Charles Leclerc serait content de continuer avec Vettel chez Ferrari

Charles Leclerc admet qu’il aimerait continuer à progresser aux côtés de Sebastian Vettel l’an prochain chez Ferrari.

Le contrat de Sebastian Vettel chez Ferrari arrive à son terme à la fin de cette saison 2020 et, pour l’instant, personne ne peut dire si le quadruple champion du monde continuera avec l’équipe italienne l’an prochain.

Cependant, la situation actuelle due à la crise du coronavirus laisse penser que le contrat du pilote allemand sera automatiquement reconduit par Ferrari l’an prochain, puisque aucun pilote de la grille n’a encore pu se distinguer en l’absence de course.

Pour sa part, le contrat de Charles Leclerc a déjà été reconduit par Ferrari et le pilote monégasque sera à Maranello au moins jusqu’en 2024. Lorsqu’on lui demande si le rapport de force et la nature de sa relation avec Vettel peut changer en raison de cette différence de traitement, le jeune Monégasque répond : « Très honnêtement, je ne sais pas. »

« Moi il faut que je me concentre sur ce que j’ai à faire sur la piste. Seb est un très très bon pilote, je serai content de le garder auprès de moi, mais je respecterai la décision de Ferrari dans tous les cas. » explique Charles Leclerc à Canal+.

« Après, on verra à l’avenir, mais je sais que j’ai énormément appris – et il me reste encore beaucoup à apprendre de Seb – donc, c’est pour ça que je serai content de continuer à l’avoir comme coéquipier. »

Budget capé en F1 : Ferrari met en garde contre des décisions prises « à la hâte »

Mattia Binotto, a averti une nouvelle fois que Ferrari pourrait remettre en question son engagement en F1 si un plafond budgétaire trop bas était imposé.

Depuis quelques semaines, la F1, la FIA et les dirigeants des dix équipes de la grille essaient de trouver un accord concernant le plafond budgétaire qui entrera en vigueur l’an prochain en Formule 1.

Initialement fixé à 175 millions de dollars par saison, ce plafond budgétaire pourrait être descendu à 130 millions de dollars en raison de la crise du coronavirus qui a encore un peu plus fragilisé les plus petites équipes de la grille.

En effet, en l’absence de courses depuis le début de l’année, les équipes de F1 ne perçoivent plus aucun revenus, ce qui signifie que certaines d’entre-elles se retrouvent désormais dans une situation financière très instable, obligeant la catégorie reine à prendre une décision rapide concernant le plafond budgétaire qui sera introduit l’an prochain.

Le problème est que deux des dix équipes [Ferrari et Red Bull] ne souhaitent pas voir ce plafond budgétaire descendre trop bas, notamment parce qu’elles doivent développer et fabriquer certaines pièces qu’elles revendent ensuite aux plus petites écuries. Cela entraîne donc des coûts supplémentaires pour ces structures, qui ont déjà de nombreux salariés et donc des charges très importantes.

La pandémie de coronavirus a durement touché les finances du sport, mais le directeur de l’équipe Ferrari a déconseillé de prendre des décisions hâtives et estime que les réductions proposées pour les budgets des équipes risquent de dévaluer la F1.

A la suite des dernières discussions, le chiffre de 145 millions de dollars a été évoqué pour fixer le plafond budgétaire en 2021, mais pour le directeur de la Scuderia, ce chiffre est encore trop bas.

« Le niveau de 145 millions de dollars est déjà une demande nouvelle et exigeante par rapport à ce qui avait été établi en juin dernier. » a déclaré Binotto au Guardian.

« Il ne peut être atteint sans de nouveaux sacrifices importants, notamment en termes de ressources humaines. »

« Si il devait descendre encore plus bas, nous ne voudrions pas être obligés de chercher d’autres options pour déployer notre ADN de course. »

« En F1, nous avons toutes sortes d’équipes avec des caractéristiques différentes. Elles opèrent dans différents pays, sous différentes législations et avec leurs propres méthodes de travail. Par conséquent, il n’est pas simple d’apporter des modifications structurelles simplement en réduisant les coûts de manière linéaire. »

« Nous sommes bien conscients que la F1 et le monde entier traversent actuellement une période particulièrement difficile à cause de la pandémie de Covid-19. »

« Cependant, ce n’est pas le moment de réagir à la hâte car il y a un risque de prendre des décisions à la suite de cette urgence sans en évaluer clairement toutes les conséquences. »

« La F1 doit être le summum du sport automobile en termes de technologie et de performances. Elle doit être attractive pour les constructeurs automobiles et les sponsors qui souhaitent être liés à cette catégorie la plus prestigieuse. »

« Si nous limitons les coûts de manière excessive, nous courons le risque de réduire considérablement le niveau, en le rapprochant toujours plus des formules inférieures. »

« Il ne faut pas oublier que les entreprises jouent un rôle dans le tissu social d’une nation. Elles  ne sont pas seulement là pour faire du profit. »

« Si l’urgence actuelle mettait vraiment en doute l’existence de certains de nos concurrents dans ce sport et rendait nécessaire de réviser certaines pierres angulaires, alors Ferrari y serait ouverte. »

« Ce n’est même pas sacrilège, étant donné que cela s’est déjà produit en F1 et se produit aujourd’hui dans des séries telles que le MotoGP. » conclut le directeur de la Scuderia Ferrari.

Charles Leclerc en faveur de courses de F1 en sens inverse

Le pilote Ferrari Charles Leclerc serait en faveur de l’organisation de courses en sens inverse cette année en F1.

En raison du report du début de la saison 2020 de F1 suite à la pandémie de coronavirus, la Formule 1 étudie à l’heure actuelle différents scénarios pour mettre en place un nouveau calendrier condensé.

Personne ne peut dire à l’heure actuelle quand et où débutera la saison 2020 de F1, ni même d’ailleurs si elle commencera bien un jour.

Mais dans le cas d’un début de saison 2020, plusieurs idées ont été évoquées pour permettre de disputer un maximum de courses cette année, dont celle d’organiser plusieurs Grands Prix sur un même tracé, ce qui ne serait pas un problème pour Charles Leclerc qui a été interrogé par Canal+.

« Ça changerait pas mal de choses, en plus de ça j’ai entendu parler qu’ils étaient en train de considérer que l’on pourrait faire deux courses, une dans le bon sens du circuit et l’autre en sens inverse. »

« Si c’est vraiment le cas, ce sera quelque chose de plutôt cool et je pense que ce serait bien pour la F1, on redécouvrirait les circuits sur lesquels on a beaucoup roulé, donc, ça pourrait être pas mal, mais je ne sais pas si tous les circuits peuvent se le permettre parce que bien-sûr il y a des règles de sécurité et normalement les circuits sont étudiés seulement dans un sens, mais ça pourrait être une bonne chose. »

Interrogé pour savoir ce qu’il pensait du fait que la saison 2020 pourrait être largement raccourcie, le Monégasque estime que cela pourrait permettre à certains pilotes de prendre plus de risques, ce qui pourrait peut-être créer quelques surprises.

« Ce sera une saison quand même et celui qui gagnera à la fin de l’année sera tout de même champion du monde, donc, ça reste tout aussi important. »

« Ce sera peut-être différent, prendre un risque sur une course ça pourrait du coup réussir à faire gagner beaucoup de points qui seront très importants vu qu’il y aura moins de courses, donc, il y aura peut-être plus de risques pris ou pas. »

« Mais en tout cas du côté pilote, je pense qu’il y aura un challenge en plus et ça nous poussera peut-être à essayer des choses qu’on aura pas essayé auparavant. »

Le coronavirus est un signal d’alarme pour le sport estime Agag

Le monde du sport automobile devra utiliser la crise du coronavirus comme un signal d’alarme selon Alejandro Agag.

Alejandro Agag, le Fondateur et Président de la Formule E, explique pourquoi l’épidémie de coronavirus entraînant la suspension mondiale du sport est un avertissement pour l’avenir, à moins de s’attaquer d’urgence à la crise climatique.

Ce mercredi, le monde fête le jour de la terre [#EarthDay2020] et c’est à cette occasion que le fondateur du championnat électrique de Formule E, Alejandro Agag, demande à tous les acteurs du sport automobile et du sport en général de prendre conscience que la crise du coronavirus a sonné l’alarme.

Cet ancien député espagnol du Parlement Européen, devenu homme d’affaires multimillionnaire et fondateur du championnat de Formule E, essaie déjà depuis des années de faire réfléchir le sport automobile à long terme pour lutter contre le changement climatique et réitère aujourd’hui son appel dans les colonnes du Dailystar.

« Bien-sûr, pour certains sports plus que pour d’autres, car certains travaillent dans le monde de la technologie comme le sport automobile, et nous pouvons alors nous concentrer sur l’évolution de la technologie pour aider au changement climatique. » explique Agag.

« D’autres sports, comme le football, ne peuvent pas trouver de relation directe, mais ils peuvent aussi aider grâce à l’énorme popularité qu’ils suscitent pour que chacun puisse jouer un rôle. »

« Pour moi, la principale leçon à tirer de cette crise est la nécessité d’une réflexion à long terme. Nous devons être préparés pour ce qui va arriver. »

« Ce pourrait être une pandémie, ce pourrait être une erreur de l’intelligence artificielle, ce pourrait être une attaque nucléaire que nous ne pourrions pas contrôler. »

« Mais ce que nous pouvons contrôler c’est ce que nous voyons venir. C’est l’énorme problème du réchauffement climatique et du changement climatique. Nous savons que cela arrive et nous devons le planifier à long terme. »

Un changement d’opinion

Agag insiste sur le fait qu’après seulement cinq saisons et demie, il a déjà vu un changement d’attitude, les opinions sur la technologie électrique ayant largement évolué au fil des années.

« Quand vous regardez le monde lorsque nous avons commencé et le monde aujourd’hui, il a complétement changé. »

« Je ne prétends pas que tout dépend de la Formule E, mais la Formule E a joué un petit rôle. Au début, l’idée de courir dans des voitures électriques était impensable. Les gens pensaient que nous étions complètement fous. »

« Aujourd’hui, notre sport fait partie du sport automobile et personne n’est surpris – c’est juste une chose normale. C’est ce que nous voulons: l’électrique est la nouvelle norme. Personne n’est surpris de l’existence d’une course électrique, il est normal qu’elle existe. Avant, ce n’était pas le cas. C’est une énorme déclaration de ce que la Formule E a accompli. »

La FFSA ne croit pas à un GP de France F1 avec des tribunes vides

Le Président de la FFSA, Nicolas Deschaux, admet qu’un Grand Prix de France de F1 à huis clos serait difficilement envisageable.

A la suite de l’allocution du Président de la république française Emmanuel Macron, qui a confirmé que les grands événements et les festivals avec un public nombreux ne pourraient se tenir au moins jusqu’à mi-juillet, la tenue du GP de France est plus qu’incertaine.

Programmé du 26 au 28 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet, l’édition 2020 du Grand Prix de France pourrait bien être la prochaine manche à être officiellement reportée en raison de la pandémie du Covid-19.

Mais une solution autre que le report ou l’annulation pourrait être envisagée par les promoteurs du Grand Prix de France : celle d’organiser leur course à huis clos.

Mais cette solution ne semble pas convenir au Président de la FFSA Nicolas Deschaux, qui considère au micro d’Europe 1 que la vente issue de la billetterie est primordiale pour la bonne tenue du Grand Prix.

« Bien évidemment, à partir du moment où le Grand Prix ne se tiendrait pas il y a une perte d’image. » explique Nicolas Deschaux.

« Aujourd’hui, on est bien évidemment en relation avec le promoteur – la fédération étant organisateur sportif du Grand Prix – et aujourd’hui, on est en stade d’évaluation et de différents scénario possibles, mais aussi en attente de précisions des mesures gouvernementales qui ont été annoncées. »

« Pour le promoteur – en occurrence le GIP qui est promoteur du Grand Prix de France de Formule 1 – l’assise même des recettes est dans le contrat que le promoteur signe avec le promoteur du championnat du monde – la FOM – et l’assise principale des recettes c’est la billetterie. »

« Donc, on voit mal, sauf à revoir le modèle, qu’un Grand Prix puisse se tenir à huis clos pour un promoteur local. »

Des remboursements prévus en cas d’annulation

De façon à rassurer les spectateurs qui auraient déjà réservé des place ou qui s’apprêtent à le faire, le directeur général du Grand Prix de France, Eric Boullier, a déjà fait savoir que ces personnes seraient remboursées en cas d’annulation, de huis-clos ou de report de l’épreuve.

« Les spectateurs pourront se faire rembourser leur titre d’accés au Grand Prix, ainsi que des produits et services annexes tels que le camping, les navettes ou le parking. » a déclaré Eric Boullier.

Gasly admet que sa relation est toujours tendue avec Ocon

Pierre Gasly admet que sa relation avec le pilote Renault Esteban Ocon ne s’est pas améliorée au fil des années.

Les deux pilotes français Pierre Gasly et Esteban Ocon se sont lentement mais sûrement éloignés au fil des années après de multiples accrochages en Karting.

Les deux Normands se connaissent depuis leur enfance et ont tous les deux évolué ensemble en Karting mais, bien que très proches, plusieurs accrochages en piste les ont finalement éloignés, à tel point qu’ils ne sont plus amis désormais.

Lorsque GQ lui demande si ses contacts avec Esteban Ocon se sont améliorés ces derniers mois, Pierre Gasly ne cache pas que sa relation n’est pas au beau fixe avec le pilote Renault.

« C’est toujours plat. Il y a une rivalité avec des antécédents qui font que la situation est telle qu’elle est. C’est dommage, mais je ne suis pas là pour être sa baby-sitter ou faire en sorte que tout se passe bien. » explique Pierre Gasly.

« Je fais mon bonhomme de chemin, il fait le sien aussi. Différentes expériences font que la relation s’est ternie. »

Rouler pour Renault un jour ?

Désormais, les deux hommes vont devoir se côtoyer à nouveau sur les grille de départ [lorsque la saison 2020 débutera enfin], chacun roulant pour une écurie différente, alors que Ocon défendra les couleurs de la France chez Renault F1.

Interrogé pour savoir s’il aimerait un jour piloter pour l’équipe du constructeur français, Pierre Gasly admet que ça ne lui déplaira pas, bien au contraire.

« C’est sûr que ce doit être excitant pour un pilote français d’être dans une écurie comme Renault, championne du monde avec Fernando Alonso (en 2005 et 2006), et avec tellement de victoires en F1. » souligne Pierre Gasly à GQ.

« Après, ce sont des choix de carrière, des opportunités. Je ne regarde pas la situation des autres, j’essaie de faire en sorte que la mienne soit la meilleure possible. Red Bull est venue me chercher quand j’avais 17 ans. Ils m’ont amené en F1, je leur suis reconnaissant pour ça. »

« Pour l’instant, je suis 100% concentré avec eux. Après, en étant Français, ce serait excitant d’être dans une écurie française, surtout si elle se bagarre pour un titre de champion du monde. »

Kubica : « le Esport ne remplacera jamais la réalité »

Robert Kubica estime que les courses de F1 virtuelles ne pourront jamais remplacer les vraies courses automobiles.

En raison du report du début de la saison 2020 de F1, plusieurs pilotes se sont mis au Esport en attendant une reprise éventuelle du championnat du monde 2020.

L’engouement pour les courses virtuelles est bien réel en cette période de confinement, mais pour Robert Kubica, rien ne remplacera jamais les vraies courses.

« Aucun pilote ne peut piloter et se détendre en même temps. De temps en temps, je peux le faire, bien que personnellement j’espère le faire le moins possible, car cela signifierait que nous sommes de retour aux vraies courses. » explique Robert Kubica à Przeglad Sportowy.

« Elles [les courses virtuelles] sont de plus en plus haut niveau et peuvent nous occuper durant notre temps d’attente, mais cela ne remplacera jamais la réalité. »

« Si c’était le cas, nous aurions déjà d’autres champions. Les personnes en concurrence dans les simulateurs sont des spécialistes qui s’entraînent plusieurs heures par jour et pendant de nombreuses années. Il n’y a donc aucune possibilité de courir avec eux. »

« Courir chez soi n’a rien à voir avec le vrai pilotage. C’est amusant, mais il est clair que les courses en ligne et les sports électroniques en général ne peuvent pas remplacer un vrai championnat de F1. »

Sticchi Damiani sur le GP d’Italie : « difficile de faire des prévisions »

Les organisateurs du Grand Prix d’Italie n’ont pas encore pris de décision officielle pour leur course programmée au mois de septembre à Monza.

L’Italie, comme les autres pays qui accueillent une manche du championnat du monde de F1, continue de suivre l’évolution de la situation sanitaire dans le monde.

Le Grand Prix d’Italie est prévu au mois de septembre à Monza, mais sa tenue n’est absolument pas assurée à l’heure actuelle, notamment parce qu’on ne sait pas si la F1 arrivera à mettre en place un calendrier digne de ce nom en raison des différents reports.

« Les paddocks durant l’ère du coronavirus seront moins encombrés, avec une réduction de 30 ou 40% des gens à l’intérieur. » estime Angelo Sticchi Damiani.

« Pour élaborer un protocole, en plus d’avoir un groupe de travail médical, nous nous sommes tournés vers un virologue réputé. Il nous assistera lors de cette période préparatoire et nous fournira toutes les informations pour accueillir le Grand Prix d’Italie. »

« Maintenant, il est très difficile de faire des prévisions. Nous aimerions attendre encore quelques semaines avant de prendre une décision officielle. Nous devons comprendre quelle sera la situation en septembre. »

« Evidemment, nous sommes toujours prêts à renégocier notre relation avec Liberty Media [les détenteurs des droits commerciaux de la F1]. »

Quant à une course qui se disputerait sans public, Angelo Sticchi Damiani ne veut pas encore y penser : « Une course sans public nous poserait un problème. »

« Pour le moment, je préfère éviter cette hypothèse. J’espère au plus profond de mon cœur qu’un tel scénario ne se produira pas. »

Les événements sportifs aux Pays-Bas suspendus jusqu’en septembre

Les grands événements sportifs aux Pays-Bas ne pourront pas avoir lieu avant le mois de septembre au moins.

Ce mardi, le premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a annoncé que les rassemblements publics seraient désormais interdits jusqu’au 1er septembre 2020 en raison de la pandémie de Covid-19.

La Formule 1 devait faire son grand retour aux Pays-Bas cette année après 35 années d’absence au calendrier, mais le Grand Prix F1 [qui devait se dérouler le 3 mai] a été reporté en raison de la crise sanitaire.

Il a alors été suggéré que la course pourrait être reprogrammée au mois d’août, juste avant que la F1 ne se rende à Spa pour le Grand Prix de Belgique, mais ces espoirs sont partis en fumée ce mardi après l’annonce du premier ministre, qui a interdit les rassemblements publics jusqu’en septembre.

La semaine dernière, le conseil de sécurité national belge a également interdit les rassemblements de masse jusqu’au mois de septembre, ce qui veut dire que le Grand Prix de Belgique est lui aussi en sursis. Une annonce officielle d’un report, voire d’une annulation de ces deux courses est attendue dans les prochains jours.

Récemment, les organisateurs du Grand Prix des Pays-Bas ont admis que la tenue de leur course cette année semblait de plus en plus compromise au vue de la situation.

La F1 rediffuse le chaotique GP du Japon 1994

La F1 rediffusera le Grand Prix du Japon 1994 ce mercredi 22 avril sur ses différents canaux de communication.

Le Grand Prix du Japon 1994 est l’une de ces courses mythiques de la F1, alors que ce Grand Prix s’est disputé sous des pluies diluviennes sur le tracé de Suzuka.

Contexte : La mission de Damon Hill était simple pour ce Grand Prix du Japon 1994, puisque le pilote Williams devait impérativement battre Michael Schumacher avec sa Benetton s’il voulait encore avoir une chance de se battre pour le titre cette année-là.

Malgré son interdiction de deux courses pour avoir ignoré les drapeaux noirs lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, ainsi que deux autres disqualifications, Michael Schumacher est toujours en tête du classement lorsque le Grand cirque de la F1 arrive au Japon, avec huit victoires contre cinq pour Damon Hill.

Damon Hill n’avait donc pas d’autre choix que de remporter ce Grand Prix du Japon 94, ou tout du moins, terminer devant Michael Schumacher.

Des conditions difficiles

La Williams-Renault pilotée par Damon Hill part favorite sur le tracé de Suzuka, mais c’est bien la Benetton-Ford-Cosworth de Michael Schumacher qui s’élancera depuis la pole position sur la grille de départ déterminée par la séance qualificative du vendredi, car les conditions météo se sont détériorées le lendemain, ce qui a rendu impossible toute amélioration des temps.

Le dimanche matin, il pleut à verse sur le circuit de Suzuka, et alors que les prévisionnistes tablaient sur de nettes améliorations pour l’heure du départ, la pluie a finalement redoublé d’intensité.

C’est donc sur une piste totalement détrempée que les pilotes s’élancent pour le départ de la course et il n’aura pas fallu attendre bien longtemps avant que la course soit interrompue par une première voiture de sécurité envoyée en piste par la direction de course en raison des conditions complètement dantesques (les pilotes devaient franchir des murs d’eau).

Il faudra attendre plusieurs tours sous drapeau jaune avant que la course ne puisse reprendre, alors que la pluie redouble d’intensité au même moment. Aquaplanning pour l’un, glissade pour l’autre, les pilotes partent un à un à la faute, alors que la McLaren de Brundle percute un commissaire de piste obligeant une nouvelle fois la direction de course à interrompre le Grand Prix avec cette fois un drapeau rouge.

La suite, nous allons vous laisser la vivre ou la revivre (pour les plus anciens) ce mercredi soir à partir de 20h00 (heure de Paris). Le Grand Prix du Japon 1994 sera rediffusé sur la chaîne YouTube de la F1, la page Facebook et le site F1.com.

Onboard : les meilleurs moments du GP de Monaco Historique 2018

L’Automobile Club de Monaco [ACM] vous propose de revivre les meilleurs moments du Grand Prix de Monaco Historique 2018 en caméras embarquées.

En raison de la pandémie de Covid-19, l’Automobile Club de Monaco a pris la lourde décision d’annuler le Grand Prix de Monaco Historique 2020 et le Grand Prix F1 2020.

La Formule 1 ne se rendra donc pas en principauté cette année, et il vous faudra attendre jusqu’en 2021 pour pouvoir entendre de nouveau le son des moteurs modernes et anciens dans les rues étroites de la ville de Monaco.

Comme lot de consolation, l’ACM vous propose de revivre les meilleurs moments en caméra embarquée du Grand Prix Historique 2018. Attention, il y a trois vidéos à visionner [elles sont toutes alignées ci-dessous]

On Board GP Historique Monaco 2018 [part1]

https://youtu.be/k_vpDgIq4WQ

Onboard GP Historique Monaco 2018 [part 2]

Onboard GP Historique Monaco 2018 [part 3]

Test article

Bienvenue sur ce live pour suivre la première journée des essais hivernaux 2023 de la F1 qui se déroulent cette semaine à Bahreïn du 23 au 25 février.

Ce jeudi 23 février, les dix équipes de F1 débutent ces essais de pré-saison de trois jours avec comme principal objectif d’engranger le maximum de kilomètres avec leur nouvelle monoplace afin de tester dans un premier temps la fiabilité à la veille d’une saison longue de 23 Grands Prix.

La journée débute à 08h00 (heure de Paris) et se termine à 17h30 (heure de Paris), alors qu’une pause déjeuner d’une heure est programmée à 12h00 (heure de Paris).

Ci-dessous, vous pouvez suivre cette première journée en direct via notre module de live dynamique mis à jour en temps réel et agrémenté tout au long de la journée d’images, commentaires, vidéos, ainsi que du tableau des temps de la session (il se peut que le module mette un peu de temps avant de se charger).

Pierre Gasly : « Ça va être intense ! »

Pierre Gasly s’attend à devoir suivre un rythme très intense lorsque la saison 2020 de F1 débutera pour de bon.

En raison du report du début de la saison 2020 de F1 dû à la pandémie de Covid-19, les dirigeants de la catégorie reine travaillent actuellement pour faire en sorte de publier un nouveau calendrier 2020 largement remanié.

Pour l’instant, il semblerait que la saison 2020, qui devrait être composée de 15 et 18 courses, puisse débuter au mois de juillet et se terminerait soit à la fin du mois de décembre, soit au mois de janvier 2021.

Avec un tel calendrier condensé, Pierre Gasly a donc décidé de tout miser sur la préparation physique pendant son confinement depuis la ville de Dubaï.

« Je suis quelqu’un de très optimiste et de positif. J’ai très hâte que ça reprenne, que la situation s’améliore. » explique Pierre Gasly au quotidien Vosges Matin.

« Après, c’est une question de sécurité pour tous les gens qui travaillent dans le milieu, qui voyagent. Il ne faut mettre personne en danger et c’est surtout ça qui va faire la différence. Tous les pilotes ont envie de retrouver les pistes, de courir, mais il y a d’autres problèmes aujourd’hui à régler. »

Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de la possibilité de disputer plusieurs, voire tous les Grands Prix, à huis clos, le pilote AlphaTauri pense que s’il s’agit de la meilleure solution pour pouvoir reprendre le championnat en toute sécurité, il faudra le faire.

« Si c’est la solution la plus « safe » pour tout le monde et que ça nous permet de reprendre le championnat plus tôt, je pense qu’il faut clairement le faire. »

« Mais ça va être bizarre. Avoir 300 000 personnes sur un week-end de Formule 1, ça rend l’atmosphère spéciale et incroyable. »

« Ça va être intense ! »

Avec probablement un calendrier avec des courses rapprochées dans le temps, la dimension physique devrait être plus importante que jamais lorsque la saison 2020 débutera pour de bon.

« Oui, c’est pour ça qu’on a voulu se concentrer sur la préparation physique avec mon coach. A la reprise, ça va être très intense. On n’aura pas d’intersaison, tout va s’enchaîner avec un rythme de trois courses tous les quatre week-ends. »

« On aura très peu de repos, de temps pour récupérer entre les Grands Prix. C’est pour ça que j’essaie de me préparer du mieux possible pour ne pas encaisser de fatigue sur les quatre, cinq mois de course qu’on aura. »

Romain Grosjean a appris à vivre avec les critiques et les insultes

Au fil des années, le Français Romain Grosjean a appris à vivre avec les critiques, parfois même les insultes, publiés à son égard sur les réseaux sociaux.

Depuis quelques années maintenant, nous avons effectivement pu constater qu’à chaque publication d’un article concernant de près ou de loin Romain Grosjean, les critiques, voire les insultes gratuites à son égard, sont devenues quasi automatiques sur les réseaux sociaux.

Bien conscient de cette situation, le pilote Haas a finalement appris à vivre avec ces critiques et souligne que son expérience de près de 170 Grands Prix parle désormais d’elle-même.

« S’ils me traitent de pilote de merde ? Et bien très bien…peut-être que je suis un pilote de merde, mais j’ai quand même participé à 169 Grands Prix. » répond Romain Grosjean.

« J’ai traversé différentes phases en fait. Parfois je regardais les commentaires [sur les réseaux sociaux] et c’était très douloureux. »

« Alors, j’ai arrêté de regarder et vous savez quoi ? Je suis arrivé à un point de me dire : « Je sais exactement ce que je fais, je sais ce que j’ai accompli en Formule 1, je sais ce que j’ai accompli dans ma vie  » – et si ces personnes décident d’être durs avec moi, je peux juste leur répondre d’une manière amusante. »

Cependant, malgré les quelques commentaires critiques à son égard, Romain Grosjean dit que l’interaction avec les fans fait partie intégrante des médias modernes.

« Parfois, leurs commentaires ne sont pas aussi bons que vous le souhaiteriez, il ne sont pas polis ou respectueux, mais je pense que cela fait partie des réseaux sociaux. »

« J’apprécie quand les gens laissent des commentaires, si cela va dans le bon sens lorsqu’ils disent que ce n’est pas bon, vous pouvez ensuite expliquer et parler. »

« Je suis plutôt heureux finalement que les gens s’intéressent à moi en bien ou en mal. Si vous avez le charisme d’une huître, les gens s’en moquent. »

Jean Todt espère « de 15 à 18 Grands Prix de F1 » en 2020

Le Président de la FIA Jean Todt espère que la F1 sera en mesure de disputer entre 15 et 18 Grands Prix en 2020.

Avec le report du début de la saison 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, personne ne peut dire à l’heure actuelle où et quand la saison pourra débuter.

La F1 et la FIA travaillent dur pour essayer de mettre en place un calendrier alternatif à celui publié l’an dernier, et Jean Todt espère que la Formule 1 pourra disputer entre 15 et 18 courses cette année.

« Cette saison, nous devions avoir 22 Grands Prix. Deux sont dores et déjà annulés : Monaco et l’Australie. J’espère que nous arriverons à en courir de 15 à 18 sur les 20 qui restent à disputer. » explique le Président de la FIA au Point.

« Nous sommes en train d’étudier avec le promoteur Formula 1 et les organisateurs nationaux les dates d’un nouveau calendrier. »

« A l’heure où je vous parle, nous pensons que les courses pourraient reprendre – peut-être à huis clos – en juillet. Pour une course de F1, un huis clos stricte impose tout de même la présence de 1500 à 2000 personnes. »

« Resteront à définir les lieux de ces courses. Il n’est pas exclu que certains promoteurs nationaux organisent deux Grands Prix. Mais au-delà de ces préoccupations immédiates, je veux initier un new deal pour le sport automobile. »

« La Formule 1 reste le pinacle de la compétition automobile. Je ne suis pas inquiet de sa pérennité, mais plus de ses dérives financières. »

« Nous allons donc plafonner les budgets afin de diminuer les écarts entre les équipes « pauvres » et les « riches ». Nous avions déjà engagés des discussions avant la crise, mais nous allons en profiter pour aller plus loin. Ce sera effectif dès 2021. »

Les FIA Motorsport Games reportés en 2021

La FIA a pris la décision de reporter d’une année la seconde édition des FIA Motorsport Games en raison de la pandémie de Covid-19.

Après une première édition qui s’est déroulée sur le circuit de Vallelunga, près de Rome, la seconde édition des FIA Motorsport Games se tiendra donc du 22 au 24 octobre 2021 dans la ville hôte de Marseille et sur le circuit Paul Ricard, comme prévu initialement.

Lors de la première mondiale des FIA Motorsport Games en 2019, les concurrents de six disciplines de course automobile ont fait le voyage jusqu’à Rome pour défendre les couleurs de leur drapeau national.

Les multiples rebondissements en piste ont été précédés d’une spectaculaire cérémonie d’ouverture au cœur de la capitale italienne, avec au programme une parade des voitures devant le Colisée, puis la présentation au monde entier des 192 pilotes issus de 49 pays et territoires dans l’enceinte historique du Circo Massimo.

Avec une année supplémentaire pour définir la forme de cette deuxième édition, la FIA et le SRO Motorsports Group espèrent ainsi mieux préparer ce rendez-vous du monde du sport automobile.

Les FIA Motorsport Games 2021 devraient voir l’introduction de nouvelles disciplines telles que le rallye et le sport automobile historique, ainsi que mettre davantage l’accent sur les catégories inférieures du sport automobile.

« Malheureusement, en raison de la crise de Covid 19, nous avons décidé de reporter les FIA  Motorsport Games 2020 à l’année prochaine. Ce sera l’occasion pour l’ASN, les équipes et notre promoteur SRO d’être mieux préparés. » a déclaré Jean Todt, le Président de la FIA.

« J’en profite pour souhaiter le meilleur au Circuit Paul Ricard qui a célébré son 50e anniversaire dimanche dernier et les remercier d’accueillir les prochains FIA Motorsport Games. »

Magnussen ne garde aucune rancune envers McLaren et Renault F1

Kevin Magnussen affirme n’avoir aucune rancune envers McLaren ou Renault F1, alors que le pilote danois a été remercié par ces deux équipes par le passé.

Kevin Magnussen a débuté sa carrière en Formule 1 en 2014 grâce à McLaren qui lui fait confiance et le place aux côtés de l’expérimenté Jenson Button.

Mais après seulement une saison passée à Woking, Magnussen est remercié par McLaren, qui préférera titulariser le double champion du monde de F1 Fernando Alonso à partir de la saison 2015.

Durant l’année 2015, le pilote danois occupera le poste de troisième pilote McLaren, alors qu’il décidera finalement de mettre un terme à son contrat en octobre par manque de perspectives.

Au cours de l’hiver 2016, l’équipe d’usine Renault F1, qui fait son grand retour en catégorie reine, annonce l’arrivée de Kevin Magnussen en remplacement de Pastor Maldonado. Mais là encore, le contrat de Magnussen sera rompu à la fin de la première année.

En 2017, Kevin Magnussen rejoint l’équipe américaine Haas et signe un contrat de trois ans avec sa nouvelle écurie, ce qui lui assure de pouvoir rester en Formule 1 au moins jusqu’à la fin de la saison 2019 [il a été prolongé pour 2020].

Malgré ses contrats précaires chez McLaren et Renault, Magnussen assure qu’il ne garde aucune rancune et n’écarte pas l’idée de pouvoir un jour peut-être retourner dans l’une de ses deux anciennes équipes.

« Je suis ouvert à toutes les possibilités. Il est vrai que j’ai eu des périodes difficiles avec Renault et McLaren, mais j’ai beaucoup de respect pour ces deux équipes. » explique Magnussen au journal BT.

« McLaren m’a mis de côté après une année de course et c’était difficile, mais c’est aussi l’équipe qui m’a fait débuter en Formule 1 et je serai toujours reconnaissant. »

« Renault m’a offert une opportunité après une année passée en marge [de la F1] et je ne peux pas les remercier assez pour ça. »

« Que s’est-il passé ? C’est comme ça, les choses se passent comme ça. Je n’ai aucune rancune envers McLaren ou Renault, je suis désormais sous une autre gestion. »

Kimi Raikkonen sur le simracing : « Ça ne m’intéresse pas »

Kimi Raikkonen admet ne pas être attiré par le simracing, bien que la plupart de ses confrères jouent en ligne pendant cette période de confinement.

Depuis le début du confinement, bon nombre de pilotes de la grille se sont mis au simracing pour faire passer le temps, mais d’autres comme Kimi Raikkonen ne sont pas fans, le Finlandais préférant attendre sagement la reprise de la saison pour piloter sur une vraie piste.

« Ça ne m’intéresse pas, je préfère attendre jusqu’à ce que je puisse retrouver une vraie piste. » explique Kimi Raikkonen au Corriere Della Sera.

Lorsqu’on lui demande s’il n’aimait pas piloter dans le simulateur Ferrari lors de son passage au sein de l’écurie de Maranello, le Finlandais répond : « Ce n’est pas que je ne l’aimais pas, mais disons que voler jusqu’en Italie pour me mettre devant un simulateur n’était pas exactement la raison pour laquelle j’ai choisi ce métier. »

« Courir sur la piste c’est autre chose. De toute façon, ces simulateurs sont complétement différents et extrêmement plus complexes que ceux des courses en ligne. »

Interrogé pour savoir s’il pensait que la saison 2020 allait vraiment débute un jour, Kimi Raikkonen fait confiance aux instances dirigeantes qui prendront les bonnes décisions selon lui.

« Nous reprendrons lorsque la F1 et la FIA décideront qu’il est possible de le faire en toute sécurité. Ce n’est pas notre décision, je suis certain qu’ils évalueront le cadre avec beaucoup d’attention. Nous courrons lorsque ce sera le bon moment, même sans public. »

La F1 travaille très dur pour sortir de la crise selon Claire Williams

Claire Williams, la patronne de l’équipe éponyme, a expliqué que la F1 travaillait très dur pour trouver la meilleure façon de sortir de la crise actuelle.

En pleine crise sanitaire, les équipes de Formule 1 doivent également faire face à une crise économique sans précédent avec aucun revenus depuis le début de l’année en raison du report du début de la saison 2020.

En 2008, après la crise boursière des subprimes, des constructeurs tels que Toyota ou Honda ont décidé de quitter la F1, mais l’impact de cette crise sur le championnat avait pu être limité grâce au Président de la FIA de l’époque, Max Mosley, qui avait promis d’imposer un plafond budgétaire afin de permettre à d’autres équipes de rejoindre la partie.

Mais l’idée d’instaurer un plafond budgétaire n’ayant finalement jamais été appliquée, les trois nouvelles écuries (Caterham, HRT et Virgin Racing) ont rapidement disparu.

Une décennie plus tard, la F1 doit faire face à une crise sanitaire majeure, alors que se profile en arrière plan l’une des pires crises économiques que n’a jamais connu la discipline reine du sport automobile.

« Nous tentons individuellement et collectivement de prendre les meilleures décisions pour sortir le moins meurtri possible de cette pandémie. » explique Claire Williams à Sky Sports.

« Nous sommes en gestion de crise, et nous travaillons tous extrêmement fort pour changer notre façon de faire afin d’être beaucoup mieux préparés la prochaine fois qu’une crise frappera. »

La patronne de l’équipe britannique admet qu’elle n’aimerait pas être à la place des dirigeants de la F1 actuellement, qui doivent tenter de reconstruire un calendrier 2020 compressé en raison du report du début de saison dû à la pandémie de Coronavirus.

« Je n’envie pas Chase Carey [président du groupe Formula One] qui doit jongler avec plusieurs scénarios pour pouvoir disputer le plus de courses possible. »

« On ne sait pas quand les restrictions seront levées, et si elles le sont dans un pays, ça ne veut pas dire qu’elles le seront dans le pays voisin. Comment faire pour remettre sur pied un sport comme le nôtre dans lequel gravite autant de monde. »

Hamilton balaie la rumeur Ferrari : « Je suis avec mon équipe de rêve »

Le sextuple champion du monde Lewis Hamilton a fermement repoussé l’idée d’un transfert chez Ferrari dans un avenir immédiat.

Vendredi dernier, le tabloïd britannique The Sun a publié un article dans lequel il suggérait que les espoirs de Lewis Hamilton de rejoindre la Scuderia Ferrari étaient sur le point de s’envoler en raison des discussions positives entre Maranello et Sebastian Vettel au sujet d’un éventuel nouveau contrat pour l’Allemand.

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton a donc pris la peine de répondre directement aux journalistes du Sun sur le réseau social Instagram en précisant qu’il ne comptait pas quitter Mercedes, qui reste à l’heure actuelle son « équipe de rêve ».

« Tout d’abord, il n’y a pas de rêve d’aller dans une autre équipe. Je suis avec mon équipe de rêve. » a écrit le natif de Stevenage en réponse à la publication du Sun sur Instagram.

« Deuxièmement, il n’y a rien sur mon chemin, puisque je n’essaie pas de bouger. Je suis avec les gens qui ont toujours pris soin de moi depuis le 1er jour. Nous sommes la meilleure équipe. »

Les spéculations sur la possibilité que Hamilton passe chez Ferrari se sont intensifiées à l’époque du Grand Prix d’Abu Dhabi 2019, lorsque les rumeurs d’une réunion entre Hamilton et le président de Ferrari John Elkann ont commencé à circuler.

Et alors que Ferrari a concédé que les deux hommes s’étaient effectivement rencontrés, le PDG de la société, Louis Camilleri, a déclaré que les médias avaient « exagéré » le rendez-vous.

« C’était un événement social, qui a en quelque sorte été quelque peu disproportionné », a déclaré Camilleri aux journalistes lors d’un déjeuner de Noël avec Ferrari l’an dernier. « Ils ont des amis en commun. » a t-il souligné.

Rappelons que Lewis Hamilton est sous contrat avec l’équipe Mercedes jusqu’à la fin de cette saison 2020.