WEC : Un triplé Ferrari pour les 1 812 km du Qatar

Ferrari a terminé aux trois premières places des 1 812 km du Qatar. La Scuderia a réalisé un travail parfait malgré de nombreuses erreurs qui ont causé plusieurs pénalités.

Les 1 812 km n’ont pas été atteints. Les incidents de course n’ont pas permis de boucler toute la distance de l’épreuve. Le chrono a eu raison de cette première manche qui a finalement duré dix heures.

Un début de course assez mouvementé. Comme d’habitude, ces scènes font le charme du championnat du monde d’endurance. Mais font quelques fois des dégâts dans le peloton. La Porsche #6 a pu le constater. Après une touchette, la voiture championne du monde en titre a perdu pas mal de terrain. Mais ça aurait pu être pire.

Cadillac, qui avait réalisé de grosses qualifications a tout perdu à deux reprises. Une fois au départ, pour la #38. Puis dans la troisième heure de courses où les deux Américaines, alors en tête, se sont percutées. La #38 a abandonné tandis que la voiture sœur a perdu gros et a passé le reste de l’épreuve dans le fond du classement. Dans l’anonymat le plus complet.

Ferrari trop agressif

L’Alpine #35 est longtemps restée à la lutte pour le podium avec les deux BMW. Mais celle pilotée par Kevin Magnussen a eu du mal après un Full Course Yellow. Au ralenti, elle a perdu beaucoup de temps. Les deux Ferrari officielles affichaient un très gros rythme dans les premiers tours, distançant boucle après boucle la concurrence. Mais la #51 a enchaîné les erreurs et donc les pénalités. Cela lui a coûté un temps précieux.

En GT3, la Lexus du team Akkodis. ASP #78 avait mangé du lion sur la première moitié de cette manche d’ouverture. Souvent en lutte pour la première position, elle matait les McLaren à la peine en fin de relais. La voiture soeur, la #87, n’a pas eu la même chance. Abîmée après un accrochage, elle a dû jeter l’éponge.

La Corvette #81 a abandonné très tôt pour un problème de boîte de vitesses. La Ford #77 du Proton Competition a aussi jeté l’éponge peu après la mi-course suite à un début d’incendie.

Les nombreuses batailles dans la catégorie Hypercar ont éclipsé les actions en GT3. Sortie de presque nulle part, la Corvette #33 du TF Sport a effectué une très belle course. Les voitures de General Motor étaient tout de même à la lutte avec les McLaren, très rapides en qualification. 

En Hypercar, Aston Martin a vécu une épreuve mouvementée. La portière de la #009 décidé de prendre son indépendance. Elle s’est ouverte en plein milieu de la piste avant de quitter le bolide vert. Cette même voiture a connu plusieurs problèmes et avait un rythme bien inférieur à la concurrence. La #007 a dû abandonner. Difficile apprentissage.

Ferrari – Ferrari – Ferrari

Ferrari a sorti une stratégie parfaite. Les trois voitures – les deux officielles et la privée – se sont retrouvées aux trois premières places. À une heure de la fin, la #51 a tenté un coup de poker. En faisant rentrer Alessandro Pier Guidi dans la voiture au cheval cabré, la manœuvre était audacieuse. Mais message surprenant à un quart d’heure de la fin, les ingénieurs de la #51 ont demandé l’Italien, indirectement, de maintenir les positions. Alessandro Pier Guidi a mis la pression à Robert Kubica sur la Ferrari jaune mais sans dépasser la #83. Étrange décision. Est-ce pour que AF Corse rende un service en retour plus tard ?

Difficile première manche pour les forces françaises. Seule la Peugeot #93 a intégré la zone des points avec la neuvième position. Une seule Porsche est parvenue à se hisser dans le Top 10, la #5. Surprenant pour l’équipe qui a terminé vice-championne l’an dernier.

En GT3, la bataille pour la victoire s’est jouée jusque dans les derniers instants. Cela a offert des images magnifiques. Au final, la Corvette #33 s’est imposée. Le Racing Spirit of Léman a joué un bon coup en marquant des points, avec la neuvième place, pour sa première épreuve.

Article rédigé par Morgan Parmentier

L’article met en lumière les événements marquants des 1 812 km du Qatar, avec Ferrari dominant les débats malgré les nombreux rebondissements. En parallèle de cette course palpitante, les amateurs de jeux d’argent peuvent également ressentir l’excitation en explorant un casino en ligne argent réel. Tout comme les pilotes qui prennent des risques calculés sur la piste, les joueurs peuvent tenter leur chance dans un environnement sécurisé et réglementé. Le suspense et l’adrénaline sont au rendez-vous, que ce soit sur l’asphalte ou dans le monde virtuel des casinos en ligne.

Pourquoi les 1812 km du Qatar auront lieu un vendredi ?

La première course du championnat du monde d’endurance (WEC) aura lieu le vendredi 28 février. La programmation a tenu à respecter un événement majeur.

Un course un vendredi ? Oui, ce sera bien le cas. La manche d’ouverture du WEC, les 1812 km du Qatar, a été programmée en semaine. Les essais auront lieu le mercredi 26 février. La jeudi 27 février sera dédié à la dernière séance d’essais et aux qualifications.

Cela veut donc dire que la course aura lieu le vendredi 28 février. La raison est toute simple. « En reconnaissance de considérations culturelles et religieuses, et à la lumière du timing de la course par rapport au début du Ramadan, décision a été prise d’ajuster l’heure du départ des 1812 km du Qatar. La manche d’ouverture du WEC aura désormais lieu à 14 heures, heure locale et se terminera à minuit », a informé Le Mans Endurance Managemen (LMEM), créateur et organisateur de courses .

Avec le décalage horaire, le départ sera donc donné à midi en France.

Article rédigé par Morgan Parmentier

Comment suivre les 1812 km du Qatar ?

La première manche du championnat du monde d’endurance (WEC), est organisée cette semaine. Pour rappel, cette course au Qatar ne suit pas la tranche horaire habituelle.

On y est. Le prologue vient de se terminer, la saison va pouvoir commencer. Quelques jours seulement après les premiers roulages officiels, les différentes équipes du championnat du monde d’endurance vont pouvoir s’affronter pour de bon.

Cette manche d’ouverture se déroulera au Qatar, sur la même piste qui a organisé le prologue dominé par BMW. La marque allemande confirmera-t-elle sa bonne forme ? Cadillac sera-t-elle en embuscade ? Ou est-ce que Ferrari, Porsche et Toyota vont montrer de quoi elles sont capables ?

Un premier élément de réponse sera donné ce mercredi 26 février avec la première séance d’essais libres à 11 h 30. Lors de cette journée du mercredi, la deuxième séance libre sera aussi prévue à 16 h 50. Le lendemain, les GT3 et les Hypercar auront une dernière session pour peaufiner les réglages et la stratégie à 12 heures.

L’après-midi du jeudi 27 février sera réservé aux qualifications. Place d’abord aux GT3 à 17 heures. Les meilleures voitures repartiront vingt minutes plus tard pour l’hyperbole. En Hypercar, même principe à 17 h 40 puis à 18 heures.

La course sera lancée vendredi 28 février à 14 heures. Pour rappel, ces horaires particuliers ont été choisis pour respecter le Ramadan qui commence ce samedi 1er mars.

La meilleure option pour vivre l’intégralité du week-end reste la WEC TV. Toutes les séances sont diffusées, sauf les deux premières qui ne sont qu’en live timing. Eurosport diffusera la course dans son intégralité.

Article rédigé par Morgan Parmentier 

1812 km du Qatar : Ferrari domine la séance de qualification

La Scuderia a assommé la concurrence pour les première qualifications de l’année. La #51 a réalisé la pole position. BMW a créé une petite surprise. Cadillac a assumé son statut d’outsider. En GT3, McLaren mobilise la première ligne.

Toyota out dès la première phase des qualifications. En voilà une surprise. La voiture nippone floquée du numéro 8 a rencontré un problème mécanique et n’a pu signer que le dernier temps. L’autre Hypercar a pu accéder à l’hyperpole mais n’a obtenu que le septième chrono.

Tout en haut de la feuille des temps, on retrouve la Ferraro #51, l’autre voiture de la Scuderia a réalisé la troisième marque. Entre les deux, on retrouve la BMW #15. Une belle qualification pour le bolide allemand, dont Vincent Vosse, le patron du WRT, l’exploitant, attendait plus de performance.

Du côté des forces françaises, Alpine et Peugeot sont parvenues à placer une Hypercar dans les dix premières places. Si le rythme en course est correct, les points pourraient être envisageables.

Aston Martin a profité du problème mécanique de la Toyota #8 pour ne pas figurer aux deux dernières places.

Du côté des GT3, McLaren a dominé la séance en monopolisant la première ligne. La surprise vient des Iron Dames. La Porsche #85 n’a pas passé le cap de la première phase. La voiture de Stuttgart est pourtant l’une des plus performantes du plateau. Le trio féminin partira 15e. Les Mercedes du Iron Lynx étaient encore plus en difficulté avec les deux derniers temps de la qualification.

Le team Akkodis ASP a réalisé une belle surprise avec la troisième référence. Une sacré performance pour la Lexus qui est pourtant bien inférieure aux autres voitures du plateau. La #78 s’élancera troisième et la #87, sixième. Le Proton Compétition a placé l’une de ses Ford dans le Top 10.

Le départ des 1812 km du Qatar sera donné à 14 heures, heure française.

Article rédigé par Morgan Parmentier 

1812 km du Qatar : Cadillac et Ferrari dominent la première journée d’essais

Ce mercredi 26 février, les deux premières séances d’essais libres des 1812 km du Qatar étaient organisées. Cadillac et Ferrari ont affiché un gros rythme.

 
Cadillac a confirmé son rythme du prologue. La marque américaine avait impressionné lors des premiers roulages officiels de la saison. Elle a récidivé lors de la première journée d’essais au Qatar. La #38 a signé le deuxième temps lors de la première session tandis que la voiture soeur était tout en haut de la feuille des temps lors de la deuxième.
 
Les Ferrari officielles ont aussi été très rapides. Les deux voitures au cheval cabré figuraient dans le trio de tête lors de la première séance. La #50 a réalisé la deuxième marque dans la séance de l’après-midi.
 
Les Alpine ont confirmé leurs intentions. Elles ont signé les septième et neuvième chronos de la deuxième séance d’essais libres. Elles étaient assez proches des Ferrari et des Toyota, qui marchaient avec les performances de Cadillac.
 
Comme prévu, ces roulages ont été compliqués pour Aston Martin. Les Valkyrie étaient assez loin dans la hiérarchie, même si leur rythme a légèrement progressé par rapport au prologue.
 
Comme la saison précédente, le team Akkodis a mené la première séance d’essais libres. Mais plus surprenant, les Lexus étaient également en haut de la feuille des temps de la deuxième session.
 
Les Iron Dames, à l’instar du prologue, figuraient dans la deuxième partie de tableau. Elles étaient tout de même devant les Mercedes des Iron Lynx. À noter que les deux voitures à l’étoile n’ont pas roulé ce matin.
 
La Racing Spirit of Léman semble s’être bien adapté à cette piste de Losail avec la sixième marque de la deuxième séance d’essais libres. Il faudra confirmer cette prestation ce jeudi 27 février.
 
La troisième séance d’essais libre est programmée à 12 heures. Les qualifications débuteront à partir de 17 heures.

BMW conclut en beauté le prologue du WEC

Quatre séances d’essais et quatre voitures différentes en haut de la feuille des temps. Pour l’ultime roulage du prologue du championnat du monde d’endurance (WEC), la BMW #20 a réalisé la meilleure marque.

BMW se montre, Cadillac et Ferrari confirment. Voilà ce que l’on peut retenir de cette quatrième et dernière séance du prologue. Une quatrième voiture différente a réalisé le meilleur temps de ces roulages organisés en amont de la première manche de la saison.

Discrètes jusque-là, les BMW ont monté leur niveau de performance, surtout la #20, qui a été la plus rapide (1:38’971’’). Elle a devancé la Cadillac #38 qui a été très en forme tout au long de ce week-end. La Ferrari privée de chez AF Corse, la #83, est restée en embuscade avec la troisième référence (1:39’141’’).

L’Alpine #36 s’est réveillée un peu. Après des premiers tours de roues assez difficiles, la voiture française a lâché les chevaux avec le septième temps de cette ultime séance (1:39’505’’).

Les Porsche ont été globalement en retrait. Hormis la #6 qui a mené la troisième séance, elles ont, là, chuté dans la hiérarchie. La voiture championne du monde en titre a terminé 17e, juste derrière la voiture soeur.

Les Aston Martin Valkyrie ont légèrement accéléré, même si elles sont restées assez loin des meilleurs temps de BMW. Sauf si elles ont caché leur jeu, la saison risque d’être difficile. L’engagement en IMSA pourrait les aider à trouver des solutions. À moins qu’elles aient caché leur jeu.

En GT3, le team Vista AF Corse ( #21, 1:54’790’’ ; #54, 1:54’810’’) a repris les commandes après la journée de vendredi dominée par les Lexus du team Akkodis ASP. Ces dernières n’étaient pas très loin des Ferrari de l’équipe italienne.

L’Aston Martin du Heart of Racing a réalisé une très belle troisième référence dans cette session (1:54’957’’). Les Iron Dames semblaient encore en difficulté avec seulement le treizième temps de la séance. À noter que trois voitures n’ont pas bouclé de tour : l’Aston Martin #10 du Racing Spirit of Léman, la Ford Mustang #77 du Proton Compétition et la Lexus #87 du team Akkodis ASP.

Place maintenant à la première manche du championnat du monde d’endurance. Tout le paddock restera au Qatar. Rendez-vous mercredi 26 février à 11h30 pour la première séance d’essais libres.

Article rédigé par Morgan Parmentier

Le monde du sport automobile est en pleine effervescence avec ces performances impressionnantes lors du prologue du championnat du monde d’endurance. En parallèle, pour ceux qui préfèrent le frisson du jeu, le meilleur casino en ligne france offre une expérience tout aussi palpitante. Alors que les équipes ajustent leurs stratégies pour la première manche au Qatar, les amateurs de casino peuvent également affiner leurs tactiques pour maximiser leurs gains. Les passionnés de vitesse et de jeux d’argent sauront apprécier ces moments d’adrénaline, que ce soit sur la piste ou en ligne.

WEC : La Ferrari d’AF Corse la plus rapide pour la première séance du prologue

Le championnat du monde d’endurance (WEC) a enfin repris ses droits. La première journée du prologue était organisée ce vendredi 21 février en début d’après-midi. Le trio Kubica-Ye-Hanson a été le plus rapide de la première séance.

Les Hypercar et les GT3 ont pris leurs quartiers au Qatar. Le circuit de Losail accueille le prologue du WEC et dans quelques jours la première manche de la saison du championnat.

Cette première journée de roulage officielle a été marquée par l’arrivée des Aston Martin Valkyrie du Heart of Racing. Les deux bolides anglais ont réalisé les 14e et 18e chronos en Hypercar. Les références sont pour l’heure assez décevantes, à plus de deux secondes de la Ferrari #83 du AF Corse, en tête du classement.

La Cadillac #12 du team Jota a aussi impressionné. Avec un temps en 1:41’968, elle n’a été reléguée qu’à trois dixièmes de la voiture italienne. La Porsche #6, championne du monde en titre, était en retrait avec une pauvre 17e position.

Côté français, la Peugeot #93 était la mieux placée avec un huitième temps (1:43’297’’). La voiture soeur a terminé à la 12e place (1:43’463’’). Une Alpine, la #36, s’est intercalée entre les deux Lionnes (11e ; 1:43’462’’), et l’autre Hypercar au A fléché était plus loin, à la 16e place (1:43’784’’).

En GT3, la exus #78 du team Akkodis a mené sa catégorie avec une référence en 1:55’862’’. Pour sa première séance officielle en WEC, le Racing Spirit of Léman a réalisé le huitième chrono (1:56’581’’). Il s’agit là de la deuxième Aston Martin la plus rapide de la journée.

Les Iron Dames ont réalisé le moins bon temps de ce premier roulage du prologue (1:58’476’’).

Article rédigé par Morgan Parmentier 

Mick Schumacher rêve toujours de F1 et a “un compte à régler” avec le championnat

Mick Schumacher n’a toujours pas abandonné son rêve de F1, bien que la saison 2025 marque la troisième année depuis sa dernière participation au championnat.

Le jeune homme de 25 ans insiste sur le fait qu’il a un « compte à régler » avec la discipline et qu’il veut avoir l’occasion de faire ses preuves à nouveau.

Après avoir remporté le championnat de F2 en 2020, l’Allemand est passé en F1 avec l’écurie Haas en 2021. Il y est resté deux saisons avant d’être remplacé par son compatriote Nico Hülkenberg.

Alors que sa première saison s’est déroulée dans une écurie peu compétitive, Mick Schumacher a facilement surclassé Nikita Mazepin, son coéquipier, qui était nettement moins performant que lui.

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Cependant, lors de sa deuxième et dernière campagne, Kevin Magnussen, de retour, l’a largement dominé, et ses accidents coûteux se sont avérés trop difficiles à digérer pour Haas. Aujourd’hui, plus de deux ans après avoir perdu son siège dans l’équipe américaine, il cherche toujours à retrouver un volant à temps plein en F1.

« J’ai décidé à l’âge de onze ans que je voulais piloter en F1 », a déclaré Schumacher au journal allemand Bild am Sonntag. « C’est toujours mon objectif, cette série était et reste le rêve de ma vie. »

« J’ai encore un compte à régler avec la Formule 1 et je veux faire mes preuves à nouveau. »

« Tous ceux qui pilotent en Formule 1 ont du talent, cela ne fait aucun doute », a déclaré Schumacher. « Mais quand je regarde la grille, je n’ai aucun doute sur le fait que je pourrais suivre le rythme. Je ne suis pas moins bon », a conclu celui qui roule aujourd’hui en WEC avec Alpine.

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Au tour d’Akkodis ASP de lever le voile sur ses Lexus GT3

L’équipe française va repartir pour une deuxième année en championnat du monde d’endurance (WEC). Après avoir annoncé ses deux trios, la livrée des GT3 a été dévoilée.

Seule structure engageant des Lexus en GT3, le team Akkodis ASP a connu une année 2024 assez difficile. Les performances étaient assez mitigées. Cela s’explique notamment par l’ancienneté de la voiture par rapport aux autres modèles.

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En attenant la prochaine version, l’équipe française va rester avec la RC F GT3 en 2025. La livrée de cette dernière a été présentée ce jeudi 6 février. Globalement, les couleurs ne changent pas. Seuls quelques petits détails ici et là lui permettront de se distinguer de la décoration 2024.

La voiture avec le numéro 78 sera pilotée par Ben Barnicoat, Arnold Robin et Finn Gehrsitz. Tandis que la numéro 87 sera au mains de José Maria Lopez qui a rempilé pour une saison. L’Argentin sera accompagné de Petru Razvan Umbrarescu et Clemens Schmid.

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Article rédigé par Morgan Parmentier

La saison 2025 du WEC va bientôt débuter

La prochaine saison du championnat du monde d’endurance (WEC) va débuter le 21 février avec le prologue. Huit courses, allant de six à vingt-quatre heures, départageront toutes les équipes.

Allons-nous revivre une saison pleine de spectacle et de suspense comme en 2024 ? En tout cas, sur le papier, cela s’annonce alléchant. Malgré le départ de Lamborghini en fin de saison et celui d’Isota Fraschini en cours d’exercice, Aston Martin va se présenter avec deux Valkyrie pour son grand retour dans la catégorie reine de l’endurance pour garnir les rangs en Hypercar.

Peugeot, Alpine, Ferrari, Toyota, Cadillac, Porsche, BMW seront encre là pour pimenter les huit épreuves de la saison. Corvette, Lexus, Ford, Mercedes et McLaren s’ajoutent à la liste des constructeurs en GT3. Mais avant de se battre lors des week-ends de courses, tous les protagonistes participeront au prologue officiel les 21 et 22 février au Qatar.

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Le circuit de Losail accueillera la première manche du championnat dans la foulée, le 28 février. Les pilotes observeront une longue pause avant de se rendre en Italie pour les 6 Heures d’Imola le 20 avril. Le Toboggan des Ardennes sera le théâtre de la troisième épreuve avec les 6 Heures de Spa le 10 mai.

La folle semaine des 24 Heures du Mans viendra début juin avec le moment fort de la saison les 14 et 15 juin. Pour l’occasion, les LMP2 viendront se confronter aux Hypercar et aux GT3 qui sont engagées à l’année.

Direction le Brésil le 13 juillet avec les 6 Heures de Sao Paulo. Cette manche avait permis à Toyota de se relancer face à Porsche la saison précédente. On restera sur le continent américain. Mais cap au nord. Le circuit des Amériques accueillera la sixième course de l’année avec le Lone Star Le Mans le 7 septembre.

Le circuit de Fuji figure toujours au caledrier du championnat du monde d’endurance. L’épreuve nippone sera organisée le 28 septembre, mais attention au décollage horaire. Enfin, l’exercice se terminera le 8 novembre avec les 8 Heures de Bahreïn.

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Article rédigé par Morgan Parmentier

Qui sont les six pilotes Alpine pour le WEC en 2025 ?

Alpine va repartir pour une deuxième saison consécutive en Hypercar. L’équipe française a dévoilé ses deux équipages et la livrée de son A424 pour la saison 2025 du Championnat du monde d’endurance (WEC).

Elle a gardé sa très belle livrée bleue. Seuls quelques détails la différencient du modèle 2024. Ce mercredi 5 février, Alpine a dévoilé sa version 2025 de son A424 pour le WEC.

Après un exercice réussi avec notamment un podium lors des 6 Heures de Fuji et une quatrième place au Championnat des constructeurs, l’écurie au “A fléché” aura à cœur d’améliorer un peu plus ses performances. La fiabilité sera un point essentiel. Cela avait fait défaut à Alpine aux 24 Heures du Mans avec deux abandons sur casse moteur à 45 minutes d’intervalle.

2024 a logiquement été une année d’apprentissage, à tous les niveaux. L’équipe a appris à travailler ensemble et notre compréhension de la voiture s’est améliorée progressivement. En fin de saison, nous étions en mesure de nous battre pour le podium, ce qui a été une vraie satisfaction”, a retracé Bruno Famin, le directeur d’Alpine Motorsport.

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La structure gérée Philippe Sinault pourra s’appuyer sur des hommes forts qui ont su briller l’an passé. Dans l’Hyperbare floquée du numéro 35, on retrouvera Paul-Loup Chatin, Charles Milesi et Ferdinand Habsbourg.

Comme prévu, Jules Gounon va bénéficier d’un programme à plein temps avec les Bleus. Il sera épaulé par Mick Schumacher qui a connu une très belle progression en endurance. Les deux hommes pourront aussi compter sur Frédéric Makowiecki, qui vient d’arriver dans l’équipe. Matthieu Vaxivière occupera le rôle de réserviste.

Avec Bruno et Nicolas, il nous semblait crucial de pérenniser les éléments solides avec lesquels nous avons posé nos fondations. Charles, Ferdinand, Mick et Paul-Loup ont grandement contribué à la mise en place du projet en faisant preuve d’une véritable implication. C’est un beau groupe, qui a su mettre ses intérêts personnels en retrait pour faire avancer notre apprentissage et nous voulons nous appuyer sur ces acquis. Nous avons tous envie de concrétiser tout le potentiel vu en 2024 par des résultats plus réguliers en 2025”, a annoncé Philippe Sinault, le team principal.

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Article rédigé par Morgan Parmentier

Aston Martin dévoile ses équipages pour la saison 2025 du WEC

Comme le veut le règlement du Championnat du monde d’endurance (WEC), Aston Martin va engager deux Valkyrie. Les hommes qui vont les piloter ont été annoncés par la marque britannique.

La grille se complète. Alors que la première manche du Championnat du monde d’endurance arrive à grands pas, les équipes peaufinent leurs équipages.

Ces derniers jours, Aston Martin a dévoilé la livrée de son Hypercar pour la prochaine saison de WEC, qui compte notamment les 24 heures du Mans.

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La voiture floquée du numéro 007 sera entièrement verte avec quelques nuances ici et là. À son volant, on pourra retrouver Harry Tincknell et Tom Gamble. Les deux hommes seront accompagnés de Ross Dunn dans la Sarthe, en plus de son implication en IMSA.

L’autre Valkyrie, la 009, arborera la même livrée. Elle sera confiée à Marco Sorensen et à Alex Riberas. Roman de Angelis viendra les aider lors du mythique double tour d’horloge.

C’est le moment idéal pour rejoindre le sommet du sport automobile. L’ACO, l’IMSA et la FIA ont créé ensemble des championnats de plus en plus populaires grâce à leur collaboration. Nous soutenons pleinement ce processus. Ils ont fait un excellent travail pour établir le format et promouvoir la série afin de faire de cette ère une ère d’or du sport automobile. C’est une opportunité de concourir sur la scène mondiale dans un environnement équitable et compétitif”, a déclaré Adam Carter, responsable de l’endurance automobile chez Aston Martin.

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Article rédigé par Morgan Parmentier

Magnussen : La reconversion en endurance avait « toujours été d’actualité »

Kevin Magnussen a déclaré qu’il avait signé avec BMW « pour essayer de gagner quelques grandes courses », ajoutant qu’il avait « coché la case » en rejoignant un grand constructeur après la fin de son parcours en Formule 1 avec Haas.

Le Danois, fils du quadruple vainqueur des 24 Heures du Mans Jan Magnussen, fera ses débuts avec la marque bavaroise dans le cadre d’une opération GTP à deux voitures lors des 24 Heures de Daytona, course emblématique s’il en est.

Il s’agira d’une étape préliminaire à son programme principal, qui consistera à rejoindre l’équipe WRT dans le cadre du Championnat du monde d’endurance de la FIA (WEC).

À Daytona, Magnussen retournera en IMSA WeatherTech SportsCar Championship, où il avait participé en 2021, au sein du programme Cadillac DPi de Chip Ganassi Racing.

Il devait ensuite faire partie de l’engagement Hypercar de Peugeot avant qu’une opportunité de retourner au sein de l’équipe Haas F1 Team ne se présente : il y a finalement pris part à trois saisons supplémentaires en F1.

« Je me suis en quelque sorte préparé un peu depuis même quelques années », a concédé Magnussen à Sportscar365 à propos de son transfert chez BMW. « Je savais que je n’avais pas très envie de continuer en Formule 1. Je n’étais pas vraiment à la recherche d’un autre contrat en Formule 1. J’avais donc déjà tourné mon attention vers d’autres choses. Et je savais que les voitures de sport étaient l’endroit où je voulais être, et plus particulièrement en LMDh. »

« Je pense que c’est très excitant de voir à quel point c’est compétitif en ce moment, avec tous ces constructeurs qui nous ont rejoints. Tout le monde dit que c’est l’âge d’or des courses de voitures de sport et je voulais vraiment en faire partie ».

« Nous parlons de mon arrivée chez BMW depuis plusieurs années. Cela a toujours été un peu dans les cartons. J’avais envie de passer définitivement aux voitures de sport. Je voulais travailler pour un grand constructeur, bien sûr. J’ai donc coché cette case. J’ai suivi l’évolution de la situation de près et, oui, BMW n’a pas connu l’année qu’ils espéraient la première année, je pense qu’il est juste de le dire. Mais ils ont fait des progrès considérables. »

Magnussen se dirige ainsi vers une première participation aux 24 Heures du Mans depuis 2021, lorsqu’il partageait une Oreca High Class Racing avec son père et Anders Fjordbach.

« Je suis venu ici pour essayer de gagner de grandes courses, alors il faut les faire », a-t-il poursuivi. « Les principales cette année sont bien sûr Le Mans et Daytona. Je pense donc que c’est un très bon programme pour moi. Je suis très heureux que BMW m’ait donné ma chance et j’espère que nous pourrons poursuivre les progrès réalisés l’année dernière. »

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Kevin Magnussen s’engage en endurance pour la saison 2025

Kevin Magnussen, ancien pilote de Formule 1, a récemment rejoint le programme LMDh de BMW M Motorsport pour participer au championnat du monde d’endurance en 2025. Après avoir été sans baquet en F1 pour la saison 2025, il s’est redirigé vers l’endurance, apportant son expérience précieuse au programme. Pour les amateurs de sensations fortes, l’univers du sport automobile peut être comparé à celui du casino en ligne argent réel, où l’adrénaline et la stratégie jouent un rôle crucial. Magnussen est enthousiaste à l’idée de débuter ce nouveau chapitre de sa carrière avec BMW, prêt à affronter les défis offerts par certaines des courses les plus prestigieuses au monde. Andreas Roos, directeur de BMW M Motorsport, a exprimé sa satisfaction d’accueillir un pilote de la trempe de Magnussen, soulignant son expérience et sa rapidité acquises au cours de ses dix années en F1.

Après son retour inattendu en F1 début 2022 chez Haas, Kevin Magnussen s’est retrouvé sans baquet dans la discipline reine en vue de la saison 2025, l’écurie américaine alignant un duo 100% renouvelé avec Esteban Ocon et Oliver Bearman.

Privé de F1 en 2025, Kevin Magnussen s’est donc tourné vers l’endurance en rejoignant le programme LMDh de BMW M Motorsport. BMW engage sa BMW M Hybrid V8 en championnat du monde d’endurance (WEC) mais également en IMSA.

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“Je suis heureux et fier de représenter une marque de sport automobile aussi emblématique que BMW dans certaines des courses les plus légendaires du monde”, s’est réjoui Kevin Magnussen. Après dix ans en Formule 1, j’entame un nouveau chapitre passionnant et j’ai hâte de relever le défi au volant des voitures de sport les plus innovantes et les plus perfectionnées de l’histoire des courses d’endurance. Un grand merci à BMW M Motorsport pour cette fantastique opportunité. J’ai hâte de commencer la préparation et de lancer la saison 2025 avec le reste de l’équipe.”

“Kevin Magnussen est un ajout exceptionnel à notre programme LMDh”, a indiqué Andreas Roos, directeur de BMW M Motorsport. “Au cours des dix dernières années, il a régulièrement démontré sa rapidité au plus haut niveau en Formule 1. Grâce à sa grande expérience, il est un véritable atout pour notre projet. Le fait qu’il ait déjà effectué une saison complète avec un prototype de voiture de sport en 2021 est un autre avantage pour nous, car cela facilitera certainement son acclimatation à la BMW M Hybrid V8. Je suis très heureux que Kevin Magnussen fasse désormais partie de la famille BMW M Motorsport.”

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Kevin Magnussen, ancien pilote de Formule 1, a récemment rejoint le programme LMDh de BMW M Motorsport pour participer au championnat du monde d’endurance en 2025. Après avoir été sans baquet en F1 pour la saison 2025, il s’est redirigé vers l’endurance, apportant son expérience précieuse au programme. Pour les amateurs de sensations fortes, l’univers du sport automobile peut être comparé à celui du casino en ligne argent réel, où l’adrénaline et la stratégie jouent un rôle crucial. Magnussen est enthousiaste à l’idée de débuter ce nouveau chapitre de sa carrière avec BMW, prêt à affronter les défis offerts par certaines des courses les plus prestigieuses au monde. Andreas Roos, directeur de BMW M Motorsport, a exprimé sa satisfaction d’accueillir un pilote de la trempe de Magnussen, soulignant son expérience et sa rapidité acquises au cours de ses dix années en F1.

Théo Pourchaire rejoint Peugeot en tant que pilote de développement

Le Team Peugeot TotalEnergies a annoncé l’arrivée de Théo Pourchaire, jeune pilote français de 21 ans, en tant que pilote d’essai pour son programme dans le Championnat du monde d’Endurance FIA (WEC). Ayant brillé dans les courses de monoplace, notamment en remportant le titre de Formule 2 en 2023, le natif de Grasse entame un nouveau chapitre de sa carrière en rejoignant l’univers exigeant de l’endurance.

Le jeune pilote a récemment pris le volant de la PEUGEOT 9X8 lors du Rookie Test sur le circuit de Bahreïn. Ses excellentes performances, associées à son analyse technique et à son professionnalisme, ont convaincu l’équipe de lui confier un rôle central dans le développement des PEUGEOT 9X8 sur les prochaines saisons.

Ce recrutement s’inscrit dans la stratégie de Peugeot TotalEnergies, qui mise sur de jeunes talents prometteurs pour faire progresser ses voitures et affronter la concurrence en endurance. En tant que pilote d’essai, Théo participera à des essais privés et contribuera à l’évolution technique des véhicules, tout en restant prêt à intégrer l’équipe de course en cas d’indisponibilité d’un pilote titulaire.

« Je suis très content de rejoindre Peugeot Sport en tant que pilote de développement pour la saison à venir, c’est une magnifique opportunité”, a déclaré Théo Pourcahire. “Je le vois aussi comme un nouveau départ, pour moi l’endurance est un nouveau challenge. J’ai beaucoup aimé les rookies test de Bahreïn, qui se sont très bien passés. La PEUGEOT 9X8 est une voiture très puissante, différente de ce que j’ai eu l’occasion de piloter. Les voitures d’endurance sont des voitures très abouties à la pointe de la technologie, ce qui les rapproche des Formule 1.

Être pilote d’essai est une très belle opportunité, je remercie le Team Peugeot TotalEnergies de m’avoir offert cette opportunité et j’ai hâte de débuter ce nouveau rôle”, a conclu le pilote français.

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Pourchaire, un atout précieux pour Peugeot

De son côté, Olivier Jansonnie, directeur technique de Peugeot sport, se dit “très heureux d’accueillir Théo Pourchaire au sein du Team Peugeot TotalEnergies en tant que pilote de développement.”

Lors du Rookie Test à Bahreïn, il a montré un grand potentiel et une compréhension fine des spécificités de notre voiture. Théo apporte une nouvelle perspective grâce à son expérience en monoplace, ce qui est un atout précieux pour le développement de notre programme d’endurance. Nous avons hâte de travailler avec lui et de l’intégrer pleinement dans notre équipe.”

Un très riche calendrier 2025 pour le circuit du Mans

Fier de son titre de “Monument préféré des Français 2024” décerné par une émission de télévision du service public donnant la part belle aux votes des spectateurs, le circuit du Mans dévoile le calendrier 2025 de ses principaux évènements.

24 Heures du Mans, GP de France MotoGP

Bien entendu, le joyau de la couronne sera l’épreuve des 24 Heures du Mans 2025, qui débutera avec les journées de pesage, les 6 et 7 juin, avant la traditionnelle Journée Test, le 8 juin 2025. La semaine de course débutera le 11 juin, avec l’épreuve des 24 Heures du Mans disputée les samedi 14 et dimanche 15 juin 2025 sous la direction de l’Automobile Club de l’Ouest.

Autre évènement majeur dont nous vous parlions il y a peu avec l’ouverture de la billetterie, le Grand Prix de France MotoGP 2025, qui se tiendra sur le tracé Bugatti du 9 au 11 mai, quelques semaines avant les 24 Heures du Mans.

Avant ces grands rendez-vous, les amoureux des sports mécaniques pourront se rendre dans la Sarthe pour profiter de l’épreuve d’ouverture du Championnat de France Superbike, fin mars. Le Championnat de l’Ouest Karting se déroulera le même week-end sur le Circuit International de Karting (CIK).

Après une épreuve du championnat de France Mini OGP, qui a pour mission de faire monter de jeunes pilotes en compétition moto, le week-end du 17 au 20 avril sera celui de la 48e édition des 24 Heures Motos.

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Les anciennes pour ensoleiller encore plus l’été

Rendez-vous iconique pour tout passionné, le grand rassemblement Le Mans Classic est à marquer d’une croix dans le calendrier pour profiter d’un exceptionnel week-end de passion et de sonorités rétro. Cette année, Le Mans Classic, organisé par le promoteur Peter Auto, se tiendra le week-end du 3 au 6 juillet. L’occasion incroyable de voir des véhicules historiques et de grandes légendes de la piste sur le circuit, tout en profitant de l’atmosphère incroyable des alentours avec les réunions d’autos rarissimes dans les parkings !

Fin août, du 22 au 24, les 24 Heures du Mans Karting offrent également un spectacle passionnant depuis le bord de piste, dans une ambiance de grande camaraderie. Le tracé Bugatti accueillera les 24 Heures Camions les 20 et 21 septembre, et plusieurs autres évènements club et kart viendront encore ravir les plus passionnés.

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Kubica s’attend à un défi « difficile et exigeant » en WEC avec Ferrari

L’ancien pilote de Formule 1, Robert Kubica, s’attend à relever un défi « difficile et exigeant » cette année en championnat du monde d’Endurance dans lequel le Polonais est engagé avec Ferrari.

En 2024, Robert Kubica fera équipe avec Yifei Ye et Robert Shwartzman dans une troisième Hypercar 499P engagée en championnat du monde d’Endurance par Ferrari – la numéro 83 d’AF Corse – aux côtés des deux voitures officielles numéros 50 et 51. Mais pour l’ancien vainqueur en Formule 1 – et accessoirement champion en catégorie LMP2 en 2023 – le défi s’annonce difficile.

« Après avoir remporté la catégorie LMP2 en 2023 en WEC, je suis très heureux de pouvoir piloter la Ferrari 499P AF Corse cette saison. » a déclaré Robert Kubica.

« Je partagerai la voiture avec Robert [Shwartzman] et Yifei [Ye], deux pilotes très rapides, mais ça va être très difficile car le niveau de la grille est élevé. Nous avons tout pour bien faire, mais nous devons aussi récupérer beaucoup de terrain, car nous avons tous peu d’expérience au volant de la 499P. » insiste le Polonais.

« Ce sera un défi difficile et exigeant, mais en même temps, c’est très excitant. Il va falloir essayer de garder les pieds sur terre et faire de notre mieux. Surtout au début de la saison, ce ne sera pas facile, mais nous essaierons de maximiser le temps de piste pour acquérir une expérience cruciale. »

Après le Prologue au Qatar les 24 et 25 février, la première manche du WEC se déroulera sur le même circuit le 2 mars. Viendront ensuite les courses d’Imola (Italie ; 21 avril), Spa-Francorchamps (Belgique ; 11 mai), Le Mans (France ; 15-16 juin), São Paulo (Brésil ; 14 juillet), COTA (États-Unis ; 1er septembre), Fuji (Japon ; 15 septembre) et Bahreïn (2 novembre).

Une Hypercar plus avancée techniquement qu’une F1 selon Button

L’ancien pilote de Formule 1 Jenson Button – qui va reprendre le volant à temps plein à partir de 2024 dans le championnat du monde d’Endurance (WEC) en rejoignant l’équipe Hertz Team Jota dans la catégorie Hypercar – n’hésite pas à dire que cette catégorie est bien plus avancée techniquement qu’une F1.

Jenson Button, qui a pris le départ de plus de 300 courses en Formule 1, remporté 15 courses et le titre mondial en 2009, a disputé pour la dernière fois une saison complète dans la série Super GT basée au Japon en 2019 – après avoir récemment effectué une série de sorties ponctuelles dans plusieurs catégories différentes.

En 2024, Jenson Button rejoindra l’équipe Hertz Team Jota en WEC, pilotant l’une des deux Porsche 963 avec son compatriote britannique Philip Hanson et le pilote danois Oliver Rasmussen.

Lorsque le site officiel du WEC lui demande pourquoi il a choisi de revenir en Endurance cette année, le champion du monde de F1 2009 a répondu : « Et bien, j’y ai couru depuis la F1. J’ai couru au Japon en Super GT, j’étais en WEC en 2018. J’ai essayé pleins de choses différentes…les 24 Heures de Daytona aussi, mais on a l’impression de ne pas maximiser ce qu’on peut réaliser avec des courses ponctuelles. »

« Vous ne tirez pas le meilleur parti de vous-même en procédant ainsi. Donc, je voulais faire une saison complète. On ne s’entraine pas beaucoup avant la saison et je voulais faire une saison entière pour voir ce que nous pourrions réaliser en WEC cette année. »

Une Hypercar plus avancée qu’une F1 !

Lorsqu’on demande au Britannique de comparer les voitures Hypercar avec d’autres machines qu’il a pu piloter tout au long de sa carrière, notamment des Formule 1, Button admet que les monoplaces de F1 restent un cran au dessus en termes d’aéro, mais que techniquement une Hypercar est bien plus évoluée.

« Une voiture de F1, par exemple, est dotée d’une technologie qui atteint des sommets et c’est le summum de l’aérodynamique. » estime Jenson Button.

« Mais elles ne sont pas aussi avancées techniquement qu’une Hypercar. Une voiture LMDh comporte 38 pages expliquant exactement comment fonctionne le volant ! Il y a tellement de boutons que vous pouvez régler de nombreuses choses différentes pour le même problème. »

« Evidemment, la conduite reste la même, mais il y a tellement plus de choses que vous pouvez régler dans la voiture pour résoudre un problème que vous rencontrez sur la piste. La quantité de choses est stupéfiante et cela vous époustoufle. Il faut un certain temps pour s’y habituer. » insiste-t-il.

La saison dernière, Button a eu l’opportunité de rouler avec la Porsche 963 lors de la dernière manche du championnat IMSA aux Etats-Unis (photo d’illustration), l’occasion pour lui de commencer à se familiariser avec toutes les procédures et les différents boutons.

« Oui, j’ai fait le Petit Le Mans à Road Atlanta. » poursuit Button. « J’ai eu une journée d’essais avant la course et je me suis habitué assez rapidement à conduire la voiture, mais il faut un certain temps pour s’habituer à tous les aspects techniques. »

« On a l’impression qu’il y a 20 boutons pour une chose, mais ils le font tous légèrement différemment. Ces voitures sont très intelligentes : elles apprennent également au fur et à mesure que vous conduisez. »

« Vous pouvez identifier certaines des données dans des virages que vous souhaitez modifier et cela changera sans rien toucher – c’est très intelligent mais très complexe. Il faut être un autre type de pilote. Il y a des compétences à avoir sur la piste, mais il faut aussi être un expert en ingénierie. »

Le prochain roulage pour Jenson Button est programmé les 1er et 02 mars lors du Qatar 1812 sur le tracé de Losail.