F1 – Découvrez la bande-annonce finale du film événement avec Brad Pitt, en salle dès juin 2025

La Formule 1 a publié ce week-end la bande-annonce officielle de son très attendu long-métrage intitulé F1, porté par Brad Pitt. Réalisé par Joseph Kosinski (Top Gun: Maverick) et produit par Jerry Bruckheimer, le film sortira en avant-première mondiale le 25 juin 2025, avant d’arriver en Amérique du Nord le 27 juin.

Brad Pitt incarne Sonny Hayes, un ancien prodige de la discipline dont la carrière a été stoppée net par un grave accident survenu dans les années 1990. Des années plus tard, il tente un improbable retour sur la grille. Le casting réunit également Javier Bardem, Damson Idris, Kerry Condon, Tobias Menzies et Kim Bodnia.

Découvrez la bande-annonce finale du film « F1 »

Tourné en immersion sur plusieurs circuits pendant des Grands Prix réels au cours des deux dernières saisons, le film promet une mise en scène fidèle et spectaculaire de l’univers de la F1.

Le film tourné dans différents paddocks de la Formule 1 met en vedette Brad Pitt dans le rôle de l’ancien pilote de Formule 1 Sonny Hayes, qui revient dans le sport pour s’associer à son coéquipier débutant Joshua Pearce – joué par Idris – dans l’équipe fictive nommée APXGP.

F1 2026 : Günther Steiner conseille à Cadillac de miser sur Sergio Pérez et …

Alors que Cadillac prépare son arrivée en Formule 1 en 2026 en tant que 11e écurie sur la grille, l’ancien directeur d’équipe Günther Steiner recommande une stratégie axée sur l’expérience pour composer son duo de pilotes. Dans le podcast F1 Explains, l’ex-patron de Haas estime que des profils chevronnés comme Sergio Perez et Valtteri Bottas seraient les mieux placés pour accompagner les débuts de la structure américaine.

Cadillac, actuellement dirigée par Graeme Lowdon – ancien dirigeant de Manor – n’a encore officialisé aucun nom pour sa future line-up. Toutefois, plusieurs pilotes libres ou en quête de rebond sont évoqués : Sergio Perez, libéré par Red Bull fin 2024, Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, non retenus par Sauber, ou encore Mick Schumacher, soutenu publiquement par Sebastian Vettel.

Selon Steiner, l’expérience est un levier essentiel pour bâtir les fondations d’une équipe compétitive. Il en parle en connaissance de cause, lui qui a dirigé Haas dès son entrée en F1 en 2016. À l’époque, l’équipe avait fait le choix de la stabilité avec Romain Grosjean et Kevin Magnussen. En revanche, lorsque des contraintes budgétaires ont conduit à engager deux rookies en 2021, Mick Schumacher et Nikita Mazepin, Steiner en a tiré une leçon : ne plus aligner deux débutants. Une décision qu’il a confirmé en recrutant ensuite Nico Hülkenberg.

En parallèle, la valeur de Sergio Perez reste élevée malgré sa séparation avec Red Bull, notamment face aux difficultés rencontrées par Liam Lawson et Yuki Tsunoda. Bottas et Zhou, eux, restent visibles dans le paddock, actifs respectivement chez Mercedes et Ferrari. Quant à Schumacher, il demeure ambitieux et déterminé à réintégrer la grille.

Cadillac dispose donc d’un large éventail de candidats, mais pour Steiner, l’équation est simple : “Si j’étais à leur place, je choisirais Perez et Bottas.”

« Si j’étais Cadillac, je chercherais des pilotes expérimentés, pour la même raison que celle que j’ai donnée précédemment », a-t-il déclaré. « Dans une équipe jeune, le mieux est d’acquérir de l’expérience auprès de personnes qui ont déjà fait leurs preuves, qui aident l’équipe à se lancer et à progresser plus rapidement que les débutants. Pour moi, l’équipe idéale serait composée de Bottas et Sergio Perez. Je les recruterais tous les deux. »

Imola, la première à domicile pour un Antonelli en forme avec Mercedes

Avec George Russell 4e du championnat avec 93 points et Kimi Antonelli 6e avec 48 points, l’équipe Mercedes se présente à Imola à une solide seconde position au championnat du monde des constructeurs, derrière McLaren, avant le GP d’Emilie-Romagne. 

Pour ce qui est sans doute l’un des derniers passages de la F1 sur le tracé emblématique avant que Liberty Media ne décide de ne disputer plus qu’une course par saison en Italie -à Monza- et faire place à d’auters contrées au calendrier, Kimi Antonelli, rookie cette saison avec Mercedes, espère profiter pleinement de sa course à domicile.

« Nous nous rendons à Imola après avoir bouclé le premier quart de la saison », reflète Toto Wolff, directeur de l’équipe. « Après ces six premières courses, nous pouvons tirer les conclusions suivantes : nous avons progressé par rapport à l’année dernière, la W16 étant une voiture plus équilibrée que son prédécesseur ; nous avons obtenu des résultats solides, avec quatre podiums lors de ces courses ; et nous avons encore du travail à faire si nous voulons nous battre pour la victoire. »

« Nous allons nous concentrer sur ce dernier point à l’approche de la partie européenne de la saison. Mais la F1 est un sport relatif et nous savons que nos concurrents progresseront eux aussi. Il sera intéressant de voir comment cela se traduira sur la piste. »

Imola marque également la première course à domicile de Kimi Antonelli.

« Il a grandi près de là, à Bologne, et ce sera donc un moment spécial pour lui », sourit Wolff, fier de son poulain dont le début de saison est très encourageant. « Mais c’est une course qui rapporte 25 points, comme toutes les autres, et c’est la seule chose qui compte à la fin de la saison. George et Kimi se concentreront avant tout sur l’obtention du meilleur résultat possible en piste. »

Les choses à savoir à propos du GP F1 d’Emilie Romagne à Imola

La construction de l’Autodromo Internazionale Enzo e Dino Ferrari a débuté en 1950 et le circuit a accueilli sa première course en 1953.

Le circuit a accueilli des courses de F1 sous trois noms différents : Grand Prix de Saint-Marin, Grand Prix d’Italie et Grand Prix d’Émilie-Romagne. Après avoir accueilli une course chaque année entre 1980 et 2006, le circuit a disparu du calendrier en 2007, mais il a fait son retour en 2020 sous le nom de Grand Prix d’Émilie-Romagne.

L’équipe Mercedes y a remporté son septième titre consécutif de champion du monde des constructeurs avec un doublé à Imola en 2020.

Plus récemment, l’édition 2023 de la course a été annulée en raison d’inondations dévastatrices autour du circuit et dans la région environnante.

Avec 548 mètres, la distance parcourue sous la limitation de vitesse dans la voie des stands à Imola est la plus longue du calendrier. Il faut près de 25 secondes aux pilotes pour effectuer un arrêt pendant la course.

La course présente également le niveau de consommation de carburant le plus élevé du calendrier 2024.

Avec une température moyenne de l’air ambiant de 14,8 degrés, la course pourrait également être décrite comme l’une des plus froides de la saison.

Des modifications ont été apportées au circuit l’année dernière avec l’installation de graviers dans le virage 9 et à la sortie des virages 11 à 15. L’édition 2025 sera un peu plus souple que l’année dernière avec l’utilisation du composé de pneus C6 pour la première fois cette saison.

Le Grand Prix d’Émilie-Romagne est une étape importante de la saison, marquant le début de la partie européenne, mais aussi le Grand Prix à domicile du rookie Kimi Antonelli.

Sebastian Vettel milite pour le retour de Mick Schumacher en F1 avec Cadillac

Sebastian Vettel plaide en faveur d’un retour de Mick Schumacher en Formule 1, estimant que le pilote allemand « mérite une deuxième chance » au plus haut niveau. Le quadruple champion du monde soutient publiquement la candidature de son compatriote pour un volant chez Cadillac, qui rejoindra la grille en 2026 en tant que 11e écurie du championnat.

La future équipe américaine, en phase de structuration, n’a pas encore arrêté son choix concernant ses pilotes. Plusieurs noms circulent dans les coulisses, parmi lesquels Sergio Perez, Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, tous cités comme candidats potentiels pour ce nouveau projet. Mick Schumacher figure également sur cette liste, fort du soutien de Bernie Ecclestone ainsi que de Sebastian Vettel, avec qui il entretient des liens étroits.

Sans volant depuis son départ de chez Haas fin 2022, Schumacher reste actif en tant que pilote pour Alpine en endurance. Pour Vettel, son ancien coéquipier au sein de la Team Germany en Race of Champions possède toujours les qualités nécessaires pour s’imposer en F1 : « Mick a le niveau pour rivaliser avec les meilleurs. Il mérite une vraie opportunité », a-t-il déclaré.

Cadillac poursuit actuellement l’évaluation de ses options, avec la volonté affichée d’associer des profils expérimentés pour ses débuts dans la discipline.

« Je croise les doigts pour qu’il ait une nouvelle chance, car je pense qu’il peut tout à fait rivaliser avec les autres », a déclaré Vettel à Sport.de. « Il est beaucoup plus mature. Et je pense qu’il fait du très bon travail chez Alpine dans le championnat du monde d’endurance. Ce serait bien qu’il ait une deuxième chance chez Cadillac. Nous sommes évidemment en contact et j’ai également entendu parler de la façon dont les choses se sont terminées pour lui en Formule 1. Je lui souhaite le meilleur. »

GP Explorer 3 : Squeezie officialise une troisième et ultime édition les 3, 4 et 5 octobre 2025

Ce samedi 10 mai, le créateur de contenu Squeezie a annoncé le retour très attendu du GP Explorer, qui tiendra sa troisième et dernière édition du 3 au 5 octobre 2025. Deux ans après le succès du GP Explorer 2, l’événement revient avec une ambition internationale assumée et un nouveau format étalé sur trois jours.

Toujours organisé sur le circuit Bugatti du Mans, qui a accueilli les éditions précédentes en 2022 et 2023, le GP Explorer 3 promet une expérience enrichie pour les 200 000 spectateurs attendus. Le week-end s’ouvrira dès le vendredi soir avec une présentation des pilotes suivie d’un concert, avant de laisser place à l’action sur la piste le samedi et dimanche dans le cadre d’un week-end sprint, une première pour l’événement.

Parmi les équipes dévoilées, on retrouvera un mélange de personnalités du web, d’artistes et de créateurs internationaux :

• Kaatsup et Ana
• Theodort et Mastu
• Billy et SCH
• Djilsi et Maxime Biaggi
• Cocotte et Baghera
• Léa Elui et Maghla
• Nikof et Gotaga
• Ander et Karchez
• Ludwig et Michael Reeves
• Squeezie et Amine
• Team USA (composants à venir)

Cette édition 2025 marquera la fin d’un cycle pour le GP Explorer, devenu en trois éditions un rendez-vous incontournable entre sport automobile et culture numérique.

 

 
 
 
 
 
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Mohammed Ben Sulayem remet en question l’utilité du plafonnement budgétaire en F1

Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a récemment exprimé des doutes sur la pertinence du plafonnement budgétaire en Formule 1, laissant entendre qu’il pourrait envisager de supprimer cette mesure introduite en 2021.

Ce dispositif, censé limiter les dépenses des écuries à 135 millions de dollars par an — avec des ajustements liés à l’inflation et au calendrier — visait à renforcer l’équité sportive en réduisant l’écart entre les équipes les plus fortunées et les plus modestes.

Mais selon Ben Sulayem, la mise en œuvre du plafond génère une lourde charge administrative, tant pour les équipes, qui ont dû recruter du personnel pour s’assurer du respect des règles, que pour la FIA, qui mobilise une équipe spécifique pour contrôler les finances des écuries. Le dirigeant a qualifié la mesure de « casse-tête », soulignant le coût et la complexité de sa gestion.

« Je regarde le plafond des coûts et cela ne fait que donner des maux de tête à la FIA. Alors, à quoi cela sert-il ? », a-t-il déclaré à l’Associated Press. « Je ne vois pas l’intérêt. Vraiment pas. »

Lors du Grand Prix de Miami, le directeur de l’écurie McLaren, Zak Brown, a déclaré que toute écurie accusant un rival devrait être obligée de déposer une réclamation et de verser une caution. Cette déclaration fait suite à l’utilisation par Brown d’une bouteille d’eau portant l’étiquette « tire water » (eau pour pneus) à Miami, afin de se moquer de Red Bull qui avait accusé McLaren d’utiliser de l’eau pour refroidir ses pneus.

Les écuries de F1 doivent déjà verser 2 000 euros à la FIA lorsqu’elles déposent une réclamation, mais Brown souhaite dissuader les écuries de porter des accusations sans fondement en public. Le président de la FIA, Ben Sulayem, a approuvé la proposition de Brown en déclarant : « Vous ne pouvez pas simplement accuser quelqu’un sans plainte écrite, et cette réclamation doit être accompagnée d’une somme d’argent. »

Ford détaille son partenariat moteur en F1 avec Red Bull

Ford a levé le voile sur les grandes lignes du développement du futur moteur Red Bull en vue de la saison 2026, marquant ainsi les débuts officiels de l’écurie en tant que constructeur moteur à part entière. Mark Rushbrook, directeur mondial de Ford Performance, a précisé la vision du constructeur américain, partenaire clé de Red Bull Powertrains (RBPT) dans cette nouvelle ère réglementaire.

Ce partenariat, annoncé en réponse au départ initial de Honda — désormais engagé avec Aston Martin — s’inscrit dans le cadre d’une stratégie ambitieuse visant à faire de Red Bull un motoriste indépendant. Malgré le retour inattendu de Honda en F1, Red Bull a poursuivi son plan initial avec l’appui technique et industriel de Ford.

Alors que la Formule 1 s’apprête à introduire des règles moteur profondément remaniées en 2026, l’alliance entre Ford et l’équipe de Milton Keynes est jugée déterminante pour préserver la compétitivité du sextuple champion du monde des constructeurs. Cette collaboration s’articule autour d’un partage d’expertise technologique, d’une vision commune en matière d’électrification, et d’une volonté d’innovation sur le long terme.

« Le partenariat se renforce chaque jour, depuis les premières discussions et la signature du contrat, même si le travail avait déjà commencé avant cela », a déclaré Rushbrook à la branche néerlandaise de Motorsport.com. « Nous contribuons de plusieurs manières. Dans l’ensemble, nous sommes dans les temps pour le moteur à combustion interne (ICE) et les composants électriques. Il reste évidemment beaucoup à faire et à prouver en termes de durabilité, mais le partenariat, l’ouverture, la confiance et la contribution des deux parties ont été excellents jusqu’à présent. C’est tout ce que nous espérions, et même plus que ce que nous avions prévu. »

À l’origine, le partenariat prévoyait que Ford se charge de l’électronique du groupe motopropulseur de l’équipe, mais son champ d’action s’est élargi pour inclure la production du moteur à combustion interne.

Aujourd’hui, Red Bull tire encore davantage parti de l’expertise et des ressources mises à sa disposition par Ford. « Au départ, l’accent était mis sur l’électrification », explique Rushbrook. « Mais grâce à nos installations de fabrication de pointe et à nos imprimantes [3D], nous pouvons fabriquer des pièces en temps réel. Nous fabriquons littéralement chaque jour des pièces qui sortent de Dearborn, sont expédiées et testées dans le laboratoire de Milton Keynes. »

Claire Williams revient sur sa tentative d’empêcher le départ de George Russell vers Mercedes

Ancienne directrice de l’écurie Williams, Claire Williams a reconnu avoir tenté de retenir George Russell lorsque Mercedes a manifesté son intérêt pour le jeune pilote au début des années 2020. Dans des déclarations récentes, elle a admis ne pas avoir « très bien vécu » cette période.

Russell, alors sous contrat avec Williams, était l’un des protégés du programme junior de Mercedes. Il avait rejoint la Formule 1 en 2019 avec l’écurie de Grove après avoir remporté les titres en Formule 3 puis en Formule 2. Malgré le manque de compétitivité de Williams à cette époque, le Britannique s’était illustré par ses performances solides, notamment lors de sa prestation remarquée au Grand Prix de Sakhir 2020, où il avait brièvement remplacé Lewis Hamilton.

Ce coup d’éclat avait renforcé l’idée d’un transfert vers Mercedes, où Valtteri Bottas était de plus en plus contesté. Pourtant, Russell ne rejoindra officiellement les rangs de l’écurie championne du monde qu’en 2022, après trois saisons complètes chez Williams.

Claire Williams, qui dirigeait encore l’écurie à l’époque, explique que Russell, très motivé à l’idée de rejoindre une équipe alors au sommet de la hiérarchie, était sous contrat pour trois ans. Consciente de sa valeur pour un projet en reconstruction, elle avait tenté de préserver ce qu’elle considérait comme un élément clé de l’avenir de Williams.

Lorsque le pilote britannique a finalement intégré Mercedes, la famille Williams s’était déjà retirée de la gestion et de la propriété de l’équipe fondée par Frank Williams.

« George voulait rejoindre Mercedes ces deux dernières années et je ne pouvais pas le laisser partir, j’ai détesté ça », a-t-elle déclaré dans le podcast Beyond The Grid de la F1. « Ça me rend triste d’y penser. J’avais plus besoin de lui que Mercedes et il était sous contrat. Si je l’avais laissé partir, quel message cela aurait-il envoyé ? Quelles auraient été les conséquences pour mon équipe si j’avais laissé George partir ? »

« Il était l’un des meilleurs atouts de Williams. Quand vous négociez avec une équipe comme Mercedes et qu’elle ne vous offre pas ce qu’elle devrait pour votre pilote vedette, pourquoi le laisseriez-vous partir ? Quel genre de directrice d’écurie aurais-je été si j’avais laissé partir George simplement parce que Mercedes disait : « Nous voulons George maintenant » ? Ce n’est pas comme ça que ça marche, n’est-ce pas ? »

« [George] était clairement bouleversé et c’était vraiment difficile. Il était très difficile de rester sur mes positions, car quand quelqu’un vient me voir et qu’il est bouleversé, et que c’est à cause de moi parce que je fais obstruction, c’est vraiment difficile, mais je devais faire passer mon équipe avant tout. »

« Même si j’aurais adoré réaliser le rêve de George, je ne pouvais pas le faire à ce moment-là, et cela a été l’une des choses les plus difficiles pour moi en tant que directeur d’écurie. Et j’ai toujours dit à George : tu m’en seras reconnaissant un jour, car cela te rendra plus résistant, plus fort. Russell avait précédemment admis dans une interview que « trois ans à piloter seul en fond de grille, c’était trop long », mais qu’il n’y avait « aucune issue » à son contrat avec Williams. »

Colapinto préféré à Doohan chez Alpine malgré un accident en essais ?

Selon Karun Chandhok, analyste pour Sky Sports F1, Franco Colapinto a été choisi pour disputer les prochaines courses avec Alpine malgré un incident survenu lors d’essais privés menés avec l’écurie française. Cette révélation a été faite dans le cadre du podcast de la chaîne britannique.

La semaine a été particulièrement mouvementée pour Alpine. Peu après le Grand Prix de Miami, Jack Doohan a été informé qu’il serait écarté au profit de Colapinto pour les cinq prochaines manches du championnat, avant une réévaluation prévue à l’approche du Grand Prix de Grande-Bretagne.

Ces déclarations laissent entendre que la décision de titulariser Colapinto aurait été prise en dépit de son accident en essais, un choix qui pourrait alimenter les interrogations sur la stratégie actuelle de l’écurie d’Enstone.

« C’est exact. Ils ont effectué des essais au Qatar et à Monza. Je pense qu’il a eu un accident ou une sortie de piste lors de ces essais », a déclaré Chandhok. « Colapinto est un bon pilote, mais nous n’avons vu qu’un petit aperçu. Il est difficile de juger en si peu de temps. »

« En Amérique du Sud, il y a eu beaucoup de battage médiatique autour de lui, qui le présentait comme leur prochain champion du monde. Cela aurait été une erreur de le promouvoir au poste de pilote Red Bull. Il y avait une rumeur. Cela aurait été beaucoup trop tôt. Il ne fait aucun doute que les dégâts causés par son accident chez Williams n’étaient pas négligeables. Williams était très mécontent de celui de Las Vegas. »

Franco Colapinto avait marqué les esprits lors de ses débuts en Formule 1 l’an dernier, lorsqu’il avait brièvement remplacé Logan Sargeant chez Williams en cours de saison. Ses performances prometteuses l’avaient alors placé dans les radars de plusieurs écuries, dont Red Bull, en raison des difficultés rencontrées par Sergio Perez.

Finalement, c’est Alpine qui a choisi de l’intégrer à son programme en tant que pilote de réserve, malgré l’officialisation préalable du duo Jack Doohan – Pierre Gasly pour la saison 2025.

Dès cet hiver, des spéculations avaient déjà émergé quant à un éventuel remplacement de Doohan par Colapinto, avant même le coup d’envoi de la saison.

Max Verstappen aperçu au volant d’une Ferrari GT3 sur le Nürburgring

Max Verstappen, quadruple champion du monde de Formule 1, a été vu vendredi sur le légendaire circuit du Nürburgring Nordschleife, où il a pris le volant d’une Ferrari 296 GT3 engagée par l’équipe Emil Frey Racing, selon Auto Motor und Sport.

Cette apparition, bien que non annoncée officiellement, s’est déroulée dans le cadre d’une journée d’essais organisée par la série allemande NLS, à une semaine de la troisième manche de la saison. Pour conserver une certaine discrétion, le pilote néerlandais a utilisé le pseudonyme « Franz Hermann », affiché sur la voiture, et a renforcé la sécurité autour du stand afin d’éloigner les photographes. Malgré ces précautions, des spectateurs ont identifié Verstappen grâce à son casque et à sa combinaison personnalisés.

Il ne s’agit pas de la première fois que le pilote Red Bull prend le volant de cette Ferrari GT3, décorée aux couleurs de Verstappen.com, mais jusque-là, ses roulages s’étaient limités à des séances privées. Cette sortie publique pourrait être un pas vers l’obtention du permis spécifique au Nordschleife, indispensable pour participer aux épreuves officielles sur ce tracé redouté, notamment les 24 Heures du Nürburgring.

« Le Nordschleife est l’un de mes circuits préférés. J’aimerais y courir un jour en GT3 », avait déclaré Verstappen en 2023. Si la F1 a depuis longtemps abandonné le circuit pour des raisons de sécurité, la Nordschleife reste une référence incontournable dans le monde des courses d’endurance.

En parallèle de sa carrière en Formule 1, Verstappen est actif dans le monde du GT. Il possède sa propre structure engagée en GT World Challenge Europe, et soutient le jeune pilote Thierry Vermeulen, engagé en DTM, fils de son manager Raymond Vermeulen.

Sergio Pérez en discussions avec Alpine pour un retour en F1 en 2026 ?

Selon The Race, Sergio Pérez aurait entamé des discussions avec l’écurie Alpine en vue d’un éventuel retour en Formule 1 dès 2026. Absent de la grille depuis la fin de la saison dernière, le pilote mexicain avait pris du recul après une année difficile chez Red Bull, consacrant du temps à sa famille au Mexique tout en évaluant ses options pour un retour dans le paddock.

Longtemps pressenti chez Cadillac, nouvelle venue en F1 l’an prochain, Pérez reste considéré comme un atout de choix pour une équipe souhaitant bénéficier de l’expérience d’un vétéran dans le cadre des profondes évolutions réglementaires prévues pour 2026. Toutefois, Alpine représenterait désormais une alternative sérieuse, avec un projet potentiellement plus compétitif à court terme.

L’écurie basée à Enstone s’apprête en effet à abandonner son programme moteur interne pour adopter les blocs Mercedes dès l’an prochain, une transition stratégique qui pourrait séduire un pilote du calibre de Pérez. Le Mexicain, âgé de 35 ans, pourrait ainsi apporter son expérience à une équipe en pleine réorganisation technique et managériale.

Côté pilotes, seul Pierre Gasly est actuellement confirmé pour 2026. Jack Doohan ayant été mis sur la touche au profit de Franco Colapinto pour les cinq prochaines courses, l’Argentin devra convaincre rapidement pour espérer conserver sa place au-delà du Grand Prix de Grande-Bretagne. Dans ce contexte, l’hypothèse d’un recrutement de Pérez par Alpine gagne en crédibilité.

Le frère de l’ancien patron de l’écurie Alpine F1 arrêté en Angleterre

Quelques jours après la démission inattendue d’Oliver Oakes de la direction de l’écurie Alpine F1, son frère William Oakes a été arrêté puis inculpé pour des faits de transfert de biens d’origine criminelle. Interpellé le 1er mai à Silverstone Park, dans le Northamptonshire, il a été retrouvé en possession d’une importante somme d’argent liquide, selon un communiqué de la police métropolitaine.

Âgé de 31 ans et domicilié à Rugby, William Oakes a comparu le 3 mai devant le tribunal de première instance de Northampton, où il a été placé en détention provisoire. Son arrestation survient dans un contexte délicat pour son frère, Oliver, qui a quitté ses fonctions chez Alpine mardi soir, sans explication officielle sur les raisons de son départ.

William Oakes est identifié comme l’un des dirigeants de Hitech Grand Prix, structure fondée par Oliver Oakes et David Hayle en 2015. L’organisation a longtemps été associée à Dmitry Mazepin, homme d’affaires russe et père de l’ancien pilote Haas, Nikita Mazepin, qui détenait 75 % des parts jusqu’à quelques jours avant l’invasion de l’Ukraine.

À la suite des sanctions européennes et britanniques visant les Mazepin, Oliver Oakes avait restructuré la société via la création de Hitech Global Holdings Ltd en mars 2022, afin de reprendre le contrôle des parts détenues jusque-là par Bergton Management Ltd, la société chypriote de Dmitry Mazepin.

Selon les informations du Telegraph, Oliver Oakes se serait récemment envolé pour Dubaï, tandis que les questions se multiplient autour du lien entre les récents événements judiciaires et son départ précipité de la scène de la F1.

Sondage – L’arrivée de Flavio Briatore aux commandes d’Alpine est-elle une bonne chose pour l’écurie ?

L’écurie Alpine F1 a officialisé le départ immédiat de son directeur d’équipe, Oliver Oakes, moins d’un an après son arrivée en août dernier. Le Britannique, alors plus jeune patron d’écurie du plateau, quitte ses fonctions quelques jours après le Grand Prix de Miami, sur fond de saison difficile pour Alpine. L’équipe, actuellement neuvième au championnat avec seulement sept points, traverse une période instable, marquée par de nombreuses spéculations autour de son duo de pilotes, notamment Jack Doohan. Flavio Briatore, conseiller exécutif, reprend temporairement les responsabilités d’Oakes, dont la démission n’a fait l’objet d’aucun commentaire supplémentaire.

 

Alpine F1 – Le départ d’Oliver Oakes cache-t-il une crise plus profonde en coulisses ?

L’analyste Karun Chandhok estime que la démission soudaine d’Oliver Oakes de la direction de l’écurie Alpine F1 pourrait cacher des tensions plus sérieuses que celles évoquées officiellement. Le départ d’Oakes, annoncé peu après le Grand Prix de Miami et effectif immédiatement, a surpris le paddock, d’autant plus qu’il a précédé de quelques heures la confirmation de Franco Colapinto comme remplaçant de Jack Doohan pour les cinq prochaines courses.

Selon Chandhok, le contexte de cette annonce laisse entrevoir une possible crise interne plus profonde, en dépit des explications avancées. Des rumeurs ont brièvement évoqué un désaccord entre Oakes et le conseiller exécutif Flavio Briatore concernant le changement de pilote, mais ce dernier les a fermement démenties dans un communiqué diffusé mercredi.

Briatore a tenu à clarifier la situation, assurant qu’Oliver Oakes, 37 ans, avait quitté ses fonctions pour des raisons personnelles, sans conflit en coulisses. Ce départ intervient alors qu’Alpine traverse une période délicate, marquée par un début de saison décevant et une instabilité persistante dans son organigramme.

« Je sens qu’il y a anguille sous roche. Je pense qu’il y a quelque chose de plus pourri dans l’état d’Alpine », a déclaré Chandhok au podcast Sky Sports F1, enregistré avant la publication de la déclaration de Briatore.

« Il n’a pas démissionné uniquement à cause d’une décision concernant un pilote. Il n’a pas renoncé à la chance d’être l’un des 10 directeurs d’écurie les plus importants de ce sport, en fonction de qui occupera le deuxième siège. En termes de capacités, je ne vois pas vraiment de différence entre Doohan et Colapinto, ils sont à peu près au même niveau. Je pense donc qu’il y a autre chose qui se trame en coulisses et qui n’a pas encore été révélé. Je soupçonne qu’il y a quelque chose de plus qui se passe en coulisses et qui n’a pas encore été révélé. Nous savons qu’Olly a fait venir beaucoup de ses fidèles lieutenants de Hitech, des gens comme Dave Greenwood et certains des ingénieurs qu’il a intégrés à l’équipe. »

« Il y a eu une petite fuite des cerveaux à Enstone. J’ai entendu dire hier soir que Cadillac avait débauché cinq autres membres de l’équipe de course, dans tous les domaines, des mécaniciens à d’autres postes similaires. C’est une équipe qui a eu sept chefs d’équipe depuis 2020. Sept chefs en cinq ans… Ce n’est pas vraiment un gage de stabilité, n’est-ce pas ? »

Franco Colapinto au volant d’une Alpine ce mercredi à Zandvoort

Franco Colapinto participera ce mercredi à une séance d’essais privés sur le circuit de Zandvoort au volant d’une Alpine, dans le cadre du programme « Testing of Previous Cars » (TPC) de l’écurie française. Le pilote argentin, âgé de 21 ans et actuel réserviste de l’équipe basée à Enstone, poursuivra ainsi son intégration au sein de la structure.

Cette prise de volant intervient alors que des rumeurs persistantes évoquent un possible remplacement de Jack Doohan par Colapinto dès le Grand Prix d’Émilie-Romagne. Malgré une qualification encourageante à Miami — où il a devancé Pierre Gasly pour la première fois de la saison —, Doohan traverse un début de saison 2025 difficile, marqué par des accidents à répétition, notamment lors des essais du Grand Prix du Japon. Lors du dernier Grand Prix, sa course a pris fin dès le premier tour, la faute à un accrochage au premier virage avec Liam Lawson.

Alpine était déjà en piste mardi à Zandvoort, seulement deux jours après la course disputée à Miami, mais le nom du pilote au volant n’a pas été confirmé. Si ces journées d’essais figuraient depuis longtemps au calendrier, la présence de Colapinto n’avait pas été annoncée publiquement.

Le jeune Argentin n’en est pas à sa première expérience avec l’équipe : il avait déjà roulé avec Alpine à Monza aux côtés de Paul Aron, également pilote de réserve. Conformément à la réglementation du programme TPC, les monoplaces utilisées lors de ces essais ont au minimum deux ans.

Alpine : départ surprise d’Oliver Oakes, Flavio Briatore reprend les rênes

L’écurie Alpine F1 a annoncé ce lundi le départ inattendu de son directeur d’équipe, Oliver Oakes, moins d’un an après sa nomination. Arrivé en août dernier pour succéder à Bruno Famin, Oakes quitte ses fonctions avec effet immédiat, selon un communiqué officiel publié par l’équipe française.

À 37 ans, Oakes était le plus jeune directeur d’équipe du plateau. Il travaillait en étroite collaboration avec Flavio Briatore, conseiller exécutif de l’écurie, qui reprendra désormais ses responsabilités. « L’équipe BWT Alpine Formula One annonce qu’Oliver Oakes a démissionné de son poste de directeur de l’équipe », indique le communiqué. « L’équipe a accepté sa démission avec effet immédiat. »

L’écurie, qui traverse un début de saison difficile, a tenu à remercier Oakes pour sa contribution depuis son arrivée, notamment pour sa participation à la sixième place obtenue au championnat constructeurs 2024. Aucun commentaire supplémentaire n’a été fait quant aux raisons de ce départ.

Depuis le début de la saison 2025, Alpine n’a inscrit que sept points en six courses, un bilan modeste qui la place actuellement neuvième du classement des constructeurs. Par ailleurs, l’équipe reste au cœur de nombreuses spéculations, notamment autour de l’avenir incertain de son jeune pilote Jack Doohan.

Ce dernier serait sur un siège éjectable et devrait être remplacé par Franco Colapinto dès le prochain Grand Prix. Le jeune pilote australien paye un manque de résultat criant et une grosse erreur lors du week-end de course à Suzuka, ou il a complètement détruit sa monoplace.

Sondage : Outre McLaren et Red Bull, voyez-vous une autre écurie de F1 remporter un Grand Prix en 2025 ?

Nous avons déjà assisté à un quart de la saison de F1 et force est de constater que McLaren semble être sur une autre planète en termes de performance. Pour preuve, les deux monoplaces Papaye ont franchi la ligne d’arrivée du Grand Prix de Miami avec plus de 30 secondes d’avance sur leur premier poursuivant, George Russell. Depuis le début de la saison, seul Max Verstappen est parvenu à faire tomber les McLaren, en remportant avec brio le Grand Prix du Japon. À noter également la victoire en course sprint de Lewis Hamilton à Shanghai.

Côté statistique, McLaren écrase la concurrence : cinq victoires sur six Grands Prix (83,3% de victoire), quatre pour Oscar Piastri et une pour Lando Norris. Ce sont également les McLaren qui ont bouclé le plus de tours en tête d’un Grand Prix depuis le début de la saison (69,1%). Sur six Grands Prix, à quatre reprises, McLaren est parvenu à faire monter ses deux monoplaces sur le podium. Enfin, depuis le début de la campagne 2025 de F1, il y a toujours eu au moins un pilote McLaren sur le podium.

Le seul domaine où les pilotes McLaren sont devancés par un concurrent, c’est dans l’exercice des qualifications. En effet, Max Verstappen en compte à ce jour trois, devant Oscar Piastri (deux) et Lando Norris (une).

F1 – Audi annonce un changement dans la structure de son écurie

Audi poursuit la réorganisation de son projet en Formule 1 à l’approche de son entrée officielle sur la grille, prévue pour 2026, en annonçant plusieurs ajustements majeurs dans sa structure dirigeante.

Le départ d’Adam Baker, qui occupait jusqu’ici le poste de PDG du programme F1, a été confirmé ce lundi. La marque allemande précise que cette séparation s’est faite d’un commun accord. Le rôle de Baker ne sera pas directement remplacé, puisque la fonction de PDG disparaît de l’organigramme. Ses responsabilités seront reprises par Christian Foyer, nommé directeur des opérations. Ingénieur expérimenté dans le développement de groupes motopropulseurs, Foyer apporte selon Audi une expertise précieuse pour renforcer la synergie entre les différents pôles du projet.

Par ailleurs, Mattia Binotto a été officiellement désigné comme responsable du projet Audi F1. L’ancien directeur de la Scuderia Ferrari supervisera l’ensemble des activités de développement technique sur les sites de Hinwil, en Suisse, et de Neuburg, en Allemagne. Il travaillera en étroite collaboration avec Christian Foyer pour faire avancer le programme moteur, déjà lancé depuis plusieurs mois.

« Nous tenons à remercier Adam Baker pour son engagement au cours des dernières années », a déclaré Gernot Dollner, PDG d’Audi AG. « Il a joué un rôle décisif dans l’élaboration du concept stratégique global pour l’entrée d’Audi en Formule 1 et a lancé le développement du groupe motopropulseur à Neuburg. Avec Christian Foyer, nous intégrons au projet un expert confirmé dans les structures de processus de développement de groupes motopropulseurs en F1. Son expérience contribuera à garantir une coopération synergique et la rapidité nécessaire dans le cadre du projet que nous avons entrepris en vue de nos débuts. »

Enfin, Audi a précisé que Mattia Binotto serait responsable du développement global et que Jonathan Wheatley, récemment nommé directeur d’équipe, sera chargé des opérations sur les circuits, complétant ainsi une équipe dirigeante désormais au complet en vue des débuts de l’écurie allemande en F1.

La présence de Mick Schumacher à Miami alimente les rumeurs sur son retour en F1

Mick Schumacher, ancien pilote de F1, était présent dans le paddock de la F1 ce weekend à Miami, une apparition qui ne manque pas de faire naître des rumeurs sur un retour dans la discipline. Le pilote allemand serait-il dans les petits papiers de Cadillac ? 

La présence remarquée de Mick Schumacher dans le paddock du Grand Prix de Miami a ravivé les spéculations autour d’un éventuel retour du pilote allemand en Formule 1 dès 2026. D’après le quotidien allemand BILD, Mick Schumacher figurerait sur la liste restreinte des pilotes envisagés par la future écurie américaine Cadillac.

Après avoir été remercié par Haas F1 à l’issue de la saison 2022, Mick Schumacher a été pilote de réserve de l’écurie Mercedes puis a rejoint Alpine en endurance.

La firme, qui fera son entrée en F1 en tant que 11e équipe à partir de la saison 2026, a profité du week-end floridien pour dévoiler son identité visuelle lors d’un événement officiel. Si Cadillac n’a pas encore confirmé l’identité de ses futurs titulaires, plusieurs noms circulent dans le paddock.

Sergio Perez apparaît comme l’un des favoris pour rejoindre l’équipe. L’expérience de l’actuel pilote Red Bull, combinée à son influence en Amérique du Nord et à l’appui de sponsors mexicains, jouerait en sa faveur. Les résultats de Yuki Tsunoda et de Liam Lawson aux côtés de Max Verstappen ont, par ailleurs, renforcé la position de Perez, régulièrement critiqué pour son irrégularité.

Parmi les autres candidats évoqués, Valtteri Bottas, dix fois vainqueur en Grand Prix, a publiquement affirmé son envie de revenir sur la grille. Zhou Guanyu, laissé libre après son départ de chez Sauber, figure lui aussi parmi les options sérieuses étudiées par le directeur de l’équipe Cadillac, Graeme Lowdon, qui poursuit actuellement ses consultations.

Enfin, Cadillac pourrait également se positionner sur un pilote américain. En effet, la future écurie étudie de près le cas de Colton Herta.