Sergio Perez et Lance Stroll piloteront pour Aston Martin en 2021

La future équipe Aston Martin fera confiance à Sergio Perez et Lance Stroll la saison prochaine en F1.

L’écurie Racing Point, qui deviendra l’an prochain l’équipe d’usine Aston Martin Racing, continuera de faire confiance à son actuel duo de pilotes la saison prochaine comme l’a confirmé Otmar Szafnauer à nos confrères de Radio Canada.

On savait déjà que Sergio Perez avait un contrat avec l’équipe jusque fin 2022, mais le contrat de Lance Stroll arrive à son terme à la fin de la saison 2020.

« C’est fou, la saison folle des transferts pour 2021 a déjà commencé, et on n’a pas disputé la moindre course en 2020. » s’exclame Otmar Szafnauer à Radio Canada Sports.

L’annonce de Ferrari, qui a confirmé que Sebastian Vettel ne prolongerait pas son contrat au delà de la saison 2020 a étonné le directeur de l’équipe Racing Point.

« Je suis un peu surpris qu’ils n’aient pas pu s’entendre. Sebastian est un super pilote et c’est un ami. Je le connais depuis longtemps. Il a accompli tellement de choses en F1. »

« Il a même gagné très jeune lorsqu’il était avec Toro Rosso [en 2008 au GP d’Italie], ce qui est incroyable. Il mérite de rester en F1. »

« C’est vrai, il y a en ce moment des pilotes vainqueurs de Grands Prix sur le marché, même des champions du monde, c’est idée intéressante. Mais nous préférons aller chercher le meilleur des pilotes que nous avons. »

« Si nous leur donnons le meilleur, ils peuvent eux aussi gagner des courses et, possiblement, devenir des champions du monde. Nos deux pilotes s’entendent bien. Et ils sont liés par contrat pour 2020 et 2021. »

Nico Rosberg craignait l’arrivée du « dieu » Michael Schumacher chez Mercedes

Nico Rosberg craignait que Michael Schumacher ne manipule l’équipe Mercedes contre lui lorsqu’ils sont devenus coéquipiers en 2010.

Nico Rosberg a eu l’opportunité de rejoindre l’écurie Mercedes en 2010, née du rachat de l’équipe Brawn GP, qui a remporté les deux championnats pilotes et constructeurs l’année précédente.

On s’attendait à l’époque à voir chez Mercedes un duo de pilotes 100% germanique avec Nico Rosberg et Nick Heidfeld, mais au dernier moment, l’équipe du constructeur allemand a annoncé Michael Schumacher.

Le septuple champion du monde sortait alors de sa première retraite, après avoir quitté trois ans plus tôt la Scuderia Ferrari.

« Le nom de Schumacher n’était même pas à l’horizon, personne n’en parlait même. » a expliqué Nico Rosberg.

« Et soudain, Ross [Brawn] m’appelle et me dit: » Au fait, ton coéquipier ne sera pas Jenson Button ou Nick Heidfeld, ce sera Michael Schumacher. »

« Je me suis dit ‘Oh, mon dieu’.J’avais les pensées les plus folles, je pensais que je n’aurais aucune chance, que l’équipe serait contre moi, que Michael manipulerait à sa façon. »

« Je ne savais même pas si j’allais être capable de le suivre. Il est le plus grand de tous les temps. Aurais-je une chance ? C’était un moment assez fou. »

« Lorsqu’il est arrivé [dans l’équipe], il était comme un dieu. Lorsque nous avions des réunions pour parler des stratégies, même ma stratégie n’était discutée qu’avec Michael et pas avec moi, alors que j’étais assis là. »

« J’ai donc parlé de ça aux stratèges qui organisaient ces réunions et nous y avons réfléchi ensemble. Cela a vraiment eu un grand impact et, à partir de ce moment, les réunions de stratégies étaient bien meilleures pour moi. »

« Je me sentais beaucoup plus à l’aise et j’ai réussi à obtenir son attention simplement en lui montrant mon invulnérabilité, ainsi qu’en exprimant mes sentiments. »

Daimler discute de l’avenir de l’équipe Mercedes en F1

Daimler est en train de discuter de l’avenir de l’équipe Mercedes en F1, malgré les succès à répétition signés par l’écurie du constructeur allemand ces dernières années.

Depuis plusieurs mois maintenant, les rumeurs suggèrent que le constructeur allemand Mercedes aimerait stopper son projet F1 pour réduire les coûts, mais surtout, pour être plus en phase avec sa stratégie de communication presque entièrement tournée vers des modèles électriques.

Il serait donc tout à fait logique de voir l’équipe Mercedes F1 disparaître et ce, malgré le fait que l’écurie domine outrageusement la catégorie reine du sport automobile depuis 2014.

Le patron de l’équipe, Toto Wolff, a confirmé qu’il était actuellement en discussions avec Daimler [la maison mère de Mercedes] pour évoquer l’avenir de l’écurie de F1 de Mercedes.

« Je suis maintenant sans Niki – Lauda, uniquement avec Mercedes en tant qu’actionnaire de l’équipe et il ne s’agit pas seulement de prolonger mon contrat en tant que chef d’équipe, mais aussi de ce que nous faisons avec l’entreprise et c’est ce dont nous discutons actuellement [avec Daimler]. » a expliqué Toto Wolff à l’ORF.

En revanche, l’Autrichien a une nouvelle fois affirmé que son récent investissement chez Aston Martin ne changera pas sa situation au sein de l’équipe Mercedes.

« Aston Martin est simplement un investissement personnel, comme je l’ai toujours fait. Je crois en la marque et je crois en une stratégie à long terme qui peut être efficace ou non pour les prochaines années. »

« En réalité, c’est une diversification des investissements et cela n’a rien à voir avec mes activités opérationnelles. »

Avec Vettel, Mercedes pourrait faire un « beau coup marketing »

Le patron de l’équipe Mercedes en F1, Toto Wolff, admet que faire venir Sebastian Vettel dans son écurie en 2021 pourrait être un beau coup marketing.

Depuis l’annonce de Ferrari cette semaine, qui a confirmé que Sebastian Vettel ne poursuivrait pas l’aventure à Maranello après 2020, les rumeurs suggèrent que le quadruple champion du monde de F1 pourrait trouver refuge chez Mercedes aux côtés d’Hamilton à partir de 2021.

Personne ne sait si Vettel souhaite continuer sa carrière en F1 ou bien si le pilote allemand souhaite faire durer le plaisir en rejoignant une autre écurie à partir de l’an prochaine, mais en tout cas, le patron de l’équipe Mercedes admet que ce pourrait être un « beau coup marketing » que de placer un Allemand dans une Mercedes.

« Pour nous, la question est de savoir ce que nous allons faire avec Russell [George, pilote Williams]. C’est une option pour l’avenir. » explique Toto Wolff à l’ORF.

« Sebastian est un grand pilote avec une forte personnalité. Pour le futur, nous sommes déterminés à conserver nos pilotes actuels, même si on ne peut ignorer la disponibilité de Vettel. »

« Nous nous concentrons exclusivement sur le succès. Bien-sûr, un pilote allemand avec une voiture allemande pourrait être un beau coup marketing, mais nous nous concentrons sur les performances. »

« Sebastian est, bien sûr, quelqu’un de vraiment bon. Il détient toutes les ficelles. Il peut décider lui-même s’il souhaite quitter ou rejoindre une autre équipe. Il y a encore des endroits intéressants à visiter. »

Toto Wolff explique comment Mercedes choisit un nouveau pilote

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a expliqué comment l’équipe championne du monde faisait pour choisir un nouveau pilote.

Comme pour jouer avec les nerfs des médias et des fans, qui attendent désormais de savoir si Sebastian Vettel va rejoindre l’équipe Mercedes en 2021, Toto Wolff a détaillé la façon dont l’équipe du constructeur allemand choisit un nouveau pilote.

« Il y a le côté « données » : les résultats de course, en comparaison avec le coéquipier puis comparé aux autres. » explique Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

« Il y a aussi l’aspect « personnalité » qui est très important. Est-ce que le pilote correspondra à la structure de l’équipe? Comment sera la dynamique avec son coéquipier? Qui sera ce coéquipier? Quels sont les projets pour le futur? »

« Ensuite tous ces aspects sont rassemblés et analysés, nous discutons, tout le monde donne son avis mais le plus souvent dans ce groupe, tout le monde a le même avis de toute façon. »

Vettel peut-il rejoindre Mercedes ?

C’est LA question que tout le monde se pose depuis que la Scuderia Ferrari a annoncé cette semaine que le contrat du quadruple champion du monde ne serait pas renouvelé après 2020.

Certains pensent que Vettel prendra sa retraite fin 2020, quand d’autres estiment que le pilote allemand rejoindra Mercedes ou bien Renault F1 dès 2021.

Interrogé justement sur une potentielle arrivée de Vettel au sein de l’équipe Mercedes, Wolff a répondu à l’ORF : « Aucune équipe ne peut ignorer lorsqu’un quadruple champion du monde arrive sur le marché des transferts. »

« En tant qu’équipe Mercedes, nous voulons construire les meilleures voitures et avoir les meilleurs pilotes, peu importe d’où ils viennent [leur nationalité]. »

Wolff ne cache pas qu’il regrette que Sebastian Vettel quitte la Scuderia Ferrari à la fin de l’année : « C’est dommage qu’une époque touche à sa fin. »

« Sebastian est un grand pilote avec une forte personnalité. Pour le futur, nous sommes déterminés à conserver nos pilotes actuels, même si on ne peut ignorer la disponibilité de Vettel. » a ajouté l’Autrichien auprès de l’agence de presse DPA.

Rapellons que Lewis Hamilton et Valtteri Bottas n’ont toujours pas été prolongés par Mercedes, leur contrat respectif arrivant à échéance à la fin de la saison 2020.

Hamilton est en manque, le Britannique a hâte de retrouver sa F1

Le sextuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, a admis qu’il est en manque de pilotage et a désormais hâte de reprendre la piste avec sa monoplace.

Comme tous les autres pilotes de la grille, Lewis Hamilton est resté confiné quelques semaines en raison de la crise sanitaire et pris le temps de réfléchir sur pleins de choses, de s’affûter physiquement ou encore d’apprendre le Français.

« Je ne prend pas de poids, et je pense que mon poids est globalement resté le même [durant le confinement]. Avoir tout ce temps vous donne plus de liberté pour vous concentrer sur…les points faibles. » explique Lewis Hamilton.

« Il y a des forces et des faiblesses sur notre corps et, lorsque vous allez dans une salle de sport, vous travaillez souvent les gros muscles, mais moins les petits. Donc, j’essaie vraiment d’y aller en profondeur pour affiner mon corps et essayer de trouver le niveau suivant – comment puis-je être plus en forme que je ne le suis déjà ? »

« Au début de la saison, je me sentais bien. C’est vraiment dommage que nous n’ayons pas pu commencer [la saison]. Cela aurait été le bon moment pour pouvoir se concentrer sur l’amélioration d’autres domaines. »

Le sextuple champion du monde a admis qu’il était impatient de reprendre le volant de sa monoplace qu’il a à peine eu le temps d’apprivoiser lors des essais hivernaux de Barcelone au mois de février.

« Je pense qu’aucun d’entre nous n’a vraiment eu le temps pour vraiment libérer le potentiel de nos voitures, donc je serai ravi de revenir. » explique le pilote Mercedes.

« Ça me manque vraiment et, comme je l’ai déjà dit, cela a été comme une bénédiction d’un côté [la pause forcée] parce que cela vous aide encore plus à apprécier les choses que vous aimez et les choses que vous faites. »

« Cela m’a donné plus d’énergie, d’inspiration et de détermination pour continuer à performer et continuer à travailler avec cette grande équipe, donc, je suis excité pour l’avenir. »

Le PDG de McLaren conseille à Renault F1 de prendre Alonso pour 2021

Le PDG de l’équipe McLaren, Zak Brown, conseille à Renault  F1 de signer son ancien pilote Fernando Alonso pour 2021.

Cette semaine, McLaren F1 a annoncé l’arrivée prochaine de l’actuel pilote Renault Daniel Ricciardo dans son équipe à partir de la fin de la saison 2020.

Le départ de l’Australien de chez Renault laisse donc un baquet disponible à partir de l’an prochain et, depuis 72 heures, le nom de Fernando Alonso est très souvent cité comme remplaçant probable de Ricciardo.

De nombreux fans aimeraient revoir Fernando Alonso revenir en catégorie reine du sport automobile en 2021 et le PDG de McLaren, Zak Brown, conseille également à l’écurie du constructeur français Renault de signer son ancien pilote pour l’an prochain.

« Je pense qu’il [Alonso] n’a pas encore décidé. » explique Brown à Sky Sports. « Si j’avais mon mot à dire chez Renault, je saurais qui je mettrais dans la voiture – c’est un grand nom, qui est plus rapide que quiconque et qui a déjà remporté deux titres mondiaux avec eux. »

« Cependant, le fait que Fernando veuille encore disputer tant de courses dans une voiture qui n’est pas encore victorieuse c’est une autre affaire. Je pense qu’il a besoin d’une voiture capable de se battre au sommet pour revenir. »

Concernant Renault, Brown estime que l’équipe du constructeur français est sur la bonne voie : « Je suis certain qu’ils vont remonter au sommet, car c’est une super équipe avec de bonnes ressources. »

« Ils l’ont également fait par le passé. Cependant, je ne sais pas si Fernando souhaite s’engager sur un projet à long terme avec eux. »

Sainz a vécu « l’un des moments les plus excitants » de sa carrière cette semaine

Carlos Sainz a vécu l’un des moments les plus excitants de sa carrière cette semaine lorsque la Scuderia Ferrari a confirmé son arrivée dans l’équipe pour 2021.

L’actuel pilote McLaren quittera l’écurie britannique à la fin de la saison 2020 de F1 pour rejoindre la Scuderia Ferrari où il fera équipe avec Charles Leclerc durant deux saisons au minimum dès 2021.

A l’âge de 25 ans à peine, l’Espagnol a déjà connu trois équipes différentes en Formule 1 avec des débuts chez Toro Rosso en 2015, avant de rejoindre l’écurie du constructeur français Renault et enfin McLaren pour qui il pilote depuis le début de la saison 2019.

L’an prochain, Sainz réalisera le rêve de bon nombre de pilotes en rejoignant la Scuderia Ferrari à l’age de 26 ans et a tenu à remercier ses fans pour le soutien dont ils ont fait preuve cette semaine après l’annonce officielle.

« Merci à tous. Evidemment, ce week-end a été l’un des moments les plus excitants de ma carrière. » a écrit le futur pilote Ferrari sur son compte Twitter.

« Mais ce que je souhaite le plus actuellement, c’est d’être de retour à la compétition en F1 avec mes camarades de course et avec vous tous dans les tribunes. »

Rapellons que Carlos Sainz sera remplacé l’an prochain par l’Australien Daniel Ricciardo chez McLaren. Il fera équipe avec le Britannique Lando Norris.

Privé de salaire, le pilote de la Safety Car attend lui aussi la reprise de la F1

Le pilote de la Safety Car ne perçoit aucun salaire lorsque la F1 ne se produit pas et attend donc lui aussi avec impatience le début de saison.

Pilote officiel de la Safety Car en F1, Bernd Mayländer se retrouve comme beaucoup d’autres personnes au chômage technique depuis le début de la crise du coronavirus.

En raison de l’épidémie, la saison 2020 de F1  n’a toujours pas débuté, alors que les dirigeants de la catégorie reine continuent de travailler en coulisses pour élaborer un nouveau calendrier compressé qui devrait comporter entre 15 et 19 courses cette année.

En plus des pilotes et des équipes, de nombreuses personnes dans le paddock (médias, techniciens, chauffeurs…) vivent grâce à la F1 et le pilote officiel de la voiture de sécurité, Bernd Mayländer, fait également partie des gens qui ne perçoivent aucun salaire lorsque la F1 ne se produit pas.

Comme beaucoup de personnes, Mayländer est pigiste pour le compte de la FIA et n’est payé qu’une fois sa prestation réalisée. Ce qui signifie qu’en cas d’absence de course, le pilote de la Safety Car ne perçoit aucun salaire.

« Je suis pigiste et je suis payé à la commande. » confirme Mayländer à AMUS. « C’est à dire qu’après un week-end de course, je ne peux émettre une facture que si j’ai effectué un servce. »

« Comme ce n’est pas possible pour le moment, parce qu’il n’y a pas de course, je ne gagne pas d’argent. J’ai essayé de réagir parce que c’était prévisible et j’ai essayé de réduire les coûts jusqu’à ce que les affaires reprennent. »

« J’espère pour nous tous que l’économie redémarrera en conséquence. Je suis dans une situation relativement confortable. »

Pendant le confinement, Bernd Mayländer patiente sagement chez lui et s’occupe de ses deux enfants en bas âge, un rôle difficile pour ce papa qui fait le tour du monde chaque année.

« Ma femme est orthophoniste et a deux cabinets dans la région. Les garderies sont fermées et je n’espère pas que ça continuera comme ça jusqu’à cet été, parce que ça va être difficile avec les deux enfants. »

« C’est un travail à temps plein. Mes garçons ont deux ans et démontent tout dans la maison. Je construis des pistes de course, un train, je fais de la gymnastique. Vous devriez en fait faire des vidéos et les lire plus tard et vous dire que vous l’avez fait pendant la phase corona. »

Sebastien Bourdais tacle sévèrement la F1

Difficile de croire que Sebastien Bourdais retournera un jour en F1, après les propos tenus par le Français au sujet de la catégorie reine du sport automobile.

Sebastien Bourdais, titulaire en F1 aux côtés de Sebastian Vettel au sein de l’écurie Toro Rosso durant la saison 2008, a été évincé par son équipe après une année et demie passée à Faenza.

Toro Rosso a en effet décidé de mettre fin au contrat du pilote français avec effet immédiat dès le Grand Prix de Hongrie 2009 « pour manque de résultats ».

La rupture de Sebastien Bourdais avec l’équipe Toro Rosso a été assez brutale et c’est sûrement la raison pour laquelle le Français tacle sévèrement la F1 quelques années plus tard.

« Forcément, ça n’a pas été une saison faste pour moi, il y a eu pleins de problèmes et puis surtout, je n’étais pas confortable la majorité du temps dans la voiture, donc, ça rend les choses compliquées, mais globalement, ce que je retiendrais de ça, c’est que de mon côté au moins on aura tout tenté pour se donner les moyens de réussir. » explique Bourdais au sujet de son passage en F1, lors d’une visio avec plusieurs médias.

« J’ai eu cette opportunité avec Toro Rosso, c’est sûr qu’à posteriori si j’avais su que ça se passerait comme ça, je ne suis pas sûr que j’y serai allé. Mais bon, globalement au moins, il n’y a pas de regret. J’ai tenté le coup et ça ne s’est pas bien passé. C’est terminé, on passe à autre chose. »

« Il y a eu l’avant, le pendant et maintenant l’après. Il y a eu pleins de belles choses, mais c’est sûr que le passage F1 était loin d’être satisfaisant. »

Lorsqu’on lui demande s’il ressent l’envie de retourner en F1 pour prendre sa revanche, le Français répond : « Non, déjà l’envie pas vraiment, parce que c’est pas un paddock de passionnés, c’est un paddock qui est compliqué, qui génère et qui englobe tout un tas de personnes qui ne sont pas forcément là pour les bonnes raisons. »

« Il y a tellement d’argent, tellement d’Intérêt. Il y a ceux qui sont extrêmement intéressés par l’aspect financier, il y a ceux qui sont intéressés par l’aspect technique, mais qui n’ont pas forcément la fibre du sport auto. »

« Donc, on se retrouve un peu avec un paddock sans vie, pas inhumain, mais sans la fibre et sans la passion. »

« C’est une chose avec laquelle j’ai eu beaucoup de mal. Toi, en tant que pilote, la F1 évoluait à un tel niveau de technologie que en gros ils n’ont pas besoin de pilotes comme dans les années 80 ou 90 qu’ils leur disent ‘j’ai besoin que la voiture fasse ça ou ça’. »

« Ils ont juste besoin d’un pilote qui monte dedans et qui s’adapte aux caractéristiques de la voiture et d’en sortir le potentiel maximum. »

« Ça n’a jamais été ma force, ça ne le sera jamais, et du coup, ça s’est mal passé. De toute façon, après le revers et la façon dont ça s’est passé, les opportunités, forcément il n’y en avait pas. Et puis l’âge forcément. Je vais arriver à ce qu’on appelle une fin de carrière sur une carrière F1 par rapport à au fait que j’étais déjà facilement dans la trentaine. »

Le constructeur Renault soutient toujours son projet F1

Le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul, assure que le conseil d’administration de Renault soutient toujours le projet F1.

En raison de la crise sanitaire de la Covid-19, de nombreuses entreprises doivent faire face à des pertes colossales et les constructeurs automobiles ne sont pas épargnés.

Renault fait évidemment partie de ces constructeurs touchés de plein fouet par la crise économique liée au coronavirus et, depuis plusieurs semaines, les rumeurs selon lesquelles Renault quittera la F1 d’ici la fin de la saison 2020 s’intensifient.

Renault a déjà démenti à maintes reprises ces rumeurs, mais en raison de la crise actuelle, le sujet a de nouveau été mis sur la table dernièrement par certains médias.

Concernant le projet F1 du constructeur français, Cyril Abiteboul assure que le conseil d’administration de Renault surveille de près l’évolution de la situation en catégorie reine, qui n’a toujours pas débuté la saison, et le manager français évoque des projets à moyen et long terme pour l’écurie.

« Oui. Nous sommes en contact régulier, même si la direction de Renault a beaucoup à faire avec la crise. » explique Abiteboul à AMUS.

« Vous comprenez la situation dans laquelle nous nous trouvons. Vous connaissez les discussions en arrière-plan. »

« Je sais que ça fait longtemps, mais nous avons eu beaucoup de bonnes nouvelles concernant l’hiver. Les essais sur piste à Barcelone ont été très encourageants. La veille de l’annulation à Melbourne, nous avons annoncé un nouveau sponsor titre [DP World]. »

« Nous voulons bâtir notre équipe sur cette bonne nouvelle, sur cette dynamique. Nous sommes toujours une jeune équipe. Nous ne devons pas l’oublier. Mais nous avons nos exigences à moyen et long terme. »

« Une telle crise sans précédent recèle des dangers à tous égards. Nous avons également vu que le promoteur a récemment contracté un prêt pour restructurer ses finances et rendre l’entreprise plus solide. Ce qui montre que tout le monde est en danger. »

« Chaque équipe est tout aussi importante. Apparemment, les constructeurs sont un peu plus importants pour la structure de base du sport car ils équipent les équipes privées de certaines pièces, comme le moteur ou la transmission. »

« Les constructeurs soutiennent également largement la carrière des jeunes pilotes. On voit que certains sponsors ont annoncé qu’ils cesseraient de financer les jeunes pilotes. Si nous perdions des fabricants maintenant, ce serait un autre coup dur. »

« En tant que sport, nous essayons de sortir de la crise avec les dix équipes avec lesquelles nous sommes entrés en crise. »

« Espérons que nous aurons dix équipes même après la crise. Nous avons besoin du plafond budgétaire. Cela aidera également les équipes existantes à avoir des chances plus égales. »

« Au contraire, nous voulons également attirer de nouveaux candidats afin de ne pas avoir à nous soucier autant du nombre d’équipes lors d’une crise future. »

« Pourquoi aucune nouvelle équipe n’a-t-elle rejoint [la F1] à ce jour? Parce que les coûts sont trop élevés et ils n’ont aucune chance de gagner. Alors, pourquoi devriez-vous entrer en Formule 1? »

Le Canada 2008 est « l’un des plus grands moments » de la carrière de Kubica

Robert Kubica nous a indiqué que sa victoire au Canada en 2008 au volant d’une BMW Sauber restera probablement l’un des plus grands moments de sa carrière.

Cette semaine, le groupe Sauber a fêté ses 50 ans de présence dans le sport automobile et à cette occasion Robert Kubica a tenu à nous indiquer que sa victoire en 2008 au Grand Prix du Canada au volant d’une BMW Sauber restait à l’heure actuelle l’un des plus grands moments de sa carrière.

« Cette équipe a toujours été composée de gens formidables et ce fut un plaisir de courir pour eux. C’est ici que j’ai fait mes débuts, en 2006, ce qui était la plus grande opportunité pour moi et ma carrière. » nous explique Robert Kubica.

« J’ai beaucoup de bons souvenirs de ces jours, et la victoire au Canada en 2008 a certainement été l’un des plus grands moments de ma carrière. »

« Je voudrais féliciter toutes les personnes qui ont écrit l’histoire de Sauber, mais je souhaite également bonne chance aux nouvelles personnes, les nouveaux visages que j’ai eu la chance de rencontrer à mon retour à Hinwil, notre maison. Je souhaite à l’équipe 50, 100 ans de plus de grande histoire dans le sport automobile. »

Pour remettre les choses dans leur contexte, rappelons qu’une année auparavant Robert Kubica était victime d’un terrible crash sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal.

Un an plus tard, le Polonais revient à Montréal et décroche sa première victoire en Formule 1, la première également de BMW Sauber en tant que constructeur.

La petite amie de Charles Leclerc s’abonne à sa chaîne Twitch…pour pouvoir rentrer

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a révélé que sa petite amie a dû s’abonner à sa chaîne Twitch pour pouvoir entrer chez lui.

C’est une information pour le moins loufoque qu’a partagé Charles Leclerc sur les réseaux sociaux ce samedi après-midi.

Devenu accroc aux sessions de simulation en ligne depuis le confinement, le pilote Ferrari Charles Leclerc a révélé qu’il n’avait pas entendu sa petite amie sonner à la porte et encore moins son téléphone lors d’une partie en ligne.

Concentré sur son pilotage avec un casque audio vissé sur la tête, le Monégasque n’a pas entendu les appels à répétition de sa petite amie, qui souhaitait simplement rentrer chez lui.

La malheureuse n’a pas eu d’autre choix que de s’abonner à la chaîne Twitch sur laquelle Leclerc diffuse ses exploits en direct pour pouvoir lui parler via le chat en ligne et lui dire qu’elle était dehors depuis plusieurs minutes.

« Ma copine a dû acheter un abonnement à ma chaîne Twitch pour pouvoir me demander dans le chat de la chaîne si je pouvais lui ouvrir la porte d’entrée. » a expliqué Charles Leclerc sur son compte Twitter.

« Elle a attendu 25 minutes en bas car je n’entendais pas mon téléphone, j’avais les écouteurs et j’étais très concentrée sur ma course de rallye. Elle n’a souscrit que pour un mois cependant… »

Le Mugello prêt à accueillir le GP d’Italie à la place de Monza

Le circuit du Mugello en Toscane est prêt à remplacer le tracé de Monza en Lombardie pour accueillir le Grand Prix d’Italie.

Dans un contexte de crise sanitaire mondiale, l’Italie a été particulièrement touchée par l’épidémie de Covid-19, et la région Lombardie en a été l’épicentre durant plusieurs semaines.

Le Grand Prix F1 d’Italie doit se tenir début septembre sur le tracé de Monza, lui aussi situé en Lombardie, mais la course a de fortes chances de se tenir à huis clos, même si les organisateurs continuent de vendre des billets pour l’événement.

Le circuit du Mugello pour sa part est situé en région Toscane, moins touchée par l’épidémie, et c’est pour cette raison que le maire de la ville de Scarperia estime que le tracé du Mugello serait le candidat idéal pour accueillir le GP d’Italie dans le cas où Monza ne serait pas en mesure d’organiser un tel événement en septembre.

« S’il était nécessaire d’organiser un GP à huis clos pour remplacer Monza, si en septembre la situation de la Lombardie ne le permettait pas, le Mugello serait l’endroit idéal pour l’organiser. » explique le maire de la ville de Scarperia où est situé le tracé Mugello.

« Nous serions prêts à investir et à en discuter avec la région toscane et la Chambre de commerce, car ce serait une occasion unique d’intégrer la F1 avec un nouveau circuit, de donner de la visibilité à notre autodrome et de construire également une collaboration structurée pour les prochaines années. »

« Nous ne savons pas quelle possibilité nous aurons d’organiser un GP, ​​mais nous sommes prêts à trouver des ressources sur notre territoire même si nous avions une seule chance sur cent. »

« Le circuit du Mugello, approuvé pour la Formule 1, est une excellence pour son professionnalisme, sa qualité et sa beauté: nous en avons parlé avec l’Aci et la région est prête à essayer. »

Il est bon de noter que les dirigeants du circuit de Monza ont confirmé les dates du Grand Prix d’Italie la semaine dernière (du 4 au 6 septembre). Pour le moment, la F1 n’a toujours pas validé son nouveau calendrier post-Covid.

Hakkinen espère que Vettel ne prendra pas sa retraite en 2021

Le double champion du monde Mika Hakkinen aimerait voir Sebastian Vettel continuer sa carrière en F1 en 2021.

Cette semaine, Ferrari a annoncé que Sebastian Vettel quittera l’équipe à la fin de la saison 2020, après six années passées à Maranello.

Les deux parties n’ont pas réussi à s’entendre sur un accord, et en off, il se murmure que Ferrari n’a finalement jamais eu l’intention de conserver le quadruple champion du monde en raison de sa relation avec son jeune coéquipier Charles Leclerc.

Pour 2021, personne ne sait encore ce que fera Sebastian Vettel, alors que l’Allemand pourrait peut-être rejoindre Mercedes ou Renault F1.

Pour Mika Hakkinen, qui a pris sa retraite du sport en 2001, Sebastian Vettel va devoir prendre une grande décision concernant son avenir dans les prochains jours et espère personnellement que l’actuel pilote Ferrari restera en F1 l’an prochain.

« Les négociations se sont terminées sans qu’aucune solution ne soit trouvée et ils ont décidé de se séparer. En public, Sebastian avait été assez ouvert sur ses espoirs de conclure un nouvel accord, il ne s’agit donc pas d’une décision de prendre sa retraite; ils n’étaient tout simplement pas en mesure de s’entendre. » estime Mika Hakkinen dans sa dernière chronique pour le site de pari en ligne Unibet.

« Sebastian a une grande décision à prendre concernant son avenir. Il n’envisageait pas de prendre sa retraite, mais il devra maintenant examiner les autres options disponibles en 2021 et 2022, et il devra également étudier celle de rester pilote de Formule 1 – surtout s’il est incapable de piloter pour une équipe gagnante. »

« Bien qu’il n’ait que 33 ans cette année, il a fait ses débuts en Formule 1 à un très jeune âge, 19 ans, et je suis sûr que lorsque vous commencez si jeune, il devient également plus difficile de maintenir les niveaux d’énergie élevés dont vous avez besoin pour rester au sommet de ce sport. »

« Personnellement, je voudrais le voir continuer car il reste un pilote rapide et un grand ambassadeur de la Formule 1, mais lui seul peut prendre la décision finale. »

« Dans mon podcast du 1er mai, j’ai répondu à une question d’un fan sur ma propre décision de me retirer de la Formule 1. J’ai expliqué qu’après 10 ans, j’étais arrivé à un point en 2000 où j’ai eu quelques incidents puis au début de 2001, j’ai eu de gros accident à Melbourne lorsque la voiture a subi une défaillance technique. »

« Ma voiture a heurté très fort la barrière et j’ai été emmenée au centre médical. J’ai commencé à penser: « Qu’est-ce qui se passe là, Mika? »

« La sécurité en Formule 1 était bonne, mais pas aussi grande qu’aujourd’hui, donc des incidents comme celui-ci ont commencé à affecter ma confiance. »

« Cela a conduit à ma décision d’arrêter. J’ai dit à mon patron de McLaren Ron Dennis à Monaco cette année-là, ce qui a été un choc pour lui et n’a pas été facile pour moi. »

« J’ai expliqué que si je perdais un peu confiance, cela signifierait que je ne pourrais pas être aussi cohérent avec mes temps au tour, et finalement ne pas faire le meilleur travail pour l’équipe. »

« En tant que pilote de compétition habitué à gagner des courses et à participer aux championnats du monde, vous savez toujours quand votre niveau d’énergie commence à baisser et votre engagement absolu commence à disparaître. »

 

Wolff « fier » et « optimiste » que la saison 2020 de F1 puisse débuter en Autriche

Le patron de Mercedes, Toto Wolff, se dit « très fier » que son pays d’origine, l’Autriche, soit sur le point d’accueillir les deux premières manches du championnat du monde 2020 de F1.

Le Red Bull Ring situé à Spielberg en Autriche doit organiser des courses les 5 et 12 juillet, et le site a travaillé avec la F1 et les autorités nationales et locales sur les procédures qui permettront à la catégorie reine de débuter sa saison 2020, avec notamment des tests COVID-19 réguliers au cours du week-end.

Toto Wolff, directeur de l’équipe Mercedes en F1, se dit très fier que son pays d’origine puisse permettre au sport de reprendre après une pause forcée de plusieurs mois.

« Je suis assez optimiste quant au fait que nous pouvons commencer en Autriche parce que l’Autriche a été l’un des meilleurs pays pour maintenir le nombre de personnes infectées au plus bas. » a déclaré Wolff.

« Je connais très bien le circuit, car j’y ai fait mille tours en tant que pilote de course et en tant qu’instructeur. J’ai aussi vécu à Spielberg, étant un pilote junior. Cela ressemble un peu à une résidence secondaire. J’adore la Styrie et j’ai beaucoup de bons souvenirs de l’endroit. »

« Débuter la saison là-bas me rend très fier. Savoir que l’Autriche peut ouvrir la saison avec deux week-ends consécutifs pour que nous puissions avoir deux courses. Je suis très impatient. »

Rappelons que la F1 n’a toujours pas dévoilé son calendrier 2020 repensé et qui devrait être composé entre 15 et 19 courses selon les dernières informations.

Les promoteurs du GP de Singapour excluent l’idée d’une course de F1 sans public

Les organisateurs du Grand Prix de Singapour ont totalement exclu l’idée de disputer leur course à huis clos cette année.

Les promoteurs du Grand Prix de Singapour (20 septembre) ont exclu de tenir leur course de Formule 1 sans spectateurs, ce qui jette une incertitude supplémentaire sur la probabilité que l’événement de septembre puisse bien avoir lieu.

« La priorité absolue reste le bien-être de nos fans, de nos bénévoles et de tous les Singapouriens. » a déclaré à The Straits Times le porte parole de l’organisation du GP de Singapour.

« Il n’est pas possible de disputer la course à huis clos. Le calendrier de la saison 2020 est en cours de finalisation et le GP de Singapour a maintenu un dialogue ouvert avec la F1, le gouvernement de Singapour et nos parties prenantes pendant cette période, afin d’évaluer différentes possibilités. »

Autre point important, les organisateurs de l’épreuve ont besoin d’au moins trois mois pour tout mettre en place sur le circuit, ce qui pourrait être un problème si le gouvernement ne permet pas ce genre d’activités d’ici le mois prochain.

« Les travaux durent généralement trois mois, et cela dépendra de la question de savoir si ces activités sont autorisées par la réglementation gouvernementale en vigueur. »

Vendredi, le gouvernement singapourien a déclaré que les entrepreneurs en construction pouvaient reprendre progressivement leurs activités à partir du 2 juin, en commençant par des projets critiques tels que les travaux de MRT, le tunnelage en profondeur des systèmes d’assainissement et les projets de rénovation résidentielle qui avaient été suspendus, mais qu’ils devaient mettre en place de nouvelles exigences en matière de distance de sécurité.

GP de Belgique à huis clos : « la seule option envisageable »

Les organisateurs du GP de Belgique espèrent pouvoir communiquer dans les prochains jours davantage sur le plan qui sera mis en oeuvre cette année pour accueillir la F1 à Spa.

Cette semaine, le gouvernement belge a donné son feu vert aux organisateurs du Grand Prix de Belgique pour que la course puisse avoir lieu comme prévu le 30 août sur le tracé de Spa-Francorchamps.

Le Grand Prix de Belgique 2020 aura donc bien lieu comme prévu, mais uniquement avec une course à huis clos en raison de la situation actuelle liée à la crise sanitaire de la Covid-19.

Désormais, toute l’équipe de l’organisation travaille sur un plan organisationnel et communiquera très prochainement pour en dévoiler les détails, la sécurité et la santé étant au centre de ce plan.

« Nous avons le « GO » du gouvernement wallon et du gouvernement fédéral pour organiser un Grand Prix de Belgique à huis clos le 30 août. » a déclaré Vanessa Maes, directrice de Spa Grand Prix, à la RTBF.

« Nous nous réjouissons de cette décision, c’était la seule option envisageable à cet instant. Mais la priorité de Spa Grand Prix reste la santé et la sécurité. »

« Nous serons particulièrement attentifs au respect des consignes sanitaires édictées par le conseil national de sécurité [le CNS]. »

« Nous avons eu des discussions très constructives avec la FOM, qui est le promoteur du championnat du monde de Formule 1. »

« Cela nous a permis de conclure un accord de principe pour organiser un Grand Prix de Belgique dans ces circonstances exceptionnelles. »

« Désormais, dans les jours à venir, nous allons nous atteler à finaliser les modalités organisationnelles. J’espère que nous pourrons en dire plus d’ici quelques jours. »

Vettel chez Mercedes en 2021 : le PDG de McLaren n’y croit pas

Le PDG de l’équipe McLaren Zak Brown ne pense pas que Sebastian Vettel pourra rejoindre l’équipe Mercedes en 2021.

Depuis l’annonce de Ferrari cette semaine, qui a officialisé la fin de collaboration avec Sebastian Vettel à partir de la fin de la saison 2020, les rumeurs concernant l’avenir du quadruple champion du monde de F1 suggèrent un transfert chez Mercedes en 2021.

Pour l’instant, cela ne reste que des rumeurs, mais les deux pilotes Mercedes Lewis Hamilton et Valtteri Bottas n’ont toujours pas signé de prolongation avec leur employeur pour 2021, ce qui laisse toujours une possibilité pour le pilote allemand de rejoindre l’équipe championne du monde en titre (en remplacement de Bottas ?).

Mais pour Zak Brown, le PDG de McLaren, Vettel n’aura sans doute pas d’opportunité chez Mercedes et verrait plutôt le pilote allemand se rabattre sur l’équipe Renault F1 ou tout simplement sur un retrait du sport à l’âge de 33 ans.

« Clairement, ce n’est pas un environnement agréable à l’intérieur du garage Ferrari pour le moment avec les pilotes et le management. » estime Zak Brown.

« Il semble que ce ne soit pas une famille heureuse pour le moment, ce qui je pense va créer des courses assez excitantes en 2020, parce que je pense que nous avons vu au Brésil [2019] des feux d’artifices qui étaient inévitables et qui s’accumulaient…Je pense qu’il y aura plus à venir cette année. »

Vettel chez Mercedes en 2021 ?

« Cela dépend vraiment si Seb regarde autour de lui, mais il ne semble pas qu’il y ait une opportunité pour lui chez Mercedes ou Red Bull. »

« Il ne sera pas chez Ferrari et le meilleur prochain reste Renault. La question est la suivante : Seb veut-il aller dans une équipe qui ne gagnera probablement pas en 2021 ? »

« C’est une super équipe [Renault] et ils devraient remonter la grille, mais je pense que sauf si Seb veut recommencer tout le travail avec une équipe – alors je pense qu’il finira probablement par quitter le sport malheureusement. »

La F1 rediffuse le Grand Prix d’Europe 2012 ce samedi

La F1 rediffuse ce samedi 16 mai le Grand Prix d’Europe 2012 disputé sur le tracé urbain de Valence et remporté par Fernando Alonso au volant de sa Ferrari.

Huitième manche du championnat du monde de F1 2012, le Grand Prix d’Europe a été marqué par de nombreux abandons, dont celui de Sebastian Vettel ou encore de Lewis Hamilton.

Cette année là, c’est la cinquième fois que la F1 se rend sur le tracé urbain de Valence en Espagne pour la vingt-deuxième édition du Grand Prix d’Europe.

Parti en pole position au volant de sa Red Bull à moteur Renault, l’Allemand Sebastian Vettel s’offre une large avance en tête de la course avant d’être victime d’une panne mécanique (alternateur) et d’abandonner.

Onzième sur la grille de départ, Fernando Alonso au volant de sa Ferrari a pu profiter d’un bon départ pour remonter dans la hiérarchie et se retrouve en tête de la course.

Derrière lui, Romain Grosjean et Lewis Hamilton doivent successivement renoncer sur panne mécanique. Fernando Alonso termine alors la course en tête devant Kimi Raikkonen et Michael Schumacher et signe ce jour là sa 29° victoire en carrière.

Comment voir la rediffusion du GP d’Europe 2012 ?

La course sera rediffusée ce samedi 16 mai à 16h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communications de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.