Red Bull introduit une mise à jour normalement prévue pour la Chine dés Melbourne

L’équipe Red Bull Racing a décidé d’avancer l’introduction d’une mise à jour initialement programmée pour le Grand Prix de Chine.

Initialement programmée pour le Grand Prix de Chine, cette première mise à jours de l’année sera finalement introduite sur la RB15 dés ce week-end à Melbourne.

Helmut Marko, le consultant motorsport pour Red Bull, a révélé que le directeur technique de l’équipe, Adrian Newey, a exercé une forte pression sur ses collaborateurs afin de pourvoir introduire cette importante mise à jours dés la première course de la saison 2019.

« Les pièces qui étaient normalement prévues pour la troisième course de la saison ont toutes été avancées, grâce notamment à la pression de Newey, qui a tout fait pour qu’elles soient disponibles dés Melbourne. » a expliqué Helmut Marko sur Servus TV.

Beaucoup d’optimisme chez Red Bull

Marko a une nouvelle fois déclaré que Red Bull était très confiante quant à la compétitivité de la RB15 équipée du moteur Honda.

« Notre optimisme n’est pas sans fondement. Je nous vois derrière Ferrari pendant la course, mais devant Mercedes. »

« La RB15 est certainement la voiture la meilleure et la plus chère de l’histoire de Red Bull Racing, si vous regardez l’efficacité et la perfection technique des pièces. »

« Parce que, à chaque étape, chaque employé était convaincu: nous sommes maintenant sur la bonne voie. Nous avons maintenant une autre chance de remporter des victoires par nous-mêmes. »

« De nombreuses voix négatives ont déclaré que Honda ne pouvait pas le faire. Mais nous n’avons jamais connu d’aussi bons tests hivernaux. Si nous avons plus de puissance, il est logique que nous regardons de l’avant cette année. »

« L’année dernière, nous avons remporté quatre victoires. Cinq victoires sont réalistes cette année, j’espère même qu’il y en aura encore plus. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Norris impatient de débuter un nouveau chapitre avec McLaren

Lando Norris se dit impatient de débuter un tout nouveau chapitre dans sa carrière ce week-end avec McLaren au Grand Prix d’Australie.

Le Britannique débutera sa carrière en Formule 1 ce week-end à Melbourne, alors qu’il n’a encore jamais piloté sur le circuit de l’Albert Park.

Considéré comme un futur grand talent de la Formule 1, Lando Norris a eu le temps de bien préparer son arrivée en F1 l’an dernier, notamment grâce à un programme mis en place juste pour lui lors de plusieurs séances d’essais libres au cours de la saison 2018.

Norris a ainsi pu prendre ses marques au volant de la MCL33 l’an dernier sur différents circuits du calendrier, ce qui va très certainement lui servir en 2019 pour sa toute première saison en Formule 1.

« Je suis excité de faire mes débuts en Formule 1, et je suis préparé pour les défis qui nous attendent. » confie Lando Norris.

« Il y a beaucoup de nouvelles procédures auxquelles je dois m’habituer en arrivant de la Formule 2, mais les deux semaines d’essais hivernaux ont déjà été très utiles, car elles m’ont permis de bien me préparer pour mon premier week-end. »

« Ce sera ma première visite en Australie, donc, ce sera cool de voir un nouveau pays. J’ai passé beaucoup de temps à préparer la course dans le simulateur à l’usine; il y a quelques nouveaux circuits à apprendre cette année pour moi. »

« Depuis mon départ de Barcelone, j’ai passé beaucoup de temps à travailler avec des ingénieurs et à faire mes derniers préparatifs avant de prendre la piste à Melbourne. Je me sens prêt et j’ai hâte de travailler avec Carlos et l’équipe alors que nous entamons la saison 2019 ensemble. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Ferrari : « Chaque point marqué sera important »

Ferrari s’apprête à débuter la saison 2019 à Melbourne avec une toute nouvelle monoplace et surtout un tout nouveau duo de pilotes.

Charles Leclerc, qui a rejoint la Scuderia Ferrari cette année, fera ses grands débuts avec l’équipe italienne ce week-end à Melbourne au volant de sa SF90.

Ce moment sera certainement très spécial pour le Monégasque, qui s’attend à vivre un Grand Prix d’Australie unique.

« De toute évidence, ce sera une course très spéciale pour moi, comme ce sont mes débuts avec Ferrari, et cela rendra ce GP australien unique. » déclare Charles Leclerc.

« J’ai déjà de bons souvenirs à l’Albert Park, parce que c’est ici que j’ai fait les débuts en Formule 1 l’année dernière [avec Sauber]. Nous avons passé de bons essais hivernaux, et j’ai maintenant hâte d’être en piste pour essayer d’obtenir de bon résultats. »

« Ce circuit est inhabituel, car il ressemble à un circuit urbain, mais il a les caractéristiques d’un circuit permanent avec de grandes vitesses et de bonnes échappatoires. »

« C’est super de venir ici à Melbourne, la ville et les gens sont vraiment très spéciaux, il y a une culture bien différente et l’atmosphère est très agréable. »

Chaque point marqué sera important

Du côté de la direction de l’équipe italienne, Mattia Binotto, le nouveau directeur sportif de Ferrari, insiste sur le fait que chaque point marqué au cours des 21 courses sera important.

« Cette course marque le début de la saison, ce qui est toujours spécial, et chez Ferrari, nous fêtons notre 90e anniversaire, nous sommes très heureux d’avoir Sebastian et Charles comme pilotes. » déclare Binotto.

« Après les essais hivernaux, nous voulons partir en piste et rivaliser avec nos rivaux. Ils sont très très forts, ce sera une saison exigeante et il est important de bien commencer, bien que nous sachions qu’il faudra faire la même chose aux 21 courses. Le championnat se termine en décembre, et chaque point marqué sera important. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Officiel : Un point pour le meilleur tour en course en 2019

La F1 a confirmé ce lundi la mise en place d’une récompense pour le pilote auteur du meilleur tour en course cette saison en Formule 1.

Une innovation importante dans le système de distribution de points a été approuvée à l’unanimité aujourd’hui par le groupe stratégique F1 et la commission F1 via un vote électronique.

Le pilote [ainsi que son équipe] qui signera le meilleur tour en course en 2019 se verra récompenser d’un point, tandis qu’il devra impérativement terminer la course dans le top dix. Aucun point ne sera attribué si le tour le plus rapide est réalisé par un pilote classé en dehors du top 10 final.

Ce point contribuera aux Championnats Pilotes et Constructeurs. Cela signifie que 21 points supplémentaires seront proposés au cours de la saison.

« Avec la FIA, nous nous sommes engagés à évaluer les idées et les solutions qui peuvent améliorer le spectacle tout en maintenant l’intégrité de notre sport. » a expliqué Ross Brawn, le manager sportif de la F1.

« Nous avons senti que la réintroduction, après soixante ans, du point pour le pilote effectuant le tour le plus rapide en course va dans cette direction. Nous avons donc envisagé cette solution – qui représente une réponse aux recherches détaillées menées auprès des milliers de fans à travers le monde. »

« Combien de fois avons-nous entendu les pilotes de la radio demander à l’équipe qui détient le meilleur tour ? Maintenant ce ne sera plus seulement une question de record et de prestige, mais il y aura une motivation concrète qui va rendre la dernière partie de la course encore plus intéressante. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Pas de lutte en interne, mais Binotto a bien failli quitter Ferrari en 2018

L’ex directeur technique de Ferrari, qui est désormais aux commandes de l’écurie de Maranello, Mattia Binotto, admet qu’il a bien failli quitter Ferrari en 2018 en raison des résultats de l’équipe.

Le Suisse, qui est désormais directeur sportif en remplacement direct de Maurizio Arrivabene, continuera également de porter la casquette de directeur technique en même temps cette année.

Mais avant de devenir le patron de la Scuderia, Mattia Binotto a révélé qu’il avait songé à démissionner l’an dernier en raison des résultats décevants de l’équipe italienne.

« Je pensais ne plus être en mesure de faire mon travail, et je l’ai fait savoir. » a déclaré Mattia Binotto au Corriere Della Serra en Italie.

« Ce n’était pas difficile uniquement pour moi, mais pour tout le groupe, car si un directeur technique ne travaille pas au mieux de ses capacités, tout se ressent chez ceux qui coordonnent. »

« Oui, c’est vrai, d’autres équipes s’intéressaient à moi, car mon expérience a de la valeur en F1. Je suis fan de Ferrari depuis que je suis enfant, je n’ai jamais pensé à une autre équipe que Ferrari. »

Binotto a cependant rejeté en bloc toutes les rumeurs qui prétendaient qu’il ne s’entendait pas avec Maurizio Arrivabene, ce qui aurait déclencher une guerre en interne l’an dernier.

« Je travaille chez Ferrari depuis 25 ans, j’ai eu la chance de vivre des moments glorieux avec Jean Todt, Ross Brawn, Michael Schumacher et Stefano Domenicali. »

« Notre relation personnelle a toujours été bonne, il n’y a jamais eu de combats, les difficultés sont apparues dans la vision, la gestion du groupe, où pendant les week-ends de course nous avions des points de vues différents. »

« Arrivabene a lui-même évoqué le fait que je puisse devenir le chef de l’équipe. C’était un choix de la société, et je suis reconnaissant envers Ferrari pour sa confiance et son estime. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Daniel Ricciardo répondra « aux spéculations » sur la piste de Melbourne

Daniel Ricciardo se dit excité de disputer son tout premier Grand Prix avec sa nouvelle équipe à domicile sur le tracé de l’Albert Park.

À Melbourne, Daniel Ricciardo s’apprête à se parer de noir et de jaune pour la première fois en Grand Prix. Avec 150 départs à son actif en F1, l’Australien retrouve ses terres avec l’intention de faire briller ses nouvelles couleurs devant une foule acquise à sa cause.

Avez-vous hâte d’être à domicile pour votre première course aux couleurs de Renault ?

« C’est excitant de disputer mon premier Grand Prix avec Renault devant mon public. En début de saison, il y a toujours une certaine frénésie et je n’ai fait que l’amplifier en rejoignant une nouvelle écurie. »

« J’avais entouré cette date dès l’annonce de ma signature avec Renault, donc je suis impatient d’y être ! L’hiver a été long avec beaucoup de spéculation, mais nous y répondrons sur la piste. Nous avons fait de bons essais hivernaux et je prends de plus en plus de plaisir au volant. La première course devrait être particulièrement excitante. Je me sens à l’aise au sein de l’équipe, dans le garage et dans la voiture… Tout est bien réel maintenant ! »

Y a-t-il un surplus de pression face aux attentes de tout un peuple ?

« En étant le seul représentant du pays sur la grille, je sais que le public australien me soutiendra et j’espère voir une marée jaune en tribunes. Ce serait vraiment motivant ! Il y aura beaucoup d’attentes et d’attention sur nous, mais nous restons réalistes avec nos propres objectifs. »

« Cela n’empêche pas que nous ferons de notre mieux. Le peloton sera serré, mais nous travaillons à réduire l’écart avec les écuries de pointe. La première course ouvre le premier chapitre de cette aventure et j’attaquerai plus fort que jamais pour nous rendre tous fiers. »

Quelles sont vos premières impressions sur la Renault R.S.19 ?

Dans l’ensemble, mes premières impressions ont été positives et nous continuerons à en apprendre davantage tout au long des premières manches. Il faudra un certain temps pour prendre totalement ses repères, mais ce n’est pas surprenant. »

« Nous avons une approche réaliste et beaucoup de travail nous attend. Néanmoins, nous disposons d’une bonne plateforme sur laquelle nous pouvons construire et nous nous efforçons de progresser constamment. »

« Durant les essais, nous avons trouvé des choses intéressantes que nous allons disséquer et prioriser, mais nos plus grands gains se feront au cours des prochains mois.

Décrivez-nous un tour de l’Albert Park…

« C’est un circuit très agréable mêlant des portions rapides et d’autres à moyenne vitesse. Le premier virage est assez rapide. Il mène à une petite ligne droite débouchant sur un gros freinage au T3. Sous les arbres et avec de l’herbe de chaque côté, l’enchaînement du T4 au T8 est très amusant et rythmé avec les monoplaces actuelles. »

« On peut dépasser au T9, mais cela nécessite un peu de bravoure. À la sortie, la petite colline sur la gauche est toujours noire de monde. La section suivante est également très rapide avec la chicane gauche-droite et une autre ligne droite. Le dernier secteur est un peu plus sinueux, mais il est important d’ouvrir sa trajectoire dans les deux derniers virages pour bien entrer dans la ligne droite des stands. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Russell : « Ce sera surréaliste d’être sur la grille de départ »

George Russell débutera sa carrière de pilote de Formule 1 ce week-end à Melbourne où il pilotera sa Williams FW42.

Le jeune britannique, George Russell, fera équipe avec Robert Kubica cette année, et alors qu’il n’a encore jamais pris le départ d’un Grand Prix de F1, Russell s’attend à vivre une situation surréaliste lorsqu’il se positionnera pour la première fois sur la grille de départ à Melbourne.

« Je suis extrêmement excité pour Melbourne. Ce sera ma première course en Formule Un et c’est un rêve devenu réalité. » explique George Russell.

« Je serai très fier et ce sera sûrement un moment surréaliste de prendre place sur la grille de départ avec tout le monde qui prépare le départ et je suis vraiment impatient de vivre cette expérience. »

« Je vais m’assurer d’apprécier, mais je vais aussi donner le maximum et ne pas tout prendre pour acquis. »

« Je ne suis jamais allé en Australie auparavant, je vais donc y aller plus tôt pour m’habituer au temps qu’il fait, et voir la ville avant de commencer à travailler correctement le mardi avant la course. Dans l’ensemble, je suis vraiment impatient de vivre cette expérience. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Jean Todt confirme des discussions pour une grille à 12 équipes

Le président de la FIA, Jean Todt, a révélé qu’il était en discussions avec Liberty Media pour pour pouvoir accueillir deux équipes supplémentaires sur la grille en F1.

Jusqu’à présent, la grille de la Formule 1 n’est composée que de dix équipes, tandis que la situation financière catastrophique de l’équipe Force India l’an dernier a bien failli faire chuter ce chiffre à neuf.

Finalement, un consortium canadien dirigé par le milliardaire Lawrence Stroll a racheté l’équipe Force India, qui a depuis été rebaptisée Racing Point.

Mais pour Jean Todt, le fait de discuter avec les détenteurs des droits commerciaux de la F1 de l’arrivée potentielle de deux équipes supplémentaires, ne veut pas dire pour autant que cela se fera.

« C’est un long débat, nous avons actuellement dix équipes stables, mais nous discutons avec les détenteurs des droits commerciaux et les équipe au sujet du renouvellement des accords Concorde après 2020. » explique Jean Todt.

« Nous réfléchissons à beaucoup de choses, mais bien sûr, je pense que c’est mieux d’avoir douze équipes, même si les équipes ne sont pas satisfaites de cela, car la répartition financière change à nouveau, mais cela fait partie de la discussion. »

« En fin de compte, le nombre d’équipes n’est pas le facteur le plus important. Ce qui est le plus important, ce sont la qualité des équipes et la qualité des courses, et nous sommes tout à fait d’accord avec la Formule 1. Nous travaillons très étroitement avec Chase Carey et son équipe. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Vasseur : « Une situation financière intenable pour au moins six équipes »

Selon Frederic Vasseur, le team principal d’Alfa Romeo Racing, la situation financière actuelle en Formule 1 n’est pas viable pour au moins six des dix équipes de la grille.

Liberty Media, la FIA et les équipes de Formule 1 sont  actuellement en pleines discussions concernant la nouvelle réglementation qui entrera en vigueur en 2021 en F1.

Des négociations sont également en cours sur les nouveaux accords concorde qui régissent la redistribution des gains et des revenus aux équipes de Formule 1.

« Le problème est qu’il y a dix équipes autour de la table, chacune avec une approche différente, une structure complètement différente et un budget différent, je ne veux pas parler de compétitivité, mais si vous regardez Haas et Renault: ils sont au même niveau, mais avec une approche complètement différente. » explique Fred Vasseur à GPToday.net

« Si vous écoutez tout le monde, vous ne trouverez aucun compromis, car aucune décision ne convient à une entreprise, mais elle doit finalement agir et se décider. »

« Il est bon que tout le monde soit écouté, mais à un moment donné, il faut agir et des responsabilités doivent être assumées. Bien sûr, certaines équipes ne seront pas heureuses, mais vous ne devez pas trouver le meilleur compromis, mais la meilleure direction pour le sport. »

Concernant la limite budgétaire qui devrait être introduite en 2021, Frederic Vasseur espère que les négociations permettront à toutes les équipes de la grille de survivre.

« Honnêtement, il faut un point de départ, parce que vous savez que cette situation est intenable pour au moins six équipes sur la grille. »

« Je pense que nous, les propriétaires et les actionnaires des équipes faisons de notre mieux pour survivre aux changements qui entreront en vigueur en 2021, car cela doit être changé. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Les GP F1 diffusés à l’Atelier Renault en 2019

Renault vous propose de venir à l’atelier Renault à Paris pour regarder les Grands Prix F1 sur écran géant tout au long de cette saison.

Le constructeur français Renault vous accueillera tout au long de la saison à l’atelier Renault situé au 53 avenue des Champs-Elysées à Paris.

Le premier Grand Prix de la saison 2019 diffusé en direct sur écran géant sera le Grand Prix d’Azerbaïdjan qui se disputera le 24 avril à 14h10 (heure française).

La seconde date connue de diffusion d’un Grand Prix sera le Grand Prix d’Espagne le 12 mai à 15h10 (heure française).

Notez que pour pouvoir assister à la diffusion des Grands Prix, il vous faudra vous inscrire sur le site web de l’atelier Renault (les inscriptions ne sont pas encore ouvertes).

Vous pourrez ensuite accéder à la Fan Zone de l’atelier, tandis que le kit supporter Renault F1 Team vous sera offert pour l’occasion, ainsi qu’un accès au bar soft le temps de la retransmission.

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Carlos Sainz a hâte de disputer son premier GP avec McLaren

Carlos Sainz est impatient de faire ses débuts avec sa nouvelle équipe McLaren au Grand Prix d’Australie cette semaine.

Le pilote espagnol, qui a quitté Renault pour rejoindre McLaren cette saison, est comme tous les autres pilotes, il ne sait pas à quel niveau se trouve son équipe à la veille de la saison 2019.

Après les essais hivernaux de Barcelone, Carlos Sainz connait à peu près le niveau de compétitivité de sa monoplace, mais la comparaison avec les autres monoplaces de la grille devra encore attendre jusqu’aux qualification du GP d’Australie samedi prochain.

« Après deux semaines d’essais productifs de pré-saison, je suis impatient de débuter la saison 2019. » déclare le pilote McLaren.

« Melbourne est le lieu idéal pour commencer, et je me souviendrais toujours de mes premiers points marqués en Formule 1 ici. Aujourd’hui, j’ai vraiment hâte de disputer mon premier Grand Prix avec McLaren. »

« Les essais hivernaux on été décisifs pour mon intégration au sein de l’équipe, et je suis très confiant du travail réalisé avec mes ingénieurs. Je me sens en forme et prêt pour aller sur la piste, il est enfin temps d’aller en course et de voir notre niveau par rapport à nos concurrents. La F1 m’a trop manqué cet hiver ! »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Hulkenberg : « Aucune certitude avant d’être en piste en Australie »

Le Grand Prix d’Australie ouvre la troisième saison de Nico Hülkenberg dans l’équipe Renault, mais aussi sa neuvième année en Formule 1.

Après avoir signé le cinquième meilleur temps des essais hivernaux, Nico Hulkenberg a désormais hâte de lancer sa nouvelle campagne à l’Albert Park de Melbourne.

Vous tarde-t-il d’être au premier rendez-vous de l’année en Australie ?

Je suis vraiment impatient d’être à Melbourne. Il y a eu beaucoup de spéculation lors des essais et tout au long de l’hiver, mais ces débats prendront fin lorsque nous découvrirons où nous en sommes réellement dès le premier week-end de course.

Les tests se sont bien passés, mais nous n’avons aucune certitude avant d’être en piste en Australie. Le peloton sera toujours très concurrentiel, mais nous nous concentrons sur nous-mêmes, nous restons au fait des choses et nous veillons à ce que nos évolutions représentent des améliorations. 

Quel est votre état d’esprit avant de vous rendre en Australie ?

Notre but principal est d’être dans une position plus confortable que l’an dernier. Nous voulons davantage de points et de meilleurs résultats pour valoriser nos efforts. Nous nous sommes préparés au mieux pour Melbourne et je m’en réjouis. J’ai un nouvel équipier apportant un vrai plus. C’est un pilote de qualité et nous nous tirerons mutuellement vers le haut. Nous allons prendre la mesure l’un de l’autre, mais j’ai hâte de relever ce défi !

Quelles sont vos premières impressions sur le package 2019 ?

Les sensations sont similaires à celles procurées par la voiture de l’an dernier, mais ce n’est pas une véritable surprise. Je suis à l’aise au volant et c’était bien de boucler plus de 500 tours en deux semaines.

Nous avons construit une bonne base de données avant Melbourne. Nous avons certes fait progresser l’ensemble dans de nombreux domaines, mais il nous en reste beaucoup d’autres à développer. C’est un cycle sans fin en F1, mais nous sommes satisfaits de notre base de travail. 

À quel point Melbourne et son circuit urbain sont-ils redoutables ?

C’est toujours un défi de passer de deux semaines d’essais sur un billard à un tracé temporaire et en ville. Vendredi matin, on sent en général les bosses et un certain manque d’adhérence tant que la piste n’est pas encore gommée.

Cela dit, les conditions s’améliorent au fil du week-end. Le cadre offert par l’Albert Park est très joli et les fans y sont toujours présents en nombre. Il y a des sections rapides et de bons vibreurs à escalader. C’est d’ailleurs très satisfaisant de les négocier à la perfection. C’est un endroit idéal pour lancer la saison et j’ai vraiment hâte d’être au volant pour la première séance d’essais libres.

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Pirelli va en apprendre beaucoup sur ses pneus à Melbourne

Le patron de Pirelli s’attend à avoir beaucoup de réponses à ses questions lors de la première manche de la saison en Australie cette semaine.

En 2019, Pirelli a décidé de simplifier sa gamme en passant de sept à cinq composés et en les renommant, C1, C2, C3, C4 et C5. Le pneu le plus dur est le C1, alors que le plus tendre de la gamme est le C5.

Après les essais hivernaux, Pirelli n’a pas encore pu constater avec précision si ses pneus 2019 étaient plus performants et se dégradaient moins que la précédente génération. Le Grand Prix d’Australie sera donc un moment de révélation pour le manufacturier unique de la F1.

« Nos nominations dur, médium et tendre cette année sont à peu près équivalentes aux composés médium, tendre et ultra-tendre de la saison 2018. » explique Mario Isola, le directeur de Pirelli en F1.

« Cela devrait permettre aux pilotes de pousser fort du début à la fin de chaque relais. Après un test très productif à Barcelone, nous sommes convaincus que la gamme de pneus 2019 est en passe de répondre à nos objectifs, qui associent performance et durabilité. »

« Bien entendu, un certain nombre d’aspects – tels que la dégradation sur la durée d’un relais – ne seront révélés qu’après des essais libres en Australie. »

« Une autre considération importante en Australie consistera à voir comment les nouvelles règles aérodynamiques fonctionnent et si cela conduit à davantage de dépassements, ce qui est difficile à établir lors des tests. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Robert Kubica a beaucoup de choses à découvrir pour sa première course

Après une absence de huit ans, Robert Kubica fera son grand retour en F1 cette semaine à Melbourne pour la première course de la saison 2019.

Loin des paddocks pendant huit ans en raison d’un accident de Rallye au cours de l’hiver 2011, le Polonais Robert Kubica sait qu’il va devoir réapprendre beaucoup de choses.

Depuis sa dernière course en 2010, le monde de la Formule 1 a beaucoup évolué, notamment avec l’arrivée des moteurs hybrides, qui ont obligé les pilotes à avoir une approche différente pendant les courses.

« Ce sera un Grand Prix avec beaucoup d’émotions pour moi. » nous explique Kubica. « Ce sera un seconde début [de carrière] pour moi après avoir été absent du sport pendant de nombreuses années. »

« Ma dernière course de Formule 1 a eu lieu à Abou Dhabi en 2010, alors je suis impatient d’aller en Australie avec quelques choses à découvrir et à apprendre. »

« J’espère pouvoir profiter du week-end et que tout se passera sans heurts pour que je puisse me concentrer sur ma conduite et découvrir une nouvelle Formule 1. »

« Piloter une Formule 1 est une chose, mais piloter en course en est une autre. Au fil des ans, je pense que l’approche des courses a changé, alors j’ai beaucoup de choses à découvrir mais j’attends avec impatience. »

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réserve aux fans de F1.

Williams a dû redoubler d’efforts pour être prête pour le GP d’Australie

L’équipe Williams admet qu’elle a dû redoubler d’efforts pour permettre à ses pilotes d’avoir une monoplace prête pour la première course de la saison à Melbourne.

L’écurie britannique, Williams, a débuté les essais hivernaux 2019 avec plus de deux jours de retard sur le reste de la grille, ce qui ne lui a pas permis de boucler l’intégralité des programmes préparés pour les tests hivernaux avec sa nouvelle monoplace.

De plus, Williams s’est présentée à Barcelone avec une monoplace légèrement en infraction avec la réglementation 2019, ce qui a obligé les ingénieurs à modifier le système de suspensions avant de la FW42, ainsi que les rétroviseurs, qui auraient été jugés non conformes à Melbourne.

C’est donc après de longues heures de travail à l’usine de la part des ingénieurs et mécaniciens que l’écurie britannique arrive à Melbourne pour la première course de la saison.

« Pour nous, il a fallu un travail énorme de la part de tout le monde à Grove pour préparer suffisamment de pièces, mettre en place toutes nos procédures et veiller à ce que les pilotes soient dans la meilleure position possible pour commencer la compétition. » explique Dave Robson, ingénieur de course principal chez Williams.

« La première course est toujours l’une des plus intéressantes car on voit pour la première fois l’ordre réel des performances. »

« En ce qui concerne le circuit en lui-même, c’est une piste assez inhabituelle qui peut être assez bossellé et où il est difficile de freiner. Elle impose de nombreuses exigences à la fois en termes de maniabilité, mais aussi d’endurance des pilotes, mais également en termes d’aérodynamisme. »

« La passionnante chicane à grande vitesse du T11 / 12 étant particulièrement exigeante. C’est un bon test pour les pilotes et les voitures, mais cela peut donner des résultats inhabituels. Enfin, nous souhaitons à tous nos fans un bon début de saison. »

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Ferrari ne veut pas simplement gagner, mais souhaite débuter un nouveau cycle en 2019

Mattia Binotto, le nouveau directeur sportif de la Scuderia Ferrari, est revenu sur la relation qu’il entretenait avec l’ancien directeur, Maurizio Arrivabene.

Malgré les rumeurs d’une guerre interne entre les deux hommes, Mattia Binotto insiste sur le fait que sa relation avec Maurizio Arrivabene était très bonne chez Ferrari, même si les deux hommes pouvaient avoir quelques divergences sur certains aspects de la gestion de l’équipe  pendant les week-ends de course.

« Je travaille chez Ferrari depuis 25 ans, j’ai eu la chance de vivre des moments glorieux avec Jean Todt, Ross Brawn, Michael Schumacher et Stefano Domenicali. » explique Binotto au Corriere Della Serra.

« Notre relation personnelle a toujours été bonne, il n’y a jamais eu de combats, les difficultés sont apparues dans la vision, la gestion du groupe, où pendant les week-ends de course nous avions des points de vues différents. »

« Arrivabene a lui-même évoqué le fait que je puisse devenir le chef de l’équipe. C’était un choix de la société, et je suis reconnaissant envers Ferrari pour sa confiance et son estime. »

Une promotion inattendue

Mattia Binotto insiste cependant sur le fait qu’il ne s’attendait absolument pas à devenir directeur technique de la Scuderia. En outre, le nouveau directeur sportif explique que la décision de l’ancien président de Ferrari, Sergio Marchionne, était due à la nouvelle organisation horizontale qu’il souhaitait pour la Scuderia.

« Ma promotion était complétement inattendue, parce que j’avais déjà été promu pour diriger le département moteur en 2014. »

« Je pense qu’avec cette seconde promotion, Marchionne voulait briser le moule, pas seulement chez Ferrari, mais dans la F1, alors que je n’avais encore jamais conçu de voiture en tant que directeur technique. »

Débuter un nouveau cycle en 2019

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari ne veut pas seulement se contenter de remporter le titre mondial cette année, mais il souhaite également débuter un nouveau cycle, alors que depuis 2014, c’est Mercedes qui domine la Formule 1.

« C’était un vrai pari en total connexion avec cette organisation horizontale. Le plus difficile est de nous organiser aujourd’hui, mai aussi demain, l’organisation d’une structure prête pour les règles de 2021. »

« Il s’agit de rationaliser les processus, afin que tout le groupe regarde au delà de ce qui est bien pour moi. Les rênes de ce jeu sont entre mes mains et je suis bien conscient que ce sont mes collaborateurs qui peuvent faire la différence. »

« Nous ne sommes pas ici pour gagner une saison, nous sommes ici pour ouvrir un tout nouveau cycle. » conclut Binotto.

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Renault : « Beaucoup d’attentes pour cette première course »

Renault aborde la première course de la saison 2019 avec beaucoup d’optimisme après huit journées d’essais productives en Espagne lors des tests hivernaux.

L’écurie du constructeur français sait que la lutte sera serrée parmi les équipes formant le peloton cette année, mais Renault compte sur une fiabilité sans faille pour essayer de marquer un maximum de points tout au long de l’année.

« Le Grand Prix d’Australie, premier de la saison, est un moment fort et plus particulièrement cette année avec la présence de Daniel Ricciardo dans nos rangs. Nous nous y rendons unis et animés d’une détermination sans faille. » déclare Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« Nous disposons d’un nouveau châssis qui a montré du potentiel à Barcelone. Le groupe propulseur a progressé et notre duo de pilotes composé de Daniel et Nico est peut-être l’un des plus fort de la grille. »

« Nous sommes impatients de les voir mettre en valeur leur expérience et leur talent en piste. Il y a beaucoup d’attentes pour cette première course, d’autant qu’il s’agira de la première de Daniel dans notre écurie et qu’il évoluera à domicile. » 

« Les deux semaines d’essais hivernaux à Barcelone ont été productives. Nous avons en grande partie bouclé notre programme grâce à un très bon kilométrage. » 

« Mais, seule la course donne les réponses, permet de se situer mais aussi de progresser, c’est l’heure de vérité. La première course est un des moments les plus intenses de la saison pour toutes les équipes. »

« La performance du groupe propulseur est là, en nette progression, conforme à nos objectifs et c’est une réelle satisfaction. Vu le niveau de fiabilité constaté à Barcelone, la sensibilité fiabilité sera un peu différente. »

La fiabilité sera essentielle

« Si la fiabilité ne fera pas gagner de points facilement comme cela a pu être le cas dans le passé, la perte de points suite à des abandons sera d’autant plus pénalisante. Nous allons donc être particulièrement vigilants sur ce point dès le début de saison. » 

« Le calendrier compte 21 courses, soit autant d’occasions de poursuivre notre progression. L’objectif de nous rapprocher des meilleurs est ambitieux mais nous sommes déterminés et chaque détail sera pris en compte. »

« Nous croyons en nos capacités et notre objectif est de donner le ton d’une bonne saison en commençant de la meilleure des manières en Australie dès ce week-end. »

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Ricciardo ne sera pas déçu si Red Bull termine devant Renault à Melbourne

Daniel Ricciardo ne sera pas déçu de voir une Red Bull le devancer à l’arrivée du Grand Prix d’Australie, première manche de la saison 2019 de Formule 1.

Pour le pilote Renault, Daniel Ricciardo, qui a quitté l’équipe Red Bull Racing à la fin de la saison 2018, ce ne sera pas une déception si Red Bull bat Renault au GP d’Australie ce week-end.

Ricciardo est bien conscient que Renault n’est pas encore au niveau de l’équipe de Milton Keynes en ce début d’année; même si le pilote australien ne cache pas qu’il souhaiterait pouvoir battre l’un des trois meilleures équipes au moins une fois cette année.

« Je savais qu’au moins à Melbourne Red Bull serait devant. » explique Daniel Ricciardo. « Je ne serais pas déçu s’ils nous battaient là-bas, parce que je pense que nous sommes sur une route différente. »

« Je suppose qu’un grand nombres de gens pensent que si Renault bat Red Bull ce serait bien. Mais nous n’en sommes pas encore là, et si nous arrivons à battre l’une des trois meilleures équipes, je serai excité. »

« Je pense que Renault dispose de ressources suffisantes pour entrer dans ce monde [celui des trois meilleures équipes], ce n’est pas quelque chose d’inatteignable. Ce n’est peut-être pas pour cette année, mais nous progressons. »

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Coulthard : « Le duo Vettel-Leclerc est dangereux pour Hamilton »

Selon David Coulthard, Lewis Hamilton ba devoir se méfier du nouveau duo de pilotes de la Scuderia Ferrari, Sebastian Vettel et Charles représentant un duo « dangereux » pour le Britannique en 2019.

David Coulthard estime que le duo formé par Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen l’an dernier n’a pas été capable de pousser Lewis Hamilton dans ses derniers retranchements.

Mais pour cette nouvelle saison, Coulthard estime que l’arrivée de Charles Leclerc va clairement changer la donne, l’Écossais estimant que le jeune monégasque va pousser Vettel, ce qui deviendra encore plus dangereux pour Hamilton.

« En ce qui concerne Lewis, le duo Sebastian Vettel et Charles Leclerc sera à mon avis plus dangereux que Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen. » a déclaré Coulthard

« Je n’ai pas vu Kimi remporter beaucoup de courses la saison dernière, c’est ça la réalité, et je serai très surpris si Charles [Leclerc] ne sabrerait pas le champagne sur le podium au moins à deux reprises cette année. »

« Il est jeune, enthousiaste et assez rapide pour pousser Vettel. Cela mettra non seulement Sebastian sur ses gardes, mais Lewis aussi. »

« Ferrari n’a pas joué de sa meilleure main la saison dernière. Je ne suis pas certain que Seb et Kimi ont eu l’impression de recevoir un soutien optimal. »

« S’ils veulent vraiment donner du fil à retordre à Lewis, l’équipe va devoir se dépasser un peu plus et les pilotes aussi. »

Venez en discuter dans le Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de Formule 1.

Hamilton pilotera une MotoGP « tôt ou tard »

Lewis Hamilton n’écarte pas l’idée de piloter une MotoGP un jour, mais le Britannique annonce que ce sera en loisir, pas en compétition.

Le quintuple champion du monde de Formule 1, Lewis Hamilton, a rendu visite aux pilotes MotoGP ce week-end à Losail, où se disputait le Grand Prix du Qatar.

Grand passionné de motos, Lewis Hamilton a insisté sur le fait qu’il essayerait une MotoGP tôt ou tard, mais uniquement pour s’amuser.

« Je piloterai certainement une MotoGP tôt ou tard. » a annoncé Lewis Hamilton ce dimanche lors de sa visite au Grand Prix MotoGP du Qatar.

« J’ai commencé à courir en kart à l’âge de huit ans et ces gars-là ont fait de même, mais avec une minimoto. Je suis beaucoup plus lent qu’eux et je suis trop vieux pour changer de discipline, même si j’aime ça pendant mon temps libre. »

Hamilton; qui est un grand admirateur de Valentino Rossi, six fois champion dans la catégorie MotoGP, a déclaré ne pas avoir entendu parler des rumeurs selon lesquelles le Britannique et l’Italien échangeraient leurs machines un jour.

« Je dois aller au ranch, on en parle depuis des années, on doit le faire, même pendant la saison, juste pour essayer, mais je n’ai rien entendu à propose de cet échange. » confie Lewis Hamilton.

« Ce serait fous de piloter sur la même piste que Valentino, je suis vraiment un grand fan de lui, mais je pense qu’il devrait tout m’apprendre. »

« J’ai commencé à faire des tests en 2018 et je me suis beaucoup amusé, et je ne suis pas si  mauvais, mais je ne suis pas assez rapide, si je n’étais pas impliqué en Formule 1, je testerais ces machines toute la journée. »

Venez en discuter au Parc Fermé, le nouveau réseau social réservé aux fans de F1