Sebastian Vettel sur Leclerc : « le plus important est que nous travaillons ensemble pour l’équipe »

Le pilote Ferrari Sebastian Vettel ne se dit pas surpris par les performances affichées par son coéquipier Charles Leclerc cette année.

Charles Leclerc a décroché sa première victoire en F1 à l’âge de 21 ans au Grand Prix de Belgique le week-end dernier, permettant au passage à Ferrari de signer sa première victoire de la saison 2019.

Sebastian Vettel, qui n’a plus remporté de course avec Ferrari depuis le Grand Prix de Belgique 2018, assure qu’il n’est pas surpris des performances de son nouveau coéquipier Charles Leclerc.

« Je pense que c’est bien qu’il ait surpris beaucoup de gens du monde extérieur, mais il fait partie de la Ferrari Driver Academy depuis un moment et il était clair qu’il avait beaucoup de potentiel. » a déclaré Sebastian Vettel ce jeudi à Monza.

« C’est bien de voir qu’il est tout de suite rapide. Mais le plus important est que nous travaillons ensemble pour l’équipe et que nous ne nous opposions pas. Cela semble fonctionner, donc c’est la chose la plus importante. »

« Le week-end dernier a également été difficile pour lui en raison des circonstances [décès d’Anthoine Hubert, un ami de Leclerc], cela a donc occulté cette victoire, mais je suis certain que d’autres victoires arriveront. » a conclu le pilote allemand.

Jean Alesi est persuadé que Charles Leclerc deviendra champion du monde

Le Français Jean Alesi est certain que Charles Leclerc deviendra tôt ou tard champion du monde en Formule 1.

Jean Alesi estime que le pilote monégasque se retrouve dans de très bonnes conditions chez Ferrari pour sa seconde saison en catégorie reine du sport automobile aux côtés du quadruple champion du monde Sebastian Vettel.

« Charles Leclerc est déjà un grand champion Je suis heureux de l’avoir vu remporter sa première course. » a déclaré Jean Alesi ce mercredi à Milan lors de la fête organisée par Ferrari pour ses 90 ans.

« Il aurait pu le faire avant durant cette saison mais il n’a pas eu de chance. Il a connu des ennuis mécaniques à Bahreïn. Je suis très heureux pour lui car c’est un jeune pilote qui a grandi chez Ferrari et je suis persuadé qu’il sera champion du monde.

« Ferrari a beaucoup investi sur lui, ils ont voulu le voir piloter aux côtés d’un champion du monde comme Sebastian Vettel, donc, il n’y a aucun doute, l’avenir lui appartient chez Ferrari. »

Au championnat du monde des pilotes, Charles Leclerc est actuellement quatrième à seulement douze points de son coéquipier Sebastian Vettel.

De retour chez Toro Rosso, Pierre Gasly n’est pas forcément plus détendu

Le Français Pierre Gasly admet qu’il ne se sent pas forcément plus détendu maintenant qu’il est de retour dans son ancienne écurie Toro Rosso.

Rétrogradé cet été chez Toro Rosso pour manque de résultat, Pierre Gasly a retrouvé depuis le Grand Prix de Belgique son ancienne équipe avec laquelle il a débuté sa carrière en Formule 1 en 2017.

Mais le pilote français assure qu’il ressent toujours une certaine pression et que ses objectifs restent finalement les mêmes que chez Red Bull en début d’année : marquer un maximum de points pour son équipe.

Pour sa première course à Spa avec Toro Rosso, Pierre Gasly a réussi à terminer dans le top dix et a marqué deux points.

« Avant Spa, j’avais beaucoup de travail avec ma nouvelle équipe, c’était très intense avant le week-end et j’ai essayé de faire de mon mieux. » a expliqué Pierre Gasly ce jeudi à Monza.

« Maintenant, je sais qu’il me reste huit courses avec Toro Rosso et je reste concentré pour donner le meilleur de moi-même pour aider l’équipe à marquer le plus de points. »

« Je ne suis pas plus détendu chez Toro Rosso que chez Red Bull. Les objectifs n’ont pas changé pour moi, j’essaie toujours de faire de mon mieux en piste. »

Ce week-end au Grand Prix d’Italie, Pierre Gasly prendra le départ de la course depuis le fond de la grille en raison de pénalités suite à l’introduction par Honda de la Spec 4 à l’arrière de sa monoplace.

GP d’Italie : A quelle heure sont programmés les EL1 et EL2 ce vendredi ?

Ce vendredi, les F1 seront en piste à Monza pour les deux premières séances d’essais libres libres du Grand Prix d’Italie, quatorzième manche de la saison 2019.

La première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie [EL1] est programmée ce vendredi 6 septembre à 11h00, alors que la seconde séance d’essais libres [EL2] se disputera à partir de 15h00.

Ce samedi 7 septembre, les pilotes prendront la piste pour la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie [EL3] à 12h00, tandis que les qualifications se disputeront à 15h00.

Enfin, le départ du Grand Prix d’Italie sera donné ce dimanche à Monza à 15h10, les pilotes s’élanceront pour 53 tours.

Pour connaître le bulletin météo complet du Grand Prix d’Italie et suivre en temps réel la situation tout au long du week-end grâce à notre partenaire Célinium, vous pouvez cliquer sur ce lien.

Verstappen répond aux critiques de Rosberg : « Il n’a jamais été crédible en tant que pilote »

Max Verstappen a répondu aux récentes critiques que Nico Rosberg a formulé à son encontre sur sa chaîne YouTube récemment.

Il y a quelques semaines, Nico Rosberg n’hésitait pas à dire que Max Verstappen avait un côté narcissique dans l’une de ses vidéos sur sa chaîne YouTube, alors que plus récemment, le champion du monde 2016 affirmait que le pilote Red Bull avait été trop agressif au départ du Grand Prix de Belgique.

A Spa, Verstappen a percuté l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen dès le départ de la course, ce qui a endommagé sa monoplace. Mais malgré les dégâts évidents, Max Verstappen a voulu continuer à rouler et a finalement perdu le contrôle de sa monoplace en arrivant dans le Raidillon.

Interrogé ce jeudi dans le paddock de Monza pour savoir ce qu’il pensait des interventions de Nico Rosberg après chaque Grand Prix, Max Verstappen n’a pas été très tendre avec l’Allemand.

« Je me fiche complétement de ce qu’il a dit dans son podcast, Villeneuve a lui aussi fait la même chose, et je le considère un peu comme un nouveau Villeneuve. » a déclaré Verstappen à Monza.

« Peut-être qu’il veut simplement attirer plus de téléspectateurs sur sa chaîne sur laquelle il est souvent très critique. Je l’ai même trouvé un peu extrême plus tôt cette année lorsqu’il a dit que j’étais narcissique. »

« Il n’a jamais été crédible en tant que pilote, c’est un peu ça son problème. Il n’a jamais eu de charisme. Je ne sais pas quel est son but, ni s’il veut rester au centre de l’attention, ni si c’est pour l’argent, mais dans ce cas là il aurait dû continuer à courir. Il aurait alors pu gagner plus qu’avec sa chaîne YouTube. »

Alfa Romeo dévoile une livrée spéciale de sa monoplace au Grand Prix d’Italie

L’équipe Alfa Romeo a décidé de modifier la livrée de sa monoplace ce week-end pour sa course à domicile au Grand Prix d’Italie.

L’écurie Alfa Romeo basée en Suisse est sous la tutelle de Ferrari, qui lui fournit le moteur, la boîte de vitesses, ainsi que plusieurs autres éléments mécaniques et électroniques.

L’écurie dirigée par Frederic Vasseur a donc bien du sang italien et c’est en toute logique qu’Alfa Romeo a décidé de modifier la livrée de la C38 pilotée par Kimi Raikkonen et Antonio Giovinazzi ce week-end à Monza pour afficher les couleurs de l’Italie.

Le drapeau de l’Italie se trouve sur le capot moteur de la C38, alors que des rappels de la bannière tricolore sont présents sur les flaps latéraux de l’aileron avant, ainsi que sur l’aileron arrière.

« Ce n’est pas une grande différence, mais c’est une différence italienne. La voiture a fière allure et c’est bien de faire quelque chose pour une course unique. » s’est contenté de déclarer Kimi Raikkonen.

Les photos de l’Alfa Romeo C38 spéciale GP d’Italie

Nico Hulkenberg est toujours en pleines négociations pour 2020

Nico Hulkenberg a reconnu qu’il lui fallait encore un peu de temps pour évaluer les différentes options qui s’offrent à lui pour 2020.

Le pilote allemand, qui quittera l’écurie Renault à la fin de la saison, admet qu’il n’a toujours pas signé de contrat pour 2020 mais souligne que des négociations sont toujours en cours.

Hulkenberg dispose de plusieurs options pour 2020 : l’équipe Haas, l’équipe Alfa Romeo, l’équipe Toro Rosso et peut-être même l’écurie Red Bull Racing, qui n’a toujours pas confirmé le nom du futur coéquipier de Max Verstappen.

« Pour l’instant, il n’y a rien de précis. La situation est la même que la semaine dernière. Je suis toujours en négociations. » explique le pilote allemand ce jeudi à Monza.

« Je dois trouver un bon accord, donc, je ne suis pas pressé. J’ai plusieurs options, mais je n’ai rien à révéler pour le moment. »

L’an prochain, Nico Hulkenberg sera remplacé chez Renault par le Français Esteban Ocon, qui quittera lui aussi son équipe Mercedes à la fin de la saison.

Ricciardo demande aux fans plus de respect lorsqu’un pilote se crashe

Daniel Ricciardo aimerait que les fans aient un meilleur comportement lorsqu’un pilote sort de la piste et frappe les barrières de pneus.

Samedi dernier au Grand Prix de Belgique lors des essais libres 3, Lewis Hamilton a envoyé sa Mercedes dans les barrières de pneus, après avoir perdu soudainement le contrôle.

Au moment où le Britannique a tapé les barrière avec sa monoplace, des cris de joie ont été entendus en provenance des tribunes de supporters situées non loin de l’endroit de l’accident, ce qui ne plait pas à Daniel Ricciardo.

Le comportement de certains supporters a également suscité le débat un peu plus tard dans la journée lorsque Anthoine Hubert a perdu la vie des suites de ses blessures après un terrible crash en haut du raidillon.

« Que vous aimiez quelqu’un ou non, ce n’est jamais très agréable d’entendre des gens fêter l’accident ou l’erreur de quelqu’un. » a déclaré Ricciardo.

« Chaque fois que nous sommes sur la piste, il y a un risque et chaque fois que nous nous crashons dans un mur, que nous allions bien ou pas, cela vous fait beaucoup réfléchir. » 

« Il est difficile d’être fan d’un sport que l’on ne pratique pas. Il y a des choses qui sont difficiles à comprendre. »

« Tout ce que nous pouvons demander, c’est que si vous êtes un fan, soyez un vrai fan et respectez ce que nous faisons: pas seulement le pilotage, mais prenez également en compte les risques que nous prenons. C’est probablement tout ce que nous pouvons demander. »

Pénalisé, Lando Norris rejoindra Verstappen et Gasly en fond de grille à Monza

Le pilote McLaren Lando Norris est dores et déjà assuré de prendre le départ du Grand Prix d’Italie depuis le fond de la grille dimanche à Monza.

Le pilote britannique va recevoir ce week-end un nouveau moteur à l’arrière de sa monoplace, la spécification C du moteur Renault, tout comme l’a déjà reçu son coéquipier Carlos Sainz le week-end dernier à Spa.

Ce changement d’unité de puissance était prévu par McLaren et n’a aucun rapport avec la panne mécanique dont il a été victime dimanche dernier dans le dernier tour du Grand Prix de Belgique et qui l’a obligé à abandonner.

Le Grand Prix de Belgique a d’ailleurs tourné au vinaigre pour l’écurie McLaren, puisque Carlos Sainz a lui aussi abandonné en début de course sur panne mécanique également.

Ce dimanche à Monza, Lando Norris rejoindra donc Max Verstappen et Pierre Gasly en fond de grille, les deux pilotes ayant reçu la nouvelle spécification moteur de Honda ce week-end au Grand Prix d’Italie.

L’ordre sur la grille dépendra du résultat de chacun lors de la séance de qualifications qui se disputera ce samedi après-midi à 15h00 à Monza.

Vidéo : Road trip avec l’équipe McLaren entre Spa et Monza

L’équipe McLaren vous propose de suivre son équipe de la logistique entre le Grand Prix de Belgique et celui d’Italie, tous deux programmés à une semaine d’intervalle.

Vous vous demandez certainement comment fait le grand cirque de la Formule 1 pour se déplacer aussi rapidement d’un circuit à l’autre avec des tonnes de matériels et en si peu de temps ?

Regardez cette vidéo publiée par McLaren, qui a suivi ses équipes de la logistique entre le circuit de Spa que nous avons quitté dimanche soir et le circuit de Monza sur lequel les premiers camions sont arrivés dès lundi.

Bienvenue dans un monde où rien de déborde, rien de dépasse et où chaque objet a sa place. C’est aussi ça la Formule 1.

Notez également que le Grand Prix d’Italie est la dernière course disputée en Europe cette saison, ce qui veut dire qu’il s’agira du dernier voyage de l’année pour les camions des équipes.

Lando Norris présente un casque spécial aux couleurs de Valentino Rossi à Monza

A la veille du Grand Prix d’Italie, Lando Norris a présenté un nouveau design de casque en hommage à son idole Valentino Rossi, pilote de MotoGP.

Le pilote McLaren Lando Norris est un grand fan de Valentino Rossi et c’est donc en toute logique que le Britannique a souhaité lui rendre hommage ce week-end en arrivant au Grand Prix d’Italie.

Lando Norris portera ce week-end à Monza un casque aux couleurs de Valentino Rossi, alors que Norris a pu rencontrer son idole il y a quelques semaines lors d’une manche du MotoGP à Silverstone.

Lewis Hamilton ne craint pas les tifosi : « J’ai beaucoup de fans en Italie »

Lewis Hamilton affirme que les fans italiens l’apprécient beaucoup, même si pour des raisons évidentes, 90% des fans présents à Monza soutiennent la Scuderia Ferrari.

C’est un Lewis Hamilton habillé aux couleurs de la Scuderia Ferrari qui est apparu dans le paddock de Monza ce jeudi à la veille du Grand Prix d’Italien, course que le Britannique apprécie particulièrement.

Interrogé pour savoir comment il se sentait avant d’affronter les tifosi venus en nombre pour supporter Ferrari ce week-end, Lewis Hamilton assure qu’il a aussi des fans en Italie.

« Monza est tout simplement unique. » a déclaré Lewis Hamilton ce jeudi dans le paddock de Monza.

« J’adore ce tracé, j’aime vraiment l’ajustement aérodynamique spécifique des monoplaces avec des ailerons très plats. C’est une piste Old School qui favorise les courses intéressantes, les voitures peuvent facilement monter sur les vibreurs. »

« En prime, nous avons les fameux tifosi et tout la grande histoire du circuit, si nous mettons tout cela ensemble, Monza est tout simplement unique. »

« J’ai beaucoup de fans ici en Italie. Je vends la plupart de mes vêtements en Allemagne, puis en Italie. Au fil des années, j’ai gagné beaucoup d’adeptes ici et j’ai aussi eu le privilège de signer quelques podiums. Et même si 90% des gens veulent voir une Ferrari gagner, je reçois toujours de très bons retours des Italiens. »

Relégué en fond de grille à Monza, Verstappen fait la danse de la pluie

Condamné à partir depuis le fond de la grille de départ au Grand Prix d’Italie, Max Verstappen fait la danse de la pluie pour dimanche.

En raison d’un changement de moteur sur sa monoplace [Honda introduit la Spec 4], Max Verstappen devra prendre le départ depuis le fond de la grille ce dimanche à Monza.

Le Néerlandais est bien conscient que viser un podium sur le circuit le moins adapté à sa monoplace relève de l’impossible dans des conditions normales, mais un top cinq est toujours possible selon lui.

« Vous pouvez dépasser ici, mais le problème est que nous ne sommes pas aussi compétitifs que Mercedes ou Ferrari. » a déclaré Verstappen ce jeudi à Monza.

« Sur d’autres circuits, j’ai déjà pris le départ depuis l’arrière de la grille et j’ai fini sur le podium, mais c’est parce que nous avions une bonne vitesse à l’époque et que notre stratégie de pneus était différente. »

« [A Monza] Je ne pense pas qu’en partant de l’arrière je pourrai terminer sur le podium, mais si nous pouvons remonter jusqu’à la cinquième place dans des conditions normales, je pense que ce sera un bon résultat. »

Verstappen espère la pluie à Monza

Le pilote Red Bull estime qu’il a encore ses chances de remporter la course dans le cas où des averses de pluie s’abattraient sur le circuit de Monza dimanche.

« S’il pleut, oui absolument. Mais nous devons attendre et voir s’il va pleuvoir, parce que j’ai regardé hier et ils annonçaient beaucoup d’eau, puis aujourd’hui un peu moins. C’est difficile à dire pour le moment, mais s’il pleut cela devrait nous rendre un peu plus compétitifs sur ce circuit. »

La météo du Grand Prix d’Italie en temps réel

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Fernando Alonso confirme sa présence avec McLaren au Grand Prix d’Italie

Le pilote espagnol Fernando Alonso sera présent dans le paddock de Monza ce week-end au Grand Prix d’Italie pour apporter son soutien à McLaren.

Le double champion du monde, qui est toujours attaché à McLaren en tant qu’ambassadeur de la marque, sera présent ce week-end au Grand Prix d’Italie pour faire en sorte d’aider son ancienne équipe.

« C’est un week-end de Formule 1 pour moi. » a déclaré Alonso, qui revient de deux journées de tests en Pologne au volant du Toyota Hilux avec lequel il participera au Dakar l’an prochain.

« Je serai dans le paddock de Monza – pas pour monter dans la voiture – mais j’aiderai mon équipe McLaren du mieux que je pourrai. »

« J’ai hâte de revenir sur l’un de mes circuits préférés, et où il y a un podium magique ! Surtout avec les victoires de 2007 et 2010. Partager cela avec les équipes et le public est une chose  incroyable ! »

Ce sera la troisième fois de la saison que le pilote espagnol sera présent dans le paddock de la F1, après les essais hivernaux à Barcelone et au Grand Prix de Bahreïn.

Grosjean ou Hulkenberg ? Steiner ne veut pas se presser et veut faire le bon choix

Le patron de l’équipe Haas ne semble pas pressé de prendre une décision concernant le line-up de son équipe pour la saison prochaine.

Pour la saison 2020, l’équipe Haas a déjà confirmé Kevin Magnussen, mais l’avenir de Romain Grosjean au sein de l’écurie américaine n’est pour l’instant pas encore assuré.

Le directeur de l’équipe, Gunther Steiner, a déjà révélé qu’il avait plusieurs options pour la saison 2020 et que le baquet de Romain Grosjean se jouerait certainement entre Nico Hulkenberg et Romain Grosjean lui même.

Interrogé ce jeudi à Monza, Steiner assure qu’il compte bien prendre son temps avant de prendre une décision finale.

« Nous ne sommes pas dans le désespoir. » a affirmé le directeur de l’équipe Haas, Gunther Steiner ce jeudi à Monza.

« Le marché n’a pas beaucoup bougé cette année et il n’y a pas beaucoup de gros mouvements. Il est très difficile de décider ce qu’il y a de mieux à faire, donc cela prend un peu plus de temps, ce n’est pas juste « celui là est bon et celui là n’est pas bon ». »

« Nous connaissons assez bien Romain mais je peux aussi voir ce que Hulkenberg a fait. Mais nous devons voir ce qui s’intègrera le mieux dans l’ensemble des activités futures de l’équipe. »

« Nous n’allons pas juger Romain d’une semaine à l’autre. C’est sûr qu’il doit obtenir un résultat, mais il sait ce qui aide et ce qui n’aide pas. Nous connaissons assez bien Romain, nous connaissons ses points forts, et s’il a un mauvais week-end, cela ne signifie pas que le suivant ne peut pas être fantastique. »

« Nous le connaissons mais nous devons savoir prendre la décision pour le bien de l’équipe et où nous voulons aller. Quoi de mieux, rester avec ce que vous avez, ou changer pour quelque chose de nouveau? C’est la plus grande décision à prendre pour le moment et cela prend un peu de temps. »

« Nous essayons de trouver et de prendre la meilleure décision pour l’équipe. Ce que nous avons maintenant n’est pas mauvais, mais pouvons-nous rendre la situation meilleure ? Et quel est le risque ? Nous souhaitons rendre la situation meilleure, mais nous n’allons peu-être pas dans la bonne direction. C’est très complexe vous voyez ? »

Pastor Maldonado assure qu’il était très proche de signer avec Ferrari en 2014

L’ancien pilote Williams Pastor Maldonado affirme qu’il était proche de rejoindre la Scuderia Ferrari en 2014.

Pastor Maldonado, vainqueur du Grand Prix d’Espagne 2012 au volant de sa Williams, a révélé qu’il avait eu des discussions avec Ferrari en 2013 et qu’il pensait pouvoir rejoindre l’écurie italienne pour la saison 2014.

« J’étais le seul [gars à suivre], j’étais le nouveau venu en F1. C’est un peu comme Verstappen maintenant ou comme Kubica à son époque. » explique Pastor Maldonado dans le dernier podcast de la F1.

« Les gens venaient me voir, ils étaient contents de discuter avec moi. Ce qui n’était pas très clair, c’était bien-sûr la relation avec les sponsors [PDVSA]. Il y avait beaucoup de conflits d’intérêts avec les sponsors et nous étions en train de négocier à ce sujet. »

« Mes sponsors étaient éventuellement ouverts pour ne pas s’afficher sur la voiture ou peut-être même afficher une autre entreprise. Ils étaient ouverts pour trouver une solution pour ma carrière. »

« A un moment donné, nous étions très proches de Ferrari. Je m’attendais à un transfert à ce moment-là. C’était mon heure, c’était le moment d’avoir une seconde chance, et ne pas me battre pour essayer de montrer mes capacités tous les jours, parce que c’était impossible. »

Le Vénézuélien estime que ses chances de rejoindre Ferrari en 2014 sont parties en fumée à cause de Stefano Domenicali.

« Nous avons ensuite perdu le contact et nous nous sommes concentrés sur d’autres choix. Je n’ai jamais été à Maranello mais nous avons eu quelques réunions sur la piste. J’ai rencontré Domenicali à quelques reprises et j’ai aussi rencontré di Montezemolo. »

Finalement, Pastor Maldonado rejoindra l’équipe Lotus pour y passer ses deux dernières années en Formule 1.

Esteban Ocon : « J’ai hâte de travailler avec Renault »

Esteban Ocon ne cache plus son impatience de débuter une nouvelle saison en Formule 1 avec sa nouvelle équipe Renault, qu’il rejoindra dès la fin de l’année.

Le Français Esteban Ocon remplacera le pilote allemand Nico Hulkenberg l’an prochain chez Renault au sein d’une écurie qu’il connaît bien pour avoir été pilote de réserve en 2016 avant de rejoindre ensuite l’équipe Manor.

Depuis son passage à Enstone en 2016, l’équipe Renault a beaucoup évolué et le pilote français s’attend donc à devoir reprendre ses marques et à s’habituer à travailler avec de nouvelles personnes et de nouveaux processus.

« J’ai hâte de commencer à travailler avec cette équipe que je connais depuis très, très longtemps. » explique Esteban Ocon au micro de Canal+.

« Je suis arrivé à Enstone je ne parlais pas un mot d’Anglais, c’était en 2010, je pesais 40 kilos – et je suis toujours pas très lourd – mais j’étais pire à l’époque (rire). »

« Donc oui, je connais très, très bien l’équipe. Forcément beaucoup de choses ont changé, donc il va falloir que je me ré-habitue et que j’apprenne à travailler avec les nouvelles personnes, mais j’ai hâte de me retrouver face à ce challenge. »

Etseban Ocon a signé un contrat de deux ans avec Renault. Le pilote français pourra ensuite activer ou non une option pour une troisième année.

Décrocher le titre avec Ferrari reste un « rêve de gamin » pour Sebastian Vettel

Sebastian Vettel a admis qu’il ne sait pas s’il sera encore en Formule 1 d’ici cinq ans, mais le pilote Ferrari assure qu’il est toujours aussi motivé pour remporter le titre avec la Scuderia.

Le quadruple champion du monde de F1 Sebastian Vettel admet qu’il ne sait pas s’il sera toujours en catégorie reine d’ici cinq ans, mais l’Allemand assure que sa détermination pour décrocher un titre mondial avec la Scuderia Ferrari reste intacte.

Tout petit, Sebastian Vettel a nourri sa passion de la Formule 1 en regardant à la télé son idole Michael Schumacher piloter la voiture rouge de l’équipe Ferrari, alors que quelques années plus tard, l’Allemand a enfin pu réaliser son rêve de piloter pour la plus prestigieuse écurie de F1 à la place du « baron rouge ».

« Depuis tout petit, j’ai suivi Michael [Schumacher] avec sa voiture rouge. » a expliqué Sebastian Vettel ce mercredi lors de la fête organisée à Milan pour les 90 ans du Grand Prix d’Italie et de la Scuderia.

« Maintenant que je la pilote moi, c’est un rêve devenu réalité. Il est très difficile de trouver des mots et une façon pour décrire Ferrari, c’est une religion ici en Italie. »

« Est-ce que je serai encore en F1 dans cinq ans ? Je ne sais pas, mais pour le moment j’aime ça et je ne pense qu’à samedi et dimanche. »

« Est-ce que c’est une obsession pour moi de gagner le championnat avec Ferrari ? J’aimerais gagner pour le Seb qui, dans son enfance, a soutenu la Rossa pilotée par Schumacher. »

Le contrat de Sebastian Vettel avec la Scuderia Ferrari expire à la fin de l’année 2020. Le quadruple champion aura alors 33 ans.

Sixième au classement des constructeurs, Renault F1 est désormais sous la menace de Racing Point

L’équipe Renault F1 se retrouve désormais sous la menace directe de l’écurie Racing Point au classement des constructeurs 2019.

Sixième du classement des constructeurs 2019 avec seulement 3 points d’avance sur Racing Point, l’équipe Renault pourrait bien rétrograder encore d’un cran ce week-end après le Grand Prix d’Italie.

Sur le papier, le tracé de Monza est largement plus favorable à la RP19 de Racing Point, qui bénéficie d’une bonne vitesse de pointe avec son package aéro et son puissant moteur Mercedes monté à l’arrière.

Lors de la dernière course en Belgique sur le circuit de Spa, et qui présente des caractéristiques similaires au tracé de Monza en Italie, l’équipe Racing Point a réussi à placer ses deux monoplaces dans le top dix à l’arrivée de l’épreuve et les pilotes se sont montrés particulièrement rapides sur le rythme de course.

Du côté de chez Renault, seul Nico Hulkenberg a réussi à franchir la ligne d’arrivée du Grand Prix de Belgique dans les points, alors que la course de Daniel Ricciardo était déjà terminée dès le départ après un accrochage ayant endommagé sa monoplace.

La quatrième place semble loin désormais

Alors que Renault se battait contre McLaren en début de saison pour la quatrième place au classement des constructeurs, l’écurie française doit désormais essayer de ne pas se faire rattraper par Racing Point, mais aussi par Alfa Romeo qui n’a que 11 points de retard sur Renault.

Devant, l’équipe McLaren semble bien accrochée à sa quatrième place avec 82 points inscrits depuis le début de la saison (39 points d’écart avec Renault) et alors que l’équipe Toro Rosso se montre de plus en plus compétitive avec son moteur Honda et occupe désormais la cinquième place du championnat avec huit points d’avance sur Renault.

Le Grand Prix d’Italie qui se disputera ce week-end à Monza sera donc très certainement l’une des courses les plus importantes de l’année pour Renault, alors qu’il ne restera que sept Grands Prix à disputer d’ici la fin de l’année après Monza.

Le classement des constructeurs 2019

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Nico Hulkenberg souhaite continuer sur sa bonne lancée au Grand Prix d’Italie

Huitième à l’arrivée du Grand Prix de Belgique dimanche dernier, Nico Hulkenberg a été le seul pilote de l’équipe Renault à marquer des points.

Le pilote Renault Nico Hulkenberg espère continuer sur sa lancée ce week-end au Grand Prix d’Italie sur le tracé de Monza, un circuit qui n’est pas trop adapté à la RS19 mais sur lequel l’Allemand prend toujours du plaisir à rouler.

« Spa était un week-end difficile pour de nombreuses raisons, mais c’était bien de ramener les points de la huitième place à la fin. Nous avons démontré de quoi nous étions capables à la fois en qualifications et en course et nous viserons encore mieux à Monza. » nous explique le pilote Renault Nico Hulkenberg.

« Nous sommes tous déterminés à connaître un bon week-end pour terminer la saison européenne avec de gros points. »

« La piste est très rapide avec beaucoup de contraintes sur le moteur entre les vitesses élevées et le besoin de garder un certain élan tout au long du tour. Nous avons des réglages avec peu d’appuis sur la voiture, les plus bas de la saison même, afin d’obtenir une bonne vitesse de pointe. »

« La monoplace semble légère de prime abord, notamment lors de la première séance d’essais libres et il faut un peu de temps pour s’y habituer. »

« Monza présente de grosses zones de freinage, dont le premier virage où l’on doit se montrer assez courageux. Les Lesmos, l’enchaînement des Ascari et, bien sûr, la Parabolica sont tous très amusants au volant quand on les négocie parfaitement. »