Le double champion du monde Fernando Alonso a insisté sur le fait qu’il est ravi de voir Honda gagner des courses désormais en F1.

Le pilote espagnol, qui a roulé pour McLaren entre 2015 et 2017 avec un moteur Honda monté à l’arrière de sa monoplace, a été très critique envers le motoriste japonais, qui venait juste de signer son grand retour en F1.

Dès le début de la collaboration entre McLaren et Honda, il était devenu évident que les problèmes d’intégration du PU dans le châssis de la monoplace de Woking provoqueraient inévitablement des tensions entre les Britanniques d’un côté et les ingénieurs japonais de l’autre.

Durant trois années, jamais Honda et McLaren n’ont réussi à devenir compétitifs ensemble et c’est donc en toute logique que l’écurie britannique et la firme nippone ont décidé d’un commun accord de se séparer fin 2017.

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De cette relation tendue, on gardera bien évidemment en souvenir le fameux « GP2 Engine » lâché au Grand Prix du Japon par un Fernando Alonso excédé de se faire doubler en pleine ligne droite par des monoplaces censées être moins rapides que sa McLaren.

Avec un peu de recul, et alors qu’il envisage sérieusement de revenir en Formule 1 en 2021, Fernando Alonso admet qu’i n’aurait peut-être pas dû avoir un tel commentaire dans sa radio.

« Je l’ai dit par frustration, peut-être que je n’aurais pas dû le dire. Mais je ne l’ai pas dit pour les télévisions ou lors de la conférence de presse, je parlais juste à mon ingénieur, c’était une conversation privée. » explique Fernando Alonso dans un entretien accordé à F1Racing.

« Ce n’était pas censé être public, mais le moteur était très mauvais. La première année à Jerez [lors des essais hivernaux], nous avions bouclé seulement sept tours en quatre jours. »

« Maintenant, Honda gagne des courses et je reçois des messages disant que le « GP2 Engine » a gagné et que ce devrait être une journée très triste pour moi. »

« Je suis très content pour eux, mais le moteur qui était dans ma voiture à l’époque n’était pas le même que celui avec lequel ils ont gagné au Brésil [en 2019]. »

En 2019, Honda a réussi à décrocher trois victoires en Grand Prix avec la Red Bull Racing pilotée par Max Verstappen.

L’Allemand Sebastian Vettel a passé la matinée de ce vendredi à Maranello pour mouler son baquet à bord de la Ferrari 2020.

Le quadruple champion du monde de Formule 1 a passé la matinée à l’usine de Ferrari à Maranello et a participé à des réunions avec les ingénieurs et le directeur de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto.

Sebastian Vettel a pu également mouler son baquet dans le cockpit de ce qui sera pour lui la sixième Ferrari avec laquelle il courra depuis son arrivée au sein de l’équipe italienne en 2015.

La Scuderia Ferrari présentera sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 le 11 février prochain en direct du théâtre municipal Romolo Valli de Reggio Emilia, située entre Parme et Bologne en Italie.

• Red Bull n’hésitera pas à porter réclamation en cas d’irrégularité du moteur Ferrari

Une semaine plus tard, la nouvelle Ferrari devrait prendre la piste pour la première fois dans le cadre d’un shakedown sur le circuit de Barcelone en Espagne avant que les essais hivernaux ne débutent le 19 février pour deux sessions de trois jours chacune.

Les dates de présentation des F1 2020

Helmut Marko a déclaré que Red Bull n’attendrait pas pour porter réclamation auprès de la FIA en cas d’irrégularité avec le moteur Ferrari en 2020.

En fin de saison dernière, Red Bull avait pointé du doigt les étonnantes performances du moteur Ferrari, notamment sa puissance dans les portions de lignes droites.

Après avoir interpellé la FIA à ce sujet quelques jours avant le Grand Prix des États-Unis, l’écurie autrichienne s’était étonnée de voir les performances de la Scuderia Ferrari revenir à un niveau plus conforme à la réglementation.

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Mais pour Helmut Marko, la FIA n’a pas assez approfondie ses recherches :« Il y avait  de nombreux points concernant le moteur Ferrari que nous aurions aimé voir éclaircir. Mais rien n’a été fait à ce sujet. » explique Helmut Marko chez nos confrères de Motorsport-total.com.

Le débit de consommation d’essence avait été pointé du doigt en 2019 mais Red Bull ne disposait cependant pas assez d’éléments pour porter une réclamation sérieuse contre Ferrari.

Cette année, les choses pourraient être différentes et Red Bull n’hésitera pas à porter réclamation comme le précise Marko : « Leur avantage en termes de performance était incroyable. Cela ne durait que quelques tours, mais je suppose que cela n’arrivera pas l’année prochaine [en 2020]. Si nous suspectons de nouvelles irrégularités, alors nous les contesterons certainement ! »

La voie des stands du circuit de Barcelone s’est refait une petite beauté cet hiver avant que les équipes de F1 n’arrivent pour les essais hivernaux.

Le circuit de Barcelona Catalunya, qui accueille les essais hivernaux de la F1 à partir du 19 février prochain, s’est refait une petite beauté au cours de l’hiver, notamment dans la voie des stands avec le changement des portes de garage.

Traditionnellement rouge, les nouvelles portes des garages sont désormais de couleur blanche et entièrement motorisées, alors que les anciennes étaient encore manuelles.

Outre un changement visuel évident en matière de modernité, ces portes intègrent également une porte sectionnelle pour piétons, ce qui devrait faciliter l’entrée et la sortie dans le garage pour les mécaniciens. Dans la partie supérieure, une lucarne transparente laissera rentrer de la lumière naturelle.

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Dans cette même direction, et conformément aux principes de gestion durable et engagés dans l’environnement de l’aménagement catalan, le système d’éclairage des garages a également été remplacé. Des lumières LED ont été installées, avec une consommation d’énergie nettement inférieure et une puissance accrue.

Notez que c’est dans cette même voie des stands du tracé espagnol que seront présentées l’Alfa Romeo C39 et la Haas VF-20 cette année le matin du premier jour des essais hivernaux 2020.

Les équipes de Formule 1 débarqueront sur le tracé de Barcelone à partir du 17 février 2020, alors que la première journée de roulage aura lieu le 19 février.

Aston Martin Lagonda se réjouit de la levée de fonds introduits par le milliardaire Lawrence Stroll.

Ce vendredi, Aston Martin Lagonda a annoncé une collecte de fonds à hauteur de 500 millions de livres sterling grâce à un consortium dirigé par Lawrence Stroll, qui détient désormais 16,7% des parts d’Aston Martin.

Comme l’explique Andy Palmer, cette collecte de fonds était nécéssaire pour assurer l’avenir à long terme de la société, qui a souffert de mauvaises performances en 2019.

« Comme nous l’avons annoncé le 7 janvier 2020, l’année écoulée a été une période malheureusement décevante et difficile pour la Société. Malgré nos efforts continus, les conditions commerciales difficiles et les mauvaises performances qui en résultent en 2019 ont mis la Société dans une situation de tension avec une pression sévère sur la liquidité et a affecté notre capacité à livrer par rapport à notre plan d’origine. » explique Andy Palmer, président et chef de la direction du groupe Aston Martin.

« La collecte de fonds d’aujourd’hui est nécessaire et fournit une plate-forme pour soutenir l’avenir à long terme de la société. M. Stroll apporte une expertise solide et éprouvée dans les marques automobiles et de luxe plus largement, et nous estimons que cela bénéficiera considérablement à Aston Martin Lagonda. »

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« Après un examen approfondi, nous annonçons aujourd’hui une série de mesures immédiates pour réinitialiser, stabiliser et réduire les risques de l’entreprise, en la positionnant pour une croissance rentable et contrôlée à long terme, notamment avec le rééquilibrage de l’offre. -dynamique de la demande, réduction des dépenses en capital et rééchelonnement de certains futurs lancements de produits, ainsi qu’une initiative de rentabilité. »

« Cette année, nous livrerons de nouveaux produits passionnants avec le très attendu DBX au cours du deuxième trimestre, le Vantage Roadster au printemps et les livraisons d’Aston Martin Valkyrie. »

« Nous avons également annoncé des plans pour tirer parti d’une nouvelle collaboration en sport automobile avec Racing Point pour améliorer l’exécution du plan. Je tiens à remercier Red Bull Racing, que nous continuerons à parrainer cette année, pour leur partenariat et leur soutien en nous permettant de le dire aujourd’hui. »

« Les actions annoncées aujourd’hui nous permettront de mettre en œuvre et de concrétiser notre plan de réinitialisation et de fournir à Aston Martin Lagonda une plate-forme durable pour l’avenir. »

Une équipe d’usine en F1 en 2021

Aston Martin Lagonda a conclu un accord selon lequel l’équipe Racing Point deviendra l’équipe d’usine Aston Martin F1 à partir de la saison 2021.

En vertu de cet arrangement, les parties ont convenu de déployer tous les efforts raisonnables pour négocier de bonne foi en vue de conclure un accord de parrainage officiel dès que  possible, et en tout état de cause dans les 28 jours suivant cette annonce.

De plus amples détails seront contenus dans la circulaire et le prospectus combinés lors de leur publication, notamment en ce qui concerne l’accord de relation avec le consortium, l’accord de parrainage avec la F1 et la lettre de nomination de Lawrence Stroll.

L’équipe Williams Racing vient de dévoiler la date de présentation de sa monoplace pour la saison 2020.

L’écurie britannique dévoilera aux médias sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 le 17 février, soit deux jours avant le début des essais hivernaux qui se dérouleront à Barcelone.

Neuf équipes de la grille ont dévoilé la date de présentation de leur monoplace pour la saison 2020 et il ne reste plus qu’à attendre l’annonce de Red Bull Racing, même si l’on sait que la RB16 roulera à Silverstone le 12 février.

Les dates de présentation des F1 2020

Ayant raté de peu l’accueil des essais hivernaux cette année, qui se dérouleront de nouveau à Barcelone, le circuit Paul Ricard est clairement candidat pour 2021.

Cela n’est un secret pour personne, le circuit Paul Ricard aimerait bien accueillir les essais hivernaux de la Formule 1 qui se déroulent pendant le mois de février.

Période plutôt calme pour la piste varoise dont le calendrier prend vie généralement en mars, l’organisation de ces essais permettrait au circuit de démarrer sa saison plus tôt et d’avoir une visibilité plus grande dans le microcosme de la Formule 1.

« Nous sommes candidats pour accueillir les essais hivernaux ! On en rêve et on en discute. » affirme ainsi à F1only.fr, le Directeur du circuit Stéphane Clair.

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Une option qui aurait bien pu se concrétiser dès cette année si le circuit de Barcelone n’avait pas réussi à conserver son épreuve au calendrier : « Nous avions de grandes chances pour que cela se passe ici cette année jusqu’à ce que Barcelone revienne dans la course. »

« Dans le deal conclut avec Barcelone [pour conserver leur Grand Prix] il fallait qu’ils organisent les essais et donc la F1 a estimé que Barcelone lui avait beaucoup donné et qu’il était normal qu’ils les aident de la sorte en prolongeant leur course d’un an avec les essais hivernaux en plus. » nous précise Stéphane Clair.

Du côté des équipes, la possibilité de venir dans le sud de la France plutôt qu’en Espagne ne change pas grand chose comme l’explique le Directeur du circuit Paul Ricard :« Il n’y a pas de différence pour les écuries d’aller à Barcelone ou de venir ici en terme climatique et de distance. »

« Ils ont les même données à Barcelone qu’ici donc, pour eux, en fonction de ce qui est choisi, cela ne posera pas de problème. Ce qu’ils ne veulent surtout pas c’est aller à l’autre bout du monde. »

La décision concernant l’organisation des essais hivernaux 2021 devrait intervenir dans l’été, quinze jours après la première publication officielle du calendrier, comme le prévoient les Accords Concorde.

L’équipe Red Bull Racing a confirmé le départ de son sponsor titre Aston Martin à la fin de la saison 2020.

Ce vendredi, Lawrence Stroll a massivement investi chez Aston Martin, qui disposera à partir de la saison 2021 de sa propre écurie d’usine en Formule 1.

Actuellement sponsor titre de l’équipe Red Bull Racing, Aston Martin terminera la saison 2020 aux côtés de l’équipe de Milton Keynes, tandis que Red Bull Technologies continuera de travailler avec Aston Martin pour livrer l’hypercar Valkyrie.

« Red Bull Racing peut confirmer que le constructeur restera partenaire titre jusqu’à la fin de la saison 2020 mais ce contrat ne sera pas prolongé au-delà de la fin de la période en cours. » a annoncé Red Bull ce vendredi via un communiqué de presse.

« Red Bull Racing a accepté de libérer Aston Martin de sa clause d’exclusivité de Formule Un, ce qui lui a permis de générer l’investissement nécessaire pour refinancer et rechercher des opportunités alternatives dans le sport. »

« Red Bull Advanced Technologies continuera de travailler avec Aston Martin afin de livrer l’hypercar Valkyrie, les premières voitures devant être livrées à la fin de l’année. »

« Nous remercions Aston Martin pour son soutien au cours des quatre dernières années, au cours desquelles nous avons réalisé 12 victoires, 50 podiums et six pole positions ensemble. »

« Nous souhaitons bonne chance aux employés et actionnaires d’Aston Martin pour l’avenir et notre objectif demeure de travailler ensemble tout au long de la saison 2020 et de mettre un terme à notre partenariat. »

Le directeur général de Mercedes, Ola Källenius, a démenti les dernières rumeurs selon lesquelles le constructeur allemand s’apprêterait à quitter la F1.

Depuis quelques jours, des rumeurs suggèrent que le constructeur allemand s’apprête à se séparer de son équipe de Formule 1, la presse britannique ayant avancé l’hypothèse que Mercedes prendrait une décision finale le 12 février lors d’une réunion du conseil d’administration de Daimler.

Interrogé par l’agence de presse Reuters, le directeur général de Mercedes, Ola Källenius, dément formellement cette rumeur et a également indiqué qu’il n’y aurait pas de réunion planifiée à cette date.

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes en F1 avait déjà démenti des rumeurs au sujet d’un possible retrait de Mercedes après 2020. Selon Toto Wolff, la firme à l’étoile envisage plutôt un engagement à long terme en catégorie reine du sport automobile.

« Si vous demandiez aujourd’hui quelle équipe a le plus de succès dans l’histoire du sport, la plupart vous indiquerait Ferrari. C’est simplement parce qu’ils sont là depuis plus de cinquante ans. » a expliqué Toto Wolff à Motorsport-Total au début du mois de janvier.

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« C’est pour cela que je pense que participer plus longtemps est meilleur pour la crédibilité de votre marque, plutôt que de quitter le sport aussi rapidement que vous êtes venus. Tout indique que nous resterons, mais si ce n’est pas assuré. »

« Pour le moment, nous sommes toujours en pleine discussion sur les accords Concorde, mais à part cela, il y a actuellement toutes sortes de développements en cours dans l’industrie automobile et de ses effets dans le sport. »

« Pour l’instant, rien n’indique que quelque chose va changer. Nous n’avons pas fixé de date limite pour cette décision importante, mais nous sommes actuellement fixés sur une participation à long terme en F1. »

Interrogé par notre confrère Christian Menath de Motorsport-Magazin, Helmut Marko a confirmé que la RB16 prendrait la piste pour la première fois le 12 février.

L’équipe Red Bull Racing n’a toujours pas dévoilé la date de présentation de sa monoplace pour la saison 2020 [la RB16], mais le conseiller motorsport de l’équipe, Helmut Marko, a confirmé qu’elle prendrait la piste pour la première fois le 12 février.

« Le 12 février, nous effectuerons un shakedown sur le circuit de Silverstone, après que la voiture aura déjà roulé sur le banc d’essais. » a confirmé Marko.

L’écurie basée à Milton Keynes devrait certainement publier des images de sa nouvelle monoplace le 12 février, quelques minutes avant qu’elle ne prenne la piste pour la première fois à Silverstone dans le cadre d’un shakedown.

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A propos de la RB16, Helmut Marko a également confirmé que l’équipe était dans les temps : « Nous sommes en avance sur le calendrier, tout va bien jusqu’à présent. » souligne l’Autrichien.

« Etre en avance sur le calendrier est une bonne chose, nous espérons ainsi éviter un début de saison faible comme ce fut le cas les années précédentes. »

Toujours pas d’annonce officielle donc pour la présentation de la RB16, mais la date du 12 février 2020 semble être désormais de plus en plus probable.

Franz Tost estime que les équipes de Formule 1 devront commencer à faire tourner des membres du personnel si le calendrier dépasse les 22 courses.

Cette année, le calendrier de la Formule 1 comptera un nombre record de 22 courses avec l’ajout de deux nouvelles destinations : le Vietnam et les Pays-Bas.

Alors que le président de la FIA, Jean Todt, a récemment déclaré que le personnel travaillant en F1 était privilégié, le directeur de l’équipe Alpha Tauri lui estime pour sa part qu’une limite a été atteinte cette année.

« Nous n’avons pas apporté de changements [en termes de personnel cette année], c’est juste une course de plus que l’an dernier. » explique Franz Tost à Racer.

« C’est presque comme la saison dernière, nous partons en mars et la dernière course a lieu fin novembre, il n’y a pas de grands changements. En 2019, nous avons débuté la saison le 17 mars et l’avons terminé le 1er décembre. »

• Quoi de neuf pour la saison 2020 de F1 ?

« En 2020, nous débuterons le 15 mars et terminerons le 29 novembre. Il n’y a donc pas une grande différence. »

« Il y aura une course de plus sur toute la saison, mais nous n’aurons pas besoin de faire tourner le personnel. Mais je pense que 22 courses est maintenant la limite absolue. »

« Si nous avons plus de courses à l’avenir, je pense que les équipes devront faire tourner les gens – mécaniciens, ingénieurs – parce que sinon ce sera trop pour eux. »

Liberty Media, les détenteurs des droits commerciaux de la F1, n’ont pas caché qu’ils souhaitaient allonger le calendrier jusqu’à 25 courses par saison. Avec l’arrivée potentielle de Miami ou encore de Panama ou l’Argentine, l’objectif serait atteint.

Le calendrier F1 2020

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton s’est senti obligé de répondre aux rumeurs qui circulent depuis quelques jours à son sujet.

Depuis quelques jours maintenant, certains médias « spécialisés » n’ont pas hésité à affirmer que le pilote Mercedes demanderait jusqu’à 90 millions de dollars par an à Mercedes pour prolonger son contrat au delà de la saison 2020.

Le sextuple champion du monde de Formule 1, dont le contrat avec Mercedes expire à la fin de cette saison, a décidé de publier un court message sur son compte Instagram pour nier catégoriquement toutes ces rumeurs.

« Pour votre information, Toto [Wolff, directeur exécutif de Mercedes] et moi n’avons pas encore parlé de contrat. Rien n’a encore été négocié pour le moment. Tous ces articles ne sont que des rumeurs. » affirme le pilote Mercedes.

• Quoi de neuf pour la saison 2020 en F1 ?

Comme nous vous expliquions ce matin dans un précédent article, il est impossible de connaître le véritable salaire d’un pilote de Formule 1 et c’est pourquoi sur F1only.fr nous ne parlons jamais des salaires, ni même des bonus financiers reçus par les pilotes tout au long de l’année.

Il est peu probable que les salaires des pilotes soient un jour publiés et la seule véritable façon de savoir combien gagne un pilote serait d’avoir directement accès à son contrat via le CRB [le comité de reconnaissance des contrats de la FIA]. Personne, hormis les avocats et les managers des pilotes, n’ont accès à ces documents confidentiels.

Le CRB en F1 est un organisme créé par l’organe directeur du sport automobile, la FIA, pour déterminer la légalité des contrats de pilotes et régler les différends entre les équipes de Formule 1 à propos de ces contrats.

Le CRB, fondé en 1992, se réunit à Genève, en Suisse, et est composé d’avocats indépendants qui sont considérés comme ayant une expérience appropriée en droit des contrats. Il vise à régler les différends en quelques jours, plutôt que les délais prolongés qu’un tribunal devrait prendre.

Le CRB a été formé après que Michael Schumacher a signé pour piloter pour l’équipe Benetton en 1991. En mettant en place le CRB, la FIA a tenu à montrer qu’elle souhaitait réguler les transferts en Formule 1 et empêcher certains abus que l’on peut voir dans le football par exemple.

La Scuderia Ferrari a publié une courte vidéo dans laquelle on peut entendre le son du moteur Ferrari 2020.

Tout comme Mercedes ce mardi et McLaren ce mercredi, la Scuderia Ferrari vient de dévoiler le son du moteur V6 hybride de Maranello qui sera monté à l’arrière de la monoplace de Sebastian Vettel et Charles Leclerc cette année.

En plus de motoriser sa propre écurie, Ferrari fournira également son moteur à l’écurie Haas, ainsi qu’à Alfa Romeo en 2020.

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Peu avant 10h00 ce mercredi matin à Maranello. Les ingénieurs, les autres membres du personnel et la direction étaient tous présents dans l’installation de la Gestion Sportive de l’écurie italienne pour entendre craquer pour la première fois le moteur Ferrari.

La monoplace 2020 de Ferrari sera officiellement lancée le 11 février à 18h30 au Théâtre municipal Romolo Valli de Reggio Emilia.

Le son du V6 hybride Ferrari 2020

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Get ready to hear our 2020 car roar into life ? https://t.co/fcZh3qEtK1#essereFerrari ? #Seb5 #Charles16 pic.twitter.com/mtX3mMyC6G

— Scuderia Ferrari (@ScuderiaFerrari) January 29, 2020

L’équipe McLaren a publié une courte vidéo dans laquelle on peut entendre le son du moteur Renault 2020.

L’écurie britannique basée à Woking a fait craquer le moteur Renault monté à l’arrière de la MCL35 qui sera pilotée cette année par Lando Norris et Carlos Sainz.

Il s’agira de la dernière année de collaboration entre Renault et McLaren, qui sera équipée dès l’an prochain du moteur Mercedes sur sa future MCL36.

L’équipe McLaren dévoilera sa nouvelle monoplace le 13 février prochain en direct depuis ses installations en Angleterre.

Le son du moteur Renault 2020

Stop scrolling. ✋
Turn up your volume. ?
Listen as the #MCL35 comes to life. ? pic.twitter.com/TINuIXxQjh

— McLaren (@McLarenF1) January 29, 2020

L’ancien pilote Mercedes a piloté une Ferrari Monza SP1 sur la piste d’essais de la marque au cheval cabré à Fiorano en Italie.

La Monza SP1 [monoplace], créée sur la base d’une Ferrari 812 Superfast, est l’une des machines les plus abouties de la marque italienne, mais aussi l’une des plus chères avec un prix de vente avoisinant les 1,7 millions d’euros.

Sous le capot de la belle italienne se trouve un moteur V12 de 6,5 litres de cylindrée développant la bagatelle de 812 chevaux. Le 0 à 100 est abattu en seulement 2,9 secondes.

• Binotto revient sur sa première saison en tant que directeur de Ferrari

Le champion du monde de F1 2016 Nico Rosberg a eu le privilège de pouvoir faire partie des rares personnes ayant pris le volant de cette voiture spectaculaire et l’Allemand en garde un sacré souvenir.

« C’est un grand honneur de pouvoir conduire cette voiture. J’ai été la première personne extérieure [à Ferrari] à pouvoir la piloter. » explique Nico Rosberg.

« C’est donc un privilège. La conduite est très bonne, mais la puissance…Je ne savais pas que le contrôle de traction avait été enlevé, la voiture patinait beaucoup. Si vous n’avez pas le contrôle de traction, vous vous retrouvez seul avec dieu. »

Nico Rosberg au volant de la Ferrari Monza SP1