George Russell, allias Mr Saturday dans le paddock rapport à ses belles performances le samedi en qualifications, espère de nouveau performer ce week-end lors la très importante séance de qualifications du Grand Prix de Monaco.
Depuis le début de l’année, le pilote Williams a réussi à atteindre la Q2 lors de chaque Grand Prix en 2021 (avec une 11e place comme meilleur résultat le samedi).
Pour ce Grand Prix de Monaco, où la position sur la grille de départ est d’une importance capitale pour espérer marquer des points le dimanche, Russell va de nouveau essayer d’au moins passer en Q2 pour donner à son équipe Williams les meilleures chances de marquer leurs premiers points cette saison, pour ce qui sera leur 750e Grand Prix en Formule 1.
« Je pense que nos performances du samedi ont été très fortes et évidemment ici plus que jamais, la qualification est la plus importante. » a déclaré Russell ce mercredi en conférence de presse à Monaco.
« Comment notre voiture se comportera dans ces rues, je ne pourrais pas vous le dire; nous avons eu plus de mal à Bahreïn que dans deux des trois autres circuits, qui ont des virages légèrement plus lents, à plus de 180 degrés, ce que vous avez beaucoup ici à Monaco. »
« Je pense que sur le papier jusqu’à présent, nous sommes probablement la huitième ou la neuvième équipe la plus rapide en rythme de qualifications, et la neuvième équipe la plus rapide au rythme de course, mais j’espère que nous pouvons trouver un peu de magie, comme nous l’avons fait dans certaines courses précédemment ce samedi. »
« Arriver à tirer quelques dixièmes de plus sur une piste comme celle-ci ça peut faire la différence entre P15 et P9. »
Pour son 750e Grand Prix en F1, l’équipe Williams a décidé de participer au Grand Prix de Monaco avec une monoplace à la livrée spéciale avec les noms de quelques fans sur le Halo et le logo spécial « 750e GP » sur le capot moteur.
Le Britannique George Russell avait une belle opportunité de marquer ses premiers points avec l’équipe Williams dimanche dernier au Portugal en prenant le départ de la course depuis la onzième place à la suite d’une séance de qualifications réussie le samedi avec un passage en Q2.
Malheureusement, les conditions venteuses ont rendu la tâche difficile au Britannique qui a dû lutter durant toute la course pour faire en sorte de rester sur la piste au volant d’une FW43B très, voire trop, sensible aux rafales de vent.
« Ce fut définitivement une lutte incroyable, probablement la course la plus difficile que nous ayons eue depuis 2019. » a déclaré Russell.
« Je l’ai dit depuis le début, nous connaissons les points forts et les faiblesses de notre voiture, qui est incroyablement sensible au vent. »
« Nous avons pu voir à Imola que dans des conditions plus calmes la performance était là. Nous avons pu le voir en qualifications [au Portugal], lorsque les conditions se sont calmées en Q2, la performance était là, tout comme en EL1, la performance était là, mais en course nous n’étions nulle part. »
« Malheureusement, c’est la nature de « la bête » avec notre voiture en ce moment. Nous avons eu trois courses jusqu’à présent, dont deux étaient des circuits exposés aux rafales de vent. Donc, je croise juste les doigts pour que ce ne soit pas comme ça toute l’année. »
Le Britannique ne pense pas que le fait de rouler dans un air plus propre en course l’aurait aidé à se battre pour des points au Portugal.
« Cela n’aurait fait aucune différence, nous aurions tout de même reculé. La voiture est si sensible aérodynamiquement qu’elle ne me donne aucune confiance, ni à moi ni à Nicholas [Latifi] pour attaquer dans les premiers tours. »
« Nous sommes constamment en retrait et c’était une course de survie en essayant de garder la voiture sur la piste plutôt que de courir réellement. Comme je l’ai dit, c’était l’une des courses les plus difficiles que nous ayons jamais faites. »
« C’est vraiment dommage, parce que je pense que la voiture a du potentiel. Sommes-nous simplement malchanceux? Je ne sais pas. Est-ce que ce sera l’histoire de la saison? Peut-être pas, car nous avons eu deux des trois courses très venteuses, tout le monde dans la voie des stands en a parlé à Bahreïn et Portimao. »
« Nous allons voir au fur et à mesure que la saison avance, il est clair qu’il y a encore du rythme dans la voiture, mais les planètes doivent s’aligner pour nous, sinon, nous serons vraiment nulle part. »
Au final, George Russell a franchi la ligne d’arrivée du Grand Prix du Portugal à la seizième position avec un tour de retard sur les leaders.
Nous vous rapportions la semaine dernière que l’équipe Williams s’était fixée comme objectif de réaliser plus de 100 arrêts au stand durant le week-end du Grand Prix du Portugal et l’objectif a été atteint.
L’écurie britannique a ainsi relevé le défi lancé par la Fondation Captain Tom qui a invité les gens à relever un défi basé sur le chiffre 100, pour marquer ce qui aurait été son 101e anniversaire (30 avril) et, ce faisant, à collecter des fonds pour un organisme de bienfaisance de leur choix.
Pour rappel, le 6 avril 2020, le capitaine Tom Moore a entrepris de parcourir 100 tours de son jardin dans le but de collecter 1000 £ pour le NHS Charities Together. Cent tours plus tard, ayant éveillé l’imagination non seulement du public britannique mais d’une grande partie du monde, il avait levé l’incroyable somme de 38,9 millions de livres sterling dans plus de 160 pays.
Le capitaine Tom a été fait chevalier pour ses exploits de collecte de fonds, mais malheureusement, il est décédé plus tôt cette année à l’âge de 100 ans.
L’équipe Williams a donc accepter de participer à ce défi inspirant pour sensibiliser et maximiser la collecte de fonds pour le travail de l’organisation caritative officielle de l’équipe, la Spinal Injuries Association (SIA). SIA fournit des informations, des conseils et un soutien aux 50000 personnes vivant avec une lésion médullaire au Royaume-Uni et soutient actuellement Martin Hibbert, un survivant de l’attaque de la Manchester Arena et administrateur de la SIA, qui a été gravement blessé dans l’explosion de la bombe.
Ce dimanche, l’équipe Williams a annoncé avoir réalisé plus de 100 arrêts au stand en l’espace de trois jours depuis le début du week-end à Portimao tout en collectant des fonds pour la bonne cause.
« Plus de 100 arrêts au stand ont été réalisés avec l’équipe de piste et celle de l’usine à Grove pour une cause très valable. » a annoncé Williams.
Drafting in help from @NicholasLatifi and Team Principal Simon Roberts ☺️
Onzième à l’issue de la séance de qualifications du Grand Prix du Portugal disputée ce samedi à Portimao, George Russell a signé sa meilleure qualification depuis le début de sa carrière en F1.
Le jeune pilote Williams prendra donc le départ de la course à la porte du top dix ce dimanche et aura en plus le libre choix de pneumatiques, ce qui pourrait être un avantage pour lui.
« Ce fut une excellente performance de notre part.Je ne m’attendais pas à être en Q2 après ce matin, pourtant je suis P11 sur la grille. » nous explique George Russell ce samedi soir à Portimao.
« Nous l’avons fait quand cela comptait, ce qui semble être le thème du moment.C’est notre meilleure position de qualification en trois ans, donc je suis vraiment fier.Nous avons tous nos responsabilités et, en équipe, nous avons fait du très bon travail. »
« Demain, nous devons continuer à avancer.Nous avons une bonne voiture de course – elle est rapide dans les lignes droites, alors voyons ce que nous pouvons faire. »
Le Britannique George Russell a déclaré que sa relation avec Mercedes était devenue encore plus forte à la suite de son crash au Grand Prix d’Emilie-Romagne.
A Imola, Russsell a percuté la Mercedes de Valtteri Bottas en course en tentant un dépassement à haute vitesse sur la monoplace du Finlandais et les deux pilotes ont terminé leur course au fond du bac à gravier au virage de Tamburello.
Ayant initialement désigné Valtteri Bottas comme seul fautif dans cet accident, Russell a ensuite publié un message dans lequel il présentait ses excuses à Valtteri Bottas, ainsi qu’à son équipe Williams, estimant qu’il était le seul fautif.
Ce jeudi à Portimao, George Russell a de nouveau admis qu’il était peut-être allé un peu trop loin en accusant Bottas dès sa descente de voiture.
« L’incident est une chose, cela fait partie de la course, et ces choses arrivent. » a déclaré George Russell.
« Je pense que les actions que j’ai faites par la suite n’étaient pas mon vrai moi, je suis en quelque sorte allé à l’encontre de mes propres instincts pour… montrer un peu d’émotion, ce qui était probablement un très mauvais jugement dans le feu de l’action. C’est pourquoi j’ai senti qu’il était nécessaire pour moi de publier cela [son message] lundi matin. »
« Mes émotions n’avaient probablement jamais été aussi élevées après m’être crashé à 200 km/h. Cela a été une grande leçon pour moi et m’a montré qu’il faut prendre un moment pour s’éloigner d’une situation, la regarder sous tous les angles et la regarder rationnellement. Mais je pense que pour moi, il était important de publier cette déclaration. »
Lorsqu’on lui a demandé si une discussion avec le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, avait eu lieu avant la publication de sa déclaration, Russell a répondu: « Bien sûr. Toto et moi avons beaucoup parlé depuis l’incident – mais le contenu restera privé. »
« Mais il m’a soutenu, très constructif. Notre relation n’a pas du tout été endommagée à la suite de l’incident, bien au contraire. »
« Et de même avec tout le monde chez Williams, ils ont été incroyablement compréhensifs, ils veulent que j’attaque, que je cherche des opportunités et nous sommes fiers d’avoir été dans cette position, nous étions en 10e position et nous nous battions pour les points au mérite … alors nous devons être fiers du progrès. »
Russell a également réfuté l’idée selon laquelle il y avait désormais un règle à suivre pour faire en sorte de ne jamais attaquer une Mercedes en piste, mais le Britannique admet qu’il va changer son approche lorsqu’il verra Valtteri Bottas ou Lewis Hamilton.
« En tant que pilote de course, je pense que la première règle est que vous ne devriez jamais percuter votre coéquipier. »
« Je ne serais pas dans la position dans laquelle je suis aujourd’hui sans le soutien de Mercedes. Ils me soutiennent depuis le premier jour, et par conséquent, Lewis et Valtteri sont en quelque sorte des coéquipiers pour moi, et quelles que soient les circonstances, nous ne devrions pas nous percuter en piste, que ce soit de ma faute, de leur faute ou bien un simple incident de course. »
Williams Racing rendra hommage au capitaine Sir Tom Moore et s’appuiera sur son incroyable héritage en participant au défi Captain Tom 100 au cours du week-end du Grand Prix du Portugal.
Le 6 avril 2020, le capitaine Tom Moore a entrepris de parcourir 100 tours de son jardin dans le but de collecter 1000 £ pour le NHS Charities Together. Cent tours plus tard, ayant éveillé l’imagination non seulement du public britannique mais d’une grande partie du monde, il avait levé l’incroyable somme de 38,9 millions de livres sterling dans plus de 160 pays.
Le capitaine Tom a été fait chevalier pour ses exploits de collecte de fonds, mais malheureusement, il est décédé plus tôt cette année à l’âge de 100 ans.
La Fondation Captain Tom a invité les gens à relever un défi basé sur le chiffre 100, à marquer ce qui aurait été son 101e anniversaire (30 avril) et, ce faisant, à collecter des fonds pour un organisme de bienfaisance de leur choix.
L’équipe Williams visera donc à effectuer 100 arrêts au stand en trois jours avec la contribution de l’équipe de piste à Portimao et du personnel de l’usine de Grove, créant une tâche vraiment unique comprenant une grande variété de membres de l’équipe.
Williams participera à ce défi inspirant pour sensibiliser et maximiser la collecte de fonds pour le travail de l’organisation caritative officielle de l’équipe, la Spinal Injuries Association (SIA). SIA fournit des informations, des conseils et un soutien aux 50000 personnes vivant avec une lésion médullaire au Royaume-Uni et soutient actuellement Martin Hibbert, un survivant de l’attaque de la Manchester Arena et administrateur de la SIA, qui a été gravement blessé dans l’explosion de la bombe.
Martin Hibbert se prépare à gravir le Kilimandjaro pour prouver que, quelle que soit sa situation ou sa circonstance, n’importe qui peut vivre la vie de son choix. Les efforts de collecte de fonds pour ce projet financé par SIA, Martin’s Mountain, établissent un parallèle avec le défi Captain Tom 100, où les deux se concentrent sur l’importance de la motivation et de l’auto-amélioration.
« Le capitaine Sir Tom Moore a inspiré des millions de personnes dans le monde, avec son simple message d’espoir « Demain sera une bonne journée ». » a déclaré Jost Capito, PDG de Williams.
« Il a apporté réconfort et joie à tant de personnes dans le monde pendant la pandémie. Cela a été une période difficile pour tout le monde et l’est toujours, et nous voulons profiter de cette occasion pour faire quelque chose en sa mémoire, tout en collectant des fonds pour une cause très digne. »
« En tant qu’équipe, nous sommes très fiers de nos arrêts aux stands, c’est donc un grand défi pour l’équipe à la fois sur la piste et à l’usine de se réunir pour accomplir, et nous avons hâte de le faire. «
Le Britannique George Russell s’attend à voir l’équipe Williams se rapprocher d’Alfa Romeo ce week-end pour la seconde manche de la saison 2021 de F1 à Imola.
Au Grand Prix de Bahreïn – première manche de la saison 2021 – George Russell a réussi à hisser sa Williams en Q2 lors des qualifications en quatorzième position juste derrière l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen.
Mais des conditions venteuses le jour de la course ont nui aux performances de la Williams FW43B pilotée par Russell, ce qui n’aura pas permis au jeune pilote de faire mieux qu’une quatorzième position à l’arrivée de l’épreuve, alors que les deux pilotes Alfa Romeo ont terminé le Grand Prix de Bahreïn en P11 et P12.
A la veille de la seconde manche de l’année qui se dispute ce week-end à Imola, Russell espère pouvoir combler l’écart avec les pilotes Alfa Romeo dans des conditions « plus normales », bien que les dernières prévisions météo annoncent un risque élevé de pluie ce dimanche pour la course.
« Honnêtement, ce fut un week-end très bizarre [à Bahreïn]. » a déclaré George Russell ce jeudi à Imola.
« C’était très venteux, c’était très délicat. Bahreïn est toujours un peu différent des autres circuits, parce que nous courrons le soir et l’asphalte est toujours très abrasif. »
« Donc, j’aimerais faire un reset ici à Imola, qui sera probablement à l’autre bout du spectre, puisqu’il va faire froid et c’est un circuit rapide par opposition aux vitesses plus lentes de Bahreïn. »
« Je pense que ces conditions à Bahreïn ont joué contre nous, et je pense qu’elles ont probablement favorisé Alfa Romeo, plus que la plupart des autres équipes. »
« Je serai surpris de constater un écart aussi élevé entre nous et Alfa Romeo [ce week-end]. Ils avaient l’air certainement très, très rapides à Bahreïn, mais je pense que c’était potentiellement un événement unique. »
« Ce sera donc un bon test pour nous tous et je pense que ce week-end et au cours de la saison ce ne sera pas le même écart que celui que nous avons vu à Bahreïn. »
Concernant justement les risques de pluie pour ce dimanche, Russell admet qu’il aimerait que la course se dispute sur une piste sèche afin de pouvoir comparer les données avec Bahreïn.
« Je pense que la pluie est toujours la bienvenue dans notre position. Cela pimente les choses et je pense que du milieu à l’arrière de la grille, il faut un peu de piquant pour créer des opportunités.«
« Mais je pense que pour nous, ce serait bien d’avoir un week-end sec pour avoir les deux extrémités du spectre pour comparer entre les performances de Bahreïn et celles d’Imola. Mais néanmoins, nous avons une saison de 23 courses et nous sommes là pour profiter au maximum de chaque week-end. La pluie est donc la bienvenue. »
L’équipe Williams Racing a confirmé ce vendredi à Bahreïn que Dan Ticktum restera dans son rôle de pilote de développement avec l’équipe en 2021.
Le pilote âgé de 21 ans a rejoint l’équipe basée à Grove l’année dernière et a entrepris un programme de simulation chargé pour aider au développement de la voiture. Dan Ticktum continuera de s’appuyer sur le travail qu’il a effectué dans ce domaine en 2021, ainsi que d’être immergé avec l’équipe au bord de la piste lorsque cela est possible et à l’usine.
Parallèlement à ses engagements de pilote de développement l’année dernière, Ticktum a participé à la saison de Formule 2, terminant la saison avec une victoire et trois podiums. Il participera à nouveau à la saison de F2 cette année, courant pour Carlin et portant le logo Williams Racing Driver Academy sur sa voiture et sa combinaison.
« Je suis très heureux de poursuivre mon partenariat avec Williams en tant que pilote de développement. » a déclaré Dan Ticktum.
« Ce sera amusant d’avoir plus de temps sur la piste cette année, car l’année dernière a été assez difficile, ce sera donc bien de s’impliquer davantage avec l’équipe sur la piste. »
« J’ai hâte de continuer mon soutien dans le simulateur et je suis très concentré pour cette année. J’ai encore beaucoup de travail à faire car ma saison n’a pas commencé mais je suis privilégié et très heureux comme toujours de représenter Williams. »
L’équipe Williams a déjà planifié une petite mise à jour sur sa monoplace à la veille de la première course de l’année qui se déroulera ce week-end à Bahreïn (du 26 au 28 mars).
Après des essais hivernaux prometteurs pour l’équipe de Grove qui n’a rencontré aucun problème de fiabilité sur la FW43B, l’écurie britannique aborde le premier Grand Prix de la saison 2021 avec beaucoup d’optimisme après une saison 2020 compliquée durant laquelle Williams n’a pas marqué le moindre point en 17 courses.
« Les trois jours de tests de pré-saison se sont bien déroulés, la voiture fonctionnant parfaitement. Bien que les conditions aient parfois été délicates, nous avons beaucoup appris sur la voiture et avons maintenant eu le temps de parcourir un grand nombre de données que nous avons collectées. » nous explique Dave Robson, directeur de la performance chez Williams.
« Les voitures étant restées à Bahreïn, apporter des changements est un peu plus difficile que d’habitude, mais nous avons néanmoins quelques nouveautés à examiner ce week-end alors que nous cherchons à améliorer les performances de la FW43B. »
« Les deux pilotes ayant bénéficié de journées d’essais à kilométrage élevé, y compris des longs relais de course, ils sont tous deux en bonne position avant ce week-end et sont à l’aise avec la voiture et la piste. Nous sommes tous impatients de reprendre la course et espérons pouvoir commencer la saison avec un résultat positif ici à Sakhir.
Avec plus de 2000 kilomètres parcourus lors des trois journées d’essais hivernaux, Williams est la sixième écurie affichant le plus grand kilométrage avant le début de la saison.
Le pilote Williams George Russell a révélé à la veille de la saison 2021 de F1, qui débute ce week-end à Bahreïn, qu’il avait commencé à travailler avec un psychologue pour faire face aux différentes tensions mentales.
L’an dernier, George Russell a connu les montagnes russes en termes d’émotions avec une grosse erreur de sa part au Grand Prix d’Émilie-Romagne (il a perdu le contrôle de sa Williams sous Safety Car) avant d’obtenir une pige au volant de la meilleure voiture de la grille au Grand Prix de Sakhir en remplacement de Lewis Hamilton (testé positif au Covid-19), tandis qu’à la veille du Grand Prix du Portugal, des rumeurs suggéraient qu’il allait perdre son baquet chez Williams en raison de l’arrivée des nouveaux propriétaires de l’écurie britannique, le fonds d’investissement américain Dorilton Capital.
Pour faire face aux pressions mentales, Russell a donc décidé de faire appel à un psychologue depuis 2020 et assure qu’il traine beaucoup moins sur les réseaux sociaux : « La saison dernière a été si intense, surtout avec la façon dont les choses se sont déroulées dans la seconde moitié de l’année, que mentalement c’était très épuisant.« explique le Britannique à l’agence de presse PA.
« J’ai commencé à travailler avec un psychologue. Je lui parle une fois toutes les six semaines et c’est bien d’avoir quelqu’un à qui se confier.«
« Peu importe que vous soyez pilote de Formule 1 ou que vous travailliez à domicile, nous avons tous nos propres problèmes à régler et il n’y a rien de mal à demander de l’aide professionnelle. C’est bénéfique. »
« Les hommes considèrent la santé mentale comme une faiblesse, mais ce n’est absolument pas le cas. Cela vous rend plus fort et vous rend meilleur. Il n’y a rien à craindre et il n’y a pas à avoir honte. C’est le monde dans lequel nous vivons maintenant, avec les médias sociaux qui sont brutaux pour tout le monde. »
« Vous avez ces gens superficiels [sur les réseaux sociaux], et beaucoup de gens regardent et pensent « pourquoi je ne suis pas comme ça? « Mais ils ne font que dépeindre leur meilleure version d’eux-mêmes. »
« Je viens juste de sortir de cette génération. Je n’ai pas rejoint les réseaux sociaux avant mes 16 ans, mais je ne pouvais pas imaginer y être entre 10 et 15 ans, grandir et voir tout cela parce que cela affecte votre estime de soi. Si je pouvais, je m’en débarrasserais. »
« J’ai mis en sourdine tout ce qui concerne la Formule 1 sur les réseaux sociaux. Je ne lis rien, qu’il s’agisse de moi ou non, car je trouve souvent frustrant de voir des choses avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Cela ne m’apporte rien de positif. Je vais mieux sans ça.«
Russell s’apprête à entamer cette année sa troisième et dernière année de contrat avec l’équipe Williams et s’attend à ce que Mercedes lui donne une réponse d’ici cet été pour savoir s’il pourra rejoindre l’équipe championne du monde en 2022 (à lire ici).
Jost Capito, le nouveau patron de l’équipe Williams, a révélé qu’il avait envisagé de prendre sa retraite après une longue carrière en sport automobile, avant que « l’énorme opportunité » de prendre en charge l’une des plus emblématiques écurie de la F1 ne le persuade de retarder ses plans.
Ancien directeur de Volkswagen Motorsport en Rallye, Capito a également effectué un court passage chez McLaren en 2016 lorsque l’écurie britannique était en difficulté à la suite de son partenariat avec le motoriste japonais Honda. L’Allemand quittera finalement le navire McLaren quelques mois plus tard.
En décembre 2020, Jost Capito est annoncé comme nouveau PDG de l’équipe Williams, alors que les nouveaux propriétaires, Dorilton Capital, procédaient à une restructuration de la direction de l’équipe, à la suite du départ du fondateur Sir Frank Williams et Claire Williams, directrice adjointe de l’équipe.
Lors du lancement de la livrée de la Williams FW43B vendredi dernier, Jost Capito a parlé de ses aspirations à ramener l’équipe en tête de la grille, mais a également révélé qu’il était sur le point de prendre sa retraite avant que Dorilton ne l’appelle.
« Nous avons eu une discussion avant que tout cela ne soit annoncé et j’avais une grande confiance. C’était une opportunité et je me suis demandé « est-ce que je prends ma retraite? Que fais-je? » ». a expliqué Capito.
« Lorsque ce rôle m’a été proposé, je me suis dit que c’était plus qu’un rêve de gosse de diriger une équipe comme Williams. Je suis un compétiteur, partout où je suis allé j’ai voulu gagner, mais je sais qu’en arrivant chez Williams, ils ne sont pas en mesure de gagner pour le moment. »
« Nous connaissons les résultats des dernières années et nous savons pourquoi cela s’est produit. Maintenant, avec les nouveaux propriétaires, il y a un grand soutien. C’est pourquoi j’ai décidé de rejoindre l’équipe. »
« C’est une énorme opportunité de travailler avec de nouveaux propriétaires pour ramener l’équipe là où elle était dans le passé et où je crois que Williams doit être, et cela me tient à cœur. »
A la veille de sa seconde saison en Formule 1, le Canadien Nicholas Latifi sait déjà dans quels domaines il devra s’améliorer cette année.
Etan donné que son coéquipier George Russell l’a battu lors de chaque séance de qualifications l’an dernier, Nicholas Latifi aimerait pouvoir faire de grands progrès cette saison lors de la séance qualificative du samedi et espère pouvoir compter sur l’aide précieuse de Russell, qui est surnommé en interne « Mr saturday ».
« De toute évidence, la performance du samedi est celle que j’ai toujours soulignée. Je pense que j’étais dans une position privilégiée d’avoir un coéquipier qui est maintenant surnommé « Mr samedi », parce que nous savons qu’il tire le maximum de la voiture le samedi. » explique Latifi dans un entretien accordé au site de la F1.
« Cela me donne une belle référence sur laquelle me concentrer. En fin de compte…l’objectif est de battre votre coéquipier, ou tout du moins d’atteindre son niveau le samedi et de tirer le meilleur parti de la voiture, c’est une grande priorité pour moi. »
« Je pense que les qualifications doivent être le premier objectif avant tout. Les dimanches semblaient – bien qu’il y ait des tonnes de progrès à faire dans tous les domaines – être le domaine qui m’était un peu plus naturel. C’était un peu ma force en F2, la gestion de la course, le côté stratégie des choses. »
« Mais vraiment, je veux tout mettre ensemble et plus encore en battant mon coéquipier. Je veux terminer un tour dont je me sens satisfait, parce que quand j’ai pu le faire, que ce soit lors des essais ou en qualifications, les temps étaient là ou à peu près là où ils devraient être. Je dois juste m’assurer de faire ce qu’il faut pendant les qualifications le samedi. »
Nicholas Latifi pourra déjà prendre une petite avance sur son coéquipier dès les essais hivernaux, puisque le Canadien sera au volant de la FW43B durant toute la journée de samedi, tandis que Russell devra patienter jusqu’à dimanche (le vendredi, c’est Roy Nissany qui sera en piste pour Williams).
L’équipe williams Racing a dévoilé son programme pour les essais hivernaux 2021 qui se dérouleront cette année du 12 au 14 mars sur le tracé de Bahreïn.
Pour la première fois, les tests de pré-saison ne dureront que trois journées cette année, ce qui signifie que chaque pilote aura le droit à seulement une journée et demie de roulage dans chaque équipe.
Du côté de chez Williams, l’écurie de Grove a pris la décision de faire rouler non pas deux mais trois pilotes pour ces essais hivernaux. Les deux pilotes titulaires, Nicholas Latifi et George Russell, ainsi que le pilote d’essai, l’Israélien Roy Nissany, mèneront donc les tests pour Williams à Bahreïn.
Roy Nissany sera le premier des trois pilotes à prendre la piste ce vendredi 12 mars durant toute la journée avec la FW43B, tandis que le Canadien Nicholas Latifi sera derrière le volant de la Williams toute la journée de samedi.
Enfin, le Britannique George Russell sera au volant de la monoplace 2021 le dimanche 14 mars durant la dernière journée des essais hivernaux.
L’équipe Williams a dévoilé ce vendredi sa monoplace pour la saison 2021 de Formule 1, une FW43 version B, la première monoplace de l’équipe de Grove, sous la direction du nouveau propriétaire Dorilton Capital.
Cette nouvelle monoplace, une évolution directe de celle de l’année dernière, s’est distinguée principalement par sa nouvelle livrée, qui vise à rappeler l’âge d’or qu’a connu l’équipe fondée par Sir Frank Williams dans les années 80 et 90.
Sur le plan technique cependant, le FW43B n’a pas montré d’innovations particulières par rapport à l’année dernière, à la fois à cause du gel de la plupart des composants et également parce que l’équipe dirigée par Simon Roberts se concentre en grande partie sur le développement de la machine 2022.
L’objectif de Williams Racing pour la saison 2021 est au moins de ne pas finir dernière au classement des constructeurs, et de finir devant l’équipe Haas. En effet, depuis de nombreuses saisons désormais, la glorieuse équipe fondée par Sir Frank Williams a été reléguée aux dernières rangées de la grille.
Pour 2021 donc, les techniciens de Grove visent à reprendre le dessus après qu’un rival direct, l’équipe Haas, ait publiquement admis qu’elle ne voulait pas dépenser des ressources (y compris des jetons) dans le développement de sa monoplace 2021, portant désormais toute son attention sur la révolution technique qui entrera en vigueur en F1 l’année prochaine.
Sur la Williams FW43B, on peut distinguer de petits changements aérodynamiques sur les première images publiées alors que des composants tels que le châssis, la suspension, le système de refroidissement et le freinage sont les mêmes que sur la FW43 de 2020.
Zone avant
A l’avant de la FW43B, le nez blanc se détache du reste de la livrée, brisant le ton chromatique bleu du reste de la monoplace. Sur le plan technique, le nez large est le même que l’an dernier, et n’a subi aucune modification, gardant la même structure d’impact avant approuvée pour le GP de Toscane 2020.
La longue cape sous le nez reste également la même que l’an dernier, même si les clichés publiés par Williams dissimulent assez bien cette zone de la voiture.
La zone dans laquelle nous pouvons voir le plus de changements reste l’aileron avant qui, par rapport au reste de la monoplace est complétement nouveau. Les ingénieurs de Grove se sont beaucoup concentrés sur l’appui aérodynamique de la zone avant de la monoplace révolutionnant complétement ce qu’était la gestion des flux sur l’ancienne monoplace.
Le plan principal est nouveau, de forme assez différente par rapport à celui de l’année dernière, avec une boucle sur les côtés de la zone où le règlement impose que l’aileron soit neutre.
Ce qui est également nouveau, ce sont les flaps en porte-à-faux, divisés par la réglementation en un maximum de cinq éléments, et entièrement revus dans la zone de la coordonnée Y250, c’est-à-dire dans leur partie la plus interne, à 250 mm de la ligne centrale de la machine.
Les flaps ont tendance à descendre et à se rétrécir vers le centre de la voiture, formant ce vortex créé notamment par l’aérodynamisme en F1, et offrant ainsi des avantages en termes d’efficacité sur le reste de la voiture. Le travail sur l’aileron avant se termine par les plaques d’extrémité, également revisitées par rapport à la saison dernière, avec la boucle inspirée de la McLaren au bout de cette plaque.
Châssis et suspension avant 2020
Si on observe la suspension avant, elle n’a subi aucune innovation aérodynamique concernant les triangles, qui étaient déjà sur la FW43 après les tests de pré-saison et pour le premier GP en Autriche.
Les éléments internes (barres anti-roulis, amortisseurs et autres) ont fait l’objet d’une homologation et restent les mêmes qu’en 2020. La disposition de la suspension est dans un schéma classique de poussoirs, et est caractérisée sur la Williams par le triangle supérieur assez en retrait de l’axe de la roue, en raison du grand support (1) qui place le bras oscillants pratiquement parallèle au sol.
Un deuxième support est situé entre la jambe de force et le moyeu de roue, et double sensiblement le nœud d’ancrage du système de tige de poussée (2).Enfin, nous notons la manière dont la biellette de direction (3), toujours depuis une perspective de dessus, estdésalignée d’un point de vue frontal, et est placée à un niveau intermédiaire entre les deux triangles.L’écope de freinest d’une forme conventionnelle en oreille et reste inchangée par rapport à 2020.
Quant au châssis et à la cellule de survie, ils sont eux aussi directement hérités de la monoplace 2020, avec la présence des fameuses « cornes »dans la zone du panneau central, déjà vues l’année dernière.Également dans cette zone se trouve la sortiedu système S-Duct.
Les rétroviseurs ont toujours une base qui remonte, avec une petite bosse dans le coin, copiée par Red Bull à la mi-saison l’an dernier. Curieusement, dans le rendu qui encadre la zone frontale, vous ne pouvez voir qu’une seule caméra positionnée dans la partie supérieure du cône du nez, alors que toutes les autres équipes en ont une de chaque côté.
Bargeboards et carrosserie
La zone des bargeboards sur la Williams est assez unique et différente des solutions des autres équipes, un signe que les techniciens de Simon Roberts ont beaucoup travaillé sur la base aérodynamique qu’ils avaient déjà, sans aller copier (également pour des raisons de coût) les philosophies aérodynamiques des concurrents.
Plus précisément, les déviateurs de flux sur les côtés des radiateurs sont caractérisés par des éléments verticaux, tandis que dans presque toutes les autres équipes, nous avons une série de flaps horizontaux, qui rappellent un « store vénitien ». Vous pouvez le voir grâce à la flèche la plus à droite dans l’image ci-dessous.
Les autres innovations concernent le dérivateur de flux au-dessus de l’entrée d’air des radiateurs, qui se connecte à l’aileron horizontal placé au-dessus des évents de refroidissement.
Un petit dérivateur est situé à la base du cône anti-encastrement, juste devant les radiateurs. D’autres finitions aérodynamiques apparaissent dans la zone derrière les roues avant, avec l’utilisation d’un seul élément boomerang.
Si on regarde le côté, la Williams montre des flancs très creux à partir du milieu de la voiture, créant une véritable goulotte pour l’air grâce à l’effet coanda. Une solution déjà testée sur la FW43 de 2020, avec le corps qui se rétrécit de manière décisive et qui suit la tendance actuelle.
Pour compenser ce rétrécissement, de manière totalement négative, il y a un « grand poumon » sur la partie supérieure du capot moteur qui, par rapport aux autres monoplaces équipées du moteur Mercedes, reste très volumineux et pénalisant pour l’aérodynamisme.
Dans cette zone, par exemple, nous avons pu voir sur l’Aston Martin AMR21 des « bosses » en raison de l’encombrement des composants mécaniques du moteur Mercedes. La Williams quant à elle reste une monoplace très exigeante en terme de refroidissement.
L’entrée d’air principale au dessus de la tête du pilote et les « branchies » sur les côtés du Halo sont très similaires à ceux de l’année dernière, et les évents du capot moteur dans la zone arrière couvrent le triangle supérieur de la suspension arrière.
Les ressources économiques sont assez limitées pour l’équipe de Grove en raison du manque de sponsors et ce manque de fonds se fait sentir pour le développement de la voiture (en particulier pour le système de refroidissement).
Zone arrière
Au sujet de l’arrière du FW43B, il n’y a pas grand chose de nouveau par rapport à ce que l’on a vu en 2020, et on ne sait pas vraiment dans quelle zone l’équipe anglaise a dépensé le seul jeton restant (un jeton avait déjà été dépensé l’année dernière).
La suspension arrière, ainsi que la boîte de vitesses, sont les mêmes que sur la FW43, tandis qu’au niveau aérodynamique, on peut voir le fond plat simplifié dans la conception, en raison du rétrécissement d’environ 100 mm en diagonale et sur lequel ont été supprimés toutes les fentes et conduits pour le flux d’air.
A leur place, une sorte de cloison de style Red Bull a été insérée pour détourner le flux d’air de la roue arrière. Il y a également trois petites ailettes dans la zone extérieure du diffuseur, dans la partie intérieure de la roue arrière.
D’après les images qui montrent l’arrière (volontairement sombres) la partie interne du diffuseur reste bien cachée. Le règlement impose ici des dérives internes inférieures à 50 mm du plan de référence, afin de réduire l’appui avec les nouvelles contraintes imposées pour le fond plat.
L’aileron arrière à double pylône est assez proche de celui de l’année dernière, tout comme le T-wing présent au bout du capot moteur.
Sur la plaque d’extrémité de l’aileron arrière, il n’y a pas de soufflage dans la zone tordue, alors qu’il y a beaucoup de flux rehausseurs le long de la surface supérieure, là où se trouve le sponsor. Il y a trois grandes franges dans le bas la zone de la plaque d’extrémité, tandis qu’à côté du diffuseur, la disposition reste suffisamment propre pour ne pas diviser le flux d’air en trop de parties.
Les échappements « wastegate« , quant à eux, ont une disposition interne par rapport aux deux piliers supports de l’aileron arrière, et sont situés juste en dessous de l’échappement central du moteur thermique.
Le nouveau PDG de Williams, Jost Capito, estime que l’équipe britannique emblématique peut revenir sur le devant de la grille en Formule 1.
L’ancien patron de McLaren, Jost Capito, qui a été nommé PDG par les nouveaux propriétaires de l’équipe Williams, Dorilton Capital, a commencé à travailler le 1er février et apporte avec lui quatre décennies d’expérience dans le sport automobile et l’automobile, dont un immense succès avec Volkswagen dans le championnat du monde des rallyes.
Capito a rejoint une équipe qui a eu du mal à performer à l’arrière de la grille ces dernières années, mais avec de nouveaux investissements de la part de Dorilton Capital et une restructuration en cours, Jost Capito pense que l’équipe a un bel avenir.
« Nous développons une stratégie d’objectifs à long terme, moyen et court terme, plutôt que de dire qu’en 2022 nous voulons gagner ou devons gagner. » explique Capito.
« Nous aurons des objectifs réalistes mais étendus, puis nous les suivrons. Et si nous pouvons suivre cela étape par étape et améliorer la technologie, mettre en œuvre une nouvelle technologie que nous définirons à l’avance, alors nous pensons que nous pouvons remonter vers l’avant de la grille de manière très stratégique et ciblée. »
Cette stratégie n’a pas encore été établie chez Williams parce que Jost Capito cherchera d’abord à évaluer le potentiel de l’équipe en début de saison afin de tracer un chemin à suivre.
« Aujourd’hui, c’est mon premier jour, et nous nous sommes tous réunis en tant qu’équipe de direction et avons réglé cela tel quel. » a-t-il ajouté.
« Je voulais que tout le monde soit impliqué. Ce n’est pas moi qui vient vous dire que c’est notre plan à long terme. Ce n’est jamais comme ça que je travaille. Nous devons créer l’équipe, travailler en équipe, définir des objectifs. »
« A partir de là, nous pouvons créer l’unité et avoir d’excellentes communications. Nous avons les bonnes personnes, des talents vraiment fantastiques dans l’équipe. C’est un excellent mélange de personnes expérimentées qui sont chez Williams depuis 30 ans et de jeunes talents, de l’université et en provenance d’autres équipes. »
« Nous avons le mélange parfait pour nous faire avancer. Nous devons simplement allumer tout ça. Bien sûr, nous pouvons le faire. Je suis sûr qu’en équipe, nous pouvons le faire et retrouver la passion. »
« Je suis également assez convaincu de ce que nous avons – avec le soutien de Dorilton que nous avons maintenant – sinon je ne serais pas assis ici. »
Mise à jour vendredi 5 mars à 14h00 : L’équipe Williams, qui présente sa monoplace 2021 ce vendredi 5 mars à 15h00 (heure de Paris), nous indique qu’elle ne pourra pas dévoiler la FW43B en réalité augmentée via son application dédiée en raison d’un piratage de cette dernière.
Ce vendredi 5 mars, l’équipe Williams Racing présentera sa nouvelle monoplace pour la saison 2021 de Formule 1: la FW43B.
Pour la première fois, vous pourrez suivre la présentation d’une Formule 1 en réalité augmentée grâce à l’utilisation d’une application dédiée téléchargeable dès maintenant à cette adresse (pour Iphone). la version Android devrait être disponible dans les prochaines heures.
La FW43B que piloteront George Russell et Nicholas Latifi cette saison sera présentée aux alentours des 15h00 (heure de Paris) ce vendredi 5 mars et l’application dédiée que vous aurez téléchargée au préalable vous permettra de voir la monoplace de l’équipe de Grove en 3D grandeur nature.
Le jour du lancement, ceux qui ont téléchargé l’application recevront une notification push dès que le contenu sera disponible.
Évidemment, vous pourrez retrouver toutes les images de la FW43B, ainsi que les réactions des principaux protagonistes de l’équipe Williams sur F1only.fr ce vendredi 5 mars.
L’équipe Williams utilisera la technologie de réalité augmentée cette année pour présenter sa monoplace 2021: la FW43B.
La voiture sera révélée le vendredi 5 mars à 15h00 (heure de Paris) et les fans du monde entier pourront avoir un premier aperçu de la nouvelle livrée à l’aide d’une application dédiée qui projette un modèle 3D en taille réelle de la FW43B dans leur salon.
L’application «Williams Racing AR Launch 2021» est désormais disponible au téléchargement dans l’Apple Store et sera bientôt disponible pour Android. Le jour du lancement, ceux qui ont téléchargé l’application recevront une notification push dès que le contenu sera disponible.
La FW43B a déjà pris la piste cette année avant même sa présentation, puisque l’équipe britannique a déverminé sa F1 2021 sur le tracé de Silverstone le mois dernier avec l’un de ses pilotes titulaires, le Britannique George Russell.
Ce vendredi 5 mars, vous pourrez évidemment retrouver toutes les photos, ainsi que les réactions des différents protagonistes sur F1only.fr.
L’écurie Williams Racing a confirmé que Jamie Chadwick poursuivra son travail avec l’équipe en tant que pilote de développement pour la saison de Formule 1 2021.
Jamie Chadwick , qui a rejoint l’équipe en 2019, va intensifier son programme de simulateur à Grove et continuera à être pleinement immergée au sein de l’équipe à la fois sur la piste lors de certains Grands Prix et à l’usine.
La pilote âgée de 22 ans soutiendra également l’équipe dans ses activités médias et marketing tout au long de la saison 2021.
La Britannique a connu des succès dans un certain nombre de catégories jusqu’à présent dans sa carrière, remportant le titre inaugural de la Série W en 2019 et remportant une victoire aux 24 heures du Nürburgring en Allemagne.
Auparavant, elle avait remporté le titre britannique GT GT4 2015, est devenue vainqueur britannique de la Formule 3 en 2018 et a remporté la MRF Winter Series en 2018/19 – toutes des premières historiques pour une pilote de course féminine.
Cette année, Jamie Chadwick défendra son titre de la série W alors que le championnat revient après une interruption forcée due au COVID-19. La série gagnera en visibilité en 2021 car elle deviendra une course de soutien lors de huit événements de la Formule 1 au cours de la saison.
Parallèlement à ses engagements dans la série W, Jamie Chadwick a été confirmée en tant que pilote féminine de Veloce Racing pour l’Extreme E, un championnat de course hors route électrique révolutionnaire qui devrait être lancé plus tard ce mois-ci en Arabie saoudite.
« J’ai vraiment adoré mon temps avec Williams jusqu’à présent et je ne pourrais pas être plus ravie de continuer à travailler avec l’équipe dans mon rôle de pilote de développement. » a déclaré Chadwick.
« Je sens que je m’améliore tout le temps en tant que pilote, et mon temps passé dans le simulateur cette saison à venir se révélera inestimable. J’ai hâte de me plonger à nouveau pleinement chez Williams cette année. »
L’équipe Williams dévoilera sa monoplace pour la saison 2021 le 5 mars prochain lors d’un événement en ligne, crise sanitaire oblige.
George Russell a livré ses premières impressions après avoir pu rouler pour la première fois de l’année avec sa monoplace pour la saison 2021: la FW43B.
L’équipe Williams a déjà fait tourner sa monoplace sur le tracé de Silverstone la semaine dernière dans le cadre d’une journée de tournage, tandis que la présentation officielle de la monoplace 2021 est programmée le 5 mars lors d’un événement en ligne.
Ce vendredi, l’équipe de Grove a publié une courte vidéo dans laquelle George Russell exprime son ressenti avant et après avoir roulé avec la FW43B.
« La pause hivernale a été super, j’ai pu me reposer un peu après la saison dernière qui a été intense et cette année va être tout aussi intense. » a déclaré George Russell avant de monter pour la première fois dans la FW43B de la saison 2021 sur le tracé de Silverstone.
« Maintenant, je suis de retour à l’entraînement, j’essaie d’être aussi bien préparé que possible. »
« Nous sommes à Silverstone alors qu’il fait humide et ensoleillé pour notre journée de tournage. C’est la première fois que je pilote la FW43B 2021. C’est une journée excitante pour nous tous avec le début de cette nouvelle saison. »
« C’est la première fois que je pilote la 43B, c’est un moment important et on devrait bien s’amuser. »
Une fois son roulage effectué, Russell a livré ses toutes premières impressions au sujet de sa nouvelle monoplace, bien que le Britannique n’a pas pu effectuer cet essai dans les meilleures conditions en raison d’une piste humide et de pneumatiques de démonstration comme le veut la réglementation.
« C’est bien, ce n’est clairement pas les meilleures conditions météo ici à Silverstone. J’ai un bon feeling dans la 43B, pas de problème à signaler, tout était sous contrôle et ça fait plaisir d’être de retour. »
The FW43B will meet you all next Friday, but it's already got a few laps under its belt 🤜🤛 pic.twitter.com/IUUlEQIKka
L’ancien pilote Haas, Kevin Magnussen, a indiqué qu’il avait reçu une offre d’une équipe « moins bonne que Haas » pour rester sur la grille en 2021, mais le Danois a gentiment refusé.
L’équipe américaine Haas a décidé de se séparer de son duo de pilotes composé de Romain Grosjean et Kevin Magnussen pour cette nouvelle saison et a pris le risque de faire appel à deux jeunes rookies, Mick Schumacher et Nikita Mazepin.
Si la carrière de Romain Grosjean s’est arrêtée prématurément après son horrible accident au Grand Prix de Bahreïn au mois de novembre dernier, celle de Kevin Magnussen a pris un autre chemin puisque le Danois a rejoint le Chip Ganassi Racing dans le championnat IMSA aux États-Unis.
Mais avant de signer son nouveau contrat, Magnussen avait bien reçu une offre de la part d’une équipe de la grille pour rester en Formule 1 en 2021, bien que l’ancien pilote Haas n’ait pas souhaité divulguer le nom de cette équipe.
« Je ne peux pas dire de qui il s’agissait, car je pense que cela pourrait mettre quelqu’un en colère. » a expliqué Magnussen au journal danois Dossier.
« Mais il s’agissait d’une équipe qui n’est pas meilleure que Haas, donc, ce n’est pas difficile à deviner. »
Magnussen a ensuite expliqué son choix de refuser cette offre : « Bien que j’ai pu avoir cette chance de rester en Formule 1, je n’avais pas la motivation pour continuer sur cette voie. J’aurais aimé continuer si j’avais pu gagner avec l’une des plus grandes équipes. »
Erratum : Pour rappel, la seule équipe qui a fait moins bien que l’écurie Haas au championnat 2020 a été Williams.