Pour Jean Todt, avoir un bon duo de pilotes ne suffit pas pour gagner

L’ancien directeur de la Scuderia Ferrari et désormais Président de la FIA, Jean Todt, ne critique pas le choix de Ferrari d’avoir tout misé sur un duo de jeunes pilotes à partir de 2021, mais le Français rappelle qu’en F1 la réussite est une combinaison de plusieurs facteurs.

L’an prochain, la Scuderia Ferrari alignera son plus jeune duo de pilotes de son histoire avec Carlos Sainz et Charles Leclerc, ce qui pourrait s’avérer être un pari risqué pour l’écurie italienne, qui cherche toujours à décrocher un titre mondial depuis 2007.

Pour Jean Todt, une bonne paire de pilotes ne suffit pas, puisqu’il faut également avoir le bon matériel ou encore la bonne équipe.

« Le sport automobile est une combinaison d’hommes, de machine et d’équipe. La seule alchimie qui puisse fonctionner est celle qui unit tout pour gagner. » estime le Président de la FIA dans un entretien accordé au Corriere della sera.

« Sans l’un de ces éléments, les autres ne fonctionnent pas, nous l’avons déjà vu.  Sans la voiture, ni Alonso ni Vettel n’ont gagné. Sebastian a gagné quand il avait une voiture compétitive [chez Red Bull]. »

« C’était la même chose pour Schumacher. Lorsqu’il est arrivé chez Ferrari en 1996, il a dû attendre jusqu’en 2000 pour le titre. »

« Vous pouvez avoir le talent, mais si vous n’avez pas les moyens, l’équipe, la fiabilité, vous ne pouvez pas le faire. Nous devons tout rassembler. »

Jean Todt prend pour exemple la fin des années 90 lorsque la Scuderia Ferrari n’arrivait pas à gagner le titre pilotes : « En 1997, nous avons perdu lors de la dernière course, en 1998 aussi, et aussi en 1999 mais au moins nous avons conquis le championnat des constructeurs. »

« Puis les bonnes années sont arrivées ensuite. Si nous n’avons pas réussi avant, c’est simplement parce que nous n’avions pas la bonne combinaison. »

Un mot sur le départ de Vettel…

« Je n’ai pas envie de juger. Je dis juste qu’il est un pilote très talentueux et qu’il n’a pas encore de voiture pour 2021. J’espère juste pour lui et pour la F1 qu’il en aura une. »

Barcelone met en place une plateforme pour le remboursement des billets

Le circuit de Barcelona-Catalunya a mis en place une plateforme permettant aux détenteurs de billets pour le Grand Prix d’Espagne 2020 de se faire rembourser.

Le Grand Prix d’Espagne devait normalement se tenir au mois de mai sur le tracé de Barcelone, mais en raison de la crise sanitaire, les organisateurs ont dû reporter l’épreuve à une date ultérieure.

Il y a quelques jours, la Formule 1 a confirmé les dates des huit premières courses de la saison 2020, dont celles du Grand Prix d’Espagne désormais programmé du 14 au 16 août 2020.

Malheureusement, les huit premières manches de la saison 2020 se disputeront à huis clos, c’est à dire sans la présence du public sur place, ce qui oblige les organisateurs de chaque épreuve à débuter le processus de remboursement des billets déjà achetés.

Le circuit de Barcelone a donc mis en place une plateforme électronique pour faciliter le remboursement ou l’échange des billets.

Si vous avez acheté votre billet sur le site web du Circuit, vous pouvez maintenant demander l’échange ou le remboursement en cliquant sur ce lien.

Le circuit de Barcelone vous propose d’ailleurs plusieurs options :

  • Le remboursement intégral de votre billet
  • Un don pour la Croix Rouge
  • Passez à un abonnement pour 2021(uniquement pour les billets de 3 jours)
  • Garder votre billet pour l’édition 2021
  • Conserver votre billet pour le GP en 2021 + 20% de réduction à l’achat d’un deuxième billet
  • Un bon pour les produits du circuit

Les fans détenant des billets pour la tribune Carlos Sainz, des cartes d’hospitalité ou des billets achetés auprès d’agents externes (Ticketmaster, Stubhub, El Corte Inglés, France Billet et Ticketnet) recevront le remboursement automatiquement sans avoir à prendre de mesure supplémentaire.

George Russell ne s’attendait pas à prendre autant de plaisir en Esports

Le pilote Williams George Russell est devenu ce dimanche le premier champion de la série Virtual Grand Prix organisée par la F1 en 2020 pour pallier le manque d’action en piste en raison de la crise sanitaire.

Après avoir manqué le début du championnat, le Britannique s’est finalement pris au jeu du virtuel et a rapidement démontré son talent en s’offrant trois victoires consécutives à partir du Grand Prix virtuel d’Espagne.

En arrivant à Montréal pour la finale, Russell disposait d’une confortable avance sur Alex Albon au championnat, ce qui lui garantissait d’être titré avant même le départ de l’ultime manche.

Le champion s’est exprimé à la suite de sa quatrième victoire consécutive et a admis qu’il avait apprécié le championnat virtuel, bien plus que ce à quoi il s’attendait.

« Ce n’était peut-être pas du réel, mais ce fut un vrai plaisir de lutter pour des victoires avec les gars à nouveau ces derniers mois. » a déclaré le champion de la série Virtual Grand Prix.

« Ce sentiment m’avait vraiment manqué ! J’ai vraiment apprécié la série, bien plus que ce à quoi je m’attendais. »

« Peu importe ce que vous faites, vous devez juste tout donner. C’était formidable, cela nous a gardés occupés. Nous n’avons pas de course en ce moment et avoir cette opportunité de courir contre tous, contre nos amis, ça été très amusant. »

« De mon côté, j’ai mis beaucoup de travail et d’efforts, donc, je suis très content d’avoir de bons résultats à montrer. »

La F1 souhaite organiser deux GP en Chine au second semestre 2020

La F1 aurait demandé à la Chine d’étudier la faisabilité d’organiser au moins deux courses sur le tracé de Shanghai pour la saison 2020.

Initialement prévu au mois de mai, le Grand Prix de Chine a été la première course de la saison 2020 à être reportée à une date ultérieur en raison de la crise du coronavirus qui a débuté dans le pays à la fin de l’année 2019.

Le directeur du bureau des sports de la ville de Shanghai, Xu Bin, a révélé au micro de Radio Shanghai que la FOM souhaite que la F1 dispute au moins une course cet automne en Chine et envisagerait même une seconde course.

« Bien qu’il y ait eu beaucoup de changements dans les événements en raison de la pandémie, nous avons obtenu le soutien d’organisations sportives nationales et internationales pour certains événements. » a t-il expliqué.

« Pour le second semestre, nous avons obtenu l’autorisation d’organiser ces événements en fonction de la situation de la pandémie. »

« Notre épreuve, qui était normalement prévue au mois de mai, a été reportée au second semestre et la FOM a demandé si nous pouvions faire deux courses à Shanghai. »

« Nous sommes toujours en discussion et aucune décision n’a encore été prise. Cela dépendra de la situation de la pandémie. »

Un rebond de l’épidémie en Asie

Ces dernières heures, la Chine a bouclé une grande partie de la ville de Pékin, après 57 nouveaux cas de Covid-19 déclarés ce week-end.

Il est bon de noter que le Japon, la Corée du Sud et Singapour ont également signalé une résurgence de la maladie ces derniers jours.

Dans ce contexte, il semble assez difficile d’imaginer que la F1 puisse se rendre en Chine d’ici quelques mois, alors que la catégorie reine du sport automobile a déjà décidé d’annuler les Grands Prix du japon, d’Azerbaïdjan et de Singapour.

Un calendrier définitif d’ici fin juin

Alors que l’on connait déjà les huit premières manches de la saison 2020, qui se disputeront toutes en Europe et à huis clos, le reste du calendrier devrait être publié d’ici la fin du mois de juin. La F1 espère toujours disputer entre 15 et 19 courses cette année.

Alain Prost élu meilleur élève de l’histoire de la Formule Renault

Alain Prost a été couronné meilleur élève de l’histoire de la Formule Renault au terme d’un sondage d’un mois organisé auprès des fans de sport automobile et de journalistes experts sur formulerenault.com.

Dans le face-à-face le plus disputé depuis le coup d’envoi du tournoi, Alain Prost a pris l’avantage sur son compatriote Didier Pironi en obtenant 52,22 % des voix en finale.

Aujourd’hui encore, la riche carrière d’Alain Prost inspire de nombreux concurrents engagés en Formule Renault tant « Le Professeur » a su rapidement y développer toutes les qualités ayant fait de lui le premier pilote français à être sacré Champion du Monde de F1.

D’abord attiré par la gymnastique et le football, Alain Prost ne découvre le kart qu’à l’adolescence. Ses incroyables prédispositions au volant se traduisent toutefois vite en résultats puisqu’il devient Champion d’Europe Junior de karting en 1972, Champion de France et d’Europe Junior en 1973, puis Champion de France Senior en 1974.

Après son service militaire, il choisit de passer en monoplace pour son retour sur les circuits. Formé par l’école de pilotage Winfield, il remporte en 1975 le Volant Elf et une bourse de 100 000 francs pour disputer la saison 1976 du Championnat de Formule Renault Nationale.

Le pilote originaire de Saint-Chamond décide alors de gérer sa propre structure basée près de Magny-Cours et s’équipe d’un châssis Martini MK17, d’un moteur préparé par Bernard Mangé et d’un mécanicien, Jean-Pierre Nicolas.

Malgré une grille comptant jusqu’à quarante voitures, Alain Prost marque d’entrée la discipline de son empreinte. À cette époque, la moindre erreur peut ruiner tout un week-end puisqu’une manche qualificative précède la course finale… Mais en dépit d’une sortie en essais, Alain Prost rebondit brillamment en remontant le peloton dans sa série, puis en dominant la finale pour s’imposer d’entrée sur le Circuit Bugatti du Mans le 4 avril 1976 !

Le Français continue d’impressionner la concurrence et les observateurs en récidivant à Nogaro et à Magny-Cours. Son mécène l’invite donc à faire ses débuts dans la catégorie supérieure, le Challenge de Formule Renault Europe, qui remplace officieusement le Championnat de France de Formule 3.

Face à d’autres espoirs expérimentés menés par Didier Pironi, Alain Prost crée la surprise en plaçant sa Lola T410 en pole position à Dijon-Prenois. S’il doit renoncer en raison d’un ennui mécanique en course, il confirme sa vitesse de pointe sept jours plus tard avec une nouvelle première ligne à Zolder.

De retour sur la scène nationale, Alain Prost reprend sa domination sans partage en s’imposant à Charade en mai, à Folembray et à Rouen en juin ainsi qu’au Circuit Paul Ricard et à Magny-Cours en juillet. Il accélère même le rythme après la pause estivale en l’emportant à Dijon et Nogaro en septembre, puis à Albi et au Castellet en octobre.

Son incroyable série reste toutefois bloquée à douze succès consécutifs. À Imola, treizième et dernière étape du calendrier, Alain Prost signe la pole avec une seconde et demie d’avance avant qu’une panne électrique ne coupe ses efforts dans la manche qualificative. En finale, il remonte du fond de grille à la quatrième place en seulement deux tours, mais un problème moteur l’arrête définitivement. Certains avancent encore aujourd’hui une intervention extérieure mal intentionnée…

Le jeune espoir conclut sa première campagne en monoplace avec douze victoires, douze podiums, dix pole positions et onze meilleurs tours en treize départs. Courtisé par plusieurs équipes étrangères engagées en F3 et en F2, le Français va néanmoins privilégier la filière proposée par la Promotion Sportive de Renault en visant la succession de Didier Pironi en Challenge de Formule Renault Europe.

En cette année 1977, Alain Prost fait face à une concurrence plus féroce. Si le redoublant Dany Snobeck s’impose d’abord au Bugatti, le rookie réplique immédiatement à Nogaro. Les deux hommes s’échangent la plus haute marche du podium en ce début de saison puisque Dany Snobeck l’emporte ensuite à Hockenheim avant la réponse d’Alain Prost à Magny-Cours, puis une nouvelle riposte de Dany Snobeck dans les rues de Monaco.

Déjà méthodique, appliqué et soucieux du moindre détail, Alain Prost montre les premiers signes de son approche si caractéristique en inscrivant régulièrement de gros points lorsque Jean-Louis Bousquet s’immisce également dans la course au titre avec trois succès consécutifs à Pau, Zolder et Charade. Si l’été est marqué par l’émergence de Jacques Coulon, victorieux à Dijon, Magny-Cours et au Castellet, Alain Prost est le seul pilote à pouvoir le priver de victoire à Rouen et à Nogaro.

Tout se décante à la rentrée. Alain Prost reprend la main en s’imposant à Monza et Albi, si bien que l’ultime réplique de Jean-Louis Bousquet lors de la finale au Circuit Paul Ricard ne change rien. Alain Prost conserve l’avantage pour trois unités d’avance au terme d’une campagne l’ayant vu signer six victoires, dix podiums, quatre pole positions et onze meilleurs tours en seize départs.

La suite appartient à l’histoire. Champion de France de Formule 3 en 1978, Alain Prost défend sa couronne avec brio en 1979 tout en y ajoutant l’accolade européenne avec une prestigieux succès au Grand Prix de Monaco de Formule 3. En fin d’année, il effectue ses premiers tours de roues en F1 à l’occasion d’un test organisé par McLaren, qui le recrute pour 1980.

Fort d’une première saison prometteuse avec l’écurie britannique, le Français part retrouver Renault avec qui il décroche ses premières poles et victoires dans l’élite en 1981. Sa montée en puissance se poursuit jusqu’en 1983, où le sacre lui échappe de justesse. De retour chez McLaren, il s’incline pour un demi-point face à son équipier Niki Lauda avant de connaître la consécration suprême en devenant le premier concurrent issu de la Formule Renault à être couronné Champion du Monde de F1 en 1985 et 1986.

Le Français écrit ensuite un nouveau chapitre de l’histoire avec son légendaire duel l’opposant à Ayrton Senna. À nouveau titré en 1989, il rejoint dans la foulée Ferrari, puis Williams-Renault pour une ultime campagne lui permettant d’être sacré pour la quatrième fois.

Fin 1993, Alain Prost se retire avec l’un des plus beaux palmarès du sport automobile. Outre ses quatre couronnes mondiales, le Français s’est classé deuxième du classement général à quatre reprises tout en ayant atteint le top cinq sur douze de ses treize saisons dans l’élite. Avec 51 victoires et 106 podiums en 199 Grands Prix disputés, Alain Prost a également sabré le champagne sur plus de la moitié des courses dont il était au départ.

Après son retrait, il dirige sa propre structure Prost Grand Prix de 1997 à 2001 avant de reprendre ponctuellement le volant en Trophée Andros, en FFSA GT ou lors d’essais de la Renault Sport R.S.01. Sa carrière de l’autre côté du muret des stands connaît un nouvel essor lorsqu’il s’associe à Jean-Paul Driot et Renault Sport Technologies pour mener Renault-e.dams dès 2014. En sa présence, l’écurie décroche quatre couronnes en Championnat FIA de Formule E, dont les trois premiers titres par équipes décernés par la discipline 100 % électrique.

Depuis le retour de Renault en tant que constructeur à part entière en F1, Alain Prost a œuvré comme conseiller spécial de Renault F1 Team avant d’être nommé directeur non-exécutif de Renault Sport Racing.

Le tournoi opposait les dix-sept pilotes passés en Formule Renault ayant remporté au moins un Grand Prix en Championnat du Monde FIA de Formule 1 depuis la création de la catégorie par la Promotion Sportive de Renault en 1971.

Des duels à élimination directe organisés chaque jour donnaient la voix aux fans et à un panel de journalistes experts. Tête de série n°2, Alain Prost a éliminé Olivier Panis au premier tour de la compétition avant de récidiver face à René Arnoux et Sebastian Vettel.

Malgré le résultat final, Didier Pironi a encore pu compter sur son immense popularité pour jouer la victoire jusqu’au bout. Champion de France de Formule Renault en 1974, lauréat du Challenge de Formule Renault Europe en 1976 et vainqueur des 24 Heures du Mans 1977 avec Renault, le Français avait déjà pris l’avantage sur le pilote Renault DP World F1 Team Daniel Ricciardo et le sextuple champion du monde Lewis Hamilton avant d’effacer Robert Kubica en demi-finale.

Charles Leclerc veut participer aux 24H du Mans pour de vrai

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a déclaré qu’il souhaitait participer aux 24 Heures du Mans « pour de vrai », après sa participation aux 24H du Mans virtuelles ce week-end.

Leclerc, comme d’autres pilotes de F1, a participé à l’événement virtuel des 24 Heures du Mans de ce week-end pour le compte de Ferrari, alors que la vraie course a été reportée à plus tard dans l’année en raison de la crise sanitaire.

Les organisateurs du Mans ont donc mis en place cette épreuve virtuelle rassemblant pas moins de 50 équipes et 200 pilotes.

Charles Leclerc en faisait partie et était en compétition pour Ferrari aux côtés du pilote Alfa Romeo Antonio Giovinazzi et des simracers Enzo Bonito et David Tonizza.

Malheureusement, leur équipe connu une course difficile, avec des difficultés techniques qui ont même conduit leur Ferrari 488 GTE à se retrouver à l’envers dans la voie des stands à un moment donné, avant de terminer 18e dans la catégorie GTE.

Malgré cela, Charles Leclerc a passé un très bon moment et n’écarte pas l’idée de pouvoir un jour participer aux 24 Heures du Mans pour de vrai.

« Merci d’avoir été avec moi pendant ces 24 Heures les gars ! Les 8 ou 9 premières heures ont été très amusantes, mais après un problème de serveur, il s’agissait plutôt de terminer la course et c’est tout, mais c’était très amusant. Maintenant, je veux juste faire le vrai Le Mans. » a écrit le pilote Ferrari sur son compte Twitter.

George Russell décroche son premier titre en F1…virtuelle

Titré avant même le départ de la dernière course du championnat virtuel de F1 ce dimanche à Montréal, le Britannique George Russell est devenu aujourd’hui le premier champion de la série Virtual Grand Prix organisée par la Formule 1.

Mis sur pied pour palier le manque d’action en piste en raison de crise sanitaire mondiale, ce championnat virtuel de Formule 1 nous a offert quelques belles courses sur les différents tracés du calendrier grâce au jeu officiel de la catégorie : F1 2019 de Codemasters.

Longtemps leader du championnat, le Monégasque Charles Leclerc s’est finalement fait rattraper, puis dépasser par le pilote Williams George Russell, notamment grâce à ses trois victoires consécutives avant la dernière course de ce dimanche.

En arrivant à Montréal, Russell disposait d’une large avance au championnat [31 points] sur le pilote Red Bull Alex Albon, ce qui lui assurait d’être titré quoi qu’il arrive en course.

Malgré cette assurance d’être titré, Russell n’a pas démérité ce dimanche et a signé la pole position avant de s’imposer pour une quatrième fois consécutive au volant de sa Williams.

Au drapeau à damier, le pilote britannique devance Alexander Albon sur Red Bull et Esteban Gutierrez au volant d’une Mercedes.

Derrière, l’étonnant Caio Collet (Renault), devance l’autre Renault de Zhou, dont les pneus étaient à l’agonie, et qui a concédé la sixième place à Daly et sa McLaren. Nicholas Latifi (Williams), Ilott (Ferrari), Davidson (Mercedes) et Delétraz (Haas) clôturent le top 10 final.

Désormais, tous les pilotes de F1 se retrouveront le 3 juillet sur le circuit Red Bull Ring en Autriche, mais pour de vrai dans le cadre de la première course de la saison 2020 de Formule 1, qui s’annonce dores et déjà historique.

La liste des pilotes présents au GP virtuel du Canada ce dimanche

Ce dimanche a lieu la grande finale du championnat virtuel de F1 sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal au Canada.

Pour cette finale virtuelle, avant que la « vraie » F1 ne reprenne en Autriche le 3 juillet prochain, seulement cinq pilotes de la grille actuelle seront alignés sur la grille de départ.

En effet, certains pilotes comme Charles Leclerc, Lando Norris ou Antonio Giovinazzi ont préféré participer aux 24H du Mans virtuelles sur une autre plateforme.

L’absence du pilote Ferrari Charles assure dores et déjà le titre virtuel à George Russell, auteur de trois victoires consécutives au volant de sa Williams, et alors que son principal concurrent est Alex Albon avec 31 points de retard.

Pas de grande surprise donc ce soir pour savoir qui remportera le titre, mais le spectacle devrait tout de même être au rendez-vous pour cette ultime manche qui se jouera sur le jeu officiel de la F1 : F1 2019 de Codemasters.

La course sera diffusée en direct ce dimanche soir à partir de 19h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook ou encore F1.com.

Les pilotes présents sur la grille de départ

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Selon Mark Webber, Vettel ne sera clairement pas motivé pour piloter une Ferrari en 2020

L’ancien pilote de F1 Mark Webber estime que son ancien coéquipier chez Red Bull, Sebastian Vettel, ne sera clairement pas motivé cette année pour pilote une Ferrari.

Âgé de presque 33 ans [il fêtera son anniversaire le 3 juillet pour la reprise de la F1 en Autriche], Sebastian Vettel quittera la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2020, après six années passées à Maranello.

Selon l’Australien Mark Webber, son ancien coéquipier est à bout de souffle chez Ferrari, notamment depuis l’arrivée dans l’équipe du jeune Charles Leclerc en 2019 avec qui la relation a été très tendue l’an dernier.

De plus, le simple fait de savoir qu’il ne pilotera plus pour Ferrari l’an prochain aura fini de démotiver complétement le quadruple champion du monde cette année avant même le début officiel de la saison.

« Sous ce régime [Ferrari], Seb a fait ce qu’il a pu, et là il n’a plus de souffle. » estime Mark Webber dans le podcast F1 Nation.

« Il a eu des moments difficiles chez Ferrari, cela ne fait aucun doute, mais je pense toujours qu’il va leur manquer. Je pense que cette expérience leur manquera. »

« Leclerc [Charles] est un très grand pilote, sans aucun doute, mais je pense que quelqu’un comme Seb avec son expérience, à court terme, cela leur manquera. »

« Désormais, il ne va clairement pas sortir de son lit motivé par le fait de piloter une voiture rouge, et c’est bien ça le problème. »

L’Australien pense que Vettel choisira de prendre une année sabbatique l’an prochain, plutôt que de signer avec une autre équipe de la grille.

« Je pense qu’il va prendre une année de congé. J’espère pour nous tous qu’il pourra se ressourcer et retrouver le désir d’être à nouveau aux avant-postes en F1 ».

Pour l’instant, personne ne sait ce que fera Sebastian Vettel l’an prochain, alors que le nom du pilote allemand est souvent cité chez Mercedes aux côtés de Lewis Hamilton.

Lewis Hamilton s’attaque désormais à la tauromachie en Espagne

Le pilote de F1 Lewis Hamilton a une nouvelle fois exprimé son opinion sur les réseaux sociaux et cette fois-ci, le Britannique s’attaque à la tauromachie en Espagne.

Après avoir dénoncé ces dernières semaines les discriminations raciales dans le monde à la suite de la mort de George Floyd, un Américain noir tué par un policier blanc aux Etats-Unis, le pilote Mercedes s’en prend désormais à la tauromachie en Espagne qu’il juge « vraiment répugnante ».

« Les enfants en Espagne apprennent à torturer et tuer les taureaux à partir de 14 ans. Nous demandons au ministère de l’éducation de fermer immédiatement les écoles taurines. » a écrit Hamilton sur Instagram, avant d’inviter ses fans à signer une pétition de l’association Peta, qui défend un traitement éthique des animaux dans le monde.

L’an dernier, une vidéo filmée par des activistes de Torture Is Not Culture a créé la controverse puisque l’on pouvait y voir des taureaux de moins de deux ans torturés à mort par des jeunes enfants espagnols débutant la corrida.

Cette vidéo attirait l’attention sur le nombre d’enfants qui participaient à cet événement et qui étaient les témoins actifs d’une violence jugée « insupportable » par les activistes.

Le circuit de l’Algarve confirme des « négociations solides » avec la F1

Les dirigeants du circuit de l’Algarve au Portugal ont confirmé qu’ils étaient en discussion avec la Formule 1 pour l’organisation de courses cette année.

Nous vous le rapportions ce dimanche matin, le tracé de l’Algarve au Portugal a de grandes chances de figurer au calendrier de la F1 en 2020 selon le média portugais A Bola, qui indique qu’une première course qui s’appellerait Grand Prix du Portugal pourrait avoir lieu le 27 septembre à Portimao.

Toujours selon le même média, une seconde course, intitulée cette fois Grand Prix de l’Algarve, pourrait être organisée le 4 octobre.

Désormais, un porte-parole du circuit portugais a confirmé au magazine britannique Autosport que des discussions sont en cours avec la F1 et affirmant qu’il y a « beaucoup de volonté » de la part des équipes pour choisir le circuit.

« Nous sommes en contact avec la FOM et avons des négociations solides. » a confirmé le porte-parole du circuit de l’Algarve.

« Pour l’instant, rien n’est confirmé, mais nous savons qu’il y a beaucoup de volonté parmi les équipes que le Portugal soit choisi pour le calendrier et nous travaillons très dur et faisons tout notre possible pour avoir la F1 sur notre piste de course. »

« Nous sommes l’option que tout le monde veut, l’emplacement, la piste, des grandes installations qui permettent une plus grande distance de sécurité, le climat, les hôtels et l’impact réduit dans le pays de la COVID-19. »

Un peu plus tôt cette semaine, le manager sportif de la F1, Ross Brawn, a confirmé que la catégorie reine du sport automobile était en discussion avec plusieurs circuits européens pour l’organisation de courses à partir du mois de septembre.

Outre le circuit de l’Algarve, Imola, Hockenheim ou encore Jerez seraient de sérieux candidats pour accueillir la F1 avant la fin de l’année.

Rappelons que le calendrier définitif de la saison 2020 n’a pas encore été publié. Seules les huit premières manches de l’année, se disputant toutes en Europe et à huis clos sont connues pour l’instant.

Vidéo : Le grand rendez-vous de Lelouch avec Charles Leclerc

La Scuderia Ferrari a mis en ligne le court métrage de Claude Lelouch, « Le grand rendez-vous », tourné au mois de mai dans les rues de la Principauté de Monaco.

Véritable remake du fameux « C’était un rendez-vous » tourné à Paris en 1976 par Claude Lelouch, le dernier court métrage du réalisateur français met en scène la Ferrari SF90 Stradale du constructeur italien pilotée par le Monégasque Charles Leclerc.

A cette occasion, la Principauté a été fermée à la circulation le 24 mai, mais l’événement a été suivi par de nombreux résidents monégasques pendant la première phase de déconfinement instaurée par le gouvernement monégasque.

Le Grand rendez-vous a été diffusé pour la première fois ce samedi 13 juin sur Canal+ et en simultané sur le site officiel de Ferrari.

Daniel Ricciardo reste impressionné par les performances de Lewis Hamilton

Le pilote Renault Daniel Ricciardo – qui rejoindra McLaren en 2021 – continue d’être impressionné par les capacités mentales et physiques de Lewis Hamilton, et ce après avoir décroché six titres en F1.

Selon l’Australien, Lewis Hamilton a cette faculté de pouvoir être toujours au top de ses capacités, année après année, et même si certains disent qu’il gagne parce qu’il a le meilleur matériel entre les mains, Daniel Ricciardo considère tout de même que le Britannique fait un travail remarquable.

« En ce qui concerne le talent ou la capacité de pousser une voiture à la limite – l’ensemble de compétences – nous sommes quelques-uns à pouvoir y arriver. » explique Daniel Ricciardo à Autocar.

« Mais nous avons besoin de la bonne voiture, puis, pour ce groupe, la différence est moins sur la vitesse et plus sur la capacité à clouer les résultats course après course. »

« Ce qui sépare ce petit groupe, au delà de la voiture, c’est bien la capacité mentale et physique de faire face à tout ce que ce sport vous impose, semaine après semaine. »

« Ce sont ces jours où votre santé n’est pas si bonne, ou vous vous sentez un peu en décalage horaire, ou vous avez juste eu une mauvaise semaine. »

« Si vous pouvez toujours monter dans la voiture et performer, alors vous pouvez être champion. Le point avec Lewis – le point qui le rend spécial – est qu’il l’a fait six fois. Même si vous soutenez qu’il a le meilleur équipement, cette réalisation est remarquable. »

« Rester lui-même année après année, pour continuer à pousser, pour accepter la pression d’être celui que nous chassons tous: c’est remarquable. »

Le Portugal en passe de faire son retour au calendrier de la F1 en 2020

Selon le média portugais A Bola, la F1 s’apprête à débarquer au Portugal à la fin du mois de septembre [le 27 septembre] sur le tracé de Portimao.

Le circuit de Portimao peut en effet accueillir la F1 grâce à son grade 1 FIA, sésame obligatoire pour organiser des essais ou des courses en catégorie reine du sport automobile.

Le Grand Prix du Portugal en tant que tel ferait son retour au calendrier de la Formule 1 le 27 septembre après 24 années d’absence, tandis qu’une seconde course serait organisée sur le même tracé le 4 octobre et s’appellerait le Grand Prix d’Algarve, toujours selon le média cité au début de cet article.

Actuellement, c’est le Grand Prix de Russie à Sotchi qui est programmé le 27 septembre, mais en raison de la crise sanitaire qui touche le pays, la situation n’est pas très claire et la F1 pourrait décider de remplacer la Russie par le Portugal.

D’autre circuits sont à l’étude par la F1 pour y organiser une ou plusieurs courses, comme Imola [qui a reçu le renouvellement du grade 1 FIA], Mugello ou encore Hockenheim en Allemagne.

Rappelons que la saison 2020 de F1 débute le 3 juillet en Autriche et qu’un premier calendrier composé des huit premières manches de l’année a été publié. Le calendrier définitif quant à lui devrait être dévoilé d’ici la fin du mois de juin.

Mise à jour à 14h00 : Le circuit de l’Algarve confirme « des discussions solides » avec la F1

Le circuit de l’Algarve confirme des « négociations solides » avec la F1

Le « Grand rendez-vous » diffusé ce samedi 13 juin gratuitement

Le court métrage de Claude Lelouch intitulé  « Le grand rendez-vous »  et tourné à Monaco avec Charles Leclerc, sera diffusé ce samedi 13 juin gratuitement sur le site de Ferrari et sur Canal+.

Tourné à Monaco le 24 mai dernier, le court métrage met en scène une Ferrari SF90 Stradale qui déboule dans les rues désertes de la principauté avec le pilote de F1 Charles Leclerc à son volant

A cette occasion, la Principauté a été fermée à la circulation mais l’événement a été suivi par de nombreux résidents monégasques pendant la première phase de déconfinement instaurée par le gouvernement monégasque.

Le grand rendez-vous n’est pas sans rappeler le mythique « C’était un rendez-vous » de Claude Lelouch tourné en 1976 à Paris et dans lequel une Mercedes fonce à toute allure pour traverser la capitale tôt le matin. Cette scène deviendra culte.

Le grand rendez-vous sera diffusé ce samedi 13 juin sur Canal+ dans le cadre d’une soirée spéciale Claude Lelouch [en clair] et sur le site de Ferrari [à cette adresse] à partir de 20h15.

Mise à jour le 14/06/2020 : Ferrari a mis en ligne la vidéo que vous pouvez désormais visionner ci-dessous.

Racing Point assure qu’il n’y a eu aucune discussion avec Vettel pour 2021

Le directeur de l’équipe Racing Point assure qu’il n’a pas eu de discussion avec Sebastian Vettel ces dernières semaines.

Depuis quelque semaines maintenant, on sait que Sebastian Vettel quittera l’équipe Ferrari à la fin de la saison 2020 et le pilote allemand fait depuis l’objet de nombreuses spéculations concernant son avenir.

Certains pensent qu’il pourrait rejoindre Mercedes, quand d’autres l’envoient directement chez Renault ou bien encore chez Racing Point, qui deviendra l’an prochain Aston Martin.

Interrogé pour savoir s’il avait eu des discussions avec le quadruple champion du monde ces derniers jours, Otmar Szfanauer assure que Vettel ne l’a pas appelé.

« Je ne peux pas parler pour Seb, mais nous savons tous à quel point il a fait du bon travail. » explique Szafnauer dans le podcast de la F1.

« Il a gagné très tôt avec Toro Rosso [en 2008 au GP d’Italie à Monza], ce qui était fantastique, et il est quadruple champion du monde. »

« Il a fait de belles courses et, je pense qu’à son relativement jeune âge de 33 ans, il a encore de bonnes années devant lui. Mais ce n’est pas à moi de le dire. »

« Seb et moi sommes amis depuis longtemps, même avant qu’il ne soit pilote de Formule 1, je le connaissais, et ironiquement, il ne m’a pas appelé, donc je n’ai pas eu la conversation. »

Stroll et Perez confirmés pour 2021

Szafnauer a de nouveau confirmé que l’équipe Racing Point était très satisfaite de son actuel duo de pilotes composé de Lance Stroll et Sergio Perez.

« Nous sommes également satisfaits de notre duo de pilotes et ils fonctionnent bien ensemble. Nous avons Checo [Sergio Perez], qui, un dimanche est aussi bon que n’importe qui. Il est très calculateur, très intelligent, il prend soin des pneus. »

« Lance [Stroll] est beaucoup plus jeune que Sergio et apprend très vite. Il a de très bons départs et, quand il est dans le vif du sujet, il peut très bien courir. »

« Il apprend, et je pense que finalement Lance dépassera Sergio et avoir ce duo composé de jeunesse et d’expérience est parfait pour nous. »

Racing Point arrivera en Autriche en confiance avec « sa meilleure F1 jamais vue »

Otmar Szafnauer, le directeur de l’équipe Racing Point, s’attend à ce que la RP20 soit compétitive en Autriche pour la première manche de la saison 2020, tout comme elle l’a été aux essais hivernaux de Barcelone cet hiver.

Cet hiver lors des essais hivernaux, la Racing Point a fait couler beaucoup d’encre en raison de ses nombreuses similitudes avec la Mercedes championne du monde de la saison 2019.

Certains n’ont pas hésité à dire qu’il s’agissait tout simplement d’un clone ou bien d’une Mercedes rose, mais l’équipe britannique ne s’est jamais défendue réellement et a même confirmé qu’elle s’était largement inspirée du modèle Mercedes pour créer sa nouvelle monoplace, bien aidée il est vrai par le partenariat technique signé avec le constructeur allemand, qui prête sa soufflerie et fournit plusieurs éléments mécaniques dont le moteur.

Quoi qu’il en soit, les performances de la RP20 lors des essais hivernaux ont mis en lumière le fait que l’équipe basée à Silverstone, qui s’appellera dès l’an prochain Aston Martin F1, était très compétitive en ce début d’année.

Interrogé pour savoir s’il pensait que sa monoplace serait toujours aussi performante une fois la saison débutée en Autriche, Szafnauer se veut plus que confiant.

« Eh bien, c’est une bonne question. C’est difficile à prédire pour moi, mais je pense qu’une partie de la compétitivité que nous avons vue cet hiver devrait se poursuivre sur le Red Bull Ring, dans un premier temps. » explique le directeur de l’équipe Racing Point au site de la F1.

« Deuxièmement, nous avons eu une longue pause et je ne pense pas que quiconque ait eu assez de temps pour se remettre au travail, développer la voiture et mettre de nouvelles pièces sur la monoplace. De notre côté, nous ne l’avons pas fait. »

« Mais je m’attends à ce que la compétitivité que nous avons vue cet hiver soit toujours disponible pour nous et qu’elle devienne évidente en Autriche. »

La meilleure F1 jamais vue chez Racing Point

Szafnauer, qui fait partie de l’équipe basée à Silverstone depuis 2010, alors qu’elle s’appelait encore Force India, dit que la RP20 est la voiture la plus compétitive qu’il ait vue passer dans son usine depuis le début.

« Oui, je pense que c’est relativement le cas, je pense que c’est la plus compétitive. Nous avons fait un pas décent en avant. Il y a eu d’autres moments où nous avions l’air vraiment, vraiment compétitifs. »

« En général, en dehors de Barcelone, qui est généralement un bon indicateur de la performance de votre équipe aérodynamique, c’est probablement la meilleure que j’ai vue et que notre équipe aérodynamique a produit, et la meilleure que nous ayons vue à Barcelone de toute façon. »

Suzuka réagit à l’annulation du Grand Prix du Japon 2020

Programmé du 9 au 11 octobre 2020, le Grand Prix du Japon n’aura finalement pas lieu cette année, la Formule 1 ayant confirmé l’annulation de l’épreuve ce vendredi.

En même temps que l’annulation du Grand Prix du Japon, la F1 a également confirmé que les Grands Prix de Singapour et d’Azerbaïdjan ne pourraient pas avoir lieu en 2020, tout cela en raison des nombreuses restrictions de voyage mises en place dans ces pays.

Les organisateurs du Grand Prix du Japon pour leur part ont pris la décision « à contrecœur » d’annuler leur épreuve, alors que ces derniers avaient déjà débuté les préparatifs pour accueillir la F1 en octobre.

« Nous nous préparions pour la tenue du Grand Prix du Japon de F1, mais en raison de la situation future au Japon et à l’étranger et compte tenu que la levée des restrictions sur les voyages n’est pas garantie, nous avons décidé à contrecœur d’annuler. » précisent les organisateurs du Grand Prix du Japon.

« Nous attendrons avec encore plus d’impatience notre Grand Prix du Japon en 2021. Nous remercions tous nos fans et parties prenantes pour leur compréhension. »

Désormais, il faudra attendre la publication du calendrier définitif de la part de la Formule 1. Ce calendrier devrait être présenté d’ici la fin du mois de juin.

Covid-19 : Renault F1 met en vente des masques aux couleurs de l’équipe

L’équipe Renault F1 a décidé de fabriquer et de mettre en vente des masques de protection anti Covid-19 aux couleurs de l’écurie de Formule 1.

Vendus à l’unité ou en pack de cinq ou de dix, ces masques en tissu sont lavables et réutilisables pour se protéger contre la Covid-19.

Ces masques répondent aux dernières spécifications AFNOR / Apave et tous les bénéfices de la vente de ces masques seront reversés à des associations.

Ces masques sont de catégorie 1 et leur efficacité de protection est supérieur à 90%. Ils sont lavables 30 minutes à 60° et leur durée maximale d’utilisation avant lavage est de 4h00 en continu.

Vendu à l’unité, ce masque aux couleurs de l’équipe de F1 de Renault coûte 4,99 euros et est disponible en noir uni ou en noir et jaune avec le logo de Renault.

En pack, ces masques sont vendus au prix de 49,99 euros en pack de 10 et 24.95 euros en pack de 5

Pour commander ces masques [en précommande actuellement], vous devez vous rendre sur la boutique Renault F1 officielle en cliquant sur ce lien.

Renault F1 en piste en Autriche les 16 et 17 juin

L’équipe Renault F1 a confirmé ce vendredi la tenue de deux journées de tests privés sur le circuit autrichien Red Bull Ring.

L’écurie du constructeur français va permettre à ses deux pilotes Esteban Ocon et Daniel Ricciardo de reprendre avant le début de la saison 2020 la piste pour la première fois depuis les essais hivernaux de Barcelone en mars dernier.

Le 16 juin, l’Australien Daniel Ricciardo sera au volant d’une monoplace de la saison 2018 [la RS18] pour une journée complète de roulage, tandis que son coéquipier Esteban Ocon prendra le relais le 17 juin avec là encore une journée de roulage au programme avec la RS18.

Ces essais vont servir aux pilotes à reprendre leurs marques après une longue pause forcée due à la pandémie de coronavirus, qui a obligé la F1 à reporter son début de saison 2020.

En parallèle, l’équipe Renault F1 en profitera aussi pour se familiariser avec les nouveaux protocoles sanitaires mis en place par la F1 pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 dans le paddock.

Rappelons que cette semaine l’équipe Mercedes a été la première des dix équipes à réaliser un test de deux jours sur le tracé de Silverstone en Angleterre. Ferrari devrait elle aussi réaliser un test sur sa piste de Fiorano, mais les dates sont encore inconnues à l’heure d’écrire ces quelques lignes.