George Russell serein face aux rumeurs sur son avenir chez Mercedes

George Russell s’est montré détendu lorsqu’il a été interrogé sur les rumeurs faisant état d’un futur contrat prolongé avec Mercedes, alors que le nom de Max Verstappen continue d’être associé à l’écurie allemande.

À la veille du Grand Prix d’Arabie saoudite, le site italien Motorsport.com rapportait que le Britannique était sur le point de signer un nouveau contrat de deux ans, assorti d’une option pour une troisième saison, pour un montant estimé à 30 millions de dollars par an. Son contrat actuel court jusqu’à fin 2025.

La spéculation autour de l’avenir de Russell survient dans un contexte où Mercedes garde un œil attentif sur la situation contractuelle de Max Verstappen chez Red Bull, alors que ce dernier vit un début de saison plus difficile.

Russell, de son côté, ne semble pas inquiet. Confiant dans sa position, il affirme rester concentré sur ses performances, tout en reconnaissant qu’il est crucial de continuer à livrer de bons résultats.

« De mon côté, je ne ressens absolument aucun stress, aucune inquiétude », a déclaré Russell à Sky Sports F1. « Quand il s’agit de contrats, tout le monde s’emballe, mais le fait est que les pilotes ont des contrats et que s’ils ne sont pas performants, ils sont remplacés. Pour les pilotes, la performance est notre monnaie d’échange. C’est tout ce que nous avons. Si vous êtes performant, tout va bien. Je suis donc impatient de courir ce week-end, de me concentrer sur mes performances, et l’avenir se décidera tout seul. »

Le pilote originaire de King’s Lynn a répondu aux rumeurs concernant son supposé nouveau contrat, mais a insisté sur le fait que les négociations n’auraient pas lieu avant au moins un mois.

« Les rumeurs ne sont jamais très fiables, n’est-ce pas ? », a déclaré Russell. « Quand vous avez parlé de rumeurs, je n’ai pas vraiment prêté attention. Certaines sont assez proches de la réalité, je suppose, mais en fin de compte, nous ne discutons jamais de contrat avant mai ou juin dans une saison. »

Pierre Gasly y croit : « Je peux être champion du monde avec Alpine dès 2026 »

Pierre Gasly réaffirme ses ambitions : il se voit champion du monde avec Alpine dès 2026, lorsque la nouvelle réglementation moteur entrera en vigueur.

Le pilote français a une nouvelle fois exprimé sa confiance dans le potentiel de l’écurie d’Enstone, qui bénéficiera à partir de la saison prochaine d’un moteur Mercedes. Selon lui, ce changement réglementaire constituera une opportunité majeure pour redistribuer les cartes en Formule 1 — une perspective qui pourrait favoriser Alpine.

Un avis partagé par Ralf Schumacher. L’ancien pilote allemand voit lui aussi un avenir prometteur pour l’écurie française. Il estime qu’Alpine pourrait même représenter une option sérieuse pour Max Verstappen, en raison notamment des performances solides de Gasly, du potentiel technique de l’équipe, mais aussi de l’influence croissante de Flavio Briatore dans sa structure.

De son côté, Gasly reste convaincu qu’Alpine pourra viser les sommets dès 2026 — et qu’il a les armes pour aller chercher le titre mondial.

« J’ai dit que je pouvais être champion du monde l’année prochaine », a déclaré Gasly à certains médias. « Donc oui, je pense qu’Alpine a ce qu’il faut pour se battre aux avant-postes de la grille de départ. »

Le pilote de 29 ans arrive en Arabie saoudite avec un regain de confiance après une prestation solide lors du Grand Prix de Bahreïn. Qualifié en cinquième position, il avait gagné une place sur la grille de départ avant de franchir la ligne d’arrivée en septième position, décrochant ainsi son premier top 10 de la saison.

Malgré ce résultat encourageant, il reste prudent à l’approche du Grand Prix de Djeddah, anticipant un défi potentiellement plus complexe pour Alpine sur un tracé aux caractéristiques différentes.

« Nous savons que c’est un circuit où les choses pourraient être un peu plus délicates et un peu plus difficiles pour nous, mais en même temps, nous savons à quoi nous avons affaire », a ajouté Gasly. « C’est ce que nous avons, et nous devons nous battre avec ce que nous avons. Sur le papier, nous savons que ce circuit est assez exigeant en termes de gestion de l’énergie, mais maintenant, c’est à nous d’essayer de nous battre avec ce que nous avons. »

Jack Doohan réagit aux dernières rumeurs concernant son avenir en F1 avec Alpine

Jack Doohan s’est engagé à « accomplir de grandes choses » avec Alpine.

Alors que des rumeurs avaient évoqué l’existence d’une clause pouvant entraîner son remplacement après quelques courses, l’équipe d’Enstone a réaffirmé sa confiance envers l’Australien. La signature récente de Franco Colapinto, pilote de réserve chez Williams, avait ravivé les spéculations autour de l’avenir de Doohan. Pourtant, le directeur de l’équipe, Oliver Oakes, a plusieurs fois renouvelé son soutien au jeune pilote depuis le début de la saison.

À Djeddah, en amont du Grand Prix d’Arabie saoudite, Doohan s’est montré confiant, estimant avoir démontré un bon rythme. Il a indiqué qu’il lui restait à construire un week-end pleinement abouti à l’approche de sa sixième participation en F1.

« J’ai essayé de ne pas y penser », a déclaré Doohan aux médias. « Nous savons en interne quelle est ma situation contractuelle, et pour le reste, j’ai toujours su que cela allait forcément fluctuer. Tout ce sur quoi je peux me concentrer, c’est ce que l’équipe et moi sommes venus faire ici, et c’est de prendre le rythme le plus vite possible. C’est une bonne chose que nous ayons montré de bonnes choses au cours des quatre dernières courses et que le rythme soit là. Il y a beaucoup de points forts à exploiter et maintenant, il s’agit juste de mettre tout cela en place et, c’est certain, nous serons en mesure de réaliser de grandes choses. »

Jack Doohan fait aujourd’hui partie d’un groupe de quatre pilotes à ne pas avoir inscrit le moindre point en 2025. Fernando Alonso, Liam Lawson et Gabriel Bortoleto l’accompagnent à la toute fin du classement des pilotes.

Enfin, le pilote australien a vu son coéquipier chez Alpine, Pierre Gasly, marquer de précieux points à l’arrivée du Grand Prix de Bahreïn.

Sebastian Vettel prend la défense de Lewis Hamilton « Il travaille très dur » avec Ferrari

Sebastian Vettel, quadruple champion du monde de F1, a apporté son soutien à Lewis Hamilton et lui a souhaité de s’adapter à sa nouvelle vie chez Ferrari, tout en admettant que cela prendrait « un peu de temps ».

Après des mois d’effervescence avant le début de la saison, la saison 2025 de Ferrari n’a pas tenu ses promesses sur la piste. Ni Hamilton ni Charles Leclerc n’ont terminé sur le podium lors des quatre premières courses de la saison 2025. Hamilton a terminé derrière Leclerc lors de trois des quatre premiers week-ends, ne semblant plus rapide que son coéquipier que lors de la course en Chine.

Après avoir terminé cinquième à Bahreïn, Hamilton s’est longuement exprimé sur le long processus d’adaptation et sur la différence entre piloter pour Ferrari après avoir passé tant d’années chez Mercedes.

Évoquant les quatre premières courses de son ancien rival, Sebastian Vettel a défendu la lenteur du processus d’adaptation d’Hamilton chez Ferrari.

« Je pense que c’est évidemment un grand pas en avant », a déclaré Vettel. « C’est un grand changement de culture et je pense qu’à l’heure actuelle, il est évidemment très concentré sur la course, sur la voiture, sur la façon dont elle doit être pilotée, sur ses sensations, etc. Mais je pense que l’adaptation ne se limite pas à la conduite. Je pense que cela concerne également beaucoup de choses qui se passent autour de la conduite pendant que vous conduisez. »

« Je ne sais pas, pour vous donner des exemples, le volant, par exemple, il l’a certainement adapté à son goût, mais ce n’est pas celui qu’il avait auparavant. Ces choses prennent du temps à s’adapter et cela demande une certaine capacité cérébrale, que vous aviez en quelque sorte à votre disposition dans le passé, car tout était automatique. Cela prend donc naturellement un peu de temps. »

Sebastian Vettel estime que Lewis Hamilton « travaille dur » pour revenir au top avec sa nouvelle équipe et que ce n’est qu’une question de temps avant que les résultats s’améliorent.

« Bien sûr, je sais qu’il a de très grandes ambitions et de très grandes attentes », a ajouté Vettel. « Donc, pour l’instant, je sais qu’il n’est probablement pas satisfait de lui-même, de sa compétitivité. Cela joue dans son esprit, et ce n’est évidemment pas par hasard qu’il est l’un des pilotes les plus titrés, mais pour de nombreuses raisons. Et je pense qu’il travaille très dur pour régler tous ces problèmes et retrouver toute la capacité dont il a besoin pour piloter à un niveau qui lui donne satisfaction. »

Max Verstappen coupe court aux rumeurs autour de son départ de Red Bull

Max Verstappen n’était pas disposé à alimenter les spéculations concernant son avenir chez Red Bull F1.

Il a répliqué à David Croft, de Sky Sports, qui lui a posé une question sur son possible départ de Red Bull lors de la conférence de presse précédant le Grand Prix de Arabie saoudite de F1. Alors que Red Bull connaît un début d’année 2025 difficile, des rumeurs circulent sur l’avenir à long terme de Verstappen au sein de l’équipe, bien qu’il soit sous contrat jusqu’à la fin de 2028. Le quadruple champion du monde est resté discret lorsqu’il a été interrogé sur son avenir avant le Grand Prix d’Arabie saoudite de ce week-end.

Interrogé directement sur son intention de quitter Red Bull, Verstappen a répondu : « Non, je pense que je vais simplement me concentrer sur mon pilotage. Nous n’avons donc pas besoin de penser à d’autres scénarios. »

Le conseiller de Red Bull, Helmut Marko, a admis après la performance catastrophique du week-end dernier au Grand Prix de Bahreïn que le contrat du Néerlandais comportait des clauses de performance qui lui permettraient de partir à la fin de l’année. Cela n’a fait qu’alimenter les rumeurs selon lesquelles Verstappen pourrait envisager de quitter Red Bull, alors qu’il continue d’être associé à des écuries telles que Mercedes et Aston Martin.

« Je ne sais pas, pour être honnête », a répondu Verstappen lorsqu’on lui a demandé, lors de la conférence de presse de jeudi à Djeddah, pourquoi Marko avait fait de telles déclarations. « Je continue simplement à travailler et à essayer d’améliorer la voiture. Bien sûr, le week-end à Bahreïn n’a pas été formidable pour nous. Je pense que nous étions tous assez déçus, mais nous essayons simplement de continuer à améliorer la voiture et de trouver de nouvelles idées à tester. La compétition est rude, et c’est ainsi que j’aborde chaque semaine. J’essaie simplement d’améliorer ma situation. »

Max Verstappen compte huit points de retard sur le leader du championnat, Lando Norris, après avoir terminé seulement sixième à Bahreïn.

Et si Max Verstappen rejoignait Alpine en 2026 ?

L’idée sort tout droit des pensées de Ralf Schumacher, mais une écurie de milieu de peloton de F1 pourrait se battre pour obtenir la signature de Max Verstappen.

Ralf Schumacher affirme que les options de Max Verstappen, s’il souhaite quitter Red Bull, sont plus nombreuses qu’il n’y paraît. Mercedes et Aston Martin sont les destinations évidentes si le Batave venait à perdre patience avec Red Bull.

Mais une écurie en progression dans le milieu du peloton a également des raisons d’attirer Verstappen, estime Schumacher.

« Qui avons-nous complètement oublié ? Et qui joue également un rôle ? Alpine », a-t-il déclaré à Sky Germany. « Parce qu’à partir de l’année prochaine, Flavio Briatore disposera d’un moteur Mercedes. »

« La voiture, regardez Pierre Gasly ce week-end. Elle ne peut pas être si mauvaise. Ajoutez à cela 30 chevaux supplémentaires grâce au moteur Mercedes… Je ne veux pas non plus exclure cette équipe. Je ne l’ignorerais donc pas complètement, tout comme Aston Martin. De mon point de vue, quatre équipes sont intéressantes pour Max. »

Cela peut sembler improbable, mais Flavio Briatore n’est pas étranger aux négociations audacieuses. Max Verstappen représenterait une opportunité de choix pour Alpine, reste toutefois à voir si cette possibilité prendra forme.

Alpine est la dernière écurie du plateau à avoir marqué des points en 2025. L’écurie tricolore pointe donc aujourd’hui à la dernière place du Championnat du monde des constructeurs avec six petites unités, à égalité avec Sauber.

À ce jour, les pilotes Alpine sont Pierre Gasly et Jack Doohan, cependant ce dernier est sous pression et pourrait bien perdre sa place au profit de Franco Colapinto ou de Paul Aron.

Red Bull signe un nouveau contrat avec un sponsor majeur de Sergio Pérez

Red Bull a annoncé avoir renouvelé son partenariat avec PATRÓN Tequila en tant que partenaire officiel mondial pour les spiritueux et les événements après-course.

La célèbre marque est étroitement liée à l’ancien pilote Red Bull Sergio Perez, qu’elle a soutenu tout au long de sa carrière dans le sport automobile. Après avoir conclu son premier partenariat avec l’écurie de Milton Keynes en 2023, PATRÓN enrichit cette saison l’expérience hospitality de l’équipe en bord de piste avec un nouveau cocktail signature baptisé « The Bulls and the Bees ».

« Grâce à notre engagement commun en faveur de la recherche de performances pionnières, nous sommes ravis de prolonger notre partenariat fructueux avec PATRÓN tequila », a déclaré Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull. « Ces deux marques puissantes sont synonymes de succès, et nous sommes impatients de poursuivre ce partenariat qui occupe une place si importante dans notre expérience d’hospitalité sur les circuits. »

Ned Duggan, président et directeur marketing mondial de PATRÓN Tequila, a ajouté : « Nous sommes ravis de poursuivre notre partenariat avec Oracle Red Bull Racing, une marque qui, tout comme PATRÓN, s’engage sans faille à respecter ses propres règles. Alors que ces deux marques emblématiques s’associent une nouvelle fois pour célébrer de manière responsable sur et en dehors des circuits, nous sommes impatients de lever un verre de PATRÓN pour trinquer à une nouvelle saison passionnante pour les fans du monde entier. »

Par ailleurs, Patron reste le sponsor personnel de Perez. Si le Mexicain fait son retour au plus haut niveau du sport automobile, la marque de boissons voudra sans aucun doute s’associer à l’écurie de F1 pour laquelle Perez courra. Pour l’instant, l’ancien coéquipier de Max Verstappen semble être le candidat idéal pour Cadillac.

Montoya conseille à Verstappen d’accepter une baisse de salaire et de rejoindre Mercedes

Juan Pablo Montoya, sept fois vainqueur d’un Grand Prix en F1, a suggéré à Max Verstappen d’accepter une réduction de salaire afin de rejoindre Mercedes l’année prochaine.

Verstappen est régulièrement associé à un départ de l’écurie Red Bull depuis 12 mois, alors que celle-ci semble en perte de vitesse dans le classement de la F1. Le Néerlandais n’a remporté qu’une seule victoire lors des quatre premières manches de la nouvelle saison et a connu une course difficile à Bahreïn, où il a terminé sixième, égalant ainsi son plus mauvais résultat de toute la saison 2024.

Helmut Marko, conseiller chez Red Bull, a confirmé l’existence d’une clause de sortie dans le contrat du Néerlandais. Selon de récentes rumeurs, celui-ci pourrait la déclencher s’il se classe en dessous de la troisième place au classement général à la fin de l’année.

Verstappen se trouve actuellement autour du seuil rapporté, puisqu’il occupe la troisième place du classement des pilotes, mais avec seulement six points d’avance sur George Russell (Mercedes). S’il cherche une nouvelle écurie pour 2026, Montoya a souligné qu’il devrait accepter une réduction de salaire pour négocier un départ anticipé.

« Si j’étais Max, je serais inquiet », a déclaré Montoya à Plejmo. « Il y a six mois, il aurait pu demander n’importe quelle somme d’argent pour aller n’importe où et les gens auraient payé. Vu la façon dont Red Bull fonctionne actuellement, il pourrait aller voir Toto et lui dire : « Écoute, paie-moi moins que ce que tu devais me payer, mais laisse-moi piloter ta voiture ». Est-il prêt à faire ça ? »

F1 – Les travaux de construction du circuit du Grand Prix Madrid débuteront ce mois-ci

La construction d’un nouveau circuit de Formule 1 à Madrid débutera ce mois-ci, en vue du Grand Prix inaugural qui se tiendra dans la capitale espagnole en 2026.

Les organisateurs prévoient que le circuit, qui sera construit autour du centre des congrès IFEMA Madrid, sera prêt d’ici mai 2026. Le contrat pour les travaux de construction a été attribué à un consortium composé d’ACCIONA (60 %) et d’Eiffage Construcción (40 %) pour un montant de 83,2 millions d’euros, contre un budget initial de 110 millions d’euros. ACCIONA a déjà participé à la construction du circuit Motorland Aragon à Alcaniz, tandis qu’Eiffage a réalisé le resurfaçage des circuits de Jerez et Carmona.

Les deux entreprises seront non seulement chargées de la construction du circuit madrilène, baptisé Madring, mais aussi de l’installation et du démontage des structures temporaires et de la remise en état des voies publiques.

Les organisateurs ont déclaré que des matériaux recyclés et des méthodes respectueuses de l’environnement seront utilisés pendant la construction, affirmant que l’utilisation d’huile végétale hydrotraitée permettra de réduire les émissions de 90 % par rapport aux carburants traditionnels. L’électricité utilisée pour alimenter les installations de construction sera également issue de sources renouvelables.

Le nouveau circuit Madring sera long de 5,4 km, dont 4,1 km traverseront le parc des expositions IFEMA et le reste empruntera des routes publiques. Madring ressemble ainsi à l’Autodrome de Miami, construit autour du Hard Rock Stadium en Floride. Madrid remplacera Barcelone comme lieu d’accueil du Grand Prix d’Espagne à partir de 2026, dans le cadre d’un nouvel accord de 10 ans avec la F1. Le Circuit de Barcelona-Catalunya a un contrat avec la F1 pour la saison prochaine, mais la course ne se déroulera pas sous la bannière du Grand Prix d’Espagne.

Le manager de Max Verstappen a été « particulièrement irrité » par les arrêts manqués de Bahreïn

Ted Kravitz, commentateur de Sky Sports F1, a fait la lumière sur l’échange houleux entre le manager de Max Verstappen et Helmut Marko, expliquant qu’il trouvait son origine dans les problèmes rencontrés par Red Bull lors des arrêts au stand.

Après le Grand Prix de Bahreïn dimanche, Kravitz a mentionné dans son émission « notebook » d’après-course qu’il avait vu Raymond Vermeulen, le manager de Verstappen, « dire ses quatre vérités » à Marko.

Cet échange a eu lieu après un Grand Prix de Bahreïn décevant pour Verstappen, qui a terminé sixième. La course de Verstappen a été terne en raison du manque de vitesse de la RB21, tandis que des arrêts au stand trop lents ont aggravé une après-midi difficile. Dans le dernier épisode du podcast Sky Sports F1, Kravitz a émis l’hypothèse que la frustration de Vermeulen était due aux mauvais arrêts aux stands de Red Bull.

« C’est quelque chose que j’ai remarqué. J’ai vu à plusieurs reprises Raymond Vermeulen ou Jos Verstappen discuter avec Christian Horner et Helmut Marko, mais Raymond Vermeulen semblait particulièrement agacé par quelque chose qui, selon moi, était en fait les problèmes d’arrêts aux stands », a expliqué Kravitz.

« Nous avons la mémoire courte, n’est-ce pas ? Il y a moins de deux semaines, nous disions que Max Verstappen était définitivement de retour dans la course au titre mondial après sa fantastique performance au Japon. Il avait décroché la pole position et remporté le Grand Prix. Soyons un peu prudents. Red Bull savait depuis les essais qu’ils n’étaient pas aussi rapides que les McLaren et, en fait, que les Mercedes. Il n’y avait pratiquement aucune surprise. Je pense que ce qui agaçait les Verstappen, ce dont Raymond Vermeulen se plaignait et ce que Max a également dit, c’est que lorsque tout ne va pas très bien sur la voiture, il faut au moins que les arrêts au stand se passent bien et que tout fonctionne bien sur le plan opérationnel. »

Un record « imbattable » détenu par une F1 d’Alonso vient de tomber

Dans l’histoire, il y a des records qui semblaient pouvoir résister à l’épreuve du temps. Mais même celui-ci a été pulvérisé.

En 2004, la Renault R24 V10, pilotée cette année-là par Fernando Alonso avant qu’il ne devienne double champion du monde de F1 avec l’écurie, a établi le record du tour le plus rapide jamais réalisé par une voiture sur le circuit d’essai de Top Gear, avec un temps de 59 secondes. Les tours effectués sur le circuit de l’aérodrome de Dunsfold par le célèbre personnage « The Stig » sont devenus emblématiques de cette émission à succès au fil des ans, où diverses voitures ont été mises à l’épreuve.

Le choix d’une voiture de F1 pour le tour effectué ce jour-là, il y a 21 ans, était une exception à la règle, car les voitures conduites étaient normalement homologuées pour la route. Vingt et un ans plus tard, une voiture a enfin réussi à battre le record établi par une F1 : l’hypercar McMurtry Spéirling. Étonnamment, la Spéirling a pulvérisé l’ancien record de 3,1 secondes. Comment ? Grâce à une technologie unique de « ventilateurs » qui « aspirent » la voiture au sol, lui permettant même d’être la première voiture à pouvoir rouler à l’envers. C’est un niveau de force d’appui inédit !

La Spéirling a facilement battu certaines des hypercars les plus emblématiques au monde, bouclant le tour 12,6 secondes plus vite que la Pagani Zonda R et 13,7 secondes plus vite que l’Aston Martin Valkyrie. Ce système permet à cette hypercar électrique à batterie d’accélérer à 100 km/h en seulement 1,5 seconde et de parcourir un quart de mile en huit secondes, tout en pouvant prendre des virages à plus de 3 g.

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix d’Arabie Saoudite 2025 ?

Lando Norris est toujours en tête du Championnat du monde des pilotes, cependant, le Britannique est désormais suivi de près par son voisin de garage, Oscar Piastri. Ce dernier est le seul à compter deux victoires en 2025, et compte bien ne pas s’arrêter là. Quel pilote voyez-vous remporter la course de dimanche prochain ?

Prévisions météorologiques extrêmes pour le Grand Prix de Formule 1 d’Arabie saoudite 2025

La cinquième manche du championnat de F1 2025 se déroule sur le circuit de la Corniche de Djeddah, qui accueille le Grand Prix d’Arabie saoudite.

Lando Norris aborde le week-end de course en tête du classement des pilotes, mais son coéquipier Oscar Piastri le talonne de près après sa victoire à Bahreïn lors de la dernière course. Le week-end à Sakhir a été marqué par des températures élevées, et des conditions similaires sont prévues pour la course à Djeddah.

Les première et troisième séances d’essais libres, respectivement vendredi et samedi, auront lieu avant le coucher du soleil, et les équipes devront composer avec une chaleur étouffante. La première séance d’essais devrait se dérouler sous une température de 35 °C, ce qui constituera un défi de taille pour les pilotes et les équipes. Avec un taux d’humidité élevé, la sensation de chaleur devrait être encore plus forte.

Les pilotes devront également composer avec la température élevée de la piste, qui pourrait atteindre 60 °C par moments. La température de la piste a posé des problèmes aux pneus à Bahreïn, mais comme le revêtement est moins abrasif que la semaine dernière, cela devrait être un peu moins difficile.

Les prévisions pour samedi et dimanche ne devraient pas être très différentes, avec des températures de l’air qui devraient rester autour de 30 °C pour les qualifications et le Grand Prix. La poussière pourrait également constituer une menace pour la surface de la piste, car la situation géographique de Djeddah, près du désert d’Arabie, fait qu’il y a toujours un risque que du sable soit soufflé en direction de la piste.

Alonso va devoir être « très, très chanceux » pour marquer des points en 2025

Fernando Alonso, entame cette année sa 22e saison en F1, et force est de constater qu’elle ne semble pas se présenter sous les meilleurs auspices. Aucun point marqué en quatre week-ends de course et une monoplace en manque de performance.

De son côté, Lance Stroll, coéquipier de Fernando Alonso chez Aston Martin a terminé sixième lors de la course d’ouverture de la saison en Australie et neuvième en Chine. Alonso s’est retiré des deux courses, se crashant à Melbourne avant de subir un problème de freinage qui l’a contraint à abandonner prématurément sur le circuit international de Shanghai.

Alonso espère que l’Arabie saoudite sera plus clémente pour lui et son équipe. Il s’était qualifié quatrième sur le circuit de la Corniche de Djeddah l’année dernière avant de terminer cinquième, bien que la voiture semblait plus compétitive au début de la saison dernière qu’en ce début de campagne 2025.

« Je pense vraiment que Djeddah sera un peu plus favorable pour nous », a déclaré Alonso. « Mais je pense qu’il sera un peu difficile pour nous de marquer des points. Pour le moment, les quatre meilleures équipes sont dans une autre catégorie. Et puis il y a toujours Haas, Williams, AlphaTauri [Racing Bulls] qui sont un peu devant nous aussi. Donc on est vite la septième ou la huitième équipe, et à ces positions, on ne peut pas marquer de points à moins d’avoir beaucoup, beaucoup de chance. Alors on verra. On fera de notre mieux. »

Marko tire la sonnette d’alarme après Bahreïn : « Red Bull est la quatrième force du plateau »

Helmut Marko n’a pas mâché ses mots après la contre-performance de Red Bull au Grand Prix de Bahreïn, qu’il a qualifiée de « non acceptable ». Avec Max Verstappen seulement sixième et Yuki Tsunoda neuvième à l’arrivée, le conseiller de l’écurie autrichienne a reconnu que la RB21 ne jouait plus dans la cour des meilleurs.

Selon Marko, Red Bull figure désormais comme la quatrième force du plateau, un net recul par rapport à sa domination de la saison précédente. Outre le manque de rythme affiché sur le circuit international de Sakhir, l’équipe a également été pénalisée par des dysfonctionnements lors des arrêts aux stands. Le système automatisé de feux-stops/go a retardé les deux pilotes, les laissant immobilisés plus longtemps que prévu après le changement de pneus.

Un problème technique coûteux, mais qui ne masque pas, selon Marko, la réalité : « nous étions tout simplement trop lents », a-t-il admis, lucide sur l’ampleur du travail à accomplir pour retrouver les sommets.

« Pour le moment, nous sommes la quatrième équipe », a déclaré l’homme de 81 ans aux médias. « Nous devons retrouver des performances dans la voiture dès que possible. Et aussi des standards. Si la voiture n’est pas la plus rapide et que les arrêts aux stands ne fonctionnent pas, ce n’est pas acceptable. »

Alors que Red Bull prévoit d’introduire une série de mises à jour à l’occasion du Grand Prix d’Émilie-Romagne le mois prochain, l’écurie autrichienne devra, d’ici là, composer avec sa monoplace actuelle.

Interrogé sur les leviers d’action disponibles à court terme, Helmut Marko a insisté sur l’importance d’une meilleure préparation lors des week-ends de Grand Prix. Le conseiller de l’équipe a également souligné la nécessité de fixer un cap clair en vue du début de la tournée européenne, où les évolutions attendues pourraient relancer la dynamique de Red Bull.

« Mieux nous préparer et trouver la configuration avec ce que nous avons », a-t-il expliqué. « Mais bien sûr, il ne peut y avoir de nouvelles pièces à court terme. [C’est] très alarmant », a-t-il ajouté à propos des résultats obtenus par l’équipe à Sakhir. « Nous savons que nous ne sommes pas compétitifs. Des pièces arriveront lors des prochaines courses, et nous espérons qu’elles apporteront des améliorations. Mais nous allons régler le problème, et j’espère que nous serons plus compétitifs lors des courses en Europe. »

L’Arabie saoudite souhaite acquérir une écurie de Formule 1

L’Arabie saoudite pourrait prendre des mesures pour acquérir une écurie de F1, si l’on en croit le président de la fédération automobile du royaume.

L’Arabie saoudite a renforcé son implication dans la F1 au cours des dernières années et a accueilli son tout premier Grand Prix en 2021. En outre, la compagnie pétrolière publique Aramco est un partenaire mondial de la F1 et est le sponsor principal de l’écurie Aston Martin. Mais alors qu’elle envisage de franchir une nouvelle étape, Khalid bin Sultan Al-Abdullah Al-Faisal a suggéré qu’elle pourrait devenir propriétaire d’une équipe de F1.

« Cela pourrait arriver, et même bientôt, si l’on considère la croissance (du sport) », a-t-il déclaré, cité par Reuters. « Si vous achetez une équipe de F1, les gens la rachèteront pour en tirer profit, surtout si elle est rachetée par l’une des sociétés du PIF (Saudi Public Investment Fund). Nous constatons que la F1 atteint de nouveaux marchés, que les ventes augmentent à l’échelle mondiale… Il n’est pas facile de dire quelle équipe acheter et comment la gérer. Mais nous sommes très intéressés… nous accueillons la F1, nous sponsorisons des équipes. Je ne serais donc pas surpris d’apprendre l’annonce d’une équipe saoudienne. »

La F1 étendra sa grille de 11 équipes l’année prochaine avec l’arrivée de Cadillac après une longue période de procédure. Bien que la réglementation dans sa forme actuelle autorise une grille de 12 équipes, on ne sait pas encore si une équipe saoudienne potentielle créera sa propre équipe ou reprendra une équipe existante.

« Personnellement, j’aimerais voir une équipe saoudienne », a ajouté le prince Khalid. « Mais si l’Arabie saoudite ou l’une des entreprises saoudiennes s’implique dans l’une des équipes, j’aimerais qu’elle le fasse de la bonne manière et qu’elle réussisse. C’est une question délicate, mais pourquoi pas ? »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 d’Arabie Saoudite 2025

La saison 2025 de Formule 1 débarque ce week-end à Djeddah pour la cinquième manche du championnat, du 18 au 20 avril.

Retrouvez le programme complet et les horaires pour suivre l’événement sans rien manquer

Date Séance Horaires Chaine
Vendredi Essais Libres 1 15h30 – 16h30 Canal+ Sport
  Essais Libres 2 19h00 – 20h00 Canal+ Sport
Samedi Essais Libres 3 15h30 – 16h30 Canal+ Sport
  Qualifications 19h00 – 20h00 Canal+ Sport
Dimanche Grand Prix 19h00 Canal+

Un pilote de F1 révèle son rêve de participer aux 24 Heures du Mans avec McLaren

Oscar Piastri, pilote de Formule 1, a révélé son ambition de remporter, un jour, les 24 Heures du Mans avec McLaren.

La semaine dernière, McLaren a annoncé son retour au plus haut niveau de la course d’endurance en 2027 avec un nouveau programme LMDh. Les détails exacts du projet, y compris la composition de l’équipe de pilotes, seront révélés ultérieurement, mais on se demande déjà si McLaren ne donnerait pas une chance à l’un de ses pilotes de F1 ou d’IndyCar.

L’un des prétendants pourrait être Oscar Piastri, dont le manager Mark Webber a couru pour Mercedes et Porsche en dans la discipline aux deux extrémités de sa carrière en F1. Lorsqu’on lui a demandé s’il avait envie de participer à la célèbre course d’endurance en France, Oscar Piastri a répondu : « Un jour, mais pas avant un certain temps. Je suis plutôt heureux en F1 pour le moment. »

Piastri a laissé entendre qu’il envisagerait Le Mans une fois qu’il aurait atteint ses principaux objectifs en F1, qui incluent probablement la victoire au championnat des pilotes. Lorsqu’on lui a demandé s’il serait possible de participer à Le Mans tout en participant activement à la F1, l’Australien a répondu :

« Je ne pense pas que l’on rende justice à l’un ou l’autre championnat en essayant de jongler avec les deux. Ce n’est probablement pas si préjudiciable au championnat de F1, mais quand on a beaucoup en jeu, comme c’est le cas en ce moment… et aussi quand on ne donne pas au Mans le respect qu’il mérite du point de vue de la préparation, ce n’est pas quelque chose que l’on veut faire sans être préparé. »

« Donc, j’attendrai d’avoir terminé ce que je veux faire en F1 et ensuite je réfléchirai à laisser Zak me faire une démonstration de la voiture du Mans. »

Le patron de McLaren Racing, Zak Brown, a déclaré qu’il avait déjà parlé à Piastri et Lando Norris de la possibilité de courir au Mans dans un prototype LMDh et qu’il était heureux d’apprendre qu’ils étaient tous deux enthousiastes à l’idée d’en prendre le volant.

« Je pense que nous sommes très ouverts d’esprit. Qui ne veut pas gagner Le Mans ? J’en ai parlé à Lando et Oscar, et ils ont dit qu’ils adoraient l’idée de courir au Mans. C’est cool, non ? Je pense que tous ces sports mécaniques qui convergent sont formidables. »

Un certain nombre de pilotes de F1 ont couru au Mans ces dernières années, notamment Webber, Fernando Alonso, Nico Hülkenberg et Jenson Button. Au cours des huit dernières années, l’équipage vainqueur comptait au moins un pilote ayant déjà couru en F1.

La prochaine recrue de Manchester United pourrait bien venir de chez … Mercedes F1

Selon certaines rumeurs, Manchester United aurait ciblé un ingénieur de Mercedes F1 pour l’aider dans son analyse de données.

Le célèbre club de football anglais a connu une saison difficile et se trouve actuellement à la 14e place du classement de la Premier League 2024-2025, alors qu’il reste six matchs à jouer.

Le milliardaire Sir Jim Ratcliffe est actionnaire minoritaire de Manchester United et pourrait tirer profit de sa participation minoritaire dans l’écurie de Formule 1 Mercedes par le biais de sa société Ineos, selon BBC Sport.

Michael Sansoni, ingénieur de l’écurie de Formule 1 Mercedes, a été pressenti pour rejoindre Manchester United. Sansoni doit quitter Mercedes à la fin de l’année et Ratcliffe serait désireux de l’accueillir à Manchester United. BBC Sport ajoute qu’« aucun accord n’a encore été conclu, mais Ineos est copropriétaire de l’écurie Mercedes F1, ce qui devrait faciliter le processus ».

Ineos détient 33 % de Mercedes F1 dans le cadre d’un accord qui a débuté en 2019. L’un des principaux objectifs de Ratcliffe est d’améliorer l’analyse des données de Manchester United, qu’il a qualifiée de « toujours du siècle dernier ».

La plus grande faiblesse de Manchester United ces dernières années a été le recrutement, avec plus de 900 millions de livres sterling dépensées pour de nouveaux joueurs depuis 2019. Beaucoup de ces transferts se sont avérés infructueux, ce qui a suscité de nombreuses critiques à l’encontre du club.

Ralf Schumacher prédit que MaxVerstappen prendra sa décision de quitter Red Bull dès le Grand Prix d’Imola

Ralf Schumacher pense connaître la date à laquelle Max Verstappen pourrait décider de quitter Red Bull. L’avenir du champion des pilotes de F1 est sujet à débat, bien qu’il soit lié par un contrat avec Red Bull qui expire à la fin de la saison 2028.

Cependant, le manque de compétitivité de la RB21, ajouté aux difficultés rencontrées par Red Bull au cours de la seconde partie de la saison passée, a suscité des interrogations quant au futur de leur pilote phare.

Ralf Schumacher, ancien pilote de F1, estime que Max Verstappen pourrait prendre une décision quant à son avenir autour du Grand Prix d’Émilie-Romagne à Imola.

« Je suis presque sûr que si la mise à niveau de la voiture n’est pas effective à Imola et que le nouveau moteur (je ne fais que répéter des rumeurs) ne fonctionne pas aussi bien, Max Verstappen quittera définitivement l’équipe », a déclaré Schumacher à Sky Allemagne.

Le Grand Prix d’Émilie-Romagne de F1 se déroulera à Imola le 18 mai prochain.

Max Verstappen est déçu de ne pas pouvoir suivre le rythme des McLaren. Lando Norris est en tête du classement des pilotes, avec trois points d’avance sur son coéquipier Oscar Piastri et huit sur Verstappen. Après la sixième place de Verstappen à Bahreïn, son manager Raymond Vermeulen a été aperçu en train de piquer une colère dans l’espace d’accueil de Red Bull.

Verstappen aurait été informé à l’intérieur du paddock qu’il devait envisager ses options si les difficultés de Red Bull devaient persister. Même Helmut Marko a admis, à la surprise générale, que Red Bull pourrait perdre son pilote vedette en raison des performances insuffisantes de la monoplace.

Si Verstappen choisit de partir, il pourrait rejoindre Mercedes ou Aston Martin. Toutefois, la probable prolongation de contrat de George Russell avec Mercedes pourrait bloquer toute arrivée du pilote batave au sein de la firme à l’étoile. En effet, il paraît peu envisageable que Mercedes décide de se séparer aussi tôt de son tout jeune nouveau pilote, Kimi AntonellI

Aston Martin pourrait alors entrer en jeu, là où Adrian Newey, ancien ingénieur Red Bull, a déjà commencé son nouveau travail. Newey est chargé de superviser la monoplace d’Aston Martin pour la nouvelle ère de réglementation, en 2026.

Ce serait la « plus grande aventure » pour Verstappen, selon Schumacher. « Avec Adrian Newey, qu’il connaît très bien. En outre, Honda, qu’il connaît également très bien, est également impliqué. »