La maman d’Anthoine Hubert est à la recherche du babykart de son fils

La maman d’Anthoine Hubert, décédé au mois d’août après un terrible accident sur le circuit de Spa Francorchamps en Belgique, a lancé un appel sur les réseaux sociaux.

Nathalie Gabert est à la recherche du Karting utilisé par Anthoine Hubert au début des années 2000 et qui a été revendu depuis.

« Nous recherchons le babykart d’Anthoine ; il était de la marque Topkart acheté chez Thierry Lemarié à Laval en décembre 1999. » a écrit la maman d’Anthoine Hubert sur son compte Twitter.

« Nous l’avons probablement revendu à une petite fille entre 2003 et 2005. Merci d’avance pour votre aide. »

Si vous avez la moindre information ou bien si vous pensez être en possession de ce karting, n’hésitez pas à nous envoyer un message ou à contacter directement la maman d’Anthoine Hubert via les réseaux sociaux.

Mise à jour à 16h00 : La maman d’Anthoine Hubert a retrouvé le babykart de son fils.

Max Verstappen s’attend à voir des Ferrari très fortes à Suzuka

Le pilote Red Bull Max Verstappen s’attend à devoir se battre contre des Ferrari très fortes ce week-end à Suzuka.

Bien que le tracé de Suzuka requiert une charge d’appui aérodynamique importante, ce qui est le point fort de la Red Bull, Max Verstappen se méfie tout de même des Ferrari qui, grâce à leur vitesse de pointe dans les lignes droites, pourront faire la différence ce week-end au Grand Prix du Japon.

« Je suis vraiment impatient de retourner à Suzuka, car c’est un endroit spécial pour moi. J’y ai fait mes débuts en Formule 1 lors d’une séance d’essais libres, alors que je n’avais que 17 ans et je n’oublierai jamais ce souvenir. » explique le pilote Red Bull Racing à la veille de la dix-septième manche du championnat.

« J’ai obtenu de bons résultats à Suzuka, avec des deuxième et troisième places sur le podium, mais jamais une victoire, alors bien sûr, nous aimerions être encore plus performants. »

« Le circuit a une riche histoire et est très étroit et rapide, il est donc important d’utiliser toute la piste. Vous devez trouver le bon équilibre et le bon rythme pour les virages trois, quatre, cinq et six, car si vous vous trompez un virage, votre position d’entrée pour le suivant est mauvaise. »

« Ferrari sera très forte car ils ont beaucoup de puissance et seront donc rapides dans la ligne droite. Mais notre voiture sera rapide dans les virages, alors nous espérons pouvoir gagner un peu de temps dans cette partie. »

« Les fans japonais sont très passionnés par notre sport et c’est toujours un plaisir de recevoir autant de soutien de leur part sur le circuit. Cette année, le Grand Prix du Japon sera même très spécial, car nous menons une course à domicile avec Honda. »

« Nous avons déjà obtenu d’excellents résultats cette année avec Honda et ce ne sera pas facile à Suzuka, mais nous ferons bien sûr notre possible pour les fans japonais. »

Lewis Hamilton pense qu’il pourrait apporter des « changements positifs » chez Ferrari

Lewis Hamilton estime qu’il pourrait apporter des changements positifs à Maranello dans le cas où il décidait de rejoindre l’écurie italienne un jour.

Le pilote britannique n’a jamais caché qu’il ne comptait pas quitter le clan Mercedes de si tôt et l’idée de rejoindre la Scuderia Ferrari un jour ne semble toujours pas être sa priorité.

« Pour beaucoup, Ferrari est le rêve ultime dans une carrière, mais ce n’est pas le cas pour moi. Je fais partie de la famille Mercedes depuis l’âge de 13 ans. » explique Lewis Hamilton au Blick.

Bien que Lewis Hamilton n’envisage pas de rejoindre la Scuderia Ferrari sur du court terme, le quintuple champion du monde pense qu’il pourrait apporter des changements positifs à Maranello s’il venait à signer avec l’écurie au cheval cabré un jour.

« Je n’envisage pas vraiment cela, bien que je ne doute pas que je pourrais aussi apporter des changements positifs. » souligne le pilote britannique.

« Cependant, ce n’est pas mon objectif. Il a fallu six ans pour faire de Mercedes une équipe gagnante et la placer au sommet. Nous avons désormais une très bonne atmosphère, avec de l’amour, de la reconnaissance, de l’admiration et du respect. Vous ne pouvez pas abandonner ça. »

260 tours bouclés ce lundi à Barcelone pour les tests Pirelli

Pirelli a terminé la première des deux journées de tests programmées sur le circuit de Barcelona-Catalunya en Espagne.

Ce lundi, Pirelli, le manufacturier unique de la Formule 1, a reçu l’aide de Ferrari et Red Bull Racing pour finaliser le développement de ses gommes 2020 [13 pouces} sur le circuit de Barcelone en Espagne.

C’est le quadruple champion du monde Sebastian Vettel qui était au volant de la Ferrari SF90 aujourd’hui et qui a bouclé au total 145 tours de circuit, soit 674 kilomètres [l’équivalent de deux Grands Prix d’Espagne].

Pour le compte de Red Bull Racing, c’est le Thaïlandais Alexander Albon qui était au volant de la RB15 ce lundi. Albon a complété 115 tours de circuit avec les gommes 2020 montées sur sa monoplace.

Les pneus 18 pouces en test également

Notez que Pirelli a également pu tester ses pneumatiques 18 pouces qui seront introduits en Formule 2 dès l’an prochain, puis en Formule 1 à partir de 2021. Pour ce test avec les 18 pouces, Pirelli avait à sa disposition une monoplace de Formule 2 d’essais.

Esteban Ocon en piste ce mardi avec Mercedes

Le Français Esteban Ocon prendra la piste ce mardi avec une Mercedes afin de tester les gommes 2020 [13 pouces] de Pirelli.

Notez que ces essais pneumatiques se déroulent à hui clos et nous sommes donc tributaires des informations fournies par Pirelli.

Daniil Kvyat assure qu’il a été « bien traité » chez Ferrari en 2018

Le Russe Daniil Kvyat assure qu’il ne garde que de bons souvenirs de son passage chez Ferrari en 2018.

Daniil Kvyat s’est retrouvé sans baquet à la fin de la saison 2017 et a tout de suite été « récupéré » par la Scuderia Ferrari qui en fait son pilote de développement durant une année.

Après avoir passé un an à Maranello en tant que pilote de développement et en enchaînant les séances dans le simulateur, le clan Red Bull a rappelé Daniil Kvyat à la fin de la saison 2018 pour lui offrir un poste de titulaire chez Toro Rosso en 2019 aux côtés du Thaïlandais Alexander Albon [qui a été promu chez Red Bull depuis].

Bien qu’il ait rejoint la famille Ferrari entre temps, le Russe n’a pas hésité très longtemps quand l’opportunité de revenir courir en Formule 1 lui a été présentée par Red Bull.

« Honnêtement, ce fut une bonne année. » a déclaré Daniil Kvyat au sujet de son passage chez Ferrari en 2018.

« Ils m’ont vraiment bien traité. Vous aidez l’équipe et vous pouvez voir ce qu’il se passe en dehors du monde de Red Bull. C’était bien de voir comment fonctionne une autre équipe. J’ai vraiment aimé. »

« J’aurais bien aimé aller sur la piste, mais cela m’a donné encore plus faim pour revenir en Formule 1 et avec de meilleures capacités pour courir. »

Suzuka : « L’une des courses les plus imprévisibles de l’année » selon Pirelli

Pirelli a mis à disposition des pilotes les pneus les plus durs de sa gamme ce week-end pour le Grand Prix du Japon.

Véritable tracé old-school, le circuit de Suzuka est en tête de liste des tracés les plus difficiles du monde, notamment parce qu’il demande une concentration importante aux pilotes et une dose d’engagement tout aussi importante pour boucler un tour rapide.

Ces fameux virages en S dans le premier secteur et le très célèbre 130R dans le troisième secteur font de Suzuka un circuit très sélectif où la moindre erreur se paie cash pour les pilotes.

« Le Japon est toujours l’une des courses les plus excitantes et les plus imprévisibles de l’année. Suzuka est une piste old-school qui récompense le courage et l’engagement. » explique Mario Isola, le directeur de Pirelli.

« En raison des exigences considérables en virage que ce tracé impose aux pneus, nous avons sélectionné la combinaison la plus dure possible de notre gamme, ce qui devrait aider les pilotes à pousser au maximum, même avec une stratégie à un seul arrêt. »

« C’est ce que les équipes visent toujours, et c’est ce qu’ont fait la plupart des pilotes l’année dernière à Suzuka. En 2017, nous avons également enregistré un nouveau record du tour en qualifications, et avec l’accent mis sur la vitesse en courbe avec les générations de voitures actuelles, il sera intéressant de voir s’il est battu ce week-end. »

« Suzuka est également réputée pour ses conditions météorologiques variables. Il n’est donc pas surprenant de voir apparaître les pneus pluie sur ce fameux circuit exigeant. »

GP du Japon : Les horaires des séances

Dix-septième manche de la saison 2019 de Formule 1, le Grand Prix du Japon se dispute ce week-end sur le circuit de Suzuka.

Avec sept heures de décalage horaire par rapport à la France, il vous faudra vous lever très tôt ce week-end pour profiter des premières séances d’essais libres du Grand Prix du Japon 2019 et dont voici les horaires détaillés.

Vendredi 11 octobre – Essais libres 1 et 2

Ce vendredi 11 octobre, vous devrez être devant votre téléviseur à partir de 03h00 du matin (heure française) si vous souhaitez ne rien rater de la première séance d’essais libres du Grand Prix du Japon 2019.

La seconde séance d’essais libres d’une durée de 90 minutes est programmée à 07h00 du matin (heure française), ce qui devrait vous laisser le temps de boire votre tasse de café installé devant une séance de roulage juste avant d’attaquer votre journée de travail.

Samedi 12 octobre – Journée annulée !

Pour cette journée de samedi, il n’y aura aucune activité sur le circuit de Suzuka en raison du Typhon Hagibis qui devrait toucher le Japon.

Dimanche 13 octobre – Les qualifications et la course

La séance de qualifications du Grand Prix du Japon a été reportée au dimanche 13 octobre à 10h00 (heure locale), soit 03h00 du matin en France.

Le départ du Grand Prix du Japon 2019 sera donné à 07h10 (heure française), ce qui vous donnera l’occasion d’être déjà debout bien avant 07h00 pour préparer un petit déjeuner bien copieux à votre moitié(e).

Gunther Steiner espère que la Haas ne sera pas trop capricieuse ce week-end à Suzuka

Le team principal de l’équipe Haas espère que la monoplace de Romain Grosjean et Kevin Magnussen ne sera pas trop capricieuse ce week-end à Suzuka.

Toujours dans l’incompréhension la plus totale avec sa monoplace, l’équipe américaine Haas prend désormais chaque week-end de course comme un nouveau départ et espère que sa monoplace ne sera pas trop capricieuse.

En Russie, l’équipe Haas a réussi marquer deux points grâce à la neuvième position de Kevin Magnussen à l’arrivée [le Danois a terminé huitième, mais a reçu une pénalité], ce qui a en quelque sorte redonné de l’espoir à Gunther Steiner, qui a pu constater que sur certaines courses la VF19 se comportait plutôt bien.

Pour la dix-septième manche de la saison au Japon, Steiner espère donc que la VF19 se montrera performante sur un tracé très sélectif où la moindre erreur se paie cash.

« Même si nous avons fait une bonne course à Sotchi, cela ne signifie pas que cette forme va continuer. » nous explique Gunther Steiner, le team principal de l’équipe Haas.

« Bien-sûr, nous allons essayer de continuer, mais la voiture est très capricieuse, c’est le moins qu’on puisse dire, et nous ne savons jamais, quel que soit le week-end, où nous allons nous retrouver. »

« Vous apprenez toujours en course, donc, espérons que nous pourrons transmettre cette forme à Suzuka et au-delà. Marquer des points aide toujours, car cela vous donne la certitude que vous pouvez toujours le faire. »

« Les points et les bons résultats sont toujours le moyen le plus simple de garder le moral dans une équipe. Il y a eu des hauts et des bas cette année. Lorsque vous obtenez un bon résultat, vous ne pouvez pas attendre pour aller à la prochaine course, mais lorsque vous avez quelques mauvais résultats d’affilée, vous craignez d’aller à la prochaine course. »

« Parfois ça va très vite, et parfois ça va très lentement. Quand vous faites une mauvaise course, ces deux heures semblent durer des jours. Dans l’ensemble, cette année a été très difficile pour nous. C’est passé en un clin d’œil – nous n’avons plus que cinq courses à faire. C’est presque incroyable. »

Quatrième au championnat, McLaren sait que tout peut basculer en un week-end

L’équipe McLaren est bien consciente que la bataille pour la quatrième place au championnat du monde des constructeurs est loin d’être gagnée.

Bien que l’écurie McLaren occupe la quatrième position au championnat constructeurs avec 33 points d’avance sur Renault, le patron de l’équipe britannique sait que tout peut basculer sur un seul week-end de course.

A cinq Grands Prix de la fin de la saison 2019, l’équipe McLaren ne relâchera pas la pression et continuera de chercher de la performance tant que qu’une autre équipe pourra mathématiquement prétendre à venir déloger McLaren.

« Bien que nous nous dirigions vers Suzuka avec une avance accrue sur nos concurrents du milieu de peloton au championnat des constructeurs, nous sommes conscients que nous avons encore du travail à faire pour verrouiller cette position. » explique Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.

« La concurrence pour ces positions est très serrée et tout peut changer au cours d’un week-end. De notre côté, nous devons veiller à garder la bataille entre nos mains, ce qui passe par l’optimisation de la performance en piste, ainsi que de nos opérations en piste. »

Le logo Mission Winnow de retour sur la Ferrari au Grand Prix du Japon

Le logo de Mission Winnow fera son grand retour sur la carrosserie de la Ferrari SF90 ce week-end pour le Grand Prix du Japon, dix-septième manche de la saison 2019 de F1.

On se souvient qu’en début d’année déjà, Ferrari avait retiré le logo de son sponsor principal pour le Grand Prix d’Australie en raison de la législation australienne sur la publicité liée au tabac.

En raison de l’interdiction de la publicité pour le tabac, Ferrari ne peut plus faire apparaître le logo du cigarettier Marlboro sur ses monoplaces depuis plusieurs années, mais Philip Morris souhaite développer désormais ses technologies sans fumée et a lancé l’an dernier une nouvelle initiative dédiée « à la science, à la technologie et à l’innovation » avec Mission Winnow.

PMI [Philipp Moris International] a nié à plusieurs reprises un lien entre Mission Winnow et la promotion de ses produits de tabac, mais le doute subsistant, le logo a été retiré des monoplaces, ainsi que des équipements de la Scuderia pour les Grands Prix d’Australie, du  Canada et de France, ainsi que pour toutes les autres courses jusqu’au Grand Prix de Russie.

Mais pour le Grand Prix du Japon, Mission Winnow sera de retour sur la carrosserie de la Ferrari et remplacera le logo célébrant le 90° anniversaire de la marque au cheval cabré présent sur les combinaisons des pilotes, des mécaniciens, ainsi que sur les monoplaces depuis le Grand Prix du Canada.

Mercedes peut décrocher un sixième titre mondial dès ce week-end à Suzuka

L’équipe Mercedes peut remporter le championnat du monde des constructeurs 2019 dès ce week-end à Suzuka au Grand Prix du Japon.

Leader du championnat du monde des constructeurs avec 571 points marqués depuis le début de la saison 2019, l’équipe Mercedes devance la Scuderia Ferrari de 162 points avant la dix-septième manche de l’année au Japon.

Il ne reste plus que cinq Grands Prix avant la fin de la saison 2019 et mathématiquement donc, Mercedes peut décrocher le titre des constructeurs dès ce week-end à Suzuka dans le cas où l’équipe dirigée par l’Autrichien Toto Wolff signe un doublé et si Mercedes marque 14 points de plus que Ferrari.

Dans l’hypothèse où aucune Ferrari ne terminerait dans les points ce week-end au Grand Prix du Japon, l’équipe Mercedes pourrait se contenter de terminer dans le top sept pour tout même décrocher le titre constructeurs 2019.

Si Mercedes devient championne du monde en 2019, il s’agira du sixième sacre d’affilée en Formule 1 pour l’écurie du constructeur allemand, après une large domination dans la catégorie reine du sport automobile depuis l’introduction des moteurs V6 turbo hybrides à double système de récupération d’énergie introduits à partir de la saison 2014.

Pierre Gasly s’attend à une ambiance de folie à Suzuka sur les terres de Honda

Le Français Pierre Gasly s’attend à une ambiance de folie ce week-end à Suzuka pour ce qui sera la course à domicile du motoriste Honda.

Cette année, Honda arrive sur ses terres en motorisant non pas une mais deux équipes de Formule 1, ce qui peut représenter pour le motoriste japonais une double chance de briller à domicile devant des fans toujours très passionnés.

Pierre Gasly, qui est très apprécié des Japonais après son passage en Super Formula, s’attend à une ambiance de folie cette année à Suzuka.

« Je pense que cette année avec Toro Rosso et Red Bull ce sera assez fou, j’ai vraiment hâte d’y être. » a déclaré Pierre Gasly.

« Nous sommes impatients de voir ça. Déjà l’année dernière c’était impressionnant de voir autant de soutien. Depuis le début de ma carrière, il s’agit de la course où j’ai le plus de soutien, parce que les Japonais sont très passionnés et expriment vraiment leur passion et leur soutien. »

« Nous aurons en plus quelques améliorations, donc j’espère vraiment que nous aurons une bonne performance. L’année dernière, nous avons eu une bonne qualification, mais pas une bonne course. »

« J’espère que cette année nous allons réussir à réunir les deux, d’autant plus que cela signifiera beaucoup pour Honda et pour les fans qui nous soutiennent. »

Le pilote Toro Rosso Pierre Gasly sera remplacé ce vendredi lors des EL1 du Grand Prix du Japon par le pilote japonais Naoki Yamamoto, double champion de Super Formula.

Naoki Yamamoto remplacera Pierre Gasly en EL1 à Suzuka

Le Japonais Naoki Yamamoto remplacera le Français Pierre Gasly lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix du Japon ce vendredi.

Comme nous vous le rapportions le week-end dernier, le Japonais Naoki Yamamoto participera pour la première fois de sa carrière à une séance d’essais libres en Formule 1.

Yamamoto, double champion de Super Formula et soutenu par Honda, sera au volant de la Toro Rosso ce vendredi à Suzuka lors des EL1.

« Tout d’abord, je tiens à remercier la Scuderia Toro Rosso, Red Bull et Honda pour me donner cette occasion. » a déclaré Yamamoto.

« Je suis ravi de pouvoir piloter une Formule 1 ce week-end, ce qui est l’un de mes rêves depuis que je suis enfant. Obtenir cette chance sur le circuit de Suzuka, qui est très important pour tous les pilotes japonais, et devant une si grande foule, sera une expérience encore plus spéciale. »

« Je me suis préparé du mieux possible pour cela. J’ai passé du temps chez Toro Rosso durant plusieurs week-ends de Grand Prix et j’ai aussi travaillé dans le simulateur Red Bull. »

« Mon objectif principal sera de faire un bon travail pour l’équipe, la collecte des informations et les données seront utiles pour eux ce week-end. Sur une note plus personnelle, je veux juste profiter autant que possible du pilotage d’une monoplace de Formule 1. »

Abiteboul : « Il vaut mieux rester seul et garder pour nous ce que nous développons »

Cyril Abiteboul, estime que le départ de McLaren à la fin de la saison 2020 n’est finalement pas une mauvaise nouvelle pour Renault.

A la fin de l’année 2020, l’écurie britannique McLaren n’utilisera plus de moteur Renault après deux saisons de partenariat et sera de nouveau motorisée par Mercedes à partir de 2021.

Cyril Abiteboul estime que le départ de Mclaren permettra à Renault de rester « concentré » et ne pas être « distrait » en fournissant son moteur à une autre écurie de la grille avec laquelle l’équipe du constructeur français se bat au championnat.

« En fin de compte, nous voulons battre tout le monde. » insiste Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« La dernière fois que nous avons gagné en 2005 et 2006, personne n’était fournit par Renault à part nous-mêmes. Je pense que nous reconnaissons que nos ressources sont limitées et qu’il est peut-être préférable de ne pas être distrait et de rester concentré. »

« En outre, en ce qui concerne la réglementation, si l’effort de normalisation et de simplification des règles aérodynamiques [pour 2021] continue, nous pensons que les deux principaux différenciateurs de performance seront le moteur, ainsi que l’intégration et l’installation du moteur [dans le châssis]. »

« A cet égard, franchement, il vaut mieux rester seul et garder pour nous ce que nous développons. Nous avons une certaine confiance en ce que nous développons et, franchement, si c’est un bon secret, je préfère le garder pour moi-même. »

Max Verstappen envisage la construction d’un musée pour y exposer ses monoplaces

Le pilote Red Bull Max Verstappen envisage la construction d’un musée pour y exposer toutes ses monoplaces que son équipe lui offre après chaque saison.

Après chaque saison, Max Verstappen reçoit en cadeau de la part de son équipe la monoplace avec laquelle il a piloté toute l’année et le Néerlandais envisage désormais de construire un musée pour pouvoir exposer toutes ses monoplaces.

Arrivé en Formule 1 en 2015 chez Toro Rosso, Max Verstappen possède déjà quatre monoplaces à l’âge de 22 ans.

« Je reçois la voiture après chaque saison, donc c’est un peu spécial. » explique Verstappen. « Je ne veux pas non plus les vendre, mais les garder et éventuellement construire un musée autour de ça. »

« Ma première voiture est la Toro Rosso de 2015 et elle était déjà dans le magasin Max Verstappen à Swalmen. Désormais, vous pouvez y admirer la Toro Rosso de 2016. »

Un nouveau carburant à Suzuka

Concernant la prochaine course de la saison qui se disputera ce week-end au Japon, Max Verstappen attend beaucoup du nouveau carburant qui sera introduit par ExxonMobil.

« Au fil des années, les mises à jour du carburant ont fourni le meilleur pour chaque motoriste. Nous en attendons beaucoup, même si nous ne le saurons qu’une fois sur le circuit. »

Mercedes, Red Bull et Ferrari en essais pour Pirelli cette semaine à Barcelone

Mercedes, Red Bull et Ferrari seront en piste à partir de ce lundi sur le circuit de Barcelone en Espagne pour des tests pneumatiques avec Pirelli.

Le manufacturier unique de la Formule 1 Pirelli espère pouvoir finaliser ses gommes pour la saison 2020 cette semaine [7 et 8 octobre] avec l’aide des trois tops team que sont Mercedes, Red Bull et Ferrari.

Si ces essais pneumatiques se dérouleront à huis clos sur la piste de Barcelone-Catalunya, les données récoltées par Pirelli seront bien partagées auprès de l’ensemble des écuries du plateau avant la fin de l’année.

Esteban Ocon [Mercedes], Alex Albon [Red Bull] et Sebastian Vettel [Ferrari] seront les trois pilotes présents pour ces essais cette semaine, alors que le quadruple champion du monde Sebastian Vettel et le pilote Red Bull Alex Albon s’envoleront dans la foulée vers le Japon où leur équipe les attend pour la dix-septième manche de l’année sur le circuit de Suzuka.

Comme pour chaque test Pirelli qui se déroule à huis clos, nous sommes tributaires des informations fournies par la firme milanaise. Nous ne pourrons donc pas vous fournir un résumé complet de ces journées de tests, mais seulement quelques informations que Pirelli aura bien voulu nous communiquer.

Kimi Raikkonen assure que la F1 n’est pas si différente en milieu de peloton

Kimi Raikkkonen assure que la Formule 1 n’est pas beaucoup plus différente lorsque vous faites partie d’une équipe du milieu de peloton.

Le pilote finlandais Kimi Raikkonen a quitté la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2018 pour rejoindre l’écurie Alfa Romeo Racing avec laquelle il a signé un contrat de deux saisons.

Habitué à faire partie d’un top team depuis plusieurs années, Raikkonen assure que faire partie d’une écurie plus modeste en milieu de peloton n’est finalement pas si différent.

« Non, parce que je n’ai pas toujours été sur les premières lignes. » explique Kimi Raikkonen à AutoHebdo lorsqu’on lui demande si la F1 est différente depuis le milieu de peloton.

« Venant de Ferrari, je savais très bien ce qui m’attendait en glissant vers le milieu de la grille où faire sa place est plus difficile et où les risques d’accrochage sont plus élevés. Sinon, c’est la même vieille histoire : finir devant celui qui vous précède. »

« Ce n’est pas comme si j’avais tout redécouvert ! Que votre voiture soit bonne ou moins bonne, le challenge est le même. Idem en termes d’écurie où l’emploi du temps est le même, que vous soyez dans un top team ou dans une écurie du milieu de grille. »

« Sans doute y a t-il moins de sollicitations au niveau des opérations marketing, mais c’est à 95% la même chose. Les briefings et débriefings s’effectuent un peu différemment, mais rien de radical. »

« Globalement en interne, au niveau du boulot à effectuer, c’est la même chose. La différence, c’est à l’extérieur qu’elle se fait sentir. J’ai plus de temps pour moi, pour ma famille. J’ai plus de liberté. »

« L’écurie n’est pas loin de chez moi [en Suisse] et je peux y passer quand je veux. Je n’ai pas à prendre l’avion, à m’organiser, etc.. C’est un vrai plus en termes de qualité de vie. C’est plus relax, mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas à 100% sur l’affaire. »

Suzuka : Le Super-Typhon Hagibis menace

Une tempête tropicale nommée Hagibis va continuer de s’intensifier ce lundi à l’approche des îles Mariannes du nord et pourrait devenir un Super-Typhon en fin de semaine à l’approche du Japon.

Selon les dernières prévisions météo, une tempête nommée Hagibis devrait traverser les îles Marianne du nord ce lundi [ouest de la mer des Philippines] avant d’être reclassée en Super Typhon lorsqu’elle atteindra les côtes du Japon en fin de semaine.

Hagibis est le 19° cyclone tropical en 2019 dans le bassin du Pacifique occidental et devrait, selon les dernières prévisions, suivre une route allant vers le nord-ouest où elle rencontrera une eau plus chaude, ce qui lui permettra de devenir un typhon – l’équivalent d’un ouragan dans l’Atlantique.

La trajectoire précise d’Hagibis n’est pas encore connue par les services de météorologie et il encore un peu trop tôt pour déterminer avec exactitude quelles régions du Japon seront impactées par Hagibis.

Nous publierons notre traditionnel bulletin météo d’avant Grand Prix ce jeudi, juste avant le Grand Prix du Japon, alors que vous pourrez suivre l’évolution en temps réel grâce à notre partenaire météo Célinium.

Pierre Gasly : « Je peux pousser désormais sans essayer de copier quelqu’un »

Pierre Gasly admet volontiers qu’il se sent plus à l’aise au volant de sa Toro Rosso par rapport à la Red Bull RB15 qu’il a piloté lors de la première partie de la saison 2019.

Le pilote français, qui a débuté la saison 2019 chez Red Bull Racing aux côtés de Max Verstappen, a été rétrogradé chez Toro Rosso à la pause estivale pour manque de résultats.

Après avoir encaissé la nouvelle, Pierre Gasly s’est concentré sur son travail chez Toro Rosso et a réussi à reprendre très vite ses marques en signant de bons résultats au volant d’une monoplace bien plus adaptée à son style de pilotage.

« Je pense que cela provient du fait que nous avons réussi à obtenir une voiture qui me convient un peu plus [par rapport à la Red Bull]. » explique Pierre Gasly, cité par Race Fans.

« Je sens que je peux vraiment pousser plus naturellement désormais sans pour autant essayer de copier quelqu’un ou bien en changeant radicalement mon style de pilotage. »

« Les opportunités qui m’ont été offertes lors du Grand Prix de Singapour m’ont donné l’occasion d’essayer de nouvelles choses. Donc, je pense que de nombreux facteurs réunis de la sorte signifient que je peux montrer que suis capable de courir comme je l’ai toujours fait. »

Depuis le Grand Prix de Belgique, Pierre Gasly a marqué six points avec Toro Rosso, le Français occupe actuellement la sixième position au championnat du monde.

Renault dément les rumeurs : « Aucune raison que nous ne soyons pas là en 2021 »

Le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul, assure que Renault ne compte pas quitter la Formule 1 en 2021.

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses rumeurs suggèrent que le constructeur Renault stoppera son projet F1 à la fin de la saison 2020.

Ces rumeurs ont pris une autre ampleur la semaine dernière lorsque Renault et McLaren ont annoncé la fin de leur partenariat à la fin de l’année 2020. L’équipe britannique ne sera plus motorisée par Renault, mais par Mercedes à partir de 2021.

Face à toutes ces rumeurs, le directeur général de Renault Sport Racing s’est senti obligé de prendre la parole pour nier toute volonté de la part de Renault de quitter la catégorie reine du sport automobile.

« Il n’y a absolument aucun plan pour partir. » affirme Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing à Sky Sports.

« Il existe une situation en 2021, et comme nous le savons tous, il y un accord [Concorde] qui s’achève et il y aura des discussions. Nous surveillons l’évolution de la situation, mais tout indique que la Formule 1 sera meilleure en 2021. »

« Donc, si nous sommes ici aujourd’hui, il n’y a aucune raison pour que nous ne soyons pas là en 2021. »