Adrian Newey perçoit un « déjà-vu » chez Aston Martin

Adrian Newey, récemment arrivé chez Aston Martin, a confié ressentir un certain « déjà-vu » en s’efforçant de transformer l’équipe en une formation de pointe.

Le directeur technique a quitté Red Bull après 20 ans pour rejoindre l’écurie basée à Silverstone. Il a rappelé que son parcours chez Red Bull avait commencé de manière similaire en 2005, sur les cendres de l’équipe Jaguar, elle aussi en difficulté avant son rachat par Red Bull. Newey avait alors contribué à la montée en puissance de l’équipe vers la course au championnat.

« C’est aussi une question de culture. Lorsque j’ai commencé chez Red Bull, c’était sur les cendres de Jaguar, qui avait été sous la direction de Ford pendant de nombreuses années », a expliqué Newey lors du podcast James Allen on F1, évoquant le défi de créer une dynamique positive au sein d’une équipe longtemps privée de résultats probants.

« Elle n’avait jamais connu de succès significatif. Je ne pense pas qu’elle ait jamais été sur le podium. Sous l’emblème Jaguar, ses succès étaient très limités, et les gens ont donc commencé à perdre confiance en leur capacité à remporter une course. Et une fois que vous cessez de croire que vous pouvez y arriver, tout va de travers. La complaisance s’installe, la paresse s’installe, le manque de confiance en soi s’insinue si vous ne faites pas attention, et une culture du blâme peut également s’installer. »

« Cela a été assez difficile à renverser chez Red Bull. Je ne m’étendrai pas trop sur le sujet, mais j’ai un peu l’impression de revivre la même situation en ce moment. »

Aston Martin entrevoit une opportunité de gravir les échelons l’année prochaine grâce à un changement majeur de réglementation qui se profile à l’horizon.

Ralf Schumacher voit Aston Martin comme une option future pour Oscar Piastri

Ralf Schumacher a évoqué la possibilité qu’Oscar Piastri rejoigne Aston Martin dans les années à venir, si l’Australien décidait un jour de quitter McLaren.

La « silly season » de la Formule 1 s’annonce particulièrement agitée, alors que la plupart des équipes ont opté pour la stabilité avant l’arrivée du nouveau règlement technique de 2026. Cependant, de nombreux pilotes attendront de voir comment leurs équipes réagiront à ce bouleversement avant de planifier leur avenir, ce qui pourrait faire de 2027 une année de grands changements.

Si Max Verstappen reste lié à Red Bull sur le long terme, une saison 2026 décevante pourrait relancer les rumeurs d’un transfert vers Mercedes. Charles Leclerc, de son côté, attend toujours que Ferrari lui fournisse une voiture capable de jouer le titre mondial. Tout départ d’un de ces deux pilotes provoquerait un effet domino sur le marché.

L’avenir de Piastri pourrait également devenir un sujet majeur, certaines sources affirmant que Ferrari s’intéresserait à lui à moyen terme. Mais Aston Martin pourrait aussi jouer un rôle clé. Avec la possible retraite de Fernando Alonso, désormais âgé de 44 ans.

Schumacher a estimé qu’un pilote du calibre de Piastri serait un excellent choix pour Aston Martin :

« Je me demande juste où il pourrait aller. En réalité, je ne vois pas Oscar quitter McLaren pour le moment, puisqu’il vient à peine de prolonger son contrat », a déclaré l’ancien pilote dans le podcast F1 de Sky Germany.

Selon lui, Aston Martin devra tout de même envisager un renouvellement profond de son effectif s’il veut devenir un véritable prétendant au titre dans les années à venir.

« Et c’est certainement pour deux ans, plus des options. On peut donc dire qu’il sera toujours pilote l’année prochaine. Cela signifie qu’il cherche un siège pour l’année d’après. Et j’imagine que tout ce qui est vert est intéressant, même pour Leclerc, qui laisse déjà entendre que s’il Ferrari ne s’améliore pas, il voudra partir.

Adrian Newey s’attend à une hiérarchie « stable » malgré la révolution technique de 2026

Adrian Newey, désormais directeur technique d’Aston Martin, a livré ses premières impressions sur le nouvel ordre potentiel de la F1 en 2026, alors qu’un changement de réglementation majeur se profile, touchant à la fois les moteurs et les châssis.

L’ingénieur britannique, considéré comme l’un des plus brillants concepteurs de l’histoire de la discipline, estime que malgré la remise à zéro annoncée, les grandes équipes devraient rester devant.

« Il est difficile de se prononcer en raison de ce changement réglementaire majeur — tout le monde repart un peu à zéro », a expliqué Newey au micro du podcast James Allen on F1. « Mais généralement, les équipes les mieux structurées, avec les ressources et les bons processus, parviennent toujours à s’adapter plus vite que les autres. »

La saison 2026 introduira une nouvelle génération de moteurs hybrides, avec une augmentation de la puissance électrique et une réduction du flux de carburant, ainsi qu’un châssis plus léger et plus compact. Ces changements visent à rendre les voitures plus efficaces et plus durables.

Newey, qui a rejoint Aston Martin après avoir quitté Red Bull, a également souligné que la phase d’interprétation du règlement pourrait créer des écarts temporaires :

« Il y aura forcément une ou deux équipes qui trouveront quelque chose d’ingénieux dans le nouveau règlement. Mais sur le long terme, la hiérarchie se stabilisera. »

L’ingénieur estime toutefois que les progrès rapides d’Aston Martin, combinés à son partenariat avec Honda à partir de 2026, pourraient permettre à l’équipe « de viser bien plus haut » qu’auparavant.

« Il y a de fortes chances que les écuries en tête cette année soient également en tête l’année prochaine. Mais il arrive parfois qu’il y ait quelques bouleversements. C’est ce qui s’est produit lors du dernier changement réglementaire majeur en 2009, lorsque Ferrari et McLaren, qui dominaient en 2008, ont connu des difficultés. Brawn et Red Bull ont alors pris le relais. Cela arrive donc, mais dans l’ensemble, ce sont généralement les mêmes équipes qui restent en tête. »

Newey a rejoint Aston Martin en mars dernier après avoir quitté Red Bull, où il a travaillé pendant 20 ans et construit des voitures championnes pour Sebastian Vettel et Max Verstappen. Malgré sa vaste expérience en F1 et les changements réglementaires majeurs, Newey a admis qu’il ne savait pas comment Aston Martin se préparait pour l’année prochaine.

« Vous me demandez comment ça se passe ? Honnêtement, je n’en ai aucune idée. À cause de cette remise à zéro, vous ne savez pas si vous êtes bon, mauvais ou moyen par rapport à vos adversaires, vous ne savez pas ce qu’ils font. »

Lawrence Stroll promet de ne pas « abandonner » avant qu’Aston Martin ne devienne champion du monde de F1

Lawrence Stroll, propriétaire de l’écurie Aston Martin F1, a réaffirmé sa détermination à mener son équipe au sommet de la Formule 1, déclarant qu’il n’abandonnerait pas tant que sa mission ne serait pas accomplie : faire d’Aston Martin un champion du monde.

Le milliardaire canadien, à la tête du projet depuis le rachat de Racing Point fin 2022, reste convaincu que l’équipe britannique dispose désormais de tous les atouts pour rejoindre les meilleures.

Sous sa direction, Aston Martin a réalisé d’importants investissements, notamment avec la modernisation complète du siège de Silverstone et le recrutement de figures clés du paddock. Parmi elles, Adrian Newey, l’ex-gourou technique de Red Bull, et Enrico Cardile, ancien directeur technique de Ferrari.

À partir de 2026, l’équipe s’associera également à Honda, qui deviendra son motoriste exclusif, marquant une nouvelle ère pour le constructeur britannique.

« Toute l’équipe se met en place et nous attendons avec impatience l’année prochaine, qui sera marquée par un changement majeur dans les règles et les réglementations », a déclaré Stroll sur la chaîne YouTube officielle de l’écurie.

« Une autre étape importante est franchie avec Honda comme partenaire pour les moteurs. Être une équipe d’usine pour la première fois de notre vie est une expérience totalement différente. Nous concevons un moteur qui est couplé à un groupe motopropulseur pour ne former qu’un, plutôt que d’être un moteur client qui nous est simplement livré. Il y a donc beaucoup d’enthousiasme. Je suis implacable. Je n’abandonne pas tant que la mission n’est pas accomplie. Dans ce cas, la mission est de devenir champions du monde. »

Grand Prix du Mexique : Lando Norris triomphe et reprend la tête du championnat face à Piastri

Lando Norris a signé une victoire magistrale au Grand Prix du Mexique, reprenant les commandes du championnat du monde de Formule 1. Dominé par Oscar Piastri durant les 15 dernières manches, le Britannique profite de la contre-performance de son coéquipier McLaren à Mexico pour reprendre l’avantage d’un seul point, à quatre courses du terme de la saison.

Norris décroche ainsi la dixième victoire de sa carrière, devant Charles Leclerc et Max Verstappen. Ollie Bearman réalise quant à lui une remarquable quatrième place, tandis que Piastri ne peut faire mieux que cinquième, notamment en raison d’une voiture de sécurité virtuelle déployée en fin de course. Cette décision, jugée controversée, a empêché Verstappen et Piastri — tous deux prétendants au titre — de tenter une remontée dans les derniers tours, après la sortie de piste de Carlos Sainz.
Un dépassement supplémentaire aurait permis à Piastri de conserver la tête du championnat.

Départ mouvementé

La course, longue de 71 tours, a débuté dans la confusion. Leclerc et Verstappen ont manqué le premier virage après un départ à quatre de front, tandis que Norris, parti en tête, conservait la première place à la fin du tour initial, après que Leclerc a dû restituer un avantage obtenu hors piste.
George Russell s’est emporté à la radio contre Verstappen, coupable selon lui d’avoir traversé l’herbe pour garder la quatrième position. Le Néerlandais, seul pilote du top 5 parti en pneus médiums, a néanmoins été signalé à la direction de course pour cet épisode, tout comme son accrochage musclé avec Lewis Hamilton au sixième tour, qui l’a vu repousser la Ferrari hors de la piste.
Russell, pris dans la confusion, a chuté à la septième place, tandis que le jeune Ollie Bearman profitait du chaos pour se hisser au quatrième rang.

Alors que Norris s’échappait avec trois secondes d’avance dès le neuvième tour, Piastri, en difficulté dans la seconde McLaren, stagnait à la neuvième place. Leclerc et Hamilton suivaient le leader, Verstappen pointant cinquième derrière Bearman, hors de portée du DRS. Les commissaires ont ensuite ouvert plusieurs enquêtes, notamment sur Carlos Sainz et Fernando Alonso pour avoir quitté la piste, sans donner suite.

Au 15e tour, la hiérarchie s’est figée, avant l’abandon de Liam Lawson (Racing Bull) après un incident évité de justesse avec des commissaires sur la piste. Norris, solide leader, comptait alors cinq secondes d’avance sur Leclerc.
Hamilton, troisième, écopait de 10 secondes de pénalité pour avoir gagné un avantage en sortant des limites de piste face à Verstappen, un coup dur pour le septuple champion qui visait son premier podium avec Ferrari. Le Néerlandais, lui, était blanchi pour un incident similaire.
Carlos Sainz lançait ensuite la valse des arrêts au 19e tour, mais un excès de vitesse dans la voie des stands lui valait une pénalité de cinq secondes.
Hamilton s’arrêtait au 23e tour, perdant un temps précieux avec sa sanction. Bearman imitait le mouvement un tour plus tard, tout comme Piastri, qui parvenait à ressortir devant la Ferrari. Devant, Norris gérait parfaitement son avance, insensible aux multiples rebondissements derrière lui.

Stratégies et moments de tensions

La seconde salve d’arrêts bouleversait de nouveau la course. Verstappen, dernier des leaders à s’arrêter au 37e tour, ressortait derrière Hamilton mais disposait de pneus plus frais pour la fin.
Chez Mercedes, Russell exprimait son mécontentement face à Antonelli, qu’il jugeait trop lent devant lui alors qu’il visait la troisième place. Malgré les tensions, l’équipe ordonnait finalement un échange de positions.
À l’avant, Norris s’envolait avec 20 secondes d’avance sur Leclerc, tandis que Bearman résistait brillamment à Russell pour conserver la quatrième place provisoire, en vue d’un premier podium pour Haas.
Piastri, relancé par une stratégie à deux arrêts, dépassait Ocon et Russell pour remonter au cinquième rang, gagnant des points cruciaux dans la lutte au titre.

Dénouement sous voiture de sécurité virtuelle

La fin de course voyait Verstappen revenir sur Leclerc pour la deuxième place et Piastri se rapprocher dangereusement de Bearman. Mais la sortie de piste de Sainz dans le stade déclenchait une voiture de sécurité virtuelle, figeant le classement.
Relancée brièvement dans les derniers virages, la course s’achevait sans changement : Norris s’imposait devant Leclerc et Verstappen, Bearman signait un superbe quatrième rang, et Piastri devait se contenter de la cinquième position.
Une conclusion frustrante pour le pilote australien, qui perd la tête du championnat — et un triomphe éclatant pour Lando Norris, désormais de retour aux commandes.

Classement et résultat des qualifications du Grand Prix de Mexico

Découvrez les résultats des qualifications avant le Grand Prix de Formule 1 du Mexique 2025 à Mexico !

Classement des qualifications du Grand Prix de Mexico

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:15.586 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:15.848 S
3
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:15.938 S
4
 
George RUSSELL
Mercedes 1:16.034 S
5
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:16.070 S
6
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:16.118 S
7
 
Carlos SAINZ
Williams 1:16.172 S
8
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:16.174 S
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:16.252 S
10
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:16.460 S
11
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:16.816 S
12
 
Esteban OCON
Haas 1:16.837 S
13
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:17.016 S
14
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:17.103 S
15
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:18.072 S
16
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:17.412 S
17
 
Alexander ALBON
Williams 1:17.490 S
18
 
Pierre GASLY
Alpine 1:17.546 S
19
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:17.606 S
20
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:17.670 S

Grand Prix de Mexico – EL2 – Verstappen confirme sa bonne forme du moment

Max Verstappen a repris les commandes à Mexico en signant le meilleur temps de la deuxième séance d’essais libres. Le Néerlandais, quadruple champion du monde, a rappelé son statut de favori après avoir manqué la FP1 — conformément au règlement de la FIA, qui impose aux équipes de céder leur voiture à un rookie au moins deux fois par an.

Aux côtés de Verstappen, plusieurs autres titulaires, dont Lando Norris, Lewis Hamilton, George Russell, Lance Stroll, Pierre Gasly, Oliver Bearman, Liam Lawson et Carlos Sainz, avaient également observé la première séance depuis les stands.

De retour en piste, le pilote Red Bull a bouclé un tour en 1:17.392, devançant Charles Leclerc (Ferrari) de 0,153 seconde et Kimi Antonelli (Mercedes) de 0,174 seconde. Verstappen, qui a remporté trois des quatre dernières courses, continue de réduire son écart avec Oscar Piastri, leader du championnat. L’Australien, victime de plusieurs erreurs ces dernières semaines, a terminé seulement 12e de cette séance, à 0,840 seconde.

Une Red Bull adaptée à l’altitude

La RB21 de Verstappen bénéficiait d’un nouveau plancher et d’un système de refroidissement renforcé, nécessaires pour faire face à l’altitude de 2 238 mètres de Mexico, où l’air, plus rare de 20 %, met à rude épreuve les moteurs et les freins.

Résumé de la séance

Dès le début, Charles Leclerc a pris la tête en 1:18.669 avec les pneus moyens. Malgré plusieurs « ratés » signalés sur sa McLaren, Lando Norris s’est placé à seulement 0,012 seconde, tandis que Lewis Hamilton s’est approché à 0,020 seconde après une petite sortie de piste dans le virage 12.

Après un premier quart d’heure très serré — moins d’un dixième séparant les quatre premiers —, Leclerc a amélioré son temps avant de perdre quelques dixièmes dans le dernier secteur. Alex Albon a ensuite effleuré le mur du stade avec sa Williams, ruinant un tour prometteur. Kimi Antonelli, brièvement bloqué au garage pour un problème technique, est revenu en piste pour décrocher le deuxième meilleur chrono provisoire.

À la mi-séance, le passage général aux pneus tendres a permis à Leclerc d’abaisser la référence en 1:17.545, avant que Verstappen ne s’empare définitivement du meilleur temps avec 1:17.392, un chrono jamais battu jusqu’au drapeau à damier.

Derrière lui, Leclerc, Antonelli, Norris et Hamilton complètent le top 5. George Russell et Yuki Tsunoda suivent, devant Fernando Alonso, Carlos Sainz et Lance Stroll. En revanche, Alex Albon a dû se contenter du 19e temps, seul Pierre Gasly (Alpine) terminant derrière lui, à 1,8 seconde du leader.

Le Face-à-face des coéquipiers de F1 : Qualifications, Course, classement de la saison 2025

Consultez cette page après chaque week-end de course de la saison de F1 pour connaître les derniers scores et voir quel pilote de chaque équipe est en tête dans les qualifications, les courses et au championnat.

McLaren : Lando Norris VS Oscar Piastri

 

 

Norris

Piastri

QUALIF

Qualification

9

10

 

Sprint

1

3

COURSE

Grand Prix

11

8

 

Sprint

1

2

CHAMPIONNAT

Points

332

346

 

Classement

2e

1er

Mercedes : George Russell VS Kimi Antonelli

 

 

Russell

Antonelli

QUALIF

Qualification

17

2

 

Sprint

3

1

COURSE

Grand Prix

19

0

 

Sprint

4

0

CHAMPIONNAT

Points

252

89

 

Classement

4e

7e

Red Bull : Max Verstappen VS Yuki Tsunoda

 

 

Verstappen

Tsunoda

QUALIF

Qualification

17

0

 

Sprint

3

0

COURSE

Grand Prix

16

1

 

Sprint

3

0

CHAMPIONNAT

Points

306

28

 

Classement

3e

16e

Ferrari : Charles Leclerc VS Lewis Hamilton 

 

 

Leclerc

Hamilton 

QUALIF

Qualification

14

5

 

Sprint

2

2

COURSE

Grand Prix

15

3

 

Sprint

1

3

CHAMPIONNAT

Points

192

142

 

Classement

5e

6e

Haas : Esteban Ocon VS Oliver Bearman

 

 

Ocon

Bearman

QUALIF

Qualification

8

11

 

Sprint

2

2

COURSE

Grand Prix

9

9

 

Sprint

2

2

CHAMPIONNAT

Points

28

22

 

Classement

15e

19e

Williams : Alex Albon VS Carlos Sainz 

 

 

Albon

Sainz

QUALIF

Qualification

9

10

 

Sprint

2

2

COURSE

Grand Prix

13

6

 

Sprint

2

2

CHAMPIONNAT

Points

73

38

 

Classement

8e

10e

Aston Martin : Lance Stroll VS Fernando Alonso

 

 

Stroll

Alonso

QUALIF

Qualification

0

19

 

Sprint

1

3

COURSE

Grand Prix

7

12

 

Sprint

3

0

CHAMPIONNAT

Points

32

37

 

Classement

13e

12e

VCARB : Isack Hadjar VS Liam Lawson 

 

 

Hadjar

Lawson

QUALIF

Qualification

12

5

 

Sprint

3

0

COURSE

Grand Prix

12

5

 

Sprint

2

1

CHAMPIONNAT

Points

39

30

 

Classement

10e

13e

Sauber : Nico Hülkenberg VS Gabriel Bortoleto

 

 

Hülkenberg

Bortoleto

QUALIF

Qualification

8

11

 

Sprint

2

2

COURSE

Grand Prix

11

8

 

Sprint

1

3

CHAMPIONNAT

Points

41

18

 

Classement

9e

19e

Alpine : Pierre Gasly VS Franco Colapinto

 

 

Gasly

Colapinto

QUALIF

Qualification

8

5

 

Sprint

2

0

COURSE

Grand Prix

7

6

 

Sprint

1

1

CHAMPIONNAT

Points

20

0

 

Classement

17e

20e

Grille de départ ajustée du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 (après pénalités)

Découvrez la grille de départ complète avant le Grand Prix de Formule 1 des États-Unis 2025 à Austin, au Texas !

Grille de départ ajustée du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 (après pénalités)

Position

Pilote

Écurie

1er

Max Verstappen

Red Bull

2e

Lando Norris

McLaren

3e

Charles Leclerc

Ferrari

4e

George Russell

Mercedes

5e

Lewis Hamilton

Ferrari

6e

Oscar Piastri

McLaren

7e

Kimi Antonelli

Mercedes

8e

Oliver Bearman

Haas

9e

Carlos Sainz

Williams

10e

Fernando Alonso

Aston Martin

11e

Nico Hülkenberg

Stake

12e

Liam Lawson

Racing Bulls

13e

Yuki Tsunoda

Red Bull

14e

Pierre Gasly

Alpine

15e

Franco Colapinto

Alpine

16e

Gabriel Bortoleto

Stake

17e

Esteban Ocon

Haas

18e

Alex Albon

Williams

19e

Lance Stroll (pénalité)

Aston Martin

20e

Isack Hadjar

Racing Bulls

 

Classement et résultats et des Essais Libres du Grand Prix des États-Unis 2025

Découvrez les résultats très importants des essais libres à Austin avant les qualif sprint du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 !

Résultats des Essais Libres du Grand Prix des États-Unis 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:33.294 S
2
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:33.549 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:33.573 S
4
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:33.639 M
5
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:33.648 S
6
 
Alexander ALBON
Williams 1:33.920 S
7
 
George RUSSELL
Mercedes 1:33.931 M
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:33.965 M
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:34.155 M
10
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:34.333 S
11
 
Esteban OCON
Haas 1:34.368 S
12
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:34.478 S
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:34.531 S
14
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:34.610 M
15
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:34.619 M
16
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:34.653 S
17
 
Pierre GASLY
Alpine 1:34.665 S
18
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:34.737 M
19
 
Carlos SAINZ
Williams 1:35.874 H
20
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:36.080 M

Aston Martin présente sa livrée spéciale pour le Grand Prix des États-Unis

Aston Martin est devenue la troisième écurie de F1 à révéler une livrée spéciale pour le Grand Prix des États-Unis, avec un design unique inspiré de la science.

En début de semaine, l’écurie a partagé la visite du physicien Brian Cox à son siège de Silverstone, où il a rencontré le directeur technique Adrian Newey. La livrée, conçue pour être utilisée tout au long du week-end à Austin, intègre une série de formules scientifiques liées à la F1, soulignant la dimension technique et innovante du partenariat avec l’écurie.

Le concept vise à mettre en valeur les innovations qui soutiennent le projet et à rendre hommage aux talents derrière la performance de l’équipe sur la piste.

Aston Martin rejoint ainsi Racing Bulls et Haas, les deux premières écuries à avoir dévoilé une livrée spéciale pour le week-end texan.

La grille F1 2026 : le plateau actuel et toutes les rumeurs

La situation contractuelle actuelle de chaque pilote de F1 – et toutes les rumeurs sur ce qui pourrait se passer ensuite

Écurie

Pilote

Fin de contrat

McLaren

Lando Norris

« Long terme »

 

Oscar Piastri

2028

Ferrari

Lewis Hamilton

Jusqu’en 2026, avec option pour 2027

 

Charles Leclerc

Plusieurs années

Red Bull

Max Verstappen

2028

 

À confirmer

 ? 

Mercedes

George Russell

Inconnu

 

Kimi Antonelli

Inconnu

Aston Martin

Fernando Alonso

2026

 

Lance Stroll

« 2025 et au-delà »

Alpine

Pierre Gasly

« Long terme »

 

À confirmer

?

Haas

Esteban Ocon

Contrat pluriannuel

 

Oliver Bearman

Contrat pluriannuel

Williams

Alex Albon

Contrat pluriannuel

 

Carlos Sainz

Contrat pluriannuel

Racing Bulls

À confirmer

 

À confirmer

Audi (Sauber)

Nico Hulkenberg

Contrat pluriannuel

 

Gabriel Bortoleto

Contrat pluriannuel

Cadillac

Valtteri Bottas

Contrat pluriannuel

 

Sergio Pérez

Contrat pluriannuel

Aston Martin répond à la déclaration de Fernando Alonso sur une possible retraite en 2026

Le directeur d’Aston Martin, Andy Cowell, a réagi avec prudence et respect à la récente déclaration de Fernando Alonso, qui a laissé entendre qu’il pourrait prendre sa retraite si l’équipe disposait enfin d’une voiture compétitive en 2026.

Le double champion du monde, s’apprête à entamer sa 23e saison dans la discipline l’an prochain. Après des années passées à se battre dans le milieu de grille, Alonso a confié que terminer sa carrière au volant d’une voiture capable de gagner serait pour lui une fin idéale.

« Si tout se passe bien, je pense que ce sera le moment idéal pour m’arrêter », a déclaré Alonso. « Cela fait de nombreuses années que je recherche une voiture compétitive, et si j’y parviens, ce serait une très belle façon de conclure ma carrière. »

Interrogé sur ces propos, Cowell a répondu avec diplomatie, soulignant l’importance d’Alonso pour le projet Aston Martin :

« Fernando est un compétiteur exceptionnel. Il pousse tout le monde à donner le meilleur, sur la piste comme à l’usine », a-t-il déclaré. « Si la voiture est compétitive l’année prochaine, ce sera en grande partie grâce à son engagement et à ses retours techniques. Et s’il choisit de s’arrêter à ce moment-là, ce serait une manière magnifique de conclure une carrière légendaire. »

Cowell a ajouté qu’Aston Martin restait pleinement concentrée sur 2026, une saison clé avec la nouvelle réglementation technique et l’arrivée du moteur Honda.

À 44 ans en 2026, Alonso reste l’un des pilotes les plus performants du plateau, et son éventuelle retraite au sommet serait une sortie symbolique pour l’un des derniers champions de l’ère V10-V8.

« Disons que si nous sommes compétitifs, il y a plus de chances que j’arrête. Si nous ne sommes pas compétitifs, il sera très difficile d’abandonner sans essayer à nouveau. »

Aston Martin se prépare pour une nouvelle ère l’année prochaine, puisqu’elle va entamer une collaboration avec Honda, qui fera son retour en tant que constructeur de moteurs. Cowell a affirmé qu’il comprenait le désir d’Alonso de se retirer de la F1 alors qu’il est au sommet.

« Je pense que cela est lié au fait que nous voulons tous finir en beauté », a déclaré Cowell aux médias. « Il aimerait terminer sa carrière de pilote en remportant des courses, en obtenant de bons résultats. Je pense donc que c’est à cela que cela est lié. Il est un élément essentiel de l’équipe. [C’est] vraiment utile de l’avoir à bord, ainsi que Lance cette année et l’année prochaine, pour nous guider sur ce qui est important pour la voiture 206, travailler sur la simulation DIL et la configuration de la voiture, etc. Je pense que tout revient à cela. La dernière course pour Fernando, la plus haute marche du podium, c’est ce dont nous rêvons tous. »

Andy Cowell flatté par l’intérêt de Max Verstappen pour le projet Aston Martin

Le directeur de l’écurie Aston Martin, Andy Cowell, a reconnu que son équipe était « flattée » par les récents propos de Max Verstappen, qui a évoqué son intérêt pour le projet en pleine expansion de la formation basée à Silverstone.

L’avenir du quadruple champion du monde a longtemps alimenté les discussions cette saison, avant que Verstappen ne confirme qu’il resterait chez Red Bull en 2026. Bien qu’il soit sous contrat jusqu’en 2028, la domination déclinante de Red Bull en début d’année et les rumeurs autour d’une clause de performance ont ouvert la porte à des spéculations sur un départ anticipé.

Aston Martin, désormais renforcée par l’arrivée d’Adrian Newey à la tête du département technique, est souvent citée comme l’une des destinations les plus crédibles pour le Néerlandais à moyen terme.

« À un moment donné, tout le paddock se rend compte qu’il y a une ambition claire : passer d’une équipe qui a longtemps lutté pour sa survie à une équipe qui est là pour gagner », a déclaré Cowell à Motorsport.com.

Cowell a ajouté que les remarques de Verstappen étaient perçues comme une reconnaissance du sérieux du projet Aston Martin, qui a investi massivement dans ses infrastructures et son centre technique ultramoderne à Silverstone :

Alors que Lawrence Stroll vise à faire d’Aston Martin un candidat au titre d’ici 2026, la perspective de voir Newey et Verstappen réunis sous de nouvelles couleurs continue d’attiser la curiosité du paddock.

« Que Max ait manifesté son intérêt aux médias – même si je ne sais pas exactement quel est le mot juste – est flatteur. Il voit que notre équipe est déterminée et qu’elle prend les bonnes décisions. »

Mercedes a manifesté son intérêt pour Verstappen, le patron de l’écurie Toto Wolff déclarant que les équipes seraient prêtes à « faire le poirier » pour signer le quadruple champion.

« Je ne suis pas doué pour faire le poirier, même dans la piscine j’ai encore du mal », a plaisanté Cowell. Aston Martin devrait aligner le même duo de pilotes l’année prochaine, avec Fernando Alonso et Lance Stroll pour une quatrième saison consécutive.

Lance Stroll : « Je considère les critiques comme du bruit »

Lance Stroll a partagé sa méthode pour gérer la notoriété et les critiques souvent virulentes qui accompagnent sa carrière en Formule 1.

Le pilote Aston Martin, entamant sa neuvième saison en F1, est l’une des figures les plus controversées du paddock. Bien qu’il ait montré qu’il pouvait rivaliser sur la piste — avec trois podiums à son actif depuis ses débuts chez Williams en 2017 et une première pole position en Turquie en 2020 — sa constance reste mise en doute. De plus, son statut de fils du propriétaire d’Aston Martin le place régulièrement sous le feu des critiques, certains estimant qu’il doit sa place avant tout à son père.

Stroll a toutefois côtoyé plusieurs champions du monde, Sebastian Vettel et Fernando Alonso, au sein d’Aston Martin, ce qui lui a permis de se confronter à un niveau de compétition élevé, sans jamais réellement les battre.

Dans la série Unearth Your Greatness diffusée sur YouTube par Aston Martin, il a expliqué comment il réagit aux critiques : « Je préfère considérer cela comme du bruit », déclarant ainsi qu’il ne laisse pas ces jugements influencer sa performance sur la piste.

« Si je m’y attarde, cela me dérange, bien sûr, mais c’est là que j’ai de la chance. Je suis entouré de personnes que j’aime, en qui j’ai confiance, auxquelles j’accorde mon attention et dont j’apprécie les opinions. J’essaie de vivre dans mon monde, et non dans le monde en ce sens.  Il y aura toujours des critiques. Les gens ont l’esprit très étroit. Vous faites quelques bonnes courses, vous êtes génial. Vous en faites quelques mauvaises, vous êtes nul. Cela ne changera jamais. »

« C’est pourquoi il est important d’être entouré de personnes importantes et d’accorder de l’importance à l’opinion des personnes qui vous sont chères, que vous appréciez et dont vous connaissez vraiment l’opinion. Ne prenez pas en compte les critiques de quelqu’un dont vous ne suivriez pas les conseils. »

Hamilton répond avec humour à la colère d’Alonso après Singapour

Lewis Hamilton a choisi l’humour pour réagir à la frustration de Fernando Alonso après le Grand Prix de Singapour, publiant une vidéo ironique sur les réseaux sociaux en référence au message radio furieux de l’Espagnol.

En difficulté dans les derniers tours sur le circuit de Marina Bay, Hamilton a dû composer avec une défaillance de freins sur sa Ferrari. Pour ramener sa voiture jusqu’à l’arrivée, il a emprunté à plusieurs reprises les voies de dégagement, coupant plusieurs virages. Il a tout de même franchi la ligne d’arrivée en septième position, juste 0,4 seconde devant Alonso.

Le double champion du monde d’Aston Martin, furieux, s’est alors emporté à la radio :

« Je n’y crois pas ! Je n’y crois pas ! Est-ce que c’est sûr de rouler sans freins ? »

Après la course, Hamilton a écopé d’une pénalité de cinq secondes pour avoir quitté la piste à de multiples reprises, le reléguant à la huitième place.

Quelques heures plus tard, le Britannique a répliqué sur Instagram avec une courte vidéo humoristique du personnage Victor Meldrew, héros de la série britannique One Foot in the Grave, célèbre pour sa réplique :

« I don’t believe it! » (Je n’y crois pas !)

La publication, accompagnée de la légende « 18 years of… », a immédiatement amusé les fans — un clin d’œil évident à son ancien rival de 2007. Hamilton et Alonso, les deux vétérans du plateau, continuent de nourrir une rivalité aussi savoureuse que légendaire, près de deux décennies après leurs débuts communs chez McLaren.

Isack Hadjar tacle Alonso : « S’il est grincheux, je ne peux rien y faire »

Isack Hadjar a répondu avec ironie à Fernando Alonso, après que le double champion du monde a tenu des propos sarcastiques à son égard lors du Grand Prix de Singapour.

En difficulté avec sa moteur défaillant, le jeune pilote français de RB a résisté à Alonso pendant près d’un tour complet sur le circuit urbain de Marina Bay, avant que l’Espagnol ne parvienne finalement à le dépasser à la sortie du virage 3 au 37ᵉ tour.

Mais le vétéran d’Aston Martin n’a pas apprécié cette défense, lâchant à la radio un commentaire moqueur :

« Il devrait y avoir un trophée pour le HÉROS de la course. »

Alonso, ralenti par un arrêt au stand trop long, a tout de même terminé septième grâce à la pénalité post-course de Lewis Hamilton, tandis qu’Hadjar a dû se contenter de la onzième place, manquant les points pour moins d’une seconde derrière Carlos Sainz.

Interrogé après la course, le pilote de 20 ans a tenu à défendre sa manœuvre, affirmant n’avoir commis aucune faute :

« Je ne l’ai pas poussé hors de la piste et je suis resté fair-play », a expliqué Hadjar. « S’il n’a pas apprécié cette lutte et qu’il est vraiment grincheux, alors je ne peux rien faire pour lui. »

Malgré un moteur en souffrance et une monoplace endommagée, Hadjar a signé l’une de ses courses les plus solides de la saison, prouvant une fois de plus sa combativité face à des pilotes bien plus expérimentés.

Alonso a expliqué pourquoi il estimait que Hadjar aurait dû faire preuve de plus de sagesse dans le choix de ses combats.

« Certains mouvements à 300 km/h sont un peu au-dessus de la limite à Singapour, mais chacun court comme il le souhaite, et il n’y a pas eu de contact, donc tout allait bien », a expliqué Alonso. « Ils ont une voiture très rapide, mais ils n’ont pas beaucoup de points, donc c’est plutôt leur problème. Je veux dire, je pense qu’il avait un petit problème de moteur et qu’il était lent dans les lignes droites, donc parfois, dans certaines batailles, il faut savoir quand il vaut mieux se battre et quand il vaut mieux ne pas le faire. Car le résultat final aurait pu être pire pour nous deux, mais surtout pour lui, donc il y avait un risque inutile. Mais je comprends que c’est Singapour, qu’il faut se battre à fond, et il a fait de son mieux, mais nous avons clairement perdu du temps. »

Alonso furieux contre Lewis Hamilton à l’arrivée du Grand Prix de Singapour

Fernando Alonso a exprimé une colère monumentale à la radio après avoir franchi la ligne d’arrivée du Grand Prix de Singapour, furieux de la manière dont Lewis Hamilton a terminé la course malgré de graves problèmes de freins.

Parti dixième, le pilote Aston Martin a réalisé une solide prestation sur le circuit urbain de Marina Bay, affichant un excellent rythme malgré un arrêt au stand lent qui lui a coûté plusieurs positions. Grâce à une belle remontée, le double champion du monde est parvenu à se hisser jusqu’à la huitième place, avant de se retrouver dans les échappements d’Hamilton dans les derniers tours.

Le septuple champion du monde, en difficulté avec sa Ferrari, souffrait d’un problème majeur de freinage, le contraignant à couper à plusieurs reprises les virages dans les derniers instants de la course. Cette situation lui a valu une convocation par les commissaires, qui examinent une possible infraction aux limites de la piste.

Alonso, témoin direct des difficultés de son ancien coéquipier chez McLaren, a failli lui ravir la septième place dans le dernier tour. L’Espagnol a franchi la ligne d’arrivée à seulement quatre dixièmes de seconde derrière Hamilton, furieux que la direction de course ait autorisé ce dernier à poursuivre malgré ses problèmes mécaniques.

À peine la course terminée, Alonso a laissé éclater sa frustration à la radio, lançant plusieurs jurons à son équipe :

« Je n’arrive pas à y croire, putain ! Est-ce que c’est sûr de rouler sans freins ? »

Lorsqu’on lui a dit que l’équipe examinait la situation et qu’on l’a félicité d’avoir réussi à remonter à la huitième place, Alonso a répondu : « Ça devrait être la septième place, putain. On ne peut pas conduire. Aucun respect pour le drapeau rouge hier. Aujourd’hui, la piste est libre pour eux. Peut-être trop. »

Le commentaire d’Alonso sur le drapeau rouge faisait suite à l’enquête menée sur Hamilton après la troisième séance d’essais libres samedi, pour une infraction présumée au drapeau rouge – aucune mesure supplémentaire n’a été prise.

Alonso a ajouté plus tard : « Pour moi, on ne peut pas conduire quand la voiture n’est pas sûre. Parfois, ils essaient de me disqualifier parce que je n’ai pas de rétroviseur, et maintenant, vous n’avez pas de freins et tout va bien ? J’en doute. »

Classement du championnat F1 2025 après le Grand Prix de Singapour

Découvrez comment le Grand Prix de Singapour 2025 de F1 a influencé les classements des pilotes et des constructeurs de F1.

PPilote Equipe Points
1L. NorrisMcLaren357
2O. PiastriMcLaren356
3M. VerstappenRed Bull321
4G. RussellMercedes258
5C. LeclercFerrari210
6L. HamiltonFerrari146
7K. AntonelliMercedes97
8A. AlbonWilliams73
9N. HülkenbergSauber41
10I. HadjarVCARB39
11C. SainzWilliams38
12F. AlonsoAston Martin37
13O. Bearman Haas32
14L.StrollAston Martin32
15L. LawsonVCARB30
16E. OconHaas28
17Y. TsunodaRed Bull28
18P. GaslyAlpine20
19G. BortoletoSauber19
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0
PEquipe Points
1McLaren 678 (Champion)
2Ferrari356
3Mercedes355
4Red Bull 346
5Williams111
6Racing Bulls72
7Aston Martin69
9Haas62
8Sauber60
10Alpine20

F1 – Classement du Grand Prix de Singapour 2025

Découvrez tous les résultats du Grand Prix de Formule 1 de Singapour 2025 à Marina Bay !

Classement du Grand Prix de Singapour 2025

# Pilote Écurie Écart Pneu
1
 
George RUSSELL
Mercedes LAP 62 H
2
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull +5.430 H
3
 
Lando NORRIS
McLaren +6.066 H
4
 
Oscar PIASTRI
McLaren +8.146 H
5
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +33.681 H
6
 
Charles LECLERC
Ferrari +45.996 H
7
 
Lewis HAMILTON

 
Ferrari +80.251 S
8
 
Fernando ALONSO
Aston Martin +80.667 M
9
 
Oliver BEARMAN
Haas +93.527 H
10
 
Carlos SAINZ
Williams 1 L S
11
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1 L H
12
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1 L H
13
 
Lance STROLL
Aston Martin 1 L M
14
 
Alexander ALBON
Williams 1 L S
15
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1 L S
16
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1 L M
17
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1 L H
18
 
Esteban OCON
Haas 1 L H
19
 
Pierre GASLY
Alpine 1 L S
20
 
Nico HULKENBERG
Stake 1 L S