Liberty Media renouvelle Las Vegas au calendrier sans grand effet d’annonce

Le Grand Prix de Las Vegas et Formula One Management ont officiellement prolongé le contrat de l’événement jusqu’en 2027.

Avec la F1 comme promoteur de l’événement – une première dans l’histoire de ce sport – cette décision n’a jamais fait l’ombre d’un doute, d’autant plus que le comté de Clark avait déjà confirmé la tenue de l’événement jusqu’en 2032.

« Nous avons convenu collectivement de prolonger de deux ans, pour 2026 et 2027 », a déclaré Emily Prazer, présidente du Grand Prix de Las Vegas, lors du week-end du GP du Canafa, quelques jours après l’apparition de l’événement dans le calendrier 2026. « Nous voulons nous assurer que nous continuons à faire évoluer ce que nous faisons », a-t-elle ajouté. « Mais l’intention est de conclure un accord à beaucoup plus long terme. Comme nous le savons tous, la course a connu des difficultés, mais nous sommes en train de les surmonter. Nous voulons donc nous assurer qu’elle continue à fonctionner pour les deux parties. Nous nous sommes donc réunis et avons convenu que c’était la meilleure approche. Nous avons des projets à plus long terme, mais c’est là où nous en sommes actuellement. »

L’événement devrait se poursuivre en novembre, le week-end précédant Thanksgiving, traditionnellement l’un des mois les plus calmes de l’année sur le plan commercial dans la ville.Cependant, le Grand Prix a changé la donne, l’événement de l’année dernière ayant généré 934 millions de dollars (690 millions de livres sterling) de recettes et environ 45 millions de dollars (33 millions de livres sterling) de taxes. « La durée des prolongations ne reflète rien d’autre que le fait que cela semble logique de manière progressive », a déclaré Steve Hill, PDG et président de l’autorité chargée de la convention et des visiteurs de Las Vegas. « Nous savons ce qui va se passer au cours des deux prochaines années. »Nous prévoyons que cette course soit permanente ; nous continuerons simplement à planifier des prolongations qui s’étendront probablement au fur et à mesure. »

Déterminée à implanter la F1 dans la ville, Formula One Management a investi des sommes colossales dans le Grand Prix Plaza, un complexe de 16 hectares qui sert de paddock et de zone technique pendant le week-end du Grand Prix et qui abrite également diverses expériences immersives pour les fans, notamment F1 X, F1 Drive et F1 Hub, tout au long de l’année.

Esteban Ocon assure ne tirer « aucune satisfaction » des difficultés d’Alpine

Esteban Ocon a tenu à mettre les choses au clair concernant la situation actuelle d’Alpine, affirmant qu’il ne tire « aucun plaisir » des difficultés rencontrées par son ancienne écurie, malgré la détérioration de leurs relations avant son départ.

Le pilote français, qui avait rejoint l’équipe d’Enstone en 2020, y a connu des moments forts, notamment sa victoire au Grand Prix de Hongrie 2021. Mais la fin de collaboration s’est tendue, notamment après une collision remarquée avec son coéquipier Pierre Gasly à Monaco en 2024. Quelques semaines plus tard, son transfert chez Haas pour la saison 2025 était officialisé.

Ocon n’avait d’ailleurs pas disputé la dernière manche de la saison à Abu Dhabi, afin de participer aux essais post-saison avec sa nouvelle équipe. Aujourd’hui sixième au championnat avec Haas, il observe depuis les contre-performances d’Alpine, lanterne rouge chez les constructeurs, après un début de saison marqué par un changement de pilotes entre Jack Doohan et Franco Colapinto.

Interrogé sur le sort de son ancienne équipe, Ocon a réfuté toute idée de ressentiment : « Ce n’est jamais agréable de voir une écurie en difficulté, surtout une équipe avec laquelle on a partagé autant. »

Lorsqu’il a été interrogé par certains médias pour savoir si les difficultés d’Alpine le faisaient sourire, Ocon a répondu : « On ne sourit jamais en voyant quelqu’un en difficulté. Pour moi, il était très clair que je voulais venir ici depuis très longtemps. J’ai pris ma décision, il était clair que nous ne visions pas les mêmes objectifs avec l’équipe et que j’avais besoin d’un nouveau défi, car nous n’allions pas avancer ensemble. Nous n’étions pas d’accord sur beaucoup de choses. »

« Et, oui, ils ont été rapides à Bahreïn et sur certains circuits. Ils vont également travailler sur eux-mêmes. En une course, on peut rattraper son retard. Donc, même s’ils sont derniers pour l’instant, cela ne signifie pas qu’ils finiront là. Nous devons donc garder un œil sur tout le monde et faire de notre mieux de notre côté. Mais oui, je me sens vraiment bien ici. Comme je l’ai dit, Alpine aura toujours une place spéciale dans mon cœur. »

Isack Hadjar assume son tempérament, mais adapte sa communication en course

Réputé pour son franc-parler et ses messages parfois virulents à la radio, Isack Hadjar reconnaît avoir ajusté son comportement depuis son arrivée en Formule 1, sans pour autant renier sa personnalité.

Le pilote français de l’écurie Racing Bulls, auteur d’un début de saison remarqué, admet qu’il surveille désormais davantage ses propos à la radio, conscient de leur diffusion potentielle par la FOM. « On ne peut pas effacer qui l’on est, mais on peut apprendre à se contrôler », a-t-il confié, soulignant un effort de modération sans changement fondamental dans son approche.

Hadjar, dont les performances solides en 2025 l’ont placé en bonne position pour une éventuelle promotion chez Red Bull en 2026, pourrait remplacer Yuki Tsunoda si le Japonais ne parvient pas à redresser la tendance. En attendant, le rookie tricolore continue de faire ses preuves tout en affinant son comportement dans un environnement où chaque mot est scruté.

« Je continue de crier et d’insulter, mais je n’appuie tout simplement pas sur le bouton de la radio, donc personne ne le sait », a expliqué Hadjar aux médias. « J’ai toujours le même caractère, ce n’est pas quelque chose que l’on peut effacer, mais oui, je n’appuie tout simplement pas sur le bouton de la radio. Dans la voiture, j’ai clairement fait des progrès avec mon pouce, mais je n’ai jamais été le genre de pilote à sortir de la voiture et à jeter des objets sur qui que ce soit. Je suis en colère contre moi-même, et jusqu’à présent, je pense que vous avez vu un pilote cool, et ça me va. »

Ferrari : Fred Vasseur déconcerté par les rumeurs autour du départ de Charles Leclerc

Sous pression, Fred Vasseur ne cache pas son incompréhension face aux spéculations persistantes sur l’avenir de Charles Leclerc en Formule 1. Le directeur de la Scuderia, régulièrement visé par les critiques des médias italiens ces dernières semaines, a tenté de clarifier la situation lors du Grand Prix du Canada.

Alors que des rumeurs font état d’un possible départ du Monégasque, voire de tensions internes, Vasseur s’est montré désarmé : « Je ne sais pas ce que nous devrions faire pour mettre fin à ces bruits. » En parallèle, les spéculations autour d’une rencontre entre John Elkann, président de Ferrari, et Christian Horner, patron de Red Bull, n’ont fait qu’alimenter les incertitudes. Ce dernier a toutefois nié tout projet de départ vers Maranello.

Interrogé sur sa propre position à la tête de l’équipe et sur son influence sur les perspectives de ses pilotes, Vasseur a profité de l’occasion pour évoquer le cas Leclerc, sans toutefois apporter d’élément de nature à faire taire les rumeurs. Dans une période délicate pour Ferrari, la stabilité du duo Vasseur-Leclerc reste plus que jamais scrutée.

« C’est un bon exemple pour parler de Charles », a-t-il déclaré aux médias. « Charles a un contrat à long terme avec nous. Depuis le début de la saison, il répète dans toutes ses interviews qu’il veut rester chez Ferrari. Il veut gagner avec Ferrari. Son avenir est chez Ferrari. Mais chaque lundi, nous avons un article qui dit : « Charles partira l’année prochaine », « Charles va… ». À un moment donné, je ne sais plus quoi faire. Je suis désolé, je ne peux pas répéter la même chose chaque week-end. Mais c’est comme ça. »

Bottas laisse entendre une possible arrivée chez Cadillac F1

Valtteri Bottas a semé le doute quant à son avenir en Formule 1 dans une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux, en lien avec le projet Cadillac F1, porté par General Motors. Dans cette séquence, on le voit découvrir un SUV de la marque américaine, avant qu’une remarque ne soit lancée à propos les « beaux sièges » du véhicule.

Lorsque la conversation évoque la présence de « deux sièges libres », le Finlandais — vainqueur de dix Grands Prix — se tourne vers la caméra et répond avec un sourire : « Pas encore ». Un commentaire énigmatique, interprété par beaucoup comme un clin d’œil à une possible officialisation prochaine.

Considéré comme l’un des pilotes les plus expérimentés en marge de la grille actuelle, Bottas est régulièrement associé au projet Cadillac depuis que la FIA a donné son feu vert à son entrée en F1 en 2026. Si Sergio Perez a un temps été pressenti pour occuper l’un des deux baquets, son nom circule désormais du côté d’Alpine, ce qui pourrait ouvrir la voie à une titularisation de Bottas.

La perspective de voir le Finlandais au départ du Grand Prix d’Australie 2026 sous les couleurs de Cadillac semble désormais de plus en plus crédible — peut-être aux côtés d’un jeune talent ou d’un pilote américain, comme initialement envisagé par l’écurie.

Que sont les points de pénalité et comment fonctionnent-ils ?

Les pilotes de Formule 1 peuvent être suspendus pour une course s’ils accumulent 12 points de pénalité sur leur Super Licence au cours d’une période de 12 mois.

Le quadruple champion du monde Max Verstappen sera suspendu pour une course s’il accumule des points de pénalité lors du prochain Grand Prix. Après cela, le champion du monde en titre pourra souffler et regagner de la marge de manoeuvre.

Le Néerlandais, âgé de 27 ans, s’est vu infliger trois points de pénalité après avoir semblé percuter délibérément George Russell, de l’équipe Mercedes, lors du Grand Prix d’Espagne. 

Verstappen avait écopé d’une pénalité de 10 secondes pour cette collision, mais s’était surtout vu infliger par la suite trois points de pénalité sur sa Super Licence de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), ce qui porte à 11 le nombre de points de pénalité qu’il a accumulés au cours des 12 derniers mois.

Verstappen a deux points qui expirent le 30 juin, ce qui signifie que s’il n’écope d’aucun point supplémentaire lors du Grand Prix d’Autriche ce mois-ci, il n’atteindra pas le seuil de suspension, à moins qu’il ne reçoive trois points ou plus avant le 27 octobre. Les points de pénalité sont attribués pour toute une série d’infractions, en fonction de la gravité de l’incident. Il s’agit notamment de provoquer des collisions, de rouler trop lentement dans les stands et de dépasser alors qu’un drapeau rouge est agité. Une fois que les pilotes ont atteint 12 points, ils sont suspendus pour une course et tous leurs points sont supprimés à l’issue de leur suspension.

F1 – Verstappen bat un record de Schumacher et se rapproche de celui d’Hamilton

Max Verstappen continue d’inscrire son nom dans l’histoire de la Formule 1. En terminant deuxième du Grand Prix du Canada 2025, le pilote Red Bull a décroché son 117e podium avec l’écurie autrichienne, dépassant ainsi le total de Michael Schumacher chez Ferrari (116 entre 1996 et 2006).

Cette performance rapproche également le quadruple champion du monde du record absolu détenu par Lewis Hamilton, auteur de 153 podiums avec Mercedes.

À ce stade de sa carrière, Max Verstappen affiche un palmarès impressionnant : 65 victoires, 34 deuxièmes places et 17 troisièmes places, tous obtenus sous les couleurs de Red Bull.

Retrouvez ci-dessous le classement des dix pilotes ayant enregistré le plus grand nombre de podiums avec une seule équipe.

Classement Pilote Écurie Nombre
1. Lewis Hamilton Mercedes 153
2. Max Verstappen Red Bull 117
3. Michael Schumacher Ferrari 116
4. Sebastian Vettel Red Bull 65
5. Alain Prost McLaren 63
6. Valtteri Bottas Mercedes 58
7. Ayrton Senna McLaren 55
8. Rubens Barrichello Ferrari 55
9. Nico Rosberg Mercedes 55
10. Sebastian Vettel Red Bull 55

Video – Leclerc et Hamilton testent la nouvelle Ferrari F80 à Fiorano

Charles Leclerc et Lewis Hamilton ont récemment eu l’opportunité de découvrir la nouvelle supercar de Ferrari, la F80, lors d’une session exclusive organisée par la marque italienne. Si les deux pilotes de Formule 1 ont pris le volant du modèle flambant neuf, l’expérience ne s’est pas révélée aussi plaisante qu’espéré pour l’un d’entre eux… la faute à un certain septuple Champion du monde de F1 ! 

 

Bangkok se prépare à accueillir la F1 en 2028 avec un projet à 1,2 milliard de dollars

Le gouvernement thaïlandais a validé un investissement de 1,2 milliard de dollars pour organiser un Grand Prix de Formule 1 dans les rues de Bangkok à partir de 2028. Ce projet ambitieux s’inscrit dans un plan quinquennal visant à accueillir la course jusqu’en 2032, sous réserve de l’accord de la FIA et de Formula One Management.

Déjà hôte du MotoGP sur le circuit permanent de Buriram, la Thaïlande entend désormais s’imposer dans le calendrier de la F1 avec un tracé urbain au cœur de sa capitale. Bangkok, qui a récemment servi de toile de fond au lancement de la saison 2025 de MotoGP, poursuit ainsi son engagement croissant dans l’organisation de grands rendez-vous internationaux de sport automobile.

Le porte-parole du gouvernement, Jirayu Houngsub, a salué cette initiative comme un tournant majeur : « Au cours des deux ou trois prochaines années, la Thaïlande accueillera une compétition de niveau mondial, ce que nous n’aurions jamais imaginé possible dans notre pays », a-t-il déclaré en conférence de presse.

L’exécutif thaïlandais voit dans ce projet une opportunité stratégique pour dynamiser le tourisme, un secteur déjà florissant avec près de 40 millions de visiteurs annuels.

L’annonce intervient peu après la visite à Bangkok du PDG de la F1, Stefano Domenicali, venu rencontrer le Premier ministre Paetongtarn Shinawatra afin de discuter de la faisabilité d’un Grand Prix en Thaïlande. Cette dernière s’est également rendue au Grand Prix de Monaco, où elle a visité le stand Williams et échangé avec le pilote anglo-thaïlandais Alex Albon.

Reste à savoir comment ce nouveau rendez-vous pourrait s’intégrer dans un calendrier déjà saturé. La F1 a clairement exprimé sa volonté de ne pas dépasser 24 courses par saison. Un système de rotation, notamment avec certains Grands Prix européens, est à l’étude pour faire place à de nouvelles destinations asiatiques.

Brad Pitt au volant d’une F1 de McLaren sur le Circuit des Amériques

Selon RacingNews365, Brad Pitt a récemment eu l’opportunité de piloter une véritable monoplace de Formule 1, grâce à McLaren, dans le cadre de la promotion de son nouveau film dédié à la discipline reine du sport automobile.

L’acteur de 61 ans, tête d’affiche de ce long-métrage présenté en avant-première à New York, incarne Sonny Hayes, un ancien pilote de F1 rappelé en piste pour encadrer un jeune talent, interprété par Damson Idris. Ce projet, en gestation depuis trois ans, est dirigé par le réalisateur Joseph Kosinski et produit par Jerry Bruckheimer, avec la participation active de Lewis Hamilton en tant que coproducteur et conseiller.

Pour garantir un maximum d’authenticité, Pitt et Idris ont parcouru près de 10 000 kilomètres en deux ans sur différents circuits, afin de se familiariser avec l’univers de la F1. Les voitures utilisées à l’écran ont été conçues sur la base de châssis de Formule 2, puis modifiées par Mercedes pour imiter fidèlement des monoplaces.

Dernière étape marquante : Pitt a pris le volant de la McLaren MCL60 – modèle 2023 de l’écurie britannique – sur le Circuit des Amériques à Austin, au Texas. Cette voiture, qui a connu deux évolutions techniques majeures l’an dernier, a permis à Lando Norris de signer sept podiums et à Oscar Piastri, alors débutant, d’en décrocher deux.

Présent sur place dès la veille, Pitt a pu observer Norris en action avant de s’installer lui-même dans le cockpit. Le jeune pilote de F2 Alex Dunne, membre du programme junior de McLaren, a également profité de la session pour effectuer un roulage dans le cadre d’un test TPC.

Posséder et piloter l’hypercar McLaren du Mans sera possible !

McLaren Automotive et McLaren Racing ont annoncé une « opportunité historique » d’acquérir une McLaren Le Mans Hypercar 2027 dans le cadre du programme de partenariat client d’endurance.

Pour faire simple, McLaren, qui a annoncé un programme hypercar dans le championnat du monde d’endurance et avec le but de remporter les 24 Heures du Mans, prévoit également de permettre à des clients très exclusifs de devenir des parties prenantes de McLaren en compétition et posséder un modèle de l’hypercar sportif.

Un nombre strictement limité de voitures destinées à la clientèle sera développé en parallèle de la McLaren LMDh Hypercar qui participera au Championnat du monde d’endurance FIA (WEC) en 2027. Les clients du projet Endurance pourront découvrir en avant-première la campagne de McLaren pour remporter la triple couronne du sport automobile en une seule saison. Le projet Endurance comprend un accès sans précédent aux coulisses des activités de test et de développement alors que McLaren Endurance Racing se prépare pour ses débuts en WEC Hypercar. La propriété de la Le Mans Hypercar comprend un programme de deux ans de pilotage sur circuit McLaren sur des circuits de course de haut niveau, offrant une expérience client inégalée.

McLaren Automotive et McLaren Racing s’associent pour offrir à quelques privilégiés une occasion unique de vivre les sensations fortes de la conduite d’une authentique Le Mans Hypercar, une expérience que peu de gens auront la chance de vivre, dans le cadre du programme de partenariat client Project : Endurance.

Les personnes sélectionnées pour participer au projet « Project: Endurance » entreront dans l’histoire de McLaren, qui compte notamment la victoire emblématique des 24 Heures du Mans en 1995, deux victoires à l’Indy 500 et plus de 190 Grands Prix, dont celui de Monaco, qui ont permis à la marque de remporter neuf titres de champion du monde des constructeurs de Formule 1 et d’être le seul constructeur à réaliser le Triple Crown*.

« Je suis ravi d’annoncer que McLaren Automotive s’associe à nos collègues de McLaren Racing pour offrir à nos clients une expérience audacieuse et authentique de possession d’une Hypercar Le Mans. En plus de posséder la toute dernière voiture de course LMDh, dont seuls quelques privilégiés pourront goûter les sensations, les clients bénéficieront d’un accès unique et totalement immersif au programme de développement et de course qui servira de base à notre candidate au championnat du monde d’endurance FIA 2027. Associée au programme de conduite sur circuit spécialement conçu pour le projet Endurance, cette incroyable opportunité offre une nouvelle dimension au partenariat client de McLaren. » Endurance, cette opportunité incroyable offre une nouvelle dimension au partenariat entre McLaren et ses clients, » a déclaré  Nick Collins, PDG de McLaren Group Holdings.

« Le retour de McLaren Racing au Championnat du monde d’endurance FIA marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour nous. Nous avons une riche histoire dans ce sport avec McLaren Automotive, puisque nous avons couru et remporté notre première victoire au Mans dès notre première participation en 1995. Ce programme client offrira aux acheteurs une chance incroyable de posséder une authentique voiture de course et de se rapprocher de l’action sur la piste, » a complété Zak Brown, dont la passion pour l’endurance est bien connue, l’Américain étant également le propriétaire de l’équipe United Autosport.

Carlos Sainz frustré malgré le point inscrit au Canada

Carlos Sainz a exprimé sa frustration malgré le fait d’avoir marqué un point au Grand Prix du Canada. Le pilote espagnol Carlos Sainz, de l’équipe Williams, a terminé à la 10e place du dernier Grand Prix du Canada, mais il était néanmoins loin d’être en liesse. La course a été mouvementée pour l’équipe, Albon ayant dû abandonner en raison de problèmes avec son groupe motopropulseur.

La course canadienne a suscité des émotions mitigées pour l’équipe Williams après que ses deux pilotes aient échoué à marquer des points lors du Grand Prix d’Espagne. Arrivée au Canada avec de grands espoirs de terminer dans le top 10, l’équipe s’était montrée prometteuse lors des séances d’essais. Albon et Sainz avaient même impressionné en terminant deuxième et troisième lors des EL1, Albon se qualifiant ensuite en 9e position. Cependant, la course d’Albon a pris une tournure dramatique.

Après une manœuvre risquée contre Colapinto (Alpine) qui l’a fait sortir de la piste, Albon a été contraint d’abandonner en raison d’un problème sur le groupe motopropulseur Mercedes. Albon a exprimé sa frustration après la course : « Ce fut une journée frustrante. Nous avons abandonné en raison d’un problème sur le groupe motopropulseur, mais la course était déjà terminée pour nous. J’ai eu des difficultés dans le premier tour, puis nous avons essayé de rentrer aux stands, mais avec le graining, c’était vraiment difficile de gérer les pneus. »

Albon a également commenté les performances de l’équipe, reconnaissant les défis à relever : « Parfois, on peut contourner le problème, mais pas cette fois-ci. La stratégie de course est généralement notre point fort, mais nous avons eu du mal, et ce n’est pas la faute de l’équipe, mais nous n’étions pas à la hauteur. Nous allons analyser la situation et revenir plus forts la prochaine fois. »

Malgré le point obtenu, Sainz partageait la frustration d’Albon. L’équipe Williams devra se ressaisir et élaborer une nouvelle stratégie pour les prochaines courses afin de tirer parti de son potentiel et d’obtenir de meilleurs résultats à l’avenir. Le team anglais demeure confortablement installé au cinquième rang du championnat du monde par équipes avec 55 points, mais est avec Alpine le team qui a inscrit le moins sur les trois derniers GPs en date. Haas, Aston Martin, Racing Bulls ou encore Sauber Stake ont tous réussi à raliser de meilleures récoltes au cours des derniers évènements cumulés. 

Une première en carrière : aucun podium sur les premiers 10 GP pour Lewis Hamilton

Lewis Hamilton et Ferrari ? Pas l’histoire que beaucoup espéraient. Lewis Hamilton touche le fond avec Ferrari : le Britannique n’est pas monté sur le podium lors des 10 premiers Grands Prix de la saison 2025.

La superstar de la Formule 1 Lewis Hamilton est confrontée à l’un des défis les plus difficiles de sa carrière, alors qu’il lutte pour monter sur le podium. Le pilote britannique, connu pour ses talents remarquables sur la piste, se retrouve en terrain inconnu avec Ferrari, connaissant une période de disette qui amène les fans et les critiques à s’interroger sur ses performances. Lors du récent Grand Prix du Canada, Hamilton a comparé ses difficultés avec la Ferrari SF-25 à un partenaire de danse qui aurait complètement perdu le rythme, illustrant ainsi de manière frappante sa frustration face aux performances médiocres de la voiture de son équipe.

Malgré ses efforts, Hamilton n’a pu terminer qu’à la sixième place de la course, ce qui l’a incité à exhorter l’équipe à se concentrer sur la voiture de 2026.

Cette série de résultats décevants marque un changement significatif par rapport à la domination de Hamilton sur la piste pendant une majorité de sa carrière. Le début de saison avec Ferrari a été médiocre, avec une quatrième place à Imola comme meilleur résultat jusqu’à présent, en excluant la victoire en Sprint de la Chine. Une statistique particulièrement accablante qui illustre les difficultés rencontrées par Hamilton est qu’il n’a jamais manqué un podium lors des 10 premières courses d’une saison depuis le début de sa brillante carrière en 2007.

Ce nouveau record négatif ajoute à la pression qui pèse sur le septuple champion du monde, qui navigue en eaux inconnues avec Ferrari. Malgré ses succès passés, notamment plusieurs podiums lors des premières courses des saisons précédentes, Hamilton risque désormais de dépasser son propre record de 12 courses consécutives sans podium, un triste record qu’il avait réalisé entre le Grand Prix de Singapour en 2023 et le Grand Prix d’Espagne en 2024 au plus dur des difficultés de Mercedes. Alors que Hamilton se bat pour renverser la vapeur et retrouver sa forme gagnante, le monde du sport automobile retient son souffle pour voir si le légendaire pilote pourra surmonter les obstacles et défier les pronostics lors des prochaines courses.

F1 – James Vowles prolonge son contrat à la tête de l’écurie Williams

L’écurie Williams a confirmé la prolongation de contrat de son directeur d’équipe, James Vowles, scellant ainsi la poursuite de son projet à long terme à la tête de la formation britannique.

Aux commandes depuis le début de la saison 2023, Vowles, 45 ans, pilote le renouveau de l’équipe basée à Grove, neuf fois championne du monde des constructeurs. Depuis son arrivée, Williams a amorcé une transformation en profondeur, visant à renouer avec le niveau de performance qui lui avait permis de briller jusqu’à son dernier titre en 1997.

Cette reconduction s’inscrit dans une volonté de continuité stratégique pour accompagner le redressement progressif de l’écurie.

« Je suis ravi de signer un nouveau contrat avec Williams, où je me sens chez moi depuis le moment où j’ai franchi la porte », a déclaré Vowles. « Cette équipe emblématique m’a déjà offert des souvenirs incroyables et nous sommes tous unis dans notre ambition de construire sur notre héritage et de remporter à nouveau le championnat du monde. Au cours des deux dernières années, nous nous sommes concentrés sur la consolidation des fondations et nous disposons désormais d’une plateforme pour viser la gloire dans les années à venir. »

Matthew Savage, président de Williams et propriétaire de Dorilton Capital, a ajouté : « Nous sommes ravis que James ait signé un nouveau contrat avec Williams et s’engage à poursuivre la mission que nous avons entreprise ensemble. Il apporte son expérience, son énergie et son leadership stratégique pour ramener Williams sur la plus haute marche du podium. Nous n’y sommes pas encore, mais vous pouvez sentir la dynamique qui se met en place à Grove et nous sommes enthousiastes pour l’avenir. »

La durée exacte du contrat du directeur de l’écurie n’a pas été confirmée par Williams.

Franz Hermann (alias Verstappen) impressionne le pilote de cette Porsche : « Rarement aussi heureux de me faire doubler »

Sur les circuits où il s’engage en GT3, Max Verstappen ne laisse personne indifférent — qu’il roule sous son véritable nom ou sous le pseudonyme de Franz Hermann. Récemment, c’est Brent Verheyen, pilote Porsche, qui s’est retrouvé bluffé par la prestation du quadruple champion du monde.

Au lieu de ressentir la frustration habituelle d’un dépassement, Verheyen a salué la manœuvre avec admiration, allant jusqu’à confier qu’il s’agissait de la première fois où il était véritablement heureux de se faire doubler. Une déclaration révélatrice de l’aura que conserve Verstappen, même loin des paddocks de la Formule 1.

 
 
 
 
 
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Isack Hadjar voit les nouvelles règles de 2026 comme une « bonne opportunité » pour intégrer Red Bull

Isack Hadjar estime que l’introduction des nouvelles réglementations techniques en 2026 pourrait jouer en sa faveur dans la perspective d’un passage chez Red Bull.

La Formule 1 s’apprête à vivre une refonte majeure, avec des changements significatifs attendus sur les châssis et les groupes motopropulseurs dès la saison prochaine. Un contexte qui, selon le jeune pilote français, pourrait lisser les écarts et redistribuer les cartes.

Pour sa première année en F1, Hadjar a déjà marqué les esprits, engrangeant 21 points en dix Grands Prix. Une performance solide qui alimente les rumeurs autour de sa possible promotion chez Red Bull, où Yuki Tsunoda peine à s’imposer aux côtés de Max Verstappen. Ce dernier avait été préféré à Liam Lawson, sans grand succès en début de saison.

Interrogé sur sa progression, Hadjar s’est vu rappeler une maxime de Franz Tost, ancien patron de Toro Rosso, selon laquelle un pilote atteint sa pleine maturité après trois saisons en Formule 1. Un avis que le principal intéressé ne conteste pas, tout en laissant entendre que l’évolution réglementaire pourrait accélérer les choses.

Hadjar a donné son avis sur ces rumeurs : « Il y a des pilotes qui, après 10 ans, continuent d’apprendre et de progresser. Je pense donc que c’est un commentaire juste. On peut évidemment bien réussir dans une écurie de pointe en moins de temps. Mais je pense que trois ans, c’est logique. »

Hadjar a toutefois laissé entendre qu’il ne laisserait pas passer l’occasion de rejoindre Red Bull, car il considère les nouvelles réglementations comme une opportunité de prendre un nouveau départ.

« Il y a aussi le changement de réglementation, donc c’est un peu comme repartir de zéro », a déclaré Hadjar. « Cela rend les choses plus faciles. En tant que pilote, j’aimerais avoir une voiture rapide dès le départ. Regardez Lewis [Hamilton], il a commencé chez McLaren et il a bien réussi. Il n’a pas eu besoin de trois ans, mais après trois ans, il était clairement meilleur. »

GP du Canada : Kimi Antonelli fait remonter l’Italie sur un podium de F1 après 15 ans d’attente

Kimi Antonelli a livré ses impressions sur les derniers tours tendus du Grand Prix du Canada, au cours desquels il a dû résister à la pression d’Oscar Piastri pour conserver une place sur le podium – son tout premier en Formule 1.

Le jeune pilote Mercedes, âgé de seulement 18 ans, a franchi la ligne d’arrivée en troisième position sur le circuit Gilles Villeneuve, au terme d’une prestation solide marquée par un départ incisif et une gestion rigoureuse de ses pneus dans les derniers kilomètres.

Antonelli avait gagné une position dès le premier tour en dépassant Piastri dans la ligne droite menant au virage 3. Mais en fin de course, la pression s’intensifiait : le rythme de la McLaren redevenait menaçant, et l’Italien craignait d’avoir trop sollicité ses gommes lors de son dernier relais.

« J’ai commencé à compter les tours en espérant que ça tienne », a-t-il admis après la course.

Finalement, un accrochage entre Lando Norris et Piastri à quelques tours de l’arrivée a entraîné l’intervention de la voiture de sécurité, figé les positions, et offert à Antonelli un soulagement bienvenu – ainsi qu’un premier podium historique pour sa jeune carrière en F1.

« Pour être honnête, j’espérais juste que la course se termine », a déclaré Antonelli aux médias. « Je regardais même l’écran pour compter les tours, car c’était très stressant. Dans le dernier relais, j’ai poussé un peu trop fort derrière Max et j’ai fini par dégrader l’avant gauche. Les derniers tours ont été difficiles, surtout en voyant Oscar se rapprocher de plus en plus dans la zone DRS. À un moment donné, il a même tenté de me dépasser dans le premier virage. Cela m’a demandé beaucoup d’efforts. »

En décrochant la troisième place au Grand Prix du Canada, Kimi Antonelli est devenu le troisième plus jeune pilote à monter sur un podium en Formule 1, derrière Max Verstappen – deuxième à Montréal – et le Canadien Lance Stroll.

Cette performance marque également un tournant pour l’Italie : il s’agit du premier podium d’un pilote italien en F1 depuis Jarno Trulli, deuxième pour Toyota lors du Grand Prix du Japon en 2009. Une disette de 15 ans désormais rompue sur le circuit Gilles Villeneuve.

Conscient de l’impact symbolique de ce résultat pour une nation profondément attachée à la course automobile, Antonelli mesure la portée de son exploit. Le jeune prodige de Mercedes, tout en savourant cette étape majeure, ne cache pas son ambition : « Ce n’est qu’un début », a-t-il laissé entendre, tourné vers ses prochains objectifs.

« C’est évidemment un sentiment formidable d’être le prochain Italien à monter sur le podium après si longtemps », a-t-il déclaré. « Maintenant, mon prochain objectif est de gagner, de ramener l’Italie au sommet. Ce résultat était nécessaire. Il est également dédié à tous les tifosi italiens. J’ai passé un week-end incroyable à Imola en termes de soutien. Ça ne s’est pas déroulé aussi bien que je l’aurais voulu, mais c’est formidable de voir autant de soutien dès le début. Ce résultat est donc également pour eux. »

Vidéo Villeneuve : « Hamilton ne m’a jamais dit merci », Jerez 1997, etc…

Canal + aime innover en matière de programmes liés aux sports mécaniques et met sur le grill dans un format « détective » certaines personalités du monde des sports mécaniques, soumis au détecteur de mensonges et à l’accumulation de questions délicates.

Pour ce numéro récent qui a retenu notre attention, c’est le consultant de la chaine française Jacques Villeneuve, champion du monde de F1 1997, qui s’est prêté au jeu en répondant aux questions de Laurent Dupin, avec qui il revient notamment sur la création de l’équipe BAR, devenue Brawn GP puis Mercedes, ou encore le fameux coup de volant de Michael Schumacher sur sa Williams en 1997, à Jérez.

La vidéo, dans laquelle l’on retrouve également Margot Laffite du côté des inspecteurs, est à regarder en intégralité ci-dessous.

 

Qui sont ces pilotes a avoir remporté à la fois un Grand Prix de F1 et les 24 Heures du Mans ?

Les pilotes ayant gagner au moins une course en F1 ainsi que les 24 Heures du Mans

Pilote Victoire en F1 Victoire au Mans
Jose Frolian Gonzalez 2 1954
Maurice Trintignant 2 1954
Mike Hawthorn 3 1955
Phil Hill 3 1958, 1961, 1962
Lorenzo Bandini 1 1963
Jochen Rindt 6 1965
Bruce McLaren 4 1966
Dan Gurney 4 1967
Pedro Rodriguez 2 1968
Jacky Ickx 8 1969, 1975, 1976, 1977, 1981, 1982
Graham Hill 14 1972
Didier Pironi 3 1978
Johnny Herbert 3 1991
Fernando Alonso 32 2018, 2019
Robert Kubica 1 2025

Fernando Alonso salue la performance de Robert Kubica après sa victoire au Mans : « Une légende du sport automobile »

Fernando Alonso n’a pas hésité à saluer la performance de Robert Kubica après la victoire du pilote polonais aux 24 Heures du Mans, qualifiant son ancien rival de « légende du sport automobile ».

Kubica s’est imposé au volant de la Ferrari 499P n°83 sur le circuit de la Sarthe, signant ainsi un succès historique. Il devient le deuxième pilote de Formule 1 à avoir remporté à la fois un Grand Prix et les 24 Heures du Mans au XXIe siècle, suivant ainsi les traces d’Alonso lui-même.

Ce triomphe couronne un parcours hors du commun. Gravement blessé lors d’un accident de rallye en 2011, Kubica avait vu sa carrière brutalement interrompue. Malgré les séquelles, il avait effectué un retour en Formule 1 en 2019 avec Williams, bien loin toutefois du niveau qui l’avait vu triompher au Grand Prix du Canada en 2008.

En 2010, il avait réalisé une saison solide et était pressenti pour rejoindre Ferrari aux côtés d’Alonso en 2012. Ce projet avait été abandonné après son accident. À l’annonce de la victoire mancelle du Polonais, Alonso s’est montré particulièrement élogieux, saluant la ténacité et le talent d’un pilote qu’il considère comme l’un des grands noms du sport automobile.

« Je suis très heureux pour lui, nous avons discuté à plusieurs reprises de la particularité de cette course et il le mérite », a déclaré Alonso aux médias. « C’est une légende de notre sport, et il l’est encore plus maintenant après avoir remporté Le Mans et après la douleur qu’il a endurée lors de son accident. Je pense que c’est un jour très heureux pour le sport automobile. Il aurait probablement dû gagner il y a quelques années, lorsqu’il a connu une défaillance en LMP2, donc je suis heureux pour lui. Je vais l’appeler, je ne voulais pas le déranger aujourd’hui, je vais faire la fête, je suis extrêmement heureux et fier de lui. »