LIVE TEXTE F1 : suivez les EL1 du Grand Prix du Qatar 2024 en direct (live terminé)

Bienvenue sur ce live pour suivre en direct les Essais Libres 1 du Grand Prix du Qatar, 23e manche du championnat du monde 2024 de Formule 1.

Nous vous rappelons que toutes les séances de chaque week-end de Grand Prix de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr, à savoir Essais Libres 1, 2 et 3, Qualifications Sprint, course Sprint, Qualifications et Grand Prix. 

LIVE TEXTE F1 : suivez les EL1 du Grand Prix du Qatar 2024 en direct

Vous pouvez suivre les Essais Libres 1 du Grand Prix du Qatar 2024 en direct via le flux ci-dessous ou bien via notre Live Center.

 

Hamilton ne voulait pas faire les tests d’après-saison au volant de la Ferrari

Lewis Hamilton a avoué qu’il souhaitait faire son premier roulage avec Ferrari en 2025, “sans être vu”.

Alors que Lewis Hamilton va rejoindre Ferrari en 2025, nous aurions pu imaginer le voir dans la SF-24 dès les tests d’après-saison à Abu Dhabi. Toutefois, cela n’arrivera pas. “Nous organisons des adieux à Lewis. Nous avons prévu de nombreuses activités”, indiquait ainsi Toto Wolff en conférence de presse à Las Vegas.

De toute façon, Lewis Hamilton lui-même ne voulait pas participer à ce test d’après-saison à Abu Dhabi, contrairement à Frédéric Vasseur qui aurait aimé le voir débuter dès cette fin d’année.

“Je sais que Fred voulait que cela se produise”, a affirmé Hamilton. “En ce qui me concerne, j’étais partagé. Piloter la voiture rouge pour la première fois à Abu Dhabi ne m’excite pas. Dans un monde parfait, ce serait de la piloter sans être vu et de faire le premier roulage l’année prochaine.”

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Hamilton : “J’ai dit à Fred que ce n’était pas ce que je voulais faire”

“Quand j’en ai parlé, évidemment avec Toto, ils avaient tous ces plans pour que j’aille voir certains des sponsors et qu’ils me disent au revoir. Je ne pense donc pas que cela aurait pu être autorisé, même si j’avais demandé à le faire. Mais comme je suis sous contrat avec l’équipe jusqu’au 31 décembre, c’est tout à fait normal.”

“Mais cela ne me dérange pas, encore une fois, parce que je n’avais pas l’intention de faire le test. Ce n’est pas ce que je voulais faire. J’ai dit à Fred que ce n’était pas ce que je voulais faire.” 

“Est-ce que je passe à côté de quelque chose ? Bien sûr”, poursuit Hamilton. “Cela retarde définitivement le processus et rend le début de l’année plus difficile, mais nous ferons de notre mieux pour récupérer le temps perdu.”

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GP F1 du Qatar : À quelle heure sont programmées les Qualifications Sprint ce vendredi ?

Ce vendredi, les pilotes de F1 seront en piste à Losail pour disputer la seule et unique séance d’Essais Libres du Grand Prix du Qatar, avant de participer ensuite aux Qualifications Sprint qui déterminent la grille de départ de la course Sprint de samedi.

Ce vendredi 29 novembre, la seule séance d’Essais Libres du week-end au Qatar (EL1) est programmée à 14h30 (heure française). La séance de Qualifications Sprint est quant à elle programmée à 18h30 (heure française). 

Ce samedi 30 novembre, le départ de la course Sprint est prévu à 15h00 (heure française), tandis que la séance de Qualifications qui détermine la grille de départ du Grand Prix du Qatar est programmée à 19h00 (heure française).

Enfin, le départ du Grand Prix F1 du Qatar 2024 sera donné le dimanche 1er décembre à 17h00 (heure française) où les pilotes s’élanceront pour 57 tours de course sur le tracé de 5,4 km.

Nous vous rappelons que toutes les séances de chaque week-end de Grand Prix de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr, à savoir Essais Libres 1, 2 et 3, Qualifications Sprint, course Sprint, Qualifications et Grand Prix. 

Rendez-vous donc ce vendredi 29 novembre à 14h30 puis à 18h30 pour suivre en direct les EL1 puis les Qualifications Sprint du Grand Prix du Qatar sur notre Live Center accessible ici.

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Combien valent les écuries de F1 en 2024 ?

Selon une étude réalisée par Sportico, la valorisation de chacune des 10 équipes de Formule 1 dépasse désormais le milliard de dollars en 2024.

Sans surprise Ferrari arrive en tête du classement, suivie par Mercedes et Red Bull. Cette augmentation reflète l’essor de la discipline depuis son acquisition par Liberty Media en 2017. À noter qu’en 2023, seules six écuries dépassaient la barre symbolique du milliard de dollars.

Selon Sportico, l’écurie qui a la plus faible valorisation en 2024 est Haas (1,02 milliard), non loin de Sauber (1,2 milliard).

Cet essor vient du fait que les équipes de Formule 1 bénéficient de partenariats et sponsors, avec des contrats allant de 1 à plus de 60 millions de dollars annuels, notamment pour des parrainages majeurs comme Oracle pour Red Bull ou Petronas pour Mercedes. Ces revenus de sponsoring ont connu une croissance spectaculaire grâce à l’essor de la F1, Aston Martin enregistrant par exemple une augmentation de 1 000 % depuis l’achat de l’équipe par Lawrence Stroll en 2018.

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La Formule 1 génère ses revenus principalement via les droits de promotion des courses, les droits médiatiques, les partenariats commerciaux et des services annexes. Une partie de ces recettes (38 % en 2023) est redistribuée aux équipes selon l’accord de la Concorde, signé en 2020 pour la période 2021-2025. Cet accord établit une répartition basée sur les performances des équipes au classement des constructeurs et inclut des bonus pour les équipes ayant récemment remporté des titres ou ayant une histoire importante, comme Ferrari.

En 2023, les équipes se sont partagé 1,22 milliard de dollars, contre 1,16 milliard en 2022, reflétant une hausse des revenus globaux de la F1. Ces chiffres témoignent d’une discipline en pleine expansion financière et commerciale, notamment grâce à la série Netflix “Drive To Survive”.

Valorisation des écuries de F1 en 2024

Classement Écurie Valorisation Revenus 2023
1 Ferrari 4,78 milliards de dollars 619 millions de dollars
2 Mercedes 3,94 milliards de dollars 680 millions de dollars
3 Red Bull 3,5 milliards de dollars 555 millions de dollars
4 McLaren 2,65 milliards de dollars 536 millions de dollars
5 Aston Martin 2,07 milliards de dollars 304 millions de dollars
6 Alpine 1,5 milliard de dollar 311 millions de dollars
7 Williams 1,24 milliard de dollars 158 millions de dollars
8 RB 1,22 milliard de dollars 226 millions de dollars
9 Sauber 1,2 milliard de dollars 189 millions de dollars
10 Haas 1,02 milliard de dollars 184 millions de dollars

Mick Schumacher pilote General Motors-Cadillac en 2026 ?

Ralf Schumacher n’a pas exclu un possible retour de son neveu, Mick Schumacher en F1, avec l’équipe Cadillac-General Motors à l’horizon 2026.

Cette déclaration intervient après que la candidature de Cadillac-GM a été provisoirement acceptée, permettant d’ajouter une 11e équipe et portant ainsi la grille à 22 pilotes. Elle intervient également après que l’allemand a annoncé son départ de chez Mercedes. Par ailleurs, Valtteri Bottas a exprimé son intérêt pour le projet américain, lui qui lorgne aussi sur le poste de pilote de réserve laissé vacant par Mick Schumacher.

Ralf Schumacher est certain que GM “s’appuiera sur le talent américain”, avec un “pilote connu” pour compléter l’équipe.

“Je suis presque sûr qu’ils s’appuieront sur le talent américain”, a-t-il déclaré à Sky Germany. “D’un autre côté, il est juste de dire que le niveau de l’IndyCar n’est pas celui de la Formule 1. Nous l’avons constaté lors de nombreux essais.”

“Mais cela ne veut pas dire qu’il y a un super talent qui se cache là et que personne n’a encore trouvé.”

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Deux nouvelles places en 2026

Interrogé sur la possibilité que Mick Schumacher soit candidat pour un siège en F1 chez Cadillac, l’ancien pilote Williams n’a pas écarté l’idée d’une opportunité pour son neveu.

“Je suppose qu’ils prendront un nom connu pour leur donner un point de départ”, a-t-il ajouté. “Vous partez de zéro avec tout et cela va être très difficile. C’est pourquoi vous devez avoir quelqu’un dont vous savez qu’il peut le faire et sur qui vous pouvez compter.”

“Bien sûr, cela prendra du temps, mais General Motors est une énorme entreprise et tout ce qu’elle entreprendra fonctionnera au bout du compte.”

“Ensuite, nous aurons 11 équipes et je m’en réjouis, car il y en aura une autre et, surtout, deux places pour les nouveaux et jeunes pilotes. Nous savons à quel point c’est difficile avec 20 voitures, maintenant nous avons dix pour cent de plus à notre disposition”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Tsunoda ne comprend pas pourquoi Red Bull ne pense pas à lui pour remplacer Pérez

Yuki Tsunoda ne comprend pas pourquoi son nom n’est pas cité quand on parle du second baquet Red Bull, pour l’instant détenu par Sergio Pérez.

On ne vous apprend rien en disant que la saison de Sergio Pérez chez Red Bull est compliquée. De fait, son volant au sein de l’écurie autrichienne est plus que compromis. De nombreux noms de pilotes ont été cités pour remplacer le pilote mexicain, comme Franco Colapinto ou Liam Lawson.

Pilote du giron Red Bull depuis de nombreuses années et engagé en F1 depuis le début de la saison 2021, Yuki Tsunoda s’étonne de ne jamais voir son nom apparaitre dans l’optique d’un éventuel remplacement de Sergio Pérez.

Interrogé par les médias présents au Qatar, Yuki Tsunoda a déclaré qu’il considérait comme “naturel” d’être le prochain candidat à une promotion chez Red Bull. Cependant, il a également souligné que la “dynamique” au sein de l’équipe avait évolué depuis le décès de Dietrich Mateschitz, cofondateur de Red Bull.

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“Historiquement, il est assez naturel que le pilote, par exemple, dans notre équipe, dont l’un des pilotes surpasse l’autre, comme cela a été le cas ces dernières années, soit promu”, a-t-il déclaré

“C’est une chose naturelle, je suppose. Je ne sais pas, peut-être que quelque chose a changé. La dynamique a changé peut-être après que Red Bull elle-même a changé, après… ouais, M. Mateschitz est décédé, je ne sais pas.”

“Je veux dire que c’est toujours l’un des pilotes qui va conduire le championnat, le champion. L’équipe qui a connu le succès depuis longtemps. Ce qu’ils font n’est pas une mauvaise chose, mais ce n’est pas, ce n’est pas vraiment logique pour moi que je n’aie pas été dans le coup jusqu’à présent.”

“Je ne sais pas grand-chose, du moins je ne vois pas pourquoi ils ne parlent pas de moi jusqu’à présent. Mais voyons voir”, a conclu le pilote RB.

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Lewis Hamilton en mode Top Gun pour un sponsor

Lewis Hamilton, pilote pour Mercedes en Formule 1, a récemment vécu une expérience unique d’entraînement au vol spatial au Texas, organisée par son partenaire IWC Schaffhausen.

Lors de cette journée, le septuple Champion du monde a eu la chance de piloter un avion à réaction T-38, utilisé pour l’entraînement des astronautes, et a été placé dans des conditions extrêmes, notamment des forces atteignant 7,5 G. Cet entraînement s’inscrivait dans le cadre des programmes Inspiration4 et Polaris Dawn, dédiés aux vols spatiaux commerciaux. Lewis Hamilton ce week-end portera une combinaison spéciale lors du Grand Prix du Qatar.

Comparant ce vol à la F1, Lewis Hamilton a déclaré : “C’est très différent de la F1, le sang ne quitte jamais votre tête.

“Lorsque vous tournez avec l’avion, vous sentez le sang quitter votre corps, votre poitrine devient lourde et vous avez du mal à respirer”, a conclu le pilote Mercedes.

Pour ceux qui auraient loupé la nouvelle … Lewis Hamilton quittera Mercedes à la fin de 2024 pour rejoindre Ferrari en 2025, mettant fin à son partenariat de longue date avec l’écurie allemande et, indirectement, à celui avec IWC Schaffhausen.

Lewis Hamilton sera associé la saison prochaine à Charles Leclerc. Anecdote plutôt étonnante, le pilote monégasque de la Scuderia Ferrari a lui aussi récemment pris les commandes d’un avion de chasse, le Rafale de l’armée de l’air et de l’espace. Une expérience filmée par les caméras de Canal Plus.

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Vidéo – Revivez la Course Sprint du Grand Prix du Qatar 2023

La course sprint du Grand Prix de Formule 1 du Qatar 2023, disputée sur le circuit de Lusail, a été marqué par la victoire d’Oscar Piastri (McLaren), qui a décroché son premier succès dans cette formule de course. Après un départ depuis la première ligne, il a dominé la course grâce à une excellente gestion des pneus.

Max Verstappen, avec une deuxième place à l’arrivée, a assuré son troisième titre de champion du monde de F1. Le Néerlandais, constant et méthodique, n’avait besoin que de quelques points pour décrocher son troisième titre mondial avant la course principale du dimanche.

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Lando Norris, coéquipier d’Oscar Piastri chez McLaren, a complété le podium après un départ difficile. La stratégie de McLaren et la compétitivité de leurs voitures ont été les points forts de cette course. Ferrari et Mercedes ont également fait le spectacle, notamment Charles Leclerc et George Russell.

La course a également été marquée par l’accrochage, Sergio Pérez, Esteban Ocon et Nico Hülkenberg.

Mick Schumacher quittera Mercedes F1 à l’issue de la saison 2024

Mick Schumacher a choisi de quitter, à l’issue de la saison 2024 de F1, son rôle de pilote de réserve de l’écurie Mercedes.

Désormais engagé en WEC avec Alpine, Mick Schumacher a décidé de son propre chef de ne plus proposer des services de pilote de réserve de Mercedes en F1. Celui qui a roulé à plein temps en F1 avec Haas entre 2021 et 2022 n’avait pu trouver mieux qu’un poste de pilote de réserve et de développement chez Mercedes après son éviction de l’écurie américaine.

Durant deux saisons, le pilote allemand de 25 ans a aidé l’équipe en passant de nombreuses heures dans le simulateur de l’écurie allemande. En parallèle le fils du septuple Champion du monde espérait retrouver un volant de pilote titulaire, sans succès. Après avoir vu le baquet Alpine, Williams et Mercedes lui passer sous le nez, il semblerait que Mick Schumacher a définitivement abandonné tout espoir de retrouver une place sur la grille de la F1. Toutefois, il ne serait pas improbable de voir le nom du pilote allemand être lié à l’arrivée de Cadillac en F1 en 2026. Malgré cette déception, Mick Schumacher a toutefois tenu à remercier Mercedes et son directeur, Toto Wolff.

Je suis reconnaissant à Toto et à l’ensemble de l’équipe Mercedes-AMG PETRONAS F1 Team pour les connaissances que j’ai acquises au cours de ces deux années. Elles ont sans aucun doute fait de moi un pilote de course plus expérimenté, car j’ai appris à mieux connaître l’aspect technique. Mais il est difficile de regarder ces voitures courir sans être assis dans le cockpit. Je veux me concentrer à nouveau à 100 % sur la course. Je veux me consacrer pleinement à l’aspect sportif du sport automobile. En fin de compte, c’est la course que vous voulez faire en tant que pilote, c’est la course qui vous donne ce sentiment que vous aimez”, a conclu Mick Schumacher.

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Mercedes remercie Mick Schumacher

De son côté, Toto Wolff a reconnu “le travail acharné, la diligence et la détermination de Mick dans son rôle de pilote de réserve ont été essentiels pour l’équipe au cours des deux dernières années.

Qu’il s’agisse de son travail dans le simulateur, des essais de différentes voitures ou de sa participation à l’équipe en piste, nous n’aurions pas pu lui demander davantage. Dès le premier jour, il s’est facilement intégré à l’équipe et est devenu un collègue incroyablement apprécié de tous à Brackley et Brixworth.”

L’Autrichien reconnait cependant que Mick reste et demeure un pilote de course, qui doit donc rouler à plein temps pour une équipe.

Cependant, Mick est avant tout un pilote de course. Son passage en F1 et ses performances dans le Championnat du monde d’endurance cette année nous ont montré qu’il est un pilote de très haut niveau et qu’il mérite de participer aux meilleurs championnats. Alors qu’il s’apprête à relever un nouveau défi, je tiens à remercier Mick personnellement pour sa contribution à notre équipe et nous lui souhaitons tous le meilleur dans ses projets futurs”, a conclu Toto Wolff.

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Russell prévient Verstappen, “personne n’est imbattable”

George Russell est convaincu d’une chose, Max Verstappen n’est pas imbattable et la saison 2025 pourrait donc nous réserver des surprises.

Le week-end dernier à Las Vegas, Max Verstappen a remporté un quatrième titre mondial de suite en terminant la course à la cinquième place. Malgré les difficultés rencontrées cette saison, le pilote Red Bull est tout de même parvenu à remporter le championnat des pilotes, se montrant implacable face à son plus proche rival, Lando Norris.

George Russell, pilote Mercedes qui a remporté une belle victoire à Las Vegas, a insisté sur le fait que “personne n’est imbattable ”.

Vous passez par des phases où les équipes et les pilotes dominent et les gens pensent que si je suis à leurs côtés, je ne serai pas capable de rivaliser avec eux. Mais il faut croire en soi ”, a déclaré le Britannique.

Personnellement, lorsque j’ai fait équipe avec Lewis (Hamilton), je me suis dit que Lewis était le plus grand pilote de tous les temps. Et vous savez, Max est au même niveau que Lewis. Donc, oui, je crois absolument en moi, nous pourrions nous battre contre lui à armes égales”, a conclu le pilote de la firme allemande.

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Dans un monde où la compétition est féroce, il est essentiel de choisir un casino en ligne fiable pour s’assurer une expérience de jeu sécurisée.

Max Verstappen s’attend à encore plus de concurrence en 2025

De son côté, le tout nouveau quadruple Champion du monde de F1 ne se voit pas rejoindre si facilement que ça un certain Juan Manuel Fangio en 2025.

Après avoir réussi à conserver sa couronne pour la quatrième fois de suite, le Batave s’attend à une “grande bataille ” la saison prochaine.

“Je suis très fier de la façon dont tout le monde s’est serré les coudes dans ces courses très difficiles où nous avons perdu ”, a-t-il déclaré. “Nous avons beaucoup d’idées pour l’année prochaine. Il y a quelques éléments que nous ne pouvions plus changer cette année, donc c’est quelque chose pour l’année prochaine. J’espère que cela rendra la voiture plus facile à conduire et plus compétitive, car je sais que les autres ne resteront pas sans rien faire.”

“L’année prochaine sera une grande bataille”, a conclu Max Verstappen.

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Charles Leclerc serait “surpris” de reprendre des points à McLaren au Qatar

Charles Leclerc reconnait que ce week-end, à l’occasion du Grand Prix du Qatar, Ferrari aura du mal à reprendre des points à McLaren.

Le circuit de Losail accueille ce week-end l’avant-dernière manche du Championnat du monde de Formule 1. Si le titre des pilotes a déjà été attribué à Max Verstappen, tout est encore possible pour le titre des constructeurs. En effet, McLaren ne compte que 24 points d’avance sur Ferrari et 53 sur Red Bull. Si l’on compte la course sprint et les deux Grands Prix à disputer avant la fin de la saison, il y a encore 97 points au maximum à remporter.

La Scuderia Ferrari semble être l’écurie la plus en forme en cette fin de saison 2024 et elle pourrait bien remporter un titre qu’elle attend désespérément depuis 16 années. Toutefois, Charles Leclerc n’est pas très optimiste à l’approche du Grand Prix du Qatar.

La bataille va durer jusqu’à la fin ”, a déclaré le pilote monégasque. “Je pense qu’ils seront très forts au Qatar. Nous devons faire un bon week-end.

La nature même du circuit est, selon Charles Leclerc, plus profitable à la McLaren qu’a la Ferrari.

“Je serais très surpris si nous récupérions des points sur eux, mais nous devons le faire, donc nous ferons de notre mieux. Mais je m’attends à ce que ce soit délicat ”.

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Carlos Sainz est également sceptique

Le coéquipier de Charles Leclerc, Carlos Sainz, partage le même point de vue et pense même que les rouges risquent de passer à la troisième place ce week-end.

Au Qatar, le maximum pourrait être une P5 ou une P6 parce qu’avec cette voiture sur un circuit comme le Qatar, je m’attends à avoir du mal et je m’attends à ce que McLaren et Mercedes soient très fortes ”, a-t-il déclaré.

Je m’attends à ce que McLaren et Mercedes soient très fortes. Probablement même Red Bull, étant donné qu’ils ont été forts en qualifications à Austin. Je pense que ce sera un week-end très difficile pour nous”, a conclu le pilote espagnol.

La saison passée, Charles Leclerc avait terminé la course en cinquième position alors que son coéquipier avait abandonné sur une fuite d’essence.

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En parlant de défis et de compétitions, il est intéressant de voir comment les stratégies évoluent, que ce soit sur les circuits de Formule 1 ou dans le monde du jeu en ligne. À l’image de Ferrari cherchant à reprendre des points à McLaren, les joueurs cherchent souvent le meilleur casino en ligne france pour maximiser leurs chances de gagner. Le choix du bon site peut être aussi stratégique que celui des pilotes qui choisissent les bons moments pour dépasser leurs concurrents.

Toto Wolff : “Le tracé du Qatar devrait être plus favorable” à la Mercedes 

Alors que Mercedes a signé un doublé à Las Vegas, Toto Wolff, directeur de l’écurie, indique que le circuit du Qatar devrait mieux convenir “aux points forts” de la W15.

En difficulté ces dernières semaines, Mercedes a réalisé un incroyable week-end à Las Vegas, concluant le Grand Prix avec un doublé emmené par George Russell devant Lewis Hamilton, le tout avec un rythme affiché réellement impressionnant.

Même si Toto Wolff pointe les grandes différences entre les Grands Prix de Las Vegas et du Qatar et le fait que la concurrence sera plus forte à Losail, il reste toutefois optimiste pour le week-end à venir, puisque le circuit qatarien pourrait très bien convenir aux Flèches d’Argent.

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“Les courses de Las Vegas et du Qatar ne pourraient pas être plus différentes”, a tout d’abord indiqué Toto Wolff dans le communiqué de Mercedes de présentation du GP du Qatar. “Le circuit international de Losail comporte de nombreuses sections à grande vitesse et peu, voire pas du tout, de grandes zones de freinage. Bien que la course ait lieu plus tard dans le calendrier que l’année dernière, il fera encore très chaud. Cela contraste avec les conditions fraîches et les nombreuses sections à faible vitesse de Las Vegas.”

“Quoi qu’il en soit, nous visons à nouveau une belle performance ce week-end”, poursuit Wolff. “La W15 a semblé plus à l’aise sur les circuits avec beaucoup de virages à grande vitesse, comme Silverstone ou Spa. Nous avons certainement bénéficié du froid nocturne à Las Vegas, mais le tracé du Qatar devrait être plus favorable aux points forts de notre voiture. Nous savons que nos concurrents seront plus forts qu’ils ne l’étaient le week-end dernier, mais nous aurons pour objectif de placer la voiture dans une bonne fenêtre une fois de plus et de nous battre aux avant-postes.”

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OFFICIEL : Monza prolongé au calendrier de la F1 pour plusieurs années 

Monza a prolongé de six ans son contrat avec la F1, ce qui permettra au temple de la vitesse d’accueillir le Grand Prix d’Italie jusqu’en 2031 inclus.

“Ce nouvel accord fait suite à d’importantes améliorations apportées à l’Autodromo Nazionale Monza avant le Grand Prix de 2024”, indique la F1 dans un communiqué.

“Je suis ravi que le Grand Prix d’Italie soit maintenu au calendrier jusqu’en 2031”, a indiqué Stefano Domenicali, PDG de la Formule 1.

“Monza est au cœur même de l’histoire de la Formule 1 et l’atmosphère qui y règne chaque année est unique, les tifosi se rassemblant en masse pour encourager Ferrari et les pilotes.”

“Les récentes améliorations apportées aux infrastructures du circuit et les investissements prévus témoignent d’un engagement fort en faveur de l’avenir à long terme de la Formule 1 en Italie, et je tiens à remercier le président de l’Automobile Club d’Italie, le gouvernement italien et la région de Lombardie pour leur passion et leur engagement continus en faveur de notre sport. Je tiens également à rendre hommage à nos incroyables fans à travers le pays qui soutiennent la Formule 1 avec tant de passion.”

Angelo Sticchi Damiani, président de l’Automobile Club d’Italia, a ajouté : “Comme nous le savons tous, Monza est le plus ancien circuit au monde à accueillir une course du championnat du monde, et c’est aussi l’épreuve la plus ancienne du calendrier du championnat du monde. Nous savons tous que l’histoire ne suffit plus. Après avoir refait le revêtement de la piste et des passages souterrains pour améliorer la sécurité sur la piste et pour les fans, nous sommes maintenant confrontés à un nouveau défi en 2025 : améliorer la qualité et la quantité des offres d’hospitalité. Avec cet objectif en tête, nous travaillons déjà pour rester à la pointe des normes exigées par la Formule 1 moderne.”

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DEBAT : Polémiques ou grande maitrise, que gardez-vous de la saison 2024 de Verstappen ?

La saison 2024 est-elle celle de la sagesse pour Max Verstappen ? Presque ! Après deux saisons sans réelle concurrence, le pilote néerlandais a été confronté cette année à de multiples défis.

Red Bull a en effet fait figure de colosse aux pieds d’argile en 2024.

Avant même le début de la saison, un scandale est venu chambouler l’équilibre de l’écurie Championne du monde pilotes et constructeurs en 2023. En effet, début février éclate “l’affaire Horner”. Accusé de comportements inappropriés envers une collaboratrice et visé par une enquête interne, Christian Horner avait été innocenté à l’issue d’une enquête en interne.

Dans les jours et les mois qui ont suivi, Helmut Marko, conseiller spécial de Red Bull a laissé entendre qu’il pourrait claquer la porte de l’écurie. Du côté du clan Verstappen, Jos a directement a fait pression sur le directeur de l’équipe.

Malgré cette lutte intestine, qui aurait pu déstabiliser n’importe quel pilote, Max Verstappen a fait preuve de maturité et a fait le travail en remportant sept des dix premières courses de la saison. Jusqu’ici, et malgré un semblant de concurrence émanant du côté de chez McLaren et de Ferrari, Max Verstappen semblait bien parti pour remporter facilement le titre mondial en 2024.

Paul Vaussy (F1Only.fr) – “Un père aussi sûr de l’aider que toxique”

Aussi brillant soit-il, Max Verstappen rend parfois le fait de l’aimer et le soutenir difficile, comme il l’a parfois été avec Michael Schumacher ou Ayrton Senna.

Aussi transcendants les rappels de son niveau soient-ils lors de courses comme le Grand Prix du Brésil, ses écarts de comportement en piste, au moment de se trouver face à une forme d’adversité, semblent jalonner un parcours du reste irréprochable. Certains observateurs, tels que Martin Brundle, l’ont parfaitement résumé cette année après le GP des USA : en toutes circonstances, Verstappen si est bon qu’il n’a guère besoin de se rabaisser à des manœuvres questionnant les limites de la décence entre pilotes ou de l’interprétation des règles sportives. Le Hollandais n’en a simplement pas besoin, et sa brillance en piste suffit à faire la différence.

Ce besoin de rappeler avec autorité à ses adversaires plus tendres à quel point il lui est envisageable de chercher un avantage coûte que coûte, notamment dans le combat roues contre roues, caractérise désormais Verstappen depuis plusieurs saisons et est profondément ancré dans l’esprit de ses rivaux. Lewis Hamilton, Charles Leclerc, ou encore Lando Norris le savent désormais bien, et rester propre face à Verstappen signifie bien souvent accepter de ne pas se comporter pas avec la même impunité, ou d’espérer que justice soit rendue par les commissaires de piste.

Parlons donc surtout, comme l’a fait Christian Horner immédiatement après le quatrième titre acquis par son pilote à Las Vegas, ce qui aura aussi caractérisé Verstappen hors-piste : une abnégation là aussi hors-normes, un rôle de leader et fédérateur des efforts du team, en restant concentré en dépit de la tourmente interne vécue par une équipe Red Bull se déchirant en interne depuis le décès de Dietrich Mateschitz, et plus particulièrement sur l’initiative d’un clan dévastateur pensant aider le jeune pilote, mené par son père ; et de laquelle Toto Wolff a lui aussi tenté de profiter en tentant par tous les moyens de d’adjuger les services de celui dont il sait qu’il ferait, comme le principal intéressé l’affirme lui-même, la différence au volant de n’importe quelle auto. Face à ce même père qui l’a sans aucun doute bien plus desservi cette saison qu’il ne l’a aidé en étant à deux doigts de faire imploser le top team l’ayant mené vers la F1 et le succès planétaire, Max Verstappen a sans doute dû faire face en 2024 à son plus grand défi. Cela, ni Schumacher, ni Senna n’avaient eu à le faire…

Patrick Angler (invité du site F1actu.com) : “Le pilote qui vous donne envie de le haïr”

Max Verstappen, un nom qui fait vibrer les passionnés de Formule 1 autant qu’il divise les opinions. Son année 2024 aura été une nouvelle démonstration de force et de maîtrise chirurgicale au volant d’une monoplace pourtant pas au meilleur de sa forme. Mais au-delà des chiffres et des podiums, c’est l’homme derrière le volant qui intrigue. Un pilote à la fois génial et énervant, un mélange détonnant de talent brut et de caractère bien trempé.

Verstappen, c’est le genre de pilote qui vous donne envie de le haïr… et de l’admirer en même temps. Son style de pilotage, parfois limite, ses coups d’éclat et ses déclarations provocantes ne laissent personne indifférent. Il bouscule les codes, repousse les limites, et ça, ça plaît ou ça déplaît. Mais au-delà de la polémique, il y a un champion hors-norme, un guerrier qui ne lâche jamais rien. Sa capacité à rebondir après chaque coup dur, à se concentrer sur l’essentiel et à mettre la pression sur ses adversaires est tout simplement impressionnante. Sa victoire au Brésil en est la parfaite illustration.

Alors, Verstappen, génie ou provocateur ? Les deux, sans doute. Un mélange explosif qui fait le sel de la Formule 1. Car si le sport automobile est une affaire de chronos, c’est aussi un spectacle, et en ce sens, Verstappen est un acteur hors pair qui utilise autant ses résultats que les polémiques, comme arme pour mener une guerre psychologique contre ses adversaires.

 

Thibaud Comparot (F1Only.fr) – “Une face inattendue de Verstappen : la patience”

Le retour inespéré de la concurrence a mis une certaine pression sur Verstappen.

Il faut reconnaitre qu’on ne s’y attendait pas vraiment, mais Red Bull a vu Ferrari et surtout McLaren revenir à vitesse grand V dans ses rétroviseurs. Alors que la RB20 perdait en performance, Max Verstappen a, à l’inverse de Sergio Pérez, réussi à stopper l’hémorragie en glanant le moindre petit point. Quand Lando Norris, Oscar Piastri, Charles Leclerc, Carlos Sainz, Lewis Hamilton et George Russell remportaient des Grands Prix, Max Verstappen a su faire le dos rond.

On a découvert cette saison une face inattendue de la personnalité de Max Verstappen, la patience. Il aura fallu attendre 11 Grands Prix de l’Espagne au Brésil, avant de voir le Batave remonter sur la plus haute marche du podium. Après une véritable maestria à Interlagos, Max Verstappen, implacable comme à son habitude, est allé décrocher une quatrième couronne mondiale à Las Vegas. Oui le titre de 2021 était peut-être le plus spectaculaire, mais celui de 2024 a probablement été le plus dur à remporter pour Max Verstappen.

Le point noir ? Le Max Verstappen de 2021 a ressurgi dans ses batailles avec Lando Norris, envoyant à plusieurs reprises son rival en dehors des limites de piste.

La stat folle : Si le Championnat avait commencé après Miami, moment de la saison ou la Max Verstappen n’a plus la meilleure monoplace de la grille, le pilote Red Bull serait tout de même en tête du Championnat à l’arrivée du GP de Las Vegas. Dans ce scénario, il aurait actuellement 11 points d’avance sur Lando Norris et 50 sur Charles Leclerc.

Hugo Pommier (F1Only.fr) – “Pas de quoi entacher une saison modèle”

La saison 2024 de Max Verstappen est véritablement exceptionnelle. On le savait fort, mais il a montré qu’il était réellement le meilleur sur la grille à l’heure actuelle, exploitant le maximum de sa Red Bull lors de chaque week-end ou presque. Comme l’a bien dit son dernier rival pour le titre, Lando Norris, Verstappen domine quand il a la meilleure voiture, mais reste toujours présent quand il ne l’a pas.

Certes, il a bénéficié d’une voiture dominante en tout début de saison, mais il a ensuite fait mieux que résister et les chiffres le prouvent. Il avait 53 points d’avance sur Norris au soir du Grand Prix de Miami, un tournant de la saison d’un point de vue des performances, dès la course numéro six, donc très tôt en 2024. Malgré les difficultés de la Red Bull qui ont suivi et la forme de la McLaren, Verstappen bénéfice actuellement de 63 points d’avance sur Britannique et lui a donc repris des points sur cette période. Cela restera comme une saison remarquable, une régularité à un niveau de performance exceptionnel.

Les polémiques hors piste, liées à son langage en conférence de presse n’en étaient même pas une, mettant plus en avant le ridicule de la situation et de la sanction. En revanche, il faut bien dire qu’il a dépassé les limites, au moins à Mexico avec sa deuxième manœuvre sur Norris, mais cela n’est pas suffisant pour entacher sa saison entière qui restera un modèle du genre.

Pierre Waché, directeur technique de Red Bull : “Je ne suis pas confiant pour 2025”

Pierre Waché, directeur technique chez Red Bull, a exprimé son manque de confiance en vue de la saison 2025, s’attendant à voir “une lutte pour toute l’année”.

Alors que Red Bull avait débuté la saison 2024 sur les bases de 2023 à savoir en dominant la concurrence, la hiérarchie a rapidement été bouleversée cette année, avec les retours aux avant-postes de McLaren, Ferrari et Mercedes.

Même si Max Verstappen a brillamment remporté le titre pilotes, le titre constructeurs semble lui désormais perdu pour Red Bull, malgré son début de campagne 2024.

Des doutes sont donc légitimes en vue de la saison 2025 où les quatre top écuries actuelles de la F1 que sont McLaren, Ferrari, Red Bull et Mercedes, pourraient débuter l’année très proches en termes de performance.

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Waché : “Si vous avez confiance dans ce métier, vous êtes mort”

Pierre Waché, directeur technique français de l’écurie Red Bull, a ainsi affirmé ne pas être confiant pour l’année prochaine, qui sera par ailleurs la dernière saison de cette ère réglementaire, ce qui correspond en général à une convergence des performances entre les écuries.

“Je ne suis pas confiant pour 2025”, a indiqué Waché, cité par Motorsport.com. “Je ne suis pas confiant parce que je pense que les autres sont très rapides ou sont déjà là. Ce sera une lutte pour toute l’année.”

Si vous avez confiance dans ce métier, vous êtes mort”, poursuit Pierre Waché. “Vous devez travailler dur, et tout le monde doit travailler dur dans l’équipe. Tout le monde travaille dur. Quand vous voyez le nombre de personnes que nous avons pour essayer de trouver une très petite quantité de performance et ajouter, ajouter et ajouter partout, c’est une tâche très difficile. Je manque de confiance, parce que si j’ai confiance, vous vous endormez, vous n’allez pas travailler et vous ne trouvez pas la performance.”

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Un pilote titulaire en F1 cette année va participer à la Race Of Champions 2025

La Race Of Champions a confirmé la participation de Valtteri Bottas à l’édition 2025, qui se déroulera les 7 et 8 mars prochains à Sydney, en Australie.

Valtteri Bottas va participer en 2025 à sa deuxième Race of Champions après avoir disputé l’édition 2023 sur glace en Suède. En Australie, il retrouvera quelques grands noms du sport automobile, avec Sebastian Vettel, quadruple Champion du monde de F1, Sébastien Loeb, 9 fois Champion du monde en WRC, ou encore Johan Kristoffersson, 7 fois Champion du monde de rallycross. À noter que Mick Schumacher sera également présent.

L’organisation de la Race Of Champions a annoncé la participation de Bottas, en le qualifiant “d’Australien d’adoption”. En effet, le Finlandais passe du temps en Australie puisque sa compagne, Tiffany Cromwell qui est cycliste professionnelle, est Australienne. 

L’édition 2025 aura donc lieu à l’Accor Stadium, le stade olympique de Sydney sur une piste asphaltée de 1 km spécialement conçue pour l’événement. Comme toujours, la Race Of Champions se déroule avec une compétition par nation le premier jour, avant que les pilotes ne s’affrontent individuellement le lendemain.

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Bottas : “J’espère que je serai beaucoup plus rapide sur la piste goudronnée”

“Ma relation étroite avec l’Australie n’est un secret pour personne et j’ai vraiment hâte de participer à la toute première Race of Champions en Australie”, a indiqué Valtteri Bottas. “J’espère que de nombreux fans locaux m’encourageront après avoir reçu le statut d’Australien d’honneur en début d’année, même si j’essaierai bien sûr de battre l’Australie dans la Coupe des Nations et tous les Australiens dans la Race Of Champions individuelle.”

“J’ai hâte de passer un peu de temps en Australie pendant les mois d’été ‘locaux’ et je devrais être bien acclimaté d’ici la première semaine de mars. La Race Of Champions est un événement unique et j’ai pris beaucoup de plaisir lors de ma première participation en Suède l’année dernière, même si j’ai été éliminé très tôt avec Mika [Häkkinen]. J’espère que je serai beaucoup plus rapide sur la piste goudronnée du stade olympique de Sydney et que je pourrai aller jusqu’au bout cette fois-ci.”

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Programme et horaires du Grand Prix F1 du Qatar 2024

Voici le programme et les horaires du Grand Prix F1 du Qatar 2024 qui se disputera du 29 novembre au 1er décembre, sur le circuit de Losail.

Le Grand Prix F1 du Qatar, 23e des 24 manches du championnat du monde de Formule 1 2024, est à nouveau un week-end Sprint cette année. Pour rappel, ce format débute avec une unique séance d’Essais Libres de 60 minutes le vendredi, avant d’enchaîner directement avec la séance de Qualifications Sprint le même jour et dont les résultats déterminent la grille de départ de la course Sprint programmée le lendemain. 

Le samedi, les pilotes participent à la course Sprint d’une durée d’environ 30 minutes, avant de disputer un peu plus tard dans la journée la séance de Qualifications dont le résultat détermine la grille de départ de la course principale du dimanche, le Grand Prix.

Ce vendredi 29 novembre, la première séance d’Essais Libres (EL1) est programmée à 14h30, heure française, avant d’enchaîner directement avec les Qualifications Sprint à 18h30, heure française. 

Ce samedi 30 novembre, les pilotes prendront la piste pour la course Sprint dont le départ est programmé à 15h00, heure française. Ensuite, le week-end reprendra une configuration normale avec la séance de Qualifications qui débutera à 19h00, heure française.

Enfin, le départ du Grand Prix F1 du Qatar 2024 sera donné le dimanche 1er décembre à 17h00, heure française, où les pilotes s’élanceront pour 57 tours de course sur le tracé de 5,4 km.

Nous vous rappelons que toutes les séances de chaque week-end de Grand Prix de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr, à savoir Essais Libres 1, 2 et 3, Qualifications Sprint, course Sprint, Qualifications et Grand Prix. 

Rendez-vous donc dès ce vendredi 29 novembre pour suivre l’unique séance d’Essais Libres du Grand Prix du Qatar en direct sur notre Live Center accessible ici. 

Programme et horaires du Grand Prix F1 du Qatar 2024 (heure française)

DateSéanceHeure FRChaîne FR
Vendredi 29 novembreEssais Libres 114h30Canal+Sport
Vendredi 29 novembreQualifs Sprint18h30Canal+Sport
Samedi 30 novembreCourse Sprint15h00Canal+Sport
Samedi 30 novembreQualifications19h00Canal+Sport
Dimanche 1er décembreCourse17h00Canal+

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Sergio Pérez reste optimiste : “Le rythme est là, il arrive”

Même si Sergio Pérez a connu un nouveau week-end très compliqué à Las Vegas, le Mexicain ne perd pas espoir, affirmant notamment avoir “compris exactement ce qui s’est passé en qualifications”.

Qualifié 16e et 15e sur la grille à Las Vegas, Sergio Pérez n’a pas pu faire mieux qu’une dixième place à l’arrivée du Grand Prix, là où Max Verstappen terminait cinquième.

Pérez est sur une forme pour le moins mauvaise, n’ayant inscrit que deux petits points lors des trois derniers week-ends de course. Alors que son voisin de garage, Max Verstappen, a remporté le titre pilotes avec deux courses encore à disputer, Red Bull ne pointe qu’à la troisième place du championnat constructeurs, grandement liée aux contre-performances de Sergio Pérez.

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Pérez : “Nous sommes sur le point de redresser la barre”

Toutefois, le Mexicain s’est montré optimiste après le Grand Prix de Las Vegas, estimant être “sur le point de redresser la barre.”

“Je pense [que samedi], nous avons compris ce qui s’est passé, c’est la façon dont les choses se passent actuellement”, a indiqué Sergio Pérez au micro de la F1. “Nous sommes sur le point de redresser la barre. Le rythme est là, il arrive. Nous progressons et nous avons compris exactement ce qui s’est passé en Qualifications. Nous aurions dû faire un meilleur travail et nous ne l’avons pas fait, alors nous allons travailler dur en tant qu’équipe pour revenir dans les deux dernières courses.”

Sergio Pérez pointe actuellement à la huitième place du championnat du monde des pilotes, dernier des pilotes appartenant aux quatre meilleures équipes. Relégué à 251 points de Max Verstappen, il est également le seul pilote des quatre top teams à ne pas s’être imposé en 2024.

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Guanyu Zhou assure que Ferrari “s’intéresse vraiment” à lui

Récemment lié à des rumeurs l’envoyant chez Ferrari en 2025, Guanyu Zhou affirme que la Scuderia est réellement intéressée pour l’accueillir en tant que pilote de réserve.

Guanyu Zhou n’a pas réalisé une grande saison 2024, certes pas aidé par une Sauber très peu performante. L’écurie basée en Suisse a ainsi décidé ne pas prolonger l’aventure avec le pilote chinois en 2025, choisissant de renouveler son duo à 100% avec l’arrivée de Nico Hülkenberg et de Gabriel Bortoleto.

Mais le Chinois pourrait bien rebondir chez Ferrari en tant que pilote de réserve en 2025 où il pourrait apporter à la fois son expérience, mais également un “soutien financier considérable” comme le rapportait il y a quelques jours RacingNews365. Recruter un pilote chinois pourrait également profiter à Ferrari d’un point de vue commerciale et marketing. 

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Zhou : “Pour l’instant, je n’ai rien signé”

“Comme je l’ai dit, nous discutons avec plusieurs équipes et, bien sûr, Ferrari reste l’une des équipes qui s’intéressent vraiment à moi”, a indiqué Zhou à Las Vegas. “Il faut voir. Évidemment, il y a beaucoup de choses à venir au cours des prochains week-ends pour prendre une décision, mais il est clair que nous examinons toutes les options que nous avons et que nous voyons où nous en sommes.”

“Pour ma part, je ne veux pas encore m’engager pour l’avenir parce que je veux m’assurer que tout est clair et précis et m’engager à fond dans le prochain projet. J’espère que quelque chose sera bientôt décidé.” Guanyu Zhou précise par ailleurs : “Pour l’instant, je n’ai rien signé”.

Si cette arrivée chez Ferrari en tant que pilote de réserve pour 2025 se confirmait, ce serait donc un retour pour Guanyu Zhou, qui était déjà membre de la Ferrari Driver Academy de 2014 à 2018. 

En attendant, Zhou devra profiter des deux derniers Grands Prix restants en 2024 qui pourraient bien être ses derniers en F1. Le pilote chinois pointe actuellement à la 21e place du championnat pilotes, avec zéro point au compteur.

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Stat – six pilotes différents ont remporté les six derniers Grands Prix

La victoire de George Russell à Las Vegas nous a offert un sixième vainqueur différent lors des six derniers Grands Prix, une première depuis la saison 2012.

Alors que Mercedes était en difficulté ces dernières semaines, les Flèches d’Argent ont signé un superbe doublé lors du Grand Prix de Las Vegas, George Russell s’imposant devant Lewis Hamilton.

Cette belle performance a permis de continuer la belle série de vainqueurs différents lors des dernières courses. 

Les six vainqueurs différents lors des six derniers Grands Prix

PiloteÉcurieGP remporté
G. RussellMercedesLas Vegas
M. VerstappenRed BullBrésil
C. SainzFerrariMexique
C. LeclercFerrariÉtats-Unis
L. NorrisMcLaren Singapour
O. PiastriMcLarenAzerbaïdjan

Une nouvelle statistique qui témoigne de la compétitivité retrouvée en 2024 après une saison 2023 écrasée par Max Verstappen. 

Lors de ces six derniers Grands Prix, les quatre meilleures écuries de la saison ont donc toutes remporté au moins une course. Seuls Sergio Perez au volant de la Red Bull et Lewis Hamilton chez Mercedes ne se sont pas imposés parmi les pilotes appartenant à ces quatre top teams.

Lewis Hamilton semble être le candidat le plus crédible, pour que cette série se poursuive lors du Grand Prix du Qatar ce week-end. Si Mercedes arrive à nouveau à faire fonctionner aussi bien sa monoplace qu’à Las Vegas, le septuple Champion du monde aurait alors de vraies chances de nous offrir une série de sept vainqueurs différents en autant de Grands Prix.

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