Romain Grosjean aura le droit à sa tribune au Grand Prix de France 2020

Romain Grosjean aura enfin le droit à sa tribune dédiée au GP de France en 2020, contrairement à la saison précédente où seul Pierre Gasly a eu le droit à sa tribune.

En 2019, les discussions avec les organisateurs du Grand Prix de France ont été entamées un peu trop tardivement et le pilote français n’a donc pas eu le droit à sa tribune réservée pour ses fans.

Pour cette édition 2020 du Grand Prix de France, les organisateurs ont enfin réussi à mettre en place une tribune « Romain Grosjean » que les fans peuvent réserver dès à présent en cliquant sur ce lien.

Le prix du pass 3 jours est de 289 euros et comprend une place dans la tribune Romain Grosjean [située à la chicane 1] + 1 casquette Edition Spéciale R8G et une rencontre avec Romain Grosjean le samedi 27 juin 2020 dans l’après midi.

« Rejoignez-moi au Grand Prix de France dans ma tribune ! 3 jours inclus, ma casquette édition spéciale et un moment avec moi ! J’espère vous voir là-bas. » a écrit le pilote Haas sur son compte Twitter.

Gunther Steiner pense que Fernando Alonso peut remporter le Dakar

Gunther Steiner, le directeur de l’équipe Haas en Formule 1, estime que Fernando Alonso a toutes ses chances de remporter le Dakar.

Cette année, le double champion du monde de F1 Fernando Alonso participera pour la première fois de sa carrière au Dakar [du 5 au 17 janvier 2020] et bien que cela semble difficile pour un novice, Gunther Steiner estime que l’ancien pilote McLaren peut remporter le légendaire Rallye.

Le pilote espagnol pilotera une Toyota Hilux et aura comme coéquipier l’expérimenté Marc Coma, alors que le Dakar empruntera pour la première fois des pistes situées en Arabie Saoudite.

« La participation d’Alonso est une bonne chose pour le Dakar, je pense qu’il va apprécier. Il peut certainement bien faire, Fernando n’aura aucun mal à rouler vite avec ces voitures et il va certainement apprécier car c’est quelque chose de très différent de ce qu’il a toujours fait. » explique Steiner à SoyMotor.

« Je pense qu’il peut gagner, s’il a la bonne voiture, il peut le faire. Bien-sûr, vous avez besoin d’expérience, et peut-être que cette année sera plus difficile, mais dans deux ou trois ans, je n’aurai aucun doute [sur le fait qu’il puisse gagner]. »

Steiner estime que le fait que le Dakar 2020 se déroule sur un tout nouveau terrain [Arabie Saoudite] pourrait aider Fernando Alonso, qui se retrouvera en quelque sorte un peu au même niveau que les autres concurrents.

« Le fait que ce soit sur un nouveau terrain peut vous aider un peu, car tous les participants recommencent. Cela dépendra également de votre copilote, l’expérience de Coma peut l’aider, s’il l’écoute bien-sûr.« 

Lance Stroll reconnait la supériorité de son coéquipier Sergio Perez

Lance Stroll admet qu’il va devoir s’améliorer le samedi dans l’exercice des qualifications.

Le pilote Racing Point a terminé la saison 2019 à la quinzième position au classement des pilotes avec seulement 21 points marqués en autant de courses.

En moyenne, la position de départ de Stroll sur la grille d’un Grand Prix a été le quinzième rang, alors que son coéquipier Sergio Perez a obtenu une meilleure moyenne avec une treizième position.

Bien conscient qu’il a été loin de boucler une saison parfaite, Lance Stroll reconnait avec franchise la domination de la part de son coéquipier tout au long de la saison.

« Je pense que de façon générale Sergio a eu le dessus en qualifications. C’est le domaine dans lequel je dois travailler pour la saison prochaine. » explique Lance Stroll.

« Il m’a battu la plupart du temps, donc, c’est un domaine dans lequel je dois progresser. Je pense que l’expérience a joué un rôle aussi. Sergio fait partie de l’équipe depuis longtemps, et de mon coté, j’ai un style différent et une approche différente. »

« Je pense qu’il y a des choses sur lesquelles nous devons travailler avec l’équipe pour m’aider à m’améliorer. »

Le Canadien a reconnu que son coéquipier Sergio Perez était l’un des pilotes les plus solides du milieu de peloton : « Il est vraiment, vraiment très solide. »

« Il a une très bonne approche, il est très fort mentalement. C’est un pilote compétitif autant le samedi que le dimanche. Cela fait déjà plusieurs années qu’il démontre ses qualités. De plus, c’est très agréable de travailler à ses côtés. »

Rossi voulait une « vraie journée » de tests avec la Mercedes d’Hamilton

Valentino Rossi peut se targuer d’être le seul pilote de MotoGP à avoir roulé avec une F1 Ferrari et une Mercedes dans sa carrière.

Le 9 décembre dernier, Valentino Rossi et Lewis Hamilton ont échangé leurs machines dans le cadre d’un événement organisé par leur sponsor en commun [Monster Energy] sur le circuit de Valence en Espagne.

Au terme de cette journée qui s’est déroulée à huis clos, des images officielles ont été publiées par Mercedes et Monster Energy, ainsi qu’une courte vidéo montrant l’échange entre les deux champions.

Avec un peu de recul, Valentino Rossi se rend compte qu’il peut se targuer d’être le seul pilote de MotoGP à avoir piloté une Ferrari et une Mercedes jusqu’à présent [seul Michael Schumacher l’a fait avant lui].

« J’y pensais l’autre soir, je peux dire que je suis la seule personne au monde à avoir essayé une Ferrari et une Mercedes non ? J’ai retrouvé une F1 encore meilleure [que la Ferrari F20004 testée auparavant] , je me suis aussi plus amusé parce que physiquement j’avais moins de problèmes de cou. » a expliqué Valentino Rossi dans un entretien accordé à la Gazzetta Dello Sport.

« La Mercedes a aussi un moteur impressionnant, le turbo est efficace. Le grip est monstrueux aussi avec ces pneus énormes. »

Rossi admet qu’il avait un peu peur de devoir participer à un simple événement de communication lorsqu’on lui a proposé d’échanger sa MotoGP avec la Mercedes de Lewis Hamilton.

Une vraie journée sinon rien !

Le pilote italien a alors imposé ses propres règles afin de s’assurer de s’amuser au volant de la monoplace Mercedes.

« Quand on m’en a parlé, je me suis dit c’est cool ! Mais dans ces cas-là, vous risquez toujours de vous faire « arnaquer » en faisant à peine 20 tours puis 4 heures de photos. »

« Donc, je leur ai dit : « les gars, je vais le faire mais je veux une vraie journée comme avec Ferrari. Un test de 70 ou 80 tours et sortir de la voiture en fin de journée lorsque c’est fini et c’est comme ça que ça s’est passé. »

La prolongation de Charles Leclerc : Un « choix évident » pour Ferrari

Avec une prolongation de son contrat pour une durée de cinq années, Charles Leclerc fait définitivement partie du futur de Ferrari.

Le pilote monégasque, qui a rejoint la Scuderia Ferrari en 2019, a vu son contrat prolongé jusqu’à la fin de la saison 2024.

L’annonce officielle a été faite la veille de Noël et après sa toute première saison chez Ferrari aux côtés de Sebastian Vettel, contre qui Charles Leclerc s’est battu toute l’année, allant même parfois jusqu’à l’accrochage.

Pour le directeur de la Scuderia Ferrari, cette décision de prolonger Charles Leclerc était une évidence au vue des résultats obtenus par le Monégasque en 2019, qui a terminé quatrième du championnat des pilotes.

« A chaque course disputée en 2019, notre souhait de prolonger notre contrat avec Charles est devenu de plus en plus évident. » explique Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari.

« Cette décision signifie qu’il sera avec nous pour les cinq prochaines saisons, et cela démontre que Charles et la Scuderia ont un bel avenir ensemble. »

« Charles fait partie de notre famille depuis 2016 et nous sommes plus que fiers des résultats que nous avons obtenus avec notre académie. »

« Nous sommes donc très heureux de pouvoir annoncer qu’il sera avec nous pendant de nombreuses années à venir et je suis sûr qu’ensemble nous écrirons de nombreuses nouvelles pages de l’histoire du cheval cabré. »

Incendies en Australie : L’Albert Park de Melbourne dans la fumée

La fumée des incendies qui touchent l’Australie depuis plusieurs mois a atteint le circuit de l’Albert Park de Melbourne.

Depuis quelques heures, l’état de Victoria, où se trouve la ville de Melbourne qui accueille la première manche de la Formule 1, a été déclaré en état de catastrophe et des évacuations ont débuté depuis ce jeudi.

Depuis le mois de septembre 2019, de grands incendies se sont déclenchés dans l’ouest du pays, puis dans le centre de l’Australie et enfin dans l’Est.

La Nouvelle-Galles du sud a été déclarée ce jeudi 2 janvier en état d’urgence durant sept jours et des évacuations ont débuté tout comme dans l’état de Victoria où se trouve la ville de Melbourne.

Pour l’instant, les feux de brousse sont relativement loin de Melbourne et ne menacent pas directement les habitants, mais depuis ce jeudi, une fumée épaisse enveloppe la ville, alors que la qualité de l’air s’est nettement détériorée au fil des dernières heures.

Les conditions météo devraient encore se détériorer [vent et forte chaleur] au cours des deux prochains jours en Nouvelle-Galles du Sud, qui est l’état le plus touché avec une trentaine de feux toujours non maîtrisés.

Wolff souligne la grande part de responsabilité de Michael Schumacher dans le succès de Mercedes

Toto Wolff a reconnu qu’une grande part du succès de l’écurie Mercedes est due à l’implication du septuple champion du monde Michael Schumacher.

Après avoir pris sa retraite de la Formule 1 en 2006, l’Allemand Michael Schumacher, qui a 51 ans ce vendredi 3 janvier, est revenu sur la grille de la F1 en 2010 avec l’équipe Mercedes pour trois saisons.

Pendant ces trois années passées chez Mercedes, Schumacher a fait du lobbying auprès du conseil d’administration de Mercedes, notamment en 2012 avec le soutien de Ross Brawn, afin d’obtenir un budget plus important et plus de ressources à partir de 2013.

« Michael a aussi une part importante [dans le succès de l’équipe]. Si BrawnGP n’avait pas existé, et sans la vision de Norbert Haug, avec Michael comme pilote vedette, notre réussite n’aurait pas existé. » explique Wolff à Motorsport-total.com.

« Le changement de perception du conseil d’administration pour notre projet s’est produit fin 2012 et début 2013. »

Mercedes a pris contact avec Toto Wolff en 2012, qui était alors actionnaire de Williams, sur la façon dont le constructeur allemand pourrait devenir une équipe gagnante, l’Autrichien donnant une évaluation réaliste.

« En tant que personne externe, on m’a demandé de comparer si l’organisation et les ressources de l’équipe Mercedes pouvaient répondre à leurs propres attentes pour remporter le championnat du monde. »

« Il y avait un écart entre leurs attentes et ce qui était réellement possible. L’augmentation budgétaire a eu lieu en 2013. »

« Le point de vue que j’avais présenté à l’époque était le suivant:  » Nous pouvons continuer ainsi. Mon évaluation réaliste se situerait alors entre la troisième et la sixième place ou nous pouvions faire un pas vers Red Bull. Ensuite, je pense qu’au fil des ans, avec le nouveau règlement de 2014, nous pouvions nous battre pour le championnat du monde. »

Toto Wolff a ensuite rejoint l’équipe Mercedes et a lui aussi contribué à créer leur récent succès en catégorie reine du sport automobile.

Le Panama pourrait se porter candidat pour accueillir la Formule 1

Le Panama envisage sérieusement de présenter sa candidature pour pouvoir accueillir un Grand Prix de Formule 1 dans un futur plus ou moins proche.

Selon les médias locaux, la ville de Panama a lancé une étude de faisabilité pour l’organisation d’une course de Formule 1 dans la capitale du pays, Panama City.

On sait que les détenteurs des droits commerciaux de la F1 [Liberty Media] ambitionnent de mettre en place rapidement un calendrier à 25 courses en catégorie reine du sport automobile, notamment en y ajoutant des nouvelles destinations.

Concernant la ville de Panama, des images virtuelles d’un circuit urbain long d’environ cinq kilomètres ont été divulguées et alors que la conception du tracé rappelle étrangement celle du circuit urbain de Bakou en Azerbaïdjan.

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Reste à savoir désormais si ce « projet » verra le jour et si le Panama fera partie des destinations de la Formule 1 dans le futur.

En 2020, le calendrier est composé de pas moins de 22 Grands Prix, ce qui est un record absolu pour la F1, mais des Grands Prix comme celui d’Espagne ou encore le Mexique, dont le contrat se termine à la fin 2022, pourraient laisser leur place à un nouveau venu à partir de 2023.

Daniel Ricciardo : « Je n’aime pas me voir neuvième »

L’Australien Daniel Ricciardo estime que sa neuvième position au championnat du monde 2019 ne reflète évidemment pas la réalité.

En 2019, Daniel Ricciardo a rejoint l’équipe du milieu de grille Renault, après une décennie passée dans le clan Red Bull chez Toro Rosso et chez Red Bull Racing, avec qui il a pu jouer des victoires et des podiums.

En rejoignant l’équipe Renault, Ricciardo savait qu’il ferait un pas en arrière en terme de performance et sa neuvième position au championnat du monde des pilotes en 2019 ne satisfait évidemment pas l’Australien.

« Ce n’est pas génial, je ne me considère pas comme le neuvième meilleur pilote sur la grille. » explique Daniel Ricciardo.

« Je n’y porte pas une grande importance, parce que je pense que je vaut mieux que cela. Este-ce que je veux être neuvième pour les prochaines années et avoir l’excuse d’être meilleur que neuvième ? Non, je n’aime pas me voir neuvième. »

« Je pense que si Nico [Hülkenberg] avait marqué 100 points j’aurais été déçu. Si Nico aurait marqué 5 points, j’aurais dit « wow, c’est une saison incroyable! ». Je sais que j’ai marqué plus de points que Nico [l’Allemand a marqué 37 points], donc, je suppose que je ne peux pas être déçu. »

« En arrivant dans cette équipe, je savais que ce serait difficile. Arriver dans une nouvelle équipe, des gens l’ont déjà fait auparavant, donc, il n’est donc pas impossible de le faire. »

« Je pense que j’ai dû plus m’adapter que, je dirais Charles [Leclerc]. Monter dans une voiture avec plus d’adhérence est normalement plus facile. Il y a plus d’attentes, mais c’est plus facile que de passer de Red Bull à ici [Renault]. »

« J’étais assez content de la façon dont je me suis adapté, mais après quelques course, je n’étais pas content de moi. J’attendais un peu plus, même si j’ai bien évolué. »

Daniel Ricciardo a terminé la saison 2019 avec 54 points inscrits en 21 courses, contre 37 pour son ancien coéquipier Nico Hülkenberg.

Renault F1 ne veut pas se contenter de P5 ou P4 en 2020

Cyril Abiteboul affirme qu’en 2020 son équipe veut être une plus grande menace sur les trois meilleures équipes de la grille.

Cinquième au championnat du monde des constructeurs 2019, l’équipe Renault a été dépassée par son équipe cliente McLaren l’an dernier et compte bien récupérer sa position en 2020 tout en continuant de se rapprocher des trois plus grandes équipes.

« Nous sommes sur une montée en puissance. » a déclaré Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, lors de la dernière manche de la saison 2019 à Abou Dhabi.

« Le patron de McLaren [Zak Brown] a mentionné la bonne tendance qu’ils ont eu avec P9, P6 et P4. C’est exactement la tendance que nous avions aussi : P9, P6 et P4. »

« Je pense que tout cela est possible, mais la difficulté est d’abord de maintenir cette position P4 maintenant que McLaren a pu revenir d’où ils étaient auparavant et la principale difficulté sera de ne pas rester P5 ou P4 – parce que nous ne devrions pas être satisfaits de cela – et je suis sûr que Zak n’est pas satisfait de cela. »

En 2021, lorsque les nouvelles réglementations entreront en vigueur en F1, Cyril Abiteboul estime que Renault pourrait affronter les trois meilleures équipes de la grille : Mercedes, Red Bull et Ferrari.

« Ce sera la prochaine difficulté et toujours l’objectif pour nous. » assure le manager français. « Tout notre programme a été construit autour de cet objectif à long terme qui est 2021, parce que, conformément à notre stratégie, ce sera la première occasion d’y arriver. »

« Mais avant 2021…il y a 2020. Il y a un résultat à avoir à court terme et une pression que tout le monde exerce sur nous tous. Cela fait partie du sport. »

Seidl satisfait des progrès constatés à l’usine McLaren au cours de l’hiver

Andreas Seidl se dit très satisfait des progrès constatés à l’usine de Woking au cours de l’hiver concernant les préparatifs de la saison 2020.

En 2019, l’équipe McLaren a terminé la saison à la quatrième place au championnat des constructeurs et compte bien continuer sur cette lancée en 2020 avec sa MCL35, avant de passer une bonne partie de ses ressources sur le développement de sa monoplace 2021.

Andreas Seidl est très clair, l’équipe McLaren ne va pas sacrifier la saison 2020 pour se préparer aux changements de réglementations qui entreront en vigueur en 2021 et va essayer avant tout de signer un début de saison très fort, car cela déterminera le moment où l’équipe devra basculer vers 2021.

« Tout d’abord, je suis très satisfait des progrès que je constate à l’usine concernant les préparatifs de la saison 2020. Je pense que nous avons une très bonne compréhension des faiblesses de la MCL34 en 2019 et c’est formidable de voir comment toute l’équipe travaille très dur pour s’améliorer. » nous explique Andreas Seidl, le team principal de l’écurie McLaren.

« Je suis optimiste quant à nos possibilités de pouvoir passer à la prochaine étape, qui est de réduire davantage le déficit de temps au tour avec les trois meilleures équipes. »

« Comme tout le monde, nous voulons avoir un bon début de saison. La vitesse de votre voiture 2020 déterminera dans une certaine mesure lorsque vous basculerez toutes vos ressources vers 2021. »

« C’est un acte de jonglerie que nous avons chaque année, mais c’est plus extrême cette fois-ci  en raison du changement des règlements techniques pour 2021. »

« Nous n’allons pas sacrifier 2020; nous voulons avoir une autre bonne saison car il est important pour le développement de l’équipe d’avoir une amélioration continue. »

Renault F1 devrait présenter sa RS20 en France

L’équipe Renault F1 Team devrait présenter sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 en France cette année.

Selon nos informations, l’équipe Renault devrait présenter sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 [la RS20] en France, contrairement aux années précédentes.

Constructeur français oblige et avec l’arrivée cette saison du Français Esteban Ocon en tant que pilote titulaire aux côtés de Daniel Ricciardo, l’équipe Renault prévoit une présentation de la RS20 dans l’hexagone.

L’an dernier, Renault a présenté sa monoplace 2019 en direct depuis son usine d’Enstone en Angleterre, tout comme la RS18 de la saison précédente qui avait été présentée depuis Londres.

Pour cette nouvelle saison, l’équipe du constructeur français envisage de présenter la RS20 depuis la France, peut-être à l’Atelier Renault à Paris ou bien depuis son usine moteur de Viry-Châtillon.

Jusqu’à présent, seules deux équipes ont annoncé la date de présentation de leur monoplace 2020 : Ferrari et Alpha Tauri.

Les dates de présentations des F1 2020

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Stella promu chez McLaren

En ce début d’année 2020, l’équipe McLaren a décidé de restructurer son département technique et a nommé Andrea Stella directeur de course.

Andrea Stella, qui est arrivé directement de chez Ferrari fin 2014, sera donc l’un des piliers de l’écurie britannique en 2020 en tant que directeur de course. L’Italien travaillera en étroite collaboration avec le directeur technique James Key, ainsi que Piers Thynne en tant que directeur de production.

« J’ai pleinement confiance en eux et en leurs équipes dans tout ce qu’ils font et ils ont donc tout mon soutien. Il est crucial de responsabiliser les gens, de les encourager à prendre des décisions, de leur permettre de prendre des risques et de les soutenir en cas de problème, car j’accepte que des erreurs puissent se produire. » explique le team principal de l’équipe McLaren, Andreas Seidl.

« Le sport automobile est une question de préparation, d’anticipation et de préparation à différents scénarios. Lorsque les choses tournent mal, cela nous montre que nous aurions dû mieux nous préparer. »

« Le sport automobile est un sport d’équipe. Vous ne pouvez jamais le faire seul. J’ai une très forte équipe de personnes qui me rapportent, avec James Key en tant que directeur technique, Piers Thynne en tant que directeur de production et Andrea Stella en tant que directeur de course. »

Fred Vasseur a hâte de commencer à travailler avec Robert Kubica

Après une année 2019 compliquée pour lui avec Williams, Robert Kubica a rejoint l’écurie Alfa Romeo en tant que pilote de développement en 2020.

Attendu chez Haas en 2020, c’est finalement chez Alfa Romeo que Robert Kubica a posé ses valises cette saison et le Polonais n’est pas venu les mains vides, puisqu’il rejoint l’équipe suisse avec son sponsor personnel PKN Orlen.

Après une saison 2019 passée chez Williams en tant que pilote titulaire, Kubica va désormais se rabattre sur un poste de pilote de développement pour Alfa Romeo et aidera Kimi Raikkonen et Antonio Giovinazzi à developper la C39 tout au long de l’année avec ses retours techniques.

« Je suis vraiment heureux de commencer ce nouveau chapitre de ma carrière en rejoignant Alfa Romeo Racing ORLEN. » explique Robert Kubica.

« Cette équipe occupe une place spéciale dans mon cœur et je suis heureux de voir quelques visages encore ici depuis mes années passées à Hinwil. »

« Le temps et les circonstances sont évidemment différents, mais je suis convaincu que je trouverai la même détermination et la même faim pour réussir. J’ai hâte d’aider Alfa Romeo Racing à franchir la prochaine étape. »

Le directeur de l’équipe Alfa Romeo, Fred Vasseur, se dit ravi d’accueillir l’un des pilotes « les plus brillants de sa génération. »

« Nous sommes également ravis d’accueillir Robert à la maison et nous avons hâte de commencer à travailler avec lui. » explique Fred Vasseur.

« C’est un pilote qui n’a pas besoin d’être présenté: l’un des plus brillants de sa génération et celui qui a montré le vrai sens de la détermination humaine dans son combat pour reprendre la course après son accident de rallye (en 2011). »

« Ses commentaires seront inestimables alors que nous continuerons à pousser notre équipe vers l’avant de la grille. »

C’est les vacances…

Chers lecteurs et lectrices, en cette trêve hivernale, il est venu le temps pour moi de prendre un peu de recul et de m’octroyer quelques jours de congés.

Après une saison 2019 riche en événements et relativement longue, je vais profiter des prochains jours pour recharger un peu les batteries et profiter de ma petite famille que j’ai dû lâchement abandonner au mois de janvier 2019.

Je ne vous cache pas qu’après cette saison 2019 longue de 21 courses et avec plusieurs back to back [enchaînement de Grands Prix], la fatigue est bien présente.

Je vais donc prendre un peu de recul avec la Formule 1 durant quelques jours afin de profiter de ma famille pendant ces fêtes de fin d’année, ce qui me permettra de revenir en pleine forme dès la rentrée début janvier pour débuter le traditionnel bal des présentations en F1, les essais hivernaux en direct depuis Barcelone où je vous proposerai un LIVE durant les six jours de tests et bien évidemment l’intégralité de la saison 2020.

La saison 2020 de F1 débutera le 15 mars avec le Grand Prix d’Australie sur le tracé urbain de l’Albert Park à Melbourne et se terminera comme cette année à Abou Dhabi le 29 novembre  sur le circuit de Yas Marina [je vous invite d’ailleurs à consulter le calendrier 2020 que j’ai publié la semaine dernière et qui est disponible en cliquant ici].

2020 : Une année importante

La saison 2020 sera une année charnière pour la Formule 1, puisque les pilotes des quatre plus grandes écuries du plateau [Mercedes, Ferrari, Red Bull et McLaren] arriveront en fin de contrat et pourraient bien décider de changer d’écurie juste avant la saison 2021 et l’introduction des nouvelles réglementations en catégorie reine du sport automobile.

2020 sera aussi la saison la plus longue de l’histoire avec pas moins de 22 courses au calendrier avec l’arrivée du Grand Prix du Vietnam sur le tracé urbain de Hanoï et le retour très attendu du Grand Prix des Pays-Bas sur le circuit de Zandvoort, après 35 années d’absence.

Vous l’avez compris, l’année 2020 s’annonce d’ores et déjà très riche, et c’est donc une bonne raison pour moi de prendre quelques jours de repos [les seuls de l’année] afin de pouvoir tenir le coup pour les douze prochains mois.

Je prends du recul mais je ne vous abandonne pas. Le site sera toujours accessible, mais la fréquence des publications va diminuer, comme c’est déjà le cas depuis quelques jours d’ailleurs.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter de passer d’excellentes fêtes de fin d’année en compagnie de vos proches et amis et je tiens à vous remercier encore une fois de votre présence et votre fidélité tout au long de l’année sur F1only.fr. Je vous donne donc rendez-vous en 2020 pour une nouvelle saison !

Merci Célini !

Je tiens aussi à remercier Célini Ehret, qui nous a proposé tout au long de cette année des points météo très précis avant chaque Grand Prix, ainsi qu’une évolution de la météo en temps réel pendant le week-end de course.

Célini Ehret, qui est basé au Canada, m’a rejoint cette année en tant que spécialiste météo et est lui aussi un grand passionné de Formule 1. Je tiens donc à le remercier pour son excellent travail, ainsi que pour son aide sur certains problèmes techniques rencontrés cette saison.

Cesare Ingrassia, directeur de publication.

McLaren adoptera une approche pragmatique en 2021

McLaren est définitivement tournée vers l’avenir et concentre déjà une grande partie de ses efforts sur la saison 2021.

Selon James Key, le directeur technique de l’équipe McLaren, le plus important ne sera pas d’avoir la voiture la plus rapide au début de la nouvelle ère en 2021, mais plutôt d’avoir une monoplace compétitive au concept flexible afin de pouvoir s’adapter en permanence à chaque problème.

« La clé est d’adopter une approche pragmatique. Vous pouvez vous concentrer beaucoup plus sur la recherche d’un avenir plus solide à long terme au détriment du court terme, mais c’est souvent très difficile à faire dans ce sport. » explique James Key, le directeur technique de l’équipe McLaren.

« Il est essentiel d’être préparé et, en même temps, l’équipe doit être flexible dans son approche afin de s’adapter aux défis. »

L’approche de McLaren pour la saison 2021 est de développer une monoplace ayant une large fenêtre d’exploitation dans un premier temps, avant de développer une configuration plus pointue.

« Il n’y a pas de référence (pour 2021), par conséquent, alors que nous découvrirons comment les monoplaces 2021 fonctionnent sur la piste et quel potentiel de développement elles auront, nous devrons avoir une monoplace avec une large fenêtre d’exploitation. »

« Bien-sûr, il sera important d’avoir un objectif global ferme et un plan sur la manière de l’atteindre. Nous devrons surtout maintenir un certain niveau de flexibilité et d’agilité pour pouvoir réagir le plus rapidement possible. Et surtout, il ne faut pas craindre de devoir changer. »

Carlos Sainz est en plein milieu « d’un rêve devenu réalité » avec McLaren

Carlos Sainz a souligné à quel point il se sentait bien au sein de l’équipe McLaren qu’il a rejoint en 2019 après être passé par Toro Rosso et Renault auparavant.

Cette année, tout semble sourire à Carlos Sainz, qui a décroché le tout premier podium de sa jeune carrière au Grand Prix du Brésil en terminant la course à la troisième position.

L’Espagnol a rejoint l’écurie de Woking en début d’année et travaille dans une ambiance conviviale avec son jeune coéquipier Lando Norris, ce qui le motive énormément en plus des progrès significatifs signés par McLaren cette saison.

Interrogé pour savoir s’il aimerait rejoindre l’une des trois premières équipes de la grille en 2021, Carlos Sainz insiste sur le fait qu’il n’a aucune raison de regarder ailleurs pour l’instant.

« Il est encore un peu trop tôt pour parler de 2021, nous sommes toujours en 2019 pour l’instant. » a insisté le pilote McLaren ce mercredi lors d’un événement organisé par l’un de ses sponsors en Espagne.

« Je suis en plein milieu d’un rêve devenu réalité (avec McLaren), et oui, en 2021 de nouvelles opportunités s’ouvriront. Mais je suis très content du projet auquel j’appartiens, je suis très motivé. »

« Je pense que si en 2020 nous faisons un autre pas en avant, le projet me motivera encore plus, je souhaite continuer sur cette progression, et pour le moment il n’y a aucune raison de regarder ailleurs. »

L’équipe McLaren a terminé la saison 2019 à la quatrième place au classement des constructeurs, alors que l’écurie britannique sera équipée à partir de 2021 du moteur Mercedes à l’arrière de sa monoplace.

Pour sa part, Carlos Sainz a terminé la saison à la sixième position au classement des pilotes, soit le meilleur résultat pour l’Espagnol depuis le début de sa carrière.

Helmut Marko : « Notre moteur Honda est au top »

Helmut Marko a déclaré que la préparation de la saison 2020 se déroulait on ne peut mieux pour l’équipe Red Bull Racing.

Après une première année de collaboration réussie avec le motoriste Honda en 2019, l’équipe Red Bull Racing assure que la préparation de la prochaine saison se déroule parfaitement et Helmut Marko annonce même une avance de deux semaines sur le développement de la future RB16 que piloteront Max Verstappen et Alex Albon en 2020.

« Nous avons pris une leçon (en 2019) et l’année prochaine nous n’aurons plus d’excuse. » explique Helmut Marko, le responsable de la filière des jeunes pilotes chez Red Bull.

« Notre unité de puissance Honda est au top, Max est également au top, alors maintenant nous devons livrer un bon châssis. Pour le moment, nous avons deux semaines d’avance sur notre calendrier. Ça se passe mieux que jamais. »

En 2019, pour sa première année de collaboration avec le motoriste nippon Honda, l’écurie basée à Milton Keynes en Angleterre a réussi à décrocher trois victoires, alors que Helmut Marko visait au moins cinq victoires avant le début de la saison 2019 l’hiver dernier.

Si le défi n’a pas été relevé, les performances de l’équipe n’en sont pas moins impressionnantes avec au terme de la saison 2019 une troisième position au classement des constructeurs à seulement  87 points de l’équipe Ferrari.

Mercedes annonce un partenariat avec Ineos

L’équipe Mercedes et la formation cycliste Ineos ont annoncé avoir formé un partenariat afin d’améliorer leurs performances sportives respectives en 2020.

Dans le cadre de ce partenariat, l’équipe Mercedes travaillera en étroite collaboration avec l’équipe cycliste d’Ineos, mais également avec le département voile d’Ineos, qui est déjà en pleine préparation de la Coupe de l’America 2021.

Ce partenariat devrait permettre aux trois structures de développer en commun et d’expérimenter des innovations dans le design, l’ingénierie ou encore l’analyse des datas.

« Les exigences technologiques de la Formule 1 nous permettent de répondre aux défis techniques avancés dans des domaines spécifiques de la voile et du cyclisme, avec un accent particulier sur l’aérodynamique et la capacité de fabrication autour des composants clés. » explique Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

« Lorsque Sir Jim Ratcliffe nous a approchés avec le concept de réunir les trois organisations, toutes avec des antécédents éprouvés d’excellence et de grandes ambitions pour l’avenir, nous avons immédiatement vu l’opportunité de croître et de diversifier notre entreprise – et d’apprendre de certaines des équipes les plus performantes du sport mondial. »

« Nous sommes ravis du potentiel de cet accord dans les mois et les années à venir. » conclut l’Autrichien.

Le directeur de l’équipe Ineos, Sir Dave Brailsford, a déclaré: « Au cœur de ces trois grandes équipes se trouve une passion commune pour la course, pour gagner et créer de grands moments sportifs. »

« Notre détermination inébranlable à piloter, à naviguer et à pédaler plus vite et à déjouer la concurrence en constante évolution bénéficiera énormément de ce partenariat. Nous pouvons polliniser nos connaissances collectives en science, technologie, performance humaine et stratégie de course pour créer des environnements gagnants encore plus forts. »