Officiel : Le Vietnam au calendrier de la F1 en 2020

Liberty Media a officialisé ce mercredi l’arrivée du Vietnam au calendrier de la Formule 1 à partir de la saison 2020.

L’information a été révélée la semaine dernière par la ville de Hanoï, et il ne manquait plus que la confirmation de la Formule 1, ce qui est désormais chose faite.

La première édition du Grand Prix du Vietnam se tiendra au mois d’avril 2020 sur un circuit urbain long de 5,565 kilomètres dans les rues de Hanoï dessiné par l’architecte officiel de la Formule 1, Hermann Tilke.

« Nous sommes ravis d’annoncer que la ville de Hanoï accueillera un Grand Prix de Formule 1 à partir de 2020. » déclare Chase Carey, le PDG de la Formule 1.

« Depuis notre arrivée dans le sport en 2017, nous avons toujours dit que nous souhaitions développer de nouvelles destinations afin d’élargir l’audience de la F1 à travers le monde, et ce Grand Prix du Vietnam répond à cette ambition. »

« Nous sommes ravis d’accueillir Hanoï, l’une des villes les plus excitantes de la planète, dotée d’une histoire riche, au calendrier de la F1. Je suis sûr qu’il s’agira de l’un des temps forts de la saison. »

Un tracé comportant 22 virages

Le circuit urbain dessiné par Hermann Tilke comportera 22 virages, les monoplaces devraient atteindre des vitesses élevées en raison de la présence de nombreuses lignes droites, la plus longue atteignant le kilomètre et demi.

L’équipe Haas fait pression pour connaître le règlement 2021 assez tôt

Le team principal de l’équipe Haas, Gunther Steiner, déplore le manque d’information concernant la réglementation de la saison 2021 et aimerait être tenu au courant de tous les changements le plus rapidement possible.

En 2021, la réglementation en Formule 1 va encore nettement évoluer, mais pour des petites structures comme l’équipe Haas, il est très important de connaître suffisamment à l’avance les moindres détails des nouveaux règlements afin de mettre en place les ressources nécessaires.

« Je ne connais pas assez les plans pour savoir si 2021 sera la meilleure année, je l’espère, mais il me semble qu’il est un peu trop tôt pour dire que ça arrivera avec certitude. » déclare Steiner.

« Nous ne sommes pas les seuls à vouloir savoir, tout le monde veut savoir. Pour une équipe de Formule 1, 2021 démarre déjà dans huit mois. »

« C’est à partir de là que tout commence, car si un nouveau règlement est lancé, il faut s’y préparer. Nous avons besoin de planifier les ressources pour 2020, puis ensuite pour 2021. »

« Nous ne parlons pas de 2021 comme dans une industrie normale, où ça débuterait au troisième trimestre 2020, nous débutons l’an prochain et nous devons donc savoir dés le second trimestre. »

Max Verstappen : « Interlagos ne convient pas trop à notre voiture »

Le pilote Red Bull, Max Verstappen ne s’attend pas à être aussi fort qu’au Mexique ce week-end à Interlagos, alors que le Hollandais a décroché la victoire il y a quinze jours à Mexico.

Le circuit de Mexico, situé à plus de 2000 mètres d’altitude,  a permis de gommer les faiblesses de la Red Bull RB14 face aux Mercedes et Ferrari, mais pour ce week-end au Brésil, Max Verstappen admet qu’il s’attend à retrouver sa place habituelle.

« En général, Interlagos ne convient pas très bien à notre voiture. » déclare Verstappen. « Après avoir terminé sur le podium en 2016 et gagné la semaine dernière au Mexique, tout peut arriver en course. »

« J’ai déjà eu de belles batailles et j’ai effectué de beaux dépassements là-bas, donc, j’espère avoir une course excitante. »

« Les fans sont vraiment bruyants, et la grille est tellement étroite et proche des tribunes que vous pouvez les entendre applaudir lorsque vous êtes assis dans la voiture sur la grille. »

« La nourriture est également bonne et les restaurants Churrascaria ont une viande grillée incroyable. Bien que nous soyons presque à la fin de la saison, je dois toujours faire attention à ce que je mange pour rester en forme, ce qui est dommage, car j’aimerais encore davantage apprécier la cuisine locale! »

Les horaires de chaque séance pour le GP du Brésil

La Formule 1 vous donne rendez-vous au Brésil cette semaine sur le circuit José Carlos Pace pour cette avant dernière manche de la saison 2018.

Si le championnat du monde des pilotes est déjà joué avec le cinquième sacre de Lewis Hamilton au Mexique la semaine dernière, le championnat constructeurs reste encore ouvert entre Ferrari et Mercedes.

Le constructeur allemand devance la Scuderia Ferrari de 55 points alors qu’il ne reste que deux courses cette saison, autant dire que le combat s’annonce serré au Brésil entre les deux équipes.

Les horaires de chaque séance du Grand Prix du Brésil 2018 (heure française)

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Pirelli ne s’attend pas à une forte dégradation des pneus à Interlagos

Le Grand Prix du Brésil sera la dernière occasion de la saison pour Pirelli de sortir ses pneus Mediums (blancs), ainsi que les gommes Tendres (jaunes).

Le manufacturier unique de la Formule 1 a mis à disposition des équipes les gommes Mediums, Tendres et Super-Tendres ce week-end pour l’avant dernière course de l’année, ces composés étant un cran plus tendres que ceux choisis l’an dernier à Interlagos.

En termes de stratégie, Pirelli s’attend à voir un seul arrêt au stand durant la course, tout comme l’an dernier, même si une stratégie à deux arrêts a déjà été tentée l’an dernier.

« Nous ne nous attendons pas à de grandes différences sur cette piste par rapport aux autres années. » explique Mario Isola, le directeur de la compétition chez Pirelli.

« Le seul changement concerne notre sélection de pneumatiques, un cran plus tendre que l’an passé. Les actuels Mediums et Tendres sont similaires aux Tendres et Super-Tendres qui se sont imposés en 2017. »

« Le Super-Tendre de cette saison est plus ou moins identique à l’Ultra-Tendre de 2017, qui lui, n’a jamais été apporté sur la piste brésilienne. Ce dernier débute donc sur ce circuit. »

« La gestion du trafic et les passages hors trajectoire sont deux facteurs importants à Interlagos, et les lourdes charges appliquées sur les pneumatiques dans les courbes rapides, ainsi que les températures élevées, nécessiteront une surveillance importante, même si la dégradation ne devrait pas être excessive en condition normale. »

Antonio Giovinazzi au volant de la Sauber ce vendredi à Interlagos

Antonio Giovinazzi sera au volant de la Sauber C37 ce vendredi matin à Interlagos pour la première séance d’essais libres du Grand Prix du Brésil.

Le pilote italien prendra place dans le baquet de Marcus Ericsson pour les EL1 afin d’acquérir de l’expérience au volant de la Sauber C37 et se prendre ses repères avec sa nouvelle équipe pour qui il roulera l’an prochain en tant que titulaire.

Antonio Giovinazzi a été titularisé par Sauber pour la saison 2019, il fera équipe avec le très expérimenté Kimi Raikkonen, qui quittera la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2018.

La première séance d’essais libres du Grand Prix du Brésil 2018 aura lieu à 14h00 (heure française ce vendredi 09 novembre.

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Le PDG de Ferrari en faveur d’un plafond budgétaire en F1

Le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, approuve l’idée d’un plafond budgétaire en Formule 1, insistant sur le fait que le concept a « du sens », bien que l’émergence d’un accord reste encore un long processus.

Camilleri, qui a succédé à Sergio Marchionne à la tête de Ferrari au cours de l’été, devait initialement adopter la position de son prédécesseur, qui était contre les budgets capés, mais l’exécutif estime en réalité que cette idée a du mérite.

« Je pense que les spécifications techniques ont progressé, mais en termes de plafonnement budgétaire et d’économie, rien n’a vraiment été fait. » déclare Louis Camilleri.

« De toute évidence, les aspects économiques sont également liés au plafond budgétaire, et je pense qu’un plafond budgétaire a finalement du sens. »

« Mais le diable se cache dans les détails et je pense donc que ce sera dans l’intérêt de tous, mais nous n’y sommes pas encore. »

2018, la meilleure saison de Ferrari depuis 2008

Le patron de Ferrari est également revenu sur la saison 2018 de la Scuderia, qui a connu selon lui sa meilleure année depuis 2008, date à laquelle Ferrari a remporté pour la dernière fois le championnat des constructeurs.

« Il est clair que gagner est une priorité pour nous, cela fait partie de notre patrimoine. Cette année a été quelque peu regrettable, nous avons été très proches et espérons que nous pourrons y arriver l’année prochaine. »

« Je n’ai rien d’autre à ajouter, c’est très important, et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour gagner. Ce que je dirais, c’est qu’en 2018, d’après les chiffres, il s’agissait probablement de notre meilleure saison depuis 2008. »

« Nous progressons, nous ne sommes pas tout à fait où nous voulons être, et nous verrons bien où nous serons l’année prochaine. »

L’équipe Force India renforce la sécurité de son personnel au Brésil

L’équipe Force India prévoit des mesures de sécurité supplémentaires pour son personnel ce week-end pour le Grand Prix du Brésil 2018.

L’an dernier, Pirelli et McLaren ont annulé les essais privés organisés sur le circuit d’Interlagos après que plusieurs membres du personnel de la Formule 1 aient été pris pour cible par des truands. Les membres de l’équipe Mercedes ont même été obligés de donner leurs objets de valeur à des hommes armés.

Dans ce contexte, les équipes de F1 ont été informées qu’une sécurité bien plus importante que les années précédentes serait en place ce week-end à Sao Paulo pour s’assurer qu’aucun incident ne vienne perturber le bon déroulement du week-end.

Cependant, quelques équipes, comme Force India, ont décidé de prendre certaines mesures supplémentaires afin d’assurer la sécurité de leur personnel ce week-end à Interlagos.

« Nous avons travaillé avec les promoteurs, la police et les autorités locales, et apparemment, la sécurité sera renforcée cette année. » déclare Otmar Szafnauer, directeur de l’équipe Force India.

« Cela devrait comprendre les moments où nous arrivons sur le circuit et lorsque nous partons, la police devrait toujours être présente tant qu’il y aura encore du personnel [sur le circuit], donc, il y a eu un gros effort. »

« Nous avons eu de la chance qu’au fil des années il ne nous soit rien arrivé, mais nous prenons cela très au sérieux. »

« Nous allons prendre des précautions que certaines autres équipes n’ont pas prises dans le passé, alors que jusqu’à présent, tout s’est bien passé. Nous allons être encore plus vigilants en raison de ce qui est arrivé à Mercedes l’année dernière. »

« Nous avons toujours pris des précautions, je vais vous donner un exemple, nos bus n’ont pas d’autocollants, nos cartes de stationnement sont amovibles, il n ‘y a aucune trace de Force India. »

« Nous ne portons pas les tenues de l’équipe dans le bus, nous portons des vêtements normaux. Nous avons mis en place ces mesures afin d’éviter d’attirer l’attention et soit nous avons eu de la chance, soit cela a marché. »

« Et personnellement, je le fais aussi lorsque nous sommes chez nous en voiture, rien ne montre que nous faisons partie d’une équipe de Formule 1. Nous allons désormais continuer à faire comme ça. »

Le patron de Ferrari pense que la F1 ne devrait pas se séparer de Pirelli

Le patron de la Scuderia Ferrari, Maurizio Arrivabene, estime que la Formule 1 aurait tord de gâcher tout le travail accompli par Pirelli depuis 2011 en faisant appel à un nouveau fournisseur de pneus.

Les propriétaires de la Formule 1, Liberty Media, et la FIA, étudient actuellement les offres de Pirelli et Hankook pour devenir le fournisseur officiel de la discipline de 2020 à 2023.

Les deux sociétés ont déjà été approuvées pour des raisons techniques par la FIA, mais il faudra encore valider les questions commerciales pour choisir le meilleur candidat.

Aujourd’hui, même si Pirelli a connu des moments difficiles depuis son arrivée en F1 en 2011, Maurizio Arrivabene pense que la F1 commettrait une grande erreur de se séparer du manufacturier unique de la F1 fort de huit années d’expérience.

« Aujourd’hui, l’appel d’offres est entre les mains de Liberty Media, mais nous travaillons depuis un certain temps avec Pirelli, nous avons eu des phases positives et des moments difficiles. » déclare le manager italien.

« Mais année après année, ils ont créé un produit qui a évolué de manière positive. Tout jeter par la fenêtre me semble être une erreur. Cela dit, ce n’est pas nous qui faisons les choix. »

Rappelons que depuis son arrivée en F1 en tant que manufacturier unique, Pirelli a dû se plier aux exigences de la FIA en matière de dégradation des pneus, ce qui n’a pas toujours été positif pour la firme italienne, qui a dû essuyer beaucoup de critiques depuis 2011.

Officiel : Sergio Sette Camara rejoint McLaren

Comme nous vous le suggérions un peu plus tôt dans la matinée, Sergio Sette Camara deviendra pilote de tests et de développement pour l’écurie McLaren en 2019.

Le jeune pilote brésilien remplacera Lando Norris au poste de troisième pilote l’an prochain, alors que le Britannique a été promu titulaire pour 2019 aux côtés de Carlos Sainz.

« C’est mon rêve de devenir un jour un pilote de Formule 1, et je voudrais remercier McLaren pour me donner cette occasion incroyable. » déclare le Brésilien.

« Mon objectif est de m’intégrer dans l’équipe et travailler en étroite collaboration avec eux autant que possible; pour écouter, apprendre et contribuer à me développer en tant que pilote et avec le soutien de McLaren. »

L’arrivée de Sette Camara chez McLaren est étroitement liée au fait que l’écurie britannique utilisera les lubrifiants et un carburant de la compagnie pétrolière Petrobras l’an prochain, après avoir utilisé jusqu’à présent les lubrifiants et carburant de BP/Castrol.

Sette Camara en passe de devenir troisième pilote McLaren ?

Sergio Sette Camara, un ancien membre du programme Red Bull, pourrait devenir troisième pilote pour l’écurie McLaren la saison prochaine si l’on en croit les médias brésiliens cette semaine.

Si cette rumeur est confirmée, l’annonce de son arrivée à Woking pourrait être faite dés ce week-end au Grand Prix du Brésil. Toujours selon les médias brésiliens, l’éventuel accord passé entre le jeune pilote et l’équipe McLaren lui permettrait de participer à des séances d’essais libres dés 2019.

Ce statut de troisième pilote laisserait la possibilité à Sette Camara de continuer à rouler en Formule 2 en parallèle de ses activités de troisième pilote pour l’équipe de Formule 1 McLaren.

Les médias brésiliens indiquent même qu’un accord aurait été signé en début d’année entre McLaren et la compagnie pétrolière Petrobras, qui sera fournisseur de carburant pour McLaren dés 2019.

En effet, Petrobras, qui était lié à l’équipe Williams auparavant, remplacera BP/Castrol, dont le partenariat avec l’équipe britannique McLaren ne remontait qu’au début 2017.

Alonso veut terminer les deux dernières courses en beauté

Fernando Alonso n’a pas connu une période productive ces derniers temps, le pilote McLaren n’ayant pas vu le drapeau à damier lors des deux dernières courses.

Alors que l’Espagnol s’apprête à disputer ses deux dernières courses en Formule 1, le double champion du monde aspire à livrer encore quelques belles batailles, à commencer par le Grand Prix du Brésil ce week-end.

« Je suis ravi de retourner à Interlagos, c’est un circuit incroyable, j’ai toujours aimé y courir. » déclare l’Espagnol.

« C’est une piste où de nombreuses courses ont eu lieu et qui ont toujours été un peu imprévisibles. »

« Je suis également impatient de mettre les deux derniers week-ends de course derrière moi et de me concentrer sur l’extraction de la performance, car nous avons travaillé dur pour optimiser notre voiture et je n’ai pas réussi à le montrer. »

« Je n’ai pas encore eu l’occasion de me battre, donc, j’espère que nous pourrons avoir une bataille pure et montrer ce que nous pouvons faire. »

« Les fans brésiliens sont toujours très passionnés et il est clair qu’Interlagos est l’une de ces pistes légendaires si célèbres dans le monde du sport automobile. »

« De grands champions ont piloté sur ce circuit et avec les voitures de cette année, les sensations seront encore plus rapides et plus excitantes qu’auparavant. » conclut le pilote McLaren.

Norris au volant de la McLaren en EL1 à Interlagos

Le jeune pilote de réserve de l’équipe McLaren, Lando Norris, continuera son apprentissage des circuits du calendrier de la F1 ce week-end en prenant le volant de la MCL33 lors des EL1 du Grand Prix du Brésil.

Le Britannique sera pilote titulaire l’an prochain chez McLaren et doit donc acquérir une certaine expérience sur toutes les pistes du calendrier avant d’essayer de guider l’écurie de Woking vers le chemin du succès en 2019.

Norris n’a jamais roulé à Interlagos, puisque l’an dernier, le pilote britannique devait prendre le volant de la McLaren pour effectuer des tests avec Pirelli, mais cette session d’essais avait été annulée après que du personnel de la Formule 1 se soit fait agresser sur le chemin de leur hôtel.

Cette année, Lando Norris pourra donc prendre le volant de la MCL33, il devrait en toute logique remplacer Stoffel Vandoorne en EL1, puisqu’au Mexique, c’est Fernando Alonso qui avait laissé sa place au Britannique lors de la première séance d’essais libres.

Le Grand Prix du Brésil sera comme une course à domicile pour Gil De Ferran

Le directeur sportif de l’équipe McLaren, Gil De Ferran, s’apprête à jouer à domicile ce week-end, lui qui est né à Paris en 1967, mais qui a toujours couru sous nationalité brésilienne dans sa carrière de pilote automobile.

Ce Franco-Brésilien a rejoint l’équipe McLaren au poste de directeur sportif en milieu d’année en remplacement d’Eric Boullier, ce Grand Prix du Brésil sera donc une date importante pour lui ce week-end.

« Je suis impatient de retourner dans ma ville d’origine pour la première fois avec McLaren pour le Grand Prix du Brésil. » explique De Ferran.

« C’est une course qui a été une partie importante de l’histoire de la Formule 1 depuis de nombreuses années et a une base de fans incroyable amateurs, les Brésiliens étant passionnés de sport. »

« C’est une piste sur laquelle les légendes du sport ont gagné et perdu des grands prix dans les circonstances les plus dramatiques, et les conditions météorologiques imprévisibles ont joué leur rôle pour influencer le résultat aussi. »

« Tout cela ajoute à la magie d’Interlagos et j’espère que nous pourrons voir un autre week-end avec une grande course cette année. »

« Alors que nous entrons dans l’avant-dernier grand prix de la saison, nous sommes aussi concentrés que jamais pour tirer le meilleur parti des performances de notre voiture dans les deux dernières courses, et ramener à la maison autant de points que possible. »

Faut-il interdire les communications radio en F1 ?

Le pilote Audi en Formule E, Lucas Di Grassi, aimerait voir une interdiction totale des communications entre les pilotes et leur équipe lors des ePrix de Formule E la saison prochaine.

Le champion 2016/17 de la catégorie électrique estime que toutes les communications en dehors de celles liées à la sécurité devraient être totalement supprimées en course afin de renforcer le défi des pilotes et améliorer le spectacle.

L’opinion de Di Grassi arrive alors que la FIA et la Formule E discutent actuellement des moyens de limiter l’utilisation des radios durant les courses.

« Pourquoi pas simplement couper les communications avec le pilote, et peu importe le nombre de stratèges que vous avez, vous ne pourrez pas dire au pilote quoi faire. » déclare le Brésilien à E-Racing 365

« Je pense que c’est la voie à suivre [stopper les communications radio] car cela dépend davantage du pilote. Vous devez décider de votre propre stratégie, vous devez savoir ce qui se passe et vous devez le découvrir vous-même. »

« Il n’y aurait pas non plus de consignes d’équipe, pas de connerie comme celle-là. Vous allez en course, et c’est tout, vous devez résoudre vos problèmes et je suis totalement en faveur de cela. »

Une telle mesure serait-elle applicable en Formule 1 ? Aurions-nous réellement de plus belles courses en privant les pilotes de communications radio avec leur équipe ? Les pilotes seraient-ils livrés à eux-même en piste ?

Il est impossible de savoir concrètement à quel point l’interdiction d’utiliser la radio améliorerait ou pas le spectacle en F1, mais la question a désormais le mérite d’être posée. Et vous, quand pensez-vous ? Laissez nous votre avis au bas de cet article dans la section commentaires.

Raikkonen pense que des sanctions plus sévères arrêteraient « la stupidité » en F1

Kimi Raikkonen estime qu’il faudrait complètement revoir le système de pénalité actuel en Formule 1, afin d’éliminer les comportements irresponsables de certains pilotes durant les Grands Prix.

Le pilote finlandais regrette plus que tout que les sanctions infligées par la FIA au cours de la saison ne soient pas uniformes d’une course à l’autre.

Selon le pilote Ferrari, il faudrait de lourdes sanctions et revoir complètement la réglementation sportive afin de ne plus avoir à infliger des pénalités pour des comportements stupides en course.

« Parfois il me semble que les pénalités sont complètement attribuées au hasard. » déclare Raikkonen à Autosport.

« Pour certains incidents dans une course ils décident d’une façon, et pour d’autres, ils décident d’une autre façon. »

« Si vous êtes assez forts [en termes de pénalité] pour mettre un terme à certaines stupidités, je pense que nous n’aurions pas à nous imposer ces petites pénalités ici et là, sans grande raison. »

« Parfois vous avez une bonne raison, parfois pas, mais c’est vraiment aléatoire. Si vous étiez vraiment stricte sur les règles de base, alors tout changerait, et personne ne commencerait à faire des bêtises. »

Kimi Raikkonen quittera Ferrari à la fin de cette saison, le Finlandais rejoindra l’équipe Sauber en 2019, équipe avec laquelle il a débuté sa carrière en F1 et avec qui il va très certainement la terminer.

Brawn veut que Pirelli améliore son mélange dégradation/durabilité

Selon Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1, Pirelli et la F1 doivent impérativement travailler ensemble pour aider le manufacturier italien à trouver un meilleur compromis pour ses pneumatiques.

En regardant le récent Grand Prix du Mexique, le manager sportif de la F1 a pu noter la différence de performance entre les learders et le reste du peloton, mais Brawn a également souligné l’approche prudente de plusieurs pilotes en matières de gestion des pneus qui, à son avis, a eu un grand impact sur les résultats de la course.

« Outre les différences de performances habituelles, la gestion des pneus a également joué un grand rôle. » souligne Ross Brawn.

« Nico Hulkenberg, Stoffel Vandoorne, Charles Leclerc et Marcus Ericsson n’ont fait qu’un seul arrêt et ces quatre pilotes se sont montrés très prudents pour terminer le Grand Prix avec les mêmes pneus. »

Brawn reconnait que le défi est difficile pour Pirelli, qui doit garantir un niveau de dégradation de ses pneus pour correspondre au cahier des charges de la FIA, tout en garantissant une certaine durabilité.

« D’un côté, ils doivent apporter des pneus qui se dégradent et permettent des courses intéressantes, mais de l’autre, les pilotes veulent exploiter pleinement le potentiel de leurs voitures avec des pneus robustes. »

« Ce n’est pas toujours facile de trouver le bon compromis, il est donc important que nous travaillions ensemble. »

Esteban Ocon : « Leclerc se battra pour le titre en 2019 »

Esteban Ocon déclare qu’il ne serait pas surpris de voir Charles Leclerc se battre pour le titre l’an prochain lorsque le jeune monégasque sera au volant d’une Ferrari.

Charles Leclerc remplacera Kimi Raikkonen chez Ferrari en 2019 et aura comme coéquipier le quadruple champion du monde de Formule 1, Sebastian Vettel.

Alors que beaucoup considèrent que le jeune Leclerc a encore besoin d’acquérir de l’expérience avant de prétendre se battre pour le titre, Esteban Ocon lui, estime que le futur pilote Ferrari aura les capacités de rivaliser avec Sebastian Vettel pour le championnat.

« Charles se battra pour le titre la saison prochaine. » déclare Ocon au journal suisse Blick. « Ce ne serait pas une surprise pour moi. »

« J’ai su dés le premier jour où je l’ai connu qu’il avait beaucoup de talent et c’est ce qu’il montrera certainement la saison prochaine. »

Le patron de la Scuderia Ferrari, Maurizio Arrivabene, se veut un peu plus pondéré qu’Esteban Ocon concernant le futur de Charles Leclerc.

« L’année prochaine, Charles devra acquérir de l’expérience et apprendre de Sebastian. » a déclaré l’Italien.

« Il a le luxe de pouvoir se contenter d’une saison où il ne lui sera pas demandé autre chose que de faire arriver la voiture sur la ligne d’arrivée. Il devra faire ses débuts sans pression et absorber les efforts de Vettel comme une éponge. »

Officiel : Rob Smedley va quitter Williams

L’équipe Williams vient de confirmer le départ à la fin de la saison de son responsable de la performance, Rob Smedley, qui a rejoint l’équipe britannique en 2014.

Après quatre saisons passées chez Williams, l’ingénieur britannique quittera définitivement l’équipe à la fin de la saison 2018.

« J’ai vraiment apprécié mon temps passé chez Williams. » commente Smedley. « L’équipe a vécu de grands changements depuis mon arrivée en 2014 et ce fut un très grand plaisir d’avoir joué un rôle à cet égard. »

« Williams est une équipe très spéciale au sein de la communauté F1 et je suis certain que , avec tout le talent que nous avons ici , ils arriveront à mieux faire certaines choses. »

« L’équipe reste au plus près de mon cœur, mais cependant, après 20 ans en Formule 1, je pense que c’est le bon moment pour réfléchir sur certaines choses et d’évaluer mon avenir. Je souhaite surtout passer plus de temps avec ma famille avant de décider pour mon avenir. »

La patronne de l’équipe, Claire Williams, commente le départ de Smedley : « Ce fut un un plaisir d’ avoir Rob dans notre équipe depuis quatre ans et il nous manquera à la fois personnellement et professionnellement. »

« Il a accepté de se joindre à nous à un moment où notre performance était faible, et nous lui sommes reconnaissants d’avoir vu le potentiel pour nous de faire changer les choses à ce moment – là. »

« Il a apporté une grande contribution à l’équipe, mais il est surtout une grande personne,  inspirant beaucoup avec son enthousiasme et sa passion pour la Formule Un. Rob est dans le sport depuis longtemps, nous comprenons totalement et nous respectons sa décision de prendre un certain temps bien mérité à passer avec sa femme et ses garçons. »

Vettel ne sait pas si la mort de Marchionne a eu un impact sur Ferrari

Sebastian Vettel ne sait pas si la mort soudaine du président de Ferrari, Sergio Marchionne, au début de l’été, a eu un impact sur les performances de la Scuderia pour la suite du championnat du monde.

En effet, la Scuderia Ferrari a connu une seconde partie de saison compliquée, et si des raisons techniques ont été analysées par les observateurs, le décès de Sergio Marchionne a également été évoqué pour essayer de comprendre le manque de performance soudain de la part de l’équipe de Maranello.

Interrogé par Motorsport.com pour savoir si le décès de Marchionne avait eu un impact sur l’équipe, Sebastian Vettel répond : « Et bien, c’est possible. Je pense qu’il serait faux de dire que ce n’est pas le cas. »

« Je pense que oui, mais je pense que l’équipe a extrêmement bien réussi à rester soudée. Je pense que les résultats que nous avons obtenus ne sont pas représentatifs, et il n’est pas juste de tirer la conclusion que les résultats sont la conséquence de ce qu’il s’est passé. »

« Évidemment, il était un membre clé de notre équipe et dirigeait notre équipe de bien des façons, et c’est sûr que si vous le perdez du jour au lendemain, ça va toujours être difficile. »

« Mais vous savez, nous formons une grande équipe, nous avons beaucoup de départements, beaucoup de gens en place et…vous savez, ils…je ne veux pas dire qu’ils sont indépendants, mais ils savent ce qu’ils ont à faire. »

« Ce n’est donc pas que c’est…vous ne pouvez pas sentir le changement d’un jour à l’autre. C’est pourquoi je veux dire que l’on ne peut pas affirmer que le résultat a été ainsi du jour au lendemain à cause de cela [la mort de Marchionne]. »