Aramco devient sponsor titre d’Aston Martin en F1

L’équipe Aston Martin a annoncé l’arrivée de la société Aramco en tant que sponsor titre à partir de la saison 2022 dans le cadre d’un partenariat stratégique à long terme.

Ce partenariat conduira au développement de moteurs à combustion interne efficients, de carburants durables à hautes performances, de lubrifiants avancés et au déploiement de matériaux non métalliques dans les véhicules. En plus de la recherche et du développement conjoints, la collaboration comprend des droits de parrainage d’équipe, un accord de licence, ainsi que des droits exclusifs de marque et d’approbation pour les carburants et lubrifiants Aramco.

En conséquence, l’équipe sera connue sous le nom d’Aston Martin Aramco Cognizant Formula One Team. L’alliance complète le statut d’Aramco en tant que sponsor stratégique mondial de la Formule 1 – le premier événement de course automobile au monde avec plus de 1,9 milliard de fans dans le monde. Les efforts conjoints des départements R&D d’Aramco soutiendront les efforts déployés par l’équipe Aston Martin pour atteindre l’objectif de la Formule 1 d’être entièrement propulsé par des carburants durables d’ici 2025. En outre, le partenariat se concentrera sur le développement et la commercialisation de technologies de moteurs économes en carburant pour les véhicules routiers, et le développement de moteurs hybrides plus efficaces dans le sport automobile.

« Nous sommes dans le sport pour gagner, donc je suis ravi d’accueillir un partenaire incroyable de la stature d’Aramco. » a déclaré Lawrence Stroll, propriétaire de l’équipe Aston Martin.

« Ils aideront grandement notre équipe à atteindre ses objectifs de remporter les championnats du monde de Formule 1. Notre partenariat historique démontre l’ampleur de notre ambition et de faire de notre équipe une force pionnière et gagnante en Formule 1 et de mettre en valeur la durabilité et la performance des produits d’Aramco. »

L’équipe Aston Martin présentera sa nouvelle monoplace (l’AMR22) le 10 février prochain lors d’un événement diffusé en ligne et en direct.

F1 2022 : voici le son du moteur de la Ferrari !

L’équipe Ferrari a publié une courte vidéo dans laquelle ont peut enfin entendre le premier cri de la F1-75 (le nom de la monoplace de Maranello en 2022).

Moment toujours très particulier pour une équipe de F1, le premier démarrage du moteur avant le début d’une nouvelle saison est devenu ces dernières années un rendez-vous incontournable pour les fans et Ferrari n’a pas dérogé à la règle en 2022.

L’écurie italienne a démarré pour la première fois le moteur qui propulsera la F1-75 de Charles Leclerc et Carlos Sainz tout au long de ce championnat du monde 2022 (moteur également monté sur la Haas et l’Alfa Romeo). Ferrari présentera sa monoplace le 17 février à 14h00 (heure de Paris).

Le son du moteur Ferrari 2022

Haas dévoilera la livrée de sa F1 ce vendredi

L’équipe Haas a dévoilé la date de présentation de sa livrée 2022 et ce n’est ni plus ni moins que demain, vendredi 4 février à 12H (heure de Paris).

Même si l’on ignore encore les conditions de cette présentation, Haas a surpris son monde en annonçant aujourd’hui sur les réseaux qu’elle dévoilerait la VF-22 dès demain. Comme nous vous l’annoncions ce matin la livrée Haas sera ainsi la première F1 2022 dévoilée au monde devant Red Bull qui lui emboitera le pas le 9 Février.

Comme l’année dernière la monoplace de l’équipe américaine sera pilotée par l’Allemand Mick Schumacher et le Russe Nikita Mazepin.

Dates de présentation des F1 2022

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Alpine F1 annonce une restructuration interne

Alpine F1 Team annonce les nominations de Pat Fry au poste de Chief Technical Officer et de Matt Harman à celui de Technical Director. Cette réorganisation vise à maximiser les performances de l’écurie, un peu comme un site casino en ligne qui cherche à offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Ces deux ingénieurs joueront un rôle clé dans le développement des performances de la monoplace, avec pour objectif de se mêler à la lutte pour le championnat du Monde de F1.

Cette décision s’inscrit dans le cadre de la nouvelle organisation initiée en novembre 2021 et visant à maximiser les performances de l’écurie. Leur mission sera de participer au développement de la performance de la monoplace pour atteindre les objectifs définis par Luca de Meo, CEO de Renault Group, et Laurent Rossi, CEO d’Alpine à savoir se mêler à la lutte pour le championnat du Monde de F1 dans les cent courses à compter de l’arrivée d’Alpine dans la discipline.

En tant que Chief Technical Officer, Pat Fry supervisera toutes les activités techniques d’Enstone, fixera les objectifs de performance de la monoplace, définira les moyens et compétences techniques nécessaires et identifiera les technologies et innovations du futur. Il arbitrera les principaux choix liés à la performance, et établira la stratégie de développement à long terme pour maximiser les performances dans les limites du plafond budgétaire déterminé par la réglementation sportive.

Matt Harman, précédemment Engineering Director, assumera désormais la responsabilité des performances et tests sur piste tout en structurant l’organisation et les process techniques, et en assurant le développement des talents et des différentes équipes. Il supervisera la direction technique du châssis et apportera à l’écurie son expérience unique en matière d’intégration et d’arbitrage technique entre le châssis et le groupe motopropulseur. Son expérience d’ingénieur dédié au groupe motopropulseur consolidera les liens avec le département moteur de Viry-Chatillon et contribuera à une intégration toujours plus optimisée du bloc moteur. Matt Harman a quitté Mercedes en 2018, où il avait œuvré avec succès sur de nombreux projets liés aux châssis durant dix-huit

« Nous renforçons significativement Alpine F1 Team avec Pat et Matt comme leaders techniques à Enstone. Pat est l’un des ingénieurs les plus expérimentés en F1 tandis que le dynamisme et l’expérience de Matt s’avéreront essentiels pour révéler tout le potentiel de nos monoplaces, notamment grâce à son expertise unique combinant le développement du châssis et du moteur. » a déclaré Laurent Rossi, PDG d’Alpine. 

La F1 propose un compromis pour les courses Sprint

Alors qu’aucune décision finale n’a encore été prise concernant l’introduction des six courses Sprint prévues cette année en Formule 1, Liberty Media (propriétaire de la F1) a fait une offre de compromis aux équipes pour ramener ce nombre à trois.

Les courses Sprint n’ont pas fini de faire couler beaucoup d’encre entre ceux qui sont pour et ceux qui n’y voient absolument aucun intérêt. Lors de notre dernier sondage (que vous pouvez consulter ici), vous étiez d’ailleurs une majorité à avoir voté contre l’introduction de ces fameuses courses Sprint cette saison en Formule 1.

Pour introduire officiellement les courses Sprint cette année au calendrier, la F1 a besoin de l’unanimité auprès des équipes, et c’est justement sur ce point que le bât blesse car certaines équipes ont demandé une augmentation du budget alloué de 5 millions de dollars pour pouvoir couvrir les coûts supplémentaires qu’engendrent ces courses Sprint, notamment les dégâts en cas d’accident, alors que toutes les écuries doivent opérer au plafond budgétaire de 140 millions cette année en catégorie reine. Zak Brown – PDG de McLaren – a accusé certaines des plus grandes équipes de tenir  « le sport en otage » plus tôt ce mois-ci en votant contre certains changements de règles et en demandant une augmentation du plafond budgétaire de 5 millions de dollars.

Dans ce contexte où la Formule 1 peine à convaincre toutes les équipes du bienfait des courses Sprint, Liberty Media a fait une offre de compromis pour 2022 avec seulement la moitié des courses prévues initialement au calendrier, soit trois, selon nos confrères de AMUS. Désormais donc, toutes les parties vont se réunir lors de la prochaine réunion de la commission F1 programmée le 14 février. A cette date, faute d’accord, l’idée des courses Sprint pourrait tout simplement être abandonnée pour cette saison.

Red Bull dévoile la date de présentation de sa F1 2022

L’équipe Red Bull a dévoilé la date de présentation de sa F1 2022; la RB18, qui sera pilotée cette année par le champion du monde en titre Max Verstappen et son coéquipier Sergio Perez.

L’écurie de Milton Keynes dévoilera au monde sa nouvelle monoplace le 9 février prochain en ligne comme chaque année. La RB18, développée par Adrian Newey et ses équipes, devrait être également en piste à Silverstone pour un shakedown afin de s’assurer que tous les systèmes fonctionnent correctement avant les premiers essais hivernaux de Barcelone (du 23 au 25 février).

Jusqu’à présent, Red Bull est en pole position pour dévoiler sa monoplace, mais on s’attend à ce que l’équipe Haas dévoile sa F1 2022 en premier (peut-être dès le 4 février).

Dates présentation F1 2022

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Le père de Max Verstappen va faire ses débuts en rallye !

Le père de Max Verstappen, Jos Verstappen, fera ses débuts en rallye lors de la première manche du Kroon-Oil Belgian Rally Championship (BRC), le Rallye de la Hesbaye (Belgique) le 26 février.

Jos Verstappen espérait pouvoir faire ses débuts en rallye l’année dernière à Assen, mais en raison de l’annulation de l’épreuve à cause de la crise sanitaire, il a dû patienter une année de plus. A la fin du mois de février, Verstappen Sr pourra enfin réaliser son rêve de piloter en rallye sur les routes belges au volant d’une Citroën R5 (voiture Rally2) préparée par DG Sport Compétition.

« J’ai vraiment hâte d’y être et j’ai remarqué que j’aime vraiment le rallye. Surtout parce que c’est très imprévisible. Bien sûr, je suis très motivé et j’ai le soutien d’une équipe au top, mais je vais devoir retrouver mes propres limites, avec mon navigateur. Je veux bien faire les choses, mais la raison pour laquelle je me lance dans cette aventure de rallye, c’est parce que cela me procure de la joie avant tout. » a déclaré Jos Verstappen.

L’ancien pilote de Formule 1 et vainqueur des 24 Heures du Mans LMP2 a peut-être une riche expérience de la piste, mais le Néerlandais âgé de 49 ans débarque dans le monde du rallye en tant que rookie. Jos Verstappen est bien conscient que ce ne sera certainement pas une tâche facile.

« Le rallye est vraiment quelque chose que l’on fait avec l’expérience. Acquérir cette expérience sera le plus grand défi. Cela ne ressemble à rien dans ma carrière en sport automobile, pour moi tout est vraiment nouveau : de la voiture à la méthode de travail, en passant par la fabrication et l’utilisation des notes d’allure, l’écoute des indications en conduisant et la découverte de toutes les étapes. Il y a peu ou pas d’occasions d’explorer un parcours, il faut donc être au courant tout de suite, tout en évitant les risques inutiles. »

« Dans l’ensemble, c’est un très grand défi et je ne m’attends vraiment pas à pouvoir rouler au sommet. Bien sûr je ferai de mon mieux, mais mon objectif est d’acquérir de l’expérience et surtout d’apprendre le plus possible. Je veux me sentir bien au volant de ma Citroën et beaucoup m’amuser. C’est la chose la plus importante pour moi. »

La deuxième manche du BRC, le South Belgian Rally, aura lieu le 19 mars. Après cela, il sera déterminé à quels rallyes Jos Verstappen participera pendant le reste de l’année, en recherchant un mélange d’événements du championnat belge des rallyes et du championnat international des rallyes (WRC).

Verstappen aussi déterminé que Senna ou Schumacher selon Marko

Le conseiller motorsport de Red Bull, Helmut Marko, estime que Max Verstappen partage un trait commun avec les légendes de la Formule 1 Ayrton Senna et Michael Schumacher.

Le Néerlandais Max Verstappen a décroché son premier titre mondial en Formule 1 en décembre dernier à l’âge de 24 ans au terme d’une saison qui restera gravée dans les annales du sport, en raison notamment de l’intensité des combats en piste entre Verstappen et son grand rival Lewis Hamilton.

Bien qu’il sait très bien que comparer des pilotes de Formule 1 de génération différente est un exercice futile, Helmut Marko souligne cependant que le pilote vedette de Red Bull possède un trait commun avec Ayrton Senna ou encore Michael Schumacher : la détermination.

« Il est impossible de les comparer parce qu’ils appartiennent à des périodes différentes. Mais ce qu’ils ont [en commun], c’est leur concentration totale – vous pouvez aussi appeler cela de la cruauté. Il n’y a rien qui compte plus pour eux que « je veux gagner et je ferai tout pour ça ». » a déclaré Marko à Autorevue.

« Pendant les courses, [lewis] Hamilton sait très bien qu’il ne peut pas laisser la moindre ouverture à [max] Verstappen. Il est déjà en train de pointer le museau de sa voiture alors que l’autre gars ne peut même pas le voir dans son rétro. Cette détermination incroyable, en plus du talent nécéssaire, fait toute la différence pour moi. »

L’Autrichien estime que la meilleure démonstration de l’intrépidité de Max Verstappen a été lors de son dernier tour en qualifications au Grand Prix d’Arabie Saoudite la saison dernière, lorsque le pilote Red Bull a pris tous les risques pour décrocher une pole position, allant jusqu’au contact avec un mur dans le dernier virage : « Il a été incroyablement rapide, on pouvait vraiment voir qu’il poussait la voiture à la limite. C’était visible. Il a piloté presque à la perfection. »

Verstappen et Mercedes nommés aux Laureus World Sports Awards

Le champion du monde 2021 de Formule 1 Max Verstappen et l’équipe Mercedes – championne du monde en titre au championnat constructeurs – ont été nommés aux Laureus World Sports Awards.

Max Verstappen a déjà été nommé en 2016 lors de sa première saison passée chez Red Bull et avait perdu contre le golfeur Jordan Spieth. Cette fois-ci, le pilote Red Bull est en lice pour le prix du meilleur sportif de l’année contre des personnalités comme la superstar du football Robert Lewandowski, la légende de la NFL Tom Brady et l’as du tennis Novak Djokovic.

L’équipe Mercedes, qui a décroché un huitième titre consécutif au championnat du monde des  constructeurs en 2021, a remporté le prix de l’équipe de l’année en 2018. Cette année, ils font face à une concurrence féroce de la part des vainqueurs de l’UEFA Women’s Champions League, des champions NBA les Milwaukee Bucks, l’équipe nationale d’Italie au Football ou encore l’équipe d’Argentine.

Les Laureus World Sports Awards ont eu lieu pour la première fois en 2000, l’événement virtuel de cette année devant avoir lieu en avril. Pendant ce temps, Max Verstappen et Mercedes se préparent pour la saison 2022. Mercedes a fixé la date de lancement de sa nouvelle voiture de Formule 1 – la W13 – au 18 février, tandis que Red Bull n’a pas encore annoncé quand la RB18 sera dévoilée.

Alfa Romeo dévoilera sa F1 2022 après les essais de Barcelone

L’équipe Alfa Romeo a dévoilé ce mercredi la date de présentation de sa monoplace pour la saison 2022; la C42, qui sera pilotée cette année par le Finlandais Valtteri Bottas et le Chinois Guanyu Zhou.

L’écurie basée à Hinwil en Suisse a chois de dévoiler sa monoplace le dimanche 27 février lors d’un événement diffusé en ligne à partir de 9h00. Alfa Romeo est donc (pour le moment) la dernière équipe à présenter sa monoplace 2022 et, point important, cette F1 sera dévoilée après les premiers essais hivernaux de Barcelone…programmés du 23 au 25 février. La monoplace sera bien en piste durant ces tests, mais il s’agira d’une livrée provisoire.

L’an dernier, Alfa Romeo a terminé à la neuvième et avant dernière place au championnat du monde des constructeurs avec seulement 13 points inscrits après 22 Grands Prix disputés.

Dates présentation F1 2022

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McLaren a planifié une mise à jour sur sa F1 pour Bahreïn

L’équipe McLaren a déjà prévu d’introduire une première mise à jour sur sa monoplace 2022 dès la première manche de la saison à Bahreïn.

Les monoplaces de Formule 1 pour 2022 ont été conçues selon un nouvel ensemble de réglementations techniques qui doivent permettre de créer des courses plus proches et plus excitantes pour les fans. Les nouvelles voitures seront également les premières entièrement conçues et développées dans le cadre du plafond budgétaire, qui a été introduit en Formule 1 en 2021, et qui est fixé cette année à 140 millions de dollars.

McLaren affirme que le plafonnement des coûts, en conjonction avec la nouvelle réglementation, signifie que son approche avec la MCL36 sera différente par rapport à la monoplace de l’an dernier, notamment en ce qui concerne la production de pièces de rechange : « Nous fabriquons moins de pièces [de rechange]. » a déclaré le directeur des opérations de McLaren Piers Thynne.

« C’est un changement culturel, mais cela permettra une plus grande flexibilité pour envisager des mises à niveau. C’est un changement difficile à faire, mais nous aurons de plus petites quantités de pièces disponibles pour la MCL36 que nous n’en avions pour la MCL35M, pour avoir de la place dans le budget pour offrir plus de performances. »

« Nous ne serons jamais en rupture de pièces pour faire fonctionner les voitures, nous protégerons toujours cela, mais là où dans le passé nous aurions fabriqué cinq ou six pièces, nous tombons à cinq ; où c’était quatre ou cinq, nous tombons à quatre. Là où il existe plusieurs options de configuration d’une pièce à adapter, nous envisageons de rationner la manière dont ces choix sont faits. »

« Nous allons pouvoir collaborer avec les ingénieurs de course pour nous assurer que nous fournissons les choix qu’ils voudront utiliser, plutôt que les choix qu’ils voudront peut-être utiliser – parce que chaque livre [sterling] compte et nous devons nous assurer de les dépenser judicieusement. »

Malgré ce changement de stratégie en termes de production de pièces, McLaren a déjà planifié une première mise à jour sur sa monoplace, de sorte que la McL36 qui sera aperçue lors des essais hivernaux ne sera pas la version finale qui participera au championnat du monde 2022.

« Nous savons que la performance lors de la première course est essentielle, et nous fournirons un package de mise à niveau pour cet événement – mais nous nous attendons à beaucoup plus à suivre. Nous adopterons des approches subtilement différentes cette année pour nous assurer que la capacité de production est disponible et peut répondre à l’évolution aérodynamique. Ce sera la clé du succès cette année. »

McLaren présentera sa monoplace pour la saison 2022 le vendredi 11 février lors d’un événement diffusé en direct depuis son siège de Woking au Royaume-Uni.

Vandoorne ne s’attend à aucune nouvelle opportunité en F1

Le Belge Stoffel Vandoorne estime qu’il ne recevra « probablement jamais » de nouvelle opportunité pour piloter en Formule 1 et se concentre donc désormais sur l’avenir avec plusieurs catégories dont l’Endurance, la Formule E et l’Indycar.

Actuellement pilote titulaire en Formule E pour l’équipe Mercedes, Vandoorne – qui a disputé deux saisons en Formule 1 en tant que titulaire chez McLaren – continuera en 2022 d’assumer son rôle de pilote de réserve pour l’écurie Mercedes en F1 en parallèle de ses engagements dans le championnat 100% électrique de la FIA.

Lorsque nos confrères de la RTBF lui demandent quelle place la Formule 1 occupe encore dans sa tête, le Belge a répondu : « Je dois dire que mon état d’esprit est différent. S’il y a une opportunité, forcément j’aimerais la saisir, mais seulement pour faire les choses dans de bonnes conditions. Mais je reste réaliste, je sais que je ne recevrai probablement jamais de nouvelle opportunité et ça ne me pose pas de problème. Je me concentre sur l’avenir, la Formule E, l’endurance, mon futur est là. Je n’ai pas forcément de regrets par rapport à la F1. »

« Bien sûr on peut toujours faire les choses différemment, mais il y a très peu d’opportunités pour arriver en F1. Et dans la situation dans laquelle je me trouvais avec McLaren, je ne pouvais pas refuser un poste de titulaire. J’ai pu prendre part à deux saisons avec eux, et malheureusement c’était la pire période de leur histoire en Formule 1 : la voiture n’était pas performante et l’équipe pas stable politiquement. Il y a eu beaucoup de changements de management. »

Vandoorne vers l’Indycar ?

Actuellement, Vandoorne se concentre évidemment sur la Formule E, mais le Belge garde également un œil sur d’autres disciplines comme l’Endurance ou encore l’Indycar, catégorie dans laquelle il a effectué un test à la fin de l’année dernière avec McLaren justement.

« Mon test Indycar c’était vraiment une super expérience. C’est quelque chose de complètement nouveau. Niveau sensation, ça ressemble un peu une GP2, mais avec plus de puissance et des meilleurs pneus. » indique Vandoorne.

« Après la Formule électrique, je ne sais pas encore quelle direction prendre et c’est en partie pour ça que j’ai réalisé ce test en « indy ». C’était bien d’essayer. Est-ce que ce championnat est une option ? On verra. En tout cas ça me plait, parce que ça reste une voiture unique : une monoplace avec beaucoup d’appui, de bons pneus, beaucoup de puissance, c’est toujours exceptionnel à conduire et le championnat se développe. Mais ce serait un grand changement parce que je voudrais m’y consacrer à 100% et je devrais tout laisser derrière moi (Formule E, endurance,…). Si je peux le faire dans de bonnes conditions avec une équipe performante, j’y réfléchirai. »

https://twitter.com/i/status/1467872384472473604

Capito : Russell sera immédiatement au top chez Mercedes

L’ancien patron de George Russell chez Williams, l’Allemand Jost Capito, estime que le Britannique sera immédiatement dans le coup cette saison chez Mercedes et pourra se battre avec le champion du monde en titre Max Verstappen.

Le PDG de Williams pense que le talent et la grande force mentale de George Russell vont lui permettre d’être immédiatement dans le rythme pour sa première saison chez Mercedes aux côtés de Lewis Hamilton. De plus, Capito insiste sur le fait que Russell connaît déjà parfaitement les rouages de l’équipe du constructeur allemand pour y avoir débuté sa carrière, ce qui sera un vrai plus pour lui.

« Il a des nerfs d’acier et ne se décourage jamais. George est très fort mentalement et continue de grandir de plus en plus dans cet aspect. » a déclaré le PDG de Williams au média allemand RTL.

« Quant au défi avec Verstappen, il n’est pas nécéssaire de s’adapter au caractère et à la personnalité d’un autre pilote pour être rapide. Je pense qu’il peut se battre avec Max Verstappen, j’en suis convaincu. »

« Il a fait partie de la Mercedes Academy et utilise ses compétences dans le simulateur pour se perfectionner. Grâce à ce travail, il pourra interagir avec une machine qui ne sera pas une nouveauté absolue pour lui, donc je pense qu’il sera immédiatement au top. »

En 2022, George Russell entamera sa quatrième saison en Formule 1. L’équipe Mercedes dévoilera sa W13 le 18 février lors d’un événement diffusé en direct depuis le circuit de Silverstone au Royaume-Uni.

Horner explique comment se poursuivra la relation entre Red Bull et Honda en 2022

Christian Horner a expliqué en détails comment la relation entre Red Bull et Honda se poursuivra en 2022, malgré le fait que le motoriste japonais a stoppé son programme en F1 à la fin de la saison 2021.

A la suite de la décision de Honda de stopper son programme en F1, Red Bull et Honda ont dû trouver un accord qui verra le motoriste japonais continuer à fabriquer les moteurs pour Red Bull jusqu’en 2025 durant une période de gel du moteur qui entre en vigueur à partir de cette saison 2022 en Formule 1. Bien que Honda ne sera plus présent en tant que firme durant les week-ends de Grand Prix, Horner a insisté sur le fait que quasiment tout le personnel de la marque japonaise continuera de travailler pour Red Bull.

« Dans le cadre de notre accord, les moteurs continueront d’être assemblés au Japon à Sakura, et il y aura un support technique en provenance du Japon. » a expliqué Christian Horner à RacingNews365, admettant que l’accord se poursuivra « très probablement » jusqu’à la fin de la période du gel des moteurs.

« C’est quelque chose dont nous discutons actuellement, il est probable que les moteurs continueront, à partir de 2022, à être produits et construits au Japon et à nous être expédiés. Nous sommes très reconnaissants envers Honda de nous fournir cette branche d’olivier, alors que nous devenons un fabricant de moteurs. Ils [les moteurs] arriveront depuis le Japon scellés et toute l’assistance en course viendra aussi du Japon cette année. C’est un accord technique, donc c’est très large pour le moment. »

Horner a également précisé qu’une grande partie des employés de Honda deviendront des employés de Red Bull Powertrains – bien que cela n’inclura pas les hommes clés de l’entreprise nippone : « Toutes les personnes de Honda, fin février, deviendront nos employés. » a déclaré Horner.

« [Masashi] Yamamoto deviendra consultant, [Toyoharu] Tanabe, je pense, va rester avec Honda à leurs côtés. Mais tout le personnel de HRD UK [Honda Racing Development] nous sera transféré, de sorte que les moteurs continueront d’être entretenus hors des services de Honda jusqu’à ce que les bancs d’essais de RBPT [Red Bull Powertrains] et les travaux soient finalisés vers mai ou juin [2022]. »

Le patron de l’équipe Red Bull a également révélé que le logo de Honda ne serait pas totalement effacé en 2022, bien que le moteur sera rebadgé « Red Bull Powertrains » : « Le moteur sera badgé comme un moteur Red Bull, mais nous avons toujours une affiliation de branding qui sera annoncée plus tard dans la saison. Ils ne seront pas totalement invisibles. »

L’équipe Williams se sépare de son directeur de l’ingénierie

Williams Racing s’est séparée à la veille de la saison 2022 de Formule 1 d’Adam Carter, qui occupait depuis 2016 le poste de directeur de l’ingénierie au sein de l’écurie basée à Grove.

Il s’agit pour Williams d’un autre changement important dans son organigramme après le départ  l’an dernier de son directeur d’écurie, Simon Roberts, alors qu’en parallèle, l’équipe britannique a annoncé l’arrivée en 2021 de François-Xavier Demaison au poste de directeur technique, poste qui était auparavant vacant.

« Alors que nous envisageons notre stratégie d’ingénierie et nos exigences pour l’année prochaine et au-delà, nous avons apporté des modifications à notre structure d’ingénierie. Adam Carter a quitté l’équipe et je tiens à le remercier pour son travail acharné et sa contribution au cours des six dernières années. » a déclaré Jost Capito, PDG de Williams, ce vendredi.

L’an dernier, l’équipe Williams a terminé à la huitième place au championnat du monde des constructeurs. En 2022, le duo de pilotes sera formé par le Canadien Nicholas Latifi et le Thaïlandais Alexander Albon.

Alpine démarre le moteur Renault de l’A522, sa F1 2022

L’équipe Alpine a dévoilé ce vendredi une courte vidéo dans laquelle on peut entendre le son du moteur Renault qui propulsera sa monoplace de la saison 2022.

L’équipe d’Enstone a également révélé que sa monoplace 2022 pilotée par Esteban Ocon et Fernando Alonso s’appellera A522 en digne héritière de l’A521 de la saison passée et qui a permis à Alpine de terminer à la cinquième place du championnat du monde des constructeurs.

L’A522 aura donc la lourde tache cette année de faire aussi bien, sinon mieux, que sa devancière au cours d’une saison qui s’annonce palpitante avec l’introduction de la nouvelle règlementation technique, l’introduction des nouveaux pneus 18 pouces, le plafond budgétaire abaissé à 140 millions de dollars….

https://twitter.com/i/status/1484505176761319428

Pirelli s’attend à ce que toutes les équipes participent aux essais de pneus en 2022

Pirelli s’attend à ce que toutes les équipes de la grille jouent un rôle dans le développement des pneus 18 pouces cette saison en Formule 1.

Dans le cadre de la refonte de la règlementation technique, Pirelli introduit cette année en Formule 1 ses nouveaux pneus 18 pouces qui ont été développés avec l’aide de certaines équipes de la grille l’an dernier. Seule l’équipe Williams n’a pas participé à ces tests et a également été absente du test de pneus d’après-saison à Abou Dhabi, notamment parce que l’écurie de Grove n’a pas pu mettre à disposition de Pirelli une monoplace mule adaptée pour recevoir les jantes 18 pouces. Mais Pirelli s’attend désormais à ce que toutes les équipes jouent un rôle dans les journées de test privées en 2022.

« Nous avons convenu avec la FIA d’un certain nombre de journées d’essais, c’est-à-dire 25, c’est un bon compromis et je pense que cela nous donne une bonne opportunité de développer notre produit. » a déclaré Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.

« De toute évidence, lorsque vous avez un produit complètement nouveau comme les pneus de 18 pouces, vous essayez d’en ajouter de plus en plus. L’année dernière, nous avions en fait 28 jours. L’année dernière, malheureusement, Williams n’a pas été en mesure de produire une voiture mule, nous n’avions que neuf équipes sur 10, mais cette année, ils vont utiliser les voitures 2022, donc les dix équipes ont la possibilité de nous soutenir dans le développement des pneus. »

« C’est important car notre pneu est toujours le meilleur compromis, ce n’est pas le pneu du vainqueur. Nous devons fabriquer un pneu qui convient à tout le monde et tester avec tout le monde nous aide. »

L’Italien est toutefois conscient qu’obtenir des créneaux libres pour les essais des pneumatiques est de plus en plus problématique en raison du calendrier, qui est composé cette année de 23 courses, un record en catégorie reine : « Pour réaliser ces journées de tests, ce que nous essayons de faire autant que possible est de programmer ces journées de tests après les Grands Prix. Nous allons donc à Barcelone pour la course et nous essayons d’y rester quelques jours, mardi et mercredi. »

« Mais nous devons faire attention qu’il ne s’agit pas d’un back-to-back ou d’une triplette. Il y a donc des limitations dans certains pays. Je pense que nous avons maintenant un bon compromis sur le nombre de jours de tests disponibles et aussi sur le fait que nous pouvons désormais tester avec toutes les équipes. »

La Scuderia Ferrari mise beaucoup sur son nouveau simulateur

La simulation est un domaine où Ferrari a pris du retard par rapport à ses rivaux, mais l’été dernier, après plus de deux ans de travail, un nouveau simulateur de pointe a été mis en fonction à Fiorano, le centre d’essais sur piste privé de la Scuderia.

Les ingénieurs de l’équipe italienne ont passé les derniers mois à valider le simulateur et l’ont même testé avec la préparation de la course pour le premier Grand Prix d’Arabie saoudite, l’avant-dernière course de la saison dernière. Ferrari espère donc qu’il fonctionnera à plein régime à temps pour le début de la saison 2022.

« Beaucoup d’efforts ont été faits et beaucoup de nouveaux outils ont été développés en termes de simulations. » a déclaré le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, cité par le site du championnat.

« Nous avons un nouveau simulateur mais ce n’est pas la seule amélioration, c’est juste la pointe de l’iceberg. En termes d’aéro, de soufflerie, de calculs de conception et de gestion des pneus, beaucoup a été fait. Je suis très heureux de voir les progrès dans cet aspect. La simulation et la corrélation seront une clé pour 2022 car dès que nous mettrons la voiture en piste, nous mesurerons les comportements. »

« Ce qui sera important, c’est de comprendre le comportement de la voiture et de remédier aux faiblesses dès que possible et vous ne pouvez le faire que si vous disposez de bons outils, de simulations et de corrélations. »

Ce nouveau simulateur est à la pointe de la technologie et reproduit dans un environnement à 360°, la latence la plus faible et la bande passante la plus large de tout ce qui existe actuellement sur le marché selon Ferrari. Il est basé sur un tout nouveau concept issu d’une collaboration entre la Scuderia Ferrari et Dynisma, une entreprise britannique dirigée par l’ancien ingénieur Ferrari Ashley Warne. Il a été produit exclusivement pour l’équipe de Maranello.

La Scuderia Ferrari présentera sa monoplace 2022 (connue pour l’instant sous le nom de code Projet 674) le 17 février prochain lors d’un événement diffusé en ligne et en direct.

Melbourne a terminé les travaux sur l’Albert Park

Les travaux débutés sur le tracé de l’Albert Park de Melbourne en 2021 sont désormais terminés à moins de trois mois de la venue de la F1 en Australie.

Un resurfaçage complet du circuit était la dernière partie d’une refonte en trois phases de la piste qui a d’abord vu l’élargissement de la voie des stands de deux mètres. La deuxième partie du projet était un travail géométrique autour du circuit avec l’élimination de la chicane sur Lakeside Drive. Initialement prévu pour avoir lieu avant le Grand Prix d’Australie 2021, l’annulation de l’événement a vu le resurfaçage repoussé.

« C’est l’aboutissement de probablement quatre ou cinq ans de travail. » a déclaré Andrew Westacott, PDG de l’Australian Grand Prix Corporation, à Speedcafe.com.

« Il faut donner le crédit à Downer, à IEDM, à l’équipe de Grand Prix Corporation, à la contribution de la FIA et de la F1, des consultants internationaux, à Hart Consulting d’un point de vue national, et aussi [Hermann] Tilke, qui a aidé avec quelques détails techniques de refonte du carrossage et des angles. »

« Tout s’est déroulé comme prévu. Ce que cela signifie, c’est que nous allons faire courir de nouvelles voitures aux nouvelles spécifications pour la première fois en trois ans sur un tout nouveau circuit, et ces voitures vont probablement être plus rapides de quatre ou cinq secondes par tour. »

Les modifications apportées au circuit de l’Albert Park devraient à la fois faciliter les dépassements et ouvrir des options stratégiques aux équipes grâce à la voie des stands plus large. Agrandie de deux mètres, les organisateurs espèrent que la FIA augmentera la limite de vitesse de 60 km/h à 80 km/h dans la voie des stands, réduisant ainsi la perte de temps pour prendre et rendant ainsi plus attrayante une stratégie à deux arrêts.

Le Grand Prix d’Australie 2022 est programmé sur l’Albert Park de Melbourne du 7 au 10 avril. Il s’agira de la troisième manche du championnat du monde de F1.

Marko assure que Red Bull est dans les temps avec sa F1 2022

Le Dr Helmut Marko a tenu à rétablir la vérité après les propos « mal interprétés » du Thaïlandais Alexander Albon, qui a récemment insinué que Red Bull avait déployé trop d’énergie dans la bataille pour le titre en 2021 et serait donc à la traine avec le développement de sa monoplace 2022.

Alexander Albon a joué un rôle crucial dans le développement de la monoplace 2022 chez Red Bull en travaillant dans le simulateur tout au long de l’année 2021. Mais le désormais pilote Williams a également révélé il y a quelques jours lors d’une interview qu’il avait beaucoup travaillé sur le développement de la monoplace 2021, notamment en fin d’année, lorsque l’équipe de Milton Keynes a concentré toutes ses ressources sur la lutte pour le titre mondial, cessant alors de se concentrer sur la monoplace de 2022.

Mais selon Helmut Marko, les propos de son ancien pilote ont été mal interprétés et l’Autrichien assure que le développement de la RB18 (le nom de la monoplace 2022) est dans les temps.

« Les déclarations d’Albon ont été mal interprétées. Tout ce que je peux dire, c’est que nous voulons défendre le titre de Max Verstappen et que nous sommes très bien placés pour le faire. » a déclaré Helmut Marko à F1Insider.

« Nous avions deux programmes de développement différents en cours en 2021. Les deux ont fonctionné. Il n’y a donc aucune raison de croire que Mercedes et nous ne sommes pas de nouveau les favoris cette année, à moins que quelqu’un ait trouvé la pierre philosophale dans la nouvelle réglementation. » conclut Marko.