Hamilton a veillé à ce qu’il n’y ait pas de « conneries » dans le film F1

Lewis Hamilton a expliqué qu’en tant que co-producteur du prochain film baptisé F1 il a eu son mot à dire concernant le scénario et le septuple champion du monde a veillé à ce qu’il soit le plus proche possible de la réalité. 

Intitulé F1 , le film est réalisé par Joseph Kosinski et produit par Jerry Bruckheimer, Brad Pitt lui-même et le septuple champion de Formule 1 Lewis Hamilton, entre autres. F1 devrait être distribué dans les salles et en IMAX par Warner Bros. Pictures à l’international le 25 juin 2025 et en Amérique du Nord le 27 juin 2025.

Le film tourné dans différents paddocks de la Formule 1 met en vedette Brad Pitt dans le rôle de l’ancien pilote de Formule 1 Sonny Hayes, qui revient dans le sport pour s’associer à son coéquipier débutant Joshua Pearce – joué par Damson Idris – dans l’équipe fictive nommée APXGP.

Le tournage de F1 – dans lequel jouent également Kerry Condon, Javier Bardem, Tobias Menzies, Sarah Niles, Kim Bodnia et Samson Kayo – a eu lieu lors de véritables événements de la F1.

Lorsqu’on demande à Lewis Hamilton à quel point il a été impliqué dans la réalisation du film, le pilote Mercedes a déclaré au magazine Esquire : « Je connaissais Joe [Kosinski, le réalisateur] depuis Top Gun : Maverick par l’intermédiaire de Tom [Cruise]. » 

« Tom m’a mis en contact avec Joe, et nous avons discuté de notre participation au film. Et puis nous sommes restés en contact. Puis nous nous sommes tous reconnectés pour parler de la possibilité de faire un film sur la Formule 1. Et puis nous avons suivi tout ce processus de travail avec un scénariste. »

Avant de commencer à tourner, un scénario a évidemment été écrit, et Lewis Hamilton a tenu à ce que les fans de Formule 1 puissent reconnaître leur sport préféré dans ce film : « Ehren [Kruger, le scénariste] a fait énormément de recherches, a regardé beaucoup de courses, est venu à plusieurs courses, puis est reparti et a écrit un scénario. » 

« Mais nous nous sommes assis et avons discuté de ce qu’est la course automobile. Ensuite, une fois qu’il a écrit le scénario, je me suis assis avec lui et je lui ai dit que c’était des conneries, des choses qui ne semblent pas réelles et qui ne correspondent pas à ce qu’est la F1, et j’ai essayé de faire en sorte que ce soit aussi authentique que possible. »

« Puis, en parallèle, j’ai lancé une société de production, donc je suis producteur avec ces gars. J’ai pu être impliqué dans tous les domaines, donc je m’assure que le casting soit diversifié, que nous ayons une femme lors des arrêts au stand – ce que nous n’avons jamais eu sur les circuits. »

« Hans Zimmer était quelqu’un que je voulais avoir pour faire la musique du film, donc nous avons Hans Zimmer. Joe [Kosinski, le réalisateur] a été incroyable en m’incluant dans tout. »

Lorsqu’on lui demande quelles genres de « conneries » il a pu constater dans le scénario initial, le septuple champion du monde a ajouté : « Il s’agissait simplement de scénarios liés à la course. Les ingénieurs devaient parler un jargon technique. »

« Mais c’était surtout des scénarios de course et des séquences entre les dépassements et les arrêts au stand ou les stratégies et toutes sortes de choses de ce genre. Il y avait aussi un accident où la voiture heurtait le mur, se retournait, atterrissait sur ses roues et continuait à rouler, ce qui n’arrive pas en Formule 1. »

Dans le film F1, Brad Pitt incarne un ancien pilote qui revient sur les circuits quelques années plus tard pour aider un jeune pilote. Lorsqu’on demande à Hamilton s’il a pu rouler avec Brad Pitt sur une piste avant que le tournage du film ne débute, le Britannique a répondu : « Ouais. Nous sommes allés sur un circuit à Los Angeles, je l’ai emmené et je me suis ensuite assis sur le siège passager et il a conduit. »

« J’étais entraineur de pilotage quand j’étais jeune. C’était une façon de gagner un peu d’argent à temps partiel pendant que je courais. J’ai donc eu l’occasion de m’asseoir avec Dieu sait combien de pilotes non-pilotes. On peut immédiatement distinguer les bons et les mauvais. Il [Brad Pitt] était tout de suite dans le coup. »

« On pouvait voir qu’il avait ça. Il a ça dans son ADN. Il n’a simplement pas été capable de le perfectionner comme nous. Mais il a gros potentiel. »

Trailer du film F1

Christian Horner prédit une bataille à quatre jusqu’à la fin 2025

Le directeur de Red Bull, Christian Horner, estime qu’il y aura une bataille « acharnée » entre les quatre meilleures équipes de la grille en F1 au cours des dix-huit prochains mois, les écarts ayant continué à se réduire à mesure que la saison 2024 progresse.

Avant la reprise de la campagne 2024 ce week-end à Zandvoort, Red Bull est leader du championnat du monde des constructeurs, mais l’écart avec McLaren – deuxième – n’est « que » de 42 points, tandis que Ferrari est à 63 points et Mercedes à 142 points.

Bien que la marge soit encore assez grande pour Red Bull, l’équipe de Milton Keynes voit peu à peu ses rivaux réduire l’écart et Christian Horner s’attend à voir une certaine convergence à un moment donné avec quatre équipes capables de se battre pour le titre mondial jusqu’à la fin de la saison 2025.

« Je pense que c’est formidable pour le sport, et c’était presque inévitable lorsque vous obtenez une cohérence dans les réglementations, vous obtenez toujours une convergence. » estime Horner.

« Je me souviens que lorsque j’ai commencé à courir en Formule 1, Ron Dennis [ancien patron de McLaren, ndlr] en parlait déjà en 2005. La convergence a toujours rapproché les équipes. »

« Bien sûr, nous aurons un grand changement de réglementation en 2026 qui entrainera des divergences, mais d’ici là, dans les dix-huit prochains mois, je pense que les quatre équipes se disputeront à égalité. »

Alors que Max Verstappen a accru son avance au championnat pilotes lors de la dernière course disputée en Belgique avant la trêve estivale, l’avantage de Red Bull sur McLaren au championnat constructeurs a une nouvelle fois diminué après que Sergio Perez ait fait face à un autre week-end difficile.

Christian Horner espère cependant que son équipe pourra se concentrer sur le championnat constructeurs lorsque la saison 2024 reprendra ce week-end aux Pays-Bas : « Pour nous, l’accent est mis sur le championnat des constructeurs, où nous avons encore perdu sept ou huit points à Spa. Nous devons renverser la situation après la pause à Zandvoort. » insiste le Britannique.

En parlant de compétitions intenses, il est intéressant de noter que le monde des paris sportifs et des jeux en ligne connaît également sa propre forme de compétition. Les amateurs de jeux d’argent, par exemple, recherchent souvent le meilleur casino en ligne france pour vivre une expérience de jeu inégalée. Tout comme les équipes de F1 qui luttent pour la suprématie sur la piste, les joueurs cherchent des plateformes de jeu qui offrent à la fois sécurité, variété et une chance de gagner gros.

Liam Lawson bientôt fixé sur son sort chez Red Bull

Le conseiller motorsport de Red Bull, Helmut Marko, a indiqué qu’une décision concernant l’avenir du Néo-Zélandais Liam Lawson – actuellement pilote de réserve chez Red Bull – serait prise au mois de septembre. 

Liam Lawson – âgé aujourd’hui de 22 ans – a impressionné beaucoup de monde en 2023 lorsqu’il a remplacé à la hâte l’Australien Daniel Ricciardo au volant de l’AlphaTauri pour plusieurs Grands Prix. Cependant, malgré ses performances remarquables au volant d’une monoplace de Formule 1, le pilote néo-zélandais a été laissé sur la touche pour 2024 et a dû se contenter d’un poste de réserviste.

Mais à partir du mois de septembre, Liam Lawson devra prendre une décision concernant son avenir et pourra contractuellement chercher un baquet ailleurs que dans le giron Red Bull, ce qui place finalement Red Bull sous pression car le jeune homme pourrait bien filer à la concurrence avec encore quatre baquets disponibles en Formule 1 pour 2025.

« C’est une période difficile pour quelqu’un comme Liam, surtout parce qu’il a sauté dans la voiture dans des circonstances très, très difficiles et s’en est très bien sorti. » a déclaré Helmut Marko à ESPN.

« Nous lui accordons une grande estime et il aura sa chance. Attendez un peu. En septembre, vous aurez une réponse. » a ajouté l’Autrichien.

Concrètement, Red Bull dispose encore d’un baquet libre pour 2025 chez Visa Cash App RB puisque seul Yuki Tsunoda a été titularisé pour la saison prochaine, ce qui n’est pas le cas de son coéquipier Daniel Ricciardo. 

Adrian Newey hermétique aux rumeurs concernant son avenir en F1

Adrian Newey, le directeur technique sortant de l’équipe Red Bull en F1, a expliqué qu’il ne s’intéressait pas à toutes les rumeurs qui circulent sur le web au sujet de son avenir. 

A la veille du Grand Prix de Miami, Red Bull a confirmé le départ de son directeur technique de longue date, le Britannique Adrian Newey, qui quittera définitivement l’écurie de Milton Keynes au premier trimestre 2025.

Immédiatement après cette annonce, Adrian Newey a lui-même indiqué aux médias qu’il comptait prendre beaucoup de recul avec la Formule 1 afin de profiter de la vie et de sa famille, mais le Britannique a également indiqué qu’il reviendrait « probablement » dans le paddock après une pause bien méritée.

Depuis lors, les spéculations concernant l’avenir de Newey vont bon train et il ne se passe pas un jour sans qu’un « média » n’annonce l’arrivée officielle de l’ingénieur britannique dans une équipe de la grille. Annoncé chez Ferrari le lundi, Adrian Newey est ensuite annoncé chez Aston Martin le mardi, puis finalement annoncé chez McLaren le mercredi…

Interrogé lors d’une apparition dans le podcast Talking Bull de Red Bull sur ce qu’il ressentait en voyant son nom mentionné toutes les semaines dans les médias et sur les réseaux sociaux, Adrian Newey a expliqué : « C’est très facile, parce que je ne regarde pas vraiment les réseaux sociaux et je ne lis pas particulièrement les magazines. C’est quelque chose que j’ai arrêté de faire il y a longtemps. »

« Cela date de l’époque où je travaillais à Leyton House, où j’ai construit la première voiture en 1988. C’était une bonne petite voiture. Puis, en 1989 nous l’avons complétement ratée, et je suis donc passé du statut de héros du paddock de la F1 du côté des ingénieurs à celui d’idiot qui n’a connu qu’un seul succès. »

« Je me suis alors dit qu’on ne pouvait pas lire la presse quand elle était positive et s’énerver quand elle était négative. A ce moment-là, je me suis dit : « Ok, ne lis pas la presse ! ». »

« Mandy, ma femme, suit les réseaux sociaux. Elle me tient au courant de ce qui se passe, mais je n’en suis pas vraiment conscient. J’essaie simplement de mener ma vie sans me laisser influencer par elle. »

D’ailleurs, certains fans ont comparé le suspense autour de l’avenir de Newey à une véritable roulette russe, digne d’un casino en ligne argent réel, où chaque jour apporte une nouvelle rumeur aussi imprévisible qu’un tirage au sort.

Officiellement, Adrian Newey n’est plus impliqué dans les décisions stratégiques de l’équipe Red Bull en Formule 1 et sa présence sur les circuits n’est désormais plus devenue obligatoire. Il quittera définitivement son poste au début de l’année 2025. 

Red Bull ne pense pas résoudre ses problèmes pour Zandvoort

Après la trêve estivale de la F1, l’équipe Red Bull se trouve dans une situation inconfortable avec une monoplace en manque d’équilibre et une concurrence qui ne cesse de progresser course après course, ce qui place l’écurie autrichienne sous pression pour la deuxième moitié de saison.

Après un début de saison réussi, l’équipe Red Bull a vu ses rivaux se rapprocher de plus en plus au fil des courses disputées, notamment McLaren, qui a déjà remporté deux Grands Prix cette année et qui a également décroché dix podiums consécutifs juste avant la pause estivale de la Formule 1.

Les progrès remarquables de McLaren ont permis à l’écurie de Woking de dépasser la Scuderia Ferrari au championnat du monde pour se retrouver désormais deuxième derrière Red Bull. 

Outre le fait que Red Bull ne peut compter que sur un seul de ses pilotes – car Sergio Perez a connu une période compliquée depuis le Grand Prix de Miami – ce sont bien les performances de la RB20, et surtout son manque d’équilibre d’un tracé à l’autre, qui inquiètent les ingénieurs. 

Dans ce contexte, l’équipe de Milton Keynes doit impérativement trouver des solutions, mais la pause estivale de deux semaines imposée en Formule 1 n’autorise pas les écuries à travailler sur le développement des monoplaces, ce qui signifie que Red Bull n’aura peut-être aucune solution à introduire sur sa monoplace pour la prochaine course qui se dispute ce dernier week-end d’août à Zandvoort aux Pays-Bas.

« Pendant les vacances, il ne se passe rien pendant deux semaines, ce qui signifie qu’aucun travail sur la voiture n’est possible. » rappelle Helmut Marko, conseiller motorsport chez Red Bull, dans les colonnes de Speedweek.

« Nous devons résoudre nos problèmes et découvrir où est l’erreur car nous n’avons plus d’équilibre dans la voiture si l’on compare la situation actuelle avec les trois premières courses. »

« Mais il est difficile d’estimer la rapidité avec laquelle cela se produira. Je ne pense pas qu’une grande solution viendra à Zandvoort. Nous procédons à un brainstorming intensif et avons également des idées différentes. Mais je ne peux pas encore dire ce que nous mettrons en œuvre et comment. »

« Une chose est claire : les qualifications seront cruciales à Zandvoort car les dépassements y sont difficiles. »

« Max [Verstappen] pourrait certainement réussir une bonne qualification, car il a été bon récemment. Nous avons été les plus rapides en Autriche et également à Spa. En Hongrie, il nous manquait quelques centièmes, nous nous plaignons donc à un niveau élevé. »

Avant le Grand Prix des Pays-Bas, l’équipe Red Bull est toujours leader du championnat du monde des constructeurs avec 42 points d’avance sur McLaren, alors qu’il reste encore dix Grands Prix à disputer cette saison.

Villeneuve : « Lewis Hamilton peut remporter un championnat avec Ferrari »

Le champion du monde de F1 1997 Jacques Villeneuve ne pense pas que Lewis Hamilton regrettera son choix d’avoir quitté Mercedes pour rejoindre l’écurie Ferrari à partir de la saison 2025.

En début d’année, Ferrari a confirmé l’arrivée du septuple champion du monde Lewis Hamilton à Maranello à partir de la saison 2025. Le Britannique – âgé de 40 ans en janvier prochain – deviendra chez Ferrari le coéquipier du Monégasque Charles Leclerc. 

La décision d’Hamilton a été prise alors que son actuelle équipe Mercedes rencontre de grandes difficultés depuis 2022 lorsqu’une nouvelle réglementation technique a été introduite en Formule 1.

Cependant, Mercedes a fait des progrès remarquables en quelques courses lors de la première moitié de saison cette année, à tel point que Mercedes se positionne désormais comme la meilleure équipe derrière McLaren en termes de performance pure – bien que Ferrari soit toujours devant au championnat.

Lorsque InstantCasino.com demande à Jacques Villeneuve s’il pense que Lewis Hamilton pourrait regretter son choix de quitter une équipe Mercedes en progression pour rejoindre une Scuderia Ferrari plus en difficulté, le Canadien a répondu : « Non, Lewis Hamilton avait besoin de changement de toute façon. »

« Il ne regrettera pas d’avoir quitté Mercedes cette année. L’avenir à long terme de Mercedes n’était pas avec Hamilton, ils ont George Russell et préparent Kimi Antonelli à prendre sa place. »

« Les deux parties attendaient une excuse pour se séparer, sans que cela ne devienne un combat. Ferrari est le défi ultime, et si Hamilton peut remporter un championnat avec eux, il entrera sans doute dans les mémoires comme le plus grand de tous les temps, toutes générations confondues. »

« Peu importe le nombre de championnats remportés par Hamilton, car certaines de ses saisons avec Mercedes ont été faciles, ce sont ces défis qui le distinguent. »

Lorsqu’on lui demande s’il pense que Lewis Hamilton a des chances de remporter un huitième titre mondial avec la Scuderia Ferrari, Jacques Villeneuve a ajouté : « Lewis Hamilton peut certainement remporter un championnat avec Ferrari. »

« Cette équipe pourrait avoir la dernière marche qui lui manque chez Mercedes pour lui permettre de remporter un autre titre. Hamilton devra piloter comme il l’a fait à Silverstone [lorsqu’il a remporté le GP de Grande-Bretagne cette année], mais plus d’une fois par an. »

« Chez Ferrari, il aura le potentiel de piloter comme Max Verstappen le fait actuellement, et cela pourrait renforcer sa concentration mentale tout au long de la saison car c’est un nouveau défi. Cela consoliderait sa place dans l’histoire. »

Frustré par le manque de progrès chez Alpine F1, Ocon a choisi Haas

La frustration face au manque de progrès chez Alpine au cours des deux dernières saisons a été l’une des principales raisons pour lesquelles Esteban Ocon a choisi de rejoindre l’écurie Haas à partir de la saison 2025.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les joueurs recherchent des plateformes offrant des évolutions constantes et des mises à jour pour garantir une expérience optimale, Esteban Ocon a préféré rejoindre une équipe où il voit un meilleur potentiel de progression et d’amélioration.

Avant la pause estivale de la Formule 1, l’équipe Haas a confirmé l’arrivée prochaine dans ses rangs du Français Esteban Ocon qui fera équipe à partir de la saison 2025 avec le Britannique Oliver Bearman.

Expliquant son choix face aux médias lors du week-end du Grand Prix de Belgique qui s’est tenu juste avant la trêve estivale, le Français a expliqué que la frustration face au manque de progrès d’Alpine a joué un grand rôle dans sa décision de rejoindre Haas.

« J’ai pris la décision il y a bien longtemps de relever un nouveau défi. » a déclaré Esteban Ocon, cité par Racer.

« Je voulais écrire ma propre histoire, et évidemment, cinq ans en Formule 1 avec la même équipe, c’est long en Formule 1. Nous avons réalisé de bonnes choses, nous avons réalisé des choses un peu plus difficiles par moments, mais c’est sûr que cette saison a été frustrante. »

« Ce n’est un secret pour personne ; personne n’est content au sein de l’équipe de notre situation actuelle. » a-t-il ajouté, alors que Alpine occupe la huitième place au championnat du monde des constructeurs avec seize points de retard sur Haas.

« Il n’y a pas eu suffisamment d’améliorations sur certains aspects et sur certains problèmes techniques que nous avons pu rencontrer il y a des années. Ce cercle de développement et d’améliorations techniques, nous n’y sommes pas parvenus et nous sommes confrontés aux problèmes que nous avions il y a trois ans sur la voiture actuelle, ce qui n’est pas possible en Formule 1. »

« Je souhaite évidemment le meilleur à cette équipe, nous avons obtenu ensemble mon premier podium, ma première victoire, et cela restera toujours spécial dans mon cœur. »

« Je leur souhaite le meilleur pour l’avenir, mais avant cela, il nous reste encore une demi-saison à terminer et j’espère pouvoir faire de mon mieux pour finir en beauté avec cette équipe. »

Bottas évoque une première partie de saison « difficile » pour Stake F1

Valtteri Bottas garde espoir de voir son équipe Stake inscrire ses premiers points de la saison lors de la deuxième partie de l’année après un début de saison « difficile ». 

A la trêve estivale, l’équipe Stake (future écurie Audi) est la seule de la grille à ne pas avoir marqué le moindre point et occupe donc la dernière place au championnat du monde des constructeurs. Entre problèmes de fiabilité et manque de mises à jour, les deux pilotes n’ont en effet jamais réussi à terminer dans les points au cours des quatorze premières manches de l’année. 

S’exprimant après le Grand Prix de Belgique disputé début août, Valtteri Bottas a admis que la saison a été jusqu’à présent « difficile » : « Cela a été une année difficile pour nous. »

« Nous n’avons toujours pas marqué un seul point, ce qui n’était l’objectif de la saison. Nous voulions voir une trajectoire ascendante par rapport à l’année dernière, mais cela n’a pas eu lieu. » regrette Bottas.

« Nous avons commencé la saison avec une voiture qui n’était pas si facile à régler, et même en rythme pur, nous n’étions pas tout à fait au niveau. Nous avons fait quelques progrès depuis, mais plutôt à petits pas plutôt qu’à grands pas, contrairement à certaines équipes autour de nous. »

Pour la deuxième partie de saison, Valtteri Bottas espère qu’il sera en mesure d’extraire tout le potentiel de sa monoplace lors de chaque week-end afin de terminer cette campagne 2024 avec un maximum de points marqués, alors qu’il ne reste plus que dix Grands Prix à disputer.

« Nous avons besoin de rendre la voiture plus rapide. Cela vient en grande partie de la soufflerie, du bureau d’études, etc…De mon côté, je suis satisfait de mes performances, et mon travail pour le reste de la saison consistera à extraire tout ce que je peux du package de chaque week-end. C’est mon travail. » a ajouté le Finlandais dont le contrat avec Stake arrive à son terme à la fin de l’année.

Le point sur les classements avant la reprise de la F1

Alors que la Formule 1 fait sa rentrée des classes cette semaine avec le Grand Prix des Pays-Bas (du 23 au 25 août), jetons un œil sur les classements pilotes et constructeurs avant que les hostilités ne débutent à Zandvoort pour cette quinzième manche de l’année.

Avant le Grand Prix des Pays-Bas 2024, c’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui est leader du championnat du monde avec 277 points inscrits depuis le début de la saison. Le Néerlandais devance le pilote McLaren Lando Norris de 78 points, tandis que le pilote Ferrari Charles Leclerc occupe la troisième place avec 22 points de retard sur Norris. 

Quatrième de ce classement pilotes, Oscar Piastri n’est qu’à dix points de Charles Leclerc et devance Carlos Sainz de seulement cinq points. Sixième du classement, le pilote Mercedes Lewis Hamilton devance de 19 points le pilote Red Bull Sergio Perez, alors que George Russell occupe la huitième place avec 15 points de retard sur le Mexicain. 

Les deux pilotes Aston Martin, Fernando Alonso et Lance Stroll, complètent le top dix au classement des pilotes avant la reprise de la saison 2024.

Classement pilotes F1 2024

PPilote Equipe Points
1O. PiastriMcLaren216
2L. NorrisMcLaren201
3M. VerstappenRed Bull155
4G. RussellMercedes146
5C. LeclercFerrari119
6L. HamiltonFerrari91
7K. AntonelliMercedes63
8A. AlbonWilliams42
9E. OconHaas23
10N. HülkenbergSauber22
11I. HadjarVCARB21
12L.StrollAston Martin14
13F. AlonsoAston Martin14
14C. SainzWilliams13
15L. LawsonVCARB12
16P. GaslyAlpine11
17Y. TsunodaRed Bull10
18O. Bearman Haas6
19G. BortoletoSauber4
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0

Du côté du classement constructeurs, Red Bull est leader avec 408 points inscrits depuis le début de l’année, soit 42 de plus que McLaren qui est deuxième et 63 de plus que Ferrari troisième du championnat du monde.

Quatrième de ce classement, l’écurie Mercedes n’est qu’à 79 points de la troisième place occupée par Ferrari, tandis que Aston Martin est cinquième avec un retard de plus de 190 points sur Mercedes.

Sixième du championnat, l’équipe Visa Cash App RB devance Haas de seulement sept points, tandis que Alpine occupe la huitième place du classement avec seize points de retard sur l’écurie américaine. 

Enfin en bas de classement, l’équipe Williams est avant-dernière avec seulement quatre points marqués avant la trêve estivale, alors que l’écurie Stake est la seule de la grille à ne pas avoir encore ouvert son compteur de points cette saison. 

Classement Constructeurs F1 2024

PEquipe Points
1McLaren 417
2Ferrari210
3Mercedes209
4Red Bull 162
5Williams55
6Racing Bulls36
7Haas29
8Aston Martin28
9Sauber26
10Alpine11

La F1 fait sa rentrée des classes cette semaine aux Pays-Bas

Après la traditionnelle pause estivale de quelques semaines, la Formule 1 reprend ses droits cette semaine avec la première course de la seconde moitié de saison programmée aux Pays-Bas sur le circuit de Zandvoort, théâtre de la quinzième manche du championnat du monde 2024.

Pour sa rentrée des classes, la Formule 1 s’apprête à disputer ses deux dernières courses en Europe avec le Grand Prix des Pays-Bas (du 23 au 25 août) et celui d’Italie sur le tracé de Monza (du 30 au 1er septembre). Ces deux courses sont programmées en back-to-back, c’est à dire qu’elles se suivent d’un week-end à l’autre.

Après la dernière course en Europe disputée à Monza, la F1 prendra la direction de Bakou en Azerbaïdjan, puis Singapour pour ce qui sera la dernière course du mois de septembre.

Direction ensuite les Etats-Unis sur le circuit d’Austin avec un week-end de Grand Prix Sprint (le quatrième de la saison), avant que les équipes ne prennent la direction du Mexique une semaine plus tard pour y disputer la vingtième manche de l’année sur le tracé de Mexico.

Le Brésil accueillera la 21ième manche de la saison et le cinquième week-end Sprint de l’année à partir du 1er novembre, tandis que Las Vegas accueillera la dernière course de l’année sur le sol américain après Miami et Austin visités plus tôt dans la saison. 

Enfin, le Grand Prix du Qatar (du 29 novembre au 1er décembre) accueillera le dernier week-end Sprint de l’année sur le circuit de Losail, il s’agira également de l’avant-dernière manche de la saison 2024 avant le Grand Prix d’Abou Dhabi programmé une semaine plus tard sur le tracé de Yas Marina. 

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc sur notre Live Center à partir de ce vendredi 23 août pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix des Pays-Bas en direct.

Calendrier F1 2024 

Date Grand Prix Résultats / Lieu
116 marsAustralie Résultats
223 mars (Sprint)ChineRésultats
306 avril JaponRésultats
413 avril Bahreïn Résultats
520 avrilArabie saouditeRésultats
604 mai (Sprint)Miami Résultats
718 mai Emilie-Romagne Résultats
825 mai Monaco Résultats
901 juin Espagne Résultats
1015 juin Canada Circuit Gilles-Villeneuve
1129 juinAutriche Red Bull Ring
1206 juillet Grande-Bretagne Silverstone
1327 juillet (Sprint)BelgiqueSpa-Francorchamps
1403 août Hongrie Hungaroring
1531 août Pays-Bas Zandvoort
1607 septembre Italie Monza
1721 septembre Azerbaïdjan Baku City Circuit
1805 octobreSingapourCircuit urbain de Marina Bay
1919 octobre (Sprint)USA Circuit of the Americas
2026 octobre Mexique Autodromo Hermanos Rodriguez
2109 novembre (Sprint)Brésil Autódromo José Carlos Pace
2223 novembre Las Vegas Streets of Las Vegas
2330 novembre (Sprint)Qatar Losail International Circuit
2407 décembre Abu Dhabi Yas Marina Circuit

 

Ayao Komatsu très fier des progrès réalisés par Haas F1 en 2024

le Team Principal de Haas a tenu à féliciter toute son équipe pour les progrès réalisés au cours des derniers mois et qui ont permis à l’écurie américaine de se hisser à la septième place au championnat du monde des constructeurs.

Nommé directeur d’équipe peu avant le début de la saison 2024 en remplacement direct de l’emblématique Gunther Steiner, le Japonais Ayao Komatsu a immédiatement mis en place sa propre méthode de management au sein de la petite structure américaine, et force est de constater que les résultats sont bien au rendez-vous.

Avec 27 points au compteur après les quatorze premières manches de l’année, l’écurie Haas devance Alpine de seize points au championnat du monde et n’est qu’à sept points de la sixième place actuellement occupée par Visa Cash App RB (à la trêve estivale). 

« Avoir 27 points, c’est formidable, c’est plus du double de ce que nous avions obtenu l’an dernier. » a déclaré Ayao Komatsu, cité par le site du championnat.

« Mais plus que ça, je pense que c’est très encourageant de voir comment nous travaillons ensemble en équipe. Ce n’était pas le cas jusqu’à la fin de l’année dernière, donc pour moi, c’est le plus grand point positif et c’est certainement bon signe que nous allons dans la bonne direction. »

« Dès le premier jour, j’étais convaincu que nous avions les bonnes personnes, des personnes incroyables, et il s’agissait donc de mettre tout cela ensemble et de donner à ces personnes un environnement dans lequel elles pouvaient se produire. »

« Tout le monde – peut importe qui vous êtes – informaticien, ingénieur de course, pilote ou financier – tout le monde doit comprendre ce que vous faites et comment cela contribuera aux performances sur la piste. »

« Une fois que vous commencez à construire cela et à faire passer le message, une fois que tout le monde sait comment il contribue, cela favorise également le travail d’équipe. »

« Il n’y a pas de culture du blâme ; quand quelque chose ne fonctionne pas, nous devons aller au fond des choses sans que cela ne devienne une chasse aux sorcières. Créer un espace sûr pour chacun où chacun peut aller de l’avant est la clé. » insiste-t-il.

La méthode Vasseur pour ramener Ferrari au sommet en F1

A la tête de l’emblématique Scuderia Ferrari depuis maintenant plus de vingt mois, le Français Frederic Vasseur s’emploi méthodiquement à transformer l’équipe italienne en interne afin de lui permettre de décrocher un titre mondial derrière lequel elle court depuis 2008.

Cette année, Ferrari – et donc Vasseur – ne font pas du bon travail puisque l’écurie italienne occupe à la trêve estivale la troisième place au championnat du monde des constructeurs avec 21 points de retard sur McLaren et plus de 60 points sur le leader Red Bull.

Si les critiques continuent à l’extérieur, en interne, la situation est bien différente avec un Frederic Vasseur proche de ses hommes et qui essaie d’inculquer à toute son équipe la bonne mentalité.

« Je pense que ce serait une erreur de penser qu’il existe une liste de choses à faire, car il s’agit bien plus qu’une démarche d’amélioration continue. » explique Vasseur dans un entretien exclusif pour le site du championnat.

« Nous n’avons pas besoin de faire une seule chose et dire que c’est fait. Ma liste de choses à faire consiste à convaincre tout le monde dans l’usine que c’est comme ça. »

« Chaque jour, nous devons essayer de faire mieux qu’hier. C’est encore plus vrai aujourd’hui en F1, avec des écarts si faibles entre les équipes et les voitures. Chaque détail fait une énorme différence en termes de résultats. La moyenne entre nous et les gars devant est d’environ trois ou quatre centièmes de seconde. »

« À Imola, il y avait trois voitures à un millième près. Nous devons garder cela à l’esprit et nous assurer que nous essayons dans tous les domaines de l’entreprise, de la production à la conception, en passant par les opérations sur piste et l’aérodynamique, de chasser chaque dixième. »

Depuis son arrivée dans l’équipe en 2023, Vasseur a essayé de faire évoluer la mentalité en tentant de donner au personnel la confiance nécéssaire pour repousser les limites de leurs domaines respectifs sans crainte d’être critiqué, pointé du doigt ou même renvoyé dans les cas les plus extrêmes.

« Si je dois être fier de quelque chose, ce n’est pas le résultat. Le résultat est une conséquence. » insiste Frederic Vasseur.

« C’est plutôt le fait que tout le monde est disposé à prendre des risques, un peu moins effrayé – la conséquence est le résultat. Le fait aussi que nous essayons de changer un peu les mentalités. C’est une question d’état d’esprit. »

« On ne peut pas garder de marge. Il faut prendre des risques partout. C’est une mentalité de course. C’est probablement aussi l’ADN de Red Bull. C’est là que nous devons faire un pas en avant. »

« Il y a des gens qui sont capables de voir les aspects positifs et d’autres qui se concentrent sur les points à améliorer. Je pense que je suis plutôt du genre à privilégier ce dernier. »

« Je ne passe pas de temps ni d’énergie à me demander chaque matin : « Sommes-nous satisfaits de ce que nous avons fait ? ». Le plus important est de se concentrer sur ses faiblesses et de maintenir une approche d’amélioration continue. »

« Mon travail consiste plutôt à ne pas tout blâmer, à les pousser ou à essayer de les motiver. Mon travail consiste parfois davantage à rester calme sur le positif et le négatif. »

« La réaction est toujours d’amplifier tout, en interne d’abord mais aussi en externe – avec les journalistes – et cette partie de mon travail consiste à convaincre tout le monde que nous ne sommes pas champions du monde après le Canada ou Monaco. Et nous ne sommes pas bien pires une semaine après le Canada. »

Après la trêve estivale, il restera dix courses à Ferrari pour tenter de se rapprocher de Red Bull qui reste l’équipe à battre actuellement. Vasseur le sait, ce ne sera pas simple, mais l’ambiance est bonne désormais chez Ferrari : « L’ambiance est là et elle est importante pour le résultat final. Nous devons garder l’attitude positive que nous avons et essayer de faire un meilleur travail. » a-t-il insité.

McLaren aura plus de nouveautés sur sa F1 après la trêve estivale

Le Team Principal de McLaren, Andrea Stella, a admis que la compétitivité de son équipe a été quelque peu surprenante compte tenu de son manque de grosses améliorations jusqu’à présent, mais l’Italien a insisté sur le fait que d’autres nouveautés techniques seront bientôt introduites sur la MCL38.

La campagne 2024 s’est avérée jusqu’à présent très fructueuse pour McLaren puisque l’écurie basée à Woking occupe avant la reprise de la saison la deuxième place au championnat du monde des constructeurs, a déjà remporté deux Grands Prix (Miami et Budapest) et ses pilotes sont montés à plusieurs reprises sur le podium.

Compte tenu de la réglementation sur les tests aérodynamiques mise en place en F1 – qui autorise les équipes qui ont terminé plus bas dans le championnat de l’année précédente à effectuer plus de tests, tandis que celles qui sont en tête reçoivent moins de temps sur une échelle mobile – McLaren aura le plus de temps de développement à sa disposition pour la deuxième partie de l’année parmi les quatre meilleures équipes, après avoir terminé 2023 en quatrième place du classement des constructeurs.

Mais lorsqu’on interroge Andrea Stella pour savoir quel impact cela pourrait avoir sur la deuxième partie de saison pour McLaren, l’italien a répondu  :« En ce qui concerne l’ATR, je ne suis pas sûr. En effet, Red Bull a réalisé plus de développements sur la piste jusqu’à présent, en termes de pièces physiques livrées lorsque vous regardez la soumission, que ce que nous avons fait. » a expliqué Andrea Stella.

« Mais je ne peux parler que pour McLaren, nous semblons être en mesure de tirer profit de ce développement que nous avons accumulé, et je m’attends à ce que pour la deuxième partie de la saison, nous ayons à plusieurs reprises de nouvelles pièces. »

« D’une certaine manière, je suis surpris que nous ayons été si compétitifs, sachant qu’à partir de Miami, nous n’avons pas apporté beaucoup de nouvelles pièces sur la piste. » a-t-il insisté.

« Cela signifie donc que la mise à niveau de Miami était évidemment importante, mais certaines améliorations interviendront dans la deuxième partie de la saison. »

Avant la reprise de la saison 2024 programmée le dernier week-end d’août à Zandvoort, McLaren occupe la deuxième place au championnat du monde des constructeurs avec 42 points de retard sur Red Bull.

Hamilton prédit une deuxième moitié de saison passionnante en F1

Lewis Hamilton pense que les fans de F1 vont pouvoir assister à une deuxième moitié de saison passionnante après la trêve estivale, alors que quatre équipes ont les capacités de remporter des courses actuellement sur la grille.

Jusqu’à présent, pas moins de sept pilotes différents ont remporté un Grand Prix en 2024, ce qui prouve à quel point le sport est devenu très compétitif. Cela rappelle également la saison 2012, lorsque les sept premières courses de l’année avaient donné lieu à sept vainqueurs différents.

Faisant lui-même partie des sept pilotes ayant remporté une course cette saison, le septuple champion du monde Lewis Hamilton estime pour sa part qu’il y aura encore plus à venir lors de la deuxième partie de saison 2024 : « C’est vraiment fantastique, je pense, pour le sport, d’avoir des équipes et des pilotes aussi proches. » a déclaré Hamilton.

« Nous ne nous attendions pas à être en compétition avec les McLaren ou les Red Bull à ce stade de la saison, vu la façon dont nous avons commencé. Donc, le fait que nous soyons maintenant en position de nous rapprocher…je pense que ce sera une sacrée deuxième moitié de saison, c’est certain. »

Cependant, bien que Mercedes ait fait de grands progrès et peut se targuer d’avoir remporté deux poles position avec George Russell [Silverstone et Canada] et trois victoires [Autriche, Silverstone et Belgique, bien qu’à Spa George Russell a été disqualifié], Hamilton ne pense pas réaliste le fait d’aller se battre pour le titre mondial.

« Non, ce serait de grands espoirs. Mais, si nous pouvons continuer ce genre de performance comme nous l’avons fait lors des dernières courses, ce serait fantastique. » a ajouté le Britannique qui quittera Mercedes à la fin de la saison pour rejoindre Ferrari.

Avant la reprise de la campagne 2024 programmée le dernier week-end d’août à Zandvoort, l’équipe Mercedes occupe la quatrième place avec 79 points de retard sur Ferrari.

Mercedes F1 se fixe un objectif ambitieux pour la fin de saison

Le directeur de Mercedes, Toto Wolff, estime qu’il serait réaliste pour son équipe de se fixer comme objectif le top trois dans les deux championnats cette saison, compte tenu du fait que les performances de la W15 ont sensiblement évolué au cours des derniers mois.

Mercedes a débuté la saison 2024 en retrait avec une monoplace mal née et en manque flagrant de performance comparé à la concurrence. Mais au fil des courses, l’écurie du constructeur allemand a réussi à améliorer les performances de sa monoplace, ce qui lui a permis de décrocher deux poles position avec George Russell [Silverstone et Canada] et trois victoires [Autriche, Silverstone et Belgique, bien qu’à Spa George Russell a été disqualifié].

Dans ce contexte, Mercedes – qui occupe la quatrième place au championnat du monde au moment de la trêve estivale – peut désormais aborder la deuxième partie de saison avec un peu plus d’optimisme : « La différence avec le début de saison, c’est que nous avons une voiture qui peut marquer des points chaque semaine. Nous avons également deux pilotes de haut niveau qui sont capables de le faire. » a expliqué Toto Wolff, cité par Motorsportweek.

« Nous avons encore du travail à faire pour être dans la lutte pour la victoire chaque week-end. Nous avons fait de grands progrès et nous avons une voiture qui peut être performante aux avant-postes. »

L’Autrichien a admis qu’il serait prématuré de faire des prédictions sur les manches à venir, mais Wolff estime qu’un top trois dans les deux championnats [pilotes et constructeurs] peut être un objectif réaliste compte tenu des performances de son équipe au cours des dernières semaines.

« Il est difficile de dire ce qui se passera lors des dix dernières courses. L’ordre hiérarchique entre les quatre premiers est serré. » a-t-il ajouté.

« C’est une bonne chose car cela rend le sport incroyablement passionnant. Nous allons tout donner pour remporter plus de victoires et viser une place dans le top 3 dans les deux championnats. » a-t-il conclu.

Avant le Grand Prix des Pays-Bas programmé le dernier week-end d’août, l’équipe Mercedes occupe la quatrième place au championnat du monde des constructeurs avec 79 points de retard sur Ferrari.

George Russell s’inspire de Novak Djokovic pour rester en forme

Le pilote Mercedes George Russell a révélé qu’il partage de nombreuses idées avec le tennisman Novak Djokovic afin de l’aider à rester toujours aussi performant en Formule 1 en termes de santé physique et mentale.

George Russell – désormais âgé de 26 ans – a rencontré Djokovic à Monaco il y a de cela quelques années et les deux hommes sont depuis restés en contact, alors que le joueur de tennis serbe – âgé de 37 ans – donne quelques conseils au pilote Mercedes pour lui assurer d’être toujours en forme.

« Je l’ai croisé par hasard à la salle de sport et nous sommes rentrés à la maison ensemble. » a expliqué George Russell à l’agence de presse Reuters à propos de sa rencontre avec Novak Djokovic.

« Nous avons partagé des idées ensemble et il a été très ouvert avec moi sur les choses qu’il essaie et ce qui fonctionne pour lui. Nous avons simplement parlé de beaucoup d’idées différentes, physiques et mentales. »

« Je ne veux pas trop en dire car ce sont des conversations privées, mais j’aime vraiment la façon dont il veut constamment en savoir plus et cela m’inspire à en apprendre davantage sur moi-même, sur ce qui fonctionne pour moi, sur ce qui fonctionne pour lui et sur le fait de repousser les limites. »

« Il y a beaucoup de choses qu’il sait et que je ne sais pas et vice versa, et vous devez prendre toutes ces idées des meilleurs dans chaque profession et voir ce que vous pouvez en tirer pour vous-même. » a ajouté le Britannique.

« Je me sens en forme, en bonne santé et dans une excellente situation en ce moment à l’âge de 26 ans, mais je dois m’assurer que je serai en forme, en bonne santé et aussi motivé dans dix ans, quinze ans, qui sait dans vingt ans. J’essaie de travailler dur maintenant. »

Le pilote Mercedes a ajouté que le tennis était son sport préféré après la Formule 1 et qu’il respectait énormément ces joueurs : « J’adore le tennis, c’est probablement mon sport préféré à regarder. » a-t-il ajouté.

« Je ne joue pas au tennis mais j’ai un immense respect pour les joueurs. Pour ces joueurs de tennis, leur corps est ce que la voiture est pour nous. »

« Nous avons l’homme et la machine [en F1], pour eux, ils sont seuls, donc la physiothérapie, l’entrainement, le refroidissement, l’hydratation, la nutrition – tout cela est le carburant que nous mettons dans notre voiture, comme l’aérodynamisme. »

George Russell a débuté sa carrière en Formule 1 en 2019 avec l’équipe Williams, il a ensuite rejoint l’écurie Mercedes en 2022 et a déjà disputé 120 Grands Prix de Formule 1.

La Formule 2 veut devenir aussi attrayante que la F1

Bruno Michel, PDG de la Formule 2, se félicite du travail accompli au cours des dernières années pour tenter de rendre le championnat aussi proche que possible de la Formule 1 avec des moyens bien plus modestes que la catégorie reine du sport automobile.

Dernière marche à gravir avant d’espérer atterrir en Formule 1, la Formule 2 [ancien GP2] a permis à la F1 de recruter de nombreux pilotes, le dernier en date étant Oliver Bearman qui fera ses débuts en Formule 1 en 2025 avec l’écurie Haas.

Au fil des années, un travail considérable a été consacré à la construction d’un championnat qui prépare au mieux les jeunes pilotes à ce qui peut les attendre par la suite en Formule 1. Bien que rouler sur les mêmes circuits lors des week-ends de Grands Prix soit déjà un bon début, ce sont en fait de petits détails – qui sont devenus plus importants à mesure que le championnat a évolué – qui ont fait que la Formule 2 est désormais devenue un championnat tout aussi attrayant que la F1.

Dans le monde des paris sportifs, tout comme en Formule 2, il est essentiel de choisir un casino en ligne fiable pour garantir une expérience sécurisée et agréable. « Nous devons le rendre [le championnat] aussi simple que possible, mais également aussi performant que possible. C’est l’équilibre que nous devons trouver. Nous devons trouver des moyens peu coûteux pour réaliser des choses compliquées. » explique Bruno Michel dans le podcast Beyond the Grid.

« Nous devons le rendre [le championnat] aussi simple que possible, mais également aussi performant que possible. C’est l’équilibre que nous devons trouver. Nous devons trouver des moyens peu coûteux pour réaliser des choses compliquées. » explique Bruno Michel dans le podcast Beyond the Grid.

« Nous avons un DRS qui est extrêmement efficace en Formule 2, mais qui fonctionne très différemment du DRS de la Formule 1. »

« C’est un système très simple, et c’est le genre de chose que nous essayons toujours de faire : avoir une voiture aussi proche que possible d’une Formule 1, non seulement en termes de performances, mais aussi en termes de systèmes, de fonctionnement avec l’électronique et les systèmes de contrôle de course. »

« Nous utilisons les mêmes systèmes qu’en Formule 1, mais nous essayons de les rendre moins chers, car nous avons un vrai problème : sinon, les pilotes ne seront pas en mesure de supporter les coûts d’une saison. C’est donc quelque chose sur lequel nous devons toujours être extrêmement prudents. »

« Nous devons avoir une voiture capable de dépasser autant que possible. Je dois dire que jusqu’à présent, la F2 a été absolument incroyable cette saison. »

« À Bahreïn, nous avons eu des courses fantastiques, à Melbourne, nous avons eu des courses fantastiques et à Monaco – lors de notre course principale à Monaco, nous avons eu 26 dépassements, ce qui est quelque chose d’assez incroyable pour Monaco, la course était incroyable. »

« C’est vraiment ce que nous essayons de faire et d’atteindre, et c’est un équilibre fragile. Mais nous y travaillons, et nous le faisons depuis un certain temps, donc nous avons un peu d’expérience. » conclut Michel.

Alors que la saison 2024 de la F2 reprendra à Monza fin août/début septembre, c’est le franco-algérien Isack Hadjar qui est actuellement en tête au classement des pilotes avec 36 points d’avance sur Bortoleto.

Comment Wolff est devenu plus pragmatique face aux difficultés de Mercedes

Le directeur de Mercedes, Toto Wolff, a détaillé la façon dont il a modifié sa méthode de management depuis la saison 2022 lorsque l’équipe Mercedes a vu son niveau de compétitivité s’effondrer lors de l’introduction des nouvelles règles en F1.

Depuis 2022, de nouvelles règles techniques ont été introduites afin de rendre le sport plus spectaculaire pour les fans, notamment en permettant aux monoplaces de se suivre de plus près grâce à une aérodynamique retravaillée. Si certaines écuries comme Red Bull ont réussi à s’adapter très rapidement à cette nouvelle règlementation, d’autres comme Mercedes ont eu plus de mal en partant d’emblé dans la mauvaise direction.

Avant l’arrivée de ces nouvelles règles, Mercedes dominait largement la catégorie reine du sport automobile et le directeur de l’écurie du constructeur allemand, Toto Wolff, avait pris pour habitude de placer ses employés sous pression permanente pour tirer le meilleur de chaque personne dans un monde ultra compétitif qu’est la Formule 1.

Mais à partir de 2022, l’Autrichien a dû changer radicalement son approche face aux difficultés rencontrées par son équipe : « Quand j’ai rejoint cette équipe, je l’ai fait d’une certaine manière. J’étais très émotif et implacable. J’ai maintenu tout notre système sous pression constante, je voulais bousculer l’organisation et j’ai seulement essayé de faire de nous une équipe gagnante du championnat du monde. » a expliqué Toto Wolff à nos confrères de Formula.hu.

« Ensuite, nous avons mûri, toute l’organisation est devenue mature, ce qui a fourni des performances excellentes et équilibrées pendant des années, mais j’étais toujours le même qu’avant. »

« Puis est arrivé 2022 et les émotions incroyables, quand je me suis dit « on ne peut pas être si loin derrière, on va bientôt se remettre sur pied ». Puis j’ai réalisé que cela n’allait pas arriver rapidement. »

« Il y avait des jours où notre rythme semblait bon, mais c’était comme un faux signal parce qu’alors nos ingénieurs – les meilleurs ingénieurs du monde – disaient « nous ne savons pas, nous ne savons vraiment pas, nous ne savons pas ». »

« Je ne comprenais pas ce qui se passait. Cela m’a mis dans une situation où j’ai dû réaliser que la façon dont je gérais cette organisation ne fonctionnait plus. »

Selon Toto Wolff, la mise sous pression permanente de toute son équipe n’aurait fait qu’empirer la situation et l’Autrichien a donc immédiatement modifié sa façon de manager : « Toute l’équipe risquait de s’effondrer sous la pression. » a-t-il insisté.

« J’ai changé ça. Je suis devenu plus pragmatique, j’ai analysé les choses plus en profondeur et j’ai donné une chance aux gens au lieu d’être trop brutal et direct. »

« J’ai aussi compris que l’impatience ne rend pas la voiture plus rapide. Je devais devenir une personne différente, avec plus de patience et moins d’émotions impulsives, plutôt avec une orientation à long terme. » a ajouté Wolff, qui possède un tiers de l’équipe Mercedes.

Le déclic en 2023

En 2023, Wolff a eu comme un déclic lorsqu’il a failli perdre une personne clé de son équipe – dont l’Autrichien taira le nom : « Il y a eu un moment fin 2023 où j’ai failli perdre une personne très importante dans mon équipe à cause de la pression, quelqu’un que je respecte et que j’apprécie personnellement beaucoup. » a indiqué Wolff.

« Il m’a alors dit : « écoute, tu peux continuer comme tu le fais, mais je ne peux plus supporter cette pression ». J’ai pensé qu’il fallait s’arrêter un instant. Je ne voulais pas perdre cette personne, alors je me suis demandé si je devais continuer comme j’ai fait toute ma vie en tant que manager et entrepreneur, ou si je devais changer. »

« Cela a été un véritable choc et a changé beaucoup de choses en moi. Heureusement, j’ai reçu des retours très positifs de la part des membres de l’équipe : après les premières courses qui se sont mal déroulées, je n’ai pas augmenté la pression sur eux comme je pensais que c’était juste avant. »

« Niki [Lauda] et moi étions très semblables à cet égard. Nous pensions que c’était de la pression, de la pression et encore de la pression, mais cela n’a tout simplement pas fonctionné ici. Alors j’ai fait le contraire, j’ai commencé à agir de manière beaucoup plus solidaire. »

Un peu comme dans l’univers du casino en ligne france, où la stratégie et le sang-froid sont essentiels pour maximiser ses chances, Wolff a compris que la précipitation et la tension permanente nuisent à la performance sur le long terme.

En 2024, l’équipe Mercedes connaît une bien meilleure campagne que les deux précédentes avec déjà deux victoires à son actif et d’importants progrès réalisés. Mercedes occupe actuellement (à la trêve estivale) la quatrième place au championnat du monde des constructeurs.

Avec « la bonne voiture », Hülkenberg peut décrocher des victoires chez Audi F1

Le Team Principal de l’équipe Haas, Ayao Komatsu, estime que Nico Hülkenberg a les capacités de remporter des courses en Formule 1 si jamais Audi – prochaine destination de l’Allemand – lui fournit « la bonne voiture ».

Nico Hülkenberg a fait le choix de quitter Haas à la fin de la saison 2024 pour rejoindre la future écurie Audi qui entrera en catégorie reine officiellement en 2026. Chez Audi, l’Allemand a signé un contrat pluriannuel et fera donc partie du projet sur du long terme.

Avec plus de 200 Grands Prix disputés en Formule 1 depuis le début de sa carrière, Hülkenberg est considéré comme un pilote très expérimenté, mais l’Allemand – désormais âgé de 36 ans – n’a jamais remporté de course en catégorie reine jusqu’à présent.

Mais pour Ayao Komatsu – son actuel patron chez Haas –  Nico Hülkenberg a largement les capacités de remporter des courses, et bien qu’il estime qu’il serait prématuré de penser déjà à un éventuel titre mondial pour lui avec Audi, le Japonais pense que le pilote allemand pourrait très bien décrocher ses premiers podiums et même des victoires avec une équipe telle que Audi.

« Nico est un grand pilote. Mais je ne parlerais pas du titre de champion du monde. Il n’a même pas encore de podium à son actif. » a déclaré Komatsu à AMUS.

« Il faut que cela se fasse étape par étape. Après ses premiers podiums et ses premières victoires, un pilote doit d’abord prouver qu’il est capable de fournir ces performances de manière constante. »

Dans l’univers du sport comme dans celui des jeux d’argent, rien n’est jamais garanti, mais avec les bons atouts, les résultats peuvent surprendre. Un peu comme sur un site casino en ligne, où la combinaison entre stratégie, chance et plateforme fiable peut tout changer.

« Je ne veux pas dénigrer Nico, mais je ne peux pas me tenir ici et prétendre qu’il a les qualités d’un champion du monde alors qu’il n’est même pas encore monté sur un podium. Est-il l’un des meilleurs pilotes de Formule 1 ? Absolument ! S’il a la bonne voiture, il peut certainement se battre pour des podiums et des victoires. »

L’an prochain, l’équipe Haas aura un tout nouveau duo de pilotes avec le jeune Oliver Bearman et le Français Esteban Ocon, et Komatsu a admis que Nico Hülkenberg lui manquera certainement, notamment parce que l’Allemand pousse l’équipe dans la bonne direction en permanence.

« J’adore travailler avec lui. Il dit toujours ce qu’il pense honnêtement et clairement, il pousse l’équipe dans la bonne direction. Nico va vraiment me manquer. » a ajouté Komatsu.

Helmut Marko comprend le choix de Sainz de rejoindre Williams F1

Le Dr Helmut Marko comprend parfaitement le choix de Carlos Sainz de rejoindre l’équipe Williams à partir de la saison 2025, l’Autrichien estimant que l’actuel pilote Ferrari n’avait aucune autre alternative.

Avant le début de la saison 2024 de F1, la Scuderia Ferrari a annoncé l’arrivée dès 2025 du septuple champion du monde Lewis Hamilton à Maranello où le Britannique remplacera directement l’Espagnol Carlos Sainz dont le contrat n’a pas été renouvelé. 

L’annonce a fait l’effet d’une bombe dans le paddock de la Formule 1 et a surtout placé Carlos Sainz en porte-à-faux dans un marché des pilotes extrêmement dynamique cette année. En effet, face à la décision surprise de Ferrari, Sainz – qui pensait pourtant pouvoir renouveler son contrat – a dû entamer assez tardivement des discussions avec plusieurs équipes de la grille.

Finalement, après plusieurs mois de spéculations concernant son avenir, Carlos Sainz a choisi de signer un contrat avec l’équipe Williams où il travaillera aux côtés d’Alex Albon dès 2025 dans le cadre d’un contrat pluriannuel. 

Certains estiment que Sainz a fait le mauvais choix de rejoindre une équipe de bas de classement, tandis que d’autres comme Helmut Marko pensent que Williams est la meilleure alternative pour l’Espagnol : « Il est compréhensible que Carlos Sainz ait décidé de partir chez Williams, car quelles seraient ses alternatives ? » a commenté Marko dans les colonnes de Speedweek.

« Audi n’en sera certainement pas une pour l’année prochaine, et chez Alpine, ils ne savent pas s’ils obtiendront le moteur Mercedes en 2025 ou du moins avant 2026. »

Selon Helmut Marko, Carlos Sainz dispose – comme tous les pilotes – d’une clause dans son contrat qui lui permettra de toute façon de saisir une opportunité dans une meilleure équipe. 

« Je dirais que c’est la meilleure solution pour lui dans cette situation. Il est bien sûr tragique de constater qu’il réalise sa meilleure saison chez Ferrari et qu’il n’obtienne pas de poste dans une équipe de haut niveau, mais il peut faire quelque chose chez Williams, il aura aussi un moteur puissant. »

« En même temps, il a une clause dans son contrat qui lui permet de partir si une offre vient d’une équipe nettement mieux placée. » a ajouté Marko.