Vainqueur aux 24H de Daytona, Alonso se dit très fier !

Vainqueur des 24H de Daytona ce week-end avec ses coéquipiers du Team Wayne Taylor Racing, Fernando Alonso se dit fier du travail effectué depuis deux mois maintenant.

Le pilote espagnol admet que la course n’était pas facile à Daytona, d’autant que les concurrents ont rencontré des conditions météo détestables, obligeant même la direction de course à agiter le drapeau rouge à deux reprises, alors qu’une grande partie du dernier tiers de la course a été courue sous drapeau jaune.

« Je suis très fier du travail que nous avons réalisé aujourd’hui, mais ce n’était pas juste le travail d’une seule journée, mais le travail d’un mois. » a déclaré Fernando Alonso à l’arrivée de l’épreuve.

« Pour moi tout a commencé en décembre lorsque j’ai reçu les documents pour comprendre comment fonctionne la Cadillac et comment fonctionne le team Wayne Taylor Racing. »

« Certaines procédures sont différentes par rapport aux autres équipes, et nous avons essayé d’avoir une intégration rapide, Kamui [Kobayashi] et moi, en essayant d’apprendre autant que possible de l’équipe lors des tests [avant la course], puis pendant la course elle-même. Mais c’était très difficile, les conditions changeaient tout le temps. »

Après sa victoire avec Toyota au 24H du Mans, Fernando Alonso peut désormais se targuer d’avoir remporté les 24H de Daytona,

Kimi Raikkonen a « très vite rebondi » après l’annonce de Ferrari

Le manager de Kimi Raikkonen, Steve Robertson, assure que c’est bien Kimi Raikkonen lui-même qui a décidé de rejoindre l’équipe Sauber en 2019.

Robertson a révélé que c’était bien le pilote finlandais qui avait pris contact avec Sauber pour discuter d’un éventuel contrat pour 2019 dans le cas où Ferrari ne le reconduirait pas.

« Lorsque Kimi a appris qu’il n’aurait pas de contrat chez Ferrari pour la saison prochaine, c’est lui qui a pris la décision. » explique Steve Robertson au site officiel de la F1.

« C’est lui qui a initié les discussions avec Sauber pour éventuellement piloter pour eux en 2019. Il voulait continuer, nous avons d’abord eu un entretien avec les propriétaires de Sauber, puis avec Fred [Vasseur], le team principal et Beat [Zehnder, le team manager de l’écurie suisse] au sujet de l’Intérêt de l’équipe pour ses services. »

« Fred a d’ailleurs confirmé depuis lors combien Kimi s’était montré très intéressé par les plans de l’écurie pour cette saison. »

« Kimi voulait prendre la température et savoir si son enthousiasme était partagé par l’équipe. Cela a été le cas et le deal s’est conclu là-dessus. »

La nouvelle en provenance de Ferrari comme quoi Kimi Raikkonen ne serait pas reconduit en 2019 est tombée le week-end du Grand Prix d’Italie. Robertson explique que le pilote finlandais n’était pas très heureux, mais a su rebondir très vite.

« Lorsqu’il a appris la nouvelle en Italie, disons qu’il n’était pas très heureux. » explique Robertson. « Mais il a très vite rebondi, parce que son envie de piloter est toujours aussi forte, il sent qu’il a encore quelque chose à donner à la Formule 1. »

En 2019, Kimi Raikkonen fera équipe chez Sauber avec le jeune pilote issue de la Ferrari Driver Academy, Antonio Giovinazzi.

Renault est très optimiste du côté du moteur

Marcin Budkowsky, le directeur exécutif de Renault Sport Racing, affirme que l’équipe du constructeur français est très optimiste après les premières données moteur recueillies sur le banc d’essais.

Renault s’attend à faire un bon en avant en terme de performance en 2019, mais Budkowsky admet qu’il faut encore arriver à trouver le bon compromis entre performance et fiabilité, afin de permettre à l’équipe de ne pas utiliser plus de moteurs que ce que permet la réglementation au cours d’une saison.

« Nous sommes très optimistes du côté du moteur. » a déclaré le directeur exécutif de Renault, Marcin Budkowsky à Crash.net.

« Mais le moteur est comme le châssis, ce n’est jamais terminé tant que vous n’avez pas participé à la première course. »

« Mais c’est très prometteur du côté de la performance, alors que nous devons encore surmonter les difficultés en terme de fiabilité et de durabilité. C’est ce que nous faisons actuellement à Viry-Châtillon. »

« Nous travaillons toujours sur les moteurs qui débuteront l’année, et à la fin, nous devons trouver le bon compromis entre performance et fiabilité. »

« Vous pouvez toujours extraire autant de performance que vous souhaitez de n’importe quel moteur, mais cela risque de ne pas durer le nombre de courses ou le nombre de sessions que vous souhaitez. »

« Nous devons donc voir où positionner ce curseur en terme de performance par rapport à la fiabilité, Mais nous sommes très optimistes. »

Stoffel Vandoorne s’excuse de son « erreur stupide » lors du ePrix de Santiago

Stoffel Vandoorne a présenté ses excuses à son équipe HWA après sa sortie de piste lors de l’ePrix de Santiago qui l’a obligé à abandonner.

Le pilote belge, qui a quitté la Formule 1 à la fin de la saison 2018 pour rebondir en Formule E cette année, ne connait pas des débuts faciles en catégorie électrique, puisqu’il n’a pas marqué le moindre point en trois courses.

Le week-end dernier à Santiago, Vandoorne s’était pourtant qualifié à une honorable cinquième position sur la grille, mais une erreur de pilotage en course a réduit à néant ses espoirs de marquer ses premiers points pour son équipe.

Après un freinage raté, le Belge s’est retrouvé encastré dans un mur, détruisant l’avant de sa monoplace et l’obligeant à abandonner.

« Je suis extrêmement déçu de mon erreur stupide, je suis vraiment désolé pour toute l’équipe. » a déclaré Vandoorne.

« Nous pouvions gagner de gros points aujourd’hui, mais nous allons travailler dur pour revenir plus fort. »

Lors de ce ePrix de Santiago très mouvementé, Stoffel Vandoorne n’a pas été le seul pilote à partir à la faute, puisque Sebastien Buemi, alors leader de la course, est lui aussi allé frapper le mur avec sa Nissan.

Le Suisse a dû abandonner, permettant à Sam Bird de remporter le ePrix de Santiago devant la Mahindra de Pascal Wehrlein et l’Audi de Daniel Abt.

Valtteri Bottas termine son premier Rallye à la cinquième place

Le pilote Mercedes, Valtteri Bottas, s’est plutôt bien débrouillé pour sa toute première participation à un Rallye, puisque le Finlandais a terminé à la cinquième place au général lors de l’Artic Lapland Rally.

Pour sa première apparition en Rallye, Valtteri Bottas était au volant d’une Ford Fiesta WRC aux mêmes spécifications que celles utilisées par M-Sport en 2018.

Cinquième au général à l’arrivée de l’épreuve, Valtteri Bottas s’est même payé le luxe de réaliser le meilleur chrono dans une étape spéciale, devant les spécialistes du championnat, qui étaient au volant d’une voiture de catégorie R5 moins performante.

« Je suis très content d’avoir terminé mon premier Rallye, ce n’est pas facile dans ces conditions de rester concentré et de ne pas faire de fautes. » expliquait Bottas à l’arrivée de l’épreuve.

« Je me suis beaucoup amusé, et si mon calendrier me le permet, j’aimerais bien renouveler l’expérience, peut-être l’année prochaine ou à un autre moment, je ne sais pas encore. »

Notons que Valtteri Bottas a dû demander l’autorisation à Mercedes pour pouvoir participer à ce Rallye, autorisation accordée par le constructeur allemand, moyennant une grosse prime d’assurance.

Verstappen vise plusieurs titres mondiaux avant ses 30 ans

Max Verstappen est bien conscient qu’il a encore du temps devant lui avant de pouvoir décrocher son premier titre mondial en Formule 1.

Âgé de seulement 21 ans, le pilote Red Bull Racing se laisse encore quelques années avant de commencer à se battre réellement pour le titre mondial, d’autant qu’en 2019, Red Bull sera équipée du moteur Honda et que personne ne peut prédire si le V6 turbo du motoriste japonais sera en mesure de rivaliser avec les moteurs Mercedes ou Ferrari.

Verstappen va donc faire preuve de patience, alors que le jeune hollandais espère tout de même avoir le package parfait d’ici deux ans, lorsque les nouvelles règles 2021 rentreront en vigueur en Formule 1.

Cela lui laissera alors quelques années avant ses 30 ans pour remporter plusieurs titres mondiaux avec son équipe.

« J’espère que dans deux ans nous aurons le package parfait, j’aurai alors plus ou moins 23 ans, donc, nous aurons encore six ou sept ans pour remporter des titres mondiaux. » explique Max Verstappen.

« Par conséquent, j’en espère environ quatre, ce serait sympa. Mais je trouve toujours que c’est difficile à dire, parce qu’on dépend énormément du package en Formule 1. »

En 2019, Max Verstappen fera équipe avec le Français Pierre Gasly, qui débutera sa seconde saison en Formule 1.

Minardi : « Giovinazzi sera capable de mettre en difficulté Raikkonen »

Gian Carlo Minardi pense que Antonio Giovinazzi aura les capacités de mettre en difficulté son coéquipier Kimi Raikkonen cette année chez Sauber.

L’Italien Antonio Giovinazzi a signé un contrat avec l’équipe Sauber en 2019 où il fera équipe avec le champion du monde 2007, Kimi Raikkonen.

Selon Minardi, Kimi Raikkonen devra se méfier de son jeune coéquipier, qui pourrait bien le mettre en difficulté cette année.

« L’arrivée d’Antonio en F1 est un signal très important pour tout le sport automobile italien, pour les jeunes pilotes et pour l’avenir du Grand Prix d’Italie, ainsi que pour la Fédération. » a déclaré Minardi.

« J’ai toujours affirmé qu’en Italie, ce ne sont pas les pilotes qui manquent, mais les ressources et je suis heureux qu’Antonio n’ait réussi à abattre cette barrière que grâce à ses qualités et sa vitesse. »

« J’espère que ce retour est de bon augure pour amener également les entreprises à s’intéresser davantage à notre sport automobile. Le Finlandais [Raikkonen] devra bien regarder au dessus des épaules de Giovinazzi, car je suis sûr qu’il pourra le mettre en difficulté. »

Rappelons que Giovinazzi a déjà pris le départ de deux courses en Formule 1, c’était en 2017 lorsque le pilote italien remplaçait Pascal Wehrlein chez Sauber pour les deux premières courses de la saison en raison d’une blessure pour le pilote allemand au cours de l’hiver.

Giovinazzi n’avait pas beaucoup impressionné, alors qu’il avait crashé sa monoplace à deux reprises au Grand Prix de Chine.

McLaren arrivera à Barcelone avec une monoplace fiable

Le PDG de McLaren, Zak Brown, estime que son équipe a fait de grands progrès cet hiver pour arriver à Barcelone avec une monoplace plus fiable que les années précédentes.

En 2018, lors des essais hivernaux, McLaren a été contrainte de régler plusieurs problèmes de fiabilité dés les premiers jours de tests, ce qui l’a inévitablement freiné dans le développement de la performance les jours suivants, d’autant que la neige est également venue paralyser ces tests hivernaux en 2018.

Pour 2019, Brown assure que son équipe arrivera à Barcelone avec une monoplace bien plus fiable, afin de se concentrer davantage sur la performance.

« Les équipes font les choses différemment pour être plus préparées qu’il y a douze mois, pas seulement avec la performance, parce que nous avons eu beaucoup de problèmes de fiabilité lors des essais à Barcelone l’an dernier. » explique Zak Brown.

« Nous avons pris des mesures pour nous en sortir, nous continuerons à nous developper comme toutes les équipes sur une base hebdomadaire. »

« L’une des raisons – ce n’est pas la seule raison – mais l’une des raisons pour laquelle nous avons été lents à apporter de la performance est que nous avons eu des problèmes de fiabilité. »

« Donc, vous descendez la voiture du camion à Barcelone, et au lieu de vous attaquer directement à la performance, vous devez régler des problèmes d’écrou de roue, de surchauffe, puis vous arrêtez de vous concentrer sur la performance pour vous concentrer sur la fiabilité. »

Sam Bird remporte le ePrix de Santiago

Sam Bird a remporté le ePrix de Santiago du Chili, le pilote Virgin devance la Mahindra de Pascal Wehrlein et l’Audi de Daniel Abt.

Derrière, Edoardo Mortara, Robin Frijns, Mitch Evans, Jose Maria Lopez, Alexander Sims, Jérôme D’Ambrosio et Oliver Turvey complètent le top dix à l’arrivée.

Buemi sous pression commet une erreur

Le Suisse Sebastien Buemi, qui s’élançait depuis la pôle position en raison du déclassement de Lucas Di Grassi,  se trouvait en tête de la course depuis le départ, mais sous la pression de Sam Bird, le pilote Nissan a commis l’erreur de mettre une roue hors trajectoire, ce qui a envoyé sa monoplace dans le mur.

Fou de rage, Sebastien Buemi n’a pas eu d’autre choix que d’abandonner, alors qu’il pouvait peut-être espérer remonter au championnat grâce à une victoire aujourd’hui.

Vandoorne dans le mur

Pour sa troisième course en Formule E, Stoffel Vandoorne a terminé dans le mur avec sa HWA. Le Belge, qui s’élançait depuis la cinquième position, a été piégé au restart de la course après un drapeau jaune, ses gommes n’étaient pas en température et le pilote belge n’a pas réussi à freiner à temps et à éviter le mur.

Un mauvais jour pour JEV

Jean-Eric Vergne n’a pas connu un week-end facile à Santiago, puisque après avoir été piégé en qualifications en partant dans le premier groupe sur une piste sale et moins rapide, le pilote français s’est fait percuter par la BMW de Da Costa en course.

JEV a dû repartir en queue de peloton, l’obligeant à utiliser ses deux Attack Modes pour essayer de remonter le plus haut possible, mais il terminera finalement à la dix-septième  position.

Maximilian Gunther en panne en plein milieu de la piste

Le direction de course a agité un drapeau jaune relativement long à 25 minutes de la fin de course afin de permettre aux commissaires de piste d’aller chercher la Dragon de Gunther qui était en panne en milieu de piste.

Massa envoyé dans le mur

Felipe Massa, un autre rookie de la catégorie, a lui aussi fait les frais de nombreuses touchettes en course. Le pilote Venturi a été projeté dans un mur et a dû abandonner en raison de dégâts trop importants sur sa monoplace.

Officiel : Di Grassi déclassé, Sebastien Buemi obtient la pôle à Santiago

Placé sous investigation après avoir signé la pôle position à Santiago ce samedi, Lucas Di Grassi a finalement été déclassé par les commissaires de course du ePrix de Santiago.

Le pilote Audi devra prendre le départ de la course depuis la dernière position sur la grille et a été exclu du classement pour un problème de lié à sa vitesse lors de son tour lent après la Super Pôle.

Cette exclusion permet donc à Sebastien Buemi d’obtenir la pôle position, le pilote Nissan devance la Mahindra de Pascal Wehrlein et l’Audi de Daniel Abt.

Notez que Stoffel Vandoorne, qui avait signé le cinquième temps en Super Pôle, a lui aussi reçu une pénalité pour avoir grillé un feu rouge dans la voie des stands pendant la phase terminale des qualifications. Le Belge se retrouve donc sixième, mais avec la disqualification de Di Grassi, il remonte au cinquième rang.

Le départ de ePrix de Santiago du Chili a lieu ce samedi soir à 20h00 (heure française).

Lucas Di Grassi décroche la pôle à Santiago devant Buemi

Lucas Di Grassi a signé la pôle position au ePrix de Santiago du Chili, le pilote Audi devance la Nissan eDams de Sebastien Buemi et la Mahindra pilotée par Pascal Wehrlein.

Derrière, Daniel Abt, Sam Bird, Stoffel Vandoorne (le chrono signé par Vandoorne en Super Pôle a été annulé suite à un feu non respecté dans la voie des stands; le Belge recule donc d’une place et se retrouve sixième sur le grille de départ) puis Edoardo Mortara, Maximilian Gunther, Alexander Sims et Felipe Massa complètent le top dix de cette séance de qualifications du ePrix de Santiago.

Les pilotes du groupe 1 désavantagés

Tous les pilotes du Groupe 1 [qui ont été tirés au sort] se sont fait piéger par une piste moins rapide en raison de la présence de poussière sur le tarmac.

Les pilotes s’étant élancés dans le groupe 2 ont tous été plus rapides et sont passés devant les cinq pilote du groupe 1.

Jean-Eric Vergne s’est d’ailleurs plaint d’un manque d’équité, alors que le pilote Techeetah a été exclu de la Super Pole, il termine à la treizième place : « J’ai fait un tour clair, mais bon, on est clairement désavantagés, il faut vraiment qu’ils fassent quelque chose parce que ce n’est vraiment pas équitable. » a déclaré le Français.

Lucas Di Grassi sous investigation

Le pilote Audi Lucas Di Grassi a été placé sous investigation par la direction de course du ePrix de Santiago pour avoir consommé trop d’énergie, le Brésilien pourrait devoir reculer sur la grille de départ en cas de pénalité.

Une belle brochette en Super Pôle

Les six meilleurs pilotes se sont qualifiés pour la Super Pôle, parmi lesquels Pascal Wehrlein, Sebastien Buemi, Lucas Di Grassi, Sam Bird, Stoffel Vandoorne et Daniel Abt.

Rendez-vous désormais à 20h00 (heure française) pour le départ du ePrix de Santiago du Chili.

EPrix de Santiago – EL2 : Lopez se montre le plus rapide avant les qualifications

Jose Maria Lopez a signé le meilleur temps de la seconde et dernière séance d’essais libres du ePrix de Santiago du Chili. Le pilote Dragon devance de 66 millièmes la Virgin Racing de Robin Frijns et d’un dixième l’Audi de Lucas Di Grassi.

Derrière, Sam Bird, Pascal Wehrlein, Mitch Evans, Jerome D’Ambrosio, Alexander Sims, Oliver Rowland et Antonio Felix Da Costa complètent le top dix.

Buemi a pu prendre la piste

Sebastien Buemi, qui avait endommagé sa monoplace lors de la première séance d’essais libres en frappant un pur de pneus, a pu prendre part à cette seconde séance d’essais libres du ePrix de Santiago avec sa Nissan eDams. Le pilote suisse termine tout de même à la quinzième position de ce classement.

André Lotterer touche le mur

Le pilote Techeetah, coéquipier de Jean-Eric Vergne, est allé faire une grosse touchette sur un mur en béton en fin de séance, l’Allemand a perdu l’arrière de sa monoplace, mais a réussi à limiter les dégâts.

Le circuit rapide, bosselé et poussiéreux de Santiago du Chili nous promet dores et déjà une séance de qualifications disputée, tandis que la course devrait être mouvementée.

Rendez-vous à 16h00 (heure française) pour la séance de qualifications du ePrix de Santiago du Chili, troisième manche de la saison 2018/19. La course se disputera à 20h00 (heure française).

La Formule 1 se préparerait à mettre en place un GP des Philippines

Liberty Media continue son travail pour élargir le calendrier de la Formule 1 et pourrait être sur le point de poursuivre sa percée sur le marché asiatique avec un Grand Prix des Philippines.

Selon le journal britannique, The Independent, la Formule 1 aurait déposer une demande de marque portant le nom de « Grand Prix des Philippines », ce qui pourrait lui permettre d’organiser sa toute première course dans le pays.

Ce serait la première fois que les Philippines organiseraient un Grand Prix de F1, alors que le pays renforce sa présence dans le sport automobile après avoir construit une piste en dehors de la capitale, Manille.

La Formule 1 aurait déposé la demande d’enregistrement de marque auprès de l’Office de la propriété intellectuelle des Philippines dans sept catégories différentes, notamment les événements sportifs, la radiodiffusion, les vêtements et les produits imprimés.

La presse britannique confirme également que la demande a été enregistrée le 7 janvier 2019; accompagnée d’une demande d’enregistrement de la marque « Grand Prix de Manille », confirmant ainsi l’hypothèse que la ville pourrait accueillir la course de F1 si elle obtenait le feu vert.

La Formule 1 continue donc son travail pour que le calendrier de la F1 comporte 25 courses par an, alors qu’en 2020, un nouveau Grand Prix fera son apparition de façon officielle avec le Grand Prix du Vietnam à Hanoï.

EPrix de Santiago – EL1 : Di Grassi le plus rapide, Buemi dans le mur

Le pilote Audi, Lucas Di Grassi, a signé le meilleur chrono de la première séance d’essais libres du ePrix de Siantago du Chili, le pilote brésilien devance Pascal Wehrlein et Sam Bird.

Derrière, Robin Frijns, Jean-Eric Vergne, Antonio Felix Da Costa, Oliver Turvey, André Lotterer, Daniel Abt et Jerome D’Ambrosio complètent le top dix.

Sebastien Buemi dans le mur

Sebastien Buemi, le pilote Nissan-eDams a commis une erreur de pilotage et n’a pas pu éviter le mur de pneus, endommageant sérieusement sa monoplace.

Ce choc, relativement violent, a obligé la direction de course à déployer un drapeau rouge trente minutes avant la fin de la séance.

Le choc a semble-t-il endommagé uniquement le train avant droit de la Nissan du pilote suisse, mais par effet de rebond sur les murs de pneus, sa monoplace est ensuite allée taper un autre mur de pneus de pleine face.

Maximilian Gunther en panne

A deux reprises, le pilote Geox Dragon a dû immobiliser sa monoplace sur la bas côté de la piste en raison d’un problème technique. Finalement, la direction de course a décidé d’agiter un Full Course Yellow pour permettre à Guhnther de rejoindre la voie des stands au ralenti sans danger.

Alexander Sims touche le mur dans les dernières minutes

Le pilote BMW Motorsport est allé froler le mur dans les dernières minutes de la séance, endommageant légèrement sa monoplace sur le côté droit.

Rendez-vous désormais pour la seconde séance d’essais libres du ePrix de Santiago du Chili à 14h00 (heure française).

Les organisateurs du GP de Russie veulent rendre la piste de Sotchi plus abrasive

Les organisateurs du Grand Prix de Russie étudient l’idée de modifier le côté abrasif de la piste de Sotchi afin d’augmenter le spectacle pour les fans.

Le promoteur de la course n’envisage pas de modifier le tracé russe, mais l’idée de rendre l’asphalte un peu plus abrasif pour obliger les pilotes à effectuer plus qu’un seul arrêt semble être à l’étude.

« Nous sommes en plein cœur du parc olympique, entouré par un décor somptueux. » explique Alexey Titov, président de la société Rosgonky, qui organise le Grand Prix de Russie à Sotchi.

« Modifier la configuration de la piste me semble très compliqué, mais nous songeons à d’autres solutions comme modifier l’abrasivité de l’asphalte. C’est un tout cas une piste que nous étudions en profondeur. »

Pour rendre une piste plus abrasive, les organisateurs pourraient, par exemple, sabler le bitume ou bien le traiter chimiquement afin d’en augmenter le côté abrasif.

Le Grand Prix de Russie se déroulera cette année le 29 septembre à Sotchi sur les bords de la mer noire, sur l’ancien site ayant accueilli les JO d’hiver en 2014.

Les équipes ont rejeté l’idée d’une présentation commune

La plupart des monoplaces 2019 qui seront présentées par les équipes le mois prochain ne pourront être vues qu’en partie.

Rappelez-vous, initialement, les dirigeants de la Formule 1 souhaitaient organiser une grande cérémonie pour la présentation des monoplaces, ouverte aux médias et retransmise en direct pour les fans.

Mais cette idée a été catégoriquement rejetée par les équipes de Formule 1, qui ne souhaitent pas révéler les détails de leur nouvelle monoplace à la concurrence avant les essais hivernaux.

D’ailleurs, lors des présentations qui seront effectuées cette année, les équipes devraient faire en sorte de cacher les éléments qu’elles ne souhaitent pas monter à la concurrence.

Cette année, seule l’équipe Racing Point a décidé d’organiser une présentation un peu plus travaillée que les autres écuries en donnant rendez-vous à certains journalistes accrédités [dont F1only.fr] à Toronto au Canada le 13 février dans le cadre de l’Auto Show International.

Mais même là, la monoplace qui sera présentée aux journalistes ne sera pas celle qui participera à la saison 2019, il s’agira en fait de la voiture de la saison précédente arborant uniquement la livrée 2019. Il faudra donc attendre les essais hivernaux pour pouvoir voir la nouvelle Racing Point pour de vrai sur la piste.

Jusqu’à présent, seules six des dix équipes de F1 ont dévoilé la date de présentation de leur monoplace, l’équipe Sauber étant celle qui dévoilera au tout dernier moment sa C38 dans la voie des stands du circuit de Barcelone en Espagne le matin de la première journée des essais hivernaux.

Dans ce contexte, il n’est même pas encore certain que les monoplaces que nous pourrons voir lors des essais hivernaux à Barcelone soient des versions finales des monoplaces qui seront alignées à Melbourne pour la première course de l’année, avec très certainement des pièces non conformes à la réglementation [elles sont autorisées à les monter pour les essais] et qui devraient disparaître d’ici le GP d’Australie.

Vous l’avez compris, les équipes de F1 jouent à un jeu de cache cache cette année, alors que la première présentation aura lieu le 11 février 2019, il s’agira de la Toro Rosso STR14, qui sera dévoilée en direct sur internet.

Les dates de présentation des F1 2019

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Renault pense que les progrès de Honda seront freinés par un manque de fiabilité

Le patron de Renault, Cyril Abiteboul, doute que son rival Honda représente une sérieuse menace en 2019, surtout si la fiabilité de son unité de puissance n’est que légèrement supérieur à celle de l’an dernier.

En 2018, Honda a utilisé l’équipe Toro Rosso comme un véritable laboratoire, en plaçant d’abord la priorité sur la performance plutôt que la fiabilité.

L’équipe basée à Faenza a utilisé huit unités de puissance en 2018, soit cinq de plus que le quota autorisé par la FIA pour une saison complète.

Pour cette nouvelle année, Cyril Abiteboul pense que Red Bull, qui sera équipée du moteur Honda à son tour, ne pourra pas échapper aux pénalités en raison du manque de fiabilité du bloc V6 japonais et ne sera donc pas une menace directe pour l’équipe du constructeur français.

« Cela sera bien-sûr réglé si l’on concède soudainement que l’on peut prendre cinq pénalités moteur la saison prochaine. » explique Abiteboul à Autosport.

« Chez Toro Rosso, personne ne levait les yeux quand cela se produisait, mais avec Red Bull, je m’attends à un tourbillon supplémentaire, et cela va les ralentir bien-sûr. »

« S’ils veulent respecter les règles, ils auront deux ou trois occasions d’améliorer le groupe propulseur durant la saison, tout comme nous. »

« Mais il y a également le championnat constructeurs et nous savons que ces pénalités sur la grille ont un impact énorme sur notre capacité à marquer des points, et nous ne voulions pas risquer cela. »

« Honda est une menace à certains égards, mais tout le monde l’est aussi. Je m’attends à ce que la menace s’atténue avec le temps et je crois aux progrès que nous avons accompli cet hiver. »

Charles Leclerc met en garde Russell sur les pièges à éviter en F1

Charles Leclerc, le nouveau pilote Ferrari, s’apprête à débuter sa seconde saison en Formule 1 après une première excellente première année de sa part avec l’écurie Sauber.

Le jeune monégasque a réussi haut la main l’examen de passage en 2018, ce qui lui a valu le droit de devenir pilote Ferrari aux côtés de Sebastian Vettel à peine douze mois après son arrivée en catégorie reine du sport automobile.

Cette année, George Russell, un autre jeune pilote issue de la Formule 2, fera ses débuts en F1 avec l’écurie Williams. C’est donc l’occasion pour Leclerc de mettre en garde le Britannique sur les pièges à éviter impérativement en arrivant en Formule 1.

« C’est extrêmement difficile de gérer les pneus en Formule 1, et la gestion de l’essence est quelque chose de nouveau. » explique Charles Leclerc, cité par RaceFans.

« Vous devez donc changer certaines choses en F1. Le plus difficile cependant, a été la longueur des courses. »

« Habituellement, je devais piloter vingt tours puis c’était fini, mais en Formule 1, vous devez soudainement piloter plus de quarante tours, ce qui fait qu’à la fin de la course vous êtes plutôt cassé. »

« En dehors de cela, c’est juste un peu différent, mais finalement, il n’y a pas une si grande différence. »

« George est un excellent pilote, il est très rapide. Mais on ne peut pas savoir s’il va trébucher sur les mêmes choses que moi, je n’ai pas vraiment de conseils pour lui, je suis sûr qu’il trouvera son chemin vers le sommet. »

George Russell fera équipe avec le très expérimenté Robert Kubica en 2019, le Polonais signant son grand retour en Formule 1 après huit ans d’absence.

Toro Rosso dévoile la date de présentation de la STR14

L’équipe Toro Rosso est devenue ce vendredi la sixième équipe de F1 à dévoiler la date de présentation de sa monoplace 2019.

La formation italienne dévoilera la STR14 le 11 février 2019 et devient donc pour l’instant la première équipe à lancer le bal des présentations.

La STR14 sera dévoilée une semaine avant les essais hivernaux 2019, qui se dérouleront sur le circuit de Catalogne en Espagne et que vous pourrez vivre en direct sur F1only.fr via un live commenté.

A l’heure actuelle, seules quatre écuries n’ont pas encore dévoilé la date de présentation de leur monoplace, il s’agit de Mercedes, Williams, Haas et Red Bull Racing.

Les dates de présentation des F1 2019

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La Racing Point pourrait ressembler à cela en 2019

Il y a quelques heures, nous vous informions que l’équipe Racing Point avait signé un contrat de sponsoring avec SportPesa, une société de paris en ligne.

Si cette information s’avère exacte, la Racing Point qui sera pilotée par Lance Stroll et Sergio Perez en 2019 devrait changer de couleur et devenir un peu moins rose que ces deux dernières années.

Le sponsor BWT, qui a rendu la Racing Point rose ces dernières années, ne devrait pas quitter l’équipe en 2019, mais son investissement devrait être un peu moins important que le nouveau sponsor SportPesa.

Dans ce contexte, la monoplace de l’écurie dirigée désormais par un consortium canadien, devrait reprendre les couleurs de la société SporPesa avec une dominante de bleu.

Sean Bull, un brillant designer qui n’hésite jamais à personnaliser les Formule 1 dés que l’occasion se présente, avait déjà publié une image il y a quelques temps montrant à quoi pourrait ressembler la future Racing Point en 2019.

L’équipe dévoilera sa livrée 2019 [uniquement la livrée sur la monoplace de l’an dernier] le 13 février prochain en direct de Toronto au Canada.

Que pensez-vous de cette livrée ? N’hésitez pas à commenter cet article un peu plus bas dans la section des commentaires.