Jean Todt confirme des discussions pour une grille à 12 équipes

Le président de la FIA, Jean Todt, a révélé qu’il était en discussions avec Liberty Media pour pour pouvoir accueillir deux équipes supplémentaires sur la grille en F1.

Jusqu’à présent, la grille de la Formule 1 n’est composée que de dix équipes, tandis que la situation financière catastrophique de l’équipe Force India l’an dernier a bien failli faire chuter ce chiffre à neuf.

Finalement, un consortium canadien dirigé par le milliardaire Lawrence Stroll a racheté l’équipe Force India, qui a depuis été rebaptisée Racing Point.

Mais pour Jean Todt, le fait de discuter avec les détenteurs des droits commerciaux de la F1 de l’arrivée potentielle de deux équipes supplémentaires, ne veut pas dire pour autant que cela se fera.

“C’est un long débat, nous avons actuellement dix équipes stables, mais nous discutons avec les détenteurs des droits commerciaux et les équipe au sujet du renouvellement des accords Concorde après 2020.” explique Jean Todt.

“Nous réfléchissons à beaucoup de choses, mais bien sûr, je pense que c’est mieux d’avoir douze équipes, même si les équipes ne sont pas satisfaites de cela, car la répartition financière change à nouveau, mais cela fait partie de la discussion.”

“En fin de compte, le nombre d’équipes n’est pas le facteur le plus important. Ce qui est le plus important, ce sont la qualité des équipes et la qualité des courses, et nous sommes tout à fait d’accord avec la Formule 1. Nous travaillons très étroitement avec Chase Carey et son équipe.”

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Vasseur : “Une situation financière intenable pour au moins six équipes”

Selon Frederic Vasseur, le team principal d’Alfa Romeo Racing, la situation financière actuelle en Formule 1 n’est pas viable pour au moins six des dix équipes de la grille.

Liberty Media, la FIA et les équipes de Formule 1 sont  actuellement en pleines discussions concernant la nouvelle réglementation qui entrera en vigueur en 2021 en F1.

Des négociations sont également en cours sur les nouveaux accords concorde qui régissent la redistribution des gains et des revenus aux équipes de Formule 1.

“Le problème est qu’il y a dix équipes autour de la table, chacune avec une approche différente, une structure complètement différente et un budget différent, je ne veux pas parler de compétitivité, mais si vous regardez Haas et Renault: ils sont au même niveau, mais avec une approche complètement différente.” explique Fred Vasseur à GPToday.net

“Si vous écoutez tout le monde, vous ne trouverez aucun compromis, car aucune décision ne convient à une entreprise, mais elle doit finalement agir et se décider.”

“Il est bon que tout le monde soit écouté, mais à un moment donné, il faut agir et des responsabilités doivent être assumées. Bien sûr, certaines équipes ne seront pas heureuses, mais vous ne devez pas trouver le meilleur compromis, mais la meilleure direction pour le sport.”

Concernant la limite budgétaire qui devrait être introduite en 2021, Frederic Vasseur espère que les négociations permettront à toutes les équipes de la grille de survivre.

“Honnêtement, il faut un point de départ, parce que vous savez que cette situation est intenable pour au moins six équipes sur la grille.”

“Je pense que nous, les propriétaires et les actionnaires des équipes faisons de notre mieux pour survivre aux changements qui entreront en vigueur en 2021, car cela doit être changé.”

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Les GP F1 diffusés à l’Atelier Renault en 2019

Renault vous propose de venir à l’atelier Renault à Paris pour regarder les Grands Prix F1 sur écran géant tout au long de cette saison.

Le constructeur français Renault vous accueillera tout au long de la saison à l’atelier Renault situé au 53 avenue des Champs-Elysées à Paris.

Le premier Grand Prix de la saison 2019 diffusé en direct sur écran géant sera le Grand Prix d’Azerbaïdjan qui se disputera le 24 avril à 14h10 (heure française).

La seconde date connue de diffusion d’un Grand Prix sera le Grand Prix d’Espagne le 12 mai à 15h10 (heure française).

Notez que pour pouvoir assister à la diffusion des Grands Prix, il vous faudra vous inscrire sur le site web de l’atelier Renault (les inscriptions ne sont pas encore ouvertes).

Vous pourrez ensuite accéder à la Fan Zone de l’atelier, tandis que le kit supporter Renault F1 Team vous sera offert pour l’occasion, ainsi qu’un accès au bar soft le temps de la retransmission.

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Carlos Sainz a hâte de disputer son premier GP avec McLaren

Carlos Sainz est impatient de faire ses débuts avec sa nouvelle équipe McLaren au Grand Prix d’Australie cette semaine.

Le pilote espagnol, qui a quitté Renault pour rejoindre McLaren cette saison, est comme tous les autres pilotes, il ne sait pas à quel niveau se trouve son équipe à la veille de la saison 2019.

Après les essais hivernaux de Barcelone, Carlos Sainz connait à peu près le niveau de compétitivité de sa monoplace, mais la comparaison avec les autres monoplaces de la grille devra encore attendre jusqu’aux qualification du GP d’Australie samedi prochain.

“Après deux semaines d’essais productifs de pré-saison, je suis impatient de débuter la saison 2019.” déclare le pilote McLaren.

“Melbourne est le lieu idéal pour commencer, et je me souviendrais toujours de mes premiers points marqués en Formule 1 ici. Aujourd’hui, j’ai vraiment hâte de disputer mon premier Grand Prix avec McLaren.”

“Les essais hivernaux on été décisifs pour mon intégration au sein de l’équipe, et je suis très confiant du travail réalisé avec mes ingénieurs. Je me sens en forme et prêt pour aller sur la piste, il est enfin temps d’aller en course et de voir notre niveau par rapport à nos concurrents. La F1 m’a trop manqué cet hiver !”

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Hulkenberg : “Aucune certitude avant d’être en piste en Australie”

Le Grand Prix d’Australie ouvre la troisième saison de Nico Hülkenberg dans l’équipe Renault, mais aussi sa neuvième année en Formule 1.

Après avoir signé le cinquième meilleur temps des essais hivernaux, Nico Hulkenberg a désormais hâte de lancer sa nouvelle campagne à l’Albert Park de Melbourne.

Vous tarde-t-il d’être au premier rendez-vous de l’année en Australie ?

Je suis vraiment impatient d’être à Melbourne. Il y a eu beaucoup de spéculation lors des essais et tout au long de l’hiver, mais ces débats prendront fin lorsque nous découvrirons où nous en sommes réellement dès le premier week-end de course.

Les tests se sont bien passés, mais nous n’avons aucune certitude avant d’être en piste en Australie. Le peloton sera toujours très concurrentiel, mais nous nous concentrons sur nous-mêmes, nous restons au fait des choses et nous veillons à ce que nos évolutions représentent des améliorations. 

Quel est votre état d’esprit avant de vous rendre en Australie ?

Notre but principal est d’être dans une position plus confortable que l’an dernier. Nous voulons davantage de points et de meilleurs résultats pour valoriser nos efforts. Nous nous sommes préparés au mieux pour Melbourne et je m’en réjouis. J’ai un nouvel équipier apportant un vrai plus. C’est un pilote de qualité et nous nous tirerons mutuellement vers le haut. Nous allons prendre la mesure l’un de l’autre, mais j’ai hâte de relever ce défi !

Quelles sont vos premières impressions sur le package 2019 ?

Les sensations sont similaires à celles procurées par la voiture de l’an dernier, mais ce n’est pas une véritable surprise. Je suis à l’aise au volant et c’était bien de boucler plus de 500 tours en deux semaines.

Nous avons construit une bonne base de données avant Melbourne. Nous avons certes fait progresser l’ensemble dans de nombreux domaines, mais il nous en reste beaucoup d’autres à développer. C’est un cycle sans fin en F1, mais nous sommes satisfaits de notre base de travail. 

À quel point Melbourne et son circuit urbain sont-ils redoutables ?

C’est toujours un défi de passer de deux semaines d’essais sur un billard à un tracé temporaire et en ville. Vendredi matin, on sent en général les bosses et un certain manque d’adhérence tant que la piste n’est pas encore gommée.

Cela dit, les conditions s’améliorent au fil du week-end. Le cadre offert par l’Albert Park est très joli et les fans y sont toujours présents en nombre. Il y a des sections rapides et de bons vibreurs à escalader. C’est d’ailleurs très satisfaisant de les négocier à la perfection. C’est un endroit idéal pour lancer la saison et j’ai vraiment hâte d’être au volant pour la première séance d’essais libres.

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Pirelli va en apprendre beaucoup sur ses pneus à Melbourne

Le patron de Pirelli s’attend à avoir beaucoup de réponses à ses questions lors de la première manche de la saison en Australie cette semaine.

En 2019, Pirelli a décidé de simplifier sa gamme en passant de sept à cinq composés et en les renommant, C1, C2, C3, C4 et C5. Le pneu le plus dur est le C1, alors que le plus tendre de la gamme est le C5.

Après les essais hivernaux, Pirelli n’a pas encore pu constater avec précision si ses pneus 2019 étaient plus performants et se dégradaient moins que la précédente génération. Le Grand Prix d’Australie sera donc un moment de révélation pour le manufacturier unique de la F1.

“Nos nominations dur, médium et tendre cette année sont à peu près équivalentes aux composés médium, tendre et ultra-tendre de la saison 2018.” explique Mario Isola, le directeur de Pirelli en F1.

“Cela devrait permettre aux pilotes de pousser fort du début à la fin de chaque relais. Après un test très productif à Barcelone, nous sommes convaincus que la gamme de pneus 2019 est en passe de répondre à nos objectifs, qui associent performance et durabilité.”

“Bien entendu, un certain nombre d’aspects – tels que la dégradation sur la durée d’un relais – ne seront révélés qu’après des essais libres en Australie.”

“Une autre considération importante en Australie consistera à voir comment les nouvelles règles aérodynamiques fonctionnent et si cela conduit à davantage de dépassements, ce qui est difficile à établir lors des tests.”

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Robert Kubica a beaucoup de choses à découvrir pour sa première course

Après une absence de huit ans, Robert Kubica fera son grand retour en F1 cette semaine à Melbourne pour la première course de la saison 2019.

Loin des paddocks pendant huit ans en raison d’un accident de Rallye au cours de l’hiver 2011, le Polonais Robert Kubica sait qu’il va devoir réapprendre beaucoup de choses.

Depuis sa dernière course en 2010, le monde de la Formule 1 a beaucoup évolué, notamment avec l’arrivée des moteurs hybrides, qui ont obligé les pilotes à avoir une approche différente pendant les courses.

“Ce sera un Grand Prix avec beaucoup d’émotions pour moi.” nous explique Kubica. “Ce sera un seconde début [de carrière] pour moi après avoir été absent du sport pendant de nombreuses années.”

“Ma dernière course de Formule 1 a eu lieu à Abou Dhabi en 2010, alors je suis impatient d’aller en Australie avec quelques choses à découvrir et à apprendre.”

“J’espère pouvoir profiter du week-end et que tout se passera sans heurts pour que je puisse me concentrer sur ma conduite et découvrir une nouvelle Formule 1.”

“Piloter une Formule 1 est une chose, mais piloter en course en est une autre. Au fil des ans, je pense que l’approche des courses a changé, alors j’ai beaucoup de choses à découvrir mais j’attends avec impatience.”

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Williams a dû redoubler d’efforts pour être prête pour le GP d’Australie

L’équipe Williams admet qu’elle a dû redoubler d’efforts pour permettre à ses pilotes d’avoir une monoplace prête pour la première course de la saison à Melbourne.

L’écurie britannique, Williams, a débuté les essais hivernaux 2019 avec plus de deux jours de retard sur le reste de la grille, ce qui ne lui a pas permis de boucler l’intégralité des programmes préparés pour les tests hivernaux avec sa nouvelle monoplace.

De plus, Williams s’est présentée à Barcelone avec une monoplace légèrement en infraction avec la réglementation 2019, ce qui a obligé les ingénieurs à modifier le système de suspensions avant de la FW42, ainsi que les rétroviseurs, qui auraient été jugés non conformes à Melbourne.

C’est donc après de longues heures de travail à l’usine de la part des ingénieurs et mécaniciens que l’écurie britannique arrive à Melbourne pour la première course de la saison.

“Pour nous, il a fallu un travail énorme de la part de tout le monde à Grove pour préparer suffisamment de pièces, mettre en place toutes nos procédures et veiller à ce que les pilotes soient dans la meilleure position possible pour commencer la compétition.” explique Dave Robson, ingénieur de course principal chez Williams.

“La première course est toujours l’une des plus intéressantes car on voit pour la première fois l’ordre réel des performances.”

“En ce qui concerne le circuit en lui-même, c’est une piste assez inhabituelle qui peut être assez bossellé et où il est difficile de freiner. Elle impose de nombreuses exigences à la fois en termes de maniabilité, mais aussi d’endurance des pilotes, mais également en termes d’aérodynamisme.”

“La passionnante chicane à grande vitesse du T11 / 12 étant particulièrement exigeante. C’est un bon test pour les pilotes et les voitures, mais cela peut donner des résultats inhabituels. Enfin, nous souhaitons à tous nos fans un bon début de saison.”

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Ferrari ne veut pas simplement gagner, mais souhaite débuter un nouveau cycle en 2019

Mattia Binotto, le nouveau directeur sportif de la Scuderia Ferrari, est revenu sur la relation qu’il entretenait avec l’ancien directeur, Maurizio Arrivabene.

Malgré les rumeurs d’une guerre interne entre les deux hommes, Mattia Binotto insiste sur le fait que sa relation avec Maurizio Arrivabene était très bonne chez Ferrari, même si les deux hommes pouvaient avoir quelques divergences sur certains aspects de la gestion de l’équipe  pendant les week-ends de course.

“Je travaille chez Ferrari depuis 25 ans, j’ai eu la chance de vivre des moments glorieux avec Jean Todt, Ross Brawn, Michael Schumacher et Stefano Domenicali.” explique Binotto au Corriere Della Serra.

“Notre relation personnelle a toujours été bonne, il n’y a jamais eu de combats, les difficultés sont apparues dans la vision, la gestion du groupe, où pendant les week-ends de course nous avions des points de vues différents.”

“Arrivabene a lui-même évoqué le fait que je puisse devenir le chef de l’équipe. C’était un choix de la société, et je suis reconnaissant envers Ferrari pour sa confiance et son estime.”

Une promotion inattendue

Mattia Binotto insiste cependant sur le fait qu’il ne s’attendait absolument pas à devenir directeur technique de la Scuderia. En outre, le nouveau directeur sportif explique que la décision de l’ancien président de Ferrari, Sergio Marchionne, était due à la nouvelle organisation horizontale qu’il souhaitait pour la Scuderia.

“Ma promotion était complétement inattendue, parce que j’avais déjà été promu pour diriger le département moteur en 2014.”

“Je pense qu’avec cette seconde promotion, Marchionne voulait briser le moule, pas seulement chez Ferrari, mais dans la F1, alors que je n’avais encore jamais conçu de voiture en tant que directeur technique.”

Débuter un nouveau cycle en 2019

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari ne veut pas seulement se contenter de remporter le titre mondial cette année, mais il souhaite également débuter un nouveau cycle, alors que depuis 2014, c’est Mercedes qui domine la Formule 1.

“C’était un vrai pari en total connexion avec cette organisation horizontale. Le plus difficile est de nous organiser aujourd’hui, mai aussi demain, l’organisation d’une structure prête pour les règles de 2021.”

“Il s’agit de rationaliser les processus, afin que tout le groupe regarde au delà de ce qui est bien pour moi. Les rênes de ce jeu sont entre mes mains et je suis bien conscient que ce sont mes collaborateurs qui peuvent faire la différence.”

“Nous ne sommes pas ici pour gagner une saison, nous sommes ici pour ouvrir un tout nouveau cycle.” conclut Binotto.

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Renault : “Beaucoup d’attentes pour cette première course”

Renault aborde la première course de la saison 2019 avec beaucoup d’optimisme après huit journées d’essais productives en Espagne lors des tests hivernaux.

L’écurie du constructeur français sait que la lutte sera serrée parmi les équipes formant le peloton cette année, mais Renault compte sur une fiabilité sans faille pour essayer de marquer un maximum de points tout au long de l’année.

“Le Grand Prix d’Australie, premier de la saison, est un moment fort et plus particulièrement cette année avec la présence de Daniel Ricciardo dans nos rangs. Nous nous y rendons unis et animés d’une détermination sans faille.” déclare Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

“Nous disposons d’un nouveau châssis qui a montré du potentiel à Barcelone. Le groupe propulseur a progressé et notre duo de pilotes composé de Daniel et Nico est peut-être l’un des plus fort de la grille.”

“Nous sommes impatients de les voir mettre en valeur leur expérience et leur talent en piste. Il y a beaucoup d’attentes pour cette première course, d’autant qu’il s’agira de la première de Daniel dans notre écurie et qu’il évoluera à domicile.” 

“Les deux semaines d’essais hivernaux à Barcelone ont été productives. Nous avons en grande partie bouclé notre programme grâce à un très bon kilométrage.” 

“Mais, seule la course donne les réponses, permet de se situer mais aussi de progresser, c’est l’heure de vérité. La première course est un des moments les plus intenses de la saison pour toutes les équipes.”

“La performance du groupe propulseur est là, en nette progression, conforme à nos objectifs et c’est une réelle satisfaction. Vu le niveau de fiabilité constaté à Barcelone, la sensibilité fiabilité sera un peu différente.”

La fiabilité sera essentielle

“Si la fiabilité ne fera pas gagner de points facilement comme cela a pu être le cas dans le passé, la perte de points suite à des abandons sera d’autant plus pénalisante. Nous allons donc être particulièrement vigilants sur ce point dès le début de saison.” 

“Le calendrier compte 21 courses, soit autant d’occasions de poursuivre notre progression. L’objectif de nous rapprocher des meilleurs est ambitieux mais nous sommes déterminés et chaque détail sera pris en compte.”

“Nous croyons en nos capacités et notre objectif est de donner le ton d’une bonne saison en commençant de la meilleure des manières en Australie dès ce week-end.”

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Ricciardo ne sera pas déçu si Red Bull termine devant Renault à Melbourne

Daniel Ricciardo ne sera pas déçu de voir une Red Bull le devancer à l’arrivée du Grand Prix d’Australie, première manche de la saison 2019 de Formule 1.

Pour le pilote Renault, Daniel Ricciardo, qui a quitté l’équipe Red Bull Racing à la fin de la saison 2018, ce ne sera pas une déception si Red Bull bat Renault au GP d’Australie ce week-end.

Ricciardo est bien conscient que Renault n’est pas encore au niveau de l’équipe de Milton Keynes en ce début d’année; même si le pilote australien ne cache pas qu’il souhaiterait pouvoir battre l’un des trois meilleures équipes au moins une fois cette année.

“Je savais qu’au moins à Melbourne Red Bull serait devant.” explique Daniel Ricciardo. “Je ne serais pas déçu s’ils nous battaient là-bas, parce que je pense que nous sommes sur une route différente.”

“Je suppose qu’un grand nombres de gens pensent que si Renault bat Red Bull ce serait bien. Mais nous n’en sommes pas encore là, et si nous arrivons à battre l’une des trois meilleures équipes, je serai excité.”

“Je pense que Renault dispose de ressources suffisantes pour entrer dans ce monde [celui des trois meilleures équipes], ce n’est pas quelque chose d’inatteignable. Ce n’est peut-être pas pour cette année, mais nous progressons.”

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Coulthard : “Le duo Vettel-Leclerc est dangereux pour Hamilton”

Selon David Coulthard, Lewis Hamilton ba devoir se méfier du nouveau duo de pilotes de la Scuderia Ferrari, Sebastian Vettel et Charles représentant un duo “dangereux” pour le Britannique en 2019.

David Coulthard estime que le duo formé par Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen l’an dernier n’a pas été capable de pousser Lewis Hamilton dans ses derniers retranchements.

Mais pour cette nouvelle saison, Coulthard estime que l’arrivée de Charles Leclerc va clairement changer la donne, l’Écossais estimant que le jeune monégasque va pousser Vettel, ce qui deviendra encore plus dangereux pour Hamilton.

“En ce qui concerne Lewis, le duo Sebastian Vettel et Charles Leclerc sera à mon avis plus dangereux que Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen.” a déclaré Coulthard

“Je n’ai pas vu Kimi remporter beaucoup de courses la saison dernière, c’est ça la réalité, et je serai très surpris si Charles [Leclerc] ne sabrerait pas le champagne sur le podium au moins à deux reprises cette année.”

“Il est jeune, enthousiaste et assez rapide pour pousser Vettel. Cela mettra non seulement Sebastian sur ses gardes, mais Lewis aussi.”

“Ferrari n’a pas joué de sa meilleure main la saison dernière. Je ne suis pas certain que Seb et Kimi ont eu l’impression de recevoir un soutien optimal.”

“S’ils veulent vraiment donner du fil à retordre à Lewis, l’équipe va devoir se dépasser un peu plus et les pilotes aussi.”

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Hamilton pilotera une MotoGP “tôt ou tard”

Lewis Hamilton n’écarte pas l’idée de piloter une MotoGP un jour, mais le Britannique annonce que ce sera en loisir, pas en compétition.

Le quintuple champion du monde de Formule 1, Lewis Hamilton, a rendu visite aux pilotes MotoGP ce week-end à Losail, où se disputait le Grand Prix du Qatar.

Grand passionné de motos, Lewis Hamilton a insisté sur le fait qu’il essayerait une MotoGP tôt ou tard, mais uniquement pour s’amuser.

“Je piloterai certainement une MotoGP tôt ou tard.” a annoncé Lewis Hamilton ce dimanche lors de sa visite au Grand Prix MotoGP du Qatar.

“J’ai commencé à courir en kart à l’âge de huit ans et ces gars-là ont fait de même, mais avec une minimoto. Je suis beaucoup plus lent qu’eux et je suis trop vieux pour changer de discipline, même si j’aime ça pendant mon temps libre.”

Hamilton; qui est un grand admirateur de Valentino Rossi, six fois champion dans la catégorie MotoGP, a déclaré ne pas avoir entendu parler des rumeurs selon lesquelles le Britannique et l’Italien échangeraient leurs machines un jour.

“Je dois aller au ranch, on en parle depuis des années, on doit le faire, même pendant la saison, juste pour essayer, mais je n’ai rien entendu à propose de cet échange.” confie Lewis Hamilton.

“Ce serait fous de piloter sur la même piste que Valentino, je suis vraiment un grand fan de lui, mais je pense qu’il devrait tout m’apprendre.”

“J’ai commencé à faire des tests en 2018 et je me suis beaucoup amusé, et je ne suis pas si  mauvais, mais je ne suis pas assez rapide, si je n’étais pas impliqué en Formule 1, je testerais ces machines toute la journée.”

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L’équipe Haas est prête à attaquer la saison selon Grosjean

Après huit jours de tests à Barcelone durant lesquels la Haas VF-19 a rencontré quelques problèmes de fiabilité, Romain Grosjean assure que son équipe est désormais prête pour Melbourne.

Le pilote français, Romain Grosjean, pense que son équipe a réussi à venir à bout des problèmes de fiabilité qui ont perturbé ses essais en Espagne il y a quelques jours.

Mais pour Romain Grosjean, pas de panique, la voiture avec laquelle il participera à la saison 2019 semble bien née.

“La préparation pour l’Australie s’est très bien passée, le plus important était d’avoir un bon ressenti dés le début avec la voiture.” assure Grosjean.

“A partir du moment où vous avez ce bon pressentiment, alors cela veut dire que la voiture est bien née.”

“C’est vraiment important pour bien débuter la saison, être capable de débuter sur une bonne note. Les essais se sont bien déroulés en général, nous avons quelques petits problèmes de fiabilité, mais nous avons bien travaillé pour les régler.”

“Je pense que nous sommes désormais prêts pour la première course, bien-sûr, vous en voulez toujours plus, mais, ensuite, tout dépend de la nature de chaque circuit.”

“Il va nous falloir les bons réglages pour débuter à Melbourne, et ensuite, les affiner pour Bahreïn, la Chine, et ainsi de suite.”

La F1 prête à quitter Silverstone pour conserver le GP d’Angleterre

Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1 n’écarte pas l’idée d’organiser un Grand Prix de Grande-Bretagne sur un circuit autre que celui de Silverstone.

Ce n’est plus un secret, l’avenir du Grand Prix de Grande-Bretagne sur le circuit de Silverstone reste plus qu’incertain, mais la Formule 1 compte bien garder au calendrier le GP de Grande-Bretagne, même s’il faudra changer de circuit.

Le manager sportif de la F1 a déjà fait savoir que la FOM chercherait une autre alternative à Silverstone pour que l’une des courses historiques du championnat du monde de F1 puisse avoir lieu pour encore quelques années.

“Je ne pense pas que ce soit le dernier Grand Prix de Grande-Bretagne, que ce soit à Silverstone ou ailleurs.” explique Ross Brawn à la BBC.

“Courir au Royaume-Uni est important pour nous, et évidemment, Silverstone est lieu du Grand Prix de Grande-Bretagne depuis de nombreuses années.”

“Mais la plupart d’entre-nous se souviennent qu’il y a déjà eu des courses à Brands Hatch, et il ne semblait pas étrange d’organiser une course là-bas une année, puis à Silverstone un autre année.”

“Nous sommes déterminés à organiser un Grand Prix en Grande-Bretagne et, espérons-le, à Silverstone, mais pour l’instant, il n’y a aucune certitude.”

Le Parc Fermé est désormais accessible

Ayant rencontré des problèmes de jeunesse, j’ai dû réinstaller et revoir en profondeur la plate forme du Parc Fermé que j’ai mis en place vendredi soir.

Toutes les personnes qui se sont inscrites sur le Parc Fermé entre vendredi soir et ce dimanche matin devront malheureusement se réinscrire via ce lien : http://leparcferme.fr/inscription-2/

Une fois connecté, vous pourrez découvrir le Parc Fermé et ses nombreuses options qui s’offrent à vous.

Vous pourrez notamment publier des articles comme un vrai journaliste, postez vos photos prises lors de vos déplacements sur les circuits, partager votre passion avec d’autres fans de F1, faire des sondages, partager des vidéos des différents réseaux sociaux, etc …Il n’y a pas de limite, sauf celle de votre imagination.

Vous aurez également accès aux profils des autres membres et vous pourrez donc vous mettre en relation tous ensemble.

De mon côté, je vais créer différents groupes que vous verrez apparaître au fil de l’année, et dans lesquels vous pourrez venir dialoguer sur un thème prédéfini.

Un réseau encore jeune

Bien évidemment, le Parc Fermé est un réseau tout jeune et doit encore se faire connaître (je compte donc sur vous).

Je travaille sur la plate forme du parc fermé au quotidien pour l’améliorer jour après jour et je serai donc très attentif à vos remarques et suggestions, tandis que vous remarquerez quelques changements au quotidien.

C’est gratuit et ça le restera

Le Parc Fermé est naturellement gratuit et le restera à vie, puisqu’il s’agit de VOTRE plate forme sur laquelle vous pourrez échanger tous ensemble de votre passion commune.

A très bientôt sur le Parc Fermé : http://xn--leparcferm-k7a.fr/

 

 

Vettel n’a pas pu se faire d’idée précise sur le nouvel aileron avant

Sebastian Vettel ne sait pas quoi penser du nouvel aileron avant introduit cette année en F1, et qui est censé rendre les dépassements plus faciles.

Comme la plupart des pilotes, Sebastian Vettel a pu tester les effets du nouvel aileron avant lorsqu’il suivait une monoplace pendant les essais hivernaux à Barcelone.

Selon le pilote Ferrari, il est impossible de tirer des conclusions après les essais hivernaux, en raison de la différence de réglages, d’emport de carburant, ou encore de pneus entre chaque équipe.

Cependant, comme la majorité des pilotes, Vettel a pu constater une nette différence du système DRS dans les lignes droites.

“J’ai pu suivre des voitures lors de la première semaine des essais, mais aussi lors de la seconde. C’est toujours difficile de tirer des conclusions de ce qui se passe lors des essais, parce que personne ne roule en même temps dans les mêmes conditions.” explique le pilote Ferrari.

“Nous n’avons pas les mêmes pneus, pas le même niveau d’usure et pas la même quantité d’essence embarquée.”

“Mais selon moi, cela reste encore assez difficile de suivre une autre voiture. Les monoplaces sont en plein développement, donc, je pense que les ailerons vont encore s’améliorer au fil de la saison.”

“Il restera à juger la situation en course, mais je peux me tromper. En tout cas, le DRS plus grand est plus efficace, mais nous souhaitons tous voir des dépassements le plus naturel possible.”

Verstappen : “L’Albert Park n’est pas la piste la plus simple pour dépasser”

Max Verstappen estime que Red Bull posséde une bonne monoplace pour ce début de saison, même si évidemment, le Hollandais n’a pour l’instant aucune idée précise de l’endroit où se trouve son équipe.

A seulement une semaine de la première course de l’année, Max Verstappen se dit confiant quant à ses chances d’être performant sur l’une des pistes qu’il affectionne particulièrement, même si le circuit de l’Albert Park de Melbourne n’est pas le plus facile pour dépasser.

“J’ai toujours hâte d’aller en Australie et je suis prêt à courir de nouveau.” a déclaré Verstappen.

“Même si la saison débute plus tôt cette année, l’hiver m’a paru long. Mais Melbourne est un week-end intéressant, car c’est le début de la saison et personne ne sait vraiment où il se trouve, encore plus avec le changement de réglementation et notre nouveau moteur.”

“Le tracé de l’Albert Park est intéressant, il est bosselé et possède de nombreux virages rapides, donc c’est amusant si la voiture est bien équilibrée.”

“Ce n’est pas la piste la plus simple pour dépasser, parce que les lignes droites ne sont pas longues, mais cela reste toujours possible.”

Le pilote Red Bull estime que les essais hivernaux disputés à Barcelone ont été prometteurs pour son équipe, même si le dernier jours, Verstappen n’a pu boucler que 29 tours en raison d’un problème de boîte de vitesses sur sa RB15.

“Si l’on regarde les longs relais pendant les essais hivernaux, nos performances sont prometteuses, et nous espérons être compétitifs dés le début de la saison.”

“Je pense que nous avons une bonne voiture, mais nous le saurons pas avant le premier week-end de course.”

Binotto n’a pas été surpris de la vitesse de Leclerc lors des essais

Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari, n’a pas du tout été surpris de voir un Charles Leclerc aussi compétitif que son coéquipier lors des essais hivernaux.

Leclerc, qui en est à sa seconde saison en Formule 1 et la première avec Ferrari, a signé un chrono très similaire à celui de Sebastian Vettel lors des essais hivernaux, ce qui a impressionné certains observateurs qui ne s’attendaient pas à voir le Monégasque aussi rapide dés ses premiers tours de roues avec la SF90.

Malgré tout, cela n’a pas impressionné le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, qui savait très bien à quoi s’attendre avec Charles Leclerc.

“Charles est un très bon pilote, certainement très rapide.” explique Binotto. “Mais à Barcelone, nous voulions d’abord qu’il connaisse bien la voiture et il s’agissait d’affiner le contact entre les pilotes et les techniciens.”

Le sujet concernant le statut de pilote numéro 1 attribué d’office à Sebastian Vettel a été largement débattu ces derniers jours, mais Mattia Binotto a insisté sur le fait qu’il n’a jamais fait de comparaison entre ses deux pilotes lors des essais hivernaux.

“Une vraie comparaison avec Sebastian Vettel n’était pas possible et ce n’était pas le but. A la fin des tests, ils ont réalisé des chronos similaires, et nous avons pu voir la vitesse de Charles.”

Vous pouvez discuter de cet article au Parc fermé, et n’oubliez pas de voter !

Malgré des problèmes de fiabilité, Magnussen est satisfait de sa Haas

Le pilote Haas, Kevin Magnussen, se dit impatient de voir où se situe son équipe par rapport au reste de la grille.

Depuis son arrivée en Formule 1 en 2016, l’écurie américaine Haas n’a cessé de progresser et a terminé la saison 2018 au cinquième rang du championnat constructeurs, après une belle bagarre avec l’équipe Renault pour la quatrième place.

Lors des essais hivernaux 2019,  la formation américaine a rencontré quelques problèmes de fiabilité avec sa monoplace, essentiellement sur le moteur Ferrari monté à l’arrière de la VF-19.

Mais malgré ces petits défauts de jeunesse, Kevin Magnussen admet qu’il a été agréablement surpris par le comportement de sa monoplace durant ces tests, le Danois ayant pu constater des progrès en terme d’équilibre par rapport à l’an dernier.

“Nous sommes arrivés à Barcelone et avons constaté que tout le monde allait plus vite que l’an dernier.” explique Kevin Magnussen.

“J’ai pu sentir plus d’adhérence avec la voiture, mais, chose encore plus importante, j’estime que l’équilibre n’était pas trop différent et qu’il était plus fort dans certains domaines.”

“Après, oui, nous avons rencontré quelques problèmes, mais finalement, c’est à ça que servent les tests. Désormais, je suis juste impatient de voir ce que nous serons capables de faire par rapport aux autres équipes.”

Kevin Magnussen entamera cette année sa troisième saison avec l’équipe Haas, il fera équipe avec le Français Romain Grosjean.