Lewis Hamilton n’est pas un grand fan des simulateurs de F1

Le sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton admet qu’il n’est pas un grand fan des courses en ligne sur simulateur.

En cette période de confinement, de nombreux pilotes de F1 se sont occupés en participant à des courses en ligne, mais Lewis Hamilton lui, n’a pas souhaité y participer.

Le sextuple champion du monde de Formule 1 explique qu’il n’est pas un grand fan des simulateurs de pilotage, bien qu’il ait un partenariat avec la franchise Gran Turismo et Sony.

« Je ne m’intéresse pas beaucoup à la conduite de simulateur. » a déclaré Lewis Hamilton à propos des courses en ligne.

« Mais Gran Turismo et Sony viennent de m’envoyer toute cette configuration. J’ai grandi en jouant à Gran Turismo et en passant des heures à gagner de l’argent pour essayer d’acheter toutes ces voitures [dans le jeu] et c’est vraiment une excellente occasion de faire quelque chose avec elles. »

« Donc, je travaille avec eux [Sony] depuis quelques années et je dois relever ce défi de battre mon propre temps. Je cours moi-même en essayant de battre mes propres tours. Ça été assez frustrant, parce que mes tours étaient assez décents je pense. »

Le fait de pouvoir piloter sa propre monoplace dans le jeu (celle de 2017) est l’un des aspects les plus agréables pour le pilote britannique.

« Honnêtement, c’est l’une des choses les plus cool ! Une fois arrivé en F1, je n’ai joué à aucun jeu de course, en particulier la F1, mais je ne sais pas pourquoi. »

« Heureusement, dans ce jeu je n’ai pas eu à travailler beaucoup pour gagner ma voiture. Cela m’aurait pris trop de temps, alors ils m’ont envoyé des crédits et j’ai acheté ma voiture. »

« C’est incroyable de penser au long chemin parcouru et que la voiture que mon équipe et moi avons aidé à faire développer est dans ce jeu et que les gens peuvent la gagner et la piloter. »

Pas fan des simulateurs !

Le sextuple champion du monde de F1 n’est pas un grand fan des simulateurs de F1 et ne pilote que très rarement avec ce genre de matériel.

« Je ne pilote jamais dans un simulateur, très, très rarement. Avec les simulateurs, c’est très difficile, parce que le mouvement n’est jamais parfait. »

« C’est quelque chose qu’ils essaient d’améliorer, mais si vous êtes à la maison avec un simulateur, le siège ne bouge pas, alors que votre esprit vous dit que la voiture bouge, mais vous ne recevez aucun signal de mouvement. »

« Vous devez en quelque sorte passer outre votre esprit et je n’aime pas vraiment faire ça et passer par ce processus. Ensuite, vous entrez dans la réalité et c’est complétement différent. »

« Je ne trouve personnellement aucun avantage à faire de la simulation, mais le côté ludique lorsque vous jouez en ligne avec des amis par exemple est le côté positif. »

Kvyat sur la promotion d’Albon chez Red Bull : « Je n’étais pas très content »

Daniil Kvyat admet qu’il n’était pas très content lorsqu’il a appris en 2019 la nomination d’Alex Albon chez Red Bull Racing.

L’année dernière, le Français Pierre Gasly a été « rétrogradé » chez Toro Rosso, après une première partie de saison 2019 en deçà des attentes de son équipe.

Red Bull Racing a alors pris la décision de placer son jeune pilote Alex Albon à la place de Gasly, alors que le pilote thaïlandais n’en était qu’à sa toute première saison en Formule 1.

Daniil Kvyat, qui a fait son grand retour en F1 en 2019 après une année en off, admet qu’il n’était pas très content sur le coup lorsqu’il a appris que le jeune Albon était promu chez Red Bull, mais le Russe a très vite compris et accepté la décision de l’équipe.

« Bien-sûr, je n’étais pas content, bien que lorsqu’ils m’ont appelé et m’ont communiqué la décision, j’ai respecté cela et j’étais entièrement d’accord. » explique le pilote russe dans le dernier podcast de la F1.

« Moi j’y étais déjà allé, et je savais que Red Bull a toujours souhaité placer des jeunes pilotes dans son équipe mère. Pour ma part, je savais quel était mon rôle et ce que je devais faire dans l’équipe. »

Malgré ses mésaventures avec l’équipe Red Bull dans le passé, Daniil Kvyat est le parfait exemple que tout est possible en Formule 1.

« Tout est possible dans la vie, et mon retour en F1 démontre que rien n’est impossible. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que vous n’avez pas à rêver dans votre travail, mais juste à vous concentrer afin d’obtenir ce qu’on vous demande. »

« En ce moment, Red Bull m’a demandé d’obtenir les meilleurs résultats possibles pour AlphaTauri et c’est ce sur quoi je me concentre. J’ai la possibilité de démontrer que je suis assez bon. »

Daniel Ricciardo ne compte pas quitter la F1 sans titre mondial

Le pilote Renault Daniel Ricciardo pense qu’il peut toujours prétendre à décrocher son premier titre mondial en F1.

Âgé désormais de 30 ans, le pilote Renault F1 évolue en catégorie reine du sport automobile depuis la saison 2011 où il a débuté sa carrière avec la modeste écurie HRT.

Le pilote australien a ensuite rejoint le clan Red Bull avec Toro Rosso dans un premier temps, puis a été promu au sein de l’écurie mère Red Bull Racing en 2014. Depuis le début de la saison 2019, Daniel Ricciardo fait partie de l’équipe Renault F1 avec laquelle il a signé un contrat de deux saisons.

Interrogé par la BBC pour savoir s’il pensait pouvoir décrocher le titre mondial un jour, l’Australien admet qu’il n’envisage pas de quitter le sport sans avoir réussi à atteindre « son but ultime. »

« Mon objectif de base dans toute cette aventure n’est pas seulement d’être en Formule 1, mais de la quitter en étant champion du monde. » explique le pilote Renault à la BBC.

« Étais-je excité à l’idée d’aller en F1? Absolument. Est-ce que j’aime ça? Oui. Je n’y suis pas encore arrivé. Mais est-ce que j’apprécie toujours? Absolument. »

« Mais si ça se terminait aujourd’hui, serais-je déçu? Une grande partie de moi le serait parce que c’est quelque chose que je pense pouvoir réaliser [devenir champion du monde]. Ça laisserait donc un goût d’inachevé. »

« C’est le but ultime. Le jour où j’arrêterai de croire que je pourrai encore le faire, c’est le jour où vous me verrez probablement m’éloigner du sport, mais je crois toujours que cela peut arriver. »

« Il est frustrant de voir que presque tout dans ce sport soit décidé si vous êtes dans la bonne voiture, la bonne saison. Mais je me suis engagé pour cela, et en soi, c’est également une partie intéressante du spectacle. »

« Le défi est de se positionner avec la meilleure équipe à ce moment-là et quand les changements de règles arrivent, c’est, comme, est-ce toujours la bonne équipe ? ou manquons-nous de quelque chose? Devons-nous essayer de construire sur ce nous avons ici ? »

« C’est un peu comme les jeux d’échecs. Si c’était soit noir, soit blanc, nous pourrions tous savoir où aller et quand. Mais ce n’est pas comme ça que cela fonctionne. Je pense cependant que le meilleur trouvera toujours un moyen d’atteindre le sommet. »

Le huis clos en F1 laissera un « sentiment de vide » à Lewis Hamilton

Lewis Hamilton a expliqué que cela le rendait très triste de savoir que les courses de F1 se disputeraient dans un premier temps sans spectateurs.

La F1 prévoit de débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet, mais pour des raisons évidentes de sécurité, les premières courses de l’année devront se tenir à huis clos.

Pour le sextuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, rouler devant des tribunes vides sur les différents circuits du calendrier sera évidemment un sentiment particulier pour les pilotes, plus habitués à rouler devant des milliers de fans.

« Ce sera un grand sentiment de vide, parce que les fans sont l’essence même de la course automobile. Partout dans le monde, il y aura toujours une meilleure atmosphère quand il y aura des fans. » explique Lewis Hamilton.

« C’est l’une des raisons pour lesquelles des endroits comme Silverstone ou Monza sont si grands. Mais tout sera très vide cette année. »

« Cela montre à quel point le sport est important dans nos vies. Je ne sais pas à quoi cela ressemblera à la télévision, mais c’est mieux que rien. »

« Pour nous [les pilotes], ce sera comme une journée pendant les tests de prè-saison, peut-être pire, parce qu’il n’y aura vraiment personne dans les tribunes. »

Le PDG de la F1, Chase Carey, a indiqué cette semaine que le public pourrait éventuellement revenir sur les circuits dans la dernière partie de la saison. Evidemment, tout cela dépendra de la situation sanitaire mondial à ce moment-là.

Ricciardo s’attend à une première course « chaotique » lors de la reprise de la F1

Daniel Ricciardo de Renault s’attend à ce que la première course de la saison soit chaotique après la pause forcée due au coronavirus.

Le pilote Renault F1 estime que la longue pause forcée pourrait entraîner des erreurs et des incidents lorsque la Formule 1 débutera enfin sa saison 2020.

Si la saison 2020 de F1 débute bien en Autriche comme prévu au mois de juillet, cela fera cinq mois que les pilotes n’auront pas poser leur fessier dans un baquet de Formule 1.

Une pause anormalement longue pour la catégorie reine du sport automobile, ce qui pourrait créer un certain chaos lors de la première course selon Daniel Ricciardo, notamment parce que les pilotes seront excités de reprendre.

« Ce sera une forme de chaos, espérons-le, de manière contrôlée. Je ne fais vraiment référence aux voitures, mais il va y avoir tellement de rouille, d’émotion, d’excitation, d’empressement. » explique Daniel Ricciardo à la BBC.

« Tout le monde sera prêt à partir, vous allez avoir des gars qui performent avec ce niveau d’adrénaline, et d’autres qui, au contraire, pourraient ne pas y arriver. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il lui faudrait du temps pour se réhabituer à piloter une F1, Ricciardo a déclaré : « S’il s’agissait de ma première ou deuxième année en F1, et si je n’étais pas encore complétement adapté, ma réponse serait oui. »

« Mais les essais hivernaux sont normalement un bon point de référence. Lors de mes premiers essais hivernaux, j’ai ressenti un choc et puis plus j’ai avancé dans ma carrière moins ce choc a été présent. »

« Je pense que les débutants, les gars qui en sont à leur première ou deuxième année, le ressentiront un peu plus. »

L’Angleterre envisage une quatorzaine pour les entrées sur son territoire

Le gouvernement britannique envisagerait d’introduire une quatorzaine obligatoire pour les arrivées internationales au Royaume-Uni.

Selon le Times, le gouvernement britannique s’apprête à annoncer ce dimanche l’introduction d’une quatorzaine obligatoire, ce qui obligerait toutes les personnes arrivant par voie aérienne, maritime ou ferroviaire de s’isoler pendant deux semaines.

La BBC de son côté avance que cette quatorzaine devrait entrer en vigueur fin mai, citant des sources gouvernementales et l’organisme de l’industrie aéronautique Airlines UK.

Cette quatorzaine compliquerait encore un peu plus la tâche de la F1, qui est actuellement en train d’élaborer un nouveau calendrier 2020 en prenant évidemment en compte toutes les mesures gouvernementales de chaque pays visité.

Si le gouvernement britannique confirme l’introduction de cette quatorzaine, la situation pourrait devenir très compliquée pour l’organisation du Grand Prix de Grande-Bretagne qui doit se dérouler le 19 juillet à Silverstone.

En effet, cela voudrait dire que les équipes seraient dans l’obligation d’arriver en Angleterre au moins quinze jours avant la date du Grand Prix de Grande-Bretagne, mais le problème est que la F1 souhaite organiser deux courses en Autriche début juillet pour lancer sa saison 2020.

La première course se disputerait le 5 juillet sur le circuit Red Bull Ring, tandis que la seconde serait disputée la semaine suivante (12 juillet) toujours sur le même tracé.

Vous comprendrez qu’il sera donc impossible pour les équipes d’entrer au Royaume-Uni quinze jours à l’avance pour observer une quatorzaine, à moins que la date du GP de Grande-Bretagne ne soit décalée, ce qui n’est pas impossible, ou bien que la saison 2020 débute en Angleterre.

GP d’Espagne virtuel : le demi-frère d’Hamilton roulera pour McLaren

L’équipe McLaren a décidé de placer le demi-frère de Lewis Hamilton aux côtés de Lando Norris ce dimanche pour le GP virtuel d’Espagne.

Grosse surprise pour ce Grand Prix virtuel d’Espagne organisé par la F1, puisque l’équipe McLaren a décidé de placer Nicolas Hamilton, le demi-frère du sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton, aux cotés de Lando Norris ce dimanche.

Nicolas Hamilton évolue actuellement en BTCC où il court avec une voiture spécialement modifiée en raison de sa paralysie cérébrale.

Le Britannique sera donc aux côtés de son compatriote Lando Norris ce dimanche au départ du GP virtuel d’Espagne dont le coup d’envoi sera donné à 19h00 heure de Paris.

Vous pourrez suivre la course en direct via les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook ou encore F1.com.

La liste des pilotes présents au GP virtuel d’Espagne

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Le GP F1 des Pays-Bas à huis clos au moins jusqu’en 2022 ?

Le Grand Prix des Pays-Bas a très peu de chance de pouvoir se produire devant du public avant au moins 2022.

En raison de la pandémie de coronavirus, les dix premières courses de la saison 2020 de F1 ont été soit reportées pour sept d’entre elles, soit annulées pour trois autres.

Parmi les courses reportées à une date ultérieure on retrouve le Grand Prix des Pays-Bas, qui devait faire cette année son grand retour au calendrier de la F1 après 35 années d’absence.

La course qui doit se produire à Zandvoort n’a toujours pas de date alternative au nouveau calendrier que la F1 est en train d’élaborer, mais une chose est certaine désormais : si course il y a, ce sera sans public.

Le gouvernement des Pays-Bas a en effet annoncé ce jeudi que plus aucun événement sportif ne pourrait accueillir du public tant qu’un vaccin contre le Covid-19 n’a pas été découvert.

« Pour la dernière étape (les événements sportifs avec public), les événements de masse avec un rayonnement national, nous ne pouvons pas encore dévoiler de date. » a écrit le ministre de la santé néerlandais Hugo De Jonge dans une lettre envoyée au parlement.

« Cela pourrait bien être uniquement quand un vaccin sera disponible et personne ne peut dire combien de temps cela pourra durer. Nous espérons le plus rapidement possible mais un an ou plus est une échéance réelle. »

Concrètement, cela voudrait dire que le Grand Prix des Pays-Bas ne pourrait pas accueillir du public tant qu’un vaccin n’a pas été trouvé, ce qui pourrait prendre au moins une année. les éditions 2020 et 2021 du GP des Pays Bas devraient donc se dérouler sans public.

La F1 en bonne voie pour reprendre en juillet d’après le président de la GPDA

Alex Wurz s’est montré optimiste quant aux possibilités de débuter la saison 2020 de F1 au mois de juillet en Autriche comme prévu.

Le président de la GPDA (Association des pilotes de Grand Prix) est convaincu que les mesures en matière de sécurité prises par la Formule 1 signifient que le sport a toutes les chances de reprendre comme prévu en Autriche le 5 juillet.

Ce vendredi, la F1, la FIA, le président de la GPDA et certains pilotes ont assisté une visioconférence au cours de laquelle il a été présenté les différentes mesures qui seront mises en place en matière de sécurité dans le paddock lors de la reprise de la saison en juillet.

Wurz a été rejoint pour la conférence virtuelle par Sebastian Vettel, qui occupait son rôle de directeur de la GPDA, ainsi que tous les acteurs clés au sommet de la F1, y compris le directeur général Chase Carey, le directeur sportif Ross Brawn, le directeur de course Michael Masi et le FIA président Jean Todt.

« Les pilotes ont été rassurés aujourd’hui, je ne peux que le souligner. Je suis convaincu que les bonnes mesures seront prises dans un délai efficace et à moins que des circonstances extérieures n’interviennent, je pense que nous pourrions commencer la saison 2020 en Autriche en juillet. » a déclaré Alexander Wurz au terme de cette réunion.

Wurz a confirmé que la F1 a fait appel à des spécialistes internationaux de la sécurité et à des experts mondiaux de la santé pour analyser chaque mesure que le sport compte mettre en place.

« Pour le moment, il ne s’agit pas de sauver la vie d’un pilote ou d’un spectateur ou d’un commissaire mais plutôt d’établir un protocole de sécurité, de l’analyser et d’identifier les forces et les faiblesses. »

L’ancien pilote de F1 a souligné qu’il avait été clairement indiqué lors de la réunion que tous les plans restaient soumis aux exigences imposées par la pandémie mondiale, y compris la menace d’une deuxième vague.

« Les choses peuvent changer assez rapidement parce que de nombreuses nations et nationalités sont impliquées. »

Wurz pense que la F1 est en mesure de servir d’exemple pour d’autres sports dans son approche de la reprise de la saison : « Nous sommes habitués à respecter les règles de sécurité les plus strictes qui rendent la course si sûre. »

« La F1 peut à nouveau être un pionnier dans cette direction et être un exemple pour de meilleures pratiques pour d’autres sports. »

Rester confiné à la maison n’a « rien de naturel » pour le personnel de la F1

Le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, admet que ses pilotes et toute son équipe sont impatients de retrouver le chemin des circuits.

Plus habitués à faire le tour de la planète pendant une grande partie de l’année que de rester à la maison confinés, les employés des équipes de F1 commencent à trouver le temps long.

En pleine crise de coronavirus, les pilotes de F1, mais aussi tout le personnel évoluant dans le paddock se sont retrouvés confinés durant de longues semaines, ce qui n’est finalement pas très naturel pour eux selon Christian Horner.

« C’est probablement la période la plus longue que les pilotes passent en dehors de leur baquet. Cela peut-être sain d’une certaine manière. Si nous débutons en juillet, ils seront très rouillés et il pourrait même y avoir des incidents. » explique Christian Horner au Guardian.

« Nous voulons tous repartir, les pilotes sont impatients de reprendre, car ce n’est pas naturel pour eux et toute l’équipe de rester assis sur un canapé, alors que nous courons habituellement. »

Justement à propos de son équipe, le Britannique est assez fier d’avoir réussi à créer une atmosphère familiale qui, selon lui, a joué un rôle très important dans le succès de l’écurie.

« Il est si important de créer ce sens de l’équipe, car ce n’est pas naturel que tout le monde ne soit pas ensemble. »

« Notre force en tant qu’équipe a toujours été notre façon d’opérer et de gérer le changement. Nous réagissons aux problèmes et les résolvons. Nous faisons toutes sortes de choses pour rester en contact, des cours de fitness en ligne ou des quiz pour conserver ce sens de l’équipe. »

Pilote de F1 : « une grande responsabilité » pour Esteban Ocon

Esteban Ocon rappelle qu’un pilote de F1 doit endosser une grande responsabilité au cours de sa carrière.

Derrière les pilotes de F1 il y a évidemment toute une équipe d’ingénieurs qui travaillent sans relâche pour faire en sorte de trouver de la performance tout au long de l’année sur la monoplace.

Mais les pilotes de F1 doivent également endosser une grande responsabilité puisqu’ils sont le dernier rouage et se doivent de transformer tous les efforts consentis par des hommes et des femmes depuis plusieurs mois en résultats concrets au cours d’un week-end de course.

Du haut de ses 23 ans, le jeune Esteban Ocon est bien conscient de la grande responsabilité qui pèse sur ses épaules et sur celles de son coéquipier, mais le Français n’échangerait sa place pour rien au monde.

« Piloter une Formule 1 ! C’est tellement bon quand les sensations offertes par la monoplace sont au rendez-vous tout en sachant que vous l’avez développée avec l’équipe pour l’exploiter comme vous le voulez. Je trouve cela merveilleux et aucune voiture ne surpasse une F1 à son maximum. » nous explique Esteban Ocon.

« J’ai un rôle immense en tant que pilote de course. Plus de mille personnes travaillent sans relâche derrière moi pour construire une voiture fantastique dont je suis responsable des performances avec Daniel [Ricciardo]. »

« Elles y consacrent des milliers d’heures, donc c’est une grande responsabilité d’être le dernier rouage et de faire du bon travail. »

Pour relâcher un peu la pression, Esteban Ocon nous explique qu’il vit comme une personne « normale » la plupart du temps : « Je ne suis qu’un jeune homme normal. »

« Si j’ai du temps libre, je m’entraîne, mais je sors ensuite avec des amis pour m’amuser en allant au cinéma, jouant au bowling, au billard ou quelque chose de cool. J’aime déconnecter un peu. »

Barcelone optimiste pour un GP de F1 cet été à huis clos

Les organisateurs du Grand Prix d’Espagne sont optimistes quant à la possibilité de reporter leur événement au milieu de l’été.

Le Grand Prix d’Espagne de Formule 1 devait se tenir sur le Circuit de Barcelona-Catalunya ce week-end (du 8 au 10 mai) mais fait partie des sept courses reportées indéfiniment en raison de la pandémie de coronavirus.

Barcelone, qui accueille les essais de pré-saison de la Formule 1 au mois de février, devait normalement accueillir pour la dernière fois la manche espagnole du championnat du monde de F1, son contrat n’ayant pas été renouvelé pour la saison prochaine.

En raison de la crise du coronavirus et de toutes les restrictions gouvernementales, la catégorie reine du sport automobile n’a pas pu se déplacer en Catalogne mais les organisateurs de l’épreuve veulent rester optimistes et estiment qu’une nouvelle date au milieu de l’été est envisageable.

« En ce qui concerne cette année, je pense que nous sommes assez optimistes pour pouvoir accueillir un Grand Prix de Formule 1 à huis clos au milieu de l’été. » explique le directeur général du Circuit de Barcelona-Catalunya, à MotorsportWeek.com.

Rappelons que la F1 souhaite toujours débuter la saison 2020 au mois de juillet en Autriche avec deux courses à huis clos, avant de partir vers Silverstone et quelques autres dates en Europe.

Ensuite, la Formule 1 prendrait la direction de l’Eurasie et de l’Asie, puis des Amériques et enfin des pays du Golf pour clôturer sa saison 2020 en décembre, voire en janvier 2021.

« C’est de cela que nous parlons avec Liberty Media et j’espère que nous pourrons inclure notre grand prix dans ces premières manches de la saison, avec les grands prix européens. » conclut le directeur du tracé espagnol.

Les pilotes de F1 devront eux aussi s’adapter face au coronavirus

Alexander Wurz, président du GPDA (Association des pilotes de Grand Prix), explique que les pilotes de F1 aussi devront s’adapter face au coronavirus.

La F1 compte toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses sur le tracé Red Bull Ring, mais ces courses se dérouleront à huis clos.

Différentes mesures seront mises en place dans le paddock par la F1 afin de permettre à tout le personnel évoluant en catégorie reine du sport automobile de travailler dans des conditions de sécurité optimales face à la menace du coronavirus.

Parmi les mesures qui seront introduites, le personnel sera testé avant de se déplacer vers l’Autriche, puis des tests seront à nouveau effectués tous les deux jours dans le paddock, le but étant de créer une « bulle » sanitaire.

Concernant les pilotes eux-mêmes, ils devront évidemment passer des tests (PCR et prise de température), mais les athlètes devront également adopter certaines pratiques afin de respecter les gestes barrières dans le garage avec le personnel évoluant autour de la voiture.

Alex Wurz a expliqué que les pilotes pourraient bien devoir monter dans leur monoplace déjà casqués et gantés à partir de cette saison, alors qu’ils pourraient également devoir attacher leur ceinture de sécurité seul (même si cela nous semble impossible).

« Les pilotes pourraient boucler leur ceinture de sécurité eux-mêmes, ce serait mieux, mais ils porteraient également leur casque et leurs gants. » explique Alex Wurz à nos confrères de RaceFans.

« Certains pilotes par le passé montaient dans leur voiture sans casque, ni gants. L’interaction avec le mécanicien qui attache la ceinture du pilote est grande, donc vous serez exposé à des gouttelettes de la bouche et du nez du mécanicien qui pourraient entrer dans vos yeux ou votre bouche. »

« Dans ce cas là, tout le monde doit être conscient qu’il faudra mettre la cagoule, le casque et les gants avant de monter dans la voiture, et peut-être même, fermer la visière du casque, afin que cela devienne leur protection. »

« C’est un petit exemple parmi tant d’autres que nous pensons pouvoir appliquer tout au long d’un week-end. »

Evidemment, cela ne reste qu’une proposition dans l’immédiat et il faudra attendre de voir ce que la F1 proposera lorsqu’elle détaillera son plan d’action concernant la mise en sécurité du paddock version Covid-19.

Contrat de Ricciardo : Renault pense qu’il y a un « appétit partagé »

Cyril Abiteboul a déclaré qu’il y avait « plus à venir » dans la relation entre Daniel Ricciardo et Renault F1 dans les prochains mois.

Le pilote australien Daniel Ricciardo arrivera en fin de contrat avec Renault F1 à la fin de la saison 2020 et, pour l’instant, personne ne sait s’il souhaite continuer l’aventure avec l’équipe du constructeur français une troisième année ou bien s’il souhaite aller voir ailleurs en 2021.

Du côté de chez Renault, Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, estime qu’il y a bien plus de choses à offrir cette année par rapport à une première saison de collaboration « très mitigée » entre les deux parties.

« Dans une saison normale, c’est clairement autour de mai et juin que vous commencez à avoir des discussions. » a déclaré Cyril Abiteboul au site de la F1.

« C’est une saison inhabituelle dans une certaine mesure. Cela a reporté un certain nombre de choses, mais cela étant dit, nous devons continuer à planifier pour l’avenir, donc cela fait partie des choses qui se passent avec Daniel et les autres. »

« Nous ne voulons pas désespérément avoir une réponse à ce sujet, mais c’est certain que nous y réfléchissons. »

Est-ce que Renault aimerait garder Ricciardo ?

Lorsqu’on lui demande s’il aimerait que Daniel Ricciardo reste avec Renault, Abiteboul répond : « Ça me parait bizarre de devoir vous répondre à cette question moi-même, alors que nous n’avons même pas encore débuté notre seconde saison ensemble. »

« Nous pensons qu’il y a encore plus à offrir que ce que nous avons vécu l’année dernière. Nous savons tous que l’année dernière il y a eu des sentiments mitigés, des résultats mitigés, à différents degrés. »

« On pense qu’on peut mieux faire, c’est pourquoi il y a un sentiment partagé que l’on devrait en faire plus. Est-ce que cela mènera à une prolongation du contrat, le temps nous le dira. Il y a certainement un appétit partagé, si ma compréhension est correcte. »

Quand Marc Marquez découvrait le pilotage d’une F1

Marc Marquez, le sextuple champion du monde de MotoGP, est revenu sur les différences et similitudes entre la F1 et le MotoGP.

En 2018, le pilote espagnol a pu prendre le volant d’une Toro Rosso de la saison 2012 pour un test d’un tour sur le tracé Red Bull Ring en Autriche. Marquez explique les principales différences qu’il a pu constater entre les deux disciplines lors de cette journée.

« Je ne pouvais pas vraiment prendre de référence en regardant les voitures. Ils freinent si tard. C’était agréable de voir la vitesse de passage dans les virages, c’était incroyable. » explique Marc Marquez, qui est d’abord resté en bord de piste pour « observer » avant de prendre le volant de la Toro Rosso.

« Mais il est impossible de voir les différences de style de conduite. En MotoGP, vous pouvez voir comment le pilote déplace le corps, mais en F1, vous ne pouvez pas voir cela. »

L’une des principales différences entre la F1 et le MotoGP réside dans le fait qu’il n’y a pas de simulateur pour les pilotes moto, contrairement à la Formule 1.

« Vous ne pouvez pas vraiment avoir de simulateur pour le Moto GP car tout dépend de la façon dont vous roulez. Vous bougez peut-être beaucoup, vous ne bougez peut-être pas, vous êtes peut-être fatigué, ce qui affecte la façon dont la moto se comporte. Cela change beaucoup l’équilibre de la moto. »

L’autre différence de taille en MotoGP par rapport à la F1 est justement la taille des garages : « Tout est plus grand. » souligne Marquez.

« Même si nous avons deux motos dans le garage, ils sont toujours plus petits. Le fonctionnement de l’équipe est également différent et la position des ingénieurs. Il y a beaucoup, beaucoup de gens. En Moto GP, c’est plus familial. »

Beaucoup d’appuis sur les F1 !

Lorsque Marc Marquez a pu prendre le volant d’une Toro Rosso sur le tracé Red Bull Ring en Autriche, l’Espagnol a d’abord été impressionné par les points de freinage, bien différents par rapport à la moto.

« Ce fut une belle expérience de pilotage. Au début, je freinais au même point que je le ferais sur une moto. Mais en fait, vous pouvez aller encore beaucoup, beaucoup plus loin dans le virage. »

« Et les appuis sont différents. Nous n’avons pas d’appui sur les motos, mais en F1, c’est la chose la plus importante dans les virages à grande vitesse, et on a l’impression que vous ne pouvez pas aller plus vite, mais en fait, plus vous allez vite mieux c’est. C’est difficile à comprendre. »

« Lorsque je pilotais la voiture, je me sentais en sécurité. J’étais dans une ‘boîte ». Je n’avais pas peur, Mark [Webber, qui l’épaulait] m’a dit de freiner plus tard. »

« Si vous sortez de la piste, vous êtes en sécurité dans la voiture. Le MotoGP est différent, vous jouez avec le corps, vous pouvez sentir la moto trembler et si vous freinez plus tard, et si vous sortez de la piste, il y a un plus grand risque. »

« Le deux roues c’est mon monde ! »

Après ce test, l’Espagnol a déclaré que, même s’il avait beaucoup apprécié son essai au volant d’une Formule 1, il ne comptait pas quitter « son monde » de la moto.

« Le deux roues c’est mon monde ! C’est agréable de piloter une F1, mais en F1, nous avons déjà les meilleurs pilotes du monde. »

« Je ne pense pas que je serais capable de le faire. J’aime être rapide et si je ne suis pas compétitif, ça ne me plait pas. »

Revivez la dernière victoire de Raikkonen avec Ferrari ce samedi

La F1 va rediffuser le Grand Prix des Etats-Unis 2018 remporté par le Finlandais Kimi Raikkonen au volant d’une Ferrari ce samedi 9 mai.

Au terme de ce Grand Prix des Etats-Unis 2018, le Finlandais Kimi Raikkonen signera son 21e succès en Formule 1 au volant de sa Ferrrari.

Raikkonen aura dû attendre 114 Grands Prix depuis sa dernière victoire à l’ouverture de la saison 2013 en Australie sur Lotus-Renault, ainsi que 179 courses au volant d’une Ferrari (son dernier succès en rouge remontant au Grand Prix de Belgique 2009) pour gagner à nouveau, quelques jours après avoir fêté ses 39 ans.

Le pilote finlandais doit cette victoire à un excellent départ en pneumatiques Ultra-Tendres qui lui permettra de dépasser le pilote Mercedes dès le premier virage.

Kimi Raikkonen pourra ensuite profiter d’une excellente stratégie de la part de son équipe en course, alors que cette ultime victoire avec la Scuderia Ferrari empêchera Lewis Hamilton d’être titré à Austin cette année-là.

A la fin de cette saison 2018, Kimi Raikkonen quittera la Scuderia Ferrari pour rejoindre l’équipe Alfa Romeo Racing et laisser sa place au jeune Charles Leclerc.

Comment suivre le GP des Etats-Unis 2018 ?

La course sera rediffusée ce samedi 9 mai à 16h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

La F1 pourrait terminer sa saison 2020 en janvier 2021

La F1 n’écarte absolument pas l’idée de terminer la saison 2020 au mois de janvier 2021 si cela est nécéssaire.

La F1 est toujours en train d’élaborer un nouveau calendrier 2020 et espère pouvoir débuter au mois de juillet avec le Grand Prix d’Autriche sur le circuit Red Bull Ring.

Mais avec déjà dix courses annulées ou reportées et un début de saison programmé cinq mois après les essais hivernaux 2020, la catégorie reine s’attend à enchaîner les courses jusqu’à la fin de l’année afin d’en disputer entre 15 et 18.

Ce nouveau calendrier ultra concentré obligera certainement la F1 à terminer la saison plus tard que la date d’origine (29 novembre à Abou Dhabi) et bien que l’objectif soit de terminer la saison 2020 en décembre, l’idée de prolonger en janvier 2021 si besoin n’est pas écartée.

« Je pense qu’en ce moment, notre plan cible actuel nous permet de terminer plus tard en décembre par rapport au plan d’origine. » explique Chase Carey, le PDG de la F1.

« Mais nous évaluons et envisageons de terminer en janvier [2021]. C’est une option, nous pourrions le faire, nous pouvons le faire. »

« Je pense que si nous le pouvons, nous aimerions terminer au mois de décembre. Nous devrons évidemment faire une pause assez longue assez longue pendant les vacances de noël, parce que vous ne pouvez pas courir durant les semaines de vacances. »

« Mais cela reste une option [terminer la saison 2020 en janvier 2021]. Nous allons devoir travailler avec nos promoteurs et avec toutes les parties concernées pour y arriver, mais c’est quelque chose à considérer. »

« Je dirais que notre objectif principal est de terminer seulement quelques semaines plus tard que notre date d’origine, terminer à la mi-décembre avant les vacances. »

Renault F1 a besoin d’un préavis d’un mois avant de débuter la saison 2020

Le patron de l’équipe Renault F1 avertit que son équipe aura besoin d’un préavis d’environ un mois pour faire les préparatifs nécessaires pour débuter la saison 2020.

Dans l’état actuel des choses, la F1 espère débuter la saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses sur le Red Bull Ring de Spielberg.

Pour la suite, les plans sont toujours en cours d’élaboration, mais quelle que soit la date de début de saison, le plus important sera d’avoir un préavis de la part de la F1 selon Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« La durée du préavis nécéssaire va dépendre si nous devrons faire plusieurs back to back (enchaînement de courses). » explique Cyril Abiteboul au site de la F1.

« Si nous ne sommes pas en mesure d’expédier certaines pièces aussi facilement, si nous ne sommes pas en mesure de produire simplement certaines pièces parce que nous devons respecter la distanciation sociale au Royaume-Uni, etc..Cela pourrait prendre un peu plus de temps. »

« Nous devrons revoir nos plans, c’est pourquoi il sera important d’avoir un préavis, afin que nous puissions adapter nos plans à notre capacité et aussi à nos ambitions. »

« Si nous courons, nous aurons certaines ambitions d’un point de vue sportif. Mais je dirais que de façon générale, avec un préavis de quatre semaines, nous pourrions être prêts à faire face à n’importe quelle situation. »

Le gouvernement britannique refuse un prêt à McLaren

Le gouvernement britannique a rejeté une demande de prêt de 150 millions de livres sterling au groupe McLaren dont fait partie l’équipe de F1.

Selon nos confrères de Sky News, le groupe McLaren a vu sa demande de prêt rejetée cette semaine et en a été informé par le ministère de l’économie, de l’énergie et de la stratégie industrielle.

Le groupe McLaren a subi de lourdes pertes durant cette crise du coronavirus, les ventes de voitures ayant considérablement diminué depuis le mois de mars ce qui, avec la fermeture de certaines usines et entreprises, a fait chuter les revenus chez de nombreux constructeurs.

Outre les pertes de revenus liées aux ventes de voitures, McLaren a également fermé l’usine de son équipe de Formule 1 pendant la crise et a dû placer au chômage partiel une grande partie de ses employés.

Comme toute autre entreprise, le groupe McLaren a donc demandé un prêt de 150 millions de livres sterling, mais ce prêt a été refusé selon Sky News.

Un porte parole de l’équipe britannique a expliqué à nos confrères que la demande de McLaren n’avait rien d’étrange dans une situation très spéciale en raison de la crise actuelle, mais cet employé n’a pas voulu rentrer dans les détails.

« Comme de nombreuses autres entreprises britanniques, nous avons été gravement touchés par la pandémie actuelle. » a déclaré un porte parole de l’équipe McLaren.

« Nous poursuivons donc un dialogue continu avec nos banques, nos investisseurs et le gouvernement pour nous aider à surmonter les interruptions d’activité à court terme. »

Rappelons que les deux pilotes de l’équipe McLaren ont accepté de réduire leur salaire de 30%, tout comme leurs dirigeants.

Monza confirme la date du GP F1 d’Italie 2020

Le circuit de Monza a confirmé ce jeudi la date du Grand Prix F1 d’Italie qui se déroulera sur le tracé italien au mois de septembre.

Petit à petit, les inconnues entourant le nouveau calendrier de la saison 2020 de F1 que les dirigeants sont en train d’élaborer sont progressivement levées.

Ce jeudi, le circuit de Monza a confirmé la date du Grand Prix d’Italie 2020 qui se disputera du 4 au 6 septembre comme initialement prévu dans le calendrier originel de la F1 avant que la crise du coronavirus ne vienne perturber tous les plans de la discipline.

Autre information intéressante, les billets pour assister au Grand Prix d’Italie 2020 sont toujours en vente sur la billetterie en ligne, ce qui voudrait dire que la course pourrait être disputée avec du public dans les tribunes. Toutefois, cette information reste à confirmer.

Rappelons également que le Grand Prix d’Italie 2020 devrait être l’ultime course en Europe, avant que la F1 ne parte vers l’Asie et l’Eurasie, puis les Amériques et enfin les pays du Golfe.