Bernie Ecclestone n’assistera pas aux obsèques de Niki Lauda

Bernie Ecclestone, l’ancien grand argentier de la F1, ne sera pas présent aux obsèques de son ami Niki Lauda, décédé le lundi 20 mai 2019.

Le Britannique ne souhaite pas assister aux obsèques de Niki Lauda, qui auront lieu ce mercredi 29 mai à Vienne en Autriche.

« J’ai rendu visite à Niki avec Fabiana à la clinique en Suisse à la fin du mois d’avril, et j’ai pu constater à quel point il était affaibli. Nous savions qu’il ne reviendrait à une vie normale. » explique Bernie Ecclestone au Bild.

Bernie Ecclestone a également rendu visite à Niki Lauda à Noël : « Tout semblait aller bien, mais soudainement, les choses ont empiré. »

« Même si c’est très triste, je pense que c’est tout de même bien pour lui qu’il n’ait pas plus souffert. Je ne veux pas voir Niki mort, il continuera à vivre pour moi. »

Le cercueil de Niki Lauda sera exposé dans la matinée de mercredi dans la cathédrale de Vienne en Autriche, alors qu’à partir de 13h00, aura lieu la célébration des funérailles.

L’enterrement se déroulera dans la plus stricte intimité, alors que la famille de Lauda a souhaité la plus grande discrétion durant le requiem, films et photographies ne seront donc pas autorisés.

300 invités d’honneur attendus aux obsèques de Niki Lauda

Les obsèques de Niki Lauda, décédé le lundi 20 mai 2019, auront lieu ce mercredi 29 mai à la cathédrale de Vienne en Autriche où plusieurs personnalités sont attendues.

Environ 300 invités d’honneur sont attendus ce mercredi à Vienne pour les obsèques du triple champion du monde de Formule 1, Niki Lauda, décédé à l’âge de 70 ans.

Plusieurs personnalités du monde de la Formule 1 sont attendues, tels que le quintuple champion du monde Lewis Hamilton, ou encore Nico Rosberg et bien-sûr une grande partie de l’équipe Mercedes, dont Lauda était le directeur non-exécutif depuis 2012.

Le Prince Albert de Monaco avec sa femme Charlène, ainsi que l’acteur Daniel Brühl, qui a incarné Niki Lauda dans le film « Rush », seront également présents. Les 800 places assises de la cathédrale de Vienne, ainsi que les 3000 places debout seront mises à la disposition du public.

Lors du requiem pour Niki Lauda, le président autrichien Alexander Van Der Bellen et quelques personnalités de la Formule 1 prononceront de brefs discours à la mémoire du triple champion du monde de F1.

Le cercueil [fermé] de Niki Lauda sera exposé dans la matinée dans la cathédrale, alors qu’à partir de 13h00, aura lieu la célébration des funérailles.

L’enterrement se déroulera dans la plus stricte intimité, alors que la famille de Lauda a souhaité la plus grande discrétion durant le requiem, films et photographies ne seront donc pas autorisés.

Ferrari va retirer son logo Mission Winnow pour les deux prochaines courses

La Scuderia Ferrari va à nouveau devoir retirer son logo Mission Winnow pour les deux prochaines courses du calendrier de la Formule 1.

En début d’année déjà, Ferrari avait retiré le logo de son sponsor principal pour le Grand Prix d’Australie en raison de la législation australienne sur la publicité liée au tabac.

PMI a nié à plusieurs reprises un lien entre Mission Winnow et la promotion de ses produits de tabac, mais le doute subsiste et le logo devra être retiré des monoplaces, ainsi que des équipements de la Scuderia pour les Grands Prix du Canada et de France.

« La Scuderia Ferrari célébrera une nouvelle fois le 90e anniversaire de sa fondation, les week-ends des Grands Prix canadiens et français. » a annoncé l’équipe Ferrari.

« Par conséquent, comme ce fut déjà le cas en Australie, les SF90 à Montréal et au Castellet porteront le logo célébrant l’anniversaire, de même que les combinaisons des pilotes et des mécaniciens. »

Lors de la première course de l’année, Ferrari avait même changé le nom de l’équipe en retirant le nom Mission Winnow, ce qu’elle devrait faire également pour les deux prochains Grands Prix.

Un GP de France orienté fête de la musique

L’édition 2019 du Grand Prix de France sera orientée « fête de la musique », avec pas moins de trois concerts en trois jours.

L’an dernier, le GP de France a effectué son grand retour au calendrier de la F1 après dix ans d’absence et les spectateurs ont répondu présents sur le circuit du Castellet durant les trois jours.

Pour cette édition 2019, les organisateurs ont mis les bouchées doubles et proposeront aux fans non pas un mais trois concerts entre le vendredi et le dimanche.

A l’occasion de la fête de la musique, les DJ du Mistral assureront le show vendredi 21 juin après les séances d’essais libres. Le concert sera accessible gratuitement à tous les détenteurs du pass 3 jours et vendredi quelle que soit la catégorie de la place achetée.

Bob Sinclar assurera le show samedi 22 juin après les qualifications. Le concert est accessible gratuitement à tous les détenteurs du pass 3 jours et samedi quelle que soit la catégorie de la place achetée.

Martin Solveig assurera le show dimanche 23 juin après la course. Le concert est accessible gratuitement à tous les détenteurs du pass 3 jours et dimanche quelle que soit la catégorie de la place achetée.

« Le GP de France, c’est un événement national, classé comme tel, et on a la chance de faire partie des 21 GPs dans le monde, alors qu’il y a beaucoup de demandes, que de nombreuses villes ou pays veulent en faire partie. On doit s’adapter aux nouvelles exigences de Liberty. » explique Eric Boullier, ambassadeur du GP de France à F1only.fr

« A part les embouteillages et la gestion des parkings, qui étaient deux sujets liés, ils étaient assez contents du GP de France, on a reçu les félicitations de la FOM, de la FIA et des écuries. »

« Il y a eu zéro problème à l’intérieur du circuit, tout s’est bien passé, alors que c’était une nouvelle équipe, dix ans après Magny-Cours et 28 ans après la dernière édition au Paul Ricard. Donc on ne peut que féliciter les équipes du circuit. »

« C’est une mission à cinq ans et on sait que la deuxième année c’est plus difficile de vendre des billets. On sera jugés à partir de la troisième année, sur l’intérêt porté au GP de France. Il faut savoir se concentrer sur ce que l’on veut faire. »

Les points négatifs revus par rapport à 2018

« Par rapport à l’an dernier, c’est plein de petites choses, on a revu tous les points négatifs et positifs du GP, car il y avait aussi beaucoup de points positifs, pour le remonter d’un cran en terme d’organisation, de contenu. »

« On sera orientés sur la fête de la musique et il y aura trois soirs de concerts, au lieu d’un l’an dernier, on aura aussi un deuxième village, pas seulement le village sud. Il y aura beaucoup plus d’activités et de choses à expérimenter pendant le GP. »

« On va amener la Clio Cup, une série supplémentaire pour les spectateurs. C’est notre responsabilité directe, l’autre c’est que tout se passe bien sur la piste, mais ce n’est pas nous. » 

Priorité sur les campings

« Ça fait partie de la stratégie, de l’identité du GP. On a déjà doublé les campings par rapport à l’an dernier, et l’activité autour des campeurs est importante, avec des scènes de musique tous les soirs, pour que les spectateurs restent plus longtemps et même couchent sur place. »

« Ça fait un meilleur show et tout se combine pour roder une machine qui a fait son premier GP et l’avait plutôt réussi, à part les gros points noirs dont tout le monde a parlé. »

« Il y a toujours quelque chose qui ne fonctionne pas, faute de temps sûrement. On ne peut pas jeter la pierre à qui que ce soit. Ça n’a pas marché, on sait pourquoi, on a corrigé et on est satisfaits. »

Fusion Renault-Fiat : Bientôt un moteur Ferrari à l’arrière des Renault ?

Ces derniers jours, les dirigeants de Renault et de Fiat-Chrysler ont officialisé des discussions autour d’un projet de fusion.

Le ministre de l’économie Bruno Lemaire a salué l’opération, qu’il qualifie de « belle opportunité » pour Renault et pour l’industrie Européenne, alors que le ministre se félicite aussi de voir se créer un « champion mondial automobile Européen », capable de faire face aux Chinois et Américains.

Cependant, Bruno Lemaire a tenu à poser des conditions et assure qu’il fera tout pour protéger les intérêts français, comme la préservation des emplois et des sites industriels en France.

Le groupe Fiat a confirmé une proposition de fusion à 50% avec Renault, alors que le consortium italien a offert 32.6 milliards d’euros pour consolider cette alliance.

En outre, plusieurs sources spécialisées suggèrent que, si cette opération est réalisée, la famille Agnelli, propriétaire du groupe Fiat, devra verser d’avance un dividende extraordinaire à ses actionnaires afin d’égaliser le capital-actions des deux entités.

Le futur président de la société résultante serait John Elkann, déjà président de la société d’investissements Exor fondée par la famille Agnelli.

Si cette fusion devait avoir lieu, on assisterait à la naissance d’un nouveau géant dans le monde de l’automobile avec une capacité de production de quelques 15 millions de véhicules par an, un chiffre supérieur à la moyenne mondiale.

Quelles conséquences en Formule 1 ?

L’un des domaines qui pourrait être particulièrement affecté par une potentielle fusion entre Renault et Fiat [FCA] est le sport automobile, et en particulier la Formule 1.

En effet, une telle fusion pourrait permettre à Renault d’obtenir des données et avoir accès à la technologie Ferrari en catégorie reine du sport automobile par le biais d’Alfa Romeo par exemple, et donc, permettrait à Renault d’améliorer sensiblement son moteur qui, depuis l’introduction des moteurs hybrides en 2014, est assez loin en termes de performance par rapport à Mercedes ou Ferrari.

Alors bien-sûr, l’application d’un tel scénario semble complétement irréaliste à l’heure actuelle, d’autant que Ferrari n’appartient plus à Fiat officiellement, mais il faudra tout de même surveiller au cours des prochains mois l’évolution des discussions entre Renault et FCA, qui détient également la marque Alfa Romeo, également en F1 avec un moteur Ferrari, alors que l’utilisation d’un bloc moteur Ferrari estampillé Renault ne serait pas impossible [on a bien vu un bloc Renault estampillé TAG Heuer chez Red Bull].

En 2019, vous n’aurez pas de problème pour vous rendre au GP de France

A moins d’un mois de l’édition 2019 du Grand Prix de France, nous avons pu rencontrer Christian Estrosi dans le paddock de Monaco.

Christian Estrosi, président du GIP Grand Prix de France, est revenu sur toutes les modifications apportées concernant l’organisation de l’épreuve française, et plus particulièrement sur les problèmes de circulation rencontrés l’an dernier aux alentours du circuit du Castellet.

Mr Estrosi s’est voulu rassurant pour cette édition 2019 du Grand Prix de France, notamment parce que les organisateurs de l’épreuve se sont plus impliqués cette année sur des problématiques qu’ils n’étaient pas censés devoir gérer l’an dernier, comme la circulation autour du circuit.

« Oui, clairement oui. » répond Christian Estrosi lorsqu’on lui demande s’il peut garantir aux gens qu’ils n’auront pas de problème pour se rendre sur le circuit cette année.

« Il y a quand même eu quelque chose d’important, il y a eu une plainte qui a été jugée il y a trois jours d’un spectateur pas content qui a demandé le remboursement, et il a été débouté de sa plainte par le tribunal, qui a dit que le Grand Prix n’était en rien responsable de ce qui lui est arrivé. »

« C’est à dire, si vous avez à vous plaindre, c’est uniquement sur la partie sportive, mais pas sur le trajet, nous ne sommes pas organisateur du trajet. »

« Chacun vient par ses moyens, il y en a qui viennent en Hélicoptère, d’autres en voiture, d’autres en bus. Alors, après, bien-sûr que l’on s’en souci. »

« L’année dernière, c’était un canal préfecture, gendarmerie, avec quelques réunions pour définir un plan et donner nos impératifs pour que les services de l’état gèrent au mieux. »

« Vu ce qu’il s’est passé, on s’en est vraiment mêlé cette année. Nous nous étions contentés de faire des parkings l’année dernière, ça c’était notre job, et on a analysé point par point ce qu’il s’est passé. »

« Ce qu’il s’est passé, c’est que le vendredi nous étions sur une journée où vous avez la vie « normale », et puis, les gens qui viennent [au circuit] et qui ne font pas partie de la vie normale. »

« Vous avez les trajets domicile-travail, vous aviez les salariés qui allaient dans leur entreprise etc.., puis le samedi d’un coup ça a été fluide, et le dimanche aussi. »

Moins de flux le vendredi

« Donc, il y a eu un vendredi noir. A partir de là, quand je dis qu’on s’en est mêlé, c’est à dire qu’on a discuté avec le recteur pour voir si on ne peut pas faire en sorte que ce vendredi là il n’y ait pas de cours dans le bassin scolaire autour du circuit. Nous avons donc passé un accord là-dessus. »

« Déjà, vous enlevez rien qu’avec ça 30% de flux automobile qui n’y seront plus, ensuite nous avons demandé un plan pour qu’il n’y ait plus de croisement, c’est à dire qu’on ne fasse plus passer des voitures pendant cinq minutes de la droite, puis après ceux de gauche. »

Des parking gratuits en 2019

« Ensuite, les parking, ils étaient payants, il fallait montrer son billet de réservation pour le parking, donc on a décidé de faire des parkings gratuits, donc il n’y aura plus de contrôle, donc plus d’attente. »

« Ensuite, nous avons fait des parkings qui vont de trois à huit kilomètres autour du circuit avec une ligne sur la route pour les bus, pour les navettes, ce qui fait que vous laissez la voiture à trois kilomètres, à cinq kilomètres, à huit kilomètres, vous montez dans la navette et en dix minutes vous êtes sur le circuit. »

Un accord avec Waze

« Ensuite, nous avons aussi passé un accord avec Waze pour qu’il y ait une application spéciale mise en route pour guider les gens durant les trois jours. Et puis ensuite, il y a aussi le partenariat avec la presse locale, les radios sur lesquelles on pourra se brancher dans les voitures et qui donneront toutes les indications. »

80% de problèmes solutionnés

« D’après nos évaluations, nous sommes à 80% de problèmes solutionnés. Après, forcément, même si vous mettez 30 minutes à l’approche du circuit, vous n’êtes pas content, alors qu’on en mettait trois heures l’année dernière, mais on est jamais content quand on va sur un grand événement et que l’on attend. » souligne Mr Estrosi.

« Le Grand Prix de France au Castellet cette année, c’est 80% de temps en moins [par rapport à l’an dernier] à la période de pointe, les autres jours il y a zéro problème. On ira au Grand Prix de France comme on va à n’importe quel grand événement culturel ou sportif dans une proportion très, très, très raisonnable. »

L’édition 2019 du Grand Prix de France de Formule 1 se déroulera du 21 au 23 juin sur le circuit du Castellet dans le var.

Le président de Ferrari a présenté ses excuses à Charles Leclerc

Le président de Ferrari, Louis Camilleri, a tenu à présenter ses excuses à son pilote Charles Leclerc pour l’erreur de stratégie commise par son équipe samedi dernier aux qualifications du Grand Prix de Monaco.

A Monaco, Charles Leclerc a été éliminé dès la Q1 aux qualifications le samedi à la suite d’une grossière erreur de la part de son équipe, qui n’a pas jugé bon de le faire sortir en piste dans les dernières minutes de la séance.

Son coéquipier Sebastian Vettel ayant amélioré sensiblement son chrono dans les toutes dernières secondes a indirectement éliminé Charles Leclerc en Q1.

Condamné à prendre le départ de la course depuis la quinzième place le dimanche, le pilote monégasque a pris de gros risques pour remonter la grille en course, mais par impatience, il a percuté le rail à la Rascasse lors d’un dépassement audacieux sur la Renault de Nico Hulkenberg.

Après ce contact, le pneu arrière droit de sa Ferrari est parti en morceaux, ce qui a sévèrement endommagé sa monoplace, obligeant Leclerc à abandonner pour sa course à domicile.

« Nous nous excusons et Leclerc a compris que cela ne pourrait pas se reproduire. L’essentiel est que cela ne se reproduise plus. » a déclaré Louis Camilleri à La Gazetta Dello Sport, au sujet de l’erreur de stratégie commise par Ferrari à Monaco.

« Je suis vraiment désolé, ce sont des choses qui malheureusement peuvent arriver, mais l’important est que cela ne se reproduise plus. »

« C’était une erreur de la part de l’équipe et nous avons compris notre erreur. Nous devons désormais oublier ce qui s’est passé samedi et faire tout ce que nous pouvons pour faire de notre mieux. »

Niki Lauda sera enterré avec sa combinaison Ferrari

Le triple champion du monde de F1, Niki Lauda, qui est décédé lundi dernier à l’âge de 70 ans, sera enterré ce mercredi à Vienne en Autriche.

Le cercueil de l’ancien directeur non-exécutif de l’équipe Mercedes sera exposé au public ce mercredi dans la cathédrale Stephansdom de Vienne en Autriche le mercredi 29 mai 2019, offrant ainsi au public l’opportunité de lui rendre un dernier hommage.

Une messe aura également lieu, tandis que les obsèques se dérouleront dans la plus stricte intimité  pour la famille proche – a précisé la famille de Lauda dans un communiqué de presse.

Niki Lauda sera inhumé avec l’une de ses combinaisons Ferrari, équipe avec laquelle il a remporté deux de ses trois championnats dans sa carrière, alors que la ville de Vienne a offert à Lauda une « tombe d’honneur », une distinction attribuée à des personnalités importantes, dans son célèbre et vaste cimetière central.

Lauda est décédé lundi 20 mai 2019 à l’hôpital universitaire de Zurich en Suisse, entouré des membres de sa famille les plus proches. Il avait 70 ans.

Une étoile rouge chez Mercedes

Afin de rendre hommage à Niki Lauda, l’équipe Mercedes en Formule 1 a décidé de laisser « pour toujours » la petite étoile rouge visible sur le capot moteur de la W10 depuis le Grand Prix de Monaco au cours duquel de nombreux autres hommages ont été rendus à l’autrichien.

Un résultat « dur à encaisser » pour Nico Hulkenberg à Monaco

Nico Hulkenberg n’a pas connu un week-end facile à Monaco, après une élimination en Q2 lors des qualifications et une arrivée à la quatorzième place ce dimanche en course.

Victime d’une crevaison après l’accrochage avec la Ferrari de Charles Leclerc lorsque ce dernier a tenté un dépassement audacieux, Nico Hulkenberg était juste au mauvais endroit au mauvais moment ce dimanche en course à Monaco.

Le pilote allemand ne gardera pas un bon souvenir de l’édition 2019 de son Grand Prix préféré, et se tourne dores et déjà vers Montréal où il espère pouvoir marquer de gros points.

« Rien n’a joué en notre faveur. Nous avons effectué un beau départ en évitant les problèmes, mais nous avons été victimes d’une crevaison lorsque Charles [Leclerc] a découpé mon pneu. » a expliqué Hulkenberg après la course.

« Fort heureusement, je n’ai pas heurté le mur, mais la voiture de sécurité a permis à tout le monde de prendre le dessus. J’étais à l’arrière du train et il était difficile de revenir dans le match. »

« C’est dur à encaisser, car ce résultat ne reflète pas le niveau actuel de compétitivité de Renault. Nous avons montré un excellent rythme avec une piste claire sur la fin. »

« La voiture avait plus de performance et de potentiel que les résultats ne le montrent, mais le sport automobile est parfois ainsi et nous devrons saisir chaque opportunité au Canada. »

Lance Stroll termine derrière…une Williams à Monaco

Lance Stroll a réussi à rallier l’arrivée au Grand Prix de Monaco ce dimanche au volant de sa Racing Point, mais le pilote canadien a terminé la course derrière la Williams de Russell.

Lance Stroll a été incapable ce dimanche à Monaco de terminer la course devant la Williams de George Russell, pourtant considérée [à juste titre] comme l’équipe la moins performante du plateau et de loin.

Le Canadien a connu une course compliquée ce dimanche, alors que son équipe a choisi une stratégie audacieuse en le laissant en piste au moment où la voiture de sécurité a été déployée.

Onzième au restart, le pilote Racing Point dégringolera jusqu’à la dix-huitième position en ressortant des stands et aura le plus grand mal à remonter. Il bloquera finalement sur la Williams du Britannique George Russell.

« Cette fin de semaine a été un vrai défi pour nous. J’ai connu un bon départ, nous avons opté pour une stratégie audacieuse pendant la neutralisation [Safety Car], mais ce pari n’a pas porté ses fruits. » explique Stroll, qui termine le Grand Prix de Monaco à la seizième position.

Pour terminer en beauté, Lance Stroll a également reçu une pénalité de cinq secondes pour avoir court-circuité un virage.

Binotto : « Ferrari n’abandonne pas, les travaux sont en cours à Maranello »

Le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, assure qu’il ne considère pas le Grand Prix du Canada comme la dernière chance pour Ferrari de revenir sur Mercedes au championnat.

Ce week-end à Monaco, Ferrari a signé son meilleur résultat de l’année avec la seconde place de Sebastian Vettel à l’arrivée de l’épreuve.

Bien conscient que Mercedes possède la meilleure monoplace du plateau, le directeur sportif de Ferrari assure que tout le monde travaille très dur à Maranello pour essayer de résoudre les problèmes apparus sur la SF90.

Il n’y aura pas de grandes nouveautés sur la Ferrari pour le Grand Prix du Canada, mais Binotto insiste sur le fait que Ferrari ne se relâche pas pour autant.

« Le Canada ne sera pas la dernière course de la saison, il est donc nécéssaire de continuer à s’améliorer à chaque Grand Prix. » explique Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari à La Gazetta Dello Sport.

« Nous sommes en train de développer un programme qui devrait résoudre les problèmes apparus sur la voiture cette année, les travaux sont en cours à Maranello. »

« Les voitures seront les mêmes qu’à Monaco [pour le Grand Prix du Canada], la seule chose que nous puissions faire est de nous préparer du mieux possible. »

« Comme je l’ai déjà dit, ce n’était pas la dernière course de la saison, je pense que nous ferons mieux au Canada qu’à Barcelone. Mais pour l’instant, Mercedes sont les plus forts, ils ont la meilleure voiture. »

« Ferrari n’abandonne pas. Nous essayons, les développements se poursuivent et le championnat est encore très long. Le Canada est une piste très différente, nous avançons course par course. »

« Nos résultats à ce stade dépend principalement des tracés, si il y a un mélange de courbe à moyenne-élevé à basse vitesse, nous souffrons. La SF90 est en plein développement, à Maranello, nous essayons de trouver le meilleur plan pour la saison. »

« Toute l’équipe est consciente de la situation et tout le monde est motivé pour la renverser. Je ne pense qu’il s’agisse de fuir une quelconque pression, nous sommes totalement concentrés sur notre travail et nous n’avons pas le temps d’écouter ce qui se dit sur nous. »

Honda place ses quatre voitures dans le top dix à Monaco

Le motoriste japonais Honda a réussi à placer ses quatre monoplaces dans les points ce week-end au Grand Prix de Monaco.

Avec une seconde place pour Verstappen [pénalisé ensuite de deux positions], une cinquième place pour Pierre Gasly, une septième place pour Daniil Kvyat et une huitième pour Alex Albon, Honda a une nouvelle fois prouvé que son unité de puissance était désormais très fiable.

Certes, le circuit de Monaco n’est pas considéré comme un tracé « moteur », mais les résultats signés par Honda le week-end dernier à Monaco valent tout de même la peine d’être soulignés, après plusieurs saisons très compliquées pour le motoriste nippon.

« Ce fut une solide performance, qui a permis à nos quatre voitures de terminer dans les points parmi les huit premiers. » a déclaré Toyoharu Tanabe, le directeur technique de Honda.

« Cependant, c’était vraiment dommage que Max [Verstappen] ait eu une pénalité. Les deux équipes ont très bien performé tout le week-end et ont parfaitement géré la stratégie de course ce dimanche. »

« Nous allons désormais faire une pause en Europe pour partir à Montréal. La piste y est très différente de celle-ci, nous allons donc travailler dur pour le développement de notre unité de puissance avant de nous rendre au Canada. »

Les audiences Canal + et TF1 pour le GP de Monaco 2019

Le groupe TF1 a dévoilé les chiffres d’audience du Grand Prix de Monaco 2019 que la première chaîne de France a diffusé ce dimanche en direct et gratuitement.

Vous étiez 2 millions de téléspectateurs devant TF1 ce dimanche à regarder le Grand Prix de Monaco 2019, ce qui représente pour la chaîne 23% des parts d’audience auprès des hommes de moins de 50 ans, et 22% auprès des hommes âgés de 15 à 34 ans.

Pour comparaison, l’année dernière vous étiez plus de 2,18 millions de téléspectateurs à avoir regardé le Grand Prix de Monaco sur TF1, alors qu’il s’agissait de la première course de Formule 1 diffusée par TF1 depuis plusieurs années.

Un million pour Canal +

Du côté de la chaîne payante Canal +, qui diffuse l’intégralité du championnat du monde de Formule 1, dont les séances d’essais libres et les qualifications, vous étiez 902 000 téléspectateurs, avec un pic d’audience à un million à la fin du Grand Prix.

Après les six premières épreuves du championnat 2019, il s’agit de la meilleure audience pour Canal +.

TF1 diffusera encore trois courses en 2019

Pour les passionnés de F1, sachez que TF1 diffusera encore trois courses en 2019: le Grand Prix de France le 23 juin, le Grand Prix de Belgique le 1er septembre et le Grand Prix des Etats-Unis le 3 novembre.

Notez d’ailleurs que le Grand Prix des Etats-Unis 2019 ne sera pas retransmis sur TF1, mais sur la chaîne TMC à 20h50 en direct d’Austin.

Canal + toujours au taquet

Evidemment, pour les très grands passionnés, vous pouvez toujours vous abonner à Canal+ pour suivre l’intégralité de la saison 2019 de Formule 1, avec des interviews exclusives, la retransmission des séances d’essais libres, des qualifications, l’émission la grille avant chaque départ, ainsi que l’émission Formula One après chaque course.

Eric Boullier n’exclut pas un retour en F1

Désormais ambassadeur du GP de France pour assurer la promotion de l’événement et faciliter les négociations entre la F1, la FIA et les organisateurs du Grand Prix de France, Eric Boullier a gardé un pied dans le paddock et n’écarte pas un possible retour.

Après avoir dirigé plusieurs équipes de Formule 1 dans sa carrière, dont Lotus ou plus récemment McLaren, le Français Eric Boullier admet qu’il regrette de ne pas avoir pu ramener McLaren au niveau que l’équipe britannique mérite.

« Je ne peux pas dire quelle équipe de F1 m’a marqué plus que les autres, car elles sont toutes différentes avec une histoire et une culture différentes, composées d’hommes avec lesquels je me suis très bien entendu » explique Eric Boullier à F1only.fr

« Le plus important en Formule 1, c’est de gagner, donc les meilleurs souvenirs sont forcément Abou Dhabi 2012 [victoire de Raikkonen] et Australie 2013 [victoire de Raikkonen] (avec Lotus). »

« Chez McLaren, j’ai fait tout ce que j’ai pu, avec les moyens qu’on m’avait donnés. Le seul regret, c’est de ne pas avoir eu un retour sportif à la hauteur… »

Un retour en F1 en tant que directeur d’équipe ?

Lorsqu’on lui demande de commenter les rumeurs selon lesquelles il pourrait revenir en Formule 1 en tant que directeur d’équipe, Eric Boullier répond : « Des rumeurs, il y en a tous les matins… J’ai passé 20 ans à diriger des équipes. »

« Mais je pourrais très bien revenir, avec un agenda qui coïncide avec le mien, pour que je puisse passer mon rôle [d’ambassadeur du GP de France] à quelqu’un d’autre. »

La presse italienne félicite Vettel, qui a offert à Ferrari son meilleur résultat de l’année à Monaco

Pour la première fois depuis le début de la saison, la presse italienne a fait écho du bon résultat obtenu par Sebastian Vettel au Grand Prix de Monaco.

Second sur le podium de Monaco, Sebastian Vettel a signé le meilleur résultat de la Scuderia Ferrari depuis le début de la saison 2019, alors que son coéquipier Charles Leclerc a dû abandonner ce dimanche en principauté.

Les principaux journaux du pays applaudissent ce lundi la belle performance du pilote allemand, mais n’hésitent pas à critiquer une fois de plus la stratégie de Ferrari [en qualifications] et le manque d’impatience du jeune Charles Leclerc en course.

La Repubblica : « Pour la Scuderia Ferrari, qui est sortie des qualifications avec les os brisés, il y a au moins eu la consolation d’un podium avec l’Allemand. »

« Vettel a fait tout son possible avec une Ferrari pas encore au niveau de la Mercedes. Ce fut une seconde place inattendue. »

« Tandis que le pauvre Leclerc, qui partait presque de Nice, ne pouvait rien faire sur une piste aussi étroite que Monaco, mais nous a tout de même fait rêver avec deux dépassements fous, ce que personne n’avait osé faire, applaudissements. »

La Gazetta Dello Sport : « La seconde place de Vettel à l’arrivée du Grand Prix de Monaco est le meilleur résultat de Ferrari cette saison. Leclerc nous a offert un peu de spectacle en début de course, avant de s’en aller. »

Il Giornale : « Hamilton gagner, Vettel est second grâce à Verstappen. C’est tout de même une belle deuxième place pour Vettel, auteur d’une belle course. Course désastreuse pour Leclerc en revanche. »

Corriere Della Serra : « Vettel a bien joué, mais Ferrari doit maintenant tout miser sur Leclerc. le GP de Monaco nous a fait comprendre une chose: Charles a de la classe et un courage inné et maintenant Binotto doit le favoriser. »

« La mauvaise gestion des qualifications du Grand Prix de Monaco, qui a compromis le talent mais aussi le plan de victoire du jeune Charles Leclerc, restera dans l’histoire, Charles a couru avec une rage plus que justifiée. »

« Vettel mérite une salve d’applaudissements cette fois-ci: il a dirigé une course intelligente, il est resté à l’écart des problèmes et a ramené à la maison autant de points que possible. »

« Charles au contraire s’est retrouvé brisé. Après son élimination en Q1, il a voulu montrer de quoi il était capable, son premier dépassement était spectaculaire, il a ensuite voulu exagérer et l’a payé. »

« Mais finalement, c’est Ferrari qui l’a mis dans cette situation. Il doit aussi grandir, tout comme les hommes en rouge. »

La Stampa : « Quelque chose a changé à Monaco: il n’y a pas eu de doublé Mercedes. Cela devrait redonner un peu le moral à ceux qui sont en rouge pour le reste du championnat. »

Briatore sur l’erreur de Ferrari à Monaco : « Tout le monde sait que la piste évolue »

Comme beaucoup d’observateurs, Flavio Briatore n’a pas compris pourquoi Ferrari n’a pas fait sortir Charles Leclerc des stands samedi dernier aux qualifications du Grand Prix de Monaco.

Le Monégasque s’est fait piéger en restant dans son stand et a été éliminé dès la Q1 à Monaco, alors que le pilote Ferrari avait largement le rythme pour se qualifier en Q3 ce week-end.

Une grossière erreur de la part de son équipe, qui était visiblement concentrée sur Sebastian Vettel, qui a réussi à se qualifier en Q2 dans les toutes dernières secondes de la séance, éliminant d’office la voiture de Leclerc.

« Tout le monde sait que la piste évolue et devient plus rapide. Même en F3, la piste évolue tout le temps et est plus rapide d’au moins trois dixièmes par tour. Alors, pourquoi Ferrari garde son pilote dans les stands ? «  s’est interrogé Flavio Briatore ce week-end à Monaco.

Selon l’Italien, le problème majeur de la Formule 1 moderne provient des pneumatiques, qui sont tout simplement incompréhensibles pour la plupart des équipes.

« D’une course à l’autre ils les changent et certaines équipes les comprennent et d’autres pas. C’est une vraie loterie. »

« Je pense qu’il vaudrait mieux donner à toute la grille un pneu tendre pour les qualifications et un pour la course. Il faut garder la même chose pendant au moins quatre ans, et ceux qui n’arrivent pas à le faire fonctionner y arriveront tôt ou tard. »

Helmut Marko ne comprend pas la pénalité de Verstappen

Helmut Marko estime que la pénalité de cinq secondes infligée à Max Verstappen au Grand Prix de Monaco pour avoir percuté la Mercedes de Valtteri Bottas dans la voie des stands n’était pas justifiée.

Au Grand Prix de Monaco, l’équipe Red Bull a relâché son pilote Max Verstappen juste devant la Mercedes de Valtteri Bottas lors de son seul et unique arrêt au stand ce dimanche.

Mais le pilote Red Bull a percuté la Mercedes du Finlandais dans la voie des stands, ce qui lui a valu une pénalité de cinq secondes et deux points sur sa super licence.

Au final, Verstappen a franchi la ligne d’arrivée en seconde position, mais a dû reculer de deux places après l’application de sa pénalité de temps.

Pour Helmut Marko, cette pénalité infligée à son pilote n’est tout simplement pas justifiée : « C’est une décision amère, parce que nous étions devant et Bottas était derrière. » affirme l’Autrichien.

« Je pense que Bottas aurait pu laisser la priorité. Ensuite, nous avons pris une pénalité de cinq secondes, et Hamilton a bloqué à l’avant, sachant que Max était de retour. »

En toute fin de course, Verstappen a tenté un dépassement audacieux sur la Mercedes de Lewis Hamilton à la sortie du tunnel, mais les deux hommes se sont touchés. Selon Marko, c’est de la faute de Lewis Hamilton.

« Il avait une chance et il l’a saisie juste après le tunnel. Mais lorsque le contact a eu lieu, je pense que Hamilton a tiré à gauche. S’il y avait eu une pénalité, je pense qu’elle aurait été pour Hamilton. »

Renault n’a pas fait un bon choix stratégique avec la voiture de Ricciardo à Monaco

Le directeur général de Renault Sport Racing dresse un bilan plus que mitigé de la sixième épreuve de la saison qui s’est déroulée ce dimanche à Monaco.

L’équipe Renault repart de la principauté de Monaco avec deux points inscrits grâce à Daniel Ricciardo, alors que son coéquipier Nico Hulkenberg a terminé à une lointaine quatorzième place.

Daniel Ricciardo est parti depuis la sixième position sur la grille, mais la stratégie d’anticiper son arrêt ne s’est pas avérée payante. L’Australien a terminé dixième avant d’être promu d’un rang avec l’application des pénalités après l’arrivée.

Daniel Ricciardo réalisait un excellent départ en se hissant en cinquième position. Passé aux stands durant l’intervention de la voiture de sécurité en début de course, il ressortait dans le trafic avant de perdre un temps précieux derrière une McLaren.

Une fois la piste dégagée, il se rapprochait au rythme d’une seconde par tour de la Haas occupant le neuvième rang, place à laquelle il était promu après l’arrivée grâce à la pénalité de temps infligée à Romain Grosjean [5 secondes].

« Après la bonne séance de qualifications, nous pensions qu’une grande partie du travail avait été faite. Malheureusement, la décision la plus importante de la journée a été d’arrêter Daniel pendant l’intervention de la voiture de sécurité. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault.

« Il s’est avéré que ce n’était pas le bon choix, car cela a donné l’occasion à McLaren de mettre en œuvre une stratégie intelligente d’équipe avec Norris et Sainz. »

« Notre retour dans les points est un point positif, mais le plus important est que la voiture ait démontré son potentiel, sur les relais courts hier et les longs relais aujourd’hui. C’est clairement une opportunité manquée qui ne récompense pas tous les efforts déployés par l’équipe et les pilotes pour améliorer la compétitivité de notre ensemble. »

Carlos Sainz a été le meilleur des autres à Monaco

Sixième à l’arrivée du Grand Prix de Monaco, Carlos Sainz a été le meilleur des autres ce dimanche au volant de sa McLaren.

Le pilote espagnol a pris un excellent départ et a ensuite réussi un arrêt au stand impéccable pour lui permettre de franchir la ligne d’arrivé à la sixième position, ce qui fait de lui le meilleur des autres derrière les trois top teams.

« C’était des montagnes russes, mais dans l’ensemble, ce fut aussi une bonne course. » a déclaré Carlos Sainz à l’arrivée du Grand Prix de Monaco.

« Dès le départ, j’ai réussi à dépasser Albon et Kvyat à l’extérieur. Cela m’a rendu de bonne humeur, car ce fut l’un de mes meilleurs départs. »

« J’ai ensuite réussi à montrer une bonne vitesse au bon moment, à la fois avant et après mon arrêt au stand. L’équipe a fait un excellent travail en m’appelant pour mon arrêt, et cela nous a permis de terminer sixième. Cela a semblé facile, mais ce fut des combats très difficiles. »

Lando Norris, le coéquipier de Carlos Sainz, a terminé la course à la porte des points, à la onzième position.

Sergio Perez a failli percuter deux commissaires à Monaco

Sergio Perez s’st fait une belle frayeur ce dimanche à Monaco lorsque deux commissaires se sont retrouvés sur la piste devant sa Racing Point.

Le pilote mexicain a bien failli percuter deux commissaires de piste ce dimanche au Grand Prix de Monaco lorsque la voiture de sécurité était en piste.

Suite à la crevaison de la roue arrière droite de la Ferrari de Charles Leclerc, la direction de course a décidé d’envoyer la Safety Car en piste ce dimanche à Monaco pour permettre aux commissaires de ramasser en toute sécurité les débris éparpillés par la SF90 du pilote monégasque.

C’est alors à ce moment-là que la plupart des pilotes ont décidé d’entrer dans la voie des stands pour effectuer un arrêt « gratuit », mais alors que Sergio Perez rejoignait la piste au volant de sa Racing Point RP19, le pilote mexicain s’est retrouvé nez à nez avec deux commissaires.

« Pendant la voiture de sécurité, j’ai failli percuter des commissaires. » a déclaré Perez après l’arrivée de la course.

« Ce n’était vraiment pas bon. Ils étaient en train de courir, alors que je sortais des stands. J’ai dû freiner, ils ont eu beaucoup de chance que j’arrive à les éviter. »

Sergio Perez a franchi la ligne d’arrivée du Grand Prix de Monaco à la treizième position ce dimanche.