Ferrari prépare l’arrivée de Hamilton : premiers tours de roue prévus à Fiorano

La dernière course de la saison 2024 ayant eu lieu, Lewis Hamilton a par la même occasion réalisé sa dernière course avec Mercedes. L’attention se tourne désormais vers ses débuts en rouge et la capacité de Ferrari à intégrer rapidement le septuple champion du monde dans ses méthodes de travail.

Le coup d’envoi officiel de la saison 2025 aura lieu le 18 février à l’O2 Arena de Londres, où les 10 équipes de F1 participeront à un événement unique. Ferrari lancera en piste sa nouvelle monoplace dès le lendemain.

Frédéric Vasseur, directeur de la Scuderia, a confirmé que Hamilton devrait prendre la piste à Fiorano dès le 19 février, à condition que les conditions météorologiques le permettent. Quant à d’éventuels essais privés dans une voiture de type TPC (Testing Previous Cars) avant cette date, aucune session n’est pour l’instant prévue.

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Il arrive avec sa propre expérience. Il n’est pas le débutant de l’année, donc je ne suis pas du tout inquiet à ce sujet, et aussi la continuité du règlement précédent, ce qui signifie que pour nous, nous avons une certaine référence.”

“Le défi, c’est que si nous allons à Bahreïn et que nous avons une tempête de sable comme il y a quelques années, alors c’est difficile, mais c’est difficile pour tout le monde sur la grille. Nous savons que nous n’avons que trois jours là-bas. C’est comme ça.”

“Je sais que nous aurons l’occasion de faire une journée d’essais TPC ou Pirelli, mais c’est étroitement lié à la météo, et nous n’avons donc pas pris de décision”, a conclu le directeur de la Scuderia Ferrari.

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La grille 2025 des pilotes engagés en F1 après le départ de Sergio Pérez

Après l’annonce du départ de Sergio Pérez, remplacé par Liam Lawson chez Red Bull, un seul baquet est officiellement encore à prendre pour la saison prochaine : celui chez VCARB, en tant que coéquipier de Yuki Tsunoda.

Pilote Écurie Contrat
Lando Norris McLaren Long terme
Oscar Piastri McLaren 2026
Charles Leclerc Ferrari Pluriannuel
Lewis Hamilton Ferrari Pluriannuel
Max Verstappen Red Bull 2028
Liam Lawson Red Bull 2025
Andrea Kimi Antonelli Mercedes Inconnu
George Russell Mercedes 2025
Fernando Alonso Aston Martin Pluriannuel
Lance Stroll Aston Martin  2025 et au-delà
Pierre Gasly Alpine  Long terme
Jack Doohan Alpine 2025
Esteban Ocon Haas Pluriannuel
Oliver Bearman Haas Pluriannuel
Yuki Tsunoda VCARB 2025
X VCARB X
Alex Albon Williams  2025
Carlos Sainz  Williams  2026 et au-delà
Nico Hülkenberg Sauber Pluriannuel
Gabriel Bortoleto Sauber Pluriannuel

Ferrari lancera sa monoplace de 2025 le 19 février

Ferrari a pris les devants en devenant la première écurie de F1 à annoncer la date de lancement de sa monoplace pour la saison 2025. La Scuderia présentera sa nouvelle monoplace le 19 février, au lendemain de l’événement collectif de lancement de la saison, organisé le 18 février à l’O2 Arena de Londres.

Lors de ce rendez-vous, les dix équipes et leurs vingt pilotes dévoileront les livrées 2025 sur des voitures d’exposition, marquant ainsi le coup d’envoi officiel de la saison.

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La véritable monoplace de Ferrari effectuera ses premiers tours de roue lors d’un test privé à huis clos sur le circuit de Fiorano avant de partir pour les essais de pré-saison à Bahreïn.

Cette voiture sera également un tournant dans l’histoire de la Scuderia, puisqu’elle marquera les débuts de Lewis Hamilton sous les couleurs Ferrari. Le septuple champion du monde, qui a quitté Mercedes pour rejoindre Charles Leclerc à partir de 2025, devrait s’acclimater à sa nouvelle équipe en participant à des essais privés avec une Ferrari de deux ans sur les circuits de Fiorano ou du Mugello avant le lancement officiel.

 

Fred Vasseur revient sur “l’émouvante” dernière journée de Carlos Sainz avec Ferrari

Fred Vasseur est revenu en détail sur la dernière journée en rouge de Carlos Sainz. La saison prochaine, le pilote espagnol courra sous les couleurs de Williams.

Pour marquer la fin de cette histoire, Carlos Sainz et son père, Carlos Sainz Sr, ont eu l’occasion de rouler ensemble sur le légendaire circuit de Fiorano à Maranello, au volant de Ferrari de 2022. Ce geste symbolique a marqué avec classe la fin de son histoire avec la Scuderia.

Le départ de Sainz intervient après l’annonce, le 1er février dernier, que Lewis Hamilton, septuple champion du monde, le remplacera chez Ferrari à partir de 2025. Le 17 décembre a ainsi marqué la dernière journée de Sainz avec l’équipe italienne avant qu’il ne rejoigne officiellement Williams.

Nous avons fait nos adieux à Carlos, et il a fait quelques tours avec la voiture, son père aussi”, a déclaré Fred Vasseur, directeur de la Scuderia Ferrai.

“C’était la meilleure façon de les remercier tous pour ce qu’ils ont fait pour l’équipe, et aussi Carlos Senior.”

Fred Vasseur a tenu à souligner l’engagement sans faille de Carlos Sainz tout au long de sa dernière saison avec la Scuderia Ferrari. L’Espagnol savait pourtant qu’il ne roulerait plus en rouge la saison suivante, mais a continué à donner de sa personne pour aider la firme italienne.

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Le pilote espagnol a brillé en remportant deux importantes victoires, d’abord en Australie, puis à Mexico.

Je pense qu’avec Carlos, nous avons eu au moins deux bonnes saisons”, a ajouté Vasseur. “Le moment le plus émouvant de la saison pour moi a probablement été à Melbourne, lorsqu’il a remporté la course après son opération [il avait été opéré de l’appendicite seulement 15 jours auparavant].”

“L’année dernière, c’est lui qui a décroché la pole position à Monza et la victoire à Singapour. Sa contribution a été très importante pour l’amélioration de l’équipe.”

“Je sais que la situation n’a pas été facile pour lui lorsque j’ai dû l’appeler en février. Vous pouvez imaginer que c’était une situation difficile. Mais il a su garder la même approche toute l’année, être très professionnel, très dévoué, se battre jusqu’au dernier virage du dernier tour de la dernière course.”

“C’était [les adieux de mardi] un peu émouvant. Même pour le père, c’était émouvant”, a conclu le directeur de la Scuderia Ferrari.

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Kimi Antonelli : des débuts en F1 chez Mercedes sous haute pression

L’ancien pilote de F1 Karun Chandhok a mis en garde Andrea Kimi Antonelli : malgré l’absence probable de Mercedes dans la lutte pour le titre en 2025, le jeune prodige italien sera scruté de près lors de ses débuts en Formule 1.

Andrea Kimi Antonelli, présenté comme le “prochain Max Verstappen” par Toto Wolff, fera son entrée dans la catégorie reine en lieu et place de Lewis Hamilton, septuple champion du monde. Ce dernier a quitté Mercedes pour rejoindre la Scuderia Ferrari en 2025. Une place de choix donc pour le jeune pilote, mais la pression sera également forte sur ses épaules, car il devra répondre aux attentes d’une équipe habituée à l’excellence.

Bien que Mercedes puisse décider de concentrer ses efforts sur la saison 2026, année d’une nouvelle ère réglementaire, cette stratégie pourrait ne pas alléger complètement la pression sur Antonelli. Le défi reste immense pour le pilote qui vient de la F2, qui devra évoluer sous les projecteurs dans une équipe de premier plan, succédant à l’un des plus grands noms de l’histoire de la F1.

Si ce contexte offre à l’Italien une opportunité de développement à long terme, Karun Chandhok insiste sur le fait qu’Antonelli devra prouver rapidement qu’il mérite sa place dans une discipline où les places sont chères et peuvent rapidement revenir à plus fort que vous.

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De fait, Karun Chandhok pense qu’il devra être immédiatement performant, quelle que soit la compétitivité de Mercedes.

Que vous conduisiez pour l’équipe qui a terminé 10e du championnat ou pour l’équipe qui est en tête de la grille, je pense qu’il y a une différence entre les deux. En tant que débutant en F1, il n’y a nulle part où se cacher”, a déclaré Chandhok sur le podcast Sky F1.

Selon l’ancien pilote de F1, le jeune pilote italien sera forcément comparé à Lewis Hamilton et à ses fantastiques débuts en F1 chez McLaren, mais aussi à Oscar Piastri qui brille lui aussi chez McLaren.

Pour Kimi Antonelli, le fait qu’il arrive en tant que débutant, mais dans une équipe de premier plan signifie que l’on attend de lui qu’il se montre à la hauteur, comme Lewis l’a été lorsqu’il est arrivé chez McLaren et qu’il a décroché neuf podiums d’entrée de jeu. Oscar Piastri l’a également démontré ces deux dernières années.”

“Les attentes à l’égard des débutants sont élevées. Vous ne pouvez pas vous contenter de dire ‘je suis là pour apprendre’. Cette excuse n’existe plus avec des pilotes comme Verstappen, Leclerc, Russell, Lewis avant eux. Ces recrues ont tout simplement relevé la barre des attentes”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Carlos Sainz fait ses adieux à Ferrari lors d’une journée spéciale à Fiorano

Carlos Sainz a célébré la fin de sa collaboration avec Ferrari lors d’une journée mémorable sur le circuit de Fiorano.

Accompagné de son père, Champion du monde des rallyes, Carlos Sainz Jr a passé une dernière journée unique avec sa désormais ancienne écurie.

Ce mardi, le pilote espagnol a pris le volant de la Ferrari F1-75, monoplace qui avait permis à l’écurie de décrocher la deuxième place au championnat des constructeurs en 2022. Au volant de cette monoplace, le futur pilote Williams avait décroché sa première victoire en F1 ainsi que neuf pole positions. Partageant la piste avec son père, les deux hommes ont offert un spectacle émouvant, célébrant une étape importante de la carrière de Carlos Sainz Jr.

Cet événement représente un ultime adieu à Ferrari avant son départ pour Williams, prévu en 2025. Après plusieurs saisons avec l’écurie italienne, Sainz s’apprête à entamer un nouveau chapitre de sa carrière en Formule 1, laissant derrière lui des souvenirs marqués par sa collaboration avec la Scuderia.

 
 
 
 
 
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Tel fils, tel père ! Grazie Scuderia Ferrari”, a écrit Sainz sur son Instagram, qui accompagnait une vidéo de lui et de son père pilotant sur la piste de Fiorano.

La saison prochaine, Carlos Sainz pilotera chez Williams aux côtés d’Alex Albon et aura la lourde tâche de ramener la firme britannique sur le devant de la scène. 

Mika Häkkinen se réjouit de voir McLaren dominer la F1

Lando Norris et Oscar Piastri ont offert à McLaren le titre de Champion du monde des constructeurs, un titre qui avait été remporté pour la dernière par l’écurie de Woking en 1998.

L’année 1998 reste gravée dans l’histoire de McLaren comme une saison d’exception. Sous la direction de Ron Dennis, l’équipe avait dominé la saison grâce à la légendaire MP4/13, conçue par Adrian Newey. Pilotée par Mika Häkkinen et David Coulthard, la monoplace avait remporté pas moins de neuf victoires. Depuis, le titre des constructeurs avait toujours échappé à McLaren, même si la firme britannique avait vu l’un de ses pilotes remporter le titre des pilotes en 2008 (Lewis Hamilton).

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Ces dernières années, McLaren a traversé une période difficile, marquée par des performances décevantes. Il y a dix ans, ce manque de résultat avait conduit à un changement de direction, avec l’arrivée de Zak Brown comme PDG. Ce nouveau PDG a initié un projet de reconstruction ambitieux.

Ce travail de longue haleine a permis à McLaren de renouer avec la victoire en 2021, avant de prendre cette année sur la plus place du classement des constructeurs devant son rival de toujours, la Scuderia Ferrari.

S’exprimant à Abu Dhabi pour PlanetF1.com, Mika Häkkinen a salué le retour au sommet de son ancienne équipe

Je pense que tous ceux qui travaillent dur, qui prennent les bonnes décisions et qui jouent bien en équipe, c’est ce qui compte”, a-t-il déclaré. “Les gens ont besoin de recevoir quelque chose pour leur travail acharné.”

Nous avons travaillé dur. La direction a pris les bonnes décisions et les mécaniciens ont fait un travail fantastique. Aujourd’hui, McLaren fait ce genre de travail.”

“Le genre de travail que fait McLaren en ce moment les rendra plus forts et ils se sentiront encore mieux dans la réussite de McLaren”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Juan-Pablo Montoya pense que Lewis Hamilton va “tout gagner” avec Ferrari

Juan Pablo Montoya estime que Lewis Hamilton “va tout gagner” assez rapidement avec La Scuderia Ferrari. L’ancien pilote de Williams et de McLaren pense que si Charles Leclerc pourrait initialement prendre l’avantage, le septuple champion du monde imposera rapidement sa suprématie.

Si la firme italienne n’est pas passée loin du titre des constructeurs en 2024, échouant de peu face à McLaren, l’arrivée de Lewis Hamilton chez Ferrari fait grandir les espoirs des Tifosi. Selon Juan-Pablo Montoya, Lewis Hamilton pourrait tout d’abord rencontrer des difficultés sous ses nouvelles couleurs, mais il estime que si Ferrari lui fournit une voiture compétitive, alors le septuple Champion du monde pourrait alors viser un nouveau titre mondial, en rouge cette fois-ci.

“Si Ferrari lui donne une bonne voiture, Lewis peut tout à fait redevenir champion. Mais il devra d’abord s’adapter, et Leclerc ne lui facilitera pas la tâche”, a déclaré l’ancien pilote Colombien.

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Lewis est suffisamment mûr pour comprendre qu’à court terme, il aura un peu de mal à apprendre le fonctionnement de Ferrari”, a déclaré le septuple vainqueur en Grand Prix à Instant Casino.

Charles va avoir l’impression de prendre le dessus. Mais après six ou sept courses, si la voiture est compétitive, Lewis gagnera tout”, a conclu le vainqueur de sept Grands Prix en F1.

Charles Leclerc est prêt à défier Lewis Hamilton et vise le titre mondial avec Ferrari

Charles Leclerc a clairement affiché ses ambitions pour la saison 2025. Associé à Lewis Hamilton chez Ferrari l’année prochaine, il vise le titre de Champion du monde des pilotes.

Après une saison 2024 prometteuse marquée par cinq victoires, Ferrari semble prête à renouer avec les sommets. L’écurie italienne a signé sa meilleure performance depuis 2018. En 2024, Ferrari a bataillé jusque dans le dernier Grand Prix de la saison, mais a finalement échoué face à McLaren pour seulement 14 points.

Fort d’une saison 2024 marquée par ses succès à Austin, mais surtout à Monaco et à Monza, Charles Leclerc estime être prêt à rivaliser avec Lewis Hamilton. Le Monégasque n’a pas caché son intention de défier le septuple champion du monde dans une lutte acharnée pour la couronne mondiale.

Dans l’ensemble, il y a eu beaucoup de moments positifs dans la saison, mais la deuxième ou la troisième place n’est pas ce que nous voulons, nous voulons gagner”, a-t-il expliqué lors du gala de remise des prix de la FIA.

« Mais la seconde moitié de la saison a été super positive et j’ai vraiment hâte d’être à l’année prochaine pour essayer de remporter ce titre. Je suis très motivé pour l’année prochaine, et évidemment la déception est encore fraîche de la dernière course, car nous nous sommes battus avec McLaren pour le titre des constructeurs jusqu’à la toute dernière course, mais ils ont juste fait un meilleur travail.”

“Ils méritent pleinement le titre et je les félicite, ainsi que Max. La saison a été très longue, mais j’ai réalisé certains de mes rêves.”

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“Il y a probablement un point fort, c’est Monaco. J’ai grandi à Monaco et je rêvais de devenir pilote Ferrari. C’est là que ma passion pour le sport automobile a commencé et le fait de pouvoir gagner à Monaco était très, très spécial, tout comme la victoire à Monza.”

“Un autre rêve inattendu était de pouvoir conduire avec mon jeune frère [Arthur] lors des essais libres 1 [à Abu Dhabi], ce qui a été un moment très spécial pour notre famille”, a conclu le pilote Ferrari.

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Fernando Alonso pourrait entamer 2026 comme sa dernière saison en F1

Fernando Alonso, 43 ans, a annoncé qu’il verrait la saison 2026 comme potentiellement sa dernière en Formule 1, bien qu’une prolongation reste envisageable.

Le double champion du monde est actuellement sous contrat jusqu’en 2026 avec Aston Martin, année marquée par l’arrivée des nouvelles réglementations techniques.

L’Espagnol espère que ce bouleversement règlementaire permettra à son écurie de devenir une pointure du championnat. Aston Martin pourra compter dès 2024 sur Adrian Newey, concepteur emblématique de F1, dont les premiers travaux aboutiront à la monoplace de 2026. De plus, l’équipe bénéficiera des moteurs Honda, devenant ainsi l’écurie officielle du constructeur japonais.

Le natif d’Oviedo reste ambitieux et déterminé, misant sur l’expertise combinée d’Adrian Newey et de,Honda pour offrir à Aston Martin une voiture compétitive capable de lutter pour des victoires et un potentiel troisième titre mondial.

Les attentes seront élevées car il s’agit d’une nouvelle voiture, d’un changement de réglementation, d’une voiture fabriquée par Adrian [Newey]”, a déclaré Fernando Alonso à la BBC.

“Probablement – ou du moins pour commencer – ce sera ma dernière saison en F1 car mon contrat se termine à la fin de 2026. C’est le moment de prendre ses responsabilités et le moment opportun pour dire la vérité.”

“Si 2026 se déroule sans problème, que nous passons un bon moment et qu’il y a une possibilité de courir une année de plus, je serai ouvert [à cela], c’est certain.”

“Je ne fermerai pas la porte à l’avance. Mais je ne commencerai pas à penser cela et je prendrai chaque course comme si c’était la dernière et je profiterai de chaque seconde.

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Fernando Alonso seul maître de son destin

Alonso a déclaré qu’il serait le premier à juger bon quel serait le moment parfait pour lui afin d’arrêter la F1.

Ma confiance en moi sera toujours là jusqu’au jour où je ne me sentirai plus à l’aise dans la voiture”, a-t-il expliqué.

Si je me sens plus lent que mes coéquipiers, ou plus lent que ce que je pense être possible avec la voiture, si cette date arrive, je lèverai probablement la main et j’arrêterai de courir, parce que je ne prendrai plus de plaisir”, a conclu Fernando Alonso, qui a aujourd’hui comme coéquipier chez Aston Martin, Lance Stroll.

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Deux États intéressés par l’achat de la collection complète de F1 de Bernie Ecclestone

Tom Hartley Jr, responsable de la vente aux enchères de la collection personnelle des F1 historiques de Bernie Ecclestone, dit avoir reçu des demandes du monde entier, dont deux pour l’acquisition des 69 d’un coup.

La collection d’Ecclestone pourrait être encore plus riche que cela, mais l’homme d’affaires britannique, ex-propriétaire des parts de la F1, a concentré ses efforts de collectionneur sur ses trois marques de cœur : Ferrari, Maserati et Brabham.

Tom Hartley Jr est celui à qui la vente de sa collection estimée à près de 350 millions d’euros a été confiée.

“Nous avons reçu des demandes du monde entier : Hong Kong, l’Australie, l’Argentine et beaucoup d’Amérique du Nord”, a-t-il déclaré au Times.

“Nous avons actuellement deux personnes différentes qui ont montré un intérêt sérieux pour l’achat de la collection dans son ensemble. Deux entités très qualifiées”. Par entités, le spécialiste des grosses transactions précise : “Des pays !”

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Actuellement, ses véhicules se trouvent dans un gigantesque hangar en Grande-Bretagne.

Les états capables de formuler de telles offres sont généralement dans une géographie différente de la liste d’endroits cités précédemment, et mènent invariablement vers le Moyen-Orient. On connait les ambitions, notamment, de l’Arabie saoudite ou encore du Qatar et du Royaume de Bahreïn à faire briller leur réputation par des acquisitions exceptionnelles du type de celle-ci.

“Bernie ne veut pas que les voitures soient vendues à des spéculateurs, c’est-à-dire à des personnes qui achètent les voitures dans l’intention de les revendre dans un avenir proche pour en tirer un profit quelconque”, précise Tom Hartley, qui suggère ainsi que l’homme d’affaires aura le luxe de pouvoir déterminer l’identité finale de l’acquéreur.

Bernie Ecclestone a eu 94 ans en octobre et a souhaité se séparer de cette collection pour ne pas la laisser dans les mains de ses ayant-droits, dont il pense qu’ils seraient plus embarrassés qu’autre chose par la réalisation d’une telle vente d’héritage.

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Rosberg : Hamilton “va s’inquiéter” de sa forme en qualifs avant d’arriver chez Ferrari

Nico Rosberg est revenu sur les récentes difficultés de Lewis Hamilton en qualifications.

Malgré ses 104 poles en F1, un record absolu, Lewis Hamilton a souffert cette année en qualifications, largement battu par son coéquipier George Russell.

Alors qu’il se dirige vers Ferrari en 2025, Nico Rosberg estime que Lewis Hamilton “va s’inquiéter à 100 %” de sa forme sur l’exercice du tour chrono.

“Il a deux ans chez Ferrari”, a indiqué Rosberg sur le podcast Sky F1. “Il va s’inquiéter à 100 %, et si ma forme continue ? Est-ce que c’était juste la voiture, Mercedes ? Ou était-ce autre chose ? Et si cette forme se poursuit chez Ferrari ? Si c’est le cas, ce serait vraiment une aventure douloureuse parce que ce n’est pas pour cela que Ferrari l’a engagé.”

“Ferrari l’a engagé pour qu’il soit au même niveau que Leclerc et qu’il se batte pour les championnats du monde. Je pense qu’il sera très inquiet à ce sujet. Nous ne pouvons qu’espérer qu’il retrouve ses qualités avec une remise à zéro chez Ferrari et qu’il redevienne le pilote brillant que nous connaissons.”

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Rosberg : “Hamilton semble toujours être à son meilleur niveau en termes de rythme de course”

“Le problème dans notre sport, c’est que si vous ne vous qualifiez pas en haut de la grille, vous avez vraiment du mal”, poursuit Rosberg. “Même s’il semble toujours être à son meilleur niveau en termes de rythme de course. Nous avons vu à maintes reprises que son rythme de course est incroyablement fort.”

“Quand vous vous qualifiez mal tout le temps, presque, et il le dit lui-même, il n’est tout simplement pas assez rapide en qualifications. C’est quelque chose qui a pesé sur ses épaules à la fin de l’année, car lorsque vous êtes battu à chaque course par votre coéquipier, qui est plus jeune mais qui, rappelons-le, n’est pas Champion du monde. C’est juste un quadruple vainqueur de course. Nous, les initiés, nous savons que Russell est brillant, mais il y a encore des points d’interrogation parce qu’il n’est pas Champion du monde. Quand vous êtes battu tout le temps, et dans le cas de Lewis, qui est statistiquement le GOAT, c’est vraiment difficile.”

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Vasseur répond à Binotto : “Quand j’étais chez Sauber, je ne parlais pas de Ferrari”

Fred Vasseur a répondu à Mattia Binotto après que ce dernier ait déclaré qu’il n’aurait pas fait le choix de recruter Lewis Hamilton. 

L’incroyable transfert de Lewis Hamilton chez Ferrari a beaucoup fait parler. Avant même le début de saison 2024, le septuple Champion du monde avait en effet fait le choix de quitter Mercedes, écurie avec laquelle il a connu tant de succès, pour se diriger vers la Scuderia et retrouver une vieille connaissance, un certain Frédéric Vasseur. 

Il y a quelques semaines, questionné par le Corriere della Sera pour savoir si lui aussi aurait décidé de recruter Lewis Hamilton chez Ferrari, Mattia Binotto avait répondu par la négative : “Non. Mais il a très bien fait d’aller chez Ferrari, je suis d’accord avec sa décision.”

Il lui avait alors été demandé de s’expliquer sur cette réponse : “Parce que Ferrari avait jeté son dévolu sur d’autres pilotes”, expliquait-il. “Et si le talent, c’est Leclerc, c’est lui qui, d’une certaine manière, devrait être emmené au but.”

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Vasseur : “Je suis heureux que tant de gens aient le temps de commenter nos choix”

Quelques semaines plus tard, Frédéric Vasseur ne s’est pas gêné pour répondre à Mattia Binotto, qui était le directeur de la Scuderia Ferrari avant le Français, et qui est désormais directeur des opérations et responsable technique du projet Audi F1.

“Je ne suis pas sûr qu’Hamilton serait allé chez Sauber !”, a tout d’abord déclaré avec humour Fred Vasseur lors d’une interview avec La Stampa. “Je suis heureux que tant de gens aient le temps de commenter nos choix. Je suis concentré sur notre travail, après tout, quand j’étais chez Sauber, je ne parlais pas de Ferrari.”

Lewis Hamilton qui a disputé son dernier Grand Prix avec Mercedes à Abou Dhabi, n’a pas testé la Ferrari lors des tests d’après-saison. Il faudra en effet attendre le début d’année 2025 pour enfin voir le septuple Champion du monde au volant d’une monoplace rouge.

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OFFICIEL : La nouvelle écurie Cadillac F1 sera équipée par un moteur Ferrari en 2026

Ferrari a confirmé ce mardi qu’elle fournira les moteurs et les boîtes de vitesses à la nouvelle écurie Cadillac qui va faire son entrée en F1 en 2026.

“Ferrari N.V. annonce aujourd’hui un accord pluriannuel à partir de 2026 avec Andretti Formula Racing LLC, concernant la fourniture de l’unité de puissance et de la boîte de vitesses à l’équipe de course dirigée par TWG Global et General Motors, sous réserve qu’Andretti Formula Racing LLC reçoive la confirmation écrite de la FIA – F1 que son inscription au championnat de Formule 1 de la FIA 2026 a été acceptée et approuvée”, a indiqué Ferrari dans un communiqué.

Alors qu’un “accord pluriannuel” est mentionné, celui-ci devrait durer seulement deux saisons, à savoir 2026 et 2027, avant que l’écurie Cadillac ne produise ses propres moteurs en 2028. 

Cette fourniture moteur permet par ailleurs à Ferrari de conserver deux équipes clientes, puisque Sauber, qui deviendra Audi en 2026 sera motorisé par les unités de puissance de la marque allemande. Ainsi, Haas et l’écurie Cadillac auront des moteurs Ferrari sur la grille en 2026, en plus de la Scuderia, évidemment.

General Motors et Cadillac enchaînent les étapes dans leur processus avant leur entrée en F1. Il y a quelques jours, Graeme Lowdon avait été nommé comme directeur de la future écurie. Lowdon, 59 ans, a déjà joué un rôle clé en tant que conseiller pour le projet ces deux dernières années, contribuant à poser les bases de l’entrée de GM-Cadillac en F1.

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Ferrari ne ferme pas la porte à un retour de Carlos Sainz à l’avenir 

Frédéric Vasseur, directeur de la Scuderia Ferrari, n’écarte pas un retour de Carlos Sainz au sein de son écurie dans le futur malgré sa non-reconduction de contrat après cette saison.

Carlos Sainz a vécu une année particulière puisqu’il a appris qu’il ne serait pas conservé par Ferrari pour 2025 avant même le premier Grand Prix de la saison 2024.

En effet, la Scuderia a décidé d’aligner Lewis Hamilton, septuple champion du monde de F1, aux côtés de Charles Leclerc à partir de la saison prochaine.

Privé de baquet chez Ferrari en 2025, Carlos Sainz espérait bien rebondir dans une autre top team, toutefois, ce ne fut pas le cas. L’Espagnol a été contraint de choisir entre des équipes ne jouant pas le haut du tableau. 

Après de longues semaines, Sainz a finalement décidé de rejoindre l’écurie Williams en 2025. Officiellement, l’Espagnol a signé pour deux saisons au sein de l’écurie britannique, avec des options pour prolonger davantage. 

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Vasseur : “Pour l’avenir, la porte est assurément ouverte pour [Sainz]”

Alors que Frédéric Vasseur a préféré recruter Lewis Hamilton plutôt que de garder Carlos Sainz en 2025, à l’avenir il n’exclut pas un retour du pilote espagnol chez les rouges.

“Pour l’avenir, la porte est assurément ouverte pour lui”, a indiqué Vasseur à DAZN. “Nous en avons déjà parlé à plusieurs reprises. Le monde est très petit, il n’y a que dix équipes et seulement six ou sept top pilotes, et on ne sait jamais ce qui peut se passer à l’avenir.”

“Bien sûr, Carlos, de son côté, et moi, de mon côté, devons nous concentrer sur nos projets. Mais je ne sais pas ce qui se passera en 2027, 2028, 2029.”

Carlos Sainz a disputé quatre saisons chez Ferrari entre 2021 et 2024, remportant au passage ses quatre premiers Grands Prix en F1. Avant de se diriger vers Williams, l’Espagnol a terminé cette saison à la cinquième place au championnat du monde des pilotes avec 290 points au compteur.

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Essais d’après-saison à Abou Dhabi : Comment regarder et qui pilote ?

Le mardi 10 décembre, deux jours après la conclusion du Grand Prix d’Abou Dhabi, pilotes et équipes reviendront sur le circuit de Yas Marina pour les essais d’après-saison.

Cet événement clôturera officiellement la saison de F1 2024, tandis que l’attention se tourne déjà vers la préparation de la saison 2025.

Ces essais, qui permettent aux équipes de collecter des données finales sur leurs monoplaces actuelles, constituent également une opportunité pour les jeunes pilotes et les transferts récents de prendre la piste avec leurs nouvelles montures. On pense bien évidemment ici à Carlos Sainz et Esteban Ocon qui vont respectivement découvrir la Williams et la Haas. Ces premières prises de contact s’avèrent cruciales pour établir des bases solides avant la prochaine saison.

L’organisation des tests de fin de saison après le dernier Grand Prix est devenue une tradition en F1 depuis 2009, se tenant chaque année à Abou Dhabi depuis 2010. Ce rendez-vous permet aux équipes de rouler une dernière fois avec leurs monoplaces de la saison achevée.

Chaque équipe doit respecter certaines règles lors de ces essais. L’une des voitures doit être confiée à un jeune pilote, ayant un maximum de deux départs en Grand Prix, tandis que l’autre est réservée à un titulaire d’une superlicence pour tester les pneus Pirelli.

Les essais de fin de saison à Abu Dhabi seront marqués par l’absence de Lewis Hamilton, futur pilote Ferrari, toujours sous contrat avec Mercedes jusqu’à la fin de l’année, le septuple Champion du monde doit encore remplir quelques engagements promotionnels Mercedes avant de tourner la page sur cette collaboration record. Les deux autres Champions du monde de la grille, Max Verstappen et Fernando Alonso ne participeront pas non plus à ces essais.

Les pilotes en piste lors des essais d’après saison

Écurie Pilote test Pirelli Jeune pilote
McLaren Lando Norris / Oscar Piastri Pato O’Ward
Ferrari Charles Leclerc Antonio Fuoco
Red Bull Yuki Tsunoda Isack Hadjar
Mercedes George Russell Frederik Vesti / Andrea Kimi Antonelli
Aston Martin Felipe Drugovich Jak Crawford
Alpine Pierre Gasly Jack Doohan
Haas Esteban Ocon Ryo Hirakawa
VCARB Liam Lawson yumu Iwasa 
Williams Carlos Sainz Luke Browning
Sauber Nico Hülkenberg Gabriel Bortoleto

Comment et où regarder les essais d’après-saison ? 

Les essais d’après-saison de la F1 à Abou Dhabi ne sont pas retransmis à la télévision. Toutefois, vous pourrez vous tenir au courant de ces tests en restant connectés sur F1Only ! 

Décu de l’issue du Championnat, Charles Leclerc se tourne déjà vers 2025

Charles Leclerc a affirmé que Ferrari avait “tout donné” à Abou Dhabi pour remporter le titre des constructeurs.

Malgré un double podium pour Ferrari, la firme italienne a dû reconnaitre sa défaite face à McLaren. L’impressionnante remontée de la 19e à la 3e place de Charles Leclerc et la seconde place de Carlos Sainz n’aura pas suffi à l’écurie italienne pour combler son retard sur McLaren.

De son côté, McLaren a scellé son succès avec la victoire de Lando Norris et la dixième place d’Oscar Piastri. L’écurie de Woking remporte donc ainsi un premier titre constructeur depuis 1998.

Leclerc a rappelé que sa stratégie de course très agressive avait permis un excellent résultat à l’arrivée, mais qu’elle n’avait pas suffi à combler l’écart.

“Je savais que je devais être agressif, donc je savais qu’au premier tour, je devais prendre tous les risques pour gagner le plus de places possibles afin d’être en bonne position pour le reste de la course.”

“Malheureusement, nous sommes partis trop loin pour faire mieux que ce que nous avons fait aujourd’hui, mais je pense que nous avons fait le maximum”, a ajouté Charles Leclerc. 

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“Cela fait mal, quand la saison se termine avec si peu d’écart, c’était un coup dur vendredi quand nous savions que nous avions une pénalité, mais nous avons quand même tout donné, et nous n’avons pas atteint notre objectif, mais à la fin, nous avons tout essayé. »

Charles Leclerc se rassure en se rappelant quel était le retard de Ferrari sur ses rivaux en début de saison. Le pilote monégasque a tenu à féliciter toute l’équipe qui a travaillé dur cette saison.

“La première partie de l’année, nous étions loin d’être dans la lutte pour le titre de champion du monde, mais la seconde partie a été marquée par un travail incroyable de la part de l’équipe.”

“Nous avons donc terminé en force, et nous espérons commencer aussi fort que nous avons terminé l’année”, a conclu le pilote monégasque.

La saison prochaine, Charles Leclerc fera équipe avec Lewis Hamilton, septuple Champion du monde de F1. Les espoirs de titres seront encore forts l’année prochaine, même si la concurrence risque de faire rage entre Ferrari, McLaren, Red Bull et Mercedes.

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Williams Racing annonce un nouveau partenariat avec Santander dès 2025

Williams Racing a officialisé un partenariat pluriannuel avec Santander, géant mondial de la banque, à partir de la saison 2025 de Formule 1.

Santander, qui compte 171 millions de clients dans le monde, utilisera cette alliance pour accroître sa visibilité et offrir des expériences exclusives, notamment l’accès au paddock et des événements avec les pilotes. La marque espagnole ciblera particulièrement le marché américain, où trois Grands Prix sont prévus, en mettant en avant sa filiale Openbank.

Le logo de Santander ou d’Openbank sera présent sur la FW47, les casques des pilotes, et les tenues de l’équipe. Ce sponsor apparaissait jusqu’ici sur les Ferrari de Charles Leclerc et Carlos Sainz.

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Williams alignera la saison prochaine un duo de pilote expérimenté en F1 : Alex Albon et Carlos Sainz. Pour célébrer ce nouveau partenariat, la marque Santander figurera déjà sur la FW46 lors des essais d’Abu Dhabi cette semaine, marquant les débuts de Carlos Sainz avec Williams.

Sous la direction de James Vowles, Williams intensifie ses efforts pour se positionner parmi les écuries de pointe. En plus de Santander, l’équipe a élargi ses partenariats avec Duracell, Gulf Oil International, Kraken, et a signé un accord novateur avec Zoox, une société de robotaxi, pour promouvoir les véhicules autonomes.

Juan Manuel Cendoya, vice-président de Santander Espagne, a salué ce partenariat en déclarant :

S’associer à une équipe légendaire comme Williams Racing complète parfaitement notre rôle de partenaire officiel de la F1, tout en soutenant Carlos Sainz dans cette nouvelle aventure.

Lewis Hamilton voulait ”finir en beauté” son aventure avec Mercedes

Lewis Hamilton a révélé que l’emblématique phrase “Hammer time”, prononcée une dernière fois par son ingénieur Peter Bonnington lors du Grand Prix d’Abou Dhabi, a été un moment marquant pour lui.

Le septuple champion du monde a fait ses adieux à Mercedes en terminant à la quatrième du Grand Prix d’Abou Dhabi. Une performance XXL quand on sait que le pilote britannique s’élançait depuis la 16e marque sur la grille de départ. Lewis Hamilton a poussé jusqu’au bout, dépassant avec panache son coéquipier George Russell dans le dernier tour.

Encouragé par son fidèle ingénieur de course surnommé “Bono”, Lewis Hamilton a répondu avec la manière à son célèbre “Lewis it’s Hammer time”.

S’adressant à Sky Sports après la course, Lewis Hamilton est revenu sur ce moment : “Quand il a dit que c’était ‘Hammer time’, j’ai remarqué sur le moment que c’était la dernière fois que j’entendais ça. C’est à ce moment-là que j’ai eu le déclic.”

“La course a été très, très dure. Naturellement, j’étais bien placé. Je n’ai pas pris un départ aussi bon que celui de mon nouveau coéquipier [Leclerc]. Le premier relais a été très difficile. Je ne perdais pas espoir.”

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“Je me disais ‘oh, ça ne va pas aussi bien que je le pensais’, mais je n’ai pas abandonné, j’ai continué à pousser. Je me suis dit : ‘Allez, on peut y arriver’. J’ai changé de pneus et la voiture s’est animée.”

“J’avais un écart énorme à combler, alors je me suis concentré sur le fait de tirer le maximum de la voiture et de ne pas abandonner.”

“Je voulais finir en beauté, donner à l’équipe tout ce qu’elle m’a donné pendant toutes ces années”, a conclu le futur pilote Ferrari.

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Vidéo – Le résumé du Grand Prix d’Abou Dhabi 2024

Le Grand Prix d’Abou Dhabi 2024 a été remporté par Lando Norris. À l’arrivée, le Britannique a devancé les Ferrari de Carlos Sainz et de Charles Leclerc, permettant à McLaren de remporter le titre de Champion du monde des constructeurs. 

La course a été marquée par l’accident entre Max Verstappen et Oscar Piastri, dès le premier virage. On a également vu l’abandon de Sergio Pérez, Franco Colapinto et Valtteri Bottas. Il faut également la très belle remontée de Charles Leclerc qui a terminé en troisième position, alors qu’il s’élançait depuis la 19e place sur la grille de départ. 

Cette course fut également la dernière de Lewis Hamilton sous les couleurs de Mercedes. Le septuple Champion du monde rejoindra la Scuderia Ferrari en 2025 et sera le nouveau coéquipier de Charles Leclerc.