L’Espagnol Carlos Sainz a écopé d’une pénalité sur la grille de départ du Grand Prix de France à la suite d’un changement de moteur effectué par son équipe.
Lors de la dernière course de la saison disputée en Autriche, Carlos Sainz a dû abandonner à la suite d’une panne moteur, et à la veille du Grand Prix de France, l’équipe Ferrari a décidé de monter sur la monoplace de l’Espagnol un nouveau boîtier de contrôle électronique ainsi qu’une nouvelle batterie. Pour ces changements, Sainz a donc écopé d’une pénalité de dix places sur la grille de départ de la course de ce dimanche au Castellet (uniquement pour avoir dépassé son quota avec le boitier de contrôle électronique).
Cependant, notez que Ferrari pourrait bien décider de monter d’autre éléments neufs sur la voiture de Sainz ce week-end pour choisir de le faire partir depuis le fond de grille sur un tracé où les dépassements sont assez faciles.
C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix de France de F1 en 1,33.930 (Tendres), le Monégasque devance de 91 millièmes la Red Bull de Max Verstappen (Tendres) et de trois dixièmes la Ferrari de Carlos Sainz (Tendres).
Derrière, George Russell, Pierre Gasly, Sergio Perez, Lando Norris, Alexander Albon, Nyck de Vries et Daniel Ricciardo complètent le top dix de cette première séance d’essais du week-end relativement calme puisque aucun incident majeur n’est à vous signaler.
Hamilton et Bottas absents
Pour cette première séance d’essais libres du Grand Prix de France, Mercedes a décidé de placer son pilote d’essais Nyck de Vries au volant de la monoplace de Lewis Hamilton dans le cadre des tests réservés aux jeunes pilotes. Du côté de chez Alfa Romeo, Valtteri Bottas a laissé son volant à Robert Kubica, mais le fait de faire rouler le Polonais ce vendredi n’a rien à voir avec le programme des jeunes pilotes puisque Kubica a déjà pris le départ de 123 Grands Prix dans sa carrière. Bottas et Hamilton débuteront donc leur week-end lors des EL2 en fin de journée.
Petite frayeur pour Perez
Sergio Perez s’est fait une petite frayeur lorsque le pilote Red Bull a perdu le contrôle de sa monoplace au virage 3. Le Mexicain a effectué un 360° et a bien failli aller percuter une barrière de sécurité. Heureusement, plus de peur que de mal pour lui…
La prochaine séance d’essais est programmée ce vendredi 22 juillet à 17h00, il s’agira des EL2 du Grand Prix de France que vous pourrez évidemment suivre en direct sur notre site.
Le pilote Ferrari Carlos Sainz a indiqué qu’il n’avait nullement l’intention de critiquer les commissaires au Grand Prix d’Autriche suite à ses propos polémiques tenus juste après son abandon.
Lors de la dernière manche disputée à Spielberg en Autriche, l’Espagnol a dû abandonner en immobilisant sa Ferrari sur le bord de piste en raison d’une panne mécanique. Immédiatement après son arrêt, des flammes ont commencé à sortir du capot moteur de sa monoplace, ce qui a obligé Carlos Sainz à quitter de façon prématurée son cockpit alors que sa F1-75 était garée dans une descente. L’Espagnol a alors tenté de bloquer sa voiture pour ne pas qu’elle reparte en arrière sur la piste et les commissaires ont mis un peu de temps à venir l’aider.
Un commissaire est finalement venu bloquer la monoplace avec une cale derrière la roue, mais Carlos Sainz a qualifié le processus « d’un peu lent », alors que les commissaires ont répondu au pilote Ferrari quelques jours plus tard par le biais d’un communiqué qu’ils agissaient sous les ordres de la direction de course.
Ce jeudi au Castellet, Carlos Sainz est revenu sur ses propos et a insisté sur le fait qu’il ne souhaitait en aucun cas critiquer les commissaires pour leur travail : « Je peux comprendre pourquoi ils l’ont écrit [le communiqué de presse] parce que je suppose que ce que j’ai dit après la course leur a semblé être une critique. » a déclaré Sainz.
« Je n’avais pas du tout l’intention de critiquer, je suis le premier à parler toujours très positivement des commissaires et des héros qu’ils sont, de la façon dont ils se portent volontaires pour être dans ce genre de situations et nous protéger. Je n’ai jamais voulu que cela ressemble à une critique pour qui que ce soit. Je voulais juste m’assurer qu’il y ait une analyse et voir où nous pouvons faire mieux la prochaine fois. »
« Ce n’était pas un moment confortable dans la voiture. C’était un peu mouvementé et un peu désordonné. L’explication ne m’est pas parvenue, je l’ai vue dans les médias, ce dont j’aurai peut-être besoin de parler avec la FIA. »
« Si telle est la procédure, cela montre que nous devons raccourcir les délais des procédures, c’est ce dont je discuterai avec la FIA. Je suis sûr que ce n’était pas le meilleur de leurs capacités pour le moment, surtout dans le feu de l’action – blague stupide ! Nous devons juste nous assurer que nous pouvons le faire plus rapidement. Si la voiture recule, comment réagir plus vite ? Et comment allons-nous l’améliorer cette fois ? »
Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la première séance d’essais libres du Grand Prix de France F1 2022, douzième manche du championnat du monde de Formule 1, programmée du 22 au 24 juillet.
Ce vendredi 22 juillet, les pilotes prennent la piste pour la première fois du week-end à 14h00 (heure de Paris) pour participer à la première séance d’essais libres [EL1]. Il seront ensuite de nouveau en piste en fin d’après-midi à 17h00 (heure de Paris) pour participer à la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de France [EL2].
Ce samedi 23 juillet, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres [EL3] à 13h00 (heure de Paris), tandis que la très attendue séance de qualifications qui déterminera la grille de départ du Grand Prix de France est programmée à 16h00 (heure de Paris).
Enfin le dimanche 24 juillet, le départ du Grand Prix de France 2022 sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élanceront pour 53 tours de course. Vous pourrez bien sûr suivre toutes ces séances en direct et gratuitement sur F1only.fr tout au long du week-end.
Lewis Hamilton a déclaré que l’adversaire le plus coriace qu’il ait eu à affronter au cours de sa carrière était son ancien coéquipier chez McLaren, le double champion du monde Fernando Alonso, compliment auquel le pilote Alpine a répondu.
Ce week-end au Grand Prix de France, Lewis Hamilton participera à son 300e GP en Formule 1, le Britannique devenant ainsi le sixième pilote de l’histoire de la F1 à franchir ce cap symbolique. Lorsqu’on lui a demandé ce jeudi au Castellet quel a été son adversaire le plus coriace depuis ses débuts en 2007, le pilote Mercedes a répondu : « Je pense qu’il est difficile de dire qui a été mon plus fort concurrent, car à chaque fois que vous vous battez contre quelqu’un, vous êtes à un moment différent de votre vie. »
« Je me souviens de la tâche d’être aux côtés de Fernando [Alonso] quand j’avais 22 ans. Vous savez, j’étais si jeune mentalement et bien-sûr aussi en termes de compétences. Mais c’était beaucoup de pression que d’affronter un grand comme lui. Donc, je dirais qu’en termes de rythme pur, je pense que je dirais que c’est Fernando. Nous avons eu de belles batailles, j’aimerais en avoir plus. J’espère qu’il continuera à courir et que nous en aurons plus à l’avenir. »
Fernando Alonso – qui était lui aussi présent en conférence de presse aux côtés de Lewis Hamilton – a répondu au Britannique en saluant le succès de son ancien coéquipier qui a décroché sept titres mondiaux dans sa carrière jusqu’à présent : « Je ne pense pas qu’il ait beaucoup changé [depuis 2007] pour être honnête. Il avait déjà le talent en 2007 et il a toujours le talent maintenant avec l’expérience. »
« Il a été un pilote formidable et une légende de notre sport. Cela a donc toujours été un plaisir de partager tout ce temps avec lui et à l’époque [chez McLaren] probablement personne ne pensait que quelqu’un serait capable de remporter sept titres comme Michael [Schumacher]. »
« Mais oui, le voyage a été incroyable et l’équipe qu’ils ont construite chez Mercedes au cours de ces années, c’est exceptionnel. Félicitations pour le 300e et j’espère une autre victoire bientôt. » a conclu le pilote Alpine.
Daniel Ricciardo a expliqué pourquoi il a tenu à publier un message sur ses réseaux sociaux il y a quelques jours dans lequel le pilote McLaren répondait aux rumeurs concernant son avenir en Formule 1.
Depuis quelques semaines maintenant, les rumeurs suggèrent que Daniel Ricciardo pourrait quitter l’équipe McLaren à la fin de cette saison en raison de ses performances jugées décevantes par les responsables de l’écurie de Woking. Mais l’Australien a tenu à répondre à ces rumeurs en postant sur les réseaux sociaux un message dans lequel il insiste sur le fait qu’il est sous contrat avec McLaren jusqu’à la fin de la saison 2023 et qu’il compte bien l’honorer. Interrogé pour savoir pour quelle raison il a tenu à publier ce message, Ricciardo a expliqué qu’il l’avait fait tout d’abord pour rassurer les employés de l’équipe ainsi que ses fans.
« Il y a beaucoup de bruits, de rumeurs, les gens se posent des questions et trouvent leurs propres réponses. Donc, je me suis dit : ‘je vais juste le faire savoir à tout le monde’. » a expliqué Daniel Ricciardo ce jeudi au Castellet.
« Je pense aussi que pour les gens qui me suivent, mes supporters, mes fans, ils doivent se demander : ‘qu’est-ce que Daniel va faire ? Est-ce que c’est vrai ? Donc, je me suis dit : ‘non, il est temps que tout le monde le sache de la bouche du coureur. »
« Dans toutes ces équipes de course, il y a des centaines de personnes qui travaillent à l’usine et qui ne viennent pas sur la piste et ne voient pas tout, ne me voient pas non plus durant un week-end de course…tout le travail que je mets. C’est donc aussi pour eux qui lisent les gros titres : « quel est l’avenir de Daniel ? Va-t-il encore changer d’équipe ? S’ils essaient de développer la voiture pour moi et qu’ils se demandent : ‘qu’est-ce que va faire Daniel ?’. Je voulais juste leur enlever tout doute. Je voulais leur dire : ‘je suis avec vous’. »
L’Australien a également ajouté qu’il avait obtenu le soutien des hauts responsables de l’équipe McLaren après la publication de son message sur les réseaux sociaux.
Les pilotes seront en piste ce vendredi sur le tracé du Paul Ricard pour les deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de France, douzième manche du championnat du monde 2022 de Formule 1.
Ce vendredi 22 juillet, la première séance d’essais libres [EL1] du Grand Prix de France est programmée à 14h00 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance d’essais libres [EL2] est programmée à 17h00 (heure de Paris). Ces deux séances seront à suivre en direct et gratuitement sur F1only.fr, tout comme les autres séances du week-end d’ailleurs.
Le samedi 23 juillet, la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France [EL3] est programmée à 13h00 (heure de Paris), alors que la séance de qualifications qui déterminera la grille de départ du Grand Prix de France 2022 est programmée à 16h00 (heure de Paris).
Ce week-end au Grand Prix de France, l’équipe Mercedes a de nouveau introduit quelques nouveautés sur sa W13, notamment un nouveau museau aperçu déjà ce jeudi dans la voie des stands et qui a fait couler beaucoup d’encre.
Grâce à une série d’améliorations récentes, Mercedes a réussi à faire un bon en avant en termes de performances, ce qui a permis à Lewis Hamilton de décrocher trois podiums consécutifs et à Russell de se classer parmi les cinq premiers dans toutes les courses sauf une jusqu’à présent cette saison. Cependant, l’équipe Mercedes reste sans victoire à la veille de la onzième manche de l’année.
Interrogé sur ses attentes pour le Grand Prix de France au volant d’une monoplace légèrement évoluée, George Russell a admis que ces quelques évolutions combinées au fait que le tracé Paul Ricard convient aux caractéristiques de la W13 signifie que Mercedes sera attendue au tournant ce week-end.
« Il y a beaucoup d’attentes sur Mercedes ce week-end, mais je ne sais pas trop d’où cela vient, bien que nous améliorons définitivement la voiture et que nous réduisons l’écart [avec Ferrari et Red Bull]. » a déclaré Russell ce jeudi au Castellet.
« Il va aussi faire chaud, ce qui, je pense, nous favorise à nouveau légèrement. Cependant, nous allons y aller de manière réaliste et si nous faisons tout parfaitement, je pense que nous serons un dixième ou deux dixièmes derrière Ferrari et Red Bull. »
« Je pense que c’est la première fois cette saison que nous comprenons vraiment la voiture et nous comprenons ce qui doit changer pour que la voiture aille plus vite. Alors que nous avons passé tant de temps à essayer de comprendre quels étaient les problèmes, comment les résoudre et pas nécessairement à faire avancer la voiture plus vite. »
« Nous savions après le premier test que le début de saison allait être difficile, mais maintenant je pense que nous nous sentons bien placés en tant qu’équipe et que nous pouvons construire à partir de cela et faire de bons progrès. »
Carlos Sainz a indiqué ce jeudi au Castellet que Ferrari évaluait toujours s’il fallait ou non installer un nouveau groupe propulseur sur sa monoplace après la panne mécanique subie par l’Espagnol au GP d’Autriche, ce qui déclencherait alors une pénalité sur la grille de départ du Grand Prix de France ce week-end.
Lors de la dernière course disputée en Autriche, Carlos Sainz a dû abandonner en raison d’une panne moteur, le pilote Ferrari ayant même dû quitter sa monoplace en urgence après qu’un incendie se soit déclaré. Comme Sainz a déjà utilisé son allocation maximale de moteurs à combustion interne pour la saison, tout changement supplémentaire entraînerait alors une pénalité sur la grille, mais Ferrari a également la possibilité d’utiliser un moteur et d’autres composants déjà présents dans le pool de Sainz.
« C’est toujours en cours d’évaluation, nous examinons toujours les options disponibles. » a déclaré Sainz ce jeudi dans le paddock du Grand Prix de France à propos d’un éventuel changement de moteur ce week-end.
« Nous devons aussi voir un peu comment se déroulent les dépassements ici, comment tout entre en jeu, vous savez, avec la chaleur et les pneus, nous prendrons une décision, mais il y a évidemment une chance que cela se produise. »
Avant le Grand Prix de France, Carlos Sainz occupe la quatrième place au championnat des pilotes à 18 points du pilote Red Bull Sergio Perez.
Le quadruple champion du monde Sebastian Vettel a déclaré que les informations selon lesquelles il est un candidat pour un baquet chez McLaren dans un futur plus ou moins proche ne sont que « des rumeurs ».
Sebastian Vettel arrive cette année en fin de contrat avec son équipe Aston Martin après avoir rejoint l’écurie du constructeur britannique en 2021 et pour l’instant l’Allemand n’a pas encore indiqué quels sont ses plans pour l’année prochaine. De son côté, Aston Martin a clairement fait comprendre qu’elle souhaitait poursuivre l’aventure avec son pilote vedette la saison prochaine, mais de récentes rumeurs ont suggéré que Vettel était désormais en lice pour remplacer l’Australien Daniel Ricciardo chez McLaren, bien que ce dernier dispose d’un contrat jusqu’à la fin de la campagne 2023.
Interrogé ce jeudi au Castellet où se dispute ce week-end le Grand Prix de France, Sebastian Vettel a nié la rumeur selon laquelle il était sur le point de signer avec McLaren : « Je pense que Lando [Norris] a un contrat. » a d’abord déclaré Vettel avec un grand sourire, alors que Norris était à ses côtés en conférence de presse.
« Non, honnêtement, je connais des gens là-bas [chez McLaren], mais je pense que ce ne sont que des rumeurs. »
Interrogé pour savoir si des discussions concernant son avenir ont déjà débuté chez Aston Martin, l’Allemand a indiqué : « Et bien, je cours ce week-end et le suivant. Donc, évidemment, à un moment donné, nous commencerons à parler et je parle déjà avec l’équipe. Je pense qu’il y a une intention claire de continuer et nous verrons bientôt où nous en sommes. »
Ce week-end se dispute sur le tracé Paul Ricard le Grand Prix de France, douzième manche du championnat du monde de Formule 1, mais cette édition 2022 revêt une importance particulière puisque le contrat liant la F1 au GP de France arrive à son terme.
C’est donc dans un contexte particulier que se dispute le Grand Prix de France de F1 cette année sur le tracé Paul Ricard et les organisateurs n’ont pas lésiné sur les moyens pour satisfaire les quelques 200 000 spectateurs attendus sur le tracé varois tout au long du week-end avec la mise en place d’un tout nouveau plan de mobilité visant à éviter le scénario vécu par les fans en 2018 (embouteillages) ou encore l’organisation de plusieurs événements pour divertir les petits comme les grands.
Lorsqu’on lui demande ce qui serait pour lui un événement réussi, Eric Boullier, directeur du GP de France, nous répond : « Un Grand Prix de France réussi ce serait d’avoir réussi tous nos challenges, que ce soit sportif sur la piste – même si sur ce point on ne peut pas faire grand chose – un spectacle réussi en dehors de la piste et qu’on ait répondu aux attentes des spectateurs, ça c’est important. Et puis, la mobilité bien-sûr. Tous ces éléments font que ça devrait dans ce cas-là être un bon week-end. » a déclaré le Français ce jeudi au Castellet à F1only.fr.
L’avenir de la manche française n’est pour le moment toujours pas assuré au calendrier de la Formule 1 et des discussions sont toujours en cours entre les organisateurs et la FOM. Dans ce contexte, on pourrait penser que l’organisation de la manche française a plus de pression que les années précédentes, mais Eric Boullier l’assure, il n’y a aucune pression supplémentaire : « Non pas plus de pression. On doit faire à chaque Grand Prix notre maximum, que ce soit le dernier d’un contrat ou autre. » a ajouté Boullier au micro de RTL.
Lorsqu’on lui demande si cette édition 2022 du Grand Prix de France sera la dernière, Eric Boullier a répondu : « Non, je ne pense pas que ce soit le dernier. En tout cas, la FOM a clairement donné ses intentions, ils savent ce qu’on a fait aussi dans le développement durable, on est le seul Grand Prix au monde à être certifié trois étoiles par la FIA, donc on fait quand même partie des bons élèves en termes de développement durable. »
« Donc voilà, c’est à nous de montrer qu’on existe, qu’on a notre place, après il y a eu des discussions positives puisqu’ils veulent que la France reste au calendrier. La F1 elle-même ne sait pas encore comment elle va mettre en place son calendrier sur les deux, trois, cinq prochaines années, il y a eu des discussions d’alternance, on ne va pas le cacher, parce qu’ils voudraient bien avoir plus de Grands Prix que de dates, et donc forcément il y a aura des rotations. »
Les premiers essais libres du Grand Prix de France sont programmés ce vendredi 22 juillet à 14h00, le départ de la course sera donné ce dimanche 24 juillet à 15h00.
Deux semaines après son 100ème Grand Prix et son meilleur résultat de la saison en Autriche, Esteban Ocon va chercher à poursuivre cette dynamique positive devant son public, sur le circuit Paul Ricard, en espérant pouvoir continuer sa progression au classement pilotes.
Lors du dernier Grand Prix en Autriche, le Français a franchi la ligne d’arrivée à la cinquième place ce qui lui a permis de remonter à la huitième place au classement pilotes. A l’issue de la course à Spielberg, l’équipe Alpine s’est d’ailleurs retrouvée à égalité de points avec McLaren pour la quatrième place du championnat des constructeurs.
Pour la troisième fois de sa carrière en Formule 1, Esteban Ocon aura l’occasion de rouler sur le circuit Paul Ricard. Interrogé sur une éventuelle pression supplémentaire dans le cadre de son Grand Prix à domicile, le pilote Alpine a répondu : « Je ne ressens pas comme une pression supplémentaire toute l’attente suscitée par un Grand Prix à domicile, mais plutôt comme une motivation. »
« C’est vrai qu’il y a beaucoup de travail et peut-être plus de sollicitations que d’habitude avant la course et tout au long du week-end, mais c’est aussi très plaisant. Il n’y a rien de plus fort que de courir dans son propre pays et de voir la passion des fans locaux en arrivant sur le circuit ou en passant devant les tribunes »
« J’aurai d’ailleurs ma propre tribune ce week-end, ce qui est une première pour moi et un rêve devenu réalité. L’atmosphère sera incroyable dans la « Tribune Esteban Ocon » et dans toute l’enceinte, pour un week-end de course à guichets fermés. »
« Je veux faire honneur à mes fans et à toute la France lors de toutes les courses auxquelles je participe, mais peut-être plus encore à l’occasion du Grand Prix de France. Seule une poignée de pilotes ont la chance d’avoir une course à domicile, alors je vais profiter de chaque minute de ce week-end. »
Au sujet des caractéristiques de la piste du Paul Ricard, célèbre pour son mélange de longues lignes droites et d’enchaînements exigeants négociés à basse et moyenne vitesse, Esteban Ocon a déclaré : « La section à basse vitesse – qui nous emmène vers la ligne droite du Mistral – est serrée et exige des réglages souples. Vous avez ensuite la section plus rapide et plus technique de Signes, jusqu’au dernier virage qui est assez exigeant pour les pneumatiques. »
« Les qualifications sont importantes ici et il est essentiel d’avoir les bons réglages pour le samedi après-midi. J’ai bien profité des jours de repos après l’Autriche et suis prêt à remonter dans la A522 pour attaquer mon week-end de Grand Prix à domicile » a conclu le pilote français.
L’équipe Alpine a identifié les problèmes de fiabilité qui ont touché les monoplaces de Fernando Alonso et Esteban Ocon lors de la dernière manche de la saison disputée sur le tracé de Spielberg en Autriche.
Au Grand Prix d’Autriche, Fernando Alonso n’a pas pu prendre le départ de la course Sprint du samedi car sa monoplace n’a pas démarré sur la grille de départ ce qui a obligé l’Espagnol à faire l’impasse sur cette course qualificative dont le résultat déterminait la grille de départ de la course principale du dimanche. Dans ce contexte, Alpine a donc décidé de monter une unité de puissance neuve sur la monoplace d’Alonso afin de profiter de sa position en fond de grille pour réduire l’impact des pénalités qui découlaient de ce changement de moteur.
Du côté d’Esteban Ocon, le Français a lui aussi connu des problèmes de fiabilité lors des dernières courses, notamment un problème de pompe à essence qui est désormais résolu : « Nous avonsidentifiéunedéfaillance au niveau du boîtier d’alimentation de l’ECU. Voilà l’origine du problème ayant empêché Fernando de s’élancer au départ de la Course Sprint, et nous avons fait le nécessaire pour que cela ne se reproduise pas. » nous explique Otmar Szafnauer, team principal de l’équipe Alpine.
« Du côtéd’Esteban, nous avonstravaillé sur une solution pour la pompe à essence haute pression, tout enexplorantsimultanémentce que Bosch, le fournisseur, a mis en place pour résoudreceproblèmerécurrent. Nous souhaitonsmettre un terme àcesproblèmes car nous sommes conscients que pour atteindre nos objectifs cette saison, il nous faut maintenir ce haut niveau de performance tout en ayant un minimum de problèmes de fiabilité. »
Concernant la performance justement, Alpine introduira ce week-end au Grand Prix de France un nouveau fond plat sur ses deux monoplaces : « Concernant les évolutions, nous apporterons en France une mise à jour des flancs du plancher, que nous avons hâte de tester avec les deux voitures vendredi. » confirme l’Américain.
« Nous voulonstout d’abord débuter avec une première journée d’essais libres productive pour approfondir encore notre apprentissage de la voiture et nous préparer au mieux notre samedi et notre dimanche. À partir de là, comme pour chaque course, nous ferons tout pour placer confortablement nos deux voitures en Q3, de manière à pouvoir faire une bonne course avec, à la clé,une belle récolte de points. »
« Voilà à quoi ressemblerait, pour nous, un week-end solide. Ce qui me plairait le plus, pournotre course à domicile, c’est de réaliser un week-end propre du début à la fin et de maximiser le potentiel des deux voitures et de nos deux pilotesafin de consolider notre position dans le cadre denotrelutte pour la quatrième place du championnat. Nous espérons que tous les fans apprécierontce Grand Prix à domicile pourl’équipe avec des courses passionnantes ! »
Les deux pilotes de l’écurie italienne espèrent que la mise à jour aérodynamique de l’AlphaTauri prévue ce weekend au Castellet leur permettra de se battre pour les points lors de ce Grand Prix de France.
Les derniers résultats de Yuki Tsunoda ont été plutôt décevants puisque il n’a pas réussi à terminer dans le top 10 lors des cinq dernières courses. Pour ce GP de France, l’objectif du Japonais est donc un retour en Q3 samedi afin de pouvoir marquer des points plus facilement dimanche.
Évoquant d’abord les caractéristiques du circuit Paul Ricard, Yuki Tsunoda explique : « C’est une piste où il faut un set-up qui fonctionne bien dans les virages à moyenne vitesse et ça peut être assez délicat car il y a la ligne droite à grande vitesse et le virage de Signes, mais aussi des virages à basse et moyenne vitesse en fin de secteurs 1 et 3. »
« Normalement, cela devrait mettre en évidence certains points faibles de notre voiture, mais nous aurons des mises à jour en France, donc j’espère que ce ne sera plus le cas. Il est vraiment temps que nous puissions revenir en Q3 pour que ce soit plus facile de marquer des points dimanche.«
Le jeune pilote japonais explique les améliorations attendues par AlphaTauri avec l’introduction de ce nouveau package.
« Nous avons opté pour une mise à niveau plus importante plutôt que pour de nombreuses petites. La nouvelle mise à niveau vise à ajouter plus de charge à la voiture, car nous étions assez faibles dans les virages à vitesse moyenne à élevée. J’espère que cela nous apportera plus de régularité pour nous permettre de nous battre à nouveau au sommet du midfield » a-t-il indiqué.
Son coéquipier Pierre Gasly est aussi optimiste quant à ses chances d’obtenir un résultat lors de sa course à domicile ce week-end. Le Français n’a terminé que trois fois dans le top 10 lors des 11 premiers Grands Prix de cette saison. Il est actuellement 13ème au championnat des pilotes et espère que les améliorations apportées à la voiture lui permettront d’être performant devant ses fans locaux.
« J’espère que les choses iront beaucoup mieux avec les mises à jour que nous aurons sur la voiture ce week-end. Ce sera principalement du côté aéro, ce qui devrait apporter une réelle avancée en performance, j’ai donc hâte d’essayer ça au Paul Ricard, dans l’espoir de revenir dans la course aux points. » a déclaré Pierre Gasly.
Même si la canicule a pris fin sur les régions du Nord et de l’Ouest en milieu de semaine, elle se poursuit dans le Sud-Est de la France. Ce sont donc encore des conditions quasi caniculaires qui attendent, pilotes, membres des écuries mais aussi les nombreux fans pour le Grand Prix de France qui est disputé ce week-end sur le circuit du Castellet. Voici les prévisions météo détaillées pour cette douzième course qui marque aussi le début de la deuxième moitié de la saison.
Situation générale
En début de semaine, la France suffoquait et un nombre impressionnant de nouveaux records de chaleur a été établi dans de nombreuses régions. Grâce à l’intrusion mercredi d’air océanique moins chaud et plus humide, la canicule a progressivement disparu sur une grande partie du pays. En revanche l’extrême Sud-Est de la France reste sous l’influence d’une masse d’air très chaude alimentée par un courant en provenance de l’Espagne et du bassin méditerranéen.
Vendredi 22 juillet : Essais libres 1 et 2
La journée de vendredi débute par des températures douces (23°C) et sous un ciel parfaitement dégagé. Le soleil bien présent tout au long de la journée (avec un indice UV de 8) réchauffera l’air ambiant mais aussi le bitume des 5,842 km du circuit Paul Ricard. Un maximum de 32°C est attendu en après-midi.
Le vent du Sud-Ouest (donc latéral aux longues lignes droites) sera bien présent et soufflera entre 15 et 25 km/h avec des pointes au-dessus de 30 km/h. L’air sera relativement sec (45% d’humidité) et bien évidemment, il n’y a aucun risque de pluie.
Samedi 23 juillet : Essais libres 3 et qualifications
Les conditions atmosphériques pour l’après-midi de samedi seront sensiblement les mêmes que la veille et le mercure affichera 33°C lors de la séance des qualifications. Ces conditions chaudes demanderont un excellent refroidissement des unités de puissance mais aussi une très bonne gestion de la dégradation des pneumatiques.
En effet, et même si Pirelli met à disposition les gommes un cran en dessus des composés les plus tendres (à savoir C2, C3 et C4), la température du bitume du circuit varois sera extrême (avec des valeurs comprises entre 55°C et 60°C!) ce qui ne manquera pas de mettre à rude épreuve les pneus. La température de la piste devrait donc être supérieure aux 51°C enregistrés lors de la séance des qualifications du Grand Prix de Miami disputé au mois de mai dernier. Une première depuis l’introduction des roues de 18 pouces cette année.
Dimanche 24 juillet : La course
La poussée chaude provenant d’Espagne continuera d’envahir la région et c’est sous la canicule que sera donné le coup d’envoi du GP de France. Le thermomètre affichera 35°C pour l’air ambiant et la piste devrait une nouvelle fois dépasser la barre des 55°C tout au long des 53 tours de l’épreuve.
Le vent passera au secteur Ouest avec une vitesse entre 5 et 15 km/h et le ciel sera parfaitement dégagé. Pour les lecteurs qui auront la chance d’être sur place, n’oubliez surtout pas de vous hydrater régulièrement et de vous protéger du soleil (casquette, chapeau, crème solaire …).
Pour suivre et obtenir les toutes dernières prévisions météorologiques, nous invitons nos lecteurs à consulter les prévisions horaires sur le site de notre partenaire météo Celinium : [en cliquant sur celien Celinium]. Ces prévisions sont mises à jour toutes les 10 minutes.
Voici les horaires de chaque séance du Grand Prix de France de F1, douzième manche du championnat du monde, qui se déroule sur le circuit Paul Ricard au Castellet du 22 au 24 juillet 2022.
Les deux séances d’essais libres auront lieu ce vendredi après-midi, tandis que la troisième séance d’essais libres et les qualifications se dérouleront le samedi . En ce qui concerne les horaires des différentes séances, les pilotes prendront la piste ce vendredi 22 juillet pour la première séance d’essais libres [EL1] à 14h00 (heure de Paris), tandis qu’ils participeront à la deuxième séance d’essais libres [EL2] à 17h00 (heure de Paris).
La samedi 23 juillet, la troisième et dernière séance d’essais libres du week-end [EL3] est programmée à 13h00 (heure de Paris), alors que la très attendue séance de qualifications qui déterminera la grille de départ du Grand Prix de France est programmée à 16h00 (heure de Paris).
Enfin le dimanche 24 juillet, le départ du Grand Prix de France 2022 sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élanceront pour 53 tours de course. Vous pourrez bien sûr suivre toutes ces séances en direct et gratuitement sur F1only.fr tout au long du week-end.
Pour répondre à la demande de la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et améliorer la sécurité en piste, le Circuit Paul Ricard a effectué des travaux l’an dernier pour installer un bac à gravier dans le virage n°7, à la sortie du virage Sainte Baume précédant la célèbre ligne droite du Mistral.
La mise en place d’un bac à gravier au virage n°7 impose désormais aux pilotes automobiles d’affiner leur trajectoire, voire de réduire leur vitesse pour ne pas risquer de perdre la course ou terminer leur roulage dans ce bac d’environ 1600 m². Pour les pilotes motocyclistes, il constitue un élément supplémentaire de sécurité en cas de chute, en complément des blocs de mousse « type A FIM » déjà en place.
En accord avec la FIM et la FIA, un dégagement asphalté en amont du bac a été conservé pour permettre aux pilotes, qui pourraient se montrer un peu trop optimistes, de pouvoir reprendre leur route sans se bloquer dans le bac.
Il s’agira donc d’une grosse nouveauté pour cette édition 2022 du Grand Prix de France F1 puisque l’an dernier ce bac à gravier n’existait pas encore au moment où la Formule 1 s’est rendue sur le tracé varois en juin. Autre modification à noter sur le circuit pour cette édition 2022, le run-off au virage 2 a été remis à niveau, tandis qu’un panneau indicateur additionnel a été ajouté à l’entrée de la Pit Lane.
Le Mexicain Sergio Perez sait qu’il ne peut plus se permettre de perdre des points désormais s’il veut encore pouvoir se battre pour le titre mondial cette année.
Après les onze premières manches de la saison, Sergio Perez occupe la troisième place au championnat du monde avec 19 points de retard sur le pilote Ferrari Charles Leclerc. Le pilote Red Bull est donc toujours en lice pour le titre mondial cette année, mais le Mexicain a subi deux abandons en trois courses (Canada et Autriche) et sait qu’il ne peut plus se permettre désormais de laisser des points sur la table s’il veut encore avoir une chance de décrocher son premier titre mondial en Formule 1.
A la veille du Grand Prix de France, Sergio Perez espère donc pouvoir inverser la tendance des dernières courses : « Après un week-end difficile en Autriche, c’est formidable d’être de retour et d’avoir une chance de remettre les choses en ordre. Nous avons eu deux abandons au cours des trois dernières courses et nous ne pouvons pas nous le permettre dans les championnats, donc je vise à changer cela ce week-end en France. » a déclaré Checo à la veille de la douzième manche de l’année.
« Je suis toujours en lice pour le championnat des pilotes, donc personnellement, il est important de ne plus perdre de points. L’année dernière, j’ai décroché mon deuxième podium avec l’équipe en France, et j’ai donc hâte d’essayer de répéter cela. »
Bien qu’il soit extrêmement motivé, Perez sait aussi que le tracé Paul Ricard apporte son lot de difficultés, alors que les températures seront caniculaires ce week-end dans le sud de la France, ce qui pourrait être déterminant : « Le Paul Ricard est une piste difficile parce qu’il y a différentes lignes de course que vous pouvez emprunter dans les virages et ce n’est pas facile de savoir laquelle est la meilleure à utiliser. »
« Les températures élevées seront également un facteur à prendre en compte ce week-end. Physiquement, il semble que ce sera une course très exigeante, et nous allons devoir voir comment cela se passe avec la dégradation des pneus à cause de la chaleur. »
Le Français Esteban Ocon portera ce week-end au Grand Prix de France un casque à la décoration spéciale pour sa course à domicile dont le design a été créé par un jeune fan du pilote Alpine.
Il y a quelques semaines, Esteban Ocon a lancé un concours sur ses réseaux sociaux pour donner l’opportunité à ses fans de créer le design du casque qu’il portera pour le Grand Prix de France 2022, douzième manche du championnat du monde de Formule 1. Après avoir reçu de nombreuses suggestions, le pilote Alpine a finalement décidé de retenir le design créé par le jeune William qui a réussi à intégrer les couleurs du drapeau français, celles de la ville d’Evreux d’où est originaire Esteban Ocon ainsi que celles de l’équipe Alpine.
« Les couleurs rouge, blanc et bleu sont pour le drapeau français et Alpine. J’ai aimé le drapeau d’Évreux, ton lieu de naissance, même si j’ai eu du mal à le dessiner. J’espère que tu aimes. » a écrit William à Esteban Ocon en lui adressant sa proposition de design.
« Merci William d’avoir conçu mon casque pour ma course à domicile. Je l’adore, j’ai hâte de le porter. » a écrit Ocon sur son compte Twitter où il a posté les premières photos de son casque spécial GP de France.
Ce week-end pour le Grand Prix de France, Esteban Ocon pourra compter sur le soutien de ses fans puisque pour la première fois depuis le retour de la Formule 1 en France, le pilote Alpine aura le droit à une tribune réservée à sa communauté de fans.
“The red, white and blue colours are for the French flag and Alpine. I liked the flag of Évreux, the place you were born although I found it hard to draw. I hope you like it.”
Thank you William for designing my helmet for my home race. I love it and can’t wait to wear it. ??❤️ pic.twitter.com/sYMpwMZO4w
L’équipe Mercedes introduira ce week-end au Grand Prix de France de nouvelles pièces sur ses deux monoplaces toujours avec l’objectif de continuer à réduire l’écart avec Ferrari et Red Bull.
Après un début de saison difficile, Mercedes a réussi à redresser la barre grâce à l’introduction d’un nouveau package sur sa W13 ce qui lui a permis de décrocher quatre podiums lors des quatre dernières manches disputées. Selon le directeur de l’écurie, Toto Wolff, la compréhension de la W13 ne cesse de grandir week-end après week-end et cela se reflète dans les résultats de l’équipe qui a réussi à revenir à 66 points de la Scuderia Ferrari au championnat du monde des constructeurs. A la veille du Grand Prix de France, Wolff confirme que les deux W13 de Russell et Hamilton recevront des nouveautés ce week-end sur une piste peut-être un peu plus adaptée à la monoplace du constructeur allemand que celle de Spielberg en Autriche où s’est déroulée la dernière manche il y a dix jours.
« Nous avons décroché trois podiums lors des sept premières courses, et nous en avons maintenant réalisé quatre lors des quatre dernières. Je suis satisfait de l’élan que nous construisons, et cela reflète les efforts colossaux de l’équipe. Notre compréhension de la W13 grandit à chaque manche et il est encourageant de voir que cela se reflète dans notre développement et nos résultats. » nous explique Toto Wolff à la veille du Grand Prix de France.
« Alors que nous étions plus rapides en Autriche, nous n’étions toujours pas assez rapides pour nous battre devant. Nous devons continuer à courir après ces derniers dixièmes et apporter de nouveaux développements aux voitures, y compris ce week-end en France. »
« Le Paul Ricard est une piste qui offre un défi très différent. Il a un tarmac lisse et un large éventail de types de virages, ainsi que de longues lignes droites. L’objectif sera donc de réduire davantage l’écart avec les premiers et, espérons-le, de remonter sur le podium.
Avant le Grand Prix de France, Mercedes occupe la troisième place du championnat constructeurs avec 66 points de retard sur Ferrari et 122 points de retard sur le leader Red Bull Racing.