une faute, nous menons un enquête, parfois comme je l’ai dit à cause d’un soupçon spécifique, parfois parce que nous pensons qu’il est en fait possible de déjouer les règles.”

Pour Mark Webber, Leclerc est encore en “lune de miel” avec Ferrari

L’ancien pilote de F1 Mark Webber prévient que le sort de Charles Leclerc chez Ferrari pourrait suivre un chemin similaire à celui de son coéquipier Sebastian Vettel dans les années à venir.

Charles Leclerc a rejoint la Scuderia Ferrari l’année dernière lors de sa seconde année en F1 et le jeune monégasque a rapidement pris le dessus sur son expérimenté coéquipier Sebastian Vettel.

Leclerc a décroché sa toute première victoire en F1 au Grand Prix de Belgique 2019 et a également connu le succès une semaine plus tard au Grand Prix d’Italie, ce qui n’a fait que renforcer son statut au sein de l’équipe italienne.

Du côté de Sebastian Vettel, de multiples erreurs en course et des résultats inférieurs à ceux de son jeune coéquipier, auront poussé son équipe à prendre la décision de remplacer l’Allemand dès 2021 par le jeune Carlos Sainz.

Charles Leclerc pour sa part restera pilote Ferrari au moins jusqu’en 2024 et représente l’avenir de la Scuderia, mais l’ancien pilote de F1 Mark Webber pense que la motivation du jeune pilote pourrait diminuer si Ferrari ne s’améliore pas rapidement.

“Il faut garder un œil sur Leclerc, je m’intéresse à lui et aux prochaines années avec Ferrari.” a expliqué Webber à Channel 4.

“Pour l’instant, c’est une période de lune de miel, mais nous pourrions être assis ici dans les prochains 24 mois, trois ans peut-être, en nous disant que Leclerc pourrait être fatigué de Ferrari.”

“C’est une grande entreprise que de piloter pour Ferrari et il pourrait être le prochain à être sous les projecteurs.”

Sebastian Vettel quittera l’équipe Ferrari à la fin de cette saison 2020 après six années passées à Maranello et sans jamais avoir réussi à décrocher un titre avec l’équipe italienne.

En 2021, le quadruple champion du monde fera équipe avec le Canadien Lance Stroll chez Aston Martin.

Hamilton s’apprête à égaler le nombre de victoires de Schumacher en F1

Lorsque Michael Schumacher a pris sa retraite de la Formule 1 avec 91 victoires à son actif, nombreux sont ceux qui, naturellement, ont prédit que son record ne serait jamais dépassé.

Mais après que Lewis Hamilton ait remporté sa 90e victoire au Mugello le week-end dernier, le pilote Mercedes a admis qu’il était “surréaliste” d’être en mesure d’égaler le bilan du septuple champion du monde de F1 lors de sa prochaine victoire.

“Cela ne semble tout simplement pas réel. De toute évidence, c’est un privilège d’être en mesure d’avoir une équipe et une voiture aussi formidables pour pouvoir performer le week-end.” a déclaré Lewis Hamilton.

“Mais je me sens toujours reconnaissant envers les gens qui continuent à travailler dur; Je ne suis qu’un maillon de la chaîne.”

“Remporter les victoires n’est pas facile lorsque vous avez un excellent pilote comme Valtteri [Bottas] qui vous pousse à la limite, week-end après week-end. Mais je n’ai jamais pensé que j’en serais là, c’est sûr.”

La victoire de Hamilton au Grand Prix de Toscane l’a rapproché d’un autre record de Schumacher, le Britannique étant prêt à remporter son septième titre en F1 s’il remportait le championnat cette année.

Avec désormais 55 points d’avance sur son coéquipier Bottas après le Mugello et avec huit courses encore à disputer avant la fin de la saison 2020, le Britannique est en passe de réussir cet exploit.

Mick Schumacher : “un moment très spécial” au volant de la Ferrari F2004

Séquence émotion dimanche dernier au Grand Prix de Toscane lorsque Mick Schumacher, le fils du septuple champion du monde de F1, a pris la piste au volant de la Ferrari F2004 pilotée par son père.

Le jeune Mick a réalisé une démonstration avec la F2004 dans le cadre des célébrations organisées par Ferrari, qui fêtait le week-end dernier son 1000e Grand Prix en Formule 1.

Après sa séance de roulage, le jeune pilote allemand ne pouvait pas cacher son émotion d’avoir pris la piste au volant d’une des monoplaces les plus efficaces de l’histoire de la F1.

C’est la seconde fois que Mick Schumacher prend les commandes de la F2004, après un premier roulage l’an dernier sur le circuit d’Hockenheim en Allemagne.

“De toute évidence, piloter la Ferrari F2004 dimanche a été un moment très spécial pour moi.” a déclaré Mick Schumacher.

“C’est une super voiture et à mon avis l’une des meilleures de l’histoire de la F1. Et la piloter sur une piste comme le Mugello où la F2004 avait fait tant de tours auparavant a rendu ce moment encore plus spécial pour moi.”

“C’était simplement extraordinaire. Le son, l’appui, la direction – c’était juste incroyable. C’était vraiment spécial pour toutes les personnes impliquées, je pense aussi aux mécaniciens qui ont travaillé avec mon père sur cette voiture il y a 16 ans.”

“C’était un grand moment pour moi et je suis très reconnaissant d’avoir eu cette opportunité offerte par Ferrari.”

Renault F1 en test à Budapest avec Guanyu Zhou

L’équipe Renault F1 réalise un test privé sur le circuit du Hungaroring de Budapest cette semaine avec le pilote de Formule 2 issu de l’académie Renault, le Chinois Guanyu Zhou.

Ce mercredi et ce jeudi, l’équipe du constructeur français est présente sur le tracé du Grand Prix de Hongrie à Budapest pour un essai privé avec une monoplace de la saison 2018, la RS18.

C’est le Chinois Guanyu Zhou qui est aux commandes de la RS18 durant ces deux jours et il a déjà pu boucler environ 450 kilomètres ce mercredi et 520 kilomètres ce jeudi.

Le tout jeune pilote chinois, âgé de 20 ans, a été annoncé comme pilote essayeur de l’équipe Renault pour la saison 2020 de Formule 1 en début d’année et a la lourde tâche d’épauler les deux pilotes titulaires Esteban Ocon et Daniel Ricciardo dans le développement de la RS20.

Ce n’est pas la première fois que Zhou roule en essais privés pour Renault, puisque ses premiers contacts avec une monoplace de F1 ont eu lieu l’an dernier lors de deux journées de tests privés organisées par Renault sur le Paul Ricard et le Red Bull Ring en Autriche avec une RS17 de la saison 2017.

Zhou occupe actuellement la huitième place du championnat de Formule 2 avec 108 points inscrits depuis le début de la campagne 2020.

Ferrari disposera d’un nouveau simulateur en 2022

La saison 2020 de la Scuderia Ferrari est une véritable catastrophe pour l’équipe italienne qui ne s’attendait pas à être aussi loin de la concurrence en terme de performance avec une sixième place au championnat après neuf courses.

Si le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, ne s’attend pas à une amélioration rapide de la situation, tous les regards sont tournés vers la saison 2022 qui verra la Formule 1 se renouveler profondément d’un point de vue technique.

A ce titre, l’équipe italienne a annoncé qu’elle utilisera un nouveau simulateur à Maranello pour la conception de la future monoplace et qui répondra aux exigences du nouveau règlement.

Mattia Binotto, le Directeur de l’équipe Ferrari, précise au Corrierre della Sera que l’équipe va faire un investissement financier de la plus haute importance  : “C’est un investissement important et coûteux, on parle de plusieurs millions d’euros dépensés en matériel mais surtout pour des logiciels sur mesure.”

L’ingénieur britannique Rory Byrne, qui avait été un des piliers de l’équipe lors de la victorieuse ère avec Michael Schumacher, travaillera sur cette nouvelle monoplace.

“Quand vous commencez avec une feuille vierge, vous avez besoin de personnes expérimentées pour vous aider à tracer les lignes.” a notamment commenté Binotto.

En 2022, les monoplaces de Formule 1 vont subir de profondes modifications aérodynamiques et devront notamment profiter de l’effet de sol afin de réduire la perte d’appui que subissent les voitures actuelles lorsqu’elles roulent dans le sillage d’une autre voiture.

En roulant dans l’air sale derrière une autre voiture, une machine 2020 peut perdre plus de 40 % de ses appuis.

Mais avec la conception de la voiture 2022, elle chuterait à environ 5-10 %, le flux d’air provenant des nouvelles voitures étant à la fois plus propre et mieux orienté, ce qui signifie qu’il a beaucoup moins d’impact sur les voitures qui suivent, ce qui leur donnera la possibilité non seulement de les suivre, mais aussi de les dépasser.

Albon ne se sent pas menacé après la victoire de Gasly à Monza

Alex Albon a signé son premier podium le week-end dernier lors du Grand Prix de Toscane sur la piste du Mugello, juste derrière les deux Mercedes de Lewis Hamilton et Valtteri Bottas.

Cette troisième place a mis fin à une longue attente pour le pilote thaïlandais qui avait manqué à plusieurs reprises de terminer parmi les trois premiers.

Mais malgré ces contretemps, le pilote Red Bull n’a jamais douté de lui : “C’est vraiment très simplement une question de développement personnel, de bien travailler avec l’équipe, de se concentrer sur les petites choses, et de ne pas regarder autour de soi.” a-t-il confié à ESPN.

“Je sens vraiment que je m’améliore en tant que pilote, non seulement sur le circuit mais aussi en dehors de la piste.”

La récente victoire de Pierre Gasly à Monza au volant de son AlphaTauri et les rumeurs d’un retour du pilote français chez Red Bull pourraient déstabiliser Albon.

Mais ce dernier affirme qu’il a la force de caractère suffisante pour ne pas s’inquiéter de tout cela : “Sa victoire ne fait aucune différence.” affirme-t-il.

“C’est agréable de voir les autres pilotes bien faire mais je ne dirais pas que cela me motive davantage, car je suis un gars assez motivé comme ça.”

D’autant plus que le pilote Red Bull s’attend à une fin de saison encore meilleure si son équipe arrive à maximiser les opportunités qui s’offrent à elle : “De ce que je peux voir, les choses n’ont pas vraiment été favorables pour nous jusqu’à présent.”

“Je pense que nos résultats n’ont pas été très représentatifs de ce que nous pouvons faire. C’est dans ce sens qu’il faut continuer et il nous reste encore une demi-saison pour faire du bon travail.”

La crainte d’une crevaison a dicté la stratégie de Mercedes au Mugello

Le doublé Mercedes au Mugello, lors du Grand Prix de Toscane, ne s’est pas fait sans mal pour l’équipe et ses pilotes.

Si Valtteri Bottas avait la main mise sur la course avant la deuxième interruption, il s’est rapidement fait doubler lors du second départ par Lewis Hamilton qui a profité de l’aspiration derrière le Finlandais pour prendre la tête.

Suite à cette manœuvre, et voyant qu’il n’arriverait pas à le doubler à la régulière, Bottas a clairement demandé à son équipe de lui mettre un train de pneus différent de celui d’Hamilton lors de son prochain arrêt.

Malgré tout, au 31ème tour, le Finlandais entre à son stand pour chausser des gommes dures…imité une boucle plus tard par Hamilton.

Les stratèges de Mercedes se défendent néanmoins d’avoir fait fi des volontés de Bottas. En effet, l’équipe redoutait surtout d’avoir à faire face à nouveau à des crevaisons similaires à celles subies au Grand Prix de Grande Bretagne.

“Nous nous attendions à nous arrêter encore une fois avant la fin de la course.” précise James Vowles, le Chef de la stratégie chez Mercedes, dans un vidéo postée par l’équipe.

“Nous avons commencé à remarquer vers le tour 29 et le tour 30 une vibration sur les pneus avant de Valtteri qui devenait de plus en plus importante.”

“Cela rappelait ce que nous avons vu à Silverstone, donc cette fois, nous voulions éviter tout incident.”

“En conséquence, au lieu de faire rentrer Lewis en premier, parce qu’il avait la priorité, nous avons appelé Valtteri et nous avons examiné quel serait le meilleur composé de gomme pour s’adapter aux circonstances.”

“Étant donné que la dégradation moyenne était plus élevée que prévu, et étant donné que ce relais était légèrement plus court que ce que nous voulions faire et que nous étions en tête de la course, nous avons opté pour le pneu dur.”

Volwes et Mercedes assurent qu’ils étaient pourtant d’accord pour permettre à Bottas de décaler sa stratégie pneumatiques par rapport à celle d’Hamilton. Mais les circonstances de course en ont décidé autrement.

“Ce que nous voulions faire, c’est d’abord d’arrêter Lewis qui, je le répète, avait la priorité, et quel que soit le pneu choisi, nous étions plus qu’heureux de faire quelque chose de différent avec Valtteri.”

“Mais ce n’était pas un arrêt planifié, c’était nous qui réagissions à un problème et, en conséquence, nous sommes allés du côté de la sécurité.”

Une décision qui a été validée par Toto Wolff lui même, comme il l’a précisé après la course : “Nous en avons discuté. Valtteri voulait avoir une option stratégique différente de Lewis au niveau des pneus.”

“Mais ensuite,tout a basculé avec ces problèmes de pneus. Je ne me souviens même pas dans quel tour c’est arrivé mais tout était différent par la suite.” conclut l’Autrichien.

Le T-shirt porté par Hamilton en Toscane fait polémique

La FIA cherche à savoir si Lewis Hamilton a enfreint les règles en portant un t-shirt lors du Grand Prix de Toscane sur lequel un message inscrit a voulu mettre en évidence la brutalité policière.

Lewis Hamilton, qui a remporté la pole position et la victoire au Mugello le week-end dernier dans le cadre du Grand Prix de Toscane, portait un T-shirt avant et après la course, sur lequel on pouvait lire à l’avant: “Arrêtez les flics qui ont tué Breonna Taylor.”

Sur l’arrière du T-shirt, il y avait une photo de son visage et l’inscription: “Dites son nom.”

Breonna Taylor était une femme noire américaine, qui plus tôt cette année a été abattue à son domicile par la police, qui venait effectuer une perquisition dans le cadre d’un enquête de stupéfiant, mais dans laquelle elle n’était pas mêlée.

Son petit ami, Kenneth Walker, a tiré sur la police, pensant à une intrusion et les policiers ont riposté. Breonna Taylor a alors été touchée par huit balles et est décédée des suites de ses blessures.

Les agents, munis d’un mandat de perquisition, agissaient dans le cadre d’un avis de recherche erroné concernant un suspect recherché qui n’habitait finalement plus dans l’immeuble et qui était déjà détenu.

Bien que la FIA et la F1 soutiennent la lutte contre le racisme et les discriminations depuis le début de cette saison 2020, notamment en permettant aux pilotes et membres d’équipe de porter un T-shirt “End Racism” avant chaque hymne national lors des week-ends de course, le fait que Lewis Hamilton ait décider d’apposer un message qui peut être considéré comme politique sur son T-shirt  a semé le trouble.

En effet, les statuts de la FIA stipulent que l’instance dirigeante se doit d’être totalement neutre dans tout ce qu’elle entreprend.

“La FIA s’abstiendra de manifester une discrimination fondée sur la race, la couleur de la peau, le sexe, l’orientation sexuelle, l’origine ethnique ou sociale, la langue, la religion, l’opinion philosophique ou politique, la situation familiale ou le handicap dans le cadre de ses activités et de prendre des mesures à cet égard.” peut-on lire dans les documents officiels de la FIA.

Il y a également une référence dans le Code Sportif International qui stipule que les équipes ne peuvent pas utiliser de message «politique» sur leurs voitures, mais il n’y a aucune mention spécifique pour les pilotes.

“Les concurrents participant à des compétitions Internationales ne sont pas autorisés à apposer sur leur Automobile une publicité de nature politique ou religieuse ou préjudiciable aux intérêts de la FIA.”

L’équipe Mercedes de son côté a indiqué sur ses réseaux sociaux que le message affiché le week-end dernier par Lewis Hamilton en Toscane n’avait rien de politique, mais relevait plutôt de la question des droits de l’homme.

“Nous n’introduisons pas la politique en F1, ce sont des questions de droits de l’homme que nous essayons de mettre en évidence et de sensibiliser. Il y a une grande différence.”

Cette question devrait être discutée lors du briefing des pilotes avec la FIA au cours du prochain week-end de course au Grand Prix de Russie fin septembre.

La question désormais est de savoir si un pilote de Formule 1 doit uniquement se contenter de faire ce pour quoi il est payé [piloter et représenter son équipe] ou bien si de par son statut un pilote peut ou doit porter un message qui peut être considéré comme politique.

Le débat est ouvert, vous avez quatre heures…

GP de Toscane : A quelle heure est programmée la séance de qualifications ?

Ce samedi 12 septembre, les pilotes de F1 prendront la piste pour la toute dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane [EL3], avant de participer à la séance de qualifications qui déterminera la grille de départ de dimanche.

La troisième séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane est programmée à 12h00 (heure de Paris), tandis que la séance de qualifications aura lieu à 15h00 (heure de Paris).

Ce vendredi au Mugello, le pilote Mercedes Valtteri Bottas a signé le meilleur temps des EL1 en matinée, tandis que dans l’après-midi, c’est encore lui qui a décroché le meilleur temps des EL2, devançant son coéquipier Lewis Hamilton et la Red Bull de Max Verstappen.

Ce dimanche 13 septembre, le départ du Grand Prix de Toscane sera donné à 15h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.

Problème électrique sur la Ferrari de Sebastian Vettel ce vendredi

C’est un problème électrique qui a forcé Sebastian Vettel à immobiliser sa Ferrari sur le bord de la piste à la fin de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane ce vendredi.

Auteur du douzième temps ce vendredi au Mugello, l’Allemand Sebastian Vettel a été victime d’une panne dans son tour de rentrée des stands, alors que la séance était déjà terminée depuis quelques minutes.

Ce vendredi soir, la Scuderia Ferrari nous confirme que le problème qui a touché la SF1000 de Vettel était d’ordre électrique et qu’il a déjà été résolu.

“Lors du dernier tour de la séance, la voiture de Sebastian s’est immobilisée le long de la piste à cause d’un problème électrique qui a déjà été résolu.” confirme Ferrari.

De son côté, Vettel estime avoir passé une journée “intéressante”, mais le quadruple champion du monde sait qu’il reste encore du potentiel avant les qualifications de samedi.

“C’était une journée intéressante. Le Mugello est vraiment une piste splendide, sur laquelle il est formidable pour nous pilotes de rouler même si c’est très strict avec les pneus.” nous explique Vettel.

“Je ne suis toujours pas satisfait de l’équilibre de la voiture mais je dirais que nous y travaillons et qu’il reste encore beaucoup à faire.”

“Après tout, ce n’est que le vendredi et les vendredis sont réservés aux essais. Je suis convaincu qu’il existe un potentiel pour trouver une configuration qui me satisfait davantage. Je pense que nous pourrons améliorer la voiture en vue des qualifications.”

Classement des EL2 au Mugello

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Charles Leclerc a reçu une boîte de vitesses neuve au GP de Toscane

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a débuté son week-end au Grand Prix de Toscane avec une boîte de vitesses neuve montée sur sa monoplace.

Le Monégasque n’écopera d’aucune pénalité sur la grille de départ du GP de Toscane pour ce changement, puisqu’il n’a pas terminé la dernière course disputée à Monza la semaine dernière.

Au Grand Prix d’Italie, Charles Leclerc a été victime d’une violente sortie de piste dans la Parabolica [dernier virage du circuit] et avait dû abandonner.

Lewis Hamilton a pris beaucoup de plaisir ce vendredi sur le tracé du Mugello

Auteur du second temps lors des EL2 ce vendredi après-midi au Mugello, Lewis Hamilton a pris beaucoup de plaisir au volant de sa Mercedes sur ce tout nouveau tracé que visite la F1 pour la première fois dans le cadre du championnat.

Intense, rapide, stimulante, Lewis Hamilton manque de qualificatifs pour dire ce qu’il a ressenti aujourd’hui au volant de sa monoplace sur l’une des pistes les plus exigeantes physiquement.

“Je dois dire que cette piste est assez intense – si rapide et stimulante, c’est incroyable à vivre.” a déclaré Hamilton après la première journée d’essais.

“J’aime cela! Il n’y a pas de temps pour jouer ici et c’est l’un des plus exigeants physiquement sur lequel j’ai piloté depuis un moment.”

“J’ai essayé de le pousser à la limite aujourd’hui, mais je pense qu’il y a quelques sections où je peux m’améliorer.”

“J’ai le dernier secteur, mais il y a certainement plus à venir dans les premier et deuxième secteurs car Valtteri et Max ont été très rapides là-bas.”

“Donc, nous avons quelques changements à faire et à étudier ce soir. J’espère que nous nous améliorerons pour demain.”

“Les pneus ont plutôt bien fonctionné, mais je pense qu’il sera difficile de les préserver dans ces sections rapides, en particulier les 6, 7, 8 et 9.”

Classement des EL2 au Mugello

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Norris a commis l’une de ses “premières erreurs coûteuses” en F1 au Mugello

Lando Norris a mis un terme prématuré à son première journée d’essais au Mugello en envoyant sa McLaren dans le mur lors des EL2 ce vendredi après-midi.

Le Britannique va bien mais sa journée de travail a été stoppée prématurément, alors que le circuit du Mugello est une toute nouvelle piste que les pilotes doivent encore “apprendre”.

Après son erreur, Lando Norris explique qu’il s’agissait de sa première erreur coûteuse depuis le début de sa carrière en F1.

“Journée difficile. De toute évidence, je n’y ai pas mis fin de la meilleure façon – j’ai un peu trop poussé.” nous explique Lando Norris après sa première journée d’essais sur le Mugello.

“C’est l’une des premières véritables erreurs coûteuses que j’ai commises depuis mes débuts en F1.”

“C’était bien pire quand j’étais dans la voiture que ce à quoi cela ressemblait, donc je pense qu’il y a des dommages – un peu à la direction et peut-être à l’arrière – mais rien de grave, heureusement.”

“C’est un peu frustrant, mais en même temps, cela arrive – cela arrive à tout le monde. Ce n’est pas idéal mais tout allait assez bien jusque-là.”

“Nous avons apporté quelques améliorations entre les EL1 et les EL2, mais nous avons beaucoup de travail à faire.”

“Cela n’a pas été aussi simple que nous l’espérions, et nous luttons un peu plus que ce à quoi nous nous attendions pour le week-end.”

“C’est un début difficile, mais je suis convaincu que nous pourrons nous rattraper demain.”

Classement des EL2 au Mugello

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