Jarno Trulli met en garde Antonio Giovinazzi

L’ancien pilote de F1, Jarno Trulli, met en garde son compatriote Antonio Giovinazzi sur les risques qu’il pourrait prendre en début de saison et qui pourraient lui coûter cher.

Giovinazzi débutera sa carrière en F1 avec Alfa Romeo ce week-end à Melbourne, alors que l’Italien a déjà pris le départ de deux Grands Prix jusque là avec l’équipe Sauber en 2017.

Antonio Giovinazzi avait été appelé à la rescousse pour remplacer Pascal Wehrlein, qui s’était blessé au cours de l’hiver, et qui ne pouvait pas piloter sa Sauber pour les deux premières courses de la saison 2017.

Malheureusement pour Giovinazzi, sa seconde prestation au Grand Prix de Chine s’est soldée par deux crashs en moins de 24 heures.

Jarno Trulli met donc en garde son compatriote, il ne devra pas réitérer les mêmes erreurs cette année, sans quoi, sa carrière pourrait s’arrêter là.

« Il doit faire attention lors des premières courses et éviter les dégâts. » prévient l’Italien dans un entretien accordé à Auto Moto en Italie.

« Antonio doit faire ses débuts en ne faisant aucun dégât, il doit juste rester le plus proche de Kimi [Raikkonen] et apprendre le plus vite possible. Antonio doit garder une marge. »

« Je sais que c’est très difficile à mettre en oeuvre, mais c’est la Formule 1, et s’il ne montre pas qu’il a compris et qu’il a les qualités, ils ne lui donneront pas le temps de se rattraper, mon conseil est que pour les quatre ou cinq premières courses il doit se garder une marge, sans aller à la limite. »

« Après la cinquième course, il ne doit plus avoir peur de rien et se donner à 110% à chaque occasion. Je pense qu’il a la voiture pour bien faire. »

« D’après ce que j’ai vu, l’Alfa Romeo a une bonne base, il aura un partenaire expérimenté et un point de référence, alors s’il est derrière lui dans les premières courses, ce n’est pas un problème, il doit prendre les mesures, mais alors ensuite, il doit attaquer sans pitié. »

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GP d’Australie : Le point sur la météo

Voici le bulletin météo de la toute première course de la saison 2019 de Formule 1 qui se déroulera ce week-end en Australie dans la ville de Melbourne.

Pour le Grand Prix d’Australie 2019, la météo s’annonce excellente tout au long des trois journées qui conditionnent ce week-end de Grand Prix.

Cependant, Melbourne est connue pour son temps changeant, et on dit même que l’on peut même y voir défiler les quatre saisons en une seule journée.

Vendredi 15 mars – Essais libres 1 et 2

Il fera beau sur Melbourne pour cette première journée de roulage de l’année, les températures seront un peu fraîches en matinée [13°], mais le mercure ne cessera de monter au fil des heures pour atteindre les 25° dans l’après midi à l’heure des essais libres 2.

Samedi 16 mars – Essais libres 3 et qualifications

Pour cette journée de samedi, la situation sera identique à celle de vendredi avec un beau ciel bleu et des températures pouvant même atteindre les 29° à l’heure des qualifications dans l’après midi.

Dimanche 17 mars – La course

Il y aura un peu plus d’incertitudes pour cette journée de dimanche, il devrait faire beau à l’heure du départ de la course, mais quelques passages nuageux ne sont pas à exclure dans le courant de l’après midi.

Les horaires de chaque séance du GP d’Australie 2019 (heure française)

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Vettel sur l’arrivée de Binotto : « Nous essayons de tourner la page »

Sebastian Vettel estime que le nouveau directeur sportif de la Scuderia, Mattia Binotto, devrait faire du bon travail cette année en raison de sa grande expérience au sein de l’équipe depuis 25 ans maintenant.

Mattia Binotto a été promu directeur sportif de la Scuderia en début d’année, en remplacement direct de Maurizio Arrivabene, qui a été remercié par l’équipe italienne.

Binotto n’est pas un illustre inconnu chez Ferrari, puisque l’ingénieur a rejoint Maranello en 1995 comme ingénieur motoriste dans l’équipe d’essais, avant de rejoindre l’équipe de course deux années plus tard.

Binotto a ensuite réussi à gravir tous les échelons pour finalement terminer directeur sportif de l’une des plus grandes équipes de Formule 1 en 2019.

« C’est évidemment un grand changement, mais Mattia fait partie de l’équipe depuis plus longtemps que la plupart des gens qui travaillent chez Ferrari. » a déclaré Vettel ce mercredi à Melbourne.

« Je pense qu’il est là depuis au moins 25 ans, il n’est donc pas nouveau. Je pense que les gens le connaissent et ont appris à le connaître et à lui faire confiance. C’est un nouveau défi, mais je pense que pour toute l’équipe, nous essayons de tourner la page. »

L’état d’esprit est bon dans l’équipe

Concernant les performances de la Ferrari SF90, Sebastian Vettel espère naturellement que l’équipe a réussi à cet hiver à corriger les faiblesses de la SF71-H de la saison passée.

« Nous avions nos faiblesses ici et là l’année dernière et nous avons évidemment essayé de les corriger et de faire beaucoup mieux cette année. » souligne le pilote allemand.

« Jusqu’à présent, l’état d’esprit est bon, l’équipe est sur la bonne voie. Je pense que la voiture est bonne, mais nous ne le verrons que lorsque nous débuterons ici à Melbourne. »

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Ecclestone : « McLaren et Williams ont besoin d’un nouveau chef d’équipe »

L’ancien grand argentier de la F1, Bernie Ecclestone, pense que McLaren et Williams ont absolument besoin de nouveaux dirigeants pour retrouver leur compétitivité d’antan.

Depuis quelques saisons maintenant [depuis le début de l’ère hybride en réalité], McLaren et Williams, deux équipes historiques en F1, rencontrent de grandes difficultés à concevoir une monoplace victorieuse.

McLaren, qui a décidé en 2015 de s’équiper du moteur Honda, a connu une longue traversée du désert pendant trois années, tandis que l’arrivée de Renault l’an dernier en tant que motoriste n’a fait qu’améliorer légèrement la compétitivité de l’équipe.

Williams quant à elle a terminé la saison 2018 à la dernière position au classement des constructeurs, tandis que pour 2019, l’écurie fondée par Sir Franck Williams s’est déjà fait remarquer par son retard de plus de deux jours lors de son arrivée à Barcelone pour les essais hivernaux.

Pire, à seulement une semaine du début de la saison 2019, l’équipe britannique a remercié son directeur technique, Paddy Lowe, qui a quitté l’écurie officiellement « pour des raisons personnelles » 

Selon Ecclestone, ce sont les dirigeants de ces deux équipes qui sont les seuls responsables de cette longue traversée du désert.

« Elles ne sont plus entre les mains d’hommes extrêmement compétitifs comme Ron Dennis ou Franck Williams. Pour redevenir compétitives, elles doivent trouver un autre Ron ou un autre Franck. » a déclaré Ecclestone au Corriere Della Serra.

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Mercedes explique pourquoi les négociations avec Ricciardo n’ont pas pu aboutir

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, est revenu sur les raisons qui ont poussé Mercedes à ne pas insister auprès de Daniel Ricciardo l’an dernier lorsque le pilote australien cherchait un autre baquet pour la saison 2019.

Ricciardo, qui est resté une décennie dans le giron Red Bull, a décidé de quitter le cocon familial pour rejoindre Renault cette année.

Mais avant que le contrat ne soit signé avec le constructeur français, Ricciardo a été en discussions avec plusieurs équipes, dont McLaren et Mercedes.

Pendant cette période de négociations pour Daniel Ricciardo, l’équipe Mercedes continuait d’évaluer son propre pilote, Valtteri Bottas, dans l’optique de prolonger son contrat en 2019.

Les résultats du Finlandais en Grand Prix étaient donc très surveillés au cours de ces quelques semaines entre mai et juin, mais finalement, le pilote Mercedes a convaincu son employeur de le garder une saison de plus.

Les négociations entre Mercedes et Daniel Ricciardo se sont alors arrêtées subitement, et le pilote australien a annoncé quelques jours plus tard qu’il rejoignait Renault pour 2019.

« Nous avons toujours regardé Daniel, mais si vous êtes heureux dans une relation, vous n’avez pas besoin de changer de femme. » explique Toto Wolff, le patron de Mercedes en Formule 1.

« Si en mai ou en juin nous n’avions pas été satisfaits de Valtteri, nous aurions alors poursuivi les négociations. mais Valtteri s’en est bien tiré, et à ce moment-là de la saison, nous ne voulions pas perdre de temps avec Daniel. »

Toto Wolff en a profité également pour remettre un dernier coup de pression sur les épaules de Valtteri Bottas, qui se sait menacé par Esteban Ocon, le Français attendant sagement son heure en tant que troisième pilote de l’équipe.

« Valtteri participera à la compétition 2019, mais il sait exactement ce qu’il doit faire. » insiste le manager autrichien.

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Red Bull est certaine de pouvoir combler l’écart avec Mercedes et Ferrari

Red Bull Racing débutera officiellement son partenariat avec Honda ce week-end lors de la première course de l’année, et jusqu’à présent, tout le monde se veut plutôt optimiste dans l’équipe de Milton Keynes.

Max Verstappen, qui n’a jamais manqué une occasion de critiquer Renault lorsque le constructeur français motorisait encore Red Bull jusqu’à l’année dernière, se montre très enthousiaste de travailler avec le moteur Honda en 2019.

Après huit jours de tests à Barcelone, le Hollandais sait à peu près à quoi s’attendre avec son nouveau moteur, et cela semble lui convenir à la veille de la première course de la saison.

« C’était bien d’avoir un peu de répit [pause hivernale], mais j’étais très pressé de remonter dans la voiture. » explique Verstappen ce mercredi à Melbourne.

« Lorsque nous avons pris la piste à Barcelone, tout s’est bien passé. Nous avons passé en revue tous les détails avec notre nouveau partenaire moteur, c’est une période très excitante pour nous. »

Red Bull va combler l’écart avec Mercedes et Ferrari

Pour le team principal de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, l’écart entre son équipe et Mercedes et Ferrari reste encore grand en ce début d’année, mais le Britannique estime que Red Bull pourra certainement combler cet écart en cours de saison.

« Nous débutons un nouveau partenariat passionnant avec Honda ce week-end, et les débuts [aux essais hivernaux] sont très positifs. » nous a expliqué Horner ce mercredi à Melbourne.

« Après, il y a un écart énorme à combler avec Mercedes et Ferrari, mais nous sommes certains de pouvoir le faire au cours de l’année. »

« Je pense qu’avec notre duo de pilotes, nous avons une équipe forte…Nous sommes vraiment impatients de débuter la compétition. »

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La Safety Car VS la Medical Car à Melbourne

« A partir du moment où l’on peut voir une Safety Car en piste, c’est que des F1 ne sont pas très loin. » m’a t-on dit lorsque j’ai débuté le métier.

Je peux donc vous confirmer que la saison 2019 s’apprête à débuter incessamment sous peu, puisque la Safety Car et la Medical Car ont enfin pris la piste pour la première fois de l’année à Melbourne ce mercredi.

Véritable séance d’essais libres pour les pilotes de ces deux bolides, la piste de Melbourne a été spécialement fermée pour leur permettre de s’entraîner avant le début des hostilités vendredi.

Parce que oui, les pilotes de ces deux véhicules hors normes ont besoin d’un entrainement spécifique avant de pouvoir rouler devant des F1 (pour la Safety Car) ou bien rejoindre les lieux d’un accident en un temps record (pour la Médical Car).

Je vous laisse observer la prise de risques du pilote de la Safety Car (Bernd Mayländer) lors de cette première séance d’entrainement de l’année.

La Safety Car et la Medical Car en action à Melbourne

©images F1TV

 

Lewis Hamilton s’attend à quelques surprises en 2019

Lewis Hamilton pense que les équipes faisant partie du top 3 n’auront plus une confortable avance sur le reste de la grille cette année.

Selon le pilote Mercedes, l’écart s’est nettement resserré en 2019 entre les trois meilleures équipes de la grille et le peloton mené l’an dernier par Renault.

Le Britannique estime à une demi-seconde l’écart qui sépare le top 3 du reste de la grille et s’attend donc à quelques surprises au cours de la saison.

« Les autres équipes derrière se sont rapprochées, je ne sais pas quelle équipe est quatrième, mais elles sont bien plus proches qu’elles ne l’étaient pas le passé. » explique Lewis Hamilton.

« Avant, il y avait un écart d’une seconde ou quelque chose comme ça, mais je pense que désormais c’est peut-être une demi-seconde, peut-être moins, ce qui est génial en soit. »

« Comment va se passer leur développement tout au long de l’année ?, est-ce qu’ils auront la capacité de se développer autant que les équipes du top 3 ? C’est probablement la plus grosse question. »

« Ce sera excitant, peut-être que nous allons voir des courses lors desquelles Renault ou Racing Point seront bien mieux placées que par le passé. »

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Sebastian Vettel révèle le nom qu’il a choisi pour sa monoplace 2019

Les équipes et pilotes de la saison 2019 étaient tous réunis ce mercredi à Fédération Square à Melbourne pour lancer tous ensemble la saison 2019 de Formule 1.

A travers un show de présentation, les pilotes et leur directeur d’équipe sont montés sur la scène à tour de rôle pour lancer de façon officielle la saison 2019.

Grand animateur de cette fête, l’ancien pilote de Formule 1, Mark Webber, a demandé à Sebastian Vettel s’il avait déjà choisi un nom pour sa monoplace 2019.

En effet, le pilote allemand en a fait une tradition, puisque chaque année, en marge du Grand Prix d’ouverture de la saison, il révèle le nom qu’il a choisi pour sa nouvelle monoplace.

Cette « tradition » remonte à ses débuts en F1 chez Toro Rosso en 2008, où il avait baptisé sa STR3 Julie, puis est arrivée la Red Bull RB5 Kate, puis la RB6 Luscious Liz, la RB7 Kinky Kylie, la RB8 Abbey, la RB9 Hungry Heidi, la RB10 Suzie, la Ferrari SF-15T Eva, la Ferrari SF16-H Margherita, la Ferrari SF70-H Gina et la SF71-H Loria.

Cette année, pour sa cinquième saison avec l’équipe Ferrari, le quadruple champion du monde a décidé de baptiser sa SF90 Lina.

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Fred Vasseur : « Hâte de voir où nous en sommes »

Frederic Vasseur, le patron de l’équipe Alfa Romeo Racing, admet qui lui tarde désormais de voir où se trouve son équipe par rapport au reste de la grille.

Le Français aura à sa disposition un tout nouveau duo de pilotes cette année avec l’arrivé dans l’équipe du champion du monde 2007, Kimi Raikkonen, et du jeune pilote italien Antonio Giovinazzi.

Après avoir terminé la saison 2018 à la huitième position, l’équipe Alfa Romeo [qui s’appelait encore Sauber en 2018] visera à gravir les échelons cette année avec une C38 qui semblait particulièrement véloce lors des essais hivernaux à Barcelone.

« Notre arrivée à Melbourne symbolise le début d’une autre grande opportunité pour notre équipe après avoir réalisé d’excellents progrès et montré notre potentiel au cours de la dernière année. » a déclaré Fred Vasseur, le team principal de l’équipe Alfa Romeo Racing.

« Nous sommes impatients de bien démarrer la saison 2019. Nous avons un excellent duo de pilotes et un soutien solide de la part de notre équipe dans tous les départements, dans notre usine comme sur la piste de course. »

« ‘J’ai hâte de voir où nous en sommes pour ce début d’année et nous ferons de notre mieux pour continuer à gravir les échelons au cours des prochains mois. »

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Raikkonen : « Faire la fête vous rend meilleur pilote »

Le Finlandais Kimi Raikkonen reste persuadé que faire la fête entre chaque Grand Prix peut vous aider à devenir un meilleur pilote.

Le pilote Alfa Romeo est bien connu dans la paddock pour soirées arrosées, en totale opposition avec l’image de l’homme froid et renfermé qu’il peut laisser paraître à la télévision lors des week-ends de course.

Aujourd’hui père de famille dévoué et très bientôt retraité du sport [deux ans de contrat avec Alfa Romeo], Kimi Raikkonen s’amuse de cette période de sa vie durant laquelle la fête entre les Grands Prix faisait partie du package du bon pilote.

« On en blague très souvent, mais en fait, je pense que c’est la réalité, car je suis un meilleur pilote si je fais ce que je veux entre les courses. » explique Raikkonen dans le dernier podcast de la F1.

« Il existent de nombreuses théories qui le prouvent, il vaut mieux rouler après s’être bien amusé. L’été 2013 par exemple était plus ou moins basé sur la compétition et les sorties. Ce n’est pas nouveau, pour moi c’est normal. »

« Pour d’autres, ça peut sembler un peu bizarre, mais pour moi c’était normal, j’ai toujours pensé que ça me relaxait plus. Il fallait travailler plus fort et se concentrer davantage sur la piste parce que tu n’étais pas très sûr, et au final, le résultat était meilleur. »

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Daniel Ricciardo a testé une Supercar à Melbourne

Le pilote Renault, Daniel Ricciardo, a piloté pour la première fois une Supercar du Kelly Racing Team ce mercredi à Melbourne.

Dans le cadre d’un événement promotionnel organisé par Castrol, fournisseur de lubrifiants pour l’équipe Renault en F1, Daniel Ricciardo s’est essayé pour la toute première fois au pilotage d’une Supercar du championnat australien.

Selon Ricciardo, le bruit du moteur V8 de 600 chevaux et le changement de vitesse séquentiel actionné par un levier sont deux des points ayant le plus attiré son attention durant ce test.

« Je n’avais pas de protège-oreilles, j’aurais probablement dû en porter. » a déclaré Ricciardo à sa descente de voiture.

« Mais oui, le passage à la vitesse supérieure – tirer un bâton, ça fait du bien ! C’est facile, ça me simplifie la vie en tant que pilote de course. Tout est cru dans cette voiture, les vibrations, la rétrogradation, c’est génial ! »

« Je ne dirais pas que j’était à fond, parce qu’il m’a fallu quelques tours pour comprendre, quand vous avez une bonne aéro que vous pouvez freiner dans le virage, puis accélérer plus tôt. Mais là, c’est plus progressif, vous freinez, relâchez, reprenez les gaz, c’est plus délicat d’une certaine manière. »

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La FIA conserve trois zones de DRS à Melbourne

Tout comme l’année dernière, la FIA a décidé de laisser en place trois zones de DRS à Melbourne pour la première course de la saison 2019.

Afin de donner un maximum de possibilités de dépassements aux pilotes, la FIA a décidé de conserver les trois zones de DRS mises en place l’an dernier sur le circuit urbain de l’Albert Park de Melbourne.

La première zone de DRS se situe entre les virages 12 et 13 du tracé, tandis que l’activation se fera très précisément 104 mètres avant le virage 12.

La seconde zone de DRS se trouve dans la ligne droite de départ/arrivée, alors que les pilotes pourront l’activer 30 mètres après le virage 16 (le dernier du circuit).

Enfin, la dernière zone d’activation du DRS se trouve quant à elle après le virage numéro 2 du circuit de l’Albert Park, les pilotes pourront appuyer sur le bouton d’activation 32 mètres après le virage 2.

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Ferrari dévoile sa livrée spéciale GP d’Australie

La Scuderia Ferrari a dévoilé la nouvelle livrée de sa monoplace pour la première course de la saison qui se tiendra à Melbourne ce week-end.

En raison de son infraction sur la loi tabac australienne avec le logo de son sponsor principal, Mission Winnow, la Scuderia a été obligée de retirer toutes les références à Mission Winnow sur la carrosserie de la SF90.

Pour cette première course de l’année donc, l’équipe italienne a dû retirer tous les logos de Mission Winnow, non seulement sur la carrosserie de la SF90, mais également sur les vêtements des membres de l’équipe, ainsi que sur les équipements du garage.

Cette nouvelle livrée n’est que temporaire et rend hommage aux 90 ans de Ferrari avec des logos remplaçant ceux de Mission Winnow pour cette première course de la saison 2019.

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Les pilotes présents en conférence de presse à Melbourne

Cinq pilotes seront présents en conférence de presse ce jeudi à Melbourne pour la première manche de la saison 2019.

Pour cette toute première conférence de presse de la saison 2019, seulement cinq pilotes seront présents face aux médias, alors que la FIA avait instauré un nouveau concept l’an dernier avec deux groupes de quatre pilotes pour chaque conférence de presse du jeudi.

Le pilote Mercedes, Lewis Hamilton, sera présent ce jeudi en conférence de presse, durant laquelle le pilote britannique nous fera certainement part de son envie de décrocher une sixième couronne mondiale cette année.

De retour en Formule 1 après huit années d’absence en raison d’un accident de Rallye au cours de l’hiver 2011, Robert Kubica sera lui aussi présent ce jeudi devant les médias.

Le local de l’étape, Daniel Ricciardo, viendra quant à lui nous parler de son arrivée au sein de l’équipe Renault cette année, après avoir passé une décennie dans le giron Red Bull.

Max Verstappen viendra très certainement nous vanter les performances du nouveau moteur Honda qui équipe désormais sa Red Bull RB15.

Et enfin, le pilote Ferrari Sebastian Vettel, qui est considéré comme un sérieux candidat au titre cette année, nous parlera très certainement de son nouveau coéquipier Charles Leclerc.

Venez en discuter au Parc Fermé

Cette conférence de presse aura lieu ce jeudi 14 mars en direct de Melbourne à 16h00 (heure locale), soit 6h00 du matin en France.

Toutes les déclarations des pilotes seront à retrouver dans la foulée sur F1only.fr, tandis que vous pouvez dores et déjà aller en discuter du côté du Parc Fermé, le 1er réseau social réservé aux fans de F1.

Nick Chester : « Le package de référence est sain sur la RS19 »

Après les huit jours de tests à Barcelone, Renault estime avoir une monoplace avec un bon package pour débuter cette nouvelle saison de Formule 1.

Chez Renault, on sait que la bataille en milieu de peloton s’annonce très serré cette année, et l’équipe du constructeur français ne laissera rien au hasard pour défendre sa quatrième place au championnat du monde.

Après de très nombreux kilomètres parcourus avec la RS19 à Barcelone, Renault connait les points forts et les faiblesses de sa monoplace, tandis que Nick Chester estime que le package de base est relativement sain en ce début de saison.

« La compétition s’annonce très serrée. D’année en année, l’environnement compétitif évolue, et ne peut plus compter sur les faiblesses de nos adversaires directs. Nous savions que le nouveau règlement risquait de resserrer les écarts et il semble que cela soit le cas. » nous explique Nick Chester, le directeur technique de Renault.

« De notre côté, nous avons connu deux bonnes semaines d’essais d’avant-saison en couvrant de très nombreux kilomètres et un programme approfondi sur différents éléments comme cela était prévu. Nous sommes donc bien préparés avant de nous rendre à Melbourne. »

« Notre monoplace dispose d’un bon équilibre et nous avons accumulé une grande quantité de données pour en comprendre les principales caractéristiques afin de trouver les meilleurs réglages correspondant aux souhaits de nos pilotes et d’identifier les axes de progrès qui leur permettront d’aller plus vite. »

« Nous avons déjà pu tester des nouveaux éléments de performance dans les deux derniers jours des essais de Barcelone qui ont donné satisfaction, et nous en aurons d’autres à Melbourne. De manière plus générale notre package de référence est sain, et le programme de développement du début de saison sera très intense. »

Des débuts sur une piste urbaine

« Commencer la saison sur un circuit urbain génère certaines incertitudes, notamment après des essais sur un tracé permanent à la surface désormais extrêmement lisse. Vendredi, la piste est généralement un peu sale. »

« Elle manque d’adhérence et les bosses font qu’il est toujours difficile de trouver les bons réglages car il faut pratiquement repartir de zéro comparativement à Barcelone, que ce soit pour les ingénieurs ou pour les pilotes. »

« L’expérience de l’équipe est donc un avantage important. Les variations de températures peuvent être importantes et la pluie peut parfois venir de la baie. C’est un élément à prendre en compte. »

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Racing Point se fixe des objectifs réalistes pour 2019

L’équipe Racing Point s’est fixée des objectifs réalistes cette année, pour ce qui sera une simple saison de transition avant d’être compétitifs en 2020.

Après le rachat de l’équipe Force India par les nouveaux investisseurs au cours de l’été 2018, l’écurie basée à Silverstone a pu constater de nettes améliorations au quotidien, à commencer par un budget plus conséquent et plus de ressources pour travailler.

Mais la monoplace 2019 de l’équipe a été développée en grande partie avant l’arrivée des nouveaux propriétaires, ce qui change considérablement la donne pour Racing Point, qui démarre la saison 2019 avec déjà un petit handicap.

Dans ce contexte, les dirigeants de l’équipe ont fixé des objectifs réalistes pour 2019, pour ce qui s’annonce être dores et déjà une saison de transition.

« L’Australie est un excellent endroit pour commencer la saison. Nous avons toujours un accueil chaleureux des fans et, après un long hiver de développement et de tests, c’est génial de finalement revenir à la compétition. » a déclaré Otmar Szafnauer, le directeur de l’équipe Racing Point.

« Il y a une atmosphère particulière à Melbourne et les courses urbaines sont un excellent moyen de faire connaître ce sport aux fans. Tout le monde travaille dur pour faire de cette semaine un festival du sport automobile, et c’est un plaisir énorme pour tous les participants. »

« Les essais hivernaux nous ont permis d’atteindre nos objectifs principaux et nous gardons beaucoup de points positifs, mais la voiture que vous verrez à Melbourne est assez différente de celle que nous avons utilisée à Barcelone. »

« Nous avons pris la décision stratégique de nous donner le maximum de temps pour développer la voiture, afin de maximiser nos performances lors de la première course, ce qui nous a obligés à nous retenir un peu lors des essais. »

« Il n’est pas facile d’introduire de nouvelles pièces tardivement et nous savons que la courbe d’apprentissage sera rude, mais nous pensons que cette approche sera rentable à long terme. »

« Nous commençons 2019 avec une nouvelle identité et une nouvelle énergie. De nouveaux investisseurs nous ont également rejoint, mais il faut du temps pour que cet investissement se traduise par des performances sur la piste. »

« Une grande partie de la RP19 a été conçue avant l’acquisition de l’équipe par les nouveaux actionnaires. C’est donc une année de transition. »

« L’objectif cette année est de faire un pas en avant et de s’affronter à nouveau au milieu du peloton. Nous sommes conscients que ce ne sera pas une tâche facile, car nous nous attendons à voir l’un des pelotons les plus serrés depuis bien longtemps – quelques dixièmes seulement séparent une poignée d’équipes. »

« Nous sommes réalistes quant au défi qui nous attend et à la somme de travail nécessaire pour atteindre nos objectifs. C’est une longue saison et nous avons un plan de développement solide en place. J’aimerais penser que nous pouvons nous battre pour obtenir des points à Melbourne et c’est certainement le premier objectif à l’approche du premier week-end de course. »

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Toto Wolff : « Nous sommes prêts pour le combat »

Le patron de l’écurie Mercedes, Toto Wolff, espère que son équipe sera poussée à ses limites cette année, alors que le constructeur allemand visera un sixième titre d’affilé en 2019.

L’an dernier, la Scuderia Ferrari a gardé Mercedes sous pression durant une grande partie de la saison, avant de finalement s’auto éliminer de la course au titre en raisons de plusieurs erreurs, à la fois de la part de Sebastian Vettel, mais aussi de l’équipe.

Mercedes s’est alors libérée de toute pression dans la seconde partie de la saison, permettant à son pilote Lewis Hamilton de devenir quintuple champion du monde de F1, tandis que l’équipe a décroché sa cinquième couronne mondiale.

« Il est enfin temps de reprendre la compétition. » déclare Toto Wolff à la veille du premier Grand Prix de l’année à Melbourne.

« Tout le monde à Brackley et à Brixworth a consacré tant d’efforts et d’engagement à cette nouvelle voiture, nous sommes donc ravis de la voir enfin en piste à Melbourne. »

« L’année dernière, nous devions tout donner pour arriver en tête. D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, cette année sera encore plus difficile. Cela nous poussera à nos limites – et c’est une perspective excitante pour chacun d’entre nous. »

« A en juger par la performance à Barcelone [Ferrari a beaucoup impressionné pendant les essais hivernaux], il semblerait que nous aurons un vrai combat à Melbourne. »

« Mais une saison de F1 ne consiste pas seulement à savoir qui sera le plus rapide. En vertu de la nouvelle réglementation introduite cette année, il s’agit de savoir qui sera le plus capable de s’adapter aux nouvelles règles, aux nouveaux pneus et à tous les défis qui nous attendent. »

« L’équipe la plus adaptable et agile s’imposera cette saison. Nous avons montré par le passé que nous étions rapides et flexibles et que nous pouvions contrer chaque balle envoyée vers nous. Nous sommes prêts pour le combat et nous attendons avec impatience les montagnes russes folles d’une nouvelle saison de F1. »

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Mercedes est « affaiblie » sans Niki Lauda selon Horner

Christian Horner estime que l’équipe Mercedes est affaiblie sans la présence de son directeur non exécutif, Niki Lauda.

Niki Lauda a dû recevoir une greffe de poumon l’an dernier, après avoir contracté une grippe pendant ses vacances à Ibiza.

L’Autrichien a donc été hospitalisé de longues semaines à l’hôpital général de Vienne en Autriche, tandis qu’il a pu rejoindre sa famille sur accord des médecins peu avant les vacances de noël. Mais là encore, un cas de grippe dans son entourage l’a obligé à rentrer à nouveau à l’hôpital, pour ne prendre aucun risque d’infection.

Lauda est désormais rentré chez lui auprès de ses proches, mais son retour dans les paddocks de la Formule 1 en ce début d’année n’est pas encore certain.

Homme fort de l’équipe Mercedes depuis quelques années, l’absence de Lauda dans le garage de l’écurie allemande se fait ressentir selon le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner.

« Niki est une grande force de la nature, j’espère qu’il reviendra bientôt. » déclare Horner au Daily Mail.

« Il a traversé une période difficile, c’est un vrai combattant, c’est incroyable. De l’extérieur, vous pouvez sentir l’absence de Niki, on a pu le voir notamment l’année dernière chez Toto Wolff [le directeur exécutif de Mercedes], lorsque Niki était absent. »

« Heureusement, Lewis a pu redresser la situation et a gagné le titre face à Vettel, même chose pour Mercedes. Mais si cette année la bataille devenait plus dure, l’absence de Niki pourrait avoir bien plus d’impact. »

« Niki a un grand rôle chez Mercedes lorsqu’il faut gérer les pilotes ou prendre des décisions importantes, et Toto sait qu’il peut se reposer sur lui lorsqu’il faut se décider. »

« L’expérience de Niki est immense, et il n’a jamais peur d’exprimer son opinion, il a également la confiance et le soutien du conseil d’administration de Mercedes, c’est pourquoi je pense qu’actuellement, Mercedes est affaiblie sans sa présence. »

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Horner : « Max est tout à fait capable de dépasser Lewis »

Le team principal de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, assure que s’il avait le choix entre Max Verstappen contre Lewis Hamilton il refuserait la proposition.

Selon Horner, bien que Lewis Hamilton soit l’un des meilleurs pilotes de Formule 1 de tous les temps, Max Verstappen représente la nouvelle génération de pilotes en F1.

Pour le manager britannique, Max Verstappen a déjà démontré tout son potentiel face aux plus grands pilotes de la grille depuis son arrivé en Formule 1 en 2015, et c’est donc en toute logique que Horner mise tout sur son jeune pilote pour l’avenir.

« Non, je n’échangerais pas Max contre Lewis si on me le proposait. Max est l’avenir, il a 21 ans, il continue à progresser. » déclare Christian Horner au Daily Mail.

« Max et Lewis sont des pilotes phénoménaux, et Lewis est l’un des meilleurs de tous les temps. Max a gagné des Grands Prix, mais il n’a pas encore eu la possibilité de se battre pour un titre de champion du monde. »

« Cependant, en termes de potentiel, de talent et de vitesse pure, je pense que Max est tout à fait capable de faire mieux que Lewis. »

« Max est le pilote qui a marqué le plus de points, juste derrière Hamilton, lors de la seconde moitié de la saison dernière. Cela démontre à quel point il a bien piloté. »

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