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Lance Stroll a vraiment hâte de rouler sur le toboggan des Ardennes ce week-end au volant de la Racing Point considérée comme la seconde meilleure monoplace du plateau cette année après la Mercedes.

Le circuit de Spa est toujours très apprécié des pilotes en raison de son tracé vallonné et des vitesses de passage dans les courbes qui sont tout bonnement hallucinantes avec des F1 modernes.

Stroll souligne à quel point, tout comme à Silverstone et Suzuka, les Formule 1 prennent vie sur le circuit de Spa-Francorchamps.

« Je suis vraiment impatient, c’est une excellente piste et traditionnellement, elle est assez bonne pour notre monoplace. » nous explique Lance Stroll à la veille du Grand Prix de Belgique.

« Une voiture de Formule 1 prend vraiment vie à Spa, comme elle le fait à Silverstone ou à Suzuka. »

« Vous avez vraiment la sensation de pousser une voiture à ses limites et de comprendre ce qu’elle peut faire sur ce genre de circuits. »

Le Canadien aura une double motivation ce week-end à Spa, puisque sa maman est d’origine belge, ce qui veut dire que le Grand Prix de Belgique est un peu comme une seconde course à domicile pour lui.

« C’est vrai. Ma mère est d’origine belge, il y a donc du sang belge en moi. C’est toujours formidable de retourner en Belgique et j’espère que je pourrai aussi obtenir un bon résultat. Spa est toujours un moment fort de la saison pour moi, j’ai vraiment hâte. »

La FIA a décidé de procéder à quelques modifications sur le tracé de Spa pour cette édition 2020 du Grand Prix de Belgique.

Dans un premier temps, la FIA a procédé à la modification de la barrière de pneus située en haut du Raidillon et a fait passer sa largeur de deux rangées de pneus à quatre. Cette modification a lieu à l’endroit même où Anthoine Hubert a été victime d’un terrible accident en 2019 lors d’une course de Formule 2 et qui lui a coûté la vie.

Autre modification effectuée cette année, la pelouse synthétique placée derrière chaque vibreur du circuit a été enlevée sur l’entièreté du tracé belge.

Enfin, la longueur du mur séparant l’entrée de la voie des anciens stands et la piste a été rallongée et le mur arrive désormais quasiment à la sortie du premier virage du circuit, là où se trouve justement la sortie de la voie des stands actuelle.

Notez également qu’en bas du Raidillon, une fine bande de béton a été ajoutée derrière le vibreur gauche sur lequel les pilotes ont pris l’habitude de rouler à l’attaque d’Eau Rouge.

La F1, ainsi que la F2, rendront hommage à Anthoine Hubert ce week-end au Grand Prix de Belgique en respectant une minute de silence.

L’an dernier, le Français Anthoine Hubert a succombé à ses blessures après un terrible accident survenu sur le circuit de Spa-Francorchamps lors de la course de Formule 2 le samedi.

La monoplace d’Hubert a percuté le mur de pneus situé à l’extérieur du virage du raidillon à plus de 200 km/h et a été renvoyée en plein dans la trajectoire de la monoplace pilotée par Juan Manuel Correa, qui n’a pas pu éviter le choc avec la voiture d’Hubert.

L’impact entre les deux monoplaces a été d’un violence inouïe et a coupé la monoplace du pilote français en deux. Anthoine Hubert décédera des suites de ses blessures à l’hôpital moins d’une heure après son accident.

Ce week-end avant le Grand Prix de Belgique, une première minute de silence sera donc  respectée samedi après-midi avant la course de Formule 2, puis une seconde, dimanche à 14h52, avant le départ du Grand Prix F1.

Notez également que la barrière de pneus percutée par la monoplace d’Anthoine Hubert l’an dernier a été modifiée pour l’édition 2020 du Grand Prix de Belgique. Les rangées de pneus ont été doublées tout au long de cette barrière cette année, ce qui n’était pas le cas en 2019.

Après avoir été testé positif au COVID-19 et avoir loupé deux Grands Prix [GP de Grande-Bretagne et du 70e anniversaire], Sergio Perez a fait un retour remarqué en Espagne où il a terminé cinquième.

Le pilote mexicain a prouvé qu’il était revenu à son meilleur niveau au Grand Prix d’Espagne et c’est donc avec une excellente préparation qu’il arrive à Spa ce week-end pour le Grand Prix de Belgique où il a bien souvent terminé dans le top cinq au cours des dernières années [sixième en 2019, cinquième en 2018, 2016 et 2015].

« C’était un vrai défi de revenir la dernière fois [en Espagne] car c’était une course très exigeante physiquement avec la chaleur et nous avons dû gérer soigneusement les pneus pour faire fonctionner notre stratégie à un seul arrêt. » explique Perez.

« L’équipe a fait un excellent travail pour me remettre à niveau et maintenant que j’ai fait une course, je me sens beaucoup plus préparé pour ce week-end. »

« Nous avons fait un très bon travail la dernière fois en transformant notre forme de qualification en un résultat de course solide et en exécutant bien notre stratégie. »

« Nous pouvons maintenir cet élan à Spa, viser beaucoup de points et essayer de continuer à pousser dans le championnat des constructeurs. »

« Je suis assez fier de mon bilan à Spa. J’ai terminé plusieurs fois dans le top 5 en Belgique, donc c’est définitivement l’un de mes circuits les plus forts. »

« J’aime bien piloter la RP20 et elle s’est bien comportée sur différents types de circuits cette saison. Si nous mettons tout ensemble, nous pouvons nous battre pour un autre résultat solide ce week-end. »

Depuis 2017, l’équipe Mercedes n’a plus décroché de victoire au Grand Prix de Belgique et va donc essayer ce week-end d’inverser cette tendance.

Cependant, pour l’édition 2020 du Grand Prix de Belgique, Toto Wolff, directeur de l’équipe Mercedes, ne s’attend pas à ce que la tâche soit facile, d’autant que les dernières prévisions météo annoncent de la pluie dans les Ardennes.

« Après un week-end de repos, nous entamons maintenant le troisième triplette de l’année. Notre prochaine course nous emmène à Spa où nous n’avons pas gagné depuis 2017, donc on a l’impression qu’il y a un travail inachevé alors que nous nous dirigeons vers la Belgique. » nous explique Toto Wolff.

« C’est une piste emblématique et l’un des favoris des fans, mais trouver la bonne configuration peut être difficile en raison de la variété des caractéristiques; d’une part, vous voulez le moins de traînée possible sur les longues lignes droites, mais d’autre part, vous avez besoin d’un certain niveau d’appui pour être rapide dans les virages. Il est également prévu qu’il pleuve dans les Ardennes, ce qui ne facilitera pas le travail. »

« Ce week-end sera également la première fois que nous rentrons en Belgique après la perte tragique d’Anthoine Hubert l’an dernier. »

« Ce fut une journée sombre pour toute la communauté du sport automobile et nos pensées iront à sa famille et à ses amis comme nous nous souvenons de lui ce week-end. »

Le pilote Red Bull Max Verstappen va essayer de « maintenir son élan » ce week-end au Grand Prix de Belgique sur son tracé préféré du calendrier.

Second du championnat pilotes, le Néerlandais Max Verstappen va bénéficier ce week-end à Spa de quelques nouveautés sur sa monoplace et espère bien en tirer parti dans les virages rapides du circuit belge.

« J’adore Spa, c’est mon circuit préféré sur le calendrier donc j’ai toujours hâte d’y conduire. C’est aussi un peu plus old school, donc il n’y a pas trop d’échappatoires à certains endroits. » nous explique Max Verstappen.

« L’élévation change tout au long de la piste, vous montez et descendez et il n’y a pas trop de virages lents, ce qui est toujours très agréable dans une voiture de F1 car vous pouvez vraiment faire l’expérience de la pleine vitesse et le secteur intermédiaire à Spa vous donne cette chance. »

« Ma partie préférée de la piste est surtout Pouhon, le gauche rapide, c’est vraiment rapide. Trouver le juste équilibre dans les secteurs un, deux et trois avec la longue ligne droite est crucial et il y a donc toujours des compromis ici et là. »

« Vous utilisez également un appui assez faible, donc une aile basse, ce qui signifie que la voiture est vraiment vivante et bouge, ce qui la rend plus excitante. »

« Nous sommes deuxièmes du championnat par équipes et pilotes, alors il ne nous reste plus qu’à essayer de maintenir l’élan. »

Chaque équipe de Formule 1 sera autorisée à avoir 10 personnes supplémentaires dans le paddock du Grand Prix de Belgique de ce week-end.

Le changement coïncide avec le retour des motorhomes des équipes à Spa après qu’elles ont été obligées d’utiliser des installations temporaires fournies par les circuits, et un fournisseur de restauration central, pour les six premiers événements.

Dans le cadre des préparatifs pour le retour à la course sous le code de conduite COVID de la FIA, il a été convenu avant la saison de restreindre chaque équipe à seulement 80 personnes pour les épreuves à huis clos, formellement définies comme celles sans spectateurs.

Ce nombre comprend 60 personnes associées à l’exploitation de la voiture et soumises à des restrictions de couvre-feu, alors que les 20 autres sont des chauffeurs, du personnel de la direction, des physiothérapeutes, du personnel des relations publiques / marketing et de toute autre personne associée à l’équipe.

Après les six premières courses, les équipes ont accepté d’utiliser à nouveau leurs propres installations d’accueil et leur propre service de restauration. Par conséquent, pour permettre le personnel supplémentaire requis, l’effectif par équipe a été porté à 90.

Ce nombre a maintenant été officiellement approuvé par le Conseil mondial du sport automobile et ajouté aux règlements sportifs.

Le circuit de Spa-Francorchamps aura toujours une place particulière dans le cœur de Charles Leclerc, notamment parce que c’est sur ce tracé que le Monégasque a décroché sa toute première victoire en F1 avec Ferrari en 2019, mais c’est également là qu’il a perdu son ami Anthoine Hubert l’an dernier à la suite d’un terrible accident en Formule 2 en haut du raidillon.

« La piste de Spa a une place particulière dans mon cœur: ici j’ai gagné ma première course de Formule 1, mais encore ici, il y a un an, j’ai perdu mon ami Anthoine (Hubert) en Formule 2. » nous explique Charles Leclerc.

« Pour cette raison, revenir sur ce circuit, du moins au début, ce sera assez difficile et sa mémoire sera avec moi pour tout le week-end. »

Sur le côté purement sportif, Leclerc est bien conscient qu’il lui sera difficile de répéter le résultat d’il y a un an ce week-end à Spa.

« En termes de performances, sur le week-end il ne nous sera pas facile de répéter le résultat d’il y a un an car notre condition de départ est différente de celle de 2019. »

« Mais nous avons vu que sur cette piste tout peut arriver aussi et surtout à cause de la météo. imprévisible. »

« Ce que nous devrons faire en tant qu’équipe, c’est essayer de nous mettre en position de maximiser le potentiel de la voiture en travaillant intensément depuis le vendredi. »

« En essais libres, nous devons acquérir les informations qui nous permettront de choisir la meilleure stratégie à adopter en qualifications et surtout en course. »

Daniel Ricciardo s’apprête à renfiler ses gants pour le prochain triple rendez-vous de la saison 2020 de Formule 1. Le premier est à Spa-Francorchamps, où l’Australien vise un retour dans les points après avoir terminé à la porte des points en Espagne il y a quinze jours.

Bien que Spa soit un tracé emblématique du championnat du monde de F1, le pilote Renault reconnaît qu’il prend plus de plaisir au volant d’une monoplace lors de la course le dimanche, plutôt qu’en qualifications le samedi tant les F1 modernes ont un niveau d’appui élevé.

« Spa est vraiment emblématique. Je pense que tout le monde sait pourquoi c’est l’endroit parfait pour piloter tout en étant l’un des joyaux du calendrier. » nous explique Ricciardo.

« De nos jours, j’y trouve la course plus exaltante que les qualifications. Nous avons tant roulé là-bas avec des voitures dotées d’énormes appuis que l’adrénaline sur un tour tend à disparaître. »

« Le Raidillon se négocie à plein régime alors qu’il devient un véritable virage en mode course avec un réservoir chargé d’essence dans le sillage d’un concurrent. Vous glissez des quatre roues et c’est assez épique. »

« Il y a également Pouhon et Blanchimont qui sont loin d’être simples en conditions de course. Vous pouvez aussi y dépasser et défendre, le tout à haute vitesse. C’est tellement intense et j’aime vraiment cela. »

« C’est une piste qui me sourit en F1 avec des podiums et une victoire, donc j’y ai connu le succès dans le passé. L’an dernier, nous faisions un bon week-end avant de subir des dégâts au premier virage. »

« Cela avait également été mon cas la saison précédente. Croyez-moi, si vous pouvez arriver à vous extirper du premier virage, vous vous en sortez très bien ! C’est  l’une de ces premières épingles propices au chaos… »

« Cela pourrait mieux se passer cette année comme nous n’y allons pas après la pause estivale. Nous nous sommes déjà échauffés, donc espérons que cela soit plus simple. »

La Scuderia Ferrari a annoncé ce mardi avoir trouvé l’origine du problème qui a contraint son pilote Charles Leclerc à abandonner au Grand Prix d’Espagne, mais l’équipe italienne n’a pas souhaité entrer dans les détails.

On sait que c’est un problème avec l’unité de contrôle électronique qui a causé une coupure générale sur la monoplace de Leclerc en Espagne , mais on sait aussi que le pilote monégasque a finalement réussi à redémarrer son moteur et a tout de même dû repasser par les stands pour abandonner après avoir détaché ses harnais de sécurité. L’abandon n’était donc pas directement lié au problème technique.

A la veille du Grand Prix de Belgique, septième manche de la saison 2020 de F1, Enrico Gualtieri, responsable des moteurs à Maranello, nous explique l’importance d’avoir un très bon package PU à Spa et surtout une très bonne fiabilité.

« Le circuit de Spa-Francorchamps est sans aucun doute l’un des plus fascinants et exigeants du calendrier mondial, non seulement pour les pilotes mais aussi pour nous ingénieurs. » nous explique Enrico Gualtieri.

« Trouver l’équilibre parfait de la monoplace, pour les sept kilomètres de piste, est particulièrement difficile. »

« En termes de gestion de Power Unit, le circuit est assez sévère, avec plus d’une minute par tour parcouru à plein régime, et il est important d’avoir non seulement une puissance adéquate – il n’y a jamais trop de chevaux – mais aussi une bonne maniabilité, surtout en sortie des premier et dernier virages. »

« L’importance de la puissance motrice pure est accompagnée de celle de la récupération d’énergie via le MGU-H: ce qui fait donc la différence, c’est l’efficacité du Power Unit dans son ensemble. »

« Sur cette piste, même à l’époque pré-DRS, les dépassements ont toujours été relativement possibles, mais la clé de tout est le choix de l’appui. »

« Avec une voiture très déchargée, on arrive au bout de la ligne droite de Kemmel avec une excellente vitesse de pointe mais ensuite, dans le deuxième secteur, on court le risque de vraiment souffrir. »

« Si, en revanche, vous visez un niveau de charge moyen-élevé, alors peut-être que vous pouvez faire une bonne performance en qualifications mais en course vous courez le risque d’être dépassé et, surtout, d’avoir du mal à dépasser en utilisant le DRS. »

« A tout cela s’ajoute le fait que la météo peut être très variable et qu’il peut y avoir des conditions très différentes d’un bout à l’autre de la piste. »

« Pour ce week-end, donc, les prévisions semblent avoir été faites exprès pour compliquer davantage la situation: samedi devrait être principalement sec tandis que dimanche il devrait pleuvoir, avec des températures ne dépassant pas 16 degrés, tout sauf l’été. »

« Dans cette première partie de saison, nous avons vu un championnat pratiquement divisé en deux: d’un côté il y a trois coureurs qui semblent avoir un avantage très constant, de l’autre il y en a au moins dix qui sont enfermés dans quelques dixièmes. »

« À Barcelone, nous avons payé cher non seulement le manque de fiabilité – à cet égard, nous avons identifié le problème avec l’unité de contrôle qui a conduit à l’abandon de Charles – mais aussi de ne pas avoir maximisé les performances en qualifications, ce qui nous a mis dans des conditions difficiles pour la course. »

« Conscients des difficultés actuelles, nous devons nous concentrer sur notre travail et sur la préparation du week-end; l’objectif principal sera de mettre les pilotes en mesure de faire ressortir tout le potentiel possible de la SF1000: optimiser le package voiture-PU, bien travailler en équipe sur piste, étudier la meilleure stratégie et être efficace pour l’adapter rapidement au changement de conditions. » 

« Chaque millième de seconde compte, chaque choix peut faire la différence. » conclut Enrico Gualtieri.

Spa-Francorchamps a offert à Esteban Ocon certains de ses meilleurs souvenirs en Formule 1. De ses débuts en 2016 à son top trois en qualifications en 2018, le Français se prépare à ces retrouvailles et il entend bien briller cette semaine.

Pour le Grand Prix de Belgique, Esteban Ocon aura le droit à de nouvelles pièces sur sa monoplace [boîte de vitesses, nouveau moteur et nouveaux éléments aéro] après un Grand Prix d’Espagne compliqué pour lui et au terme duquel il n’a pas marqué le moindre point.

« C’est un circuit exigeant sur le plan des performances et les trois secteurs sont tous très particuliers. » nous explique Ocon avant la septième manche de l’année à Spa.

« Je pense que nous pouvons être performants à Spa. Tout peut arriver pendant la course, donc ce sera un week-end intéressant et nous nous efforcerons de faire de notre mieux. »

« J’y ai fait mes débuts en Formule 1, donc Spa est plein de bons souvenirs. Je dirais que c’est un circuit unique pour le développement d’un pilote. »

« Je me souviens que tout me semblait immense avec ces virages légendaires lors de ma première année en monoplace. Ensuite, plus vous grimpez les échelons dans les formules de promotion, plus vous ressentez la différence année après année jusqu’à votre arrivée en F1. »

« C’était le lieu adéquat pour débuter en F1 ! Bien sûr, ma troisième position sur la grille est l’un de mes meilleurs souvenirs à ce jour. »

« C’est arrivé à un moment crucial où je devais prouver que je méritais une place en F1. Ce top trois avec Lewis [Hamilton] et Sebastian [Vettel] était quelque chose de spécial. »

« C’était bien de repartir avec des points en poche lors des dernières courses même si nous les avons manqués en Espagne. La voiture offrait de bonnes sensations à Silverstone et nous avons clairement fait un pas en avant depuis la Hongrie. » insiste le Français.

« Nous avons encore un peu de travail à faire, mais je sais que nous y arriverons. J’ai de nouvelles pièces sur ma monoplace qui devraient améliorer les performances. »

« J’attends cela avec impatience et je me sens revigoré et prêt à reprendre le volant après une semaine de pause. »