Revivez les qualifications du Grand Prix d’Italie 2021

Pour cette quatorzième manche de la saison 2021 de F1, les équipes sont à Monza pour y disputer le Grand Prix d’Italie, alors que le format du week-end est particulier, puisque la Formule 1 teste pour la deuxième fois cette année la course sprint.

Ce vendredi 10 septembre, les pilotes ont participé à la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie à 14h30, tandis que la deuxième séance d’essais libres a été remplacée par la séance de qualifications (programmée à 18h00) qui déterminera la grille de départ de la course sprint de ce samedi.

La deuxième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie est programmée ce samedi 11 septembre à 12h00, tandis que le départ de la course sprint – dont l’ordre d’arrivée déterminera la grille de départ du GP d’Italie dimanche – est programmé ce samedi 11 septembre à 16h30.

Évidemment, toutes les séances de roulage (essais libres, qualifications, course sprint et le Grand Prix) sont à suivre en direct sur F1only.fr.

Les qualifications à Monza en direct


GP d’Italie – EL1 : avantage Mercedes avant les qualifications

C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie en 1,20926 (Mediums).

Le Britannique devance de quatre dixièmes la Red Bull de Max Verstappen (Tendres) et de cinq dixièmes l’autre Mercedes pilotée par Valtteri Bottas (Mediums).

Derrière, Lance Stroll (+0.750), Pierre Gasly (+0.793), Sebastian Vettel (+0.898), Carlos Sainz (+0.988), Fernando Alonso (+1.000), Daniel Ricciardo (+1.077) et Sergio Perez (+1.113) complètent cette séance d’essais libres.

Pas de fait majeur à vous signaler lors de cette séance hormis le fait que Lewis Hamilton a signé son meilleur temps en pneus Mediums, tandis que Max Verstappen avait chaussé les Tendres sur sa Red Bull. Avantage donc à Mercedes avant les qualifications.

Un week-end spécial

Ce week-end à Monza, la F1 teste pour la deuxième fois cette année les qualifications sprint ce qui signifie que le format du week-end est légèrement différent d’un week-end « classique ».

Ce vendredi, les pilotes ont participé à la première séance d’essais libres ce vendredi après-midi et participeront à une séance de qualifications ce soir à 18h00. Le résultat de cette séance qualificative déterminera la grille de départ de la course sprint programmée ce samedi à 16h30.

Avant cette course sprint, les pilotes auront la possibilité de participer à une deuxième et dernière séance d’essais libres à 12h00 ce samedi 11 septembre.

Le résultat de la course sprint (d’une durée de 30 minutes max) déterminera la grille de départ du Grand Prix d’Italie dont le coup d’envoi sera donné ce dimanche 12 septembre à 15h00.

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Le retour de la caméra « casque »

Comme au Grand Prix de Belgique il y a quelques semaines, la FOM a de nouveau décidé de tester la caméra embarquée dans le casque du pilote ce week-end à Monza. Cette fois-ci, c’est le pilote Williams George Russell qui va nous offrir de belles images tout au long du week-end (c’était Fernando Alonso à Spa).

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La séance de qualifications du Grand Prix d’Italie qui déterminera la grille de départ de la course sprint de ce samedi 11 septembre est programmée ce vendredi soir à 18h00 (heure de Paris). Vous pourrez évidemment suivre ces qualifications en direct sur F1only.fr.

Tableau des temps

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Perez à la recherche d’un week-end propre depuis le GP d’Autriche

Le Mexicain Sergio Perez espère connaître un week-end propre au Grand Prix d’Italie après avoir connu divers problèmes lors des quatre précédents Grands Prix.

A Silverstone, le pilote Red Bull a fait une erreur lors de la course sprint du samedi, ce qui l’a obligé à partir depuis la voie des stands le dimanche pour la course principale. Il terminera le Grand Prix de Grande-Bretagne à la seizième place.

En Hongrie, Sergio Perez n’a pas pu aller plus loin que le premier virage après avoir été l’une des victimes de Valtteri Bottas qui a complétement loupé son freinage au départ de la course et a forcé plusieurs pilotes à abandonner.

Lors de la course suivante en Belgique, Perez a réussi à se qualifier à la cinquième place sur la grille de départ dans des conditions humides, mais le pilote Red Bull a crashé sa monoplace le dimanche juste avant le départ dans son tour de mise en grille.

Le départ du Grand Prix de Belgique ayant été retardé de plusieurs heures pour les raisons que l’on connait, Sergio Perez a finalement été autorisé à s’élancer depuis la voie des stands, mais la course n’aura duré que deux tours…derrière une voiture de sécurité. Perez terminera donc bon dernier de cette épreuve.

Le week-end dernier au Grand Prix des Pays-Bas, le pilote mexicain a dû prendre le départ de la course depuis la voie des stands après que son équipe ait décidé de monter un quatrième moteur neuf à l’arrière de sa monoplace à la suite d’une séance de qualifications ratée [il devait s’élancer depuis le fond de la grille].  Sergio Perez a réussi à remonter dans le peloton en course et terminera finalement le Grand Prix dans les points à la huitième place et sera même élu « pilote du jour » par les fans.

Après ces quatre derniers Grands Prix compliqués pour lui, le coéquipier de Max Verstappen espère bien connaître un week-end plus tranquille à Monza pour le Grand Prix d’Italie même s’il reconnait volontiers que le tracé italien n’est pas forcément le mieux adapté à la RB16b.

« Monza est un défi unique où tout le monde se bat en qualifications pour se rapprocher les uns des autres pour avoir l’aspiration. » nous explique Checo.

« Si vous faites les choses correctement, cela peut faire toute la différence, mais cela peut aussi devenir un fiasco comme nous l’avons vu les années précédentes, il est donc important de bien faire les choses. Avec la vitesse de pointe de Mercedes, je ne m’attends pas à ce que Monza soit notre piste la plus solide, mais j’espère que nous serons dans la lutte. »

« J’espère avoir un week-end meilleur et plus simple, notamment grâce au format des courses sprint. La dernière fois que nous avons essayé ce format c’était à Silverstone et j’ai fait une erreur [tête-à-queue en course] qui a gâché notre week-end. Cela ne s’est pas passé comme prévu, alors j’ai hâte de recommencer et de voir comment celui-ci se déroulera. »

Au total, depuis le Grand Prix d’Autriche où il a terminé à la sixième place, Perez n’a marqué que quatre points pour son équipe. Il occupe à la veille du Grand Prix d’Italie la cinquième place au championnat du monde.

Revivez la première séance d’essais libres du GP d’Italie

Pour cette quatorzième manche de la saison 2021 de F1, les équipes sont à Monza pour y disputer le Grand Prix d’Italie, alors que le format du week-end est particulier, puisque la Formule 1 teste pour la deuxième fois cette année la course sprint.

Ce vendredi 10 septembre, les pilotes participent à la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie à 14h30, tandis que la deuxième séance d’essais libres a été remplacée par la séance de qualifications (programmée à 18h00) qui déterminera la grille de départ de la course sprint de ce samedi.

La deuxième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie est programmée ce samedi 11 septembre à 12h00, tandis que le départ de la course sprint – dont l’ordre d’arrivée déterminera la grille de départ du GP d’Italie dimanche – est programmé ce samedi 11 septembre à 16h30.

Évidemment, toutes les séances de roulage (essais libres, qualifications, course sprint et le Grand Prix) sont à suivre en direct sur F1only.fr.

Les EL 1 du GP d’Italie en direct


Bottas motivé par les « attentes élevées » d’Alfa Romeo

Valtteri Bottas a déclaré que sa future équipe Alfa Romeo avait des attentes et des objectifs élevés pour les prochaines saisons – le Finlandais admettant également son enthousiasme à l’idée d’assumer le rôle de chef d’équipe dès l’an prochain après avoir signé un contrat pluriannuel.

A la fin de cette campagne 2021, Bottas quittera l’équipe Mercedes pour qui il pilote depuis cinq saisons, pour passer chez Alfa Romeo, tandis que l’identité de son futur coéquipier n’est pas encore connue.

Interrogé ce jeudi à Monza pour savoir pourquoi il avait choisi Alfa Romeo plutôt qu’une autre option, Valtteri Bottas a répondu aux médias : « Parce que c’est excitant, c’est une grande marque, ils ont une grande histoire dans le sport automobile. »

« D’après les informations dont je dispose, ils peuvent avoir un avenir radieux et je peux les aider. C’est quelque chose de nouveau, quelque chose d’excitant pour moi. Nul doute qu’il y aura du travail à faire, mais je vais donner toute mon expertise pour essayer de m’améliorer à partir de cette saison [2022], c’est certain. »

« Je ne peux pas tout vous dire, mais ils sont sérieux au sujet de l’avenir. Alfa Romeo, en tant que marque elle-même, s’est engagée depuis plusieurs années. Je ne veux pas trop en dire, mais nous avons des attentes élevées, des objectifs élevés, et pour moi c’est motivant. »

Lorsqu’on lui a demandé de quelle façon il devait « ajuster » ses propres attentes en passant de la meilleure équipe de la grille à la neuvième, Bottas a répondu : « C’est un autre type de mentalité, une approche différente bien-sûr. »

« De manière réaliste, se battre pour des victoires dès l’année prochaine serait irréaliste, mais on ne sait jamais. Il y a un changement de règlement, il y a beaucoup de gens motivés et nous allons tout faire pour nous rapprocher le plus possible de l’avant de la grille le plus tôt possible. »

Fred Vasseur, le directeur de l’équipe Alfa Romeo, a déclaré cette semaine qu’il était heureux de donner au Finlandais une chance de devenir le leader de l’équipe Alfa Romeo et ainsi de sortir enfin de l’ombre de Lewis Hamilton – le Britannique ayant remporté tous les titres depuis le début de leur cohabitation chez Mercedes en 2017.

Interrogé sur les commentaires de son futur patron, Bottas a répondu : « C’est pourquoi c’est vraiment excitant pour moi d’être dans ce genre de rôle et d’essayer d’aider l’équipe à avancer et à travailler ensemble. »

« Je ne sais pas pour « l’ombre ». Évidemment, si vous regardez les résultats dans son ensemble, Lewis a pu me battre chaque année, donc dans ce sens oui, j’étais dans l’ombre. Mais honnêtement, je ne le ressens pas vraiment de cette façon, nous sommes une équipe et nous sommes dans le même bateau. »

« Malheureusement, je ne me bats plus pour le championnat du monde des pilotes cette année. Donc, je me bats juste pour le championnat constructeurs, c’est comme ça. Mais ce sera un nouveau départ pour moi [chez Alfa Romeo] et quel que soit mon coéquipier, j’espère que nous pourrons bien travailler ensemble. C’est une nouvelle ère intéressante pour moi. »

La mythique Parabolica de Monza change de nom ce samedi

A partir de ce samedi 11 septembre, le mythique virage de la Parabolica sur le tracé de Monza en Italie changera de nom, une décision prise par Angelo Sticchi Damiani, président de l’Automobile Club d’Italie.

Après avoir obtenu un avis favorable unanime du conseil des sports, le changement sera officialisé ce samedi 11 septembre dans le cadre du Grand Prix d’Italie de Formule 1.

Le dernier virage du « Temple de la vitesse » prendra donc le nom de « Curva Alboreto », vingt ans exactement après la mort du pilote milanais, survenue en 2001 lors des essais au Lausitzring.

La cérémonie de baptême de la courbe Alboreto aura lieu le samedi 11 septembre – jour des qualifications sprint de la Formule 1 – en présence de son épouse Nadia et des membres de sa famille, le Président de l’ACI Angelo Sticchi Damiani, le Président Directeur Général de la F1 Stefano Domenicali, et le président de l’Autodromo Nazionale de Monza Giuseppe Redaelli.

La courbe qui précède la ligne droite d’arrivée de l’Autodromo Nazionale de Monza est l’une des plus emblématiques du sport automobile et a contribué à faire du circuit l’un des plus rapides au monde.

La Parabolica a été construite en 1955, prenant la place de deux virages en épingle à cheveux pavés de cubes de porphyre et reliés par une courte ligne droite. Elle tire son nom de la conception et de la trajectoire qu’elle décrit : une ligne d’arc montant, semblable à un arc parabolique.

Le Grand Prix d’Italie se déroule à Monza du 10 au 12 septembre et est la quatorzième manche de la saison 2021 de F1.

Hamilton estime que l’arrivée de Russell chez Mercedes fera du bien à l’équipe

Le septuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton s’attend à ce que son futur coéquipier chez Mercedes, le Britannique George Russell, dynamise tout le groupe et le défie sur la piste l’an prochain.

A partir de la saison 2022, Hamilton devra cohabiter chez Mercedes avec son compatriote George Russell qui n’en sera qu’à sa quatrième année en Formule 1, et le septuple champion du monde estime que l’arrivée de sang neuf chez Mercedes va très certainement dynamiser toute l’écurie.

« Il fait partie de ce groupe depuis qu’il est jeune, et je pense que le jeune talent qui arrive est bon pour le sport, il est l’avenir du sport. » a déclaré Hamilton ce jeudi à Monza.

« Je pense que du sang neuf dans notre équipe va être génial, parce que je suis un ancien ici ! Je pense que cela va certainement dynamiser toute l’équipe, en sachant qu’ils ont un nouveau jeune super affamé et motivé, ce qui fera avancer l’équipe. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait déjà étudié les forces et les faiblesses de son futur coéquipier, Hamilton a répondu : « Non! »

« J’ai vu George passer par la Formule 3 et le GP2 [désormais Formule 2] et j’ai bien-sûr beaucoup regardé les courses qu’il a faites, les dépassement qu’il a faits. Il ne fait aucun doute qu’il est incroyablement talentueux. »

« Je n’ai pas examiné en détail ses faiblesses, ce n’est pas une chose sur laquelle j’ai mis beaucoup d’énergie, mais je sais juste qu’il va continuer à devenir plus fort lors des neuf prochaines course et même l’année prochaine. Il va apporter quelque chose c’est certain. »

Russell ne compte pas perturber la dynamique chez Mercedes

George Russell a déclaré qu’il avait eu l’assurance qu’il serait traité à égalité avec Lewis Hamilton l’an prochain chez Mercedes, le Britannique insistant sur le fait qu’il ne chercherait pas à perturber l’harmonie de l’équipe lorsqu’il débutera à Brackley.

Cette semaine, l’équipe Mercedes a mis un terme définitif aux rumeurs en confirmant l’arrivée prochaine de George Russell aux côtés du septuple champion du monde Lewis Hamilton et en remplacement direct du Finlandais Valtteri Bottas – qui rejoindra pour sa part l’équipe Alfa Romeo dès 2022 pour plusieurs années.

Depuis quelques semaines, certains observateurs ont centré le débat sur la question de savoir si Russell allait perturber la dynamique de l’équipe Mercedes à son arrivée, comme Hamilton l’a fait lorsqu’il a rejoint McLaren en 2007 aux côtés de Fernando Alonso ou encore lorsque Nico Rosberg était lui-même coéquipier d’Hamilton chez Mercedes jusqu’en 2016.

Interrogé sur le sujet ce jeudi à Monza en conférence de presse, Russell a répondu aux médias : « Je pense que Mercedes a déjà eu une expérience avec une mauvaise dynamique dans l’équipe et ils ont clairement indiqué qu’ils ne voulaient pas que cela se reproduise, et d’un point de vue personnel, je ne veux pas non plus. » a déclaré le Britannique.

« Je pense qu’il est important que les coéquipiers travaillent ensemble pour pousser l’équipe, et l’année prochaine ce sera une nouvelle voiture, une nouvelle règlementation, donc il n’y aura aucune garantie de qui aura la voiture la plus rapide. C’est donc notre travail en tant que pilote que de pousser en avant et je dirai que Lewis et moi sommes également à des stades très différents de nos carrières, ce qui je pense aide également. »

« J’ai un immense respect pour lui, être beaucoup plus jeune et l’admirer en tant que pilote de Karting que j’étais change beaucoup cette dynamique. Je ne vois aucun problème. »

Bien qu’il assure qu’il ne souhaite absolument pas perturber la dynamique de l’équipe, Russell insiste sur le fait qu’il ne vient pas chez Mercedes pour être un pilote numéro 2 et qu’il souhaite avant tout être traité au même niveau que le septuple champion du monde.

« Je pense que Mercedes a toujours été très claire à cet égard en donnant aux deux pilotes la meilleure opportunité. Évidemment, je crois en moi et j’ai de grandes aspirations, mais je sais également à quel point cela va être difficile. »

« Tout au long de ma carrière junior, il y avait un certain nombre de pilotes avec lesquels j’étais proche en terme de rythme et très proche sur la piste. Mais il n’y avait aucune raison pour qu’il y ait des crash ou quoi que ce soit. Je suis sûr que nous allons nous battre avec respect, mais aussi durement, comme Lewis et Valtteri l’ont fait au cours des cinq dernières années. »

« Comme je l’ai déjà dit, je pense que Lewis et moi avons une très bonne relation, nous sommes à différentes étapes de notre carrière, et nous avons un objectif l’année prochaine qui est de développer la voiture, la faire évoluer et nous assurer, en tant que pilotes, que nous nous assurons d’avoir la voiture la plus rapide et la meilleure façon d’y arriver est de travailler ensemble pour la développer. »

A quelle heure sont programmées les qualifications ce vendredi à Monza ?

C’est un format de week-end un peu particulier auquel vous aurez le droit à Monza pour le Grand Prix d’Italie, puisque la Formule 1 teste sur le tracé italien les qualifications sprint (ou course sprint) pour la deuxième fois de l’année (voir tous les horaires au bas de l’article).

Ce vendredi 10 septembre, les pilotes de F1 vont participer à la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie [EL1] en début d’après-midi et participeront ensuite en fin de journée à la séance de qualifications qui déterminera la grille de départ de la course sprint programmée ce samedi 11 septembre.

Ce samedi, la deuxième et dernière séance d’essais libres du week-end est programmée à 12h00 et sera suivie en fin d’après-midi d’une course sprint. Le résultat de la course sprint (30 minutes max) déterminera la grille de départ du Grand Prix d’Italie programmé le dimanche 12 septembre.

Évidemment, toutes les séances de roulage [essais libres, qualifications, course sprint et Grand Prix] seront à suivre en direct sur F1only.fr tout au long du week-end.

Pour suivre la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie, cliquez ici pour accéder au live.

Pour suivre en direct la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie, cliquez ici pour accéder au live.

Les horaires du GP d’Italie 2021

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L’accueil des Tifosi en tant que pilote Ferrari est « juste fou » pour Sainz

Ce jeudi, l’Espagnol Carlos Sainz a pu déjà ressentir ce que cela signifie que de piloter pour la Scuderia Ferrari en Italie devant des Tifosi.

L’an dernier, Sainz était pilote McLaren lors de sa venue à Monza pour le Grand Prix d’Italie, mais l’annonce de sa future arrivée dans l’équipe avait déjà été faite quelques jours avant et les Tifosi avaient déjà commencé à souhaiter la bienvenue au Madrilène.

Mais cette année, Sainz est vêtu de rouge pour la course à domicile de l’équipe italienne et le soutien des Tifosi est encore plus marqué que lors de sa dernière visite dans le temple de la vitesse, alors qu’il était encore vêtu de sa combinaison McLaren.

« Très différent à coup sûr, oui, de très bons souvenirs de l’année dernière. Je pouvais déjà commencer à ressentir un peu [la pression des Tifosi], comme on m’avait annoncé pilote Ferrari bien avant de piloter ici à Monza pour McLaren, je pouvais sentir que la relation avec les Tifosi était différente, parce qu’ils savaient que je venais dans l’équipe, et j’ai ressenti un soutien supplémentaire cette année-là. » a expliqué l’Espagnol ce jeudi à Monza.

« Cette année a été une autre étape ; c’est fou, nous étions hier dans le centre de Milan pour un événement et la quantité de soutien que vous obtenez en tant que pilote Ferrari est tout simplement folle. Je n’ai pas d’autre mot pour le décrire que fou. « 

« Et c’est quelque chose que j’apprécie et j’ai hâte de continuer à ressentir cela pour le reste du week-end. » a conclu l’Espagnol.

Yuki Tsunoda très surpris d’être titularisé en F1 en 2022

Le Japonais Yuki Tsunoda a été très surpris que son équipe AlphaTauri lui fasse confiance pour une deuxième saison consécutive en F1 après que l’écurie italienne a confirmé son actuel duo de pilotes pour la saison prochaine.

En 2022, Pierre Gasly et Yuki Tsunoda piloteront toujours pour AlphaTauri en F1, mais le jeune Japonais qui débute sa carrière cette année en catégorie reine s’attendait à être viré à la fin de cette saison après des débuts difficiles.

« Je suis vraiment excité bien sûr. La première moitié de la saison a été assez incohérente de mon côté, j’étais un peu surpris de rester l’année prochaine donc tout d’abord merci à l’équipe, et vraiment excité pour cette opportunité à nouveau pour l’année prochaine. Et pour cette année, je dois continuer d’apprendre le plus possible. » a déclaré Tsunoda ce jeudi à Monza.

Lorsqu’on lui a demandé pour quelle raison il a été surpris, Tsunoda a développé : « Parce que je continue de me crasher ! »

« J’ai donc dépensé beaucoup d’argent pour toute l’équipe. Ce n’est pas une bonne façon de terminer la première moitié de la saison, surtout comme en Hongrie, je suis entré dans le mur en EL1 et j’ai ruiné toute la session, presque deux sessions. Franz [Tost, directeur de l’équipe AlphaTauri] et Helmut [Marko, conseiller motorsport chez Red Bull] m’ont dit que j’avais besoin d’un résultat plus cohérent… et aussi de discipline lors de ces séances. »

Le Japonais a ensuite admis que son crash aux qualifications à Imola en début d’année l’a placé dans une spirale négative dont il a eu du mal à se remettre – alors qu’il visait plus de cohérence.

« Après les qualifications [à Imola], j’ai perdu un peu peut-être la confiance ou quelque chose comme ça. J’ai commencé à la reconstruire], et après cela, j’ai continué à faire des erreurs à chaque fois, alors j’ai réinitialisé et regagné ma confiance en moi, ce qui a rendu la tâche un peu difficile. »

« Je ne m’attendais pas à autant de difficultés en Formule 1, car même dans les catégories inférieures, je n’ai pas eu de gros crash. Je n’ai jamais eu autant de perte de confiance, c’est donc l’un des principaux problèmes. C’est pourquoi je me prépare et j’essaie d’avoir des tours plus cohérents, des sessions plus cohérentes. »

« Aussi au début de la saison, l’attente était trop élevée, et c’est pourquoi je pense que la première course s’est bien passée mais après ça, ça devenait confus… chaque semaine de course, et ça faisait une mauvaise spirale. Je pense que maintenant pour moi ça va. Les trois dernières courses, je n’étais peut-être pas très performant en qualifications, mais je pense que j’ai commencé à en apprendre un peu plus sur la voiture, donc maintenant tout va bien et je pense que ça va bien. »

Max Verstappen heureux de voir Albon revenir en F1

Le leader du championnat du monde Max Verstappen a réagi aux différentes annonces faites cette semaine en Formule 1, notamment la signature de George Russell chez Mercedes et le retour en F1 du Thaïlandais Alexander Albon qui a signé un contrat avec Williams pour 2022.

Lorsqu’on lui demande s’il est content de voir George Russell signer chez Mercedes aux côtés de son rival Lewis Hamilton, verstappen a répondu : « Oui, je veux dire que je suis heureux pour George, mais je pense que c’était une étape assez logique et je pense que tout le monde pouvait le voir venir ; c’était peut-être le secret le moins bien gardé de toute façon, donc ce n’était pas une surprise. » a déclaré Verstappen ce jeudi à Monza.

« Mais je suis aussi très heureux qu’Alex [Albon] revienne en Formule 1. Il a été mon coéquipier et c’est un gars formidable. c’est un travailleur acharné et il mérite vraiment une place en Formule 1 et il a beaucoup de talent donc je suis sûr qu’il reviendra fort et montrera de bons résultats. »

Lorsqu’on lui a demandé si son ancien coéquipier Alex Albon s’épanouirait chez Williams au sein d’une équipe où la pression pour performer n’est peut-être pas aussi élevée que chez Red Bull, le Néerlandais a répondu que son ancien coéquipier n’avait rien à prouver en matière de rythme.

« Il sait qu’il a la vitesse, je pense que nous savons tous qu’il l’a. Il l’a déjà montré en Karting. Mais il sera dans un environnement moins stressant [que Red Bull] et ce sera bien de revenir comma ça et comme je l’ai dit, je suis sûr qu’il s’en sortira bien. Bien-sûr, il devra s’habituer à sa nouvelle voiture, mais ce sera le cas pour tout le monde avec les nouvelles règles, il s’en sortira bien. »

Hülkenberg n’a eu aucune discussion avec Alfa Romeo pour 2022

L’Allemand Nico Hülkenberg a nié les dernières rumeurs qui suggèrent que le pilote de réserve de l’équipe Aston Martin serait en discussion avec l’équipe Alfa Romeo pour un baquet en F1 en 2022.

Cette semaine, le marché des transferts en F1 a été particulièrement mouvementé avec l’annonce de l’arrivée prochaine de Valtteri Bottas chez Alfa Romeo, l’arrivée prochaine de George Russell chez Mercedes, la confirmation de l’équipe AlphaTauri qui a décidé de conserver son actuel duo de pilotes ou encore le retour d’Alex Albon sur la grille aux côtés de Nicholas Latifi chez Williams.

Le seul baquet désormais encore libre en Formule 1 la saison prochaine est celui de l’actuel pilote Alfa Romeo Antonio Giovinazzi dont le contrat arrive à son terme à la fin de cette saison et qui n’a toujours pas été renouvelé.

Interrogé par le BILD pour savoir s’il pouvait confirmer des discussions avec l’équipe Alfa Romeo, Nico Hülkenberg a affirmé qu’il n’avait eu aucune discussions avec l’équipe du constructeur italien.

« Il n’y a pas eu de discussion avec Alfa Romeo. Cela aurait été la dernière option pour un baquet ferme en 2022 après que tous les autres cockpits ont été pris. » a déclaré Nico Hülkenberg au BILD.

« La vie continue. J’ai des demandes passionnantes d’autres catégorie et je ne suis pas pressé de prendre une décision. Je vais faire le tri et voir comment ça se passe. »

Le conflit Schumacher/Mazepin se réglera en interne chez Haas

Les deux pilotes Haas, Haas, Nikita Mazepin et Mick Schumacher, ont nié avoir reçu des consignes particulières de la part du directeur de l’équipe Günther Steiner à la suite de deux incidents en piste entre les deux pilotes lors du Grand Prix des Pays-Bas le week-end dernier.

Mazepin était mécontent après les qualifications à Zandvoort lorsqu’il a estimé que Schumacher avait désobéi aux règles de l’ordre de sortie des stands des pilotes en devançant Mazepin en Q1 – une accusation que Schumacher a catégoriquement niée – alors qu’en course le lendemain, l’Allemand a dû faire face à une défense assez agressive de son coéquipier dans la ligne droite à l’issue du premier tour.

Lorsqu’on lui a demandé à Monza avant le Grand Prix d’Italie si Steiner avait parlé au duo de leur comportement en piste, Mazepin a répondu : « Il l’a fait, et c’est bien de savoir que je ne suis pas dans les mauvais livres, donc c’est positif. »

« Mais je veux respecter la confidentialité des discussions, celles-ci étaient à huis clos et je ne pense pas que ce serait confortable pour toutes les parties si c’était une discussion ouverte, donc je vais la garder comme telle. »

Lorsqu’on lui a demandé si les règles d’engagement avaient changé entre eux, Mazepin a répondu : « Nous allons travailler en équipe pour essayer de résoudre ce problème. »

« Ce que disent les règles, c’est qu’à moins qu’une partie importante de la voiture derrière vous soit à vos côtés, vous n’êtes pas obligé de laisser la largeur d’une voiture et vous avez le droit de vous déplacer de gauche à droite car vous êtes toujours devant et vous pouvez donc vous positionner en toute sécurité. C’est le cas depuis de nombreuses années et je respecte ça et je vais continuer à le faire. »

Lorsqu’on interroge son coéquipier Mick Schumacher, l’Allemand insiste sur le fait que des réunions ont déjà eu lieu en interne : « Nous discutons en interne et je pense que tout a été dit des deux côtés et j’espère que nous trouverons la bonne solution. »

« Pour le moment, je ne pense pas que les règles d’engagement aient changé. J’espère que nous pourrons courir comme nous le faisons jusqu’à présent. »

Enfin, lorsqu’on interroge Mazepin sur les propos tenus par l’oncle de Mick Schumacher après le Grand Prix des Pays-Bas [Ralf Schumacher a déclaré que Mazepin n’avait pas sa place en F1 suite à sa défense musclée], le russe a répondu : « Pour moi, je respecte évidemment les opinions, car tout le monde a le droit d’en avoir, mais il semble juste qu’il protège sa famille, et que puis-je dire ? Si sa famille a besoin de protection en Formule 1, alors je suis plus qu’heureux d’écouter ces choses.« 

Giovinazzi n’a aucune nouvelle concernant son avenir en F1

Antonio Giovinazzi dit qu’il concentre son énergie sur ses performances alors que le pilote italien verra son contrat avec Alfa Romeo arriver à son terme à la fin de cette saison 2021.

Cette semaine, l’équipe Alfa Romeo a confirmé la signature de Valtteri Bottas pour plusieurs années à partir de la saison 2022 mais n’a pas dévoilé si Antonio Giovinazzi ferait toujours partie de l’écurie l’an prochain.

On parle de plus en plus du fait que Guanyu Zhou, pilote junior d’Alpine et actuellement engagé en Formule 2, pourrait être un sérieux candidat pour le deuxième baquet Alfa Romeo l’an prochain, tandis que d’autres pilotes, dont Nyck de Vries, ont été liés, bien que les liens du nouveau champion du monde de Formule E avec Mercedes puissent s’avérer problématiques.

S’exprimant avant sa course à domicile, le Grand Prix d’Italie, Antonio Giovinazzi a souligné qu’il n’avait encore reçu aucune indication sur son avenir.

« Rien pour l’instant – je n’ai pas encore de nouvelles, je savais juste que Valtteri serait chez Alfa l’année prochaine mais de mon côté, pas encore de nouvelles. » a déclaré l’Italien ce jeudi à Monza.

Lorsqu’on lui a demandé s’il y avait une date limite pour la décision, Giovinazzi a répondu : « Pas vraiment pour être honnête. Bien sûr, je veux savoir le plus tôt possible mais ce n’est pas ma décision. Je l’ai déjà dit plusieurs fois, je sais qu’il y a beaucoup de rumeurs mais ce n’est pas ma décision.« 

« Donc, je me concentre davantage sur ma performance, pour obtenir mon meilleur résultat en course, en qualifications et tout, puis voir ce qui se passera. »

« C’est sûr que ça a toujours été le même septembre de mon côté ces trois dernières années. Il y avait toujours des rumeurs pour l’année suivante. » a t-il ajouté.

« Pour moi, je ne veux pas trop me concentrer là-dessus parce que c’est juste une perte d’énergie. Je veux me concentrer davantage sur la performance sur moi-même et essayer de faire de mon mieux. Comme je le dis plusieurs fois, ce n’est pas ma décision et quoi qu’il arrive, cela arrivera.Mon objectif est d’être heureux avec moi-même et de voir ce qui va se passer. » a conclu l’Italien tout en ajoutant qu’il discuterait avec Fred Vasseur [le directeur de l’équipe] après Monza.

Avant le Grand Prix d’Italie, Antonio Giovinazzi occupe la dix-huitième position au championnat du monde des pilotes avec un seul point marqué depuis le début de l’année.

Alonso admet avoir une relation « amour-haine » avec la F1

Fernando Alonso est devenu une véritable icône du sport automobile pour ses exploits au cours des 20 dernières années, et son retour en F1 cette année a été relativement bien accueilli par la nouvelle génération de pilotes, dont certains n’avaient jamais couru contre lui auparavant.

Lorsque la BBC demande au double champion du monde s’il a le sentiment de jouir d’un statut « d’homme d’état » ou bien de « légende vivante » en Formule 1 par rapport à la jeune génération de pilotes qu’il doit affronter cette année depuis son retour, le pilote espagnol a répondu : « Je n’y ai jamais pensé. Je ne sais pas. »

Le pilote Alpine admet cependant que son héritage et sa réputation sont importants pour lui : « Je m’en soucie. Je mentirais si je disais non. Nous courons ici et nous sommes totalement concentrés au jour le jour sur les performances et ce que nous réalisons chaque week-end. »

« Mais à long terme, ce serait bien que lorsque vous prenez votre retraite ou que vous restez à la maison, qu’il n’y ait pas une mauvaise perception de la façon dont vous étiez en tant que pilote ou de la façon dont vous avez obtenu certains des résultats. »

« D’une certaine manière, vous travaillez sur des messages positifs qui, espérons-le, resteront plus longtemps après votre retraite. »

« Il y a beaucoup de nouveaux fans dans le sport, beaucoup de la jeune génération, du documentaire Netflix [Drive To Survive]. Ces gens n’ont jamais vu certaines de mes courses ou certains de mes championnats. Ils n’ont vu que les deux dernières années et ils ont une perception complètement fausse de qui est chacun d’entre nous. »

De façon générale, Fernando Alonso prend beaucoup de plaisir depuis son retour en F1, même si l’Espagnol admet qu’il doit faire un effort pour accepter toutes les distractions à l’extérieur de la voiture.

« J’ai probablement une relation amour-haine avec la F1. J’aime la course. J’aime les voitures. J’aime la technologie impliquée et à quel point tous les ingénieurs et tous les membres de l’équipe sont intelligents. Vous apprenez beaucoup de ces personnes. »

« En même temps, vous sentez que c’est mi-business, mi-sport. Vous n’êtes pas en mesure de concourir dans les mêmes conditions que certains de vos adversaires, et il y a beaucoup d’activités médiatiques, beaucoup d’activités liées aux sponsors autour du grand prix aussi. »

« Vous devez donc économiser de l’énergie et être à 100% lorsque vous sautez dans la voiture. Et en dehors de la voiture, j’essaie d’économiser autant d’énergie que possible et c’est peut-être pour cela que l’impression est que je suis une personne calme. » 

Avant le Grand Prix d’Italie qui se déroule du 10 au 12 septembre, Fernando Alonso occupe la dixième place au championnat du monde des pilotes avec 46 points marqués depuis le début de la saison 2021.

Leclerc espère utiliser la course sprint à l’avantage de Ferrari à Monza

Charles Leclerc a remporté le Grand Prix d’Italie au volant de sa Ferrari en 2019 sur un circuit de Monza noir de Tifosi, un moment que le Monégasque n’est pas prêt d’oublier.

Mais pour cette édition 2021 du Grand Prix d’Italie qui se déroule ce week-end du 10 au 12 septembre, Leclerc sait que les performances de sa monoplace ne lui permettront pas de se battre pour la victoire à la régulière et espère donc que le format des qualifications sprint qui sera testé pour la deuxième fois cette année va aider son équipe à obtenir un bon résultat à domicile.

« C’est toujours très, très spécial de courir à Monza pour Ferrari, mais aussi pour moi, je me souviendrais toujours d’il y a deux ans, c’était absolument fou. » a déclaré Leclerc.

« Mais je pense que cette année ce sera un peu plus difficile, bien-sûr, nous avons fait quelques progrès depuis l’année dernière, et ce devrait donc être une meilleure course par rapport à l’an dernier. Mais sur le papier, c’est une piste difficile pour nous, mais c’est aussi un week-end où nous avons les qualifications sprint…donc un format différent. »

« Donc, j’espère que nous pourrons en profiter et connaître un bon week-end quand même. Mais bon, sur le papier ça va quand même être difficile. »

Pour rappel : Ce vendredi, les pilotes participeront à une première séance d’essais libres à 14h30, suivi d’une séance de qualifications programmée à 18h00. Le résultat de cette séance de qualifications déterminera la grille de départ de la course sprint organisée le samedi après-midi à 16h30.

Le résultat de la course sprint (30 minutes max) déterminera la grille de départ du Grand Prix d’Italie programmé le dimanche 12 septembre.

On vous offre « Gasly, le magnifique » de Frédéric Veille

A la veille du Grand Prix d’Italie 2021, nous célébrons la première victoire de Pierre Gasly en F1 à Monza en 2020 en vous offrant l’ouvrage de notre confrère de RTL, Frédéric Veille : « Gasly, le magnifique« .

A travers un livre qu’on dévore, le journaliste donne la parole à la famille et aux proches du pilote normand pour nous raconter sa victoire historique sur le tracé de Monza en 2020 [sa première en F1]. Les émotions se développent au fil des pages, la tension monte au fur et à mesure que l’heure de la victoire approche.

Frédéric Veille en profite pour dérouler le fil de la jeune carrière du Français et pour nous raconter les anecdotes qui ont jalonné son parcours. Ses parents, ses frères, ses amis témoignent et nous font ainsi revivre cette journée du 6 septembre 2020 mais aussi l’enfance, les moments clés, les déceptions et les bonheurs d’un jeune homme déterminé et ambitieux.

Comme le rappelle Julien Fébreau [commentateur sur Canal+] dans son vibrant commentaire de fin de course, la dernière victoire française en Formule 1 datait de plus de 24 ans. Pierre Gasly nous a donc offert un moment historique ce jour-là et a réjoui tous les fans français de Formule 1.

Le livre se conclut sur les propos de Pierre Gasly lui-même :  « Gagner ! Quand tu es pilote automobile, c’est quelque chose qui est constamment dans ta tête. » aime à rappeler le Normand.

« Je ne me dis pas  « Putain, c’est fait. » mais plutôt : « J’ai eu une opportunité de gagner une course et je l’ai fait. »

« Car j’ai travaillé pour ça. Tous les jours de ma jeune existence. Et je peux dire qu’au quotidien, ça n’a pas été simple car on ne m’a pas toujours donné les moyens de montrer ce que je savais faire. Mais à chaque fois, j’ai su saisir les opportunités qu’on m’a présentées. »

Pour remporter un exemplaire de ce livre, rendez-vous sur notre compte Twitter pour participer au tirage au sort. Résultats du jeu le dimanche 12 septembre après l’arrivée du Grand Prix d’Italie.

Aston Martin aux couleurs de James Bond ce week-end à Monza

En prévision de la sortie ce mois-ci du nouveau film de James Bond No Time To Die , l’équipe Aston Martin a annoncé à la veille du Grand Prix d’Italie une suite de contenu exclusif pour célébrer la sortie de ce film très attendu.

Pour marquer la sortie du film, Aston Martin célébrera le partenariat entre James Bond et Aston Martin tout au long du week-end du Grand Prix d’Italie (du 9 au 12 septembre). Pour cette course uniquement, l’équipe remplacera les logos Aston Martin par l’insigne emblématique du logo 007 sur les côtés du cockpit de l’AMR21.

Pendant ce temps, dans le paddock de Monza, le camping-car et le garage de l’équipe seront décorés de l’iconographie de Bond pour marquer l’occasion.

« Aston Martin fait partie de l’ADN de Bond. C’est un partenariat qui n’a pas besoin d’explications, donc c’était très amusant de fusionner ces deux mondes : les séquences de titres emblématiques de Bond et la Formule 1 d’Aston Martin. J’espère que cela créera beaucoup d’enthousiasme avant la sortie du film. » a expliqué le cinéaste Daniel Kleinman.

Le 25e film de James Bond sortira en première mondiale au Royal Albert Hall de Londres le 28 septembre avant sa sortie en salles au Royaume-Uni le 30 septembre (8 octobre aux États-Unis).

La Red Bull de Verstappen inspectée par la FIA après le GP des Pays-Bas

Les délégués techniques du Grand Prix des Pays-Bas disputé le dimanche 5 septembre à Zandvoort ont choisi la Red Bull de Max Verstappen à la fin de l’épreuve pour le désormais traditionnel contrôle technique d’après course.

Depuis cette saison 2021, la FIA a décidé de mettre en place un contrôle technique plus approfondi après chaque épreuve disputée dans le championnat du monde de Formule 1.

Les délégués techniques choisissent après l’arrivée de chaque course une monoplace au hasard parmi le top dix afin d’inspecter en profondeur cette dernière et déceler une éventuelle non conformité. Après l’arrivée du Grand Prix des Pays-Bas, c’est la Red Bull du vainqueur de l’épreuve Max Verstappen qui a été choisie par la FIA.

« Après la course du Grand Prix des Pays-Bas, la voiture numéro 33 a été choisie au hasard parmi les dix meilleures voitures pour des inspections physiques plus approfondies. » peut-on lire dans le rapport de la FIA.

« Le système de commande de la boîte de vitesses (hydraulique) ainsi que tous les capteurs attachés et leurs connexions à la SECU et à d’autres unités ont été contrôlés. Tous les composants inspectés se sont avérés conformes aux exigences techniques de la règlementation technique du championnat du monde de F1 2021. »

Après le Grand Prix des Pays-Bas, Max Verstappen a pris la tête du championnat du monde 2021 avec trois points d’avance sur Lewis Hamilton.

Pour rappel, en cas de non conformité à la suite d’un contrôle technique d’après course, le concurrent concerné peut recevoir une pénalité ou bien être disqualifié. Jusqu’à présent, aucune non conformité n’a été déclarée par la FIA dans le cadre de ce contrôle technique d’après course (le cas de la disqualification de Vettel en Hongrie n’entre pas dans ce contexte de contrôle technique).