Fernando Alonso a toujours soif de titres en F1, selon Flavio Briatore

N’en déplaise à certaines personnes Fernando Alonso sera sur la grille de la F1 en 2025 et en 2026, avec Aston Martin. Selon son manager, Flavio Briatore, l’Espagnol a toujours soif de titre et de victoire et pourrait bien prendre sa retraite sur un troisième sacre.

Le natif d’Oviedo va donc collaborer avec Adrian Newey, qui rejoindra Aston Martin en 2025 en tant que partenaire technique principal. Ce renfort stratégique s’ajoutera aux forts investissements d’Aston Martin, qui deviendra l’équipe d’usine Honda en 2026 grâce à un partenariat moteur exclusif avec la marque japonaise.

Tout comme dans le monde du casino en ligne france, où la stratégie et l’anticipation peuvent faire la différence, Alonso devra miser sur ses compétences pour surmonter les défis à venir. À 45 ans, Alonso poursuivra donc sa carrière en Formule 1, repoussant une fois de plus les limites dans un sport dominé par une nouvelle génération de pilotes. Pour rappel, la saison prochaine, Fernando Alonso partagera la grille avec six voire sept pilotes n’étant pas nés lorsqu’il a débuté sa carrière en F1.

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Flavio Briatore, proche du pilote espagnol, s’est dit confiant quant à la capacité de Fernando Alonso à continuer de surprendre et à rivaliser au plus haut niveau dans un environnement toujours plus compétitif.

Fernando est l’exception”, a déclaré Briatore. “Je suis son manager depuis 22 ans. Il a de l’argent, mais pas d’enfants. Et il a toujours faim.”

“S’il termine 14e, il veut être 13e. Quelqu’un d’autre de son âge ferait son travail dans les règles de l’art s’il ne s’agissait que de la 14e place.”

“J’ai maintenant deux impressions en tête. D’une part, j’espère que Fernando pourra prendre un nouveau départ avec Adrian Newey chez Aston Martin en 2026, mais d’autre part, il court contre Alpine.”

“Mais tout de même, un titre de champion du monde en guise d’adieu ne serait-il pas une magnifique histoire ?” a conclu Flavio Briatore.

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Carlos Sainz fait ses adieux à Ferrari lors d’une journée spéciale à Fiorano

Carlos Sainz a célébré la fin de sa collaboration avec Ferrari lors d’une journée mémorable sur le circuit de Fiorano.

Accompagné de son père, Champion du monde des rallyes, Carlos Sainz Jr a passé une dernière journée unique avec sa désormais ancienne écurie.

Ce mardi, le pilote espagnol a pris le volant de la Ferrari F1-75, monoplace qui avait permis à l’écurie de décrocher la deuxième place au championnat des constructeurs en 2022. Au volant de cette monoplace, le futur pilote Williams avait décroché sa première victoire en F1 ainsi que neuf pole positions. Partageant la piste avec son père, les deux hommes ont offert un spectacle émouvant, célébrant une étape importante de la carrière de Carlos Sainz Jr.

Cet événement représente un ultime adieu à Ferrari avant son départ pour Williams, prévu en 2025. Après plusieurs saisons avec l’écurie italienne, Sainz s’apprête à entamer un nouveau chapitre de sa carrière en Formule 1, laissant derrière lui des souvenirs marqués par sa collaboration avec la Scuderia.

 
 
 
 
 
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Tel fils, tel père ! Grazie Scuderia Ferrari”, a écrit Sainz sur son Instagram, qui accompagnait une vidéo de lui et de son père pilotant sur la piste de Fiorano.

La saison prochaine, Carlos Sainz pilotera chez Williams aux côtés d’Alex Albon et aura la lourde tâche de ramener la firme britannique sur le devant de la scène. 

Mika Häkkinen se réjouit de voir McLaren dominer la F1

Lando Norris et Oscar Piastri ont offert à McLaren le titre de Champion du monde des constructeurs, un titre qui avait été remporté pour la dernière par l’écurie de Woking en 1998.

L’année 1998 reste gravée dans l’histoire de McLaren comme une saison d’exception. Sous la direction de Ron Dennis, l’équipe avait dominé la saison grâce à la légendaire MP4/13, conçue par Adrian Newey. Pilotée par Mika Häkkinen et David Coulthard, la monoplace avait remporté pas moins de neuf victoires. Depuis, le titre des constructeurs avait toujours échappé à McLaren, même si la firme britannique avait vu l’un de ses pilotes remporter le titre des pilotes en 2008 (Lewis Hamilton).

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Ces dernières années, McLaren a traversé une période difficile, marquée par des performances décevantes. Il y a dix ans, ce manque de résultat avait conduit à un changement de direction, avec l’arrivée de Zak Brown comme PDG. Ce nouveau PDG a initié un projet de reconstruction ambitieux.

Ce travail de longue haleine a permis à McLaren de renouer avec la victoire en 2021, avant de prendre cette année sur la plus place du classement des constructeurs devant son rival de toujours, la Scuderia Ferrari.

S’exprimant à Abu Dhabi pour PlanetF1.com, Mika Häkkinen a salué le retour au sommet de son ancienne équipe

Je pense que tous ceux qui travaillent dur, qui prennent les bonnes décisions et qui jouent bien en équipe, c’est ce qui compte”, a-t-il déclaré. “Les gens ont besoin de recevoir quelque chose pour leur travail acharné.”

Nous avons travaillé dur. La direction a pris les bonnes décisions et les mécaniciens ont fait un travail fantastique. Aujourd’hui, McLaren fait ce genre de travail.”

“Le genre de travail que fait McLaren en ce moment les rendra plus forts et ils se sentiront encore mieux dans la réussite de McLaren”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Sergio Pérez sera bientôt fixé sur son avenir avec Red Bull en F1

Helmut Marko, conseiller spécial de Red Bull Racing en F1 , a confirmé que l’écurie annoncera très prochainement sa décision au sujet du coéquipier de Max Verstappen pour la saison 2025. Selon ses déclarations, l’annonce devrait intervenir “dans les prochains jours”, après des mois de spéculations autour de l’avenir de Sergio Pérez.

Red Bull aurait organisé une réunion dans la foulée du Grand Prix d’Abou Dhabi, pour discuter de la situation du pilote mexicain. Cette saison, Sergio Pérez a peiné à convaincre, accumulant les contre-performances et les crashs pendant une grande partie de l’année.
De fait, alors que Max Verstappen a brillé, son écurie a perdu le titre des constructeurs, remporté par McLaren.

Preuve d’une fin de saison compliquée, le dernier podium de Sergio Pérez remonte au Grand Prix de Chine, en avril 2024. Cette série de mauvais résultats a poussé Red Bull à envisager une modification de son duo de pilote en cours de saison. Selon plusieurs sources, l’écurie aurait sérieusement réfléchi à remplacer Sergio Pérez par Daniel Ricciardo, revenu dans le giron Red Bull avec VCARB. Bien que le mexicain ait conservé son volant jusqu’à la fin de la saison, son avenir semble désormais plus qu’incertain.

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Dans sa dernière intervention pour Speedweek, Helmut Marko a également répondu à une déclaration de Nico Rosberg, selon laquelle Red Bull serait obligée de payer 16 millions de dollars à Sergio Pérez pour mettre fin à son contrat. L’Autrichien a totalement rejeté cette information, tout en restant énigmatique sur les discussions internes.

L’annonce imminente devrait mettre fin aux spéculations et clarifier la composition du duo de pilotes de Red Bull pour 2025. Reste à savoir si Sergio Pérez conservera son siège ou si Red Bull choisira un nouveau visage pour épauler Max Verstappen… peut-être Liam Lawson ?

“Nous annoncerons dans les prochains jours la composition de l’équipe de pilotes pour l’année prochaine”, a déclaré Helmut Marko. “Il y a beaucoup de spéculations à ce sujet, y compris des rumeurs sur d’éventuelles indemnités de transfert, ce qui est complètement absurde.”

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Verstappen sans filtre sur sa relation avec Mercedes, Wolff, Ferrari, Aston Martin…

Max Verstappen a accordé une longue interview au service de streamingViaplay, qui diffuse par ailleurs la Formule 1 aux Pays-Bas. Le Quadruple Champion du monde de Formule 1 y a notamment évoqué en longueur le flirt opéré par Mercedes et Toto Wolff à son égard, alors que l’équipe anglo-allemande a tenté de s’attribuer ses services sur fond d’affaire Horner, pour finalement échouer dans cette tentative de débauchage et faire place à Kimi Antonelli aux côtés de George Russell en 2025.

« Oui, je comprends cela », a répondu Verstappen, interrogé sur le travail de destabilisation de Red Bull opéré dans sa propre mesure par Toto Wolff . « Vous voulez avoir le pilote le plus rapide dans votre voiture. Et bien sûr, il y avait beaucoup de choses à faire. Ils ont dû faire un choix pour un nouveau pilote. »

« Les grandes équipes sont toujours intéressantes », a poliment poursuivi Verstappen au sujet de la période durant laquelle Mercedes l’a activement courtisé. « Mais d’un autre côté, je suis aussi dans une très grande équipe. J’ai donc connu beaucoup de succès avec eux. Je m’y sens également comme dans une deuxième famille. Ce sont des considérations que l’on ne peut pas prendre comme ça, trop vite, pour partir. Ce n’est pas comme si je me réveillais et que je me disais ‘oui, l’année prochaine, c’est fini’. Et je ne suis pas quelqu’un qui passe de gauche à droite très rapidement de toute façon. Il faut donc bien réfléchir à ce genre de choses – si on veut le faire. »

Il semble que la conversation avec le clan Verstappen se soit surtout fait entre Toto Wolff et Jos Verstappen, le père de Max, ainsi que son management. De son côté, Verstappen estime qu’il n’a « pas vraiment » entretenu de conversation avec le responsable d’équipe autrichien.

« Bien sûr, nous nous parlons toujours. Et je ne mens pas sur le fait que nous nous sommes assis ensemble. Ce n’est pas un problème en soi, je pense. Mais en fin de compte, j’aime vraiment l’endroit où je suis. »

Ces discussions ont même permis à Verstappen de replacer clairement là où il se sentait au sein du team tout en pouvant apporter un levier supplémentaire et du poids à ses exigences pour demeurer au coeur du projet Red Bull.

« Je pense que nous avons eu des conversations très constructives. Oui, je pense que tout le monde a toujours été très honnête et ouvert les uns envers les autres. Mais d’un autre côté, je suis aussi très loyal envers mon équipe et je m’y sens chez moi. Il n’y a donc pas grand-chose à faire pour l’instant. Je suis encore très jeune, donc beaucoup de choses peuvent encore se produire à l’avenir. Et pour moi, il n’y a pas que la Formule 1. Après cela, j’ai aussi envie de faire beaucoup de choses et j’y réfléchis. Quels sont les bons partenaires pour cela ? Alors oui, ce sont des choses auxquelles je pense, mais je ne dois pas nécessairement prendre une décision à ce sujet maintenant ».

Et d’ajouter que Wolff a également vu l’opportunité de venir nourrir la relation pour le moins glaciale entretenue avec Horner. 

« C’est toujours le cas », estime-t-il lorsqu’il lui est demandé si le directeur de Mercedes a tenté de voler la vedette à son rival. « Les patrons d’équipe, c’est toujours le cas. Il ne s’agit pas seulement des pilotes, mais aussi des règles. Chaque année, il y a toujours un sujet sur lequel vous vous chamaillez. »

Les chemins de Mercedes et Verstappen se croiseront peut-être plus tard, après même la carrière F1 de celui qui domine la discipline depuis de nombreuses saisons.

« J’ai plusieurs objectifs après la Formule 1. L’endurance, ma propre équipe… Il y a beaucoup de choses en jeu. Et bien sûr, il faut qu’il y ait un programme à la fin. Et avec qui allez-vous le faire ? Ce sont bien sûr aussi des conversations que j’ai. Beaucoup d’équipes : Mercedes, Ferrari, Aston Martin, vous savez [sont intéressantes], cela n’a rien à voir avec la Formule 1 elle-même. Red Bull, bien sûr, fait aussi beaucoup de choses en dehors de la Formule 1. Je garde donc toutes les options ouvertes et, à la fin, je choisirai ce que je pense être le mieux. »

Même avec Sainz, Volwes estime que Williams va encore « reculer un peu » en 2025

Déterminé à être dans le rythme dès 2026, James Vowles admet cependant que Williams pourrait bien faire face à une année 2025 difficile.

Passée à la neuvième place finale du classement 2024 des équipes après avoir subi le coup de fouet d’Alpine en toute fin de saison et sans être parvenue à battre Haas et VCARB, l’équipe anglaise n’a donc finalement devancé que Stake Sauber, et a donc notablement reculé depuis sa septième position de 2023.

La fin de saison a été particulièrement difficile pour le team, qui a maintes fois rappelé l’impact énorme des crashs à répétition de fin de saison de ses pilotes comme facteur dans sa capacité à fournir un matériel performant sur les ultimes manches.

James Vowles a cependant aussi régulièrement dit que les objectifs du team ne se portaient pas sur le court terme et qu’il avait en tête un challenge bien plus durable avec Dorlington Capital, l’investisseur derrière la structure.

Ainsi, l’accent est de manière assumée déjà mis sur un bond en avant significatif dans le cadre de la nouvelle réglementation 2026, qui pourrait donc aussi compromettre la saison 2025, en dépit du fait que l’équipe s’offre une recrue de choix avec Carlos Sainz pour venir rejoindre Alex Albon.

“C’est le message qu’Alex et Carlos savent tous les deux : 2025 sera une lutte, je pense”, déclare Vowles, sans détours, à Autosport. “Ce n’est pas que nous allons aller de l’avant, nous allons plutôt reculer un peu”, estime-t-il ainsi. “Et si c’est le cas, cela me convient car cela signifie simplement que j’investis au bon rythme pour l’année 2026 par rapport à ceux qui m’entourent”.

“C’est ce qu’il faut en attendre”, insiste-t-il. “Nous allons faire un compromis sur l’année 2025 ans. Cela ne veut pas dire que nous serons dixièmes, mais ce sera une année difficile.”

Beaucoup de difficultés cumulées en 2024

Après une première saison impressionnante sous la direction de Vowles, 2024 a été difficile pour Williams, notamment au début, lorsque les pièces de rechange ont déjà manqué et qu’un certain nombre d’autres pièces se sont avérées trop lourdes. Et puis il y a bien entendu la problématique Logan Sargeant, bien loin du niveau requis pour atteindre les points en course.

“Je pense que nous avons eu de la chance de terminer septième l’année dernière”, modère Vowles pour justifier le résultat 2024. “RB était sacrément rapide à la fin de l’année [2023, et ce n’était vraiment qu’une question de décisions stratégiques, presque, qui a déterminé qui a terminé devant au championnat. Nous avons tout de même terminé septièmes.”

“Je pense que j’ai été assez ouvert en ce qui concerne notre surpoids”, ajoute-t-il en faisant référence à la voiture 2024.

“Nous essayons de faire des bonds”, dit-il à propos du plan pour les saisons à venir. “Pas des pas en avant, pas des avancées, pas des gains minimes, ou même marginaux, mais des bonds dans la technologie et dans ce que nous faisons. Ce faisant, nous allons nous prendre les pieds dans le tapis”, admet-il. “Cela ne me dérange pas, car nous ne pouvons pas désapprendre ce que nous avons appris.”

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Bottas “pas pressé” de sécuriser un rôle d’essayeur chez Mercedes

Lors du Grand Prix d’Abou Dhabi, Valtteri Bottas a possiblement disputé son tout dernier Grand Prix de Formule 1. Le pilote Finlandais de l’équipe Stake Sauber n’a pas fait ses adieux à la discipline reine, mais est conscient du fait que le prochain chapitre de sa carrière de pilote automobile pourrait bien prendre une forme très différente de celle qu’il a connue ces dernières années.

Bottas s’est essentiellement forgé son palmarès en Formule 1 en faisant équipe avec Lewis Hamilton durant les années de gloire de Mercedes, qui dominait le championnat durant les premières années de l’introduction de la motorisation V6 hybride, maitrisée à la perfection par la firme allemande qui avait lancé son programme de recherche et développement bien avant tout autre constructeur dans le domaine.

“Je pense que cette semaine, j’ai commencé à réaliser que je me rapprochais de la fin”, avouait Bottas à Abou Dhabi. “Je ne pense toujours pas qu’il soit garanti que ce soit ma dernière course, c’est mon sentiment.”

Bottas a conclu ce qui sera sans doute sa dernière saison en tant que titulaire F1 sans avoir inscrit le moindre point. Cela signifie qu’il n’a rallié l’arrivée d’aucune des 24 manches de cette saison dans les dix premiers, ni dans les positions permettant d’ouvrir le compteur lors de la poignée de courses Sprint de la saison.

Mercedes pourrait bien devenir le refuge de Bottas, en qualité de pilote d’essais et de développement. Le Finlandais est toujours porté en haute estime par le directeur de l’équipe, Toto Wolff, qui apprécie son éthique de travail avec les ingénieurs, comme il appréciait celle de Nico Rosberg, l’homme que Bottais avait remplacé au pied levé.

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“Je ne sais pas ce que je dois dire à ce sujet. Ce sport est amusant. Parfois, tout n’est pas logique mais, comme je l’ai déjà dit, je pourrais certainement faire le travail ”, estime Bottas, lorsqu’il lui est suggéré qu’il dispose des atouts pour briguer le poste, notamment de par son expérience. “Ils se concentrent toujours sur leurs pilotes juniors parce qu’ils ont beaucoup investi dans eux par le passé, c’est donc logique. Je ne peux pas dire grand-chose de plus”, poursuit-il cependant, conscient du fait que Mercedes se doit de vivre aussi dans l’après-Lewis Hamilton à compter de l’an prochain. “Il n’y a pas d’obstacles en tant que tels et nous avons tous les deux de l’intérêt, c’est juste qu’aucune des deux parties n’a été pressée de faire quoi que ce soit”, conclut-il cependant, laissant entendre que cela pourrait se faire.

La Finlande nourrit une grande histoire en F1, et particulièrement au cours de l’ère moderne. Le pays a toujours disposé d’un pilote sur la grille depuis de longues années, avec des pilotes comme Mika Häkkinen, Kimi Räikkönen, Heikki Kovalainen ou encore lui-même. Cela ne sera donc plus le cas en 2025.

“Oui, cela a été une bonne période pour les Finlandais et j’espère que quelqu’un les rejoindra bientôt. Je pense que le gars le plus proche pour le moment est Tuukka Taponen en F4 ; il sera en F3 l’année prochaine et ce sera une saison vraiment clé pour lui afin de prouver ce qu’il peut faire”, observe Bottas, qui semble donc s’exclure de l’équation.

La FIA officialise la liste des pilotes du plateau F1 2025, sans Lawson

La FIA a confirmé la liste officielle des engagés pour le championnat du monde de Formule 1 2025.

Le nom de Liam Lawson manque à l’appel, car le siège actuellement occupé par le Néo-Zélandais, et avant lui par Daniel Ricciardo, est indiqué comme « TBC » (à confirmer), tandis que Red Bull laisse le monde dans l’expectative quant à ses plans pour Sergio Pérez. Cela signifie cruciallement que le Mexicain n’a pas été inscrit officiellement par le team en tant que pilote titulaire Red Bull pour la saison prochaine dans l’esprit du team de Milton Keynes et qu’un départ de celui-ci reste possible.

Le Mexicain insiste sur le fait qu’il a un contrat valide pour 2025 et qu’il sera dans la voiture, mais sa piètre forme – en particulier en fin de saison – ainsi que les allusions faites par Christian Horner, Helmut Marko et même Max Verstappen suggèrent le contraire.

Hormis le mystère concernant le pilote de la deuxième Red Bull, qui décidera lui-même du sort de la deuxième place chez « Racing Bulls », la grille de 2025 était déjà établie.

Les numéros des rookies confirmés

La liste des engagés confirme les numéros de course que porteront les nouveaux venus Oliver Bearman, Kimi Antonelli, Gabriel Bortoleto et Jack Doohan.

Bortoleto portera le numéro 5 utilisé précédemment par le quadruple champion du monde Sebastian Vettel, tandis que Jack Doohan a opté pour le numéro emblématique associé à une autre légende du sport automobile, Stirling Moss.

Lors de ses débuts à Abu Dhabi, l’Alpine de Doohan portait le numéro 61.

Alors que Bearman a porté les numéros 38 et 50 lors de ses précédentes sorties avec Ferrari et Haas, il portera le numéro 87 pour sa première saison avec l’écurie américaine.

La composition de la grille F1 2025 officialisée par la FIA

No. Pilote Equipe Voiture
81 Oscar Piastri McLaren Formula 1 Team McLaren-Mercedes
4 Lando Norris McLaren Formula 1 Team McLaren-Mercedes
1 Max Verstappen Oracle Red Bull Racing Red Bull-Honda RBPT
11 Sergio Perez Oracle Red Bull Racing Red Bull-Honda RBPT
16 Charles Leclerc Scuderia Ferrari HP Ferrari
44 Lewis Hamilton Scuderia Ferrari HP Ferrari
63 George Russell Mercedes-AMG Petronas Formula One Team Mercedes
12 Kimi Antonelli Mercedes-AMG Petronas Formula One Team Mercedes
18 Lance Stroll Aston Martin Aramco Formula F1 Team Aston Martin Aramco-Mercedes
14 Fernando Alonso Aston Martin Aramco Formula F1 Team Aston Martin Aramco-Mercedes
10 Pierre Gasly BWT Alpine F1 Team Alpine-Renault
7 Jack Doohan BWT Alpine F1 Team Alpine-Renault
TBC Visa Cash App Racing Bulls etc, RB-RBPT
22 Yuki Tsunoda Visa Cash App Racing Bulls etc, RB-RBPT
31 Esteban Ocon MoneyGram Haas F1 Team Haas-Ferrari
87 Oliver Bearman MoneyGram Haas F1 Team Haas-Ferrari
23 Alexander Albon Williams Racing Williams-Mercedes
55 Carlos Sainz Williams Racing Williams-Mercedes
27 Nico Hulkenberg Stake F1 Team Kick Sauber Kick Sauber-Ferrari
5 Gabriel Bortoleto Stake F1 Team Kick Sauber Kick Sauber-Ferrari

Lando Norris revient sur ses propos et salue l’exploit de Max Verstappen au Brésil

Lando Norris a tenu à revenir sur ses déclarations controversées concernant la victoire de Max Verstappen au Grand Prix du Brésil.

Suite à l’exploit de celui qui n’était pas encore quadruple champion du monde à ce moment de la saison, le pilote britannique avait déclaré que ce triomphe relevait davantage de la chance que du talent. Le pilote McLaren faisait ici référence à un drapeau rouge tombé au moment idéal pour le pilote Red Bull.

Qualifié en 17e position sur la grille de départ du Grand Prix du Brésil, Max Verstappen a pourtant réalisé une remontée spectaculaire dans des conditions dantesques, prenant la tête lorsque ses rivaux s’arrêtaient aux stands pour chausser de nouveaux trains de pneus intermédiaires. L’interruption de course lui avait alors permis de changer de pneus sans perdre de temps, scellant ainsi une victoire considérée comme l’une des plus impressionnantes de sa carrière.

Ce succès décisif avait marqué un vrai tournant dans la saison, le Batave creusant l’écart sur Lando Norris dans la course au titre, qu’il remporta la semaine suivante à Las Vegas.

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Lors de la remise de son trophée de vice-champion du monde 2024, Lando Norris a voulu nuancer ses propos, saluant la performance de son rival et reconnaissant l’ampleur de l’exploit réalisé par son homologue de chez Red Bull.

Tout d’abord, je retire ce commentaire que j’ai fait là-bas, où j’ai dit que c’était de la chance, pas de talent”, a déclaré Lando Norris lors de la cérémonie de remise des prix de la FIA. “Vous savez comment les médias changent les choses.”

“Mais félicitations à Max [Verstappen]. Ce qu’il a fait cette année, ce qu’il a fait au Brésil, bien sûr, était incroyable. Je suis donc le premier à reconnaître une telle chose alors que c’est moi qui l’affronte”, a conclu le vice-champion du monde 2024.

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Jenson Button voit Max Verstappen continuer à briller même après la F1

Jenson Button estime que Max Verstappen, tout jeune quadruple champion du monde de F1, continuera à accumuler les succès dans le sport automobile même après avoir quitté la Formule 1.

L’avenir de Max Verstappen en F1 reste incertain au-delà de 2028, date à laquelle son contrat avec Red Bull arrivera à son terme. Cependant, Jenson Button, qui a lui aussi continuer à rouler après la F1 est certain que le Batave poursuivra à gagner en sport automobile, quelle que soit la discipline.

Max est un vrai compétiteur. Je ne peux pas l’imaginer s’éloigner des circuits, même après la F1”, a déclaré l’ancien champion du monde.

Il y a deux types différents de pilotes de F1”, a déclaré Button au podcast F1 de Sky Sports. “Il y a les pilotes de F1 qui sont des pilotes de F1 et c’est tout ce qui compte pour eux, et quand ils se retirent, ils ne courront plus, ils iront s’asseoir sur une plage quelque part ou trouveront un autre travail qui les intéresse.”

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“Mais pour Max et d’autres comme moi, nous aimons la course automobile, et pas seulement la Formule 1, alors Max ne s’éloignera pas de la Formule 1 et ne s’éloignera pas de la victoire.”

“Il s’éloignera de la Formule 1 et ira courir [ailleurs]. Il a parlé de participer à des courses d’endurance, peut-être au Mans ou à Daytona, ou peut-être que ce sera juste des courses de simulation, qui sait, mais il sera toujours là pour se battre pour les victoires.”

“Cela ne va pas changer. C’est juste l’environnement qui va changer. La Formule 1 est le summum, vraiment, mais il y a beaucoup plus de pression sur vos épaules que dans d’autres catégories et beaucoup plus de regards sur vous.”

“Peut-être que ce sera son dernier contrat en F1, qu’il ira jusqu’au bout de son contrat avec Red Bull et qu’il partira ensuite, qui sait ? Mais il courra encore très longtemps, mais peut-être dans une autre capacité”, a conclu le Champion du monde 2009.

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Charles Leclerc est prêt à défier Lewis Hamilton et vise le titre mondial avec Ferrari

Charles Leclerc a clairement affiché ses ambitions pour la saison 2025. Associé à Lewis Hamilton chez Ferrari l’année prochaine, il vise le titre de Champion du monde des pilotes.

Après une saison 2024 prometteuse marquée par cinq victoires, Ferrari semble prête à renouer avec les sommets. L’écurie italienne a signé sa meilleure performance depuis 2018. En 2024, Ferrari a bataillé jusque dans le dernier Grand Prix de la saison, mais a finalement échoué face à McLaren pour seulement 14 points.

Fort d’une saison 2024 marquée par ses succès à Austin, mais surtout à Monaco et à Monza, Charles Leclerc estime être prêt à rivaliser avec Lewis Hamilton. Le Monégasque n’a pas caché son intention de défier le septuple champion du monde dans une lutte acharnée pour la couronne mondiale.

Dans l’ensemble, il y a eu beaucoup de moments positifs dans la saison, mais la deuxième ou la troisième place n’est pas ce que nous voulons, nous voulons gagner”, a-t-il expliqué lors du gala de remise des prix de la FIA.

« Mais la seconde moitié de la saison a été super positive et j’ai vraiment hâte d’être à l’année prochaine pour essayer de remporter ce titre. Je suis très motivé pour l’année prochaine, et évidemment la déception est encore fraîche de la dernière course, car nous nous sommes battus avec McLaren pour le titre des constructeurs jusqu’à la toute dernière course, mais ils ont juste fait un meilleur travail.”

“Ils méritent pleinement le titre et je les félicite, ainsi que Max. La saison a été très longue, mais j’ai réalisé certains de mes rêves.”

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“Il y a probablement un point fort, c’est Monaco. J’ai grandi à Monaco et je rêvais de devenir pilote Ferrari. C’est là que ma passion pour le sport automobile a commencé et le fait de pouvoir gagner à Monaco était très, très spécial, tout comme la victoire à Monza.”

“Un autre rêve inattendu était de pouvoir conduire avec mon jeune frère [Arthur] lors des essais libres 1 [à Abu Dhabi], ce qui a été un moment très spécial pour notre famille”, a conclu le pilote Ferrari.

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Flavio Briatore explique pourquoi Alpine a échoué à recruter Carlos Sainz

Flavio Briatore, nouveau conseiller spécial de l’écurie Alpine en F1, a récemment révélé pourquoi les négociations entre l’écurie française et Carlos Sainz n’ont pas abouti l’année dernière.

Libéré par Ferrari, Carlos Sainz était courtisé par plusieurs équipes du paddock, dont Alpine, Williams, et Audi. Finalement, le pilote qui sera remplacé par Lewis Hamilton chez Ferrari en 2025 a signé un contrat avec Williams, écartant les propositions d’Alpine et d’Audi.

Le principal problème entre Alpine et Carlos Sainz portait, selon Flavio Briatore, sur la durée de son contrat. Alors que l’écurie tricolore souhaitait un engagement à long terme, il semblerait que Carlos Sainz souhaitait garder la possibilité d’avoir une porte toujours ouverte en cas de meilleure opportunité. Carlos Sainz a donc préféré la flexibilité offerte par Williams. Il finalement a signé un contrat de deux ans, avec des options supplémentaires permettant une certaine liberté de mouvement.

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De son côté, Flavio Briatore a expliqué que ce type de contrat à court terme ne correspondait pas à la vision d’Alpine, qui espérait construire un projet solide sur plusieurs saisons avec un pilote expérimenté comme l’Espagnol. Cela a permis à Williams de remporter la bataille pour sa signature, où il évoluera aux côtés d’Alexander Albon avant de potentiellement explorer d’autres options en 2026.

J’ai parlé à Sainz”, a déclaré l’homme de 74 ans à la publication allemande Auto Motor und Sport. “Il était considéré comme intéressant pour nous, mais seulement pour quatre ans.”

“Cela n’a aucun sens de prendre un pilote comme Carlos pour un ou deux ans. Soit il croit en notre programme, soit il n’y croit pas.”

“Je n’ai pas besoin d’un pilote qui me coûte beaucoup d’argent et qui cherche à aller dans une autre équipe quand l’occasion se présente”, a conclu l’Italien.

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Fernando Alonso pourrait entamer 2026 comme sa dernière saison en F1

Fernando Alonso, 43 ans, a annoncé qu’il verrait la saison 2026 comme potentiellement sa dernière en Formule 1, bien qu’une prolongation reste envisageable.

Le double champion du monde est actuellement sous contrat jusqu’en 2026 avec Aston Martin, année marquée par l’arrivée des nouvelles réglementations techniques.

L’Espagnol espère que ce bouleversement règlementaire permettra à son écurie de devenir une pointure du championnat. Aston Martin pourra compter dès 2024 sur Adrian Newey, concepteur emblématique de F1, dont les premiers travaux aboutiront à la monoplace de 2026. De plus, l’équipe bénéficiera des moteurs Honda, devenant ainsi l’écurie officielle du constructeur japonais.

Le natif d’Oviedo reste ambitieux et déterminé, misant sur l’expertise combinée d’Adrian Newey et de,Honda pour offrir à Aston Martin une voiture compétitive capable de lutter pour des victoires et un potentiel troisième titre mondial.

Les attentes seront élevées car il s’agit d’une nouvelle voiture, d’un changement de réglementation, d’une voiture fabriquée par Adrian [Newey]”, a déclaré Fernando Alonso à la BBC.

“Probablement – ou du moins pour commencer – ce sera ma dernière saison en F1 car mon contrat se termine à la fin de 2026. C’est le moment de prendre ses responsabilités et le moment opportun pour dire la vérité.”

“Si 2026 se déroule sans problème, que nous passons un bon moment et qu’il y a une possibilité de courir une année de plus, je serai ouvert [à cela], c’est certain.”

“Je ne fermerai pas la porte à l’avance. Mais je ne commencerai pas à penser cela et je prendrai chaque course comme si c’était la dernière et je profiterai de chaque seconde.

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Fernando Alonso seul maître de son destin

Alonso a déclaré qu’il serait le premier à juger bon quel serait le moment parfait pour lui afin d’arrêter la F1.

Ma confiance en moi sera toujours là jusqu’au jour où je ne me sentirai plus à l’aise dans la voiture”, a-t-il expliqué.

Si je me sens plus lent que mes coéquipiers, ou plus lent que ce que je pense être possible avec la voiture, si cette date arrive, je lèverai probablement la main et j’arrêterai de courir, parce que je ne prendrai plus de plaisir”, a conclu Fernando Alonso, qui a aujourd’hui comme coéquipier chez Aston Martin, Lance Stroll.

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Honda : “Tsunoda a la capacité d’être promu chez Red Bull”

Alors que Yuki Tsunoda a pu tester la Red Bull lors des essais d’après-saison d’Abou Dhabi, Honda espère désormais que le Japonais remplacera Sergio Pérez au sein de l’écurie autrichienne en 2025.

Après la pression mise par Honda, Yuki Tsunoda a eu la chance de piloter la Red Bull lors des tests d’Abou Dhabi.

“Nous avons pu répondre à sa demande de participer au test”, a indiqué Koji Watanabe, président de HRC (Honda Racing Corporation). “J’ai entendu dire qu’il était très satisfait.”

“J’ai eu diverses discussions avec Christian Horner au sujet des pilotes pour la saison prochaine et au-delà”, poursuit Watanabe. “Comme je le dis toujours, l’équipe a le droit de décider du pilote, donc notre opinion est simplement pour référence.”

“Mais du côté de HRC, nous pensons que Tsunoda a la capacité d’être promu chez Red Bull et qu’il devrait être l’un des candidats. Tout ce que nous pouvions faire, c’était de lui donner l’occasion de montrer ses capacités au monde entier, c’est pourquoi j’ai demandé à ce qu’il participe à ce test, et nous avons fait en sorte que cela se produise. Je ne l’ai vu [Tsunoda] qu’avant le test, et il m’a dit qu’il voulait un bon résultat et qu’il voulait s’amuser.”

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“Depuis, tout ce que j’ai, c’est un rapport du HRC sur place, où il a très clairement analysé les différences entre la voiture [VCARB] et la voiture Red Bull, et a donné à l’équipe des conseils et des commentaires très utiles sur cette base. Après cela, je ne sais pas ce qui se passera, donc nous devrons attendre et voir, mais si tout se passe bien, ce sera génial. De toute façon, il doit déjà piloter pour [VCARB] la saison prochaine, donc je m’attends à ce qu’il réalise de bonnes performances la saison prochaine, quelle que soit l’équipe pour laquelle il pilote.”

Honda : “Il ne nous reste plus qu’à prier”

Takuma Sato, ex-pilote de F1 et désormais conseiller exécutif pour HRC, indique lui qu’il ne “reste plus qu’à prier” pour espérer voir Tsunoda dans la Red Bull en 2025.

“C’est à l’équipe de décider, bien sûr”, a indiqué Sato. “Mais Yuki a dit que son style de pilotage convenait à la Red Bull, avec son avant incisif, donc je pense qu’il a fait un très bon test. Il ne nous reste plus qu’à prier.”

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Deux États intéressés par l’achat de la collection complète de F1 de Bernie Ecclestone

Tom Hartley Jr, responsable de la vente aux enchères de la collection personnelle des F1 historiques de Bernie Ecclestone, dit avoir reçu des demandes du monde entier, dont deux pour l’acquisition des 69 d’un coup.

La collection d’Ecclestone pourrait être encore plus riche que cela, mais l’homme d’affaires britannique, ex-propriétaire des parts de la F1, a concentré ses efforts de collectionneur sur ses trois marques de cœur : Ferrari, Maserati et Brabham.

Tom Hartley Jr est celui à qui la vente de sa collection estimée à près de 350 millions d’euros a été confiée.

“Nous avons reçu des demandes du monde entier : Hong Kong, l’Australie, l’Argentine et beaucoup d’Amérique du Nord”, a-t-il déclaré au Times.

“Nous avons actuellement deux personnes différentes qui ont montré un intérêt sérieux pour l’achat de la collection dans son ensemble. Deux entités très qualifiées”. Par entités, le spécialiste des grosses transactions précise : “Des pays !”

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Actuellement, ses véhicules se trouvent dans un gigantesque hangar en Grande-Bretagne.

Les états capables de formuler de telles offres sont généralement dans une géographie différente de la liste d’endroits cités précédemment, et mènent invariablement vers le Moyen-Orient. On connait les ambitions, notamment, de l’Arabie saoudite ou encore du Qatar et du Royaume de Bahreïn à faire briller leur réputation par des acquisitions exceptionnelles du type de celle-ci.

“Bernie ne veut pas que les voitures soient vendues à des spéculateurs, c’est-à-dire à des personnes qui achètent les voitures dans l’intention de les revendre dans un avenir proche pour en tirer un profit quelconque”, précise Tom Hartley, qui suggère ainsi que l’homme d’affaires aura le luxe de pouvoir déterminer l’identité finale de l’acquéreur.

Bernie Ecclestone a eu 94 ans en octobre et a souhaité se séparer de cette collection pour ne pas la laisser dans les mains de ses ayant-droits, dont il pense qu’ils seraient plus embarrassés qu’autre chose par la réalisation d’une telle vente d’héritage.

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Flavio Briatore a promis le succès d’Alpine “en peu ou prou 3 ans” à Luca de Meo

Flavio Briatore, conseiller exécutif d’Alpine, révèle qu’il a promis au patron de Renault, Luca de Meo, de faire de son équipe de F1 un succès dans les trois ans.

Briatore, qui a réintégré l’équipe Alpine en juin dernier, a salué le redressement de l’écurie, qui a terminé le championnat des constructeurs à la sixième place à la faveur d’une fin de saison que personne, même au sein de l’équipe, n’attendait vraiment.

“Il s’agit du résultat de tout le monde et je veux féliciter tout le monde parce que c’est l’esprit d’équipe, c’est ce que je veux”, a-t-il déclaré dans une vidéo publiée par l’équipe. “J’ai promis à Luca de Meo de mettre en place une équipe gagnante dans trois ans, peu ou prou.”

Briatore satisfait de Pierre Gasly

Alpine est devenue “très, très forte” à la fin de la saison, a-t-il ajouté. “Pierre [Gasly] a fait un travail incroyable. Et Jack [Doohan] était bien : pour la première course, il était bien. Nous devons rester soudés, avoir quelques personnes d’expérience dans l’équipe”, a-t-il ajouté. “Mais l’équipe, je l’aime bien”.

“L’équipe de course est en train de changer complètement. Les arrêts aux stands, nous sommes compétitifs maintenant. Nous avons maintenant une équipe de course. C’est ce que je veux. Nous produisons une voiture, mais maintenant nous produisons une voiture rapide. Et Pierre, j’ai découvert un super pilote”.

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Verstappen menacé d’un GP de suspension pendant les 11 premiers GP 2025

Helmut Marko estime que Max Verstappen « n’a pas été très diplomatique » lors de ses commentaires dirigés vers les commissaires de course d’Abou Dhabi après avoir été pénalisé.

Il est rare que Helmut Marko se permette le moindre commentaire autre que dithyrambique sur son quadruple Champion du monde Max Verstappen.

Néanmoins, le conseiller spécial de Red Bull a mis en garde son pilote contre la possibilité imminente qu’il reçoive une interdiction de courir sur un GP de F1 en 2025.

Le Néerlandais a effectivement huit points de pénalité sur sa Superlicence FIA après avoir récolté deux points de pénalité pour un accrochage avec Oscar Piastri au départ du Grand Prix d’Abou Dhabi.

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Verstappen y a reçu une pénalité de temps de 10 secondes de la part des commissaires de course pour l’incident, terminant finalement à la sixième place lors de la dernière course de la saison 2024. Même s’il n’y avait aucun enjeu pour le titre mondial pilotes, ni finalement constructeurs, les conséquences pourraient se ressentir en 2025.

Le règlement des points de pénalité en F1 stipule que tout pilote qui reçoit 12 points sur une période glissante de 12 mois devra renoncer à participer à la prochaine course à laquelle il est censé prendre part. Jusqu’à présent, ce système a uniquement pénalisé un pilote, Kevin Magnusse, au cours de cette saison. Le Danois avait dû laisser le volant de sa Haas au Britannique Oliver Bearman en Azerbaïdjan, qui aura ainsi été vu au volant de deux machines en GP cette année, après avoir remplacé Carlos Sainz lors de sa crise d’appendicite.

Alonso aussi menacé d’une suspension de GP en 2025

Avec Fernando Alonso, qui compte également huit points de pénalité cumulés, Verstappen risque d’être contraint de renoncer à une manche la saison prochaine, alors qu’il tente de conserver son titre.

À seulement quatre points d’une interdiction de courir, Verstappen doit parcourir avec prudence les 11 premières manches de la saison 2025 avant que deux points de pénalité puissent être retirés de son compte le 30 juin 2025, au lendemain du Grand Prix d’Autriche.

S’adressant à Sky Deutschland, Marko a déclaré : “Il a encore pris deux points et en est maintenant à huit, nous devons être prudents. Certains commissaires donnent des punitions plus sévères, mais c’est un problème que tout le monde a et il a été mentionné qu’une plus grande cohérence serait préférable.”

Si Verstappen atteint 12 points avant la fin du mois de juin, il deviendra le premier Champion en titre à être banni d’une course – un record qu’il n’aura pas à cœur d’atteindre cette fois-ci !

À Abou Dhabi, le pilote de 27 ans a annoncé que sa compagne Kelly Piquet et lui attendaient un bébé, et Verstappen a donc réfléchi à un plan astucieux : “Oui, peut-être que je passerai à 12 [points] à la naissance du bébé”, a-t-il plaisanté.

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LIVE – Suivez la cérémonie de remise des prix de la FIA 2024

La cérémonie de remise des prix FIA a lieu ce vendredi soir, à Kigali au Rwanda. 

À cette occasion, Max Verstappen va ainsi recevoir son trophée de Champion du monde 2024 des pilotes alors que McLaren recevra son trophée de Champion du monde des constructeurs. 

La cérémonie de remise des prix de la FIA 2024 est ainsi à suivre en direct à partir de 20h00, heure française, sur la chaîne YouTube de la FIA.

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Le Rwanda est officiellement candidat pour accueillir une course de F1 

Le président du Rwanda, Paul Kagame, a officiellement annoncé que son pays était candidat pour entrer au calendrier de la F1.

En marge de la cérémonie de remise des prix FIA qui se tiendra ce vendredi soir à Kigali au Rwanda, Paul Kagame, a officialisé que son pays était candidat à l’organisation d’une course de F1.

“Je suis heureux d’annoncer officiellement que le Rwanda se porte candidat pour ramener le frisson de la course automobile en Afrique, en accueillant un Grand Prix de Formule 1”, a indiqué le président du Rwanda. “Un grand merci à Stefano Domenicali et à toute l’équipe de la F1 pour les progrès accomplis jusqu’à présent dans nos discussions. Je vous assure que nous abordons cette opportunité avec le sérieux et l’engagement qu’elle mérite.”

Selon Motorsport.com, la société d’Alexander Wurz travaille sur le projet de circuit depuis plus d’un an avec le gouvernement et les représentants locaux.

Ce tracé designé par Wurz, président du GPDA (l’association des pilotes), exploiterait le terrain vallonné du Rwanda pour donner un circuit spectaculaire et rapide, traversant les forêts et se trouvant près d’un lac.

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Jos Verstappen : “Red Bull se ressoude un peu mieux maintenant”

Jos Verstappen voit du positif au sein de l’écurie Red Bull avec notamment un Helmut Marko qui “semble également avoir plus de poids”.

Jos Verstappen, père de Max, n’a pas été avare de commentaires sur la situation chez Red Bull cette année. S’exprimant auprès de De Telegraaf, Verstappen père a indiqué qu’il “reste fidèle” à ses propos tenus dans le passé.

Toutefois, Jos Verstappen voit des points positifs chez Red Bull et notamment le rôle d’Helmut Marko qui semble avoir repris de l’importance en interne. Ainsi, le Néerlandais estime qu’il y a du changement dans l’équipe.

“Oui, c’est le cas”, a indiqué Jos Verstappen à De Telegraaf. “Le conseiller Helmut Marko semble également avoir plus de poids, ce qui est une bonne chose. L’équipe se ressoude un peu mieux maintenant.”

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Jos Verstappen : 2025 “sera sans aucun doute une saison importante” 

Après une saison 2024 marquée par un déclin des performances de la Red Bull et du changement en interne, Jos Verstappen estime toutefois que “l’équipe doit à nouveau faire ses preuves” en 2025.

“Ce sera sans aucun doute une saison importante. Beaucoup de choses ont changé au sein de l’équipe et certaines personnes occupent désormais de nouveaux postes, mais j’ai le sentiment que l’équipe doit à nouveau faire ses preuves.”

“Elle doit maintenant prouver qu’elle est toujours rapide, car nous y attachons beaucoup d’importance. Max voit les choses de la même manière. La pression est là, comme il se doit. L’équipe doit maintenant prouver qu’elle a gardé les bonnes personnes avec elle et qu’elle peut à nouveau construire une voiture rapide.”

Malgré le retour en forme de McLaren et Ferrari, Max Verstappen a remporté un quatrième titre de Champion du monde consécutif en 2024. En revanche, Red Bull n’a pas conservé son titre constructeurs, ne terminant qu’à la troisième position derrière McLaren et Ferrari.

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