La pilote automobile suisse Laura Villars est entrée dans l’histoire en devenant la première femme à se porter candidate à la présidence de la FIA. À 28 ans, elle rejoint le président sortant Mohammed Ben Sulayem et l’ancien commissaire de F1 Tim Mayer dans la course à l’élection prévue en décembre 2025 à Tachkent, en Ouzbékistan.
Née en août 1997, Villars possède une solide expérience en Formule 3 et Formule 4. Elle participe actuellement à la Ligier European Series, une compétition pour prototypes.
En annonçant sa candidature, elle a déclaré :
« La FIA doit redevenir la fédération des clubs et des titulaires de licence. Mon ambition est une gouvernance plus démocratique, plus transparente, plus responsable et ouverte aux femmes et aux nouvelles générations. »
Un programme en cinq points
1. Renforcer le programme « Women in Motorsport » : initiatives comme Girls on Track, mentorat, et création d’une académie des jeunes leaders de la FIA.
2. Soutenir les clubs grâce à des consultations régulières et une gouvernance participative.
3. Améliorer la transparence dans la gestion financière et la prise de décision.
4. Introduire un label « FIA Eco-Performance » pour récompenser les meilleures initiatives en matière de durabilité.
5. Positionner la FIA comme référence mondiale en mobilité durable et sécurité routière.
Avec sa candidature, Laura Villars veut incarner un changement de génération et de culture, misant sur la diversité et l’innovation pour façonner l’avenir du sport automobile.
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Veux-tu que je prépare aussi un comparatif rapide des trois candidats à la présidence FIA 2025 (Villars vs Ben Sulayem vs Mayer) pour donner une vision d’ensemble aux lecteurs ?