EL1 — Lando Norris impressionne en Chine, Ferrari se rassure

Lando Norris a fait savoir qu’il serait encore une fois l’homme à battre lors des qualif sprint du Grand Prix de Chine après avoir brillé lors de la seule séance d’essais sur le circuit international de Shanghai.

Tandis que l’horloge approchait de l’heure limite, par un temps exceptionnellement chaud et ensoleillé pour cette période de l’année, Lando Norris a laissé s’exprimer sa McLaren avec laquelle il a remporté le Grand Prix d’Australie, il y a cinq jours, pour réaliser un temps époustouflant de 1:31.504s. Il devançait alors de six dixièmes de seconde Charles Leclerc (Ferrari), le Monégasque ne parvenant finalement à gagner qu’un peu plus d’un dixième sur son meilleur temps pour terminer à 0,454 seconde du Britannique.

Seuls trois autres pilotes ont terminé à moins d’une seconde de Norris : son coéquipier Oscar Piastri, Lewis Hamilton dans sa Ferrari et George Russell pour Mercedes. Quant à Max Verstappen (Red Bull), le quadruple champion de F1 a abandonné son unique tentative avec des pneus tendres dans les dernières minutes de la séance, le plaçant à une modeste 16e place sur la feuille de temps.

Sur une piste récemment resurfacée, Alex Albon (Williams) et Liam Lawson (Red Bull) ont tous deux fait des sorties de piste au cours des cinq premières minutes. Après un temps de référence de 1:35.184s fixé par George Russell, les temps ont chuté à tel point que le temps de la pole position de Verstappen de l’année dernière, 1:33.360s, a rapidement été battu. Après 20 minutes, alors que Leclerc était le premier pilote à passer sous la barre de la minute 33 avec un temps de 1:32.877, Russell s’est hissé en tête avec une demi-seconde d’avance sur le Monégasque, Hamilton étant à trois dixièmes de seconde. Puis, les temps sont restés inchangés jusqu’à ce que Piastri se classe finalement troisième à 25 minutes de la fin.

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Quelques minutes plus tard, Leclerc a été le premier pilote à commettre une erreur majeure. Dans le virage 2, Leclerc a perdu l’arrière de la voiture, ce qui l’a envoyé dans le bac à gravier. Avec un peu moins de 14 minutes restantes, et au pire moment possible, Jack Doohan (Alpine) a provoqué le déploiement des drapeaux rouges. L’Australien, qui s’était sorti de la piste, a signalé par radio qu’il avait perdu la direction assistée et toute la puissance, suggérant une panne hydraulique.

Ce sont les Ferrari qui ont montré dans un premier temps ce qu’il était possible de faire en pneus tendres, avec Leclerc qui a réalisé un chrono de 1:32.103s et Hamilton à seulement 0.092s. Le duo a rapidement été dépassé par Norris. Lors de son premier tour rapide, Verstappen a choisi d’abandonner sa tentative. Son meilleur temps est donc de 1:33.284s sur le pneu moyen.

Norris et Leclerc ont pu faire un deuxième tour, ce qui a permis au Britannique de se placer confortablement en tête de la feuille des temps. En dehors du top 5, le classement était assez inhabituel, avec Nico Hülkenberg (Sauber), suivi d’Albon (Williams), de Fernando Alonso (Aston Martin), de Kimi Antonelli dans sa Mercedes et de Yuki Tsunoda.

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F1 — Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix de Chine 2025

Lando Norris a terminé la seule séance d’essais libres du Grand Prix de Chine en tête de la feuille des temps. Le Britannique a attendu la fin de la séance pour prendre la première place.

Norris a devancé de quatre dixièmes de seconde Charles Leclerc, tandis que son coéquipier Oscar Piastri a signé le troisième meilleur temps. Un drapeau rouge a été déployé pendant la séance d’une heure après que Jack Doohan se soit arrêté sur la piste, rapportant une perte de la direction assistée.

Pendant que les fans de Formule 1 vibraient au rythme de la compétition, d’autres passionnés de sensations fortes se tournaient vers le casino en ligne argent réel, une alternative palpitante pour tenter leur chance et ressentir l’adrénaline du jeu.

Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix de Chine 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:31.504 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:31.958 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:32.153 S
4
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:32.195 S
5
 
George RUSSELL
Mercedes 1:32.377 M
6
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:32.507 S
7
 
Alexander ALBON
Williams 1:32.687 M
8
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:32.766 S
9
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:32.874 S
10
 
Yuki TSUNODA
Racing Bulls 1:32.934 S
11
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:32.967 S
12
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:32.984 S
13
 
Esteban OCON
Haas 1:33.056 S
14
 
Pierre GASLY
Alpine 1:33.123 S
15
 
Carlos SAINZ
Williams 1:33.145 M
16
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:33.284 M
17
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:33.385 S
18
 
Liam LAWSON
Red Bull 1:33.631 S
19
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:33.822 S
20
 
Jack DOOHAN
Alpine 1:33.923 M

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix de Chine 2025 ?

Après une première manche à rebondissement et à éclaboussure en Australie, McLaren et ses pilotes semblent être plus performants que le reste de la grille F1. Lors de la séance qualificative à Melbourne, Lando Norris et Oscar Piastri ont été les deux pilotes les plus rapides et se sont tous les deux élancés depuis la première ligne de la grille de départ.

Sans une douloureuse sortie de piste devant son public, Oscar Piastri aurait probablement permis à McLaren de réaliser un doublé à l’arrivée du Grand Prix d’Australie. Au lieu de ça, Max Verstappen quadruple Champion du monde est parvenu à arracher une belle seconde place, devant la Mercedes de George Russell. Attendus comme de potentiels challengers en 2025, les pilotes de la Scuderia Ferrari, Charles Leclerc et Lewis Hamilton, ont déçu les Tifosi. Pas assez performants en qualifications et piégés par la pluie lors de la course, ils ont finalement échoué en huitième et dixième position.

La saison dernière, le Grand Prix de Chine avait été remporté par Max Verstappen, devant Lando Norris et Sergio Pérez.

George Russell affirme que l’avantage de McLaren en 2025 sera « plus important que celui de Red Bull » en 2023

George Russell pense que McLaren devrait gagner toutes les courses de la saison de F1 2025 et affirme que leur avantage est plus grand que celui qu’a connu Red Bull lors de la saison 2023 presque parfaite de Max Verstappen.

Bien que Lando Norris et Max Verstappen aient terminé la course avec moins d’une seconde d’écart entre eux deux, l’avantage de McLaren en termes de performance était plus que significatif sur le reste de la course.

Au 34e tour de la course, Verstappen avait plus de 15 secondes de retard sur Oscar Piastri, ce qui met en évidence la domination de McLaren en ce début de saison. De son côté, George Russell pense que McLaren est désormais en position de force pour remporter toutes les courses, affirmant qu’ils ont été plus dominants que Red Bull ces dernières années.

« Leur voiture devrait gagner toutes les courses, même si je ne pense pas qu’ils rafleront tout en 2025. Nous verrons bien », a déclaré Russell. « L’écart qu’ils ont cette année sur tout le monde est plus grand que celui que Red Bull n’a jamais eu. Espérons que nous pourrons être là pour capitaliser comme nous l’avons été ce week-end, car cela aurait dû être un doublé pour ces gars-là. »

Il a ajouté : « Trois ou quatre dixièmes [était l’avantage de Verstappen en 2023], l’avantage que nous constatons actuellement chez McLaren est nettement plus important que cela. »

George Russell a terminé le Grand Prix d’Australie en troisième position, profitant de la sortie de piste d’Oscar Piastri pour monter sur la dernière marche du podium. Il a devancé son tout nouveau coéquipier chez Mercedes, Kimi Antonelli.

Oscar Piastri a pu sortir sa monoplace de l’herbe grâce à Jeremy Clarkson

Oscar Piastri a révélé que son expérience dans « Jeremy Clarkson’s Farm » l’avait aidé à s’en sortir après sa mésaventure au Grand Prix d’Australie.

Alors qu’il était deuxième, juste derrière son coéquipier Lando Norris, au 44e tour de son Grand Prix national, le duo de pilotes McLaren a été surpris par une averse, et tous deux ont perdu le contrôle de leur monoplace dans le virage 11.

Malheureusement pour Piastri, les conséquences de cette sortie de piste ont été bien plus couteuses en points pour le pilote australien. La tour de chronométrage de la FOM l’a répertorié comme ayant abandonné, mais le natif de Melbourne a réussi à libérer sa MCL39 de l’herbe mouillée, terminant finalement neuvième, après avoir dépassé Lewis Hamilton dans le dernier tour.

Après la course, Piastri a expliqué comment l’expérience acquise dans la ferme de, Jeremy Clarkson, l’ancien animateur de Top Gear et The Grand Tour lui avait été utile.

« J’essayais juste de rester en course, d’avancer, mais je n’y arrivais pas », a déclaré Piastri aux médias. « Heureusement, j’ai passé du temps pendant l’intersaison à essayer d’apprendre à faire marche arrière avec un tracteur dans la ferme de Jeremy Clarkson. Cela m’a été utile, mais s’ils pouvaient tondre l’herbe quelques centimètres plus court, cela pourrait m’aider. »

« Évidemment, c’est dommage que ça se soit passé comme ça, on aurait mérité, ou le public aurait mérité un podium, donc ça fait mal, mais pour moi, il y a encore beaucoup de points positifs à retenir. »

Le pilote australien va devoir rapidement rebondir ce weekend à Shanghai, à l’occasion du Grand Prix de Chine. La saison est longue, il reste encore 23 courses, mais après le premier Grand Prix de la saison, Oscar Piastri accuse déjà un retard de 23 points sur son voisin de garage chez McLaren. 

Isack Hadjar répond aux critiques d’Helmut Marko

Isack Hadjar a tenu à clarifier la situation avec Helmut Marko après que le conseiller de Red Bull l’a qualifié d’« embarrassant » après que le Français a versé des quelques larmes, suite à son accident dans le tour de formation du Grand Prix d’Australie à Melbourne.

Le jeune pilote français a été filmé en larmes après avoir détruit sa Racing Bulls lors du tour de formation du Grand Prix d’Australie, victime d’un tête-à-queue sur piste mouillée.

Son émotion a suscité un large élan de soutien, aussi bien au sein du paddock qu’en dehors. Anthony Hamilton, père du septuple champion du monde Lewis Hamilton, a notamment réconforté Hadjar en lui adressant des mots d’encouragement alors qu’il regagnait le paddock.

Toutefois, s’adressant à la chaîne de télévision autrichienne ORF après la course, Helmut Marko a déclaré qu’« Isack Hadjar a un peu pleuré après son accident. C’était un peu gênant. »

En réponse, et à l’approche de la deuxième course de la saison ce week-end en Chine, Hadjar a été invité à donner son avis sur les remarques de Marko.

Après un petit rire, et s’adressant aux médias, Hadjar a déclaré : « J’ai trouvé ça embarrassant moi aussi. Tu sais, Helmut, je l’ai eu au téléphone le lendemain, et tout va bien. Je le connais depuis quelques années maintenant. Je suis habitué à sa façon de travailler. Autre point, je pense qu’il parlait allemand, et que ses mots ont été mal réinterprétés. »

« À part ça [recevoir] tout l’amour des fans et des gens, je ne m’attendais pas du tout à ça après mon accident. C’était donc agréable. »

Alonso revient sur la présence d’une dépanneuse sur la piste lors du GP d’Australie : « Tout était sous contrôle »

Fernando Alonso, pilote pour Aston Martin, a déclaré être du même avis que Lando Norris et que Max Verstappen au sujet de la présence en piste d’un véhicule de dépannage pendant le Grand Prix d’Australie.

La course inaugurale de la saison, marquée par de nombreux incidents, a vu six abandons, dont ceux d’Isack Hadjar avant même le départ et de Jack Doohan dès le premier tour. Carlos Sainz, Fernando Alonso, Gabriel Bortoleto et Liam Lawson font partie de ces pilotes à avoir percuté un mur de l’Albert Park. En raison de la configuration du circuit, les véhicules de dépannage doivent intervenir sur la piste pour évacuer les monoplaces accidentées. Cette situation a suscité de vives réactions, notamment de la part des téléspectateurs, ravivant les craintes liées à la sécurité des pilotes après l’accident mortel de Jules Bianchi au Japon en 2014. Cependant, à l’issue de la course, Norris et Verstappen ont balayé ces préoccupations, une position désormais partagée par Alonso.

Tout comme dans le choix d’un casino en ligne fiable, où la sécurité et la transparence sont des priorités absolues, la gestion des dépanneuses sur les circuits de F1 doit être minutieusement organisée pour garantir la sécurité des pilotes.

Verstappen avait déclaré : « Je veux dire, si vous vous crashez comme ça, derrière la voiture de sécurité, alors vous êtes vraiment stupide. » Et Norris a ajouté : « Vous ne devriez pas être en Formule 1. »

Si Alonso a été moins abrupt dans sa réponse, il a estimé qu’il n’y avait « rien de fou » et que tout était « sous contrôle ».

« Je ne connais pas les détails exacts, c’est donc difficile de commenter », a-t-il déclaré. « Je pense que Melbourne n’est pas un circuit facile pour récupérer les monoplaces. À un moment donné, les dépanneuses doivent entrer en piste. »

« Je pense que nous avons maintenant un système différent de ce que nous avions dans le passé, dans les zones de drapeau jaune, même derrière la voiture de sécurité, vous devez respecter un temps au tour encore plus lent. À un moment donné, vous devez sortir cette voiture de la piste, donc si vous respectez ce temps, vous ne devriez pas être trop rapide dans cette zone. Je connais le sens de la question, mais je ne pense pas que ce soit fou. C’était sous contrôle. »

Eddie Jordan est décédé à l’âge de 76 ans

Eddie Jordan est décédé à l’âge de 76 ans des suites d’un cancer de la prostate et de la vessie. L’ancien patron d’écurie avait révélé à la fin de l’année dernière qu’il luttait contre la maladie depuis déjà un certain temps, mais qu’il avait choisi de garder le diagnostic secret pendant qu’il se faisait soigner.

Dans un communiqué, sa famille a annoncé le décès d’Eddie Jordan : « C’est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès d’Eddie Jordan, OBE, ancien propriétaire d’une écurie de Formule 1, commentateur télévisé et entrepreneur », peut-on lire dans le communiqué. « Il s’est éteint paisiblement, entouré de sa famille, au Cap, aux premières heures du 20 mars 2025. »

Tout comme dans le monde des casinos en ligne fiables, où la passion et l’engagement sont souvent les clés de la réussite, Eddie Jordan a toujours su insuffler énergie et détermination dans ses projets, que ce soit en F1 ou en dehors des circuits.

Le communiqué ajoute : « Il a travaillé jusqu’à la fin, ayant communiqué le jour de la Saint-Patrick ses ambitions pour le London Irish Rugby Football Club, dont il était récemment devenu le mécène. Eddie et Jordan Grand Prix étaient connus pour leur image rock and roll, apportant un élément amusant et excitant à la F1, ainsi que pour leurs performances systématiquement supérieures à leur niveau. De nombreux pilotes de F1 doivent leur carrière à Eddie, et des champions du monde tels que Michael Schumacher et Damon Hill ont couru pour lui. »

« Eddie Jordan apportait charisme, énergie et charme irlandais partout où il allait. Sa présence nous manque énormément. Il manquera à beaucoup de gens, mais il nous laisse des tonnes de bons souvenirs qui nous permettront de garder le sourire malgré notre chagrin. »

Domenicali pense que Hamilton gagnera avec Ferrari

L’ancien patron de Ferrari, Stefano Domenicali, est convaincu que Lewis Hamilton remportera des courses avec l’écurie italienne.

Les médias grand public demeurent tous yeux rivés sur Lewis Hamilton. Si les débuts du septuple champion du monde avec l’écurie de Maranello n’ont pas été ce que l’on pourrait qualifier de prometteurs en piste, ils ne justifiaient guère la panique non plus.

Certes, Hamilton a été surclassé par son coéquipier en matière de qualifications et a eu des échanges houleux  avec son ingénieur tout au long de la course de dimanche à la radio ; certes il a été pris au dépourvu d’abord par son coéquipier, puis par Oscar Piastri – dans un mouvement audacieux – dans les derniers instants du GP d’Australie…

Cependant, Hamilton demeure une vraie force avec laquelle compter selon de nombreux acteurs majeurs du paddock, dont le PDG de Liberty Media et ancien directeur d’équipe de Ferrari, l’Italien Stefano Domenicali.

Bien qu’il ne mise pas sur Hamilton pour a victoire au championnat, Domenicali, pense que Hamilton connaitra la saveur de la plus haute marche du podiume en rouge.

« Pour Lewis, c’est une nouvelle aventure, c’est certain », déclare-t-il sur le site officiel de la F1, « une nouvelle aventure qui lui donnera beaucoup d’élan, beaucoup d’énergie. Je pense que l’adaptation qu’il doit faire, non seulement du côté de la conduite avec la voiture, mais aussi en termes d’intégration dans une communauté différente, sera facile », ajoute-t-il.

« Quand on a en soi la flamme nécessaire pour s’assurer que cette expérience sera positive, on s’y consacre nuit et jour, et c’est ce qu’il fait », insiste l’Italien. « Il m’a dit qu’il dormait à Maranello, qu’il avait compris ce que Ferrari représentait pour le peuple italien. »

Lorsqu’on lui demande s’il pense que Hamilton va gagner une course cette saison, le PDG de F1 répond : « Je pense que oui. Je pense que ce sera génial, je dois l’avouer, avec mon statut d’indépendant », ajoute-t-il. « Je pense que ce sera bon pour l’équipe, bon pour Charles de continuer à se dépasser et ce sera bon pour l’ensemble des équipes de F1. »

 

Shanghai, l’heure de chiner un résultat probant pour Hadjar

Il est temps de mettre l’énorme déception de Melbourne derrière soi et de se tourner vers l’occasion immédiate de se montrer sous un meilleur jour pour Isack Hadjar. L’un des cinq débutants de cette saison F1 2025 a attiré sur lui les caméras après son erreur sur piste humide, au début du Grand Prix d’Australie, en accidentant sa Racing Bulls et se montrant dévasté par son erreur, amenant là certaines figures du paddock à se montrer extrêmement compatissants et réconfortants…et d’autres moins !

Quoi qu’il en soit, l’équipe se rend à Shanghai pour la deuxième manche et le premier week-end de Sprint de l’année. Le tracé du circuit est un défi pour les pilotes comme pour les ingénieurs.

« Après un dimanche mouvementé et finalement décevant à Melbourne, le tracé du circuit [de Chine] est un défi pour les pilotes comme pour les ingénieurs », estime Alan Permane, directeur de course du team. « Avec une variété de virages allant des épingles à cheveux aux virages à très grande vitesse avec des changements de direction rapides et un virage sans fin sur la ligne droite opposée de 1,2 km, c’est un circuit où la dégradation des pneus a tendance à être élevée et où les dépassements sont possibles. »

La course principale était une stratégie de course à deux arrêts en 2024, mais la piste a été entièrement refaite depuis lors, ce qui pourrait bien affecter le choix des pneus de course. Pirelli apportera des composés un cran plus durs que ceux utilisés à Melbourne, et avec seulement une heure d’essais libres avant les qualifications sprint vendredi, il est important de démarrer sur les chapeaux de roue avec une configuration de voiture presque parfaite dès le premier tour.

Un format de week-end que Hadjar ne connait pas encore. Le jeune français n’aura pas beaucoup de temps pour trouver ses marques et fignoler ses réglages.

« Il me manque encore de l’expérience en course, donc c’est bien que ce soit un week-end Sprint, car j’aurai la course courte pour me faire la main avant la principale », estime-t-il cependant, voyant le Sprint comme un test grandeur nature.

« En partant pour la Chine, je me sens plus confiant qu’il y a une semaine, lorsque je partais pour l’Australie. À Melbourne, je me suis immédiatement senti à l’aise avec la voiture sur les courtes distances et en qualifications, ce qui était l’un des objectifs que nous nous étions fixés, sur la base de ce que nous avions vu lors des essais à Bahreïn. Bien sûr, je manque encore d’expérience en course, donc c’est bien que ce soit un week-end de sprint, car j’aurai la course courte pour me faire la main avant la principale. »

Quand Bernie Ecclestone parlait d’un championnat 100% féminin

Nous sommes en mars 2015, il y a 10 ans, et quelques jours après le lancement de la saison de Formule 1. Les Grands Prix d’Australie et de Malaisie viennent de se disputer, remportés respectivement par Lewis Hamilton (Mercedes) et Sebastian Vettel (Ferrari).

Bernie Ecclestone admettait alors penser qu’une série distincte pour les femmes pilotes serait bénéfique pour le sport.

Comme toujours, il était difficile, au vu des sorties précédentes de l’homme d’affaires alors âgé de 84 ans, de savoir si l’homme de 84 ans si celui-ci jouait avec les médias ou s’il est très sérieux. Beaucoup suggéraient alors, connaissant les convictions profondes du Britannique à ce sujet, qu’il suggérait-là une idée qu’il jugeait lui-même scandaleuse et n’ayant aucune chance d’être matérielle tout en se préparant à faire passer une autre idée tout aussi « ridicule » qui, elle…passerait !

Rappelons qu’Ecclestone parlait également à l’époque de doubler les points des trois dernières courses de la saison, envisageait des courses sur piste humide ainsi que l’attribution de points pour les qualifications.

« J’ai pensé que ce serait une bonne idée de leur donner une vitrine », avait-t-il déclaré dans les colonnes du Daily Telegraph. « Pour une raison quelconque, les femmes ne se manifestent pas, et ce n’est pas parce que nous ne les voulons pas. Bien sûr que si, car elles attireraient beaucoup d’attention et de publicité et probablement beaucoup de sponsors. »

Les rares femmes pilotes se disaient majoritairement désireuses de réussir en F1 et de rivaliser avec les hommes sur un pied d’égalité, et trouvaient donc l’idée d’une série distincte dégradante et condescendante.

C’était clairement l’avis de Susie Wolff, qui tentait de se frayer un chemin vers un baquet de titulaire en F1, bien aidée en cela par son époux Toto, alors actionnaire influent chez Williams, où elle occupait le poste de pilote d’essais. « Ce n’est certainement pas la bonne voie à suivre », estimait-elle en réponse. « Tout d’abord, je ne sais pas où vous trouveriez un plateau complet de pilotes féminines suffisamment bonnes », admettait-elle. « Deuxièmement, j’ai fait toute ma carrière de pilote automobile en tant que concurrent normal. Pourquoi chercherais-je une course où je ne serais en compétition qu’avec des femmes ? Je peux dire en toute sincérité que cela ne m’intéresserait pas du tout de gagner une telle course. Je préférerais ne pas participer à la course, car qu’est-ce que je gagnerais ? Une course où ils ont juste cherché n’importe quelle fille pour constituer une grille… »

Aujourd’hui, Susie Wolff dirige le projet F1 Academy, un championnat de niveau F4 soutenu par la F1 et composée d’une grille exclusivement féminine.

Magnussen encore chez Haas comme conseiller ?

Kevin Magnussen semble prêt à complètement se séparer de son ancienne équipe de Formule 1, Haas.

L’année dernière, lorsqu’il est devenu évident que la petite équipe américaine avait d’autres projets pour sn duo de pilotes en 2025, le patron Ayao Komatsu a insisté pour que Magnussen reste impliqué dans l’équipe Haas à un autre titre.

Selon certaines rumeurs, il aurait un rôle de conseiller ou d’ambassadeur, mais Komatsu a déclaré au magazine français Auto Hebdo en janvier dernier : « Il pilotera en TPC (tests) et sur simulateur. »

Cependant, le journal danois Ekstra Bladet affirme que l’accord de Magnussen avec Haas ne tient plus qu’à un fil. « Depuis l’été dernier, le directeur de l’équipe, Ayao Komatsu, a fait tout un plat de son souhait de voir le Danois de 32 ans associé à Haas à l’avenir. Mais maintenant, cela semble se terminer en eau de boudin », ajoute l’article.

Magnussen est passé de la Formule 1 aux courses d’endurance, et a maintenant un baquet de choix chez BMW. Il a admis il y a quelques semaines : « Je savais que je n’étais pas très enthousiaste à l’idée de continuer en Formule 1. Je ne cherchais pas vraiment activement un autre contrat en Formule 1. »

Lors de la dernière course de Magnussen ce week-end à Sebring, le pilote a déclaré au journaliste automobile Marshall Pruett qu’il n’avait aucun intérêt à revenir en F1. « Il y aura toujours des rumeurs et je pense que récemment, il y a eu des choses écrites à ce sujet, mais c’est normal dans ce monde », a-t-il déclaré. « Je suis très heureux ici. C’est l’âge d’or des courses de voitures de sport, donc je suis très heureux. »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 de Chine 2025

Le Championnat du monde de Formule 1 2025 revient dès ce week-end, du 21 au 23 mars, avec le Grand Prix de Chine sur le célèbre circuit de Shanghai. Cette seconde manche de la saison se déroulera sous un format sprint avec donc une séance d’Essais Libres 1, une qualification sprint, une course sprint, une séance qualificative et enfin le Grand Prix

Un week-end à toute vitesse

Avec un décalage entre la Chine et la France, les fans européens devront ajuster leur planning pour suivre les sessions en direct. Les essais libres (EL1) débuteront dans la nuit de jeudi à vendredi, à 04h30 (heure de Paris), suivis de la qualif sprint à 08h30. Pendant que vous attendez les résultats des courses, pourquoi ne pas explorer un casino en ligne argent réel pour une dose d’adrénaline supplémentaire ?

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Le samedi 22 mars, la course sprint est programmée à 04h00, tandis que les qualifications, qui détermineront la grille de départ du Grand Prix de dimanche, auront lieu à 08h00.

Le départ du Grand Prix de Chine 2025 sera donné le dimanche 23 mars à 08h00 (heure de Paris). 

Programme GP de Chine 2025 (heure de Paris)

Vendredi 21 mars :  EL1 à 04h30 (Canal + Sport) / Qualif Sprint à 08h30 (Canal + Sport)

Samedi 22 mars : Course Sprint à 04h00 (Canal + Sport) / Qualifications à 08h00 (Canal + Sport)

Dimanche 23 mars : le départ du GP de Chine à 08h00 (Canal +)

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Seule la FIA doit encore signer les nouveaux accords Concorde

La FIA n’a pas encore signé le nouvel accord Concorde de cinq ans.

Ce document essentiel qui lie les équipes au détenteur des droits commerciaux de la Formule 1 et à la FIA expire cette année. La F1 a annoncé le nouvel accord pour 2026 et au-delà le jour de l’ouverture de la saison du GP d’Australie.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les accords entre opérateurs et régulateurs doivent être clairs et pérennes pour assurer la stabilité à long terme, la Formule 1 doit garantir la solidité économique du sport via ce nouvel accord Concorde.

La F1 a indiqué que « toutes les équipes » avaient signé, la déclaration ajoutant que l’accord « garantit la solidité économique à long terme du sport ».

La F1, propriété de Liberty Media, a poursuivi : « L’accord de gouvernance Concorde 2026 sera finalisé en temps voulu ».

Selon Michael Schmidt, journaliste à Auto Motor und Sport, « la FIA, en tant que troisième partenaire, n’est pas encore à bord ».

Une tension évidente existe depuis des mois entre Liberty et les équipes d’une part, et la FIA dirigée par Mohammed Ben Sulayem d’autre part.

Cependant, Schmidt pense que Ben Sulayem devrait signer le nouveau Concorde « bientôt ». « Selon des sources de la FIA, le contrat est déjà entre les mains des avocats », a-t-il ajouté.

Il est suggéré que les dix équipes existantes n’ont pas toutes signé en même temps. L’une des pierres d’achoppement était la taxe dite « anti-dilution » que la nouvelle équipe Cadillac devait payer pour 2026. Selon certaines informations, le montant final s’élèverait à 450 millions de dollars. Cet argent serait réparti à parts égales entre les dix équipes existantes.

Mais des dispositions pour une éventuelle douzième équipe à l’avenir devaient également être inscrites dans le nouveau Concorde, Auto Motor und Sport expliquant : « L’objectif est d’éviter à tout prix une répétition du drame Andretti. »

Quant au retard dans l’obtention de la signature finale de la FIA, la publication explique que le blocage est dû aux « désaccords répétés sur l’élaboration des règles » récemment, tandis que le président Ben Sulayem a demandé « un financement nettement plus important pour l’avenir, en invoquant l’augmentation de la charge de travail et des besoins en personnel ».

« Selon les représentants de la FIA », conclut le correspondant allemand, « les négociations avec la Formule 1 sont en phase finale. Les questions de réglementation et de marketing ont apparemment été résolues. Il ne reste plus qu’à obtenir l’approbation juridique. »

Pas encore de décision sur un lancement groupé des équipes F1 en 2026

La Formule 1 n’a pas encore décidé si elle organiserait chaque année un événement de lancement groupé des nouvelles livrées des équipes.

Bien qu’il n’ait pas été très populaire auprès des pilotes, le dernier événement baptisé « F1-75 », qui s’est tenu à l’O2 Arena de Londres, a été un franc succès d’un point de vue médiatique et organisationnel et a touché une frange d’audience différente de celle vue dans le passé.

Tout comme dans un casino français en ligne, où l’organisation d’événements promotionnels attire une clientèle variée, la F1 cherche à capter de nouveaux publics en lançant des événements plus modernes et interactifs.

« On voit très bien que les jeunes femmes sont le groupe cible où le sport se développe le plus rapidement », a déclaré le patron de Mercedes, Toto Wolff.

Il a ajouté que cela était particulièrement visible dans la zone des autographes lorsque les pilotes sont entrés dans le paddock à Melbourne.

« Il y avait environ 2000 personnes et 80 % d’entre elles étaient des filles », a-t-il souri. « Cela montre également que l’impact des jeunes pilotes et des médias sociaux est vraiment en train de se faire sentir. »

Comme on pouvait s’y attendre, Red Bull, dont le patron Christian Horner et le pilote Max Verstappen ont été hués par le public de l’O2, n’est pas très enthousiaste à l’idée d’un lancement de style F1-75.

« Le 75e anniversaire de la Formule 1 le justifiait », a déclaré le conseiller de l’équipe, le Dr Helmut Marko, à Servus TV, « mais je ne peux pas imaginer le faire chaque année maintenant. C’était un public pro-(Lewis) Hamilton. On le sentait vraiment. »

En fait, la FIA a même publié une déclaration condamnant les sifflets. « Nous n’avons certainement rien demandé de tel », a insisté Horner. « Je n’ai eu aucune conversation avec la FIA après l’événement. »

Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise quant à la tenue ou non d’un événement similaire en 2026.

« Il est certain que de nombreux promoteurs du monde entier sont intéressés et aimeraient, disons, l’envisager comme un 25e Grand Prix pour lancer la saison », a admis l’Italien.

« Nous allons prendre la décision très, très bientôt. »

Cadillac admet que la F1 est un univers sous « intense pression »

Alors que l’entrée de Cadillac en 2026 est désormais gravée dans le marbre, avec la signature de Dan Towriss sur les nouveaux Accords Concorde, le chef du projet Cadillac s’est confié sur le processus « intense » traversé par la marque pour faire son entrée en F1 en 2026.

Face à la vive opposition initiale du propriétaire de la F1, Liberty Media, et des dix équipes existantes, le projet de l’équipe Andretti, préalablement approuvé par la FIA, s’est enlisé dans une lutte politique qui a atteint les plus hautes sphères du gouvernement américain.

Tout comme dans l’univers des jeux en ligne, où les nouveaux sites de casino en ligne doivent surmonter de nombreux obstacles pour obtenir leur licence et prouver leur légitimité, Cadillac a dû faire face à une résistance intense avant d’obtenir son entrée en Formule 1.

Rappelant le GP de Miami de 2024, la légende de la F1 Mario Andretti a révélé il y a quelques mois que l’ancien PDG de Liberty, Greg Maffei, s’était approché de lui et lui avait dit : « Mario, je veux te dire que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que Michael n’entre jamais en Formule 1. »

Finalement, le retrait de Michael Andretti de sa propre organisation – le projet de F1 ayant été rebaptisé Cadillac avec le soutien de GM – a permis à l’équipe de décrocher son ticket pour le départ.

Ainsi, interrogé sur l’évolution intense du projet Andretti-Cadillac F1, Towriss a déclaré au journal Indianapolis Star : « Il suffit de revenir à la citation de Greg. Il a dit ce qu’il a dit. »

Towriss est le PDG de TWG Motorsports, désormais propriétaire majoritaire d’Andretti Global, mais c’est TWG Motorsports qui supervise désormais le programme Cadillac F1.

Il se souvient que l’ancien pilote de F1 Michael Andretti a réalisé à un moment donné qu’il devait prendre du recul. « Il a commencé à exprimer le désir de se retirer et que ce n’était plus amusant à ce stade », a déclaré Towriss, 51 ans. « À ce moment-là, on se dit : ‘OK, trouvons comment faire ça’. Mais évidemment, nous avons beaucoup investi dans Andretti Global et (Indycar) dans son ensemble. Alors, comment faire en sorte que cette transition se fasse en douceur de ce point de vue ? »

Faisant référence à la bataille avec la F1 pour entrer au sommet du sport automobile, Towriss poursuit : « La pression était intense. Il y a eu des réunions très difficiles avec la F1 et d’autres événements se sont produits à l’extérieur, et quand vous réunissez ces autres championnats de sport automobile, c’est une grande opération, et je pense donc que cela nous a en quelque sorte amenés à ce point. C’est devenu très politique. Certains aspects de la candidature n’étaient pas bien compris, et c’était difficile. Ils (la F1) étaient très attachés à certaines questions. »

Il semblerait que, pour apaiser quelque peu les 10 équipes de F1 existantes, Cadillac ait dû accepter de payer une taxe anti-dilution de 450 millions de dollars, soit plus du double de la taxe payée par de nouvelles entrées similaires dans le passé.

Ocon impuissant : « La performance nous a manqué » en Australie

Le moins que l’on puisse dire est qu’Esteban Ocon avait sûrement rêvé d’une bien meilleure introduction à la saison 2025 de Formule 1 que ce premier rendez-vous de la saison, à Melbourne. Pour ses débuts avec Haas, le Français en partance d’Alpine a connu un week-end globalement difficile, qui ne peut annoncer que meilleur pour la suite.

Pour cette première course de l’année, Esteban Ocon a finalement rallié l’arrivée 13e, une position devant son rookie d’équipier Ollie Bearman, 14e.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où chaque mise peut changer le cours de la partie, Ocon et son équipe Haas ont tenté de tirer le meilleur parti des conditions changeantes, mais les choix stratégiques n’ont pas toujours payé.

Après une entame de week-end particulièrement alarmante sur piste sèche pour l’équipe américaine, Ocon s’est élancé de la 19e place en pneus intermédiaires après la pluie tombée pendant la préparation de la course, tandis que Bearman a pris le départ depuis la voie des stands – également en gommes intermédiaires – après que des modifications aient été apportées à la suspension de sa VF-25. Ocon s’est hissé à la 15e place au départ, Bearman à la 17e, avant que les deux pilotes ne chaussent un autre jeu de gommes intermédiaires au 4e tour, pendant une période de voiture de sécurité.

Ocon s’est ensuite installé dans un rythme jusqu’à une nouvelle période de voiture de sécurité, restant d’abord en pneus intermédiaires, avant de rentrer au stand au 40e tour pour chausser des pneus mediums alors que les conditions s’amélioraient. Une nouvelle averse s’est néanmoins abattue sur l’Albert Park et un nouveau train d’intermédiaires a été nécessaire au 46e tour sous la Voiture de Sécurité. Ocon est resté propre jusqu’au drapeau à damier mais n’a pu réaliser un coup comme l’ex-pensionnaire de l’équipe Haas, Nico Hülkenberg, qui a ravi sa nouvelle équipe Stake en lui offrant la septième place à l’arrivée.

« C’est vraiment la performance qui nous a manqué dans cette course et si nous avions eu un peu plus, nous aurions été dans le coup pour les points », estime Ocon. « Les voitures se battaient à l’avant et j’étais juste là, il n’y avait pas de position pour que je rentre dans le top 10, je n’ai pas pu suivre malheureusement. Nous devons bien étudier la situation – ce n’est pas ce que nous avons vu, c’est donc assez inattendu d’être là où nous sommes ce week-end – mais je suis sûr que nous allons nous en sortir. »

Conscient du fait que son team était en effet attendu bien plus haut après des essais hivernaux encourageants à Bahreïn, Ayao Komatsu, Team Principal, ne cède pas à la panique : « Avec les problèmes de voiture que nous avons eus cette semaine, nous savions que ce serait difficile, mais il était vraiment important de terminer avec les deux voitures. Nous devions recueillir autant de données que possible ainsi que les commentaires des pilotes, et avec de nouveaux membres de l’équipe dans l’ingénierie, c’était une course difficile à gérer. Je suis toutefois très heureux que les nouveaux membres de l’équipe d’ingénierie aient fait du très bon travail. Évidemment, sur le plan opérationnel, il y a encore des choses à améliorer, mais je suis heureux que nous travaillions bien ensemble. Les données et les commentaires que nous avons obtenus aujourd’hui nous aideront à prendre des décisions sur la façon d’améliorer la VF-25 dans un avenir proche, » veut-il commenter avec optimisme.

Williams crédite Sainz pour la cinquième place d’Albon à Melbourne

Après avoir accidenté son auto lors du Grand Prix d’Australie, Carlos Sainz a aidé son coéquipier Alex Albon à prendre la cinquième place, a tenu à rappeler son équipe Williams.

L’Espagnol a été l’un des trois pilotes à ne pas avoir bouclé un seul tour, mais plutôt que de se cacher à l’arrière de l’hospitalité ou de se rendre à l’aéroport, Sainz a choisi d’utiliser sa vaste expérience pour aider son coéquipier dans des conditions difficiles. C’est cette attitude qui reflète l’esprit d’équipe, tout comme dans le monde du meilleur casino en ligne de France où la stratégie et l’entraide peuvent faire la différence.

« Les arrêts aux stands étaient absolument parfaits… la stratégie… bravo à eux », a déclaré James Vowles, le patron de l’équipe, à la fin de la course. « Un point à noter sur la stratégie est que nous avions un stratège supplémentaire aujourd’hui : c’était Carlos », a-t-il ajouté.

« Sa perspicacité a été incroyablement utile lors de la transition vers les Inters », a révélé le Britannique. « On a vu un certain nombre d’équipes hésiter… Mais Carlos était catégorique : ‘Vous ne survivrez pas avec ça dans les derniers virages’. Et il avait raison. Il nous a aidés à atteindre cet objectif ».

Williams n’est ainsi pas tombé dans le même écueil stratégique de fin de course que son ancienne équipe de Sainz, Ferrari, ou Racing Bulls avec Yuki Tsunoda.

Avant l’arrêt, Albon occupait la septième place, mais une fois que ses rivaux se sont également arrêtés, il s’est remonté à la quatrième place, avant d’être dépassé par Kimi Antonelli à deux tours du drapeau à damier.

Albon a brièvement hérité de la quatrième place lorsqu’Antonelli a reçu une pénalité de 5 secondes pour une sortie de piste dangereuse. Cependant, à la suite d’un droit de regard, cette pénalité a été annulée et l’Italien a récupéré la quatrième place. Pas assez pour teinter la joie de James Vowles, qui pardonne aussi à Sainz sa sortie de piste.

« C’est un peu bizarre, donc nous devons l’examiner plus en détail. En fait, il s’agissait d’un changement de vitesse à mi-régime, mais il y avait plus de couple que ce à quoi il se serait attendu à ce moment-là », s’est-il contenté de déclarer, allant dans le sens de son pilote qui avait immédiatement communiqué par radio avoir reçu un comportement anormal dans le couple moteur à la réaccélération.

Comment la Formule 1 génère-t-elle ses revenus ?

Vous entendez régulièrement que la Formule 1 se porte mieux depuis la reprise par Liberty Media et qu’elle traverse même un âge d’or en termes de rentabilité. Les revenus des équipes sont fortement influencés par ceux du promoteur de la discipline : intéressons-nous donc à la manière dont la Formule 1 génère ses revenus en 2025. Contrairement à de nombreuses idées reçues, la vente de billets est loin, très loin d’être la principale source de revenus pour les promoteurs.

Les données financières communiquées par la F1 et SportsPro permettent de distinguer quatre grands secteurs de revenus pour la Formule 1.

  1. Les frais de promotion des courses

Cette catégorie représente 29% des recettes. Chaque Grand Prix, à l’exception de la course du Grand Prix de Las Vegas de Formule 1, qui appartient directement à la F1, est organisé par des promoteurs qui paient des frais substantiels à la F1 pour avoir le droit d’organiser et commercialiser les courses.

Ces contrats prévoient souvent des indexations annuelles, même si les contrats sont signés sur du très long terme. Ainsi, un deal passé pour une dizaine d’années suit le cours de l’indexation prévue, ce qui assure à la F1 des revenus prévisibles et stables par rapport au « coût de la vie ».

  1. Droits médiatiques

Cette catégorie représente 33% des recettes. Les contrats de diffusion avec des réseaux comme ESPN aux États-Unis et Sky Sports au Royaume-Uni constituent la plus grande part des revenus de la F1 et demeurent le véritable nerf de la guerre, en dépit de tout ce que l’on peut entendre sur la place de la télévision dans le monde depuis l’essor des plateformes de diffusion de contenu. En réalité, ces nouveaux canaux de diffusion représentent même de nouvelles opportunités de développement commercial pour la F1, qui doit s’ouvrir à celles-ci tout en maintenant un habile équilibre et laissant aux diffuseurs payant grassement les droits une certaine notion d’exclusivité.

  1. Parrainage et sponsoring

Cette catégorie représente 19% des recettes de la F1. Il s’agit-là d’un secteur qui augmente très sensiblement sous l’initiative de Liberty Media. Avec les nouveaux accords passés avec les teams, il est devenu plus facile pour la FOM d’être en « concurrence » avec les équipes elles-mêmes au moment de tenter de signer de très grosses multinationales ou de proposer de nouveaux produits très visibles et rémunérateurs, sans toutefois heurter les teams qui visent ces mêmes cibles. Et pour cause : il peut être plus intéressant pour les équipes de récolter une « petite part du grand gâteau » que génère Liberty media plutôt que de dévouer des ressources importantes à la chasse à certains sponsors volatiles et exigeants. 

Des marques mondiales telles que LVMH, Salesforce et Aramco investissent massivement pour s’aligner sur l’image glamour de la F1. Ces partenariats vont de la publicité en bord de piste aux collaborations exclusives sur des éléments visuels ou des expériences nouvellement créés sur les Grands Prix. Cette dynamique de sponsoring évoque par bien des aspects l’univers du casino en ligne argent réel, où l’image, la visibilité et la rentabilité sont également au cœur des stratégies commerciales.

  1. Autres sources de revenus

Cette catégorie représente 19% des recettes. Ce fourre-tout est lui aussi très important. Il comprend les packages d’hospitalité du Paddock Club (expériences VIP, pouvant coûter près de 100 fois le prix d’un billet en enceinte générale), mais aussi les revenus issus des séries de soutien telles que la Formule 2, la Formule 3, la F1 Academy, le licensing sur les marques ainsi que divers services auxiliaires allant jusqu’à la vente d’objets de collection ou le naming sur le drapeau à damier.

 

Le super coup de Hülkenberg pour sa première avec Stake

Voilà bien une équipe que personne n’attendait dans le coup pour jouer les points en Australie ! En capitalisant sur l’expérience et la solidité de Nico Hülkenberg dans des conditions traitresses, Stake a d’ores et déjà signé un résultat très significatif et apporté beaucoup de joie à ses membres en ramenant des points de la course de Melbourne.

KICK Sauber F1 Team a e effet ramené six précieux points d’un Grand Prix d’Australie palpitant, Nico Hülkenberg terminant à une impressionnante P7 pour sa première course avec l’équipe, dimanche, par conditions météorologiques jouant un rôle crucial.

L’Allemand, qui s’est élancé de la 17e place sur la grille, a fait preuve d’une grande sérénité au cours d’une journée qui a mis à l’épreuve tous les pilotes. Régulièrement à l’aise sous la pluie ou par conditions changeantes, l’expérimenté ex-pilote Haas a délivré une grande performance.

Ce résultat permet à l’équipe de se hisser à la 6e place du championnat des constructeurs, tandis que la course elle-même a été un excellent exemple du spectacle palpitant qu’offre la Formule 1.

« C’est un résultat absolument positif pour l’équipe et cela me donne le sourire », exulte Hülkenberg, dont la performance a été saluée par de nombreux pairs dans le paddock. « Nous ne l’avions pas vu venir après notre performance en qualification. Dans les conditions difficiles du jour, nous n’avons pas commis d’erreurs et nous avons eu quelques bons choix stratégiques. Il était très difficile de garder la voiture sur la piste et de lire les conditions », savoure-t-il.

« Les circuits urbains dans ces conditions ne pardonnent pas. Vous êtes constamment sur le fil du rasoir. Dans la première moitié de la course, j’ai eu beaucoup de mal avec les pneus intermédiaires. Il s’agissait de rester dans la course et d’attendre notre chance. La voiture de sécurité nous a évidemment remis dans la course pour les points, lorsqu’il a commencé à pleuvoir vers la fin. Nous avons réussi à passer au stand au bon moment, avant les autres. Parfois, il faut avoir de la chance. Alors que d’autres avaient des problèmes, nous sommes restés propres et nous nous sommes récompensés avec ces six points. Je tiens à remercier toute l’équipe pour le travail acharné qu’elle a fourni pour y parvenir. »