Hamilton : « Mercedes a passé un hiver difficile »

Lewis Hamilton estime que Mercedes a passé l’un de ses hivers les plus difficiles en raison de l’introduction des nouvelles règles aérodynamiques cette année.

Mercedes a remporté tous les championnats depuis l’introduction du moteur hybride en Formule 1 en 2014, toutefois, les nouvelles règles aérodynamiques 2019 représentent un véritable défi pour conserver sa suprématie pour l’équipe du constructeur allemand selon Lewis Hamilton.

« L’hiver a été difficile pour les gars à l’usine, j’ai pu moi-même le constater, et j’ai entendu le point de vue des gars qui considèrent que c’était probablement l’hiver le plus difficile en raison des nouvelles règles. » a déclaré le pilote Mercedes.

« Mais s’il y a bien quelqu’un qui peut le faire, je crois que ce sont ces gars. Nous sommes la seule équipe à avoir remporté un championnat après avoir traversé un changement de réglementation. »

Ferrari n’est pas la seule menace pour Mercedes

Lors de la première semaine des tests à Barcelone, l’équipe Ferrari a impressionné beaucoup de monde, ce qui laisse présager une bataille entre la Scuderia et Mercedes en 2019, mais Hamilton n’exclut pas une possible bataille avec d’autres équipes cette année.

« Je suis en compétition avec tout le monde, je ne sais pas qui va être le plus rapide, mais je pense qu’on ne peut pas dire que ce sera Ferrari. »

« On ne sait pas où se trouvent les Red Bull, j’espère que plus d’équipes seront dans la bataille. Mais qui sait ce que les gens feront une fois arrivés à la première course ? »

« En ce moment, nous travaillons dur avec l’équipe, nous essayons de nous améliorer dans tous les domaines. Tous les ingénieurs à l’usine ont élevé le niveau. »

« C’est vraiment impressionnant de constater l’atmosphère qui règne dans cette équipe après toutes ces années de succès. C’est bien de voir que la faim est toujours là, personne ne panique, tout le monde pousse. »

Racing Point ne fabrique pas sa monoplace pour aider les autres pilotes

Andy Green, le directeur technique de l’équipe Racing Point, insiste sur le fait que la mission première de son équipe est de fabriquer une monoplace capable d’aller vite, et pas nécessairement des monoplaces qui améliorent le spectacle.

Cette saison, la Formule 1 a introduit une nouvelle réglementation aérodynamique censée favoriser les dépassements en aidant les monoplaces suiveuses à rester au contact en course sans perdre en efficacité aérodynamique.

Les équipes de F1 ont donc conçu et développé des monoplaces 2019 sur la base de cette réglementation, mais après les premiers jours de tests à Barcelone, beaucoup estiment que cette nouvelle réglementation n’aura aucun effet sur le spectacle en course.

Pour sa part, Andy Green, le directeur technique de Racing Point, a rappelé que l’objectif premier des équipes de Formule 1 est de fabriquer des monoplaces capables d’aller vite, bien avant de se soucier d’améliorer le spectacle.

« Nous ne fabriquons pas des monoplaces qui facilitent le pilotage du pilote derrière nous, notre tâche est de faire en sorte que notre voiture aille aussi vite que possible. » commente Green.

Qu’en pensent les pilotes ?

Outre l’opinion des ingénieurs, après la première semaine des essais hivernaux, c’est bien l’impression des pilotes qui compte.

Sebastian Vettel pour sa part a admis qu’il avait souffert au cours de la première semaine, lorsqu’il a voulu doubler la McLaren MCL34 de Carlos Sainz en piste : « Je n’ai pas réussi à le doubler, parce que je n’arrivais à me rapprocher suffisamment. » a déclaré Vettel.

Quoi qu’il en soit, il faudra de toute façon attendre la première course de la saison à Melbourne pour se faire un véritable avis sur l’introduction des ces nouvelles règles aérodynamiques, même si le tracé de l’Albert Park ne se prête pas trop aux dépassements de par sa configuration typée circuit urbain.

Charles Leclerc : « La SF90 est assez facile à piloter »

Charles Leclerc assure qu’il se sent de plus en plus à l’aise chez Ferrari, après avoir passé une première année en Formule 1 chez Sauber et avoir franchi un grand pas en rejoignant la Scuderia Ferrari.

Le jeune monégasque estime que son passage chez Ferrari cette année est plus simple que le jour où il a dû passer de la Formule 2 à la Formule 1 au cours de l’hiver 2018.

Sacré champion de Formule 2 en 2017, Leclerc est devenu pilote de F1 dans la foulée pour l’équipe Sauber, avec qui il a participé à la saison 2018.

Le Monégasque a ensuite été confirmé chez Ferrari pour l’année 2019, où il fera équipe avec le très expérimenté Sebastian Vettel.

« Je suis dans une position différente de celle dans laquelle j’étais l’année dernière pour les essais hivernaux, parce que je venais de la Formule 2 et le pas à franchir était énorme. » explique Charles Leclerc.

« Désormais, je passe d’une monoplace de Formule 1 à une autre, donc, le pas à franchir est évidemment plus petit. »

« Je me suis adapté très rapidement et je me sens déjà très à l’aise dans la voiture, il y a bien-sûr encore beaucoup de choses avec lesquelles je dois me sentir à l’aise, mais le feeling est déjà très bon. »

La SF90 est « facile » à piloter

Selon Charles Leclerc, la Ferrari SF90 est une monoplace relativement facile à piloter, même s’il admet que les procédures propres à Ferrari l’ont obligé à changer quelques habitudes qu’il avait chez Sauber l’an dernier.

« C’est une monoplace assez facile à piloter, j’ai encore beaucoup à apprendre, et le chemin sera encore long, mais je ne peux pas cacher le fait que je donne tout ce que je peux. »

« C’est une équipe de pointe, il y a des procédures très différentes de l’équipe dans laquelle j’étais auparavant, et il faut un temps d’adaptation. Mais je donnerai tout pour être aussi prêt que possible pour l’Australie. »

Les pilotes en piste ce mardi à Barcelone

Les équipes de Formule 1 s’apprêtent à participer à la cinquième journée des essais hivernaux 2019 ce mardi sur le circuit de Barcelone.

Seconde et dernière session des essais hivernaux avant de s’envoler vers l’Australie pour la première course de la saison 2019, les équipes de F1 vont accélérer le rythme cette semaine à Barcelone.

Tout comme pour la première semaine des essais, les pilotes des différentes écuries se partageront le volant à tour de rôle durant ces quatre journées, alors que la journée de vendredi sonnera la fin de ces essais hivernaux 2019.

Au programme, huit heures de roulage par jour, une seule monoplace par équipe, deux pilotes par écurie et un seul objectif commun : Rouler le plus possible.

Renault et Hulkenberg au sommet de la feuille des temps en semaine 1

Si vous n’étiez pas avec nous la semaine dernière, sachez que c’est le pilote Renault, Nico Hulkenberg, qui a signé le temps le plus rapide des essais avec un 1.17.393 signé le quatrième jour des tests.

L’an dernier, c’est Sebastian Vettel, au volant de sa Ferrari SF71-H qui avait signé le meilleur temps absolu des essais 2018 avec un 1.17.182 lors de la dernière journée.

Les essais hivernaux en live sur F1only.fr

Comme pour la première semaine, cette seconde session des essais hivernaux 2019 est à suivre en direct commenté sur F1only.fr à partir de ce mardi de 08h30 à 18h00, et ce, durant les quatre dernières journées.

Les pilotes en piste ce mardi à Barcelone

Mercedes : Hamilton (M), Bottas (AM)

Ferrari : Leclerc (M), Vettel (AM)

Red Bull Racing : Gasly

Renault : Hulkenberg (M), Ricciardo (AM)

McLaren : Norris

Racing Point : Stroll

Toro Rosso : Albon

Williams : Russell

Haas : Magnussen

Alfa Romeo : Giovinazzi

Hulkenberg le sait, même avec le moteur Honda, Red Bull sera plus rapide

Nico Hulkenberg ne se fait aucune illusion pour la saison 2019 et sait très bien que Red Bull Racing restera devant Renault, même avec le moteur Honda monté à l’arrière de la RB15.

Selon le pilote allemand, Nico Hulkenberg,  Renault a fait de grands progrès cette année avec sa nouvelle monoplace, mais durant la première semaine des essais à Barcelone, l’équipe du constructeur français a pu voir à quel endroit du tracé Red Bull était plus forte.

L’équipe Red Bull Racing est réputée depuis de nombreuses années pour construire des châssis performants, et ce doit être justement sur la partie du circuit qui fait la part belle au châssis que l’écurie Anglo-Autrichienne a été très forte la semaine dernière à Barcelone.

« Nous savons où Red Bull est plus rapide, mais nous aimerions juste comprendre pourquoi. » explique Nico Hulkenberg.

« Honnêtement, cela ne me dérange pas [qu’ils soient plus rapides], parce que de notre côté,  dans un premier temps, nous devons passer en revue notre programme et optimiser notre voiture. Pour l’instant, c’est très serré, et nous ne sommes complétement certains d’être quatrièmes. »

Pleinement satisfait de la RS19

Malgré ses réserves quant à l’ordre hiérarchique, l’Allemand a jouté qu’il était satisfait de la direction choisie par l’équipe dans le développement de la RS19.

« Je suis satisfait de la voiture, nous avons réussi à récupérer l’appui que nous aurions dû perdre avec les nouvelles règles. » ajoute Hulkenberg.

« La voiture ressemble vraiment à celle de l’année dernière, c’est comme si nous avions fait un copier/coller. »

Aucun direct télévisé pour la seconde semaine des essais hivernaux

La seconde et dernière semaine des essais hivernaux 2019 ne sera pas retransmise à la télévision [Sky Sports] et sur F1TV Pro.

Lors de la première semaine des essais à Barcelone, les fans pouvaient suivre, moyennant un abonnement payant, les essais en direct sur leur télévision et autres écrans nomades.

Mais pour cette seconde et dernière session qui débute ce mardi à Barcelone, il n’y aura aucune retransmission TV pour une raison toute simple.

En effet, à seulement trois semaines de la manche inaugurale de la saison 209 en Australie, les équipes de Sky Sports et celles de la FOM [pour F1TV Pro] doivent envoyer tout le matériel à l’autre bout du monde dés cette semaine pour être certains de pouvoir travailler en Australie pour la première course de l’année.

Vous devrez donc malheureusement vous passer de retransmission en direct pour cette dernière semaine d’essais avant le Grand Prix d’Australie 2019.

Un direct très limité en semaine 1

Lors de la première semaine des essais, certains se sont plaints de la retransmission partielle des tests [sur Sky Sports], en raison d’une diffusion programmée uniquement l’après-midi entre 13h00 et 18h00.

Heureusement F1only.fr est là

Heureusement, vous pourrez suivre cette seconde semaine des essais hivernaux en direct commenté sur F1only.fr, comme ce fut le cas déjà la semaine dernière.

Nous vous donnons rendez-vous dés ce mardi 26 février à 08h30 sur F1only.fr pour vivre en notre compagnie la dernière session des tests hivernaux.

Carlos Sainz : « Le moteur Renault a fait un énorme pas en avant »

Carlos Sainz est convaincu que sa McLaren MCL34 a encore un gros potentiel à exploiter au cours des prochains jours de tests à Barcelone.

Le pilote espagnol estime que le moteur Renault monté à l’arrière de sa monoplace s’est nettement amélioré au cours de l’hiver, et insiste sur le fait que le package de la MCL34 peut encore largement être amélioré.

« Les critiques constructives que j’ai pu faire sur la voiture ont été prises en compte par l’équipe. » explique Carlos Sainz.

« En tant que pilote, je me sens à l’aise et en confiance, et j’écoute aussi ce qu’ils disent sur moi, ce qui peut être amélioré. Pour le moment, nous avons une relation très ouverte, très constructive. »

Bien que le pilote espagnol admette qu’il est encore un peu trop tôt pour situer McLaren dans la hiérarchie, l’Espagnol assure que le concept développé sur la monoplace peut encore largement être amélioré au cours des prochains jours de tests à Barcelone.

« Je pense que le moteur Renault a fait un énorme pas en avant, même si nous sommes derrière Ferrari. Mais nous ne savons pas exactement où nous nous situons, l’an dernier, toutes les équipes du milieu de grille étaient à un ou deux dixièmes de distance. »

« Lorsque vous arrivez aux tests et que vous voyez qu’il peut y avoir une différence d’une demi-seconde ou d’une seconde, et que vous voyez qu’en retirant dix kilos de la voiture [carburant] vous effacez déjà cette demi-seconde, et qu’en vous mettant en mode qualifications vous gagnez quatre dixièmes, ou encore en chaussant les pneus Tendres vous gagnez une seconde. »

Continuer à développer durant les essais hivernaux

« Vous commencez à créer une série de variables qui vous donnent des scénarios interessants, et quand vous voyez les ingénieurs qui cherchent , qui essaient de découvrir de nouvelles choses, vous vous dites, « allez, on travaille encore. »

« Nous allons travailler sur notre voiture qui peut encore être améliorée, il faut la développer, c’est une voiture nouvelle, avec de nombreux changements. Elle ne ressemble pas à la voiture de l’année dernière, et nous devons donc en apprendre beaucoup. »

C’est désormais certain, Alonso ne roulera pas aux tests de Barcelone

En publiant son programme pour la seconde semaine des tests à Barcelone, l’équipe McLaren a confirmé qu’elle ne ferait pas rouler le pilote espagnol Fernando Alonso.

L’équipe McLaren a confirmé son programme pour cette seconde session d’essais à Barcelone et ce sont les pilotes titulaires Carlos Sainz et Lando Norris qui seront au volant de la MCL34 durant les quatre prochains jours, ce qui élimine d’office Fernando Alonso.

Attendu cette semaine dans le garage McLaren pour assister aux essais hivernaux avec son ancienne écurie, Fernando Alonso ne devrait pas prendre le volant de la MCL34, comme le suggéraient les rumeurs ces derniers temps.

Cependant, le double champion du monde de Formule 1, qui a stoppé sa carrière de pilote de F1 au terme de la saison 2018, continuera à suivre McLaren cette année, alors qu’un potentiel retour de l’Espagnol en catégorie reine du sport automobile n’est pas à exclure en 2020.

Alonso, qui a remporté les 24Heures de Daytona en janvier dernier reste toutefois concentré sur son travail en WEC [World Endurance Championship] avec l’équipe Toyota, alors que l’ancien pilote McLaren retournera aux 500 miles d’Indianapolis au mois de mai prochain pour espérer décrocher la victoire, ce qui lui offrirait la triple couronne.

Alonso pourrait être pilote de réserve pour McLaren

Si le rôle que tient Fernando Alonso actuellement au sein de l’écurie McLaren n’est pas très clair, le PDG de l’écurie Britannique, Zak Brown, a laissé entendre il y a quelques jours que Alonso pourrait très bien devenir le pilote de réserve de l’équipe en 2019.

Actuellement, McLaren n’a toujours pas annoncé le nom de son pilote de réserve à quelques semaines du début de la saison 2019, mais le nom de l’Espagnol ne cesse de revenir en boucle dans la bouche des dirigeants de l’équipe.

« Fernando fait toujours partie de l’équipe avec notre projet Indy 500. » a déclaré l’Américain Zak Brown.

« Je pense que nous ne manquerions probablement pas d’annoncer un pilote de réserve, mais je pense qu’il existe également une variété de pilotes qui pourraient remplir ce rôle si nous avions besoin de quelqu’un à court terme. »

Rappelons également que le Brésilien Sergio Sette Camara a été nommé pilote d’essai et de développement chez McLaren, mais n’a pas encore obtenu suffisamment de points pour obtenir la super licence nécessaire pour piloter une Formule 1.

La meilleure option pour l’équipe pour un poste de pilote de réserve semble être le jeune Nyck de Vries, qui fait partie du programme des jeunes pilotes McLaren et qui est éligible à la super licence.

Lawrence Stroll « L’équipe a un potentiel énorme »

Il faudra s’attendre à voir arriver de grandes mises à jour sur le châssis de la RP19 d’ici le Grand Prix d’Espagne selon le patron de l’équipe.

Lawrence Stroll, le nouveau propriétaire de l’équipe Sport Pesa Racing Point, insiste sur le fait que son écurie a un grand potentiel et annonce dores et déjà de grandes mises à jour sur la RP19 d’ici le Grand Prix d’Espagne.

« Nous avons une vision claire à long terme. Les tests de cette semaine sont non seulement importants pour la saison à venir, mais aussi pour 2020. » insiste Lawrence Stroll.

« Cette équipe a un potentiel énorme. Elle a fait un excellent travail ces dernières années, malgré des ressources limitées. »

« Cela semble prometteur, surtout maintenant que la limite budgétaire de 2021 approche. La voiture que vous avez pu voir la semaine dernière n’est pas la même que vous verrez lors de la première course de la saison, et lorsque nous reviendrons ici pour le Grand Prix d’Espagne, il faudra vous attendre à une révolution. »

Sans l’intervention de Stroll, il n’y aurait eu que 9 équipes en 2019

Stroll, qui a racheté l’équipe Racing Point en 2018 avec l’aide d’un consortium canadien, assure que sans son intervention, il n’y aurait eu que neuf équipes sur la grille en 2019.

« L’équipe était pratiquement en faillite quand nous l’avons achetée. Nous avons sauvé cette équipe, et sans notre intervention, il n’y aurait eu que neuf équipes sur la grille cette année. »

Peu de kilomètres parcourus pour Racing Point

Au cours de la première semaine des tests à Barcelone, l’équipe Racing Point est devenue la seconde écurie la moins productive, juste derrière Williams.

Au total, Racing Point n’a parcouru que 1154 kilomètres en quatre jours, soit l’équivalent de 248 tours de circuit.

La faute à un manque de pièces détachées qui limite sensiblement le roulage pour la plupart des petites structures comme Racing Point, mais l’équipe a déjà annoncé que de nombreuses pièces arriveraient sur le circuit de Barcelone pour la seconde semaine des tests.

Kubica : « Nous devons nous concentrer sur nous-mêmes »

Après les essais hivernaux de Barcelone, l’équipe Williams va devoir revoir ses attentes pour la saison prochaine et réfléchir à des objectifs un peu plus réalistes selon Robert Kubica.

Le Polonais Robert Kubica estime qu’après avoir pris plus de deux jours de retard sur la concurrence dés le début des tests à Barcelone, l’écurie britannique Williams n’a pas d’autres alternatives que de connaitre de bonnes journées de travail durant cette seconde et dernière semaine de tests à Barcelone.

Les équipes prendront ensuite le chemin de l’Australie pour ce qui sera la manche inaugurale de la saison 2019, après seulement huit jours d’essais en Espagne.

« La concurrence est très forte. » estime Robert Kubica, qui a rejoint l’équipe Williams en 2019 en tant que pilote titulaire.

« Mais nous devons juste nous concentrer sur nous-mêmes, et surtout nous concentrer sur le fait de tenter au moins de faire un bon début de saison. »

« Pour ce faire cependant, nous avons aussi besoin d’avoir des journées où tout va bien, avant de regarder les résultats et les temps, ça ce sera la prochaine étape. »

« Nous allons d’abord devoir penser à ce que tout se passe bien, puis nous verrons esuite le temps en piste. »

Williams, lanterne rouge des essais

L’équipe Williams, qui a terminé la saison 2018 en dernière position, se trouve actuellement en bas de classement après la première semaines des tests à Barcelone.

Avec seulement 88 tours bouclés avec sa FW42, l’écurie britannique n’a parcouru que 410 kilomètres, bien loin des 2840 kilomètres parcourus par Mercedes avec sa W10.

Honda : « Pas de pression supplémentaire avec Red Bull »

Toyoharu Tanabe, le directeur technique de Honda en F1, assure qu’il ne ressent aucune pression supplémentaire cette année, malgré le renforcement de ses relations avec Red Bull Racing.

Après avoir motorisé seulement l’équipe Toro Rosso en 2018, Honda a étendu son partenariat avec la marque de boissons énergisante en motorisant également Red Bull Racing à partir de la saison 2019.

C’est la première fois, depuis son retour en Formule 1 en 2015, que le motoriste japonnais motorise deux équipes de F1 en même temps. Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, Honda assure qu’il n’y a aucune pression supplémentaire cette année.

« Honnêtement, cela n’a pas changé [par rapport à 2018], que ce soit pendant la période durant laquelle nous avons motorisé Toro Rosso et maintenant avec les deux équipes, c’est la même chose, nous avons le même désir, la même cible. » déclare le directeur technique de Honda.

« Bien-sûr, nous respectons les résultats de Red Bull Racing au cours des dernières années, bien-sûr, il y a une certaine pression. Mais nous voulons fournir des performances élevées, ce qui est toujours notre objectif. De ce fait, il n’y a donc pas beaucoup de changements. »

Trop tôt pour parler de victoire pour Honda

Interrogé pour savoir s’il rejoignait l’avis du team principal de l’équipe Toro Rosso, Franz Tost, qui a affirmé que Red Bull Racing serait en mesure de remporter des courses cette année avec le moteur Honda, Tanabe se veut un plus pondéré.

« Chez Honda, à partir du moment où nous participons à des courses, et pas seulement en Formule 1, notre objectif est de gagner, c’est notre cible. » explique Tanabe.

« Mais à ce stade, il est très difficile de dire ce qu’il se passera cette année. Bien-sûr, notre objectif pour les deux équipes est de nous améliorer et nous voulons obtenir de meilleurs résultats que l’année dernière pour les deux équipes. »

Alfa Romeo surpris par le choix classique de Red Bull et Mercedes pour leur aileron avant

Alfa Romeo Racing s’étonne de voir un concept d’aileron avant finalement plutôt classique monté sur la Red Bull et la Mercedes cette saison.

L’équipe Alfa Romeo Racing a été l’une des équipes qui a le plus surpris par son audace en termes de design de son aileron avant sur sa C38.

La C38 arbore un museau différent des autres monoplaces de la grille cette année, un peu comme celui de la Red Bull RB15, mais avec deux narines supplémentaires permettant à l’air de s’engouffrer pour aller alimenter le fond plat de la monoplace.

Cette particularité a fait beaucoup parler dans le paddock de Barcelone la semaine dernière, mais du coté de chez Alfa Romeo, on s’est également posé la question de savoir pourquoi Red Bull et Mercedes n’avaient finalement pas choisi un concept similaire.

« Dés le début, nous nous sommes concentrés sur ce concept et nos ingénieurs ont été surpris de voir un aileron avant classique chez Red Bull et Mercedes. » explique Beat Zehnder, manager de l’équipe Alfa Romeo Racing.

« Nous pensions qu’ils nous montraient une fausse version de leur aileron avant pendant les présentations des monoplaces, »

Les données de l’aileron avant de la C38 sont bonnes

Pour le team principal de l’équipe Afa Romeo Racing, le Français Fred Vasseur, être la seule équipe à avoir un concept totalement différent peut s’avérer une bonne chose, tout comme cela peut signifier qu’au contraire, les ingénieurs se sont complétement plantés.

« Si vous êtes la seule équipe à avoir un certain nombre de choses, soit vous avez fait quelque chose de très bien, soit quelque chose de complétement faux. » explique Fred Vasseur.

« Mais lors de la première journée des tests [à Barcelone], nous avons pu constater que les données de la soufflerie étaient en corrélation. »

La livrée rouge mat de la SF90 ne plait pas à l’ancien président de Ferrari

Récemment élue « plus belle livrée 2019 » par les fans, la livrée rouge mat de la Ferrari SF90 ne plait pourtant pas à tout le monde.

L’ancien président de Ferrari, Luca Di Montezemolo, n’est absolument pas fan de la livrée de la Ferrari SF90, qui a cette année radicalement tranché avec le passé, en adoptant un rouge mat et une pointe de noir sur sa carrosserie.

Selon l’Italien, le rouge Ferrari reste une couleur sacrée, et le fait de le changer cette saison pourrait être vécu comme une violation de la tradition chez nos cousins transalpins.

« De ma propre opinion, le rouge Ferrari est une couleur sacrée. » explique l’ancien président de Ferrari à TuttoSport.

« Je pense que c’est une marque de fabrique qui est reconnue à travers le monde, et personnellement, je n’aime pas tellement le fait que la nouvelle monoplace de la marque ait violé cette tradition. »

« C’est un peu comme si vous changiez les couleurs d’un drapeau national, chez Ferrari ils disent que c’est pour éliminer du poids superflu, mais honnêtement, je ne suis pas du tout convaincu de cette explication. »

« En revanche, si ce changement de livrée est synonyme de retour au sommet pour Ferrari cette année, alors je suis prêt à mettre de côté mon dégoût pour cette nouvelle couleur. »

La SF90 élue « plus belle livrée de la saison 2019 »

En totale contradiction avec les propos de Luca Di Monrezemolo, les fans ont dernièrement élu la livrée de la Ferrari « plus belle livrée 2019 » après un vote sur le site officiel de la Formule 1 ayant rassemblé quelques 50 002 personnes.

La Ferrari SF90 devance la livrée noire et or de la Haas VF-19 (17%) de Romain Grosjean et Kevin Magnussen, qui se retrouve ex-aequo avec la livrée de l’Alfa Romeo (17%) de Kimi Raikkonen et Antonio Giovinazzi.

La Mercedes W10 pilotée par Lewis Hamilton et Valtteri Bottas, arrive en quatrième position de ce classement avec 12% des suffrages.

La McLaren MCL34 arrive en cinquième position (11%), tandis que la Williams FW42, la Renault RS19 et la Red Bull RB15 obtiennent toutes les trois 6 % des suffrages.

Seulement 3% des votants ont choisi la livrée de la Toro Rosso STR14, et enfin, lanterne rouge de ce classement, la Racin Point RP19 obtient à peine 2% des suffrages.

Difficile de changer de concept d’aileron pendant la saison selon Renault

Nick Chester, directeur technique de Renault, estime que les équipes vont souffrir cette année si elles décidaient de changer complétement le concept de leur aileron avant en plein milieu de saison.

Selon le Britannique, deux concepts se distinguent cette année en Formule 1 au niveau de l’aileron avant, mais Chester fait remarquer qu’un changement de concept en plein milieu d’année pourrait s’avérer être une très mauvaise décision en raison du travail phénoménal que cela impliquerait.

« C’est difficile de changer de concept à la mi-saison, et il n’est jamais facile de passer à un concept totalement différent. » explique le directeur technique de Renault, Nick Chester.

« Il faudrait en fait le développer pendant plusieurs mois, donc, passer d’un extrême à l’autre n’est pas chose aisée. »

« Nous sommes toujours intéressés de voir ce que font les autres, et nous étudions toutes les options. Cette année, il y a une grande variété de concepts, et je pense que, pendant la saison, nous allons voir comment chacune des équipes évolue et quelle tendance il faut suivre. »

Problème de DRS pour Renault en semaine I

Lors de la première semaine des tests à Barcelone, Renault a connu un grave problème sur le système DRS monté sur la RS19.

Daniel Ricciardo s’est fait une grosse frayeur en bout de ligne droite lorsque le flap de l’aileron arrière de sa monoplace s’est complétement détaché, obligeant le pilote australien à contrôler sa voiture pour ne pas aller s’encastrer dans la barrière de pneus.

Mais selon Renault, ce problème est désormais résolu et il ne devrait plus y avoir aucun problème de ce côté-là pour la seconde session des essais hivernaux.

« Il a perdu la barre de liaison, et cela a permis au flap d’effectuer une rotation. C’est finalement facile à régler, et nous avons compris quel était le problème. Nous l’avons réglé. »

Les essais hivernaux reprennent cette semaine à Barcelone

La seconde et dernière semaine des tests à Barcelone débute demain mardi 26 février, des essais hivernaux que vous pourrez suivre en direct sur F1only.fr.

Les essais hivernaux 2019 reprennent cette semaine à Barcelone avec la première journée de la seconde session programmée ce mardi 26 février, tandis que ces tests privés prendront fin vendredi 1er mars.

Après une première semaine d’essais axée sur la fiabilité, les équipes devraient se mettre à accélérer lors de cette seconde session et nous devrions voir le record du tour signé par Sebastian Vettem l’an dernier au volant de sa Ferrari être battu.

En 2018, Sebastian Vettel a décroché le meilleur temps des essais hivernaux en 1.17.182 lors de la dernière journée des tests, mais cette année, le pilote Renault, Nico Hulkenberg, s’en est déjà bien rapproché lors de la première semaine avec un 1.17.393.

Un  petit changement chez Ferrari

Comme pour la première session des essais, les équipes vont faire tourner leurs pilotes derrière le volant de chaque monoplace, alors que Ferrari a décidé de changer son programme au dernier moment afin de se calquer sur le modèle Mercedes.

En semaine 1, les pilotes Ferrari effectuaient une journée complète derrière le volant de la SF90, avant de passer le relais à leur coéquipier le lendemain, mais cette semaine, ils vont se relayer à la pause déjeuner de chaque journée.

Les tests de Barcelone en direct sur F1only.fr

Comme pour la première semaine des tests, vous pourrez vivre cette seconde session en direct commenté sur F1only.fr à partir de ce mardi 26 février à 08h30.

Le moteur Renault E-Tech 19 est plus puissant selon Hulkenberg

Nico Hulkenberg a confirmé que le moteur Renault 2019 monté à l’arrière de sa RS19 délivrait plus de puissance que son prédécesseur.

En toute logique, les équipes de F1 sont toutes arrivées à Barcelone avec un nouveau package moteur/châssis pour débuter cette nouvelle saison, mais quelques fois, introduire un nouveau moteur ne veut pas forcément dire que la monoplace sera plus rapide que la précédente en raison d’une combinaison aéro/moteur qui doit être parfaite.

Interrogé cette semaine à Barcelone pour savoir ce qu’il pensait du nouveau moteur Renault, et surtout pour savoir s’il constatait une différence positive en termes de performance, Nico Hulkenberg a répondu que le moteur Renault répondait parfaitement à ses attentes pour cette nouvelle saison.

« Je dirais que oui. » a t-il déclaré aux médias jeudi dernier dans le paddock de Barcelone après avoir signé le meilleur temps des essais en 1.17.393.

« Mais d’un autre côté, nous avons beaucoup plus de traînée avec un aileron arrière plus gros, donc, évidemment, vous avez moins cette sensation. »

« C’est comme si on tirait un parachute maintenant dans les lignes droites. » souligne le pilote Renault. « Vous voyez juste cet énorme aileron arrière dans vos rétroviseurs, et de toute évidence, cela a un impact sur le sentiment de puissance. »

Des F1 2019 plus rapides que celles de 2018

Avec l’introduction des nouvelles règles aéro en 2019, beaucoup ont estimé que les monoplaces 2019 iraient un peu moins vite que celles de la saison passée.

Mais après seulement quatre jours de tests à Barcelone, on peut supposer que les monoplaces 2019 iront plus vite que celles de la saison précédente, puisque le chrono de 1.17.393 signé par Hulkenberg au quatrième jour des essais hivernaux se rapproche déjà du meilleur temps absolu des essais hivernaux 2018, qui avait été signé par Sebastian Vettel au volant de sa Ferrari en 1.17.182.

Williams assure qu’elle sera prête pour le Grand Prix d’Australie

Malgré son retard en ce début d’année, l’équipe Williams Racing assure qu’elle sera prête pour le Grand Prix d’Australie 2019.

Interrogée sur les attentes de l’équipe concernant la manche inaugurale du championnat du monde de F1 2019 programmée à Melbourne le 17 mars, Claire Williams, la patronne de l’équipe éponyme, a tenu à rassurer les fans de la formation britannique.

Très en retard sur  la production du châssis de la FW42 au cours de l’hiver, l’équipe Williams a débuté les essais hivernaux 2019 avec un peu plus de deux jours de retard par rapport aux autres équipes.

Après les quatre premières journées de tests à Barcelone, Williams n’aura parcouru que 410 kilomètres avec sa monoplace, soit l’équivalent de 88 tours du circuit de Catalunya, bien loin des 2840 kilomètres bouclés par Mercedes par exemple avec sa W10.

En dépit des problèmes économiques que rencontre l’écurie depuis un certain temps et du peu de kilomètres parcourus au cours de la première session des essais hivernaux, beaucoup estiment que Williams arrivera à Melbourne pour le Grand Prix d’Australie 2019 avec un manque de pièces détachées pour sa FW42, ce qui limitera sensiblement le roulage de l’équipe au cours du premier week-end de course de la saison.

Tout sera prêt pour Melbourne

Mais pour Claire Williams, toutes ces rumeurs restent à l’heure actuelle infondées, alors qu’elle assure que Williams sera prête pour la première manche de l’année.

« Je peux vous garantir que nous n’aurons pas juste deux monoplaces en Australie, nous aurons également un châssis de rechange, ainsi que de nombreuses pièces. » assure la patronne de l’écurie basée à Grove en Angleterre.

« Ce serait un euphémisme de dire que ces derniers jours ont été un véritable cauchemar pour nous, mais nous avons enfin notre FW42 [la monoplace est arrivée à Barcelone deux jours après le début des essais], et nous pouvons enfin commencer à travailler de la bonne manière. »

L’an dernier, l’équipe Williams a terminé à la dernière position au championnat du monde de Formule 1, l’équipe britannique n’a marqué que 7 points après 21 courses.

Les fans ont élu la Ferrari SF90 « plus belle livrée 2019 »

Les fans de Formule 1 ont élu la livrée de la Ferrari SF90 « plus belle livrée 2019 » d’après un sondage effectué par le site officiel de la Formule 1 auprès d’un peu plus de 50 000 votants.

Première monoplace de Maranello à incorporer une livrée rouge mat au lieu du traditionnel rouge métallisé, la SF90 pilotée par Sebastian Vettel et Charles Leclerc en 2019, a remporté le prix de la plus belle livrée 2019 avec 21% des votes en sa faveur.

La Ferrari SF90 devance la livrée noire et or de la Haas VF-19 (17%) de Romain Grosjean et Kevin Magnussen, qui se retrouve ex-aequo avec la livrée de l’Alfa Romeo (17%) de Kimi Raikkonen et Antonio Giovinazzi.

Au total, 54 002 personnes ont voté sur le site officiel de la Formule 1, alors que la Mercedes W10 pilotée par Lewis Hamilton et Valtteri Bottas, arrive en quatrième position de ce classement avec 12% des suffrages.

La McLaren MCL34 arrive en cinquième position (11%), tandis que la Williams FW42, la Renault RS19 et la Red Bull RB15 obtiennent toutes les trois 6 % des suffrages.

Seulement 3% des votants ont choisi la livrée de la Toro Rosso STR14, et enfin, lanterne rouge de ce classement, la Racin Point RP19 obtient à peine 2% des suffrages.

Les lecteurs de F1only.fr ont voté également

Vous aussi chers lecteurs vous avez élu votre livrée préférée sur le site F1only.fr il y a quelques jours.

Les résultats, que nous avons diffusés la semaine dernière, sont légèrement différents, puisque pour vous, c’est la Haas VF-19 qui a été élue « plus belle livrée 2019 ».

Après vos votes, la Haas devance la livrée de la Ferrari SF90 et celle de la Toro Rosso STR14, qui n’a pourtant pas beaucoup évolué par rapport à l’an dernier.

En quatrième position, nous retrouvons la Mercedes W10, puis la Renault RS19, la McLaren MCL34, l’Alfa Romeo C38, la Red Bull RB15, la Williams FW42 et en lanterne rouge la Sport Pesa RP.

Cependant, la différence de résultats entre le sondage du site officiel de la Formule 1 et celui organisé par F1only.fr peut se justifier par le fait que nous vous avions demandé de voter pour chaque monoplace dés sa présentation (avec des photos en studio).

Le sondage organisé par la Formule 1 a été effectué pendant les essais hivernaux lorsque les monoplaces étaient en piste, à la lumière du jour, c’est ce qui pourrait expliquer cette différence dans les résultats.

Mercedes et Ferrari critiquées pour leur manque de coopération dans le documentaire de Netflix

Les producteurs du documentaire consacré à la saison 2018 de Formule 1, et qui sera diffusé sur Netflix, n’ont pas trop apprécié le refus de Ferrari et Mercedes d’y participer dans les mêmes conditions que les autres équipes.

Lors de la saison 2018 de F1, Netflix, en association avec Liberty Media, a tourné un documentaire inédit intitulé « Drive to Survive » en immersion totale dans chacune des équipes qui ont participé à la campagne 2018.

Enfin toutes, presque toutes, puisque Ferrari et Mercedes, qui ont joué un rôle important au championnat du monde, ont refusé de se plier aux conditions de tournage imposées par les producteurs, ce qui veut dire que les fans ne pourront pas voir d’images exclusives tournées dans les garages de ces deux écuries, contrairement aux huit autres.

« Mercedes et Ferrari souhaitaient participer sous des conditions différentes que le reste des équipes, et pour nous, producteurs, ainsi que pour Netflix, en tant que plate-forme de diffusion, nous n’étions pas très à l’aise avec ça. » explique Paul Martin, le producteur exécutif, à la Press Association.

« C’était tout ou rien, et si ces conditions étaient suffisantes pour les autres équipes, elles auraient dû l’être pour Mercedes et Ferrari. »

« Mercedes et Ferrari ne rendent pas service au sport »

« Mon point de vue est qu’ils n’ont pas rendu service aux fans et au sport en ne participant pas. Nous avons plutôt de la chance que des équipes telles que Red Bull, Renault ou encore Haas nous aient offert un accès privilégié et se sont pleinement révélées. »

La série composée de dix épisodes sera disponible pour les fans sur la plate-forme Netflix à partir du 8 mars prochain.

Trailer de Drive to Survive

Niki Lauda devrait revenir progressivement en F1

Niki Lauda pourrait ne pas participer à l’intégralité de la saison 2019 de Formule 1 avec son équipe Mercedes.

L’ancien pilote de Formule 1 est toujours en convalescence depuis sa transplantation pulmonaire subie l’été dernier en Autriche à l’hôpital AKH de Vienne.

Par la suite, Lauda a pu rentrer chez lui en fin d’année, mais un cas de grippe dans son entourage a obligé les médecins à rappeler Lauda à l’hôpital au cours des vacances de noël pour ne pas qu’il puisse être infecté d’un quelconque virus, son état de santé étant encore trop fragile.

Depuis, Lauda est toujours en convalescence chez lui avec sa famille, et une éventuelle date de retour de l’Autrichien dans les paddocks de F1 n’a pas encore été communiquée.

Walter Klepetko, le médecin ayant opéré Niki Lauda à l’hôpital général de Vienne en Autriche l’an dernier, s’est montré relativement rassurant sur l’évolution de l’état de santé du directeur non exécutif de l’équipe Mercedes ces derniers jours.

Actuellement, Lauda pratique quotidiennement des exercices de renforcement musculaire et de coordination afin de remettre son corps dans l’état dans lequel il se trouvait avant sa greffe de poumon subie l’été dernier.

« Mr Lauda est très actif, nous sommes très confiants quant au fait que nous réussirons à revenir au même stade qu’avant noël. » explique le Dr Klepetko.

Quelques courses dans un premier temps

Néanmoins, le Dr Klepetko ne pense pas que son patient pourra participer à l’intégralité du championnat du monde de Formule 1 cette année, alors que Niki Lauda ne devrait pas être présent à la manche d’ouverture en Australie programmée le 17 mars.

mercedes niki lauda
Niki Lauda dans le garage Mercedes en 2018

Selon le Dr Klepetko, Lauda devra se contenter de « participer à quelques courses » durant la saison 2019, alors que l’Autrichien devra certainement porter un masque chirurgical pour se protéger de toute infection pouvant à nouveau mettre en danger sa vie.

Niki Lauda, qui a fêté ses 70 ans cette semaine, n’a plus fait d’apparition publique depuis l’année dernière. L’Autrichien est toujours connecté à la Formule 1, puisqu’il reste le directeur non-exécutif de l’équipe Mercedes.