C’est le septuple champion du monde Lewis Hamilton qui a signé le meilleur temps de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn en 1,30.374 (Tendres), le Britannique devance son coéquipier George Russell de deux dixièmes (Tendres) et l’Aston Martin de Fernando Alonso (Tendres) de deux dixièmes également.
Derrière, Carlos Sainz, Oscar Piastri, Max Verstappen, Nico Hülkenberg, Lance Stroll, Charles Leclerc et Sergio Perez complètent le top dix de cette ultime séance d’essais libres du jour à Bahreïn.
Une séance plus représentative mais…
Ces EL2 étaient bien plus représentatifs que la première séance d’essais libres disputée plus tôt dans la journée à Bahreïn et qui s’est déroulée de jour. En effet, les conditions de ces EL2 (de nuit) étaient similaires à celles que rencontreront les pilotes ce vendredi pour les qualifications et ce samedi pour la course.
Les temps signés lors de ces EL2 sont donc un peu plus pertinents que ceux signés en EL1, bien qu’il faudra encore attendre jusqu’aux qualifications avant de découvrir la véritable hiérarchie en F1 cette saison…
Des problèmes pour Norris
Le pilote McLaren a rencontré pas mal de problèmes lors de ces EL2 ce jeudi à Bahreïn. Le Britannique s’est plaint de nombreux rebonds en début de séance, avant de demander à changer de volant quelques minutes plus tard.
Une fois son volant changé, Lando Norris a visiblement eu le plus grand mal à passer les rapports correctement avec sa monoplace, notamment parce que les rebonds semblaient lui faire « rater » une vitesse à chaque fois. Il termine cette séance bon dernier…
La prochaine séance de roulage programmée à Bahreïn est la troisième et dernière séance d’essais libres ce vendredi à 13h30 (heure de Paris), elle précédera la très attendue première séance de qualifications de la saison 2024. Evidemment, ces deux séances seront à suivre en direct sur notre site à cette adresse.
Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn, première manche du championnat du monde 2024 de Formule 1 qui se déroule du 29 février au 02 mars sur la piste de Sakhir.
Les premiers essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL1] étaient programmés ce jeudi 29 février à 12h30 (voir résultats ici), tandis que la deuxième séance d’essais libres [EL2]se disputait le même jour à 16h00 (résultats ici).
Le vendredi 1er mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL3] à 13h30 (heure de Paris), alors que la première séance de qualifications de l’année est programmée à 17h00 (heure de Paris).
Enfin, le départ du Grand Prix de Bahreïn 2024 sera donné le samedi 02 mars à 16h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 57 tours de course.
Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès ce jeudi 29 février pour les premiers essais libres du GP de Bahreïn en direct sur notre Live Center accessible ici ou bien alors vous pouvez suivre la séance via le live ci-dessous.
Le pilote Mercedes George Russell a admis que la W15 souffrait de quelques rebonds persistants en ce début de saison, mais le phénomène ne semble pas inquiéter outre mesure le Britannique qui fait confiance à son équipe.
Le marsouinage (rebonds) est réapparu en Formule 1 en 2022 lorsque les monoplaces issues de la nouvelle réglementation technique qui favorise l’effet de sol ont été développées. Phénomène assez spectaculaire au début, le problème de marsouinage a finalement été très vite résolu par les équipes de F1 au cours de la saison 2022.
Mais cette année, plusieurs monoplaces – dont la Mercedes W15 – ont semblé rebondir de façon excessive en piste lors des essais hivernaux disputés à Bahreïn et lorsqu’on demande à Russell s’il y avait des problèmes hérités de la W14 sur sa monoplace 2024, le pilote Mercedes a répondu : « Je dirais que la voiture de cette année est une voiture de course totalement différente au point que les choses que nous avons apprises l’année dernière dans la façon de régler la voiture, nous devons aborder cela différemment cette année. »
« Cela ressemble une peu plus de ce à quoi devrait ressembler une voiture de course. Mais le seul domaine dans lequel nous devons continuer à travailler est probablement le rebond que nous constatons. Nous avons eu quelques rebonds la semaine dernière [aux essais hivernaux]. »
« Nous avons poussé la voiture de façon très agressive, mais comme je l’ai dit, nous avons affaire à une bête totalement différente cette année, alors que [les monoplaces] 2022 et 2023 étaient taillées dans la même étoffe. »
Malgré ces rebonds en essais hivernaux, Russell ne semble pas trop inquiet et estime que son équipe sera en mesure de faire disparaître rapidement ce phénomène dès le début de la saison : « Désormais, nous repoussons encore les limites et exploitons les limites de la voiture. J’aimerais donc penser que vous verrez beaucoup moins cela ce week-end [à Bahreïn]. »
« Trois ans plus tard [après l’introduction des nouvelles règles], je pense que beaucoup d’équipes arrivent encore sur ce circuit et règlent leur voiture trop basse et trop agressive. Il y a toujours une fine ligne, parce que c’est là que se trouve l’appui. »
« Je reste convaincu que la courbe de développement de cette voiture sera plus grande que celle que nous avons vue dans les deux dernières voitures, car nous avons une meilleure plateforme. » a insisté Russell.
« Il ne s’agit que de performance pure et simple, parce que la voiture est agréable à piloter, mais nous manquons d’appui. »
C’est le pilote Visa Cash App RB, Daniel Ricciardo, qui a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn en 1,32.869 (Tendres). L’Australien devance de 32 millièmes la McLaren de Lando Norris (Tendres) et de deux dixièmes l’autre McLaren pilotée par Oscar Piastri (Tendres).
Derrière, Yui Tsunoda, Fernando Alonso, Max Verstappen, George Russell, Charles Leclerc, Lewis Hamilton et Valtteri Bottas complètent le top dix de cette première séance d’essais libres de la saison, une séance peu représentative, ce qui veut dire que le classement final ne représente absolument pas la hiérarchie 2024.
Pas une séance représentative
Cette première séance d’essais libres du week-end à Bahreïn ne s’est pas déroulée dans des conditions représentatives, car les pilotes ont roulé de jour lors de ces EL1, alors que les qualifications et la course se disputeront de nuit sur le tracé de Sakhir.
Les équipes ont donc profité de cette séance d’essais pour récolter de nombreuses données sur des monoplaces qui n’ont pris la piste que durant trois jours lors des essais hivernaux disputés la semaine dernière. Certaines équipes n’ont d’ailleurs pas chaussé les pneus Tendres durant ces EL1…
Verstappen pas à l’aise
Durant toute la séance, Max Verstappen n’a cessé de se plaindre à la radio du comportement de sa Red Bull, notamment du passage de vitesses et des quelques rebonds dont il a été victime. Ce ne sont que des essais libres, mais l’équipe Red Bull a procédé à quelques ajustements sur sa monoplace durant la séance, alors que le triple champion du monde s’est plaint de problèmes de freins par la suite…
Alpine toujours aussi discrète…
L’équipe Alpine a une nouvelle fois été très discrète en piste ce jeudi, puisque ses deux pilotes Esteban Ocon et Pierre Gasly sont restés pas mal de temps au garage et terminent cette première séance d’essais libres en bas de classement. Toujours impossible de savoir si l’équipe du constructeur joue l’intox depuis les essais hivernaux ou pas…
La deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn est programmée ce jeudi à 16h00 (heure de Paris) et sera à suivre en direct sur notre site à cette adresse.
Christian Horner s’est dit « heureux » que l’enquête interne menée par son employeur Red Bull soit désormais terminée, ce qui va lui permettre de se concentrer à 100% sur son travail avec Red Bull cette saison en Formule 1.
A la veille de la première manche de la saison 2024 qui se dispute ce week-end à Bahreïn, la société Red Bull a confirmé que le Britannique Christian Horner – sous le coup d’une enquête interne depuis plusieurs semaines – conserve son poste de directeur de l’écurie Red Bull Racing après avoir été innocenté.
Pour rappel, le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, faisait l’objet d’une enquête interne depuis quelques jours au sujet d’un comportement « inapproprié » auprès d’une employée selon un communiqué de presse publié par Red Bull. Difficile d’avoir plus de détails concernant cette affaire, mais le principal intéressé a toujours nié catégoriquement les accusations qui étaient portées contre lui.
Ce mercredi, la société Red Bull a publié un communiqué dans lequel elle indique qu’aucune preuve d’acte répréhensible n’a été retenue contre Christian Horner lors de cette enquête « rigoureuse et impartiale », ce qui signifie que le Britannique conserve son poste de directeur de l’équipe Red Bull en Formule 1, un poste qu’il occupe depuis la saison 2005.
S’exprimant pour la première fois auprès des médias, le directeur de Red Bull Racing a insisté sur le fait qu’il ne peut faire aucun commentaire sur toute cette affaire, mais qu’il est évidemment heureux de pouvoir se concentrer sur son travail désormais.
« Je suis simplement heureux que le processus soit terminé. » a déclaré le patron de l’équipe Red Bull Racing au micro de Sky Sports.
« Evidemment, je ne peux pas faire de commentaires à ce sujet, mais nous sommes ici pour nous concentrer sur le Grand Prix et la saison à venir pour essayer de défendre nos deux titres. »
Lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que l’affaire était désormais résolue définitivement, Horner a ajouté : « Je ne peux pas vous faire d’autres commentaires, mais le processus a été mené et conclu. »
« Encore une fois, je ne pourrais pas vous faire de commentaires supplémentaires à ce sujet, mais je suis heureux d’être ici à Bahreïn et de me concentrer avec l’équipe sur la saison à venir. »
Enfin, lorsqu’on lui demande si l’équipe Red Bull est toujours aussi unie malgré les récentes allégations envers sa propre personne, Christian Horner a répondu : « Au sein de l’équipe, elle [l’union] n’a jamais été aussi forte. »
Il est bon de préciser que dans son communiqué, Red Bull n’a fourni aucun détail concernant cette affaire, mais la société de boissons énergisantes a insisté sur le fait que « la plaignante a le droit de faire appel. »
A partir du Grand Prix de Bahreïn, tous les pneumatiques Pirelli utilisés par les équipes porteront le logo FSC (Forest Stewardship Council), une marque qui certifie que tout le caoutchouc naturel contenu dans le pneu est conforme aux critères environnementaux et sociaux stricts exigés par le FSC, la principale organisation non gouvernementale mondiale pour la foresterie durable.
Cette certification, annoncée le 10 octobre de l’année dernière lorsque Pirelli a renouvelé son accord en tant que partenaire mondial de pneus en Formule 1 jusqu’en 2027 au moins, s’appliquera à tous les pneus utilisés sur piste, tout au long de la saison, y compris durant les tests de pré-saison qui ont lieu la semaine dernière à Bahreïn.
Les pneus certifiés FSC ont été introduits à la suite d’un intense programme de développement débuté en 2022, qui a montré des résultats clairs en termes de fiabilité et de performances.
Ces pneus débutent désormais officiellement en championnat du monde de F1 avec le Grand Prix de Bahreïn organisé ce week-end, il s’agit pour Pirelli d’une étape importante, reflétant l’engagement de la firme italienne à fournir des performances et des solutions de plus en plus durables, même dans l’environnement particulier du sport automobile, à commencer par sa plus grande expression technologique et compétitive, la Formule 1.
« La Formule 1 est fière de collaborer avec Pirelli sur des sujets de développement durable à tous les niveaux, comme le montre l’introduction de pneus certifiés FSC. » a déclaré Ellen Jones, responsable ESG de la Formule 1.
« Il s’agit d’un pas en avant important et positif, ainsi que d’un autre exemple de la manière dont nos partenaires démontrent leur engagement en faveur de pratiques durables alors que nous poursuivons notre mission vers Net Zero d’ici 2030. »
« Nous avons hâte de voir les nouveaux pneus certifiés FSC dans action ce week-end à Bahreïn puis tout au long de la saison . »
Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la première séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn, première manche du championnat du monde 2024 de Formule 1 qui se déroule du 29 février au 02 mars sur la piste de Sakhir.
Les premiers essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL1] sont programmés ce jeudi 29 février à 12h30 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance d’essais libres [EL2]se dispute le même jour à 16h00 (heure de Paris).
Le vendredi 1er mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL3] à 13h30 (heure de Paris), alors que la première séance de qualifications de l’année est programmée à 17h00 (heure de Paris).
Enfin, le départ du Grand Prix de Bahreïn 2024 sera donné le samedi 02 mars à 16h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 57 tours de course.
Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès ce jeudi 29 février pour les premiers essais libres du GP de Bahreïn en direct sur notre Live Center accessible ici ou bien alors vous pouvez suivre la séance via le live ci-dessous.
La Formule 1 a déclaré un chiffre d’affaires de 2,5 milliards de livres sterling en 2023 après un dernier trimestre qui a généré à lui seul 950 millions de livres sterling, notamment grâce au retour du Grand Prix de Las Vegas au calendrier.
Après quatre décennies d’absence, le Grand Prix de Las Vegas a fait son grand retour au calendrier de la Formule 1 en 2023, et avec tout l’engouement autour de l’événement le plus attendu de l’année, la F1 a pu enregistrer une augmentation des revenus de 25% en grande partie liée à l’épreuve de Las Vegas.
Les revenus des droits médias ont également augmenté en raison de l’augmentation des frais dans le cadre d’accords contractuels nouveaux et renouvelés et de la croissance continue des abonnements à F1TV, contribuant ainsi à une augmentation totale des revenus de 25 %.
Liberty Media (le détenteur des droits commerciaux de la F1) a également rapporté que la fréquentation des fans avait augmenté de 5% par rapport à la saison 2022, tandis que 1,5 milliard de téléspectateurs ont suivi la catégorie reine devant leur écran de télévision et plus de 16 milliards d’impressions ont été enregistrées sur les différents réseaux sociaux de la Formule 1 lors de la course inaugurale du Grand Prix de Las Vegas.
« 2023 a été une autre année incroyable pour la Formule 1. Nous avons eu un fort engagement sur toutes les plateformes, avec une participation record aux courses et la F1 a conservé sa position de ligue à la croissance la plus rapide sur les réseaux sociaux pour la quatrième année consécutive. » a déclaré Stefano Domenicali, PDG de la F1.
« La F1 a connu une croissance continue de ses fans, en particulier sur le marché américain, renforcé par le succès du Grand Prix de Las Vegas, et auprès d’un public plus jeune et plus féminin. »
« Nos initiatives en matière de développement durable restent une priorité pour la F1 et nos partenaires, et nous sommes impatients de disputer les sept courses de la F1 Academy [réservée aux femmes] cette saison, parallèlement au calendrier de la F1. »
« Nous sommes enthousiasmés pour la saison 2024, alors que nous nous concentrons sur l’approfondissement de nos relations avec les fans et l’optimisation de nos partenariats commerciaux pour apporter une valeur supplémentaire. »
Avec un calendrier record comprenant 24 courses, la saison de F1 2024 débute ce week-end à Bahreïn. Comme pour les saisons précédentes, F1only est mobilisé pour vous tenir informés des conditions atmosphériques pour chaque Grand-Prix en publiant un bulletin météo complet avant chaque week-end de course. Pour cette manche inaugurale, direction le circuit international de Sakhir.
D’une durée de 281 jours (entre le 2 mars et le 8 décembre), la 75e saison qui démarre dans quelques heures, va devenir la plus longue de l’histoire de la Formule 1. Au programme : un total impressionnant de 24 courses (dont 6 au format Sprint) pour un total de 1 463 tours (7 322 km) de course.
Autres points saillants : la réintégration du Grand Prix de Chine en avril, un regroupement géographique relatif et le retour des courses nocturnes le samedi soir (Bahreïn, Arabie Saoudite et Las Vegas). Au niveau calendrier, le GP d’Azerbaïdjan est programmé mi-septembre et celui du Japon (traditionnellement organisé en pleine saison des typhons) est devancé en avril.
Avec deux courses supplémentaires par rapport à l’année dernière (rappelons que le GP d’Émilie-Romagne avait été annulé en raison des inondations), le nombre de points disponibles pour le pilote le plus rapide sera plus élevé avec un maximum théorique de 672 (en comptant le point bonus pour le meilleur tour et en ajoutant le barème des courses Sprint). Pour rappel, en 2023, Max Verstappen a amassé un nombre record de 575 points sur 620 possibles (soit un ratio de 92%) !
Situation générale
Une petite dorsale anticyclonique (1027 hPa) positionnée jeudi au nord de l’Arabie Saoudite se déplace très lentement vers le sud vendredi et samedi tout en perdant de l’intensité. Cet anticyclone engendre pour le Royaume de Bahreïn un temps sec, un peu plus frais que la normale saisonnière et avec des vents soutenus pour jeudi et vendredi.
Jeudi 29 février – EL1 et EL2
En raison du Ramadan, le programme pour les deux premières manches est un petit peu modifié et les monoplaces seront en piste dès jeudi 14h30 heure locale (12h30 heure de Paris) pour la première séance d’essais libre puis à 18h00 (16h00 heure de Paris) pour la deuxième.
Le temps attendu pour jeudi après-midi est sec, avec des températures comprises entre 20°C et 17°C et un excellent ensoleillement. Mais ce qui retient l’attention de cette première journée est la présence d’un vent du Nord-Ouest assez soutenu avec des rafales dépassant 50 km/h. Comme le circuit est situé dans le désert, ce vent apportera inévitablement du sable et pourrait venir gêner considérablement le comportement des monoplaces et l’adhérence de la piste. Le taux d’hygrométrie sera bas entre 35% et 40%.
Vendredi 1er mars – EL 3 et qualifications
Après une nuit un peu fraîche (13°C), la journée de vendredi débute par un ciel totalement clair et une excellente visibilité. Bien qu’en légère baisse, le vent de Nord-Ouest sera toujours bien présent vendredi après-midi lorsque les F1 s’élanceront pour la troisième et dernière séance d’essais libres (15h30 heure locale – 13h30 heure de Paris).
Le mercure évoluera entre 20°C au plus chaud de l’après-midi pour redescendre à 17°C lors de la séance des qualifications (disputée entièrement en nocturne) dont le coup d’envoi sera donné à 19h00 heure locale (17h heure de France). Là encore, aucun risque de pluie et le vent continuera de perdre en intensité.
Samedi 02 mars – La course
Pour la course dont le départ sera donné en toute fin de journée samedi (soit une demi-heure avant le coucher du soleil), les conditions météorologiques seront favorables : un ciel dégagé, une température de 19°C, un taux d’hygrométrie de 50% avec et surtout un vent faible (10 – 15 km/h) du secteur Nord-Est.
Tout au long de la saison et pour ne rien manquer au niveau météo, vous pouvez consulter les prévisions horaires de chacun des Grands Prix sur le site de notre partenaire météo Celinium. Les prévisions sont rafraîchies toutes les 10 minutes. Bonne saison.
Ce jeudi 29 février, les pilotes de F1 sont en piste sur le tracé de Sakhir pour participer aux deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn, première manche du championnat du monde 2024 de Formule 1.
Notez que cette première course tout comme celle programmée la semaine suivante en Arabie Saoudite – se disputera un samedi en raison du Ramadan qui débute le dimanche 10 mars lors du week-end du Grand Prix d’Arabie Saoudite.
Le début du Ramadan coïncidant avec le jour du départ du Grand Prix d’Arabie Saoudite, la Formule 1 a pris la décision d’avancer l’épreuve d’une journée, soit le samedi 09 mars, ce qui a donc provoqué l’avancée du Grand Prix de Bahreïn d’une journée également afin de permettre aux équipes d’être plus à l’aise au niveau de la logistique lorsqu’elles quitteront Bahreïn pour rejoindre Djeddah.
Les premiers essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL1] sont programmés le jeudi 29 février à 12h30 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance d’essais libres [EL2]se disputera le même jour à 16h00 (heure de Paris).
Le vendredi 1er mars, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL3] à 13h30 (heure de Paris), alors que la première séance de qualifications de l’année est programmée à 17h00 (heure de Paris).
Enfin, le départ du Grand Prix de Bahreïn 2024 sera donné le samedi 02 mars à 16h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 57 tours de course.
Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès ce jeudi 29 février pour les premiers essais libres du GP de Bahreïn en direct sur notre Live Center accessible ici.
Suite à une analyse et à une consultation entre les pilotes, les officiels et les commissaires sportifs au cours de l’année écoulée, un ensemble de lignes directrices sur les normes de conduite a été produit par le Comité des Pilotes de la FIA en partenariat avec la Commission des Circuits et le Département de Sécurité de la FIA.
Les lignes directrices s’appliqueront à toutes les catégories de courses sur circuit, depuis les compétitions de base jusqu’aux compétitions de championnat du monde comme la Formule 1, fournissant pour la première fois un point de référence globalement cohérent pour soutenir non seulement les pilotes dans leur développement tout au long de leur carrière, mais également les officiels de course et les commissaires sportifs.
Le Comité des Pilotes de la FIA – composé d’un large éventail de pilotes expérimentés, actuels et anciens – a travaillé en étroite collaboration avec des experts des championnats et des compétitions pour recueillir leurs contributions et leurs commentaires afin de façonner la création de ce document.
Il couvre un certain nombre de sujets clés, depuis les normes de conduite jusqu’aux manœuvres de défense et de dépassement, en passant par les limites de piste, les drapeaux jaunes, les conseils au pilote et les procédures de redémarrage de la voiture de sécurité. Ce document servira également, à terme, à contribuer à la formation des jeunes pilotes candidats à leur premier permis international.
Ce projet – insiste la FIA – a été « bien accueilli » par certains des meilleurs pilotes du monde comme le double champion du monde Fernando Alonso. La nécessité d’une prise de décision aussi cohérente et équitable que possible dans un cadre permettant des courses serrées et passionnantes étant identifiée comme l’objectif clé.
« La promotion des normes de conduite dans le sport automobile est d’une importance vitale. J’ai participé à pas mal de batailles sur piste tout au long de mes 23 années de course dans plusieurs catégories de sports mécaniques. » a déclaré Fernando Alonso.
« Chaque bataille nécessite compréhension et respect entre des coureurs férocement compétitifs. Nous avons besoin de cohérence dans la manière dont les pilotes attaquent et se défendent sur le circuit, ainsi que dans la manière dont les règles sont interprétées lors de toutes les compétitions. »
« Je souhaite promouvoir une conduite propre auprès de la génération actuelle de coureurs et des futurs coureurs qui apprennent leur métier et souhaitent avoir une carrière professionnelle à l’avenir. »
« Tout le monde a la responsabilité d’aimer la course, mais de le faire de manière équitable. Les nouvelles lignes directrices sur les normes des pilotes de la FIA seront cruciales. »
Les lignes directrices seront présentées au Conseil Mondial du Sport Automobile et, à partir du 1er janvier 2025, elles seront intégrées à l’annexe L du Code sportif international.
Le double champion du monde, Fernando Alonso, a déclaré qu’il se laissait encore « quelques semaines » avant de prendre une décision concernant son avenir en Formule 1, le pilote Aston Martin n’ayant pas écarté l’idée de prendre sa retraite.
Fernando Alonso – âgé de 42 ans – est le doyen de la grille en Formule 1 et, bien que l’Espagnol semble toujours au top de sa forme physiquement, le pilote Aston Martin – dont le contrat arrive à son terme à la fin de cette saison 2024 – admet réfléchir sérieusement à son avenir et alors que son nom est lié à une potentielle arrivée chez Mercedes en 2025 en remplacement de Lewis Hamilton (en partance pour Ferrari).
Lorsqu’on a demandé à Alonso s’il serait intéressé à remplacer Lewis Hamilton chez Mercedes en 2025, le pilote espagnol – qui a roulé dans sa carrière pour Minardi, Renault, Ferrari, McLaren, Alpine et Aston Martin – a répondu : « Je dois décider si je veux continuer à concourir ou non. C’est quelque chose que je devrai décider dans quelques semaines ou quelques courses. » a déclaré Fernando Alonso ce mercredi à Bahreïn.
« Je me sens bien, mais c’est un calendrier exigeant et, en 2026, il y aura de nouvelles règlementations qui pourraient être tentantes ou peut-être pas. Donc, je dois voir, il me faudra encore quelques courses pour décider. »
Alonso a poursuivi en insistant sur le fait qu’il reste concentré sur sa saison 2024 avec Aston Martin et, bien qu’il a connu des essais hivernaux productifs à Bahreïn la semaine dernière, le double champion du monde se montre très prudent quant aux chances de voir de nouveau son équipe se battre pour des podiums en début d’année comme ce fut le cas en 2023.
« Nous devons attendre quelques courses [pour savoir où se situe Aston Martin]. Bahreïn est un circuit avec des caractéristiques particulières, nous devrons donc attendre l’Australie ou même le Japon. »
« Peut-être que nous ne pourrons pas avoir une idée précise de la hiérarchie et des performances, bien que je pense que la voiture a fait un pas en avant, ce qui était le premier objectif lors des tests de pré-saison. »
« Peut-être avons-nous fait un pas en avant. Quant à savoir si cela est suffisant, nous ne le saurons que lors des prochaines courses. Nous avons beaucoup de choses devant nous pour le développement au cours de la saison et il sera donc intéressant de voir si nous pouvons maintenir le rythme de développement avec les autres équipes. »
Lando Norris estime que le potentiel de la McLaren MCL38 ne devra pas être évalué après le Grand Prix de Bahreïn, première manche de la saison 2024 de F1, notamment parce que le tracé de Sakhir n’est pas adapté aux caractéristiques de la monoplace de l’écurie de Woking.
Après les trois jours d’essais hivernaux disputés à Bahreïn une semaine avant la première manche de l’année, Lando Norris a indiqué aux médias qu’il ne voyait pas McLaren être en lice pour un podium dès le début de l’année, le Britannique estimant que Red Bull et Ferrari restaient à l’heure actuelle loin devant encore.
Interrogé ce mercredi à Bahreïn sur ce pessimisme ambiant chez McLaren à la veille de la saison 2024, Lando Norris a déclaré : « C’est juste la réponse honnête, je pense, à notre position. Je pense que jusqu’à ce que nous arrivions à vendredi [aux qualifications exceptionnellement programmées vendredi], il est difficile de savoir où nous allons nous situer contre certaines équipes. »
« Je pense que c’est assez proche avec plusieurs équipes, mais je pense aussi qu’il y a beaucoup d’attentes pour nous en tant qu’équipe, simplement en raison de la façon dont nous avons progressé l’année dernière. »
« Certaines courses, nous étions les plus proches de Red Bull et certainement pas loin. Certaines autres courses, nous en étions encore loin, nous étions facilement derrière Mercedes, facilement derrière Ferrari, facilement derrière Red Bull, et parfois en train de nous battre avec les équipes de derrière. Nous étions donc encore très incohérents. »
Lors des deux dernières saisons, l’équipe McLaren n’a pas réussi à marquer de point au Grand Prix de Bahreïn, et Norris estime donc que pour cette raison il ne faudra pas évaluer le potentiel de la MCL38 après cette première course de l’année.
« Bahreïn n’a jamais été un bon circuit pour nous. Nous n’avons jamais eu l’une de nos courses les plus fortes à Bahreïn. » a ajouté Norris.
« Je pense donc qu’il est beaucoup trop rapide de juger et de simplement dire : ‘D’accord, nous n’allons pas être formidables ici à Bahreïn, c’est la fin de la saison pour nous’. »
« Je pense que pour tout le monde, parce que tout le monde a des hauts et bas, vous devez nous donner deux, trois, quatre ou cinq courses pour obtenir, je pense, un examen honnête de la position de chacun les uns par rapport aux autres et pas seulement de nous juger sur la base des résultats ou de la performance que nous allons voir ici à Bahreïn. »
Pour rappel, l’équipe McLaren a terminé quatrième au championnat du monde des constructeurs en 2023.
Carlos Sainz et Lewis Hamilton ont déclaré qu’il n’y avait aucune animosité entre eux suite au transfert surprise du septuple champion du monde Lewis Hamilton qui prendra la place de Sainz chez Ferrari à partir de la saison 2025.
Plus tôt cette année, Lewis Hamilton a confirmé qu’il quitterait l’écurie Mercedes à la fin de la campagne 2024 pour rejoindre la Scuderia Ferrari en 2025. Le Britannique remplacera Carlos Sainz et fera équipe avec le Monégasque Charles Leclerc.
Bien que cette situation ait obligé Carlos Sainz à chercher un nouveau baquet dans une autre équipe, l’Espagnol a insisté sur le fait qu’il continue d’avoir un profond respect pour Lewis Hamilton et comprend pour quelles raisons le septuple champion du monde a fait le choix de rejoindre Ferrari.
« Pour ma part, évidemment, je n’ai aucune rancune envers qui que ce soit. » a déclaré Carlos Sainz ce mercredi à Bahreïn où se dispute la première manche de la saison 2024 ce week-end.
« Je pense que c’est comme ça que fonctionne ce sport. J’ai toujours beaucoup de respect pour Lewis, pour le succès qu’il a connu, et évidemment, pour son choix de rejoindre Ferrari. J’aurais fait la même chose à sa place. »
« Je pense que Ferrari est une grande équipe, et à un moment donné vers la seconde moitié de votre carrière – où à la fin, je ne sais pas où il en est en ce moment, lui seul le sait – mais c’est sûr que c’est une équipe dans laquelle vous aimeriez être. Donc, je comprends parfaitement cela. »
« Et avec quelqu’un comme Fred [Vasseur, directeur de l’équipe] qu’il connaît, avec qui il a de bonnes relations et en qui il a confiance, c’était une évidence d’aller chez Ferrari. »
« De mon côté, comme je l’ai dit, je n’ai aucune rancune. Je me concentre sur mon avenir et où je vais aller ensuite. En attendant, je continuerai à faire de mon mieux pour cette équipe. » a ajouté l’Espagnol.
Assis aux côtés de Carlos Sainz en conférence de presse, Lewis Hamilton a insisté sur le fait que ses sentiments pour le pilote Ferrari étaient réciproques : « Je partage ce que Carlos a dit, dans le sens où je pense que le plus important est que nous ayons, je pense, une très bonne relation. » a déclaré le pilote Mercedes.
« Je pense que c’est quelque chose que nous tous, pilotes, avons amélioré au cours de ces dernières années. Il y a énormément de respect entre nous tous et j’ai énormément de respect pour Carlos. Je n’ai pas l’impression qu’il y ait de l’animosité ou quelque chose comme ça. »
« Je pense qu’il a fait un travail incroyable. Il a évidemment parcouru un long chemin depuis ses débuts dans le sport jusqu’aux résultats qu’il a aujourd’hui et à la façon dont il aborde les choses. Il est devenu une voix très forte au sein de l’équipe de pilotes que nous avons [GPDA] et a vraiment contribué aux décisions que nous prenons dans le sport. »
« Il a clairement fait un excellent travail au sein de son équipe, donc ce n’est pas une chose personnelle, c’est ce qui se passe dans ce monde de la course et j’espère que rien ne changera entre nous. Je ne pense pas que ce sera le cas. »
Charles Leclerc a expliqué pourquoi Ferrari avait bien du mal à se positionner par rapport à Red Bull dans la hiérarchie après les trois jours d’essais hivernaux disputés à Bahreïn la semaine dernière.
Après les tests de pré-saison, Charles Leclerc et son coéquipier Carlos Sainz ont indiqué que Red Bull restait l’équipe à battre cette saison d’après les données qu’ils ont pu voir lors des essais. Mais le Monégasque a révélé ce mercredi à Bahreïn que Ferrari avait toutefois bien du mal à se situer dans la hiérarchie, notamment parce que Red Bull n’a pas fait de simulation de course durant ces tests.
« Le fait est que Red Bull est l’une des seules équipes à ne pas avoir fait de simulation de course complète durant les tests [hivernaux], ce qui normalement nous aide à comprendre où nous en sommes exactement. C’est donc très difficile de savoir où ils se trouvent. » a déclaré Leclerc ce mercredi à Bahreïn.
« Nous en avons fait une, donc évidemment, nous savons où nous en sommes. Certaines équipes ont aussi fait quelques simulations de course et nous avons donc une idée de leur position, mais avec Red Bull, ce n’est pas le cas. Il est impossible de comprendre où nous en sommes. »
Lorsqu’on demande au Monégasque ce que représenterait une saison 2024 réussie pour la Scuderia Ferrari, en sachant que l’équipe italienne n’a décroché qu’une victoire l’an dernier à Singapour, Leclerc a répondu : « Se battre pour beaucoup plus de victoires, ce serait certainement un pas en avant et ce serait une saison positive. »
« Je pense que nous devons continuer sur la dynamique positive de la seconde partie de l’année dernière, car même si la saison n’a pas été globalement positive, la deuxième partie de l’année a été beaucoup plus positive. »
« Je pense que tout le monde dans l’équipe – mais aussi dans le paddock – a senti que nous étions dans une spirale positive et que nous allions vers de meilleures choses, avec une vision très claire de où nous voulions aller et comment y aller. »
« C’est exactement ainsi que nous devons aborder cette saison, continuer ainsi, avec une vision claire et des progrès significatifs à chaque fois que nous mettons quelque chose dans la voiture, ce qui a été le cas dans la seconde moitié de saison l’an dernier. »
Pour rappel, la Scuderia Ferrari a terminé à la troisième place au championnat du monde des constructeurs en 2023 avec trois points de retard sur Mercedes.
La société Red Bull a confirmé à la veille de la première manche de la saison 2024 de Formule 1 que le Britannique Christian Horner – sous le coup d’une enquête interne depuis plusieurs semaines – conserve son poste de directeur de l’écurie Red Bull Racing après avoir été innocenté.
Pour rappel, le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, faisait l’objet d’une enquête interne depuis quelques jours au sujet d’un comportement « inapproprié » auprès d’une employée selon un communiqué de presse publié par Red Bull. Difficile d’avoir plus de détails concernant cette affaire, mais le principal intéressé a toujours nié catégoriquement les accusations qui étaient portées contre lui.
Ce mercredi, la société Red Bull a publié un communiqué dans lequel elle indique qu’aucune preuve d’acte répréhensible n’a été retenue contre Christian Horner lors de cette enquête « rigoureuse et impartiale », ce qui signifie que le Britannique conserve son poste de directeur de l’équipe Red Bull en Formule 1, un poste qu’il occupe depuis la saison 2005.
Dans son communiqué, Red Bull n’a fourni aucun détail concernant cette affaire, mais la société de boissons énergisantes a insisté sur le fait que « la plaignante a le droit de faire appel. »
Le communiqué indique également : « Le rapport d’enquête est confidentiel et contient les informations privées des parties et des tiers qui ont contribué à l’enquête, et par conséquent nous ne ferons pas de commentaires supplémentaires par respect pour toutes les personnes concernées. »
Officiellement donc, Christian Horner est toujours directeur de l’équipe Red Bull et le Britannique est d’ailleurs arrivé à Bahreïn en fin d’après-midi où se dispute ce week-end la première manche de la saison 2024.
Lewis Hamilton a assuré que son transfert chez Ferrari à partir de la saison 2025 n’a aucun lien avec les difficultés que peut rencontrer Mercedes depuis deux saisons maintenant, le Britannique insistant sur le fait qu’il souhaite avant tout se lancer un nouveau défi alors qu’il arrive en fin de carrière.
Le futur départ de Hamilton de chez Mercedes a évidemment suscité de nombreuses spéculations selon lesquelles le Britannique avait perdu confiance en son équipe, et lorsqu’on lui a demandé ce mercredi à Bahreïn à la veille de la première manche de l’année si cela avait été un facteur dans sa décision de rejoindre Ferrari, le septuple champion du monde a répondu : « Non, honnêtement, ce n’était pas le cas. »
« Je crois sincèrement que cette équipe, comme je l’ai mentionné plus tôt, va remporter un autre championnat. C’est un groupe de personnes incroyable et elle est vraiment bien gérée. »
« Mercedes a une histoire tellement incroyable et, depuis le conseil d’administration, ils sont très investis dans la course et dans de nombreux domaines. Qu’il s’agisse ou non d’une voiture gagnante du championnat, cela n’a aucune incidence sur ce que je ressens à la propos de la prochaine étape de ma carrière. »
« Comme je l’ai déjà dit, il s’agit d’un nouveau chapitre de ma vie et j’ai vraiment l’impression d’avoir fait tout ce que je pouvais faire avec cette équipe et je suis à la fin de ma carrière. »
« J’aime les défis, et c’est le défi ultime que d’aller dans une équipe incroyablement emblématique et qui a aussi une histoire incroyable. Mais ils n’ont pas eu autant de succès que je suppose qu’ils l’auraient espéré au cours de la dernière décennie. »
Le pilote britannique a également tenu à souligner que l’ambiance au sein de l’équipe Mercedes reste inchangée malgré sa décision de quitter l’écurie du constructeur allemand à la fin de cette campagne 2024.
« Rien ne change vraiment. J’étais à l’usine lundi dernier, nous sommes complétement à l’attaque, tout le monde est sur le pont. » assure Hamilton.
« Je fais partie de cette équipe depuis si longtemps, et il y a tellement d’amour au sein de cette équipe. »
« J’aime toujours et j’aimerais toujours cette équipe. Tout le monde a été incroyablement compréhensif au sein de l’équipe, extrêmement solidaire. Tout le monde sait que je suis là pour les aider cette année, c’est donc mon objectif. »
Le circuit de Sakhir où se dispute ce week-end le Grand Prix de Bahreïn, a pris des mesures radicales pour régler les problèmes de grilles d’évacuation détachées survenus la semaine dernière lors des essais hivernaux de la Formule 1.
La FIA a indiqué ce mercredi que des travaux correctifs avaient été effectués au niveau des virages sept et onze du tracé de Sakhir, certaines grilles d’évacuation ayant été scellées avec du béton, alors que des travaux de soudures supplémentaires ont également été menés.
« Suite aux incidents survenus la semaine dernière lors des tests de pré-saison, des travaux de rattrapage incluant le remplissage des grilles d’évacuation par du béton ont été entrepris. Des soudures supplémentaires ont également été faites sur différentes zones de la piste. » indique la FIA à la veille du Grand Prix de Bahreïn.
Après les incidents survenus la semaine dernière lors des essais hivernaux, certains pilotes de la grille ont demandé à la FIA de procéder à davantage de contrôles sur les circuits concernant la fixation des différentes plaques d’égout et des grilles d’évacuation.
Ces deux incidents ont évidemment ravivé les souvenirs d’un incident similaire survenu l’an dernier au Grand Prix de Las Vegas lorsqu’une plaque d’égout s’est détachée et est allée frapper la Ferrari de Carlos Sainz qui arrivait à vive allure. L’impact avait d’ailleurs causé des dégâts considérables sur la monoplace de l’Espagnol et Ferrari avait dû changer plusieurs éléments.
Le problème est qu’avec ces monoplaces nouvelle génération à effet de sol, le phénomène d’aspiration sous les voitures s’est amplifié depuis 2022, ce qui provoque le descellement des plaques d’égout sur les différents circuits visités par la Formule 1.
Une situation jugée extrêmement dangereuse par les pilotes eux-mêmes qui ont donc demandé à la FIA de prendre des mesures pour que les circuits soient plus sûrs avant le début de chaque week-end.
S’il y a bien une équipe qui semble prête à connaître un début de saison 2024 difficile, c’est bien Alpine. En effet, l’écurie du constructeur français n’a pas fait forte impression lors des essais hivernaux et le discours tenu par les pilotes et le Team Principal depuis une semaine laisse penser que les fans d’Alpine vont devoir prendre leur mal en patience.
Interrogé ce mercredi dans le paddock de Bahreïn où se dispute la première manche de la saison 2024, le pilote Alpine Esteban Ocon a une nouvelle fois indiqué qu’il s’attendait à connaître un premier week-end difficile au volant de l’A524, tout en insistant sur le fait que des développements arriveront très prochainement pour améliorer la monoplace.
« Nous avons fait de bons progrès ces derniers jours et c’est ce que nous regardons et c’est ce que nous allons garder à l’esprit. » a déclaré Esteban Ocon ce mercredi à Bahreïn.
« J’espère que la première course ne sera pas nécessairement l’histoire de toute la saison. Nous allons viser à apporter de nouvelles pièces à la voiture et identifier les problèmes de notre voiture lors de la première course. »
« Mais il est très possible que nous ne commencions pas là où nous voulons être exactement et c’est quelque chose dont nous avons toujours parlé au début dès le lancement. »
« C’est un nouveau concept avec lequel nous avons beaucoup à apprendre. » a poursuivi le pilote Alpine.
« Nous partons d’une nouvelle page où nous voyons de meilleures perspectives et un meilleur taux de progression, donc nous espérons que c’est ce que nous allons faire cette année. »
Lorsqu’on lui demande clairement s’il pense que Alpine sera complétement larguée ce week-end à Bahreïn pour la première course de la saison, le Français a répondu : « Nous verrons dans deux jours ».
Le Finlandais Valtteri Bottas – dont le contrat arrive à son terme à la fin de cette saison 2024 – a une nouvelle fois indiqué qu’il souhaitait plus que tout pouvoir rester dans son actuelle équipe afin de faire partie du projet Audi à partir de 2026 lorsque le constructeur allemand entrera en F1.
L’équipe Stake F1 (anciennement Alfa Romeo-Sauber) changera une nouvelle fois d’identité à l’aube de la saison 2026 lorsque Audi fera son entrée en Formule 1 en tant qu’écurie d’usine en partenariat avec Sauber. De nombreux pilotes souhaitent évidemment rejoindre le projet d’un grand constructeur automobile, mais les places seront limitées à seulement deux baquets.
Son contrat expirant à la fin de cette année, Valtteri Bottas fait évidemment partie de ceux qui veulent rouler pour Audi, et le pilote Stake a de nouveau confirmé que son désir est de rester dans son équipe actuelle au delà de 2024 pour faire partie du projet Audi.
« Cela va être intéressant, et j’imagine que les choses commenceront à bouger relativement tôt car de nombreux contrats arrivent à expiration, y compris le mien. » a déclaré Valtteri Bottas ce mercredi dans le paddock de Bahreïn.
« Bien sûr, je veux faire un bon début d’année et ensuite nous verrons, et bien sûr, les gens derrière moi y travaillent déjà, ils essaient de trouver quelle sont les meilleures options et quelles sont les opportunités. »
« Mais pour ma part, je dois juste me concentrer sur mon pilotage maintenant. Mais ma priorité, comme je l’ai déjà dit, serait de m’impliquer dans le projet Audi. Pour moi, c’est vraiment tentant et idéal, mais nous devons attendre pour voir. » a-t-il conclu.
Il est bon de rappeler également que le marché des pilotes a été complétement chamboulé il y a quelques semaines après l’annonce du départ de Lewis Hamilton de chez Mercedes pour rejoindre Ferrari. Dans ce contexte, plusieurs candidats potentiels sont cités pour remplacer Lewis Hamilton chez Mercedes et Valtteri Bottas – qui était pilote Mercedes entre 2017 et 2021 – est évidemment considéré.
