Le pilote Williams Nicholas Latifi a été doublement pénalisé ce dimanche au Grand Prix d’Azerbaïdjan pour ne pas être rentré dans la voie des stands lorsque la direction de course l’a ordonné.
A la suite de l’accident dont a été victime Max Verstappen ce dimanche à Bakou, la direction de course a déployé dans un premier temps une Safety Car, avant d’interrompre le Grand Prix par un drapeau rouge.
Tous les pilotes ont donc été invités à emprunter la voie des stands parce que les commissaires étaient au milieu de la piste dans la ligne droite principale pour dégager la carcasse de la Red Bull de Max Verstappen.
Cependant, le pilote Williams Nicholas Latifi n’a pas respecté cette consigne et a continué à rouler sur la ligne droite principale. Le pilote a bien demandé à son équipe s’il devait rentrer dans la voie des stands, mais la réponse de son ingénieur a été si ambiguë que le Canadien est resté sur la piste.
Au final, Latifi a écopé d’un stop and go de dix secondes en course et de trois points de pénalité sur sa super licence (les trois premiers sur un total de 12 points).
C’est le pilote Aston Martin Sebastian Vettel qui a été élu pilote du jour ce dimanche au Grand Prix d’Azerbaïdjan 2021.
L’Allemand a terminé la course sur la deuxième marche du podium ce dimanche et décroche ainsi son tout premier podium avec sa nouvelle équipe.
« C’est génial, cela a été un départ difficile pour nous. » a déclaré Vettel après l’arrivée de l’épreuve.
« J’avais un bon rythme, j’ai pris des places dès le départ et c’était la clé aujourd’hui. J’ai fait attention à mes pneus, j’avais un bon rythme pour faire un overcut, le restart s’est bien passé pour moi et j’avais un bon rythme avec mes pneus. C’est une super journée pour nous, je suis heureux pour l’équipe. »
« On ne s’attendait pas à ça, vendredi nous étions nulle part et pourtant ça a fonctionné pour nous aujourd’hui. »
« C’est toujours plus interessant quand vous partez plus haut sur la grille et devant ils avaient du mal à faire fonctionner les pneus, les réglages me convenaient, on a bien progressé, c’est super. »
Voici les classements F1 2021 pilotes et constructeurs après le Grand Prix d’Azerbaïdjan, sixième manche de la saison, disputée ce dimanche 6 juin à Bakou.
C’est le pilote Red Bull Sergio Perez qui a remporté un Grand Prix d’Azerbaïdjan complètement fou, sixième manche du championnat du monde de F1.
Le Mexicain devance à l’arrivée de l’épreuve l’Aston Martin de Sebastian Vettel et l’AlphaTauri de Pierre Gasly
Derrière, Charles Leclerc, Lando Norris, Fernando Alonso, Yuki Tsunoda, Carlos Sainz, Daniel Ricciardo et Kimi Raikkonen complètent le top dix à l’arrivée.
Les classements présentés ci-dessous sont évolutifs en temps réel et sont donc mis à jour en cas de pénalité infligée à un ou plusieurs pilotes après le classement officiel de la course et qui aurait une conséquence directe sur les positions aux championnats.
Sergio Perez – victoire :« Je suis tellement, tellement heureux. » a déclaré Sergio Perez après la course.
« C’est toujours une course folle ici. Tout d’abord, je suis désolé pour Max [Verstappen] parce qu’il avait fait un super travail et il méritait de gagner. »
« J’aurais été très heureux que l’on puisse ramener un doublé à l’équipe, mais au final c’est quand même une belle journée pour nous avec cette victoire. On était très proches d’abandonner, je ne savais pas si on allait terminer cette course, c’était vraiment difficile jusqu’à l’arrivée. »
« Au deuxième départ, je ne voulais pas me rater et j’ai poussé jusqu’au bout pour retarder mon freinage et je suis passé. J’ai vu Lewis partir tout droit. C’est super, cette victoire est un très grand boost en termes de confiance pour la suite pour moi. »
Sebastian Vettel – deuxième :« C’est génial, cela a été un départ difficile pour nous. » a déclaré Vettel.
« J’avais un bon rythme, j’ai pris des places dès le départ et c’était la clé aujourd’hui. J’ai fait attention à mes pneus, j’avais un bon rythme pour faire un overcut, le restart s’est bien passé pour moi et j’avais un bon rythme avec mes pneus. C’est une super journée pour nous, je suis heureux pour l’équipe. »
« On ne s’attendait pas à ça, vendredi nous étions nulle part et pourtant ça a fonctionné pour nous aujourd’hui. C’est toujours plus interessant quand vous partez plus haut sur la grille et devant ils avaient du mal à faire fonctionner les pneus, les réglages me convenaient, on a bien progressé, c’est super. »
Pierre Gasly – troisième :« C’était une course tellement intense, la voiture a été incroyable tout le week-end à chaque session. » a déclaré le Français à l’arrivée de l’épreuve.
« Je ne savais pas si nous étions capables de conserver cette position. Une fois j’ai terminé dans ma carrière premier, une fois deuxième et il me manquait une troisième place et c’est incroyable de la décrocher de cette manière. »
« Il fallait juste sortir les muscles [dans les deux derniers tours] et montrer qu’on allait rien lâcher. Je savais que ça serait difficile, parce que pendant la course Sainz m’avait déjà dépassé, mais il fallait vraiment que je tente ma chance jusqu’au bout, je voulais ce podium. »
« Ce sont des points très importants pour nous, ceux marqués par Yuki aussi [Tsunoda, son coéquipier] et nous allons bien-sûr fêter ça ce soir. »
C’est le pilote Red Bull Sergio Perez qui a remporté un Grand Prix d’Azerbaïdjan complètement fou, sixième manche du championnat du monde de F1.
Le Mexicain devance à l’arrivée de l’épreuve l’Aston Martin de Sebastian Vettel et l’AlphaTauri de Pierre Gasly
Derrière, Charles Leclerc, Lando Norris, Fernando Alonso,Yuki Tsunoda, Carlos Sainz, Daniel Ricciardo et Kimi Raikkonen complètent le top dix à l’arrivée.
Abandon d’Esteban Ocon
Le pilote Alpine Esteban Ocon a dû rentrer au stand pour abandonner dès le troisième tour de course ce dimanche. Le Normand a perdu toute la puissance moteur et lui était alors impossible de continuer (perte de pression de turbo sur la monoplace du Français).
Début de course compliqué pour Leclerc
Le poleman Charles Leclerc n’a rien pu faire pour empêcher Lewis Hamilton de le doubler dès le troisième tour de course.
Le Britannique au volant de sa Mercedes bénéficiait de l’aspiration dans l’énorme ligne droite du tracé de Bakou, ce qui a facilité son dépassement sur le leader pour prendre la tête de la course.
Un tour plus tard, c’est au tour du pilote Red Bull Max Verstappen de dépasser la Ferrari de Charles Leclerc qui a perdu doucement mais sûrement plusieurs positions avant le dixième tour de course.
Hamilton en difficulté
Alors leader de la course, Lewis Hamilton est rentré au stand pour tenter de creuser encore un peu plus l’écart avec la Red Bull de Max Verstappen derrière lui, mais le Britannique a perdu beaucoup de temps lors de son arrêt car l’AlphaTauri de Yuki Tsunoda arrivait dans la voie des stands au moment où Hamilton devait quitter son emplacement.
Un tour plus tard, c’est au tour de Max Verstappen de s’arrêter pour chausser des pneus Durs. Le Néerlandais ressortira devant la Mercedes d’un Lewis Hamilton étonné.
Deux tours plus tard, c’est au tour du coéquipier de Max Verstappen, le Mexicain Sergio Perez, de s’arrêter et là encore, le septuple champion du monde Lewis Hamilton voit une Red Bull ressortir des stands devant lui.
Une fois derrière les deux Red Bull, Lewis Hamilton a eu le plus grand mal à faire fonctionner ses pneumatiques et n’arrivait pas à se rapprocher de Verstappen et Perez.
Très gros crash pour Stroll
Le Canadien Lance Stroll a été victime d’une très grosse sortie de piste au 30° tour de course dans la ligne droite principale.
L’Aston Martin de Stroll est partie soudainement vers le mur de béton à gauche de la piste, alors que sur le replay on pouvait constater que l’un des pneus arrière a visiblement éclaté avant le crash.
Le pilote va bien et a quitté son cockpit tout seul, avant de se rendre au centre médical du circuit pour des vérifications obligatoires lors d’un gros crash comme celui-ci. Pour info, Stroll venait de boucler un relais long de 30 tours sur ses pneus Durs avec lesquels il avait pris le départ, ce qui pourrait expliquer cet accident.
Évidemment, la direction de course a immédiatement déployé une voiture de sécurité pour permettre aux commissaires de dégager les nombreux débris et l’épave de l’Aston Martin de Stroll avant de pouvoir reprendre la course.
Vettel survolté
A la reprise de la course, le deuxième pilote Aston Martin Sebastian Vettel, s’est payé le luxe de dépasser la Ferrari de Charles Leclerc et l’AlphaTauri de Pierre Gasly pour s’emparer de la quatrième place juste derrière la Mercedes de Lewis Hamilton.
Un week-end à oublier pour Bottas
Le week-end est à oublier pour le deuxième pilote Mercedes Valtteri Bottas. Le Finlandais, qui s’élançait depuis la dixième place sur la grille, termine le Grand Prix d’Azerbaïdjan hors du top dix en fond de classement.
Catastrophe pour Verstappen
A cinq tours de l’arrivée, le leader Max Verstappen a lui aussi perdu sa monoplace dans la ligne droite principale après l’éclatement de l’un de ses pneus arrière (comme sur l’Aston Martin de Stroll plus tôt).
Coup dur pour le Néerlandais qui allait très certainement marquer 26 points. Il repart de Bakou sans le moindre point.
A la suite de cet accident, la direction de course a agité un drapeau rouge, ce qui a permis à tous les pilotes de rentrer au stand pour changer de pneus avant que la course soit relancée pour seulement deux tours…
Hamilton se loupe
A la reprise de la course, Lewis Hamilton s’est complétement loupé au freinage du premier virage. Le pilote Mercedes terminera en fond de classement et ne marquera aucun point ce dimanche.
Cet article n’est qu’un résumé du Grand Prix d’Azerbaïdjan, vous pouvez dès à présent retrouver toutes les réactions des principaux protagonistes sur F1only.fr.
La prochaine manche du championnat du monde de F1 se disputera à la maison avec le Grand Prix de France programmé du 18 au 20 juin sur le circuit Paul Ricard.
Sixième manche du championnat 2021 de F1, le Grand Prix d’Azerbaïdjan se dispute ce dimanche 6 juin et est à suivre en direct sur F1only.fr.
C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche au Grand Prix d’Azerbaïdjan après avoir signé un 1;41.218 ce samedi en qualifications.
Le Monégasque prendra le départ de la course devant la Mercedes de Lewis Hamilton et la Red Bull de Max Verstappen.
Derrière, Pierre Gasly, Carlos Sainz, Sergio Perez, Yuki Tsunoda, Fernando Alonso, Lando Norris et Valtteri Bottas complètent le top dix.
Ce dimanche, c’est Laurie Vermeersch qui vous accompagne et vous fera vivre le Grand Prix d’Azerbaïdjan en direct. Bonne course à toutes et à tous.
Voici la grille de départ officielle et définitive du Grand Prix d’Azerbaïdjan 2021, sixième manche de la saison qui se dispute du 4 au 6 juin à Bakou.
C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche au Grand Prix d’Azerbaïdjan après avoir signé un 1;41.218 ce samedi en qualifications.
Le Monégasque prendra le départ de la course devant la Mercedes de Lewis Hamilton et la Red Bull de Max Verstappen.
Derrière, Pierre Gasly, Carlos Sainz, Lando Norris, Sergio Perez, Yuki Tsunoda, Fernando Alonso et Valtteri Bottas complètent le top dix.
Notez que la grille de départ présentée ci-dessous prend en compte les diverses pénalités infligées aux différents pilotes. Cette grille sera mise à jour en temps réel, même dans le cas d’une pénalité tardive.
Lorsqu’un pilote reçoit une pénalité, celle-ci est matérialisée dans le tableau par un (+xP) à côté du nom du pilote en question.
Le départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan sera donné ce dimanche 6 juin à 14h00 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr. (cliquez ici pour accéder au live).
McLaren Racing a annoncé ce dimanche 6 juin le décès de Mansour Ojjeh, actionnaire de McLaren depuis 1984.
« Mansour Ojjeh est décédé paisiblement ce dimanche matin à Genève, à l’âge de 68 ans, entouré de sa famille. » précise l’équipe britannique dans un court communiqué.
Il possédait le groupe TAG, une importante société holding basée à Genève (Suisse), vendue en 2019. Il possèdait également 25 % de la société McLaren Technology Group, spécialisée dans les techniques de pointe, et elle-même propriétaire de l’écurie de Formule 1 McLaren Racing.
La passion de Mansour Ojjeh pour la course automobile a été déclenchée par une visite au Grand Prix de Monaco en 1978, en tant qu’invité de la famille royale saoudienne – qui possédait Saudia Airlines, le sponsor de Williams à l’époque.
L’enthousiasme d’Ojjeh pour le sport a conduit TAG à devenir le sponsor principal de l’équipe Williams en 1979. L’afflux de capitaux a permis à Patrick Head de construire des machines compétitives et Williams a remporté sa première victoire en F1 à Silverstone en 1979.
À la fin de 1981, Ron Dennis de McLaren a approché Mansour Ojjeh avec l’intention de l’attirer vers McLaren en tant que partenaire plutôt que sponsor. Ojjeh a vu la logique dans l’argument et a accepté d’investir 5 millions de dollars dans un moteur turbo construit par Porsche.
« Le décès de Mansour Ojjeh a dévasté tout le monde chez McLaren Racing. » a déclaré le PDG de McLaren, Zak Brown.
« Mansour est gravé dans le cœur et l’âme de cette équipe depuis près de 40 ans et a été intrinsèque à son succès. »
« C’était un vrai coureur dans tous les sens du terme. Ultra-compétitif, déterminé, passionné et, surtout, peut-être sa caractéristique principale : le sport. Quelle que soit l’intensité de la bataille, Mansour a toujours mis le sport en premier. »
« Mansour était un titan de notre sport, mais modeste, sans prétention et désarmant pour tous ceux qu’il rencontrait. Ses manières faciles, son esprit vif et son humour chaleureux ont touché tous ceux qui ont eu la chance de le connaître.«
« Son amour pour cette équipe était palpable aux yeux de tous et ceux d’entre nous qui ont le privilège de travailler pour McLaren se souviendront de Mansour comme d’une figure paternelle impressionnante mais humble, humaine qui nous a montré au niveau le plus individuel et personnel comment combattre l’adversité et être résilient.«
« Il restera dans la mort ce qu’il était dans la vie : une inspiration constante pour nous tous chez McLaren et au-delà. L’héritage de Mansour est sécurisé. Il est tissé dans cette équipe et perpétuel. Nous courons comme il le souhaiterait, notre détermination plus forte que jamais, avec sa mémoire et son héritage à jamais dans nos cœurs et nos esprits. »
« Tous chez McLaren Racing expriment leurs plus sincères condoléances à toute sa famille. »
Bien que le Monégasque Charles Leclerc s’élancera ce dimanche depuis la pole position dans les rues de Bakou, la Scuderia Ferrari estime que le Grand Prix d’Azerbaïdjan sera une course difficile car la position sur la grille n’est finalement pas aussi importante qu’à Monaco.
Bakou est un tracé urbain comme celui de Monaco, mais les vitesses de pointe sont nettement supérieures en Azerbaïdjan, notamment parce que la ligne droite principale mesure plus de deux kilomètres, ce qui veut dire que les dépassements devraient être nombreux ce dimanche.
En plus de ce paramètre, Ferrari a pu constater vendredi lors des essais libres que le rythme de course de Mercedes et Red Bull était bien meilleur que celui de ses pilotes, ce qui laisse penser à Laurent Mekies que cette sixième manche de l’année sera tout sauf une partie de plaisir.
« Nous pouvons nous attendre à une course très difficile. La pole n’est pas aussi importante ici qu’à Monaco, étant donné que les dépassements sont monnaie courante. » nous explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.
« Hier [vendredi], nous avons vu que Red Bull et Mercedes étaient très rapides sur un long run. La dégradation des pneus sera un facteur clé, surtout dans le premier relais. »
« Nous devrons être prêts à toute éventualité, étant donné que cette course a généralement toutes sortes de rebondissements inattendus.«
Le Français souligne tout de même l’énorme travail abattu par son équipe pour faire en sorte d’avoir une monoplace compétitive dans les rues de Bakou, alors que Ferrari s’attendait à souffrir en Azerbaïdjan.
« Nous sommes arrivés à Bakou en pensant que ce serait un week-end beaucoup plus compliqué que la dernière course, mais en fait notre niveau de performance était meilleur que prévu dès le début des essais, même si théoriquement cette piste devrait être moins adaptée à notre voiture.«
« L’équipe et les pilotes ont fait un excellent travail ces deux derniers jours, améliorant la voiture à chaque séance. Notre performance en qualifications, la meilleure de toutes les équipes si vous regardez la paire de résultats, est une récompense appropriée pour cela. »
Bien que les composés apportés cette année à Bakou par Pirelli soient un cran plus Tendres que ceux utilisés en 2019 lors de la dernière édition du GP d’Azerbaïdjan, il est toujours probable que la stratégie de course reste sur un seul et unique arrêt ce dimanche.
Selon Pirelli, tous les pilotes du top dix (tous équipés de pneus Tendres au départ) utiliseront probablement une stratégie Tendre-Dur, même si cela donne beaucoup moins de flexibilité concernant la fenêtre d’arrêt au stand.
Une autre option valable – qui, cependant, ne peut être utilisée que par ceux qui ne sont pas dans le top 10 – est de choisir les composés durs Mediums et les Durs, surtout si les températures de piste sont supérieures à 50 degrés.
Dans ce cas il serait logique -toujours selon Pirelli – de commencer par le Médium puis de passer au dur : il y aurait en effet une fenêtre d’arrêt au stand assez large qui laisserait beaucoup de liberté pour décider quand s’arrêter.
Cependant, il y a aussi la forte possibilité que la voiture de sécurité entre en piste ce dimanche à Bakou, comme en témoignent les nombreuses interruptions dues aux drapeaux rouges en qualifications ce samedi.
Si la voiture de sécurité devait entrer en scène, elle offrirait la possibilité de faire un arrêt au stand « gratuit », donc commencer par le composé le plus Tendre et le plus rapide pourrait être avantageux. Contrairement à Monaco, cependant, la position sur la piste n’est pas si cruciale à Bakou : les dépassements sont tout à fait possibles ici.
« Il y a quatre pilotes de différentes équipes dans les quatre premières positions de la grille, ce qui souligne à quel point la compétition est serrée sur ce circuit urbain spectaculaire : à un moment donné, nous avons eu des voitures séparées d’un millième de seconde sur un tour de six kilomètres. » nous rappelle Mario Isola, directeur de Pirelli.
« Comme nous l’avons déjà vu lors de ces qualifications mouvementées, Bakou est une piste où absolument tout peut arriver. »
Pour rappel, la probabilité de l’intervention d’une voiture de sécurité ce dimanche à Bakou pendant la course est de 75%.
Pénalisé de trois positions sur la grille de départ du GP d’Azerbaïdjan pour ne pas avoir respecté un drapeau rouge en qualifications ce samedi, le pilote McLaren Lando Norris a un peu de mal à accepter le fait d’avoir également perdu trois points sur sa super licence car le Britannique estime qu’il « n’a mis personne en danger ».
Ce samedi à Bakou, Norris est resté en piste alors qu’un drapeau rouge était agité par la direction de course. Le pilote McLaren a expliqué qu’il avait bien vu le drapeau rouge mais qu’il n’avait pas réussi à prendre la décision de rentrer au stand à temps avant l’entrée de la voie des stands.
Pour cette infraction dont il a été jugé coupable, la direction de course a décidé de pénaliser le Britannique de trois positions sur la grille de départ et de trois points de pénalité sur sa super licence (huit sur les douze derniers mois), ce qui le place dans une position inconfortable car s’il écope de quatre points de pénalité dans le délai imparti, il sera automatiquement banni d’une course.
Bien qu’il accepte sa pénalité de trois places sur la grille (il partira neuvième ce dimanche), Norris a un peu de mal à digérer les trois points de pénalité, notamment parce qu’il estime qu’il n’a mis personne en danger.
« Dans certaines situations, comme je l’ai dit, ils [les commissaires] devraient juste penser à ce que c’est que d’être dans le baquet à la place du pilote et à quoi ils doivent penser à la vitesse à laquelle ils roulent et le temps dont ils disposent pour réagir aux choses. » a expliqué Norris.
« Évidemment, je pense qu’une réprimande ou quelque chose est la bonne chose à faire pour avoir un peu plus de compréhension dans certains domaines et être capables de prendre la décision et de repenser ce qui est vraiment juste pour le pilote ou l’équipe et voir ce qui a mal tourné. »
« Je n’ai mis personne en danger. Je pense que j’ai pris la décision la plus sûre en restant en piste et en ne rentrant pas aux stands. Je ne mérite donc pas trois points sur ma licence pour cela, je n’ai pas fait quoi que ce soit de dangereux. »
« Je connais les règles, donc ce n’est pas comme si j’avais un manque de compréhension, mais pour certaines situations, ils [les commissaires] devraient juste repenser à ce qui se passe. »
Ce vendredi 4 juin, le Circuit de Spa-Francorchamps a subi un orage d’une extrême violence aux environs de 15 heures, imposant à la direction de course l’arrêt des séances d’essais et qualificatives de la Spa Euro Race afin d’assurer la sécurité des participants.
Ce violent orage terminé, les qualifications ont repris avant qu’aux environs de 16h une véritable vague, telle un tsunami, ne s’abatte sur la piste au niveau des tribunes faisant face aux boxes endurance, dont l’origine est à trouver dans un débordement du Rohon, un affluent de l’Eau rouge. Le Circuit de Spa-Francorchamps étant géographiquement situé dans une cuvette, il a donc subi l’accumulation des écoulements d’eau environnants.
Décision a dès lors dû être prise en accord avec l’organisateur du Spa Euro Race, de mettre fin à son week-end de compétition.
La piste, qui s’est soulevée suite à la force des éléments, au niveau des gradins endurance après le virage de la Source, est actuellement en cours de réfection. Des dégâts sont également à relever au niveau des abords de piste, nécessitant un nettoyage en profondeur. En effet, le torrent qui s’est abattu sur le Circuit a charrié avec lui des mètres cubes de déchets divers.
L’enrochement à certains endroits du Circuit a également été affecté, au vu des torrents qui se sont abattus, notamment autour du pertuis de l’Eau Rouge, du côté de la sortie de la pitlane 24h, dont le talus sera renforcé.
Enfin, de nombreuses infrastructures du Circuit ont été inondées, notamment des loges et caves ainsi que les tunnels de Ster, de l’Eau Rouge et de Blanchimont.
Les équipes du Circuit et leurs sous-traitants sont donc à pied d’œuvre pour assurer la reprise des activités en piste dès ce mardi 8 juin.
Le pilote Alpine Fernando Alonso a relancé le débat sur la règle du drapeau rouge en F1 qui permet à un pilote de changer de nombreuses pièces sur sa monoplace entre la qualification et la course s’il se crashe et déclenche un drapeau rouge.
Ce samedi à Bakou, plusieurs pilotes sont allés taper le mur durant la séance de qualifications du Grand Prix d’Azerbaïdjan, ce qui a forcé la direction de course à agiter plusieurs drapeaux rouges, empêchant certains pilotes – dont Esteban Ocon et Sebastian Vettel – d’améliorer leur temps au tour et les privant d’une potentielle Q3.
Alonso pour sa part a réussi à passer en Q3 et s’est qualifiè en neuvième position, mais l’Espagnol prendra le départ de la course ce dimanche depuis la huitième place après que Lando Norris ait reçu une pénalité de trois positions sur la grille pour un non respect de drapeau rouge.
Le pilote Alpine estime que les règles telles quelles sont actuellement écrites ont donné ce samedi un certain avantage aux pilotes ayant déclenché les drapeaux rouges, puisqu’ils peuvent remplacer les pièces sur leur monoplace tout en conservant leur position sur la grille.
« C’était très désordonné et il était difficile de rentrer dans le rythme, mais c’était la même chose pour tout le monde. » a déclaré le pilote Alpine ce samedi soir au micro de Sky Sports.
« Je pense que nous n’avons pas pu utiliser tout le potentiel de la voiture, parce que à chaque fois nous avons chaussé un train de pneus neufs, nous n’avons pas pu les utiliser [à cause des drapeaux rouges]. »
« Je pense que c’est injuste que les gens puissent se crasher, réparer leur voiture et conserver leur position au départ. »
« Toutes les autres voitures sont sous régime du parc fermé et nous ne pouvons pas toucher la voiture. Alors pourquoi eux peuvent-il changer les pièces alors qu’ils ont déclenché un drapeau rouge ? Peut-être qu’un jour nous serons nous aussi dans cette position et nous profiterons de cette règle. »
« Mais je pense que les gars doivent se calmer un petit peu et piloter peut-être à 98% sur les circuits urbain parce que si vous vous crashez, vous encourez le risque de partir dernier. »
« Je pense qu’aujourd’hui [samedi], beaucoup de gens ont piloté au dessus des possibilités de leur voiture ou de leur capacité. »
Sixième manche du championnat du monde de Formule 1, le Grand Prix d’Azerbaïdjan se dispute ce dimanche 6 juin à Bakou.
C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche au Grand Prix d’Azerbaïdjan, le Monégasque a signé le meilleur temps ce samedi pendant les qualifications en 1,41.218.
Le Monégasque prendra le départ de la course devant la Mercedes de Lewis Hamilton et la Red Bull de Max Verstappen.
Derrière, Pierre Gasly, Carlos Sainz, Lando Norris, Sergio Perez, Yuki Tsunoda, Fernando Alonso et Valtteri Bottas complètent le top dix.
Ce dimanche, le départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan sera donné à 14h00 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.Pour accéder au live, cliquez ici.
Cinquième sur la grille de départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan, le pilote Ferrari Carlos Sainz regrette d’avoir été une nouvelle fois « bloqué » lors de sa dernière tentative en qualifications, alors que sa monoplace avait clairement le rythme pour décrocher la pole position.
Comme à Monaco il y a quinze jours, Sainz n’a pas pu améliorer son temps à la fin de la Q3 en raison du crash devant lui de l’AlphaTauri de Yuki Tsunoda. Malheureusement, l’Espagnol a lui aussi perdu le contrôle de sa monoplace en essayant d’éviter le contact avec le pilote japonais.
« J’ai débuté mon tour un peu trop proche de Yuki [Tsunoda]. J’étais très rapide dans les deux premiers virages, et puis Yuki a bloqué ses roues et s’est crashé. » a déclaré Sainz après les qualifications.
« J’ai eu des doutes quant à savoir s’il fallait que je prenne le virage ou freiner fort et éviter le crash. Au final, en réfléchissant à l’un ou à l’autre, j’ai fini par me crasher. »
« Mais c’est un peu dommage, car cela n’aurait pas dû arriver et c’est encore une autre qualification, une autre occasion manquée. » l’Espagnol faisant allusion à un incident similaire à Monaco où son coéquipier Charles Leclerc s’est crashé en qualifications.
« Je suis déçu aujourd’hui. Encore une fois, ça fait mal, parce que cela fait deux week-ends consécutifs que nous pouvons nous battre pour la pole position et qu’il se passe quelque chose devant moi. »
« C’est vraiment décevant, je ne vais pas mentir. Après en même temps, je suis heureux pour l’équipe. Je suis heureux de montrer que nous nous améliorons, et j’essaierai de remonter demain en course. »
Alpine F1 Team s’élancera demain avec Fernando Alonso et Esteban Ocon respectivement aux huitième et douzième positions sur la grille de départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan après des qualifications décousues et rythmées par de nombreux drapeaux rouges sur le circuit urbain de Bakou.
Du côté d’Esteban Ocon, le Français a été piégé en Q2 lorsqu’un troisième drapeau rouge a été agité en piste, mettant un terme à la séance alors que le Normand se trouvait en douzième position, ce qui l’a empêchè de signer un temps rapide pour passer en Q3.
« Ce n’était clairement pas notre séance. La Q1 s’est bien passée, mais il y a eu beaucoup d’incidents en Q2. » nous explique le pilote Alpine ce samedi soir à Bakou.
« J’ai été gêné dans le troisième virage sur ma première tentative et j’ai touché le mur à cause de cela, puis le drapeau rouge est sorti dans mon deuxième effort et je n’ai pas véritablement pu avoir ma chance. »
« C’est un peu frustrant, car la voiture semblait en mesure d’être aisément dans le top dix. Cela sera donc notre but demain. Beaucoup de choses sont possibles avec notre rythme, donc j’ai vraiment hâte de disputer cette course toujours folle. »
Du côté du double champion du monde Fernando Alonso, l’Espagnol a réussi à passer en Q3 – la première depuis le Grand Prix de Bahreïn – terminant les qualifications à la neuvième place, mais une pénalité infligée au pilote McLaren Lando Norris après les qualifications a permis à Alonso de remonter d’une place sur la grille.
« C’était une séance un peu compliquée et il était difficile d’entrer dans un rythme quelconque durant ces qualifications. » nous explique l’Espagnol.
« Malheureusement, nous n’avons pas pu exploiter tout le potentiel de la voiture comme il y avait un drapeau rouge à chaque fois que nous chaussions des pneus neufs. »
« C’était toutefois la même chose pour tout le monde, donc nous devons retirer des points positifs d’aujourd’hui. C’est ma première Q3 ici, donc c’est une bonne chose et voyons voir ce qui est possible demain. »
Davide Brivio, directeur de la compétition chez Alpine, espère que le tracé urbain de Bakou qui a la réputation de proposer des courses imprévisibles tiendra ses promesses ce dimanche.
« C’était une séance très piégeuse avec autant de drapeaux rouges, il était difficile de se mettre dans le rythme et je pense que nous n’avons pas montré tout notre potentiel. » a déclaré l’Italien.
« Fernando était à l’aise et nous pouvons être heureux de sa Q3 même si nous aurions pu mieux faire dans les derniers tours pour sortir le temps final dont nous nous sentions capables. »
« Esteban a progressé ce matin, mais nous avons manqué de réussite avec la loterie des drapeaux rouges et nous en avons payé le prix. Ce circuit est assez imprévisible, donc nous ferons de notre mieux demain. Nous savons que le rythme est là et nous devons rester concentrés sur notre course. »
Ce samedi à Bakou, l’équipe Williams a dû procéder au changement de l’unité de puissance montée sur la monoplace de George Russell juste avant les qualifications.
Ce samedi matin en EL3, le Britannique a stoppé sa machine en bord de piste après que le moteur Mercedes se soit mis en sécurité à la suite d’une fuite d’eau sur la pompe à eau.
Remplacer une pompe à eau défectueuse aurait été trop chronophage pour les mécaniciens, qui ont donc décidé de remplacer entièrement l’unité de puissance sur la monoplace de Russell par un moteur déjà utilisé à Monaco.
Le moteur qu’utilisait George Russell en début de week-end est un moteur neuf monté sur sa voiture pour Bakou, mais après des vérifications poussées, l’équipe nous a confirmé que l’unité de puissance n’avait subi aucun dégât et qu’elle serait de nouveau utilisée pour la prochaine manche de la saison en France.
« George a eu un bon premier run mais n’a pas pu montrer son véritable rythme en EL3 en raison d’un rare problème avec la pompe à eau du groupe motopropulseur. » nous explique Dave Robson, directeur de la performance chez Williams.
« Malheureusement, nous n’avons pas eu suffisamment de temps avant les qualifications pour changer la pompe de son groupe motopropulseur et nous avons donc remonté l’unité de puissance qu’il utilisait à Monaco. »
« Aucun dommage n’a été causé au nouveau groupe motopropulseur et bien que cela doit encore être vérifié de manière approfondie, nous nous attendons à ce qu’il reprenne du service en France. »
Au final, Russell a réussi à participer à la séance de qualifications du Grand Prix d’Azerbaïdjan grâce au travail acharné des mécaniciens qui ont remplacé son moteur en moins de deux heures.
« Les mécaniciens ont fait un travail fantastique.Je pense que cela doit être un temps record pour un changement complet d’unité de puissance et pour que tout soit réglé !Un grand merci à eux. » a déclaré Russell ce samedi soir.
Russell prendra le départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan depuis la quinzième place sur la grille de départ.
L’Allemand Sebastian Vettel s’en veut d’avoir commis une petite erreur lorsqu’il a bloqué une roue au freinage du virage 15, ce qui lui a probablement couté un passage en Q3 ce samedi à Bakou.
Le pilote Aston Martin a bloqué une roue au freinage lors de son premier tour rapide et estime avoir perdu environ quatre dixièmes. Ensuite, lorsqu’il a voulu refaire un deuxième tour rapide, le pilote allemand a été stoppé net par un drapeau rouge, ce qui l’empêchera d’accéder à la Q3. Il prendra donc le départ ce dimanche depuis la onzième place et aura le libre choix des pneus au départ de la course.
« Nous avions un bon rythme aujourd’hui. J’étais patient et j’attendais de signer le bon chrono au bon moment. Malheureusement, j’ai pris un peu trop de risques sur mon meilleur tour en Q2 et j’ai bloqué une roue au virage 15. » nous explique le quadruple champion du monde.
« J’ai eu la chance de pouvoir continuer, avec un gros plat, et cela m’a probablement coûté environ quatre dixièmes. C’est ce qui m’a coûté une place en Q3. C’est un virage délicat, en descente et bosselé, et il canalise le vent. »
« Je suis déçu car nous avions facilement le rythme pour passer en Q3. Puis, avec le drapeau rouge précoce, il n’y avait aucune possibilité de refaire un tour. Quoi qu’il en soit, nous commençons juste en dehors des points, mais je pense que nous pouvons nous améliorer pendant la course avec un bon rythme de course. »
Notez qu’au même virage le coéquipier de Sebastian Vettel a eu beaucoup moins de chance puisque Lance Stroll a terminé dans le mur après avoir lui aussi bloqué une roue au freinage.
Dixième sur la grille de départ du Grand Prix d’Azerbaïdjan, Valtteri Bottas a été incapable d’expliquer son manque de rythme depuis le début du week-end et suspecte un problème sur sa monoplace.
Au terme de la séance de qualifications, le pilote Mercedes accuse un retard de plus d’une seconde par rapport à la pole position signée par le pilote Ferrari Charles Leclerc, alors que son coéquipier Lewis Hamilton n’a « que » deux dixièmes de retard.
Cependant, même si le Finlandais estime que sa monoplace a un problème, il est bon de rappeler qu’il n’a pas pu améliorer son temps dans sa dernière tentative à cause d’un ultime drapeau rouge déclenché par la sortie de piste de Yuki Tsunoda.
« C’était assez compliqué comme prévu avec tous les drapeaux rouges et jaunes. » a expliqué Bottas après les qualifications.
« De mon côté, je n’ai pas pu faire de dernier run, comme beaucoup d’autres, mais il y a quelque chose qui ne va pas. Je suis tellement loin du rythme et je ne sais pas pourquoi. Je n’ai aucune explication. »
« En fait, je perds dans tous les virages. Si je pousse plus fort, je suis dans le mur. C’est donc la limite, c’est vraiment étrange. »
« En venant ici, je pensais que l’on se battrait au front, Lewis est à l’avant dans le combat, et je devrais l’être aussi. Je n’ai aucune explication, je pense que quelque chose ne va pas [avec la voiture]. »
« Je vais essayer de comprendre tout ce que je peux pour demain. on sait que pendant cette course tout peut arriver, il y aura sûrement des opportunités. »
Treizième sur la grille de départ du GP d’Azerbaïdjan, l’Australien Daniel Ricciardo a terminé sa séance de qualifications dans le mur ce samedi.
Encore un autre week-end difficile pour le pilote australien qui a été éliminé en Q2 ce samedi à Bakou après avoir commis une toute petite erreur aux grandes conséquences.
« Je pense qu’au freinage il y avait de la marge et j’ai essayé de la prendre. » nous explique Daniel Ricciardo.
« Mais dès que j’ai commencé à tourner, j’ai bloqué une roue et une fois que vous bloquez les roues ici vous n’avez plus de place pour vous en sortir. »
« Évidement, c’est frustrant. J’ai juste essayé de trouver les limites. Nous avons encore du travail pour demain et j’espère que la voiture n’est pas trop endommagée et que les gars n’auront pas trop de travail ce soir. »
Lorsqu’on lui demande s’il pense qu’il aurait pu se hisser jusqu’en Q3 ce samedi, l’Australien a répondu : « C’était très serré. J’ai eu un peu plus de mal dans mon premier tour chronométré, mais avec tous les drapeaux jaunes et rouges, nous étions bien obligés de tout mettre en place tout de suite. »
« Je pense – même si c’était très serré – que j’aurais pu le faire. Mais cela n’a plus d’importance maintenant, nous devons regarder à demain en espérant faire une bonne course. Ici, si vous avez une monoplace rapide, vous pouvez dépasser, vous pouvez faire certaines choses, donc je me tiens prêt pour me battre demain. »