Albon ne veut pas penser à un plan B et reste concentré sur son plan A

Alexander Albon n’est pas intéressé par un plan B et dit qu’il reste entièrement concentré sur son plan A qui est de rester chez Red Bull Racing la saison prochaine.

Le pilote thaïlandais est sous pression depuis plusieurs semaines chez Red Bull et sait qu’il ne lui reste plus que trois courses pour prouver à ses patrons qu’il mérite de rester dans l’équipe l’an prochain aux côtés de Max Verstappen.

Les dirigeants de l’équipe de Milton Keynes ont dit qu’ils laisseraient à Albon jusqu’à la fin de l’année pour faire ses preuves, tandis que Sergio Perez – qui quittera l’équipe Racing Point à la fin de la saison 2020 – attend toujours une réponse de Red Bull.

Lors de la dernière course disputée à Istanbul, Albon a terminé à la septième place au volant d’une monoplace qui semblait plus « maitrisable » pour le Thaïlandais à la suite de quelques réglages réalisés par son équipe, ce qui lui donne une certaine confiance avant d’aborder les trois derniers Grands Prix de l’année.

« C’était un bon week-end de mon côté. C’était un pas en avant en termes de rythme, et nous avons fait quelque chose sur ma voiture qui semblait fonctionner. » a déclaré Albon ce jeudi à Bahreïn.

« Au final, il ne reste que trois courses pour montrer de quoi je suis capable et je veux avoir quelques bonnes courses devant moi. »

« L’accent est mis sur ces trois courses, je ne pense à rien d’autre. La plupart des gens ont un plan B, mais mon plan est le plan A, qui est de rester dans l’équipe. Je suis concentré sur cela, c’est mon objectif et comme je l’ai déjà dit je me concentre sur ces courses. »

Au championnat du monde, Albon occupe la neuvième position avec 70 points inscrits depuis le début de l’année, contre 170 pour son coéquipier Max Verstappen.

 

Carlos Sainz envisage un test privé avec Ferrari avant 2021

L’Espagnol Carlos Sainz envisage d’effectuer un test privé au volant d’une Ferrari vieille d’au moins deux saisons avant de débuter la saison 2021 dans sa nouvelle équipe.

En 2021, Sainz rejoindra la Scuderia Ferrari aux côtés de Charles Leclerc et en remplacement de Sebastian Vettel. Mais avant de débuter sa saison 2021, le pilote espagnol aimerait pouvoir rouler au moins une journée au volant d’une Ferrari, notamment parce que les essais hivernaux seront réduits de moitié l’année prochaine en Formule 1.

Avec seulement trois journées d’essais hivernaux prévues, cela veut dire que les pilotes n’auront le droit qu’à un peu plus d’une journée chacun au volant de la monoplace 2021, ce qui n’est pas assez selon Carlos Sainz.

L’actuel pilote McLaren comptait sur le test d’Abou Dhabi en fin d’année pour pouvoir rouler pour la première fois au volant d’une Ferrari, mais l’équipe italienne n’a pas eu l’autorisation de la part de la FIA, parce que ces essais sont réservés aux jeunes pilotes.

« C’est une option de faire un test privé avec une Ferrari d’il y a deux saisons. » a expliqué Sainz ce jeudi à Bahreïn aux médias.

« Cela servira pour être plus à l’aise dans la voiture et commencer à connaître les détails des boutons sur le volant et ainsi de suite. »

« Lorsque je commencerai à travailler avec Ferrari, nous commencerons à réfléchir à la manière dont nous pouvons être mieux préparés pour la première course. Faire ce test change tout, parce que vous arrivez aux essais hivernaux avec un baquet bien fait et vous savez comment fonctionne le volant. »

« Vous savez comment fonctionne la voiture, comment se passe la configuration, vous savez quoi tester…vous aurez déjà travaillé avec votre ingénieur et vous pourrez affiner les communications, rencontrer le reste de l’équipe avec laquelle vous allez travailler. »

« Vous pouvez aussi tester dans le simulateur et voir comment la voiture se comporte sur la piste. Ces tests sont fondamentaux. Ce sera difficile de ne pas être à Abou Dhabi avec Ferrari. »

« Nous allons trouver un moyen de minimiser ces pertes, mais rien ne sera pareil. Le simulateur n’a rien à voir avec le pilotage d’une vraie voiture. Je pense que ce sera certainement mon hiver le plus difficile. »

« C’est comme ça, cela complique beaucoup nos vies à moi, Fernando [Alonso], Vettel et Ricciardo. Cela va nous compliquer la première moitié de l’année, parce qu’une journée et demie de tests hivernaux ne suffit pas pour préparer toute l’année avec la complexité de ces voitures. Je peux vous assurer que nous serons verts lors de la première course de l’année. »

Steiner : Grosjean est parfois difficile à gérer quand il fait son « Romain »

Le patron de l’équipe Haas, Guenther Steiner, a admis que le Français Romain Grosjean avait été difficile à gérer à certains moments lors des cinq années de collaboration depuis la saison 2016, mais estime que dans l’ensemble, Grosjean a été un « véritable atout ».

Romain Grosjean a rejoint la jeune équipe Haas au tout début lors de la saison 2016 et a rapidement marqué les premiers points de l’écurie américaine lors de la manche d’ouverture en Australie.

Depuis, Grosjean a été une véritable force dans l’équipe et a aidé Haas à développer sa monoplace au fil des années pour finalement devenir la cinquième meilleure équipe de la grille en 2018.

Mais comme le rappelle Steiner, au cours de ces cinq années,  il y a également eu des moments moins joyeux et le tempérament du Français un peu « râleur » sur les bords et quelques erreurs commises à des moments importants ont pu rendre la gestion de son pilote difficile.

« Romain peut être difficile à certains moments, mais quand vous l’avez le bon jour au bon moment, il est un grand atout pour l’équipe et je pense que nous devons le remercier pour cela, pour ce qu’il a fait pour nous. » a déclaré Steiner à Bahreïn ce jeudi.

« Il a cru en nous dès le début, il est resté avec nous cinq années, et nous avons montré que nous croyions en lui parce que nous aurions pu le laisser partir après trois ans, quatre ans, mais nous l’avons gardé même si parfois il peut être « Romain ». »

« J’appelle ça « être Romain », parce qu’il n’y a pas de mot pour ça. Il est difficile à gérer, mais sinon, il a été un grand atout pour l’équipe et il entrera dans l’histoire de l’équipe Haas. Il en fera partie pour toujours. »

Romain Grosjean pour sa part a répondu à son patron par micro interposé soulignant à quel point les erreurs sont plus probables lorsque la monoplace n’est pas facile à piloter.

« Je pense que j’ai apporté pas mal à l’équipe. J’ai eu des moments où j’ai commis des erreurs, mais qui n’en fait pas ? » a déclaré Grosjean.

« Je pense aussi que lorsque vous avez une mauvaise voiture vous devez essayer de conduire à 105% pour obtenir quelque chose de bien. »

« Et lorsque vous pilotez à ce niveau, il y a de fortes chances pour que vous fassiez des erreurs. Lorsque vous avez une voiture de qualité supérieure, vous pouvez alors conduire à 99,8% et cela signifie que vous êtes plus cohérent. »

« Je connais les deux situations, c’est pourquoi je peux dire cela. Suis-je difficile à gérer? Je ne sais pas. Certaines personnes l’ont très bien fait avec moi dans le passé, alors je suppose que c’est possible. »

Daniil Kvyat admet que ses chances de rester chez AlphaTauri sont « très minces »

Le Russe Daniil Kvyat semble en grand partie résigné à perdre son baquet chez AlphaTauri en 2021, après avoir déclaré ce jeudi à Bahreïn que ses espoirs de rester au sein de l’équipe diminuent.

Avec seulement trois courses restantes avant la fin de la saison 2020, l’avenir du Russe n’a toujours pas été décidé par Red Bull, tandis que le pilote japonais Yuki Tsunoda semble être un très sérieux candidat pour prendre sa place l’an prochain en F1.

Interrogé ce jeudi une nouvelle fois sur son avenir, Kvyat a admis que cette saison 2020 pourrait finalement être sa dernière chez AlphaTauri.

« Je sais, comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, que mes chances d’être ici l’année prochaine sont très minces. » a déclaré Kvyat à Bahreïn.

« Tout dépendra de scénarios bien particuliers, donc, je vais rester sage et concentrer mon esprit uniquement sur les trois dernières courses et ne pas trop penser à mon avenir. »

« Je vais juste essayer de donner le meilleur de moi-même pour mon équipe lors des prochaines courses et ensuite nous verrons. »

« Que je reste ou non, je dois toujours donner le meilleur de moi-même à chaque course et cela ne change pas pour ces trois dernières courses. »

« Je vais faire de mon mieux, je travaille avec mes ingénieurs, je fais de mon mieux pour piloter et c’est la seule chose que je puisse faire dans ces circonstances. »

Les pilotes pourront tester les pneus 2021 en EL1 ou EL2 à Bahreïn

Les pilotes auront la possibilité de choisir librement s’ils souhaitent utiliser les pneus prototypes de Pirelli pour la saison 2021 lors des EL1 ou des EL2 ce vendredi à Bahreïn.

Ce week-end, tous les pilotes pourront tester les pneus Pirelli de spécification 2021 qui ont été homologués par la FIA après le test qui a eu lieu en EL2 à Portimao au Portugal le mois dernier.

« Suite à un vote modifiant l’article 24.1 du règlement sportif, Pirelli fournira deux trains de pneus en composé C3 2021 au Grand Prix de Bahreïn par voiture. » indique Pirelli ce jeudi à Bahreïn.

« Les deux sets peuvent être utilisés en EL1 ou EL2, à la discrétion des équipes, et pour un run minimum de six tours chronométrés chacun, mais au moins un de ces deux sets doit être utilisé pour six tours chronométrés en EL2, même s’il a été utilisé lors des EL1. »

« La pression des pneus pour le test sera fixée à 21 psi à l’avant (1,5 psi de moins que la spécification 2020 actuelle) et 20,5 psi à l’arrière (0,5 psi de moins que la spécification 2020 actuelle). »

« À Abu Dhabi, un jeu de pneus sera fourni par voiture en composé C4 2021, qui ne doit être utilisé qu’en EL2 et uniquement pour un run minimum de huit tours chronométrés. »

« Ces pneus 2021 seront attribués en plus de l’allocation standard pour les deux courses (deux ensembles de pneus durs, trois ensembles de mediums et huit ensembles de tendres par voiture). »

Russell pas mécontent de ne pas rouler lors des EL1 à Bahreïn

Ce vendredi au Grand Prix de Bahreïn, le Britannique George Russell sera remplacé lors des EL1 par le pilote de réserve de l’équipe, l’Israélien Roy Nissany, au volant de la FW43.

Nissany participera à sa troisième sortie officielle au volant de la Williams cette saison après avoir déjà roulé en EL1 en Espagne et en Italie sur le tracé de Monza.

Interrogé ce jeudi pour savoir s’il ne serait pas pénalisé pour la suite du week-end par son absence lors des premiers essais libres, George Russell affirme qu’il pourrait en fait y avoir un certain avantage à ne pas rouler lors de la seule séance du week-end disputée de jour.

« Il y a souvent du sable sur la piste lors des EL1 et c’est en plein milieu de la journée, alors que les qualifications et la course auront lieu de nuit. » a expliqué Russell ce jeudi à Bahreïn.

« Il y a sans doute certains avantages à rater les EL1 dans des conditions comme celles-ci. Je serai donc impatient de rester sur la touche et de me mettre en forme pour les essais libres 2. »

« Je pense que les EL2 sont vraiment les seuls essais appropriés, donc l’accent sera mis sur cette session et s’il y a des problèmes c’est à ce moment-là que vous pouvez les régler. »

« C’est ce qui rend les courses à Bahreïn et Abou Dhabi si uniques. Même si nous avons trois sessions à disputer, je pense que c’est la seule qui compte vraiment. »

Perez toujours dans l’attente d’une réponse de la part de Red Bull

Le Mexicain Sergio Perez a une nouvelle fois évoqué la possibilité pour lui de prendre une année sabbatique l’an prochain si jamais il n’obtient pas une réponse positive de la part de l’équipe Red Bull Racing.

Red Bull n’a toujours pas confirmé son deuxième pilote pour la saison prochaine [Verstappen a déjà été confirmé jusqu’en 2023] et Sergio Perez – qui sera libre à la fin de la saison 2020 – semble être un candidat sérieux pour remplacer l’actuel pilote Alexander Albon.

Mais l’équipe de Milton Keynes ne semble pas pressée de prendre sa décision et a laissé à Albon jusqu’à la fin de la saison 2020 pour prouver qu’il mérite toujours son baquet aux cotés de Max Verstappen l’an prochain.

Perez pour sa part a déjà déclaré en Turquie il y a quinze jours qu’il n’écartait pas l’idée de passer une année sabbatique en 2021 et a de nouveau évoqué cette hypothèse ce jeudi à Bahreïn.

« Je n’ai pas de nouvelles concernant mon avenir. Il n’y a qu’une seule option, mais ce n’est pas entre mes mains. » a répété Sergio Perez ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix de Bahreïn.

« Si le plan A [Red Bull] ne se concrétise pas, j’aurai une année sabbatique et nous verrons alors si je serai intéressé pour revenir. »

« Je pense que s’il n’y a pas un bon projet qui peut me garder motivé à 100%, je préfère ne pas le prendre. »

« Si je ne pilote pas en Formule 1 l’année prochaine, je ne me vois pas piloter ailleurs dans une autre catégorie. J’ai des options en dehors de la F1, mais c’est un peu tôt pour prendre des décisions de toute façon. »

A trois courses de la fin de saison, Sergio Perez occupe actuellement la quatrième position au classement des pilotes.

L’équipe Haas a bien failli disparaître avec la crise économique

Avec une grande franchise, le directeur de l’équipe Haas, Guenther Steiner, a confirmé que l’écurie américaine a bien failli disparaître cette année avec la crise économique liée à la pandémie.

Déjà fragilisée financièrement après des résultats médiocres l’an dernier, la petite écurie Haas n’a pas été épargnée par la crise économique cette année du fait de l’annulation – ou du tout moins du report – du début de la saison 2020.

Lorsqu’on lui demande s’il peut dresser un bilan de cette saison 2020 si atypique, Steiner s’est voulu très franc face aux médias lors du traditionnel point presse de l’équipe d’avant Grand Prix.

« Nous avons réussi à survivre, c’est la seule chose que nous ayons bien faite. » a déclaré le patron de l’équipe Haas ce jeudi à Bahreïn.

« Je pense qu’il y avait de grandes chances que nous ne soyons plus ici, et je pense que tout le monde s’est rassemblé et nous sommes ici pour rester. »

« Nous n’avons peut-être pas été suffisamment bons en piste cette année, mais je pense que nous avons été assez bons pour l’avenir de Haas, ainsi que pour la F1, car même si l’on pense qu’ils n’ont pas besoin de nous, la Formule 1 a besoin d’équipes comme Haas. »

La Formule 1 est sur le point de terminer une saison 2020 composée de 17 manches avec trois dernières courses à disputer au cours des trois prochains week-ends.

Le patron de l’équipe Haas a tenu à son tour à féliciter les officiels de la catégorie reine pour avoir réussi à mettre sur pied une saison presque complète en si peu de temps.

« Après l’Australie, chaque jour apportait son lot de mauvaises nouvelles et c’est incroyable qu’ils aient réussi à faire tout ça.. Nous avons eu une saison très intéressante sur le plan sportif, ce qui était bien, mais nous n’avions pas de spectateurs et donc pas de revenus. »

« Mais au moins, nous avons continué le sport. La F1 a continué et elle n’a pas connu une mauvaise année, je ne dirais pas non plus que ce fut une bonne année, mais elle n’était pas mauvaise. Cela aurait pu être bien pire. »

Au championnat du monde 2020, l’équipe Haas occupe l’avant dernière position au classement des constructeurs avec seulement 3 points inscrits depuis le début de l’année.

Limites de piste : le virage 4 sous surveillance à Bahreïn

Il n’y aura que la sortie du virage numéro 4 ce week-end au Grand Prix de Bahreïn qui sera sous étroite surveillance de la part de la FIA concernant le respect des limites de la piste.

Dans une note envoyée aux équipes à la veille du Grand Prix de Bahreïn ce jeudi, la FIA rappelle aux équipes que : « le temps au tour réalisé lors d’une séance d’essais ou pendant la course en quittant la piste à la sortie du virage 4 sera invalidé par les commissaires de course. »

« Un pilote sera jugé avoir franchi les limites de la piste si aucune partie de la voiture ne reste en contact avec la piste. »

« A chaque fois qu’un pilote ne parvient pas à négocier la sortie du virage 4 en utilisant la piste, les équipes seront informées via le système de messagerie officiel. »

« En course, à la troisième occasion où un pilote n’arrivera pas à négocier la sortie du virage 4 en empruntant la piste recevra un drapeau noir et blanc, tandis que toute autre coupure sera alors signalée aux commissaires. »

Hamilton continuera à afficher ses messages politiques en F1

Lewis Hamilton est revenu un peu plus en détail sur les propos qu’il a tenu à la veille du Grand Prix du Portugal au sujet de l’ancien pilote de F1 Vitaly Petrov.

A Portimao, la FIA a pris la décision de nommer le Russe Vitaly Petrov comme commissaire sportif au Grand Prix du Portugal ce qui a étonné le septuple champion du monde après que Petrov ait critiqué ouvertement dans les médias le choix d’Hamilton de poser un genou à terre avant les Grands Prix de F1 pour montrer son soutien à la lutte contre le racisme.

Lorsqu’on lui demande s’il pense que la FIA a commis une erreur en décidant de nommer Petrov commissaire malgré les propos tenus par le Russe, Hamilton a répondu : « Je ne sais pas si on peut appeler cela une erreur, mais je pense que la FIA est une grande organisation et ce sont des leaders, vous exposez vos valeurs et ce pour quoi vous vous battez, et pourtant, vous embauchez des gens qui ne portent pas ces valeurs… » explique Hamilton lors d’un entretien accordé à GQ.

« Personnellement, je ne comprends pas ça. Je ne le connais pas très bien [Petrov] et je ne pourrais pas dire s’il est bon ou pas – je pense que ses résultats parlent d’eux-mêmes dans sa carrière – mais je pensais juste qu’il s’agissait d’un pas dans la mauvaise direction et même un recul. »

Pour la petite anecdote, Vitaly Petrov devra finalement quitter le Portugal prématurément suite au décès de son père.

Autre point abordé lors de cette longue interview, après le Grand Prix de Toscane où Hamilton portait un T-Shirt avec un message de soutien à Breonna Taylor [lire ici], les règles de la Formule 1 ont été modifiées pour interdire aux pilotes de porter des messages politiques sur le podium ou avant la course lors de l’hymne national du pays organisateur.

Mais le pilote Mercedes indique qu’il n’hésitera pas à l’avenir à porter un autre T-Shirt pour continuer de sensibiliser les gens à différentes causes.

« Si j’estime que c’est important, je le ferai. Je vais le refaire. » assure le septuple champion du monde.

« Au début du week-end [en Toscane], le cas Breonna Taylor était vraiment dans mon esprit et j’étais à la recherche d’un T-Shirt depuis des semaines. Chaque week-end, nous avons les projecteurs braqués sur nous et chaque week-end il y a une opportunité de sensibiliser. »

« Nous ne vivons pas à une époque où tout va bien et je me souviens que pendant la journée je me suis dit : ‘je dois gagner cette course, je ne peux pas finir deuxième et porter ce T-Shirt’. »

« Alors je me souviens avoir poussé pour décrocher la première place et lorsque j’ai remporté la victoire je me suis dit : ‘c’est pour toi Breonna’ et j’ai mis ce T-Shirt. »

« Personne au cours des 70 ans de notre sport ne s’est levé pour autre chose que pour lui-même et moi je me tenais là pour quelqu’un d’autre, c’était l’un de mes plus grands sentiments. »

Charles Leclerc récompensé d’un trophée pour son erreur en Turquie

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a été récompensé pour son erreur commise dans le dernier tour du Grand Prix de Turquie et qui lui a couté un podium à l’arrivée de l’épreuve.

Troisième, Charles Leclerc s’est loupé au freinage de l’avant dernier virage à Istanbul, ce qui a permis à son coéquipier Sebastian Vettel de monter sur la troisième marche du podium.

A ce titre, le pilote monégasque a reçu un Golden Tapir qui peut être considéré comme un trophée des perdants ou des vaincus et décerné par l’émission humoristique diffusée en Italie « Striscia la notizia » disponible sur Channel 5.

Des personnalités comme Silvio Berlusconi, Andrea Pirlo ou encore Andrea Iannone ont déjà reçu un Golden Tapir.

Pour la remise du trophée – et parce que les personnalités ne souhaitent pas le recevoir pour les raisons que l’ont peut facilement imaginer – le présentateur de l’émission se met à chasser « les stars » jusqu’à ce qu’elles acceptent enfin de recevoir le Golden Tapir pour l’erreur qu’elles ont commise.

Dans le cas de Charles Leclerc, le pilote Ferrari n’a montré aucune résistance et a accepté de recevoir son Golden Tapir avec le sourire et est même revenu avec le présentateur sur les insultes qu’il a pu proférer à la radio lorsqu’il a commis son erreur.

Pour voir la vidéo de la remise du trophée à Charles Leclerc (en Italien), il vous suffit de cliquer sur ce lien qui vous redirigera automatiquement sur le site l’émission.

Covid-19 : un cas positif chez Red Bull Racing

La Formule 1 a confirmé ce jeudi que le directeur sportif de l’équipe Red Bull Racing, Jonathan Wheatley [à droite sur la photo], a été testé positif au Covid-19 à la veille du Grand Prix de Bahreïn.

Comme le stipule le protocole, le directeur sportif de l’équipe Red Bull devra s’isoler durant dix jours et ne pourra donc pas participer au Grand Prix de Bahreïn ce week-end avec ses collaborateurs.

« La FIA, la Formule 1 et Aston Martin Red Bull Racing peuvent confirmer que lors des tests PCR obligatoires avant la course pour le Grand Prix de Bahreïn, le directeur sportif Jonathan Wheatley a été testé positif au Covid-19. » annonce la F1 dans un communiqué.

« Conformément aux protocoles Covid-19 et aux directives des autorités de santé publique, il continuera à s’isoler pendant une période de 10 jours et ne participera donc pas au Grand Prix de Bahreïn. »

« Aucun autre membre de l’Aston Martin Red Bull Racing Team n’a été affecté par cette situation. »

Lors de la dernière manche en Turquie, le directeur par intérim de l’équipe Williams, Simon Roberts, a lui aussi été testé positif au Covid-19 et n’a pas pu se rendre à Istanbul.

A la fin du week-end du Grand Prix de Turquie, la F1 a également confirmé que le directeur de Pirelli, Mario Isola, a lui aussi été testé positif. L’Italien n’a pas pu accéder au circuit le dimanche, le jour de la course.

Robert Kubica remplacera Kimi Raikkonen en EL1 à Bahreïn

Comme nous vous l’annoncions il y a quelques jours déjà, Robert Kubica sera aux commandes de l’Alfa Romeo C39 ce vendredi dans le cadre de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn.

Le Polonais, qui a déjà participé à trois séances d’essais libres cette année en Styrie, en Hongrie et en Grande-Bretagne, remplacera le Finlandais Kimi Raikkonen lors des EL1 ce vendredi au Grand Prix de Bahreïn.

« Je suis très heureux d’être de retour aux commandes pour la première fois depuis août. » nous explique Robert Kubica.

« Cela peut sembler long, mais ma saison a été très chargée avec mon travail sur simulateur à l’usine et mon programme en DTM, donc j’avais l’impression que ça allait assez vite. »

« Maintenant que ma saison de DTM est terminée, je suis impatient de reprendre mon poste chez Alfa Romeo Racing à plein temps: il reste encore beaucoup à faire et je suis convaincu que mon travail apportera une contribution positive aux efforts de l’équipe. »

Robert Kubica devrait également participer aux EL1 du Grand Prix d’Abou Dhabi lors du dernier week-end de course de l’année en décembre.

Après la frustration d’Istanbul, Stroll veut rebondir à Bahreïn

Auteur d’une brillante pole position au Grand Prix de Turquie dans des conditions dantesques, Lance Stroll a déchanté le dimanche en course au volant d’une monoplace endommagée.

Le pilote Racing Point menait le Grand Prix de Turquie dans les premiers tours de course, mais des dommages sur l’aileron avant de sa monoplace ont causé une usure prématurée de ses pneumatiques l’obligeant à s’arrêter pour chausser des gommes neuves et le faisant ressortir dans le trafic.

Le Canadien s’est alors retrouvé bloqué derrière d’autres monoplaces plus lentes que lui sur une piste encore humide et sur laquelle il était très difficile de doubler.

Lance Stroll terminera finalement le Grand Prix de Turquie à la neuvième place et n’a su qu’après la course que l’aileron avant de sa Racing Point était endommagé.

Connaissant désormais le potentiel de sa monoplace, Lance Stroll espère bien pouvoir rebondir ce week-end au Grand Prix de Bahreïn.

« Evidemment, dans un premier temps j’étais frustré, parce qu’après avoir décroché la pole position, nous avons mené plus de tours que quiconque pendant la course pour au final ne pas monter sur le podium. » nous explique Stroll.

« Mais maintenant que nous avons compris pourquoi les pneumatiques n’ont pas fonctionné comme prévu, je vais pouvoir en tirer les avantages. »

« Mon premier relais – lorsque j’étais leader – a montré ce qui est possible et ce fut une expérience utile pour la prochaine fois que nous nous battrons à l’avant. »

Les deux points marqués par Lance Stroll en Turquie combinés aux 18 points de son coéquipier Sergio Perez ont permis à l’équipe Racing Point de se hisser au troisième rang au classement des constructeurs avec cinq points d’avance sur McLaren et 18 points sur Renault F1.

Laurent Mekies : la fin anormale d’une saison absolument anormale

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Laurent Mekies, revient avec nous sur cette saison 2020 si atypique à la veille d’une triplette de courses disputées au Moyen-Orient pour clore définitivement le chapitre 2020.

Cette année, la Scuderia Ferrari a connu l’une de ses pires saisons en Formule 1 et occupe à trois courses de la fin du championnat la sixième place au classement des constructeurs.

Avec les 27 points marqués en Turquie lors de la dernière course, l’équipe italienne reste tout de même dans le match pour la P3 et essaiera de tout donner lors des derniers Grands Prix pour atteindre son objectif comme nous explique dans un premier temps Laurent Mekies.

« Ce sera la fin anormale d’une saison absolument anormale et pour nous, très difficile. » nous explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.

« L’objectif est de prolonger la tendance mise en évidence lors des cinq dernières courses, ce qui nous a permis de gagner du terrain en termes de compétitivité, surtout par rapport à ceux qui sont nos rivaux directs cette année. »

D’un point de vue organisationnel, le fait de disputer trois courses consécutives en dehors de l’Europe rend le travail de préparation bien plus compliqué, notamment en cette période de pandémie durant laquelle la sécurité du personnel est encore plus importante que jamais.

« Il y a tout d’abord la sécurité de l’équipe, un front sur lequel nous ne pouvons ni ne voulons baisser la garde. »

« Nous devons tout mettre en œuvre pour mettre tout le monde dans les meilleures conditions de travail possible, compte tenu du lourd engagement pris jusqu’à présent, avec 14 courses disputées en quatre mois. »

« Je crois que le travail effectué à distance à Maranello pour soutenir les collègues sur la piste sera encore plus fondamental que d’habitude: chaque détail qui peut aider à améliorer les performances sera important, à la fois pour bien terminer ce championnat et pour affiner et rendre plus efficace nos méthodes de travail pour l’année prochaine. »

« On ne peut nier que c’était vraiment difficile. La situation créée par la pandémie et le faible niveau de nos performances au départ ont pesé lourdement. »

« De plus, je crois que tout ce que nous avons vécu nous a rendus plus forts: nous n’avons pas perdu la boussole, nous n’avons jamais abandonné avec l’envie de nous améliorer et de réagir. »

« Je veux profiter de cette occasion pour féliciter les hommes et les femmes de l’équipe qui se rendent sur la piste et leurs familles, ces derniers ont été fondamentaux, par leur résilience et l’esprit manifestés dans des situations aussi difficiles. »

« Tout comme je voudrais remercier aussi les fans, qui ne n’ont jamais manqué de par leur soutien, même s’ils n’ont presque jamais pu le faire en direct sur la piste. »

Laurent Mekies révèle également que des mesures particulières – du point de vue nutritionnel notamment – ont été mises en place cette année pour permettre au personnel qui se rend sur les courses de suivre le rythme.

« Oui, nous avons un programme sur mesure pour le personnel qui se rend aux courses, suivi du point de vue de la préparation médicale, nutritionnelle et physique. »

« Si les contraintes imposées par la pandémie ont compliqué les choses, nous n’avons jamais diminué notre engagement dans ce domaine, loin de là. »

« La santé et le bien-être des gens sont essentiels, surtout à la lumière du stress physique et mental croissant auquel nous sommes confrontés. En particulier, nous avons préparé un programme spécifique pour l’équipe afin de l’aider à rester en forme dans ces trois dernières courses. »

Ce week-end au Grand Prix de Bahreïn, Laurent Mekies remplacera une nouvelle fois Mattia Binotto, qui a préféré rester à Maranello pour superviser le travail en cours sur le développement de la prochaine monoplace.

Brawn : Ferrari ne devra pas gâcher l’opportunité en 2022

Lorsqu’on demande à Ross Brawn, ancien directeur technique de la Scuderia Ferrari, à quel moment l’équipe italienne pourra de nouveau venir se battre pour le championnat du monde, le Britannique estime qu’il faudra attendre la saison 2022.

A partir de la saison 2022, la Formule 1 introduira une toute nouvelle réglementation avec des monoplaces largement remaniées, ce qui devrait permettre de niveler les performances entre toutes les équipes de la grille.

Selon Ross Brawn, il s’agira donc du moment opportun pour la Scuderia Ferrari pour revenir aux avant-postes et l’ingénieur britannique sait déjà que Ferrari ne perdra pas de temps sur la monoplace 2021 pour préparer 2022.

« Je pense que 2022 sera une belle opportunité, avec une nouvelle philosophie automobile. » explique le Britannique à la Gazzetta Dello Sport.

« Je ne doute pas qu’ils travailleront dur sur la voiture de l’année prochaine à Maranello, mais leur priorité doit être 2022. Ils ne peuvent pas gâcher une telle opportunité. »

L’année prochaine, les monoplaces et les réglementations n’évolueront que très peu, ce qui veut dire que la hiérarchie actuelle ne devrait pas beaucoup évoluer.

Actuellement, la Scuderia Ferrari occupe la sixième place au championnat des constructeurs avec six points de retard sur Renault F1, dix-neuf points sur McLaren (quatrième) et 24 points sur Racing Point (troisième).

Quatrième au championnat, Perez veut terminer sur une bonne note

Après avoir décroché un podium au Grand Prix de Turquie lors de la dernière course [deuxième], Sergio Perez en redemande et espère bien pouvoir de nouveau monter sur l’estrade ce week-end au Grand Prix de Bahreïn.

Le Mexicain sera également motivé ce week-end par le fait que c’est sur le tracé de Bahreïn qu’il a décroché son premier podium avec l’équipe Force India en 2014 [ancien nom de l’écurie].

« C’était un moment très spécial dans ma carrière et c’est incroyable de penser que cela n’a eu lieu que dans ma troisième course avec l’équipe. » se souvient Perez.

« C’est incroyable de penser que nous avons décroché cinq autres podiums ensemble depuis ce jour. C’est toujours une sensation agréable de revenir sur ce circuit et de se souvenir de 2014. »

Désormais quatrième au championnat des pilotes avec trois points d’avance sur Charles Leclerc et quatre sur le pilote Renault Daniel Ricciardo, le Mexicain Perez fera tout également  pour conserver sa position au classement lors des trois dernières courses de la saison 2020.

« Il y a définitivement une bonne ambiance dans l’équipe en ce moment. Je veux aussi me battre pour la quatrième place au championnat des pilotes et nous avons réussi à occuper cette position après un excellent résultat en Turquie. »

« Cela me donne de la confiance pour Bahreïn et Abou Dhabi. Nous voulons nous battre pour des podiums et avoir la chance de clore cette ère sur un très bon niveau pour l’équipe et moi-même. »

Rappelons que Sergio Perez n’a toujours pas signé le moindre contrat pour la saison prochaine et a déjà dit qu’il pourrait envisager une année sabbatique.

La F1 toujours à la recherche d’un remplaçant pour le GP du Vietnam

Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1, a admis que le remplaçant du Grand Prix du Vietnam en 2021 sera choisi sur des considérations économiques, après une saison 2020 touchée de plein fouet par la crise sanitaire et économique que l’on connaît.

La semaine dernière, la Formule 1 a dévoilé un calendrier 2021 provisoire (qui doit encore être validé par le conseil mondial du sport automobile) qui comporte 23 dates, mais dans lequel ont peut également constater que le Grand Prix du Vietnam initialement programmé le 25 avril a disparu.

Ross Brawn confirme cette semaine dans un entretien accordé à la Gazzetta Dello Sport que le Vietnam ne sera pas visité par la Formule 1 la saison prochaine et que la catégorie reine est toujours à la recherche d’un remplaçant.

« On a vu de bonnes courses à Imola ou au Portugal et en Turquie, tout est ouvert. » répond Brawn lorsqu’on lui demande quel circuit viendra remplacer le Vietnam le 25 avril 2021.

« Nous allons voir comment la question évolue, et évidemment, nous sommes désolés de ne pas pouvoir aller au Vietnam, mais nous trouverons un candidat solide. »

Lorsqu’on lui demande si le remplaçant du Vietnam sera choisi sur des considérations purement économiques, le Britannique répond :  « Oui, il ne fait aucun doute que l’année prochaine nous voulons revenir à une situation normale et donc avec une forte considération d’un point de vue commercial. »

« Certains pays sont mieux placés que d’autres, parce qu’ils pourront faire les meilleures offres commerciales et il faut en tenir compte. »

« Nous devrons revenir à des niveaux financiers normaux le plus rapidement possible. L’aspect commercial aura donc un poids plus important que cette année. »

En 2020, de nombreuses courses se sont disputées à huis clos, ce qui a engendré des pertes économiques énormes pour la F1, les équipes, mais aussi les organisateurs des Grands Prix.

Ross Brawn ne sait pas exactement combien la Formule 1 a perdu d’argent en 2020, mais il est clair qu’après une année 2019 en pleine croissance pour la catégorie reine, la crise sanitaire est venue ébranler la santé financière de la F1.

« Il est juste de dire que la Formule 1 traversait une phase de forte croissance et nous étions très satisfaits de la façon dont les choses se passaient en 2019. Ensuite, nous avons eu cette crise que personne ne pouvait prévoir et qui a réduit considérablement les recettes des équipes et de la F1. »

« En tant qu’organisation, nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour que les équipes puissent survivre. »

« Nous n’en avons perdu aucune et c’est ce qui compte. Maintenant, je suis convaincu qu’un bel avenir nous attend. »

Calendrier 2021 provisoire

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Kvyat n’a pas eu l’opportunité de tester l’ovale de Bahreïn dans le simulateur

Contrairement à son coéquipier, Daniil Kvyat n’a pas eu l’opportunité de rouler sur le tracé court de Bahreïn en forme d’ovale sur lequel se disputera le Grand Prix de Sakhir une semaine après le Grand Prix de Bahreïn.

Pour cette épreuve, les pilotes devront boucler pas moins de 87 tours en course le dimanche et la pole position devrait être décrochée le samedi en moins d’une minute selon les premières estimations et en fonction du nombre de zones de DRS que la FIA mettra en place (il devrait y en avoir deux).

Ce tracé empruntera une grande partie du circuit habituel (jusqu’au virage 4), puis le rejoindra au niveau du virage 13, ce qui offrira aux pilotes un circuit très rapide avec seulement quatre virages.

« Je n’ai pas eu l’opportunité d’utiliser le simulateur pour évaluer le nouveau circuit que nous utiliserons pour la deuxième course de Bahreïn, cela signifie que nous devrons improviser un peu et voir ce que nous pouvons tirer de la voiture. » nous explique Daniil Kvyat.

« Ce sera une affaire d’apprentissage rapide. Une différence évidente est que la deuxième course est une course de nuit complète, tandis que la première commence à la lumière du jour, ce qui a un impact sur la température des pneus pendant la course. »

« Ce sera étrange de voir le totem des stands compter à rebours à partir de 87 – ça fait beaucoup de tours! Après, ce n’est pas complètement différent, parce qu’il utilise les trois premiers virages de la piste que nous connaissons, puis la rejoint à nouveau vers la fin. »

« D’après ce que j’ai vu, le nouveau tracé n’a pratiquement pas de vrais virages, ce sera donc un défi à très grande vitesse, quelque chose de différent qui est toujours agréable. »

Les horaires du Grand Prix de Bahreïn 2020

Quinzième manche de la saison 2020 de F1, le Grand Prix de Bahreïn se disputera ce week-end à Manama sur le tracé de Sakhir (du 27 au 29 novembre).

Pas de surprise pour cette saison 2020, puisque c’est toujours le groupe Canal+ qui détient les droits exclusifs de la F1 en France et vous devrez donc être abonné à la chaîne à péage pour pouvoir regarder les Grands Prix tout au long de la saison.

Ce week-end, les trois séances d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL1, EL2 et EL3], ainsi que les qualifications seront diffusées en direct sur Canal+ Décalé.

Le Grand Prix de Bahreïn quant à lui sera à suivre en direct le dimanche 29 novembre sur Canal+ et la course sera également à suivre en direct sur F1only.fr.

Les horaires du Grand Prix de Bahreïn (heure de Paris)

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