Sebastian Vettel admet que rouler sur le légendaire circuit de Spa-Francorchamps avec des monoplaces modernes est bien plus facile qu’il y a quelques décennies.

Le pilote Ferrari est bien conscient que les monoplaces modernes facilitent le travail des pilotes dans les virages rapides grâce à l’énorme appui aérodynamique généré par les ailerons, mais le pilote allemand n’en demeure pas moins émerveillée par le tracé toujours aussi spectaculaire de Spa.

« Spa-Francorchamps est un circuit légendaire et certainement l’un de mes favoris. Il est très spécial avec toutes ses montées et ses descentes et une grande partie de la piste qui traverse plus ou moins la forêt. » explique Sebastian Vettel.

« Bien sûr, avec le temps, ce circuit a également beaucoup changé, tout comme les voitures que nous conduisons. Je me souviens de la première fois que j’ai couru ici en Formule 1 et par rapport à l’époque, certains virages sont plus faciles maintenant, car nous avons plus d’appui aérodynamique sur les voitures. »

« Les Esses d’Eau Rouge peuvent désormais être exploitées à fond, mais elles restent uniques, alors que les virages comme Pouhon et Blanchimont sont tout aussi spectaculaires. »

« Vous devez obtenir une sortie parfaite d’Eau Rouge pour avoir le plus de vitesse possible sur la descente jusqu’aux Combes, où vous pouvez doubler grâce à l’effet d’aspiration si les rapports de démultiplication de la boîte de vitesses sont corrects. »

« À partir de Pouhon, le circuit est tout simplement magnifique, car vous appuyez sur l’accélérateur jusqu’à l’arrêt de bus, ce qui est un autre endroit du tracé où vous pouvez dépasser. Une fois que vous savez tout ça, il est impossible de ne pas aimer Spa. »

Le nouveau pilote Red Bull Racing Alex Albon se dit concentré et prêt à faire face au défi qui l’attend ce week-end à Spa pour sa première course avec sa nouvelle équipe.

A partir du Grand Prix de Belgique, le pilote thaïlandais remplace le Français Pierre Gasly chez Red Bull, qui n’a pas convaincu ses employeurs au cours des douze premières courses de l’année.

Pour Alex Albon, qui n’a roulé jusqu’ici qu’avec la Toro Rosso, être au volant d’une monoplace capable de gagner des courses est une énorme opportunité qu’il se doit de saisir en prouvant que Red Bull a fait le bon choix.

« Peu de pilotes ont la chance de conduire une voiture capable de gagner une course aussi tôt dans leur carrière en F1, c’est donc une excellente opportunité de piloter pour Red Bull. » rappelle Alex Albon.

« C’est un grand pas, une grande différence, et l’usine est beaucoup plus proche de chez moi, ce qui est pratique! »

« Nous savons de quoi la voiture est capable et nous avons vu ce que Max a été capable de faire cette année. Je veux voir ce que cela donne comparé à ce que j’ai l’habitude de faire, mais en même temps, je sais que ce week-end est ma première fois dans la voiture, j’apprends toujours et je m’améliore en tant que pilote et il y a certainement d’autres choses à venir. »

« Je sais que l’une des principales différences sera le bruit et l’attention que suscite mon transfert mais je garde les pieds sur terre. Je me concentre juste sur le travail que je dois faire pour Spa. Je vais beaucoup écouter et observer. »

« Nous avons fait autant de préparations de simulateurs que possible, nous allons donc maintenant passer en revue les procédures à suivre avec l’équipe et apprendre à connaître tout le monde. »

« Ça devrait être bon! C’est un grand pas en avant, mais j’ai le sentiment que j’ai déjà traversé ces énormes sauts et que j’ai saisi les occasions qui s’offrent à moi. Je suis concentré et prêt à être aussi fort que possible pour le second semestre. »

Pierre Gasly est de retour dans son ancienne écurie à partir du Grand Prix de Belgique, après avoir été rétrogradé par Red Bull par manque de résultats.

Le pilote français Pierre Gasly se dit heureux de retrouver sa « famille italienne » chez Toro Rosso, lui qui a débuté sa carrière en F1 au sein de la petite structure basée à Faenza en 2017.

« La pause estivale est terminée et je suis de retour avec ma famille italienne pour le reste de la saison et Je suis heureux de travailler à nouveau avec Toro Rosso. J’ai eu quelques semaines pour me reposer et m’entraîner et me préparer pour les neuf courses à venir afin que je puisse donner ma meilleure performance pour l’équipe. » a déclaré Pierre Gasly avant le Grand Prix de Belgique.

« C’était bien d’avoir ce temps libre pour réfléchir à la première moitié de la saison, mais maintenant je suis complètement concentré sur le reste de la saison et prêt à repartir. »

« Nous avons été occupés avec tous les préparatifs pour le reste de la saison cette semaine, je suis allé à l’usine pour rencontrer mes ingénieurs et mouler mon baquet, en essayant d’être aussi préparé que possible pour le week-end. »

« Ça va être génial de courir à nouveau après la pause, surtout sur mon circuit préféré de la
saison à Spa. C’est un circuit que j’aime vraiment beaucoup et j’ai eu d’excellentes courses dans le passé. J’ai eu ma première victoire en monoplace en Formule 4 et j’ai également remporté la Feature Race en GP2 en 2016. »

« L’objectif principal est maintenant de tirer le maximum de la voiture jusqu’à la fin de la saison avec Toro Rosso. Je ferai de mon mieux pour apporter le plus de points possible à l’équipe pour la défense de notre position dans le championnat des constructeurs. »

Le pilote Renault Nico Hulkenberg se dit prêt à relever le défi qui l’attend pour la seconde moitié de saison qui débute ce week-end à Spa.

L’Allemand, qui ne devrait pas être reconduit l’an prochain par Renault et qui sera remplacé selon les dernières rumeurs par le Français Esteban Ocon, estime que les deux prochaines courses du calendrier seront cruciales pour Renault, qui occupe la sixième place au championnat constructeurs.

« Spa est l’un de mes tracés préférés en Formule 1. Tout y est hors du commun : les paysages dans la forêt, la météo imprévisible, les superbes enchaînements… Tout cela contribue à créer un magnifique défi. » déclare le pilote Renault juste avant la treizième manche de la saison 2019.

« Spa est connu pour ses dénivelés et ses virages rapides, mais c’est un véritable plaisir d’y faire un tour parfait et d’aborder le Raidillon, Pouhon et Blanchimont à pleine vitesse. Je pense que Spa convient bien à mon style de pilotage et nous viserons une belle course pour partir du bon pied dans cette seconde moitié de saison. »

« C’est long et il y a plein de choses à faire ! » nous explique l’Allemand lorsqu’on lui demande à quel point un tour est si difficile à Spa

« La quête du bon équilibre peut être piégeuse puisque l’on a besoin de beaucoup d’appuis pour certaines courbes au cœur du tour, mais pas trop pour assurer une bonne vitesse de pointe en ligne droite. »

« C’est assez rythmé et il faut réussir à aligner les secteurs. Le temps peut être un peu bizarre à Spa, dans le sens où une partie du circuit peut être sèche et une autre mouillée. Tout peut arriver là-bas et nous sommes conscients que des opportunités pourraient se présenter. »

Spa et Monza : Un point tournant pour Renault

« La pause est venue à point nommé après un mois de juillet décevant. Nous savons que notre campagne est en deçà de nos attentes et c’est à nous de revenir pour la suite de l’année. »

« Je me suis un peu détendu et j’ai rechargé mes batteries sur un bateau en Croatie. Désormais, il est temps de reprendre le volant et je suis prêt à relever le défi. L’enchaînement des deux prochaines courses est presque un point tournant pour notre saison et nous nous devons d’être dans le coup. »

Cinq pilotes seront présents ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix de Belgique sur le circuit de Spa-Francorchamps.

Pour la traditionnelle conférence de presse d’avant Grand Prix, la première après la pause estivale, le pilote Mercedes Valtteri Bottas sera présent ce jeudi face aux journalistes.

Le Finlandais viendra certainement nous parler de son début de saison plus compliqué que prévu, mais aussi et surtout, de la prolongation de son contrat avec l’équipe Mercedes pour la saison 2020.

Sergio Perez, qui devrait lui aussi être confirmé chez Racing Point pour 2020, sera lui aussi présent en conférence de presse du Grand Prix de Belgique ce jeudi après-midi.

Le Thaïlandais Alex Albon sera lui aussi présent ce jeudi face aux médias. Albon viendra répondre aux questions des journalistes en tant que nouveau pilote Red Bull Racing en remplacement du Français Pierre Gasly, qui a été rétrogradé chez Toro Rosso pendant la pause estivale.

Max Verstappen, qui jouera presque à domicile ce week-end en Belgique, sera lui aussi en conférence de presse. Le pilote Red Bull nous parlera de ses chances de doubler Valtteri Bottas au championnat du monde, alors que le Hollandais n’accuse que sept points de retard sur le pilote Mercedes.

Enfin, George Russell viendra nous parler du virus qu’il a contracté pendant les vacances et qui l’a malheureusement empêché de se rendre à un événement organisé par Williams et son sponsor en Pologne le week-end dernier devant des milliers de fans de son coéquipier Robert Kubica.

La conférence de presse du Grand Prix de Belgique se déroulera ce jeudi 29 août à partir de 15h00 sur le circuit de Spa.

Le pilote australien Daniel Ricciardo pense que Renault peut rattraper son retard sur ses concurrents lors de la seconde partie de saison 2019.

Pour sa première année au sein de l’écurie Renault, Daniel Ricciardo espérait certainement mieux qu’une onzième position au classement des pilotes à la pause estivale. Mais l’Australien veut encore y croire et pense que son équipe sera capable de se relever en deuxième partie de saison.

Daniel Ricciardo ne peut qu’admettre que l’écurie du constructeur français n’a pas eu un début de saison facile, alors que Renault est actuellement sixième au championnat du monde des constructeurs.

« Nous ne pouvons pas cacher le fait que nous avons connu une saison difficile jusqu’à présent. Il y a eu des éléments positifs et d’autres loin d’être idéaux. » explique Ricciardo avant le Grand Prix de Belgique.

« La pause estivale est arrivée au bon moment pour prendre un peu de recul, passer des vacances à Los Angeles et se vider la tête. Il en allait de même pour l’équipe. »

« J’espère donc que nous nous sommes tous ressourcés pour viser mieux et rattraper nos concurrents en cette seconde moitié de saison. Je sais que nous pouvons le faire, nous avons juste besoin de week-ends plus propres. »

Les dernières prévisions météo pour le Grand Prix de Belgique 2019 annoncent quelques gouttes de pluie pour la journée de dimanche sur le circuit de Spa-Francorchamps.

La treizième épreuve de la saison 2019 pourrait se disputer sous la pluie si l’on en croit les dernières prévisions météo, qui annoncent de la pluie ce dimanche à Spa.

Il est bien évidemment encore un peu trop tôt pour avoir des prévisions fiables à 100%, mais l’arrivée d’une perturbation au dessus des Ardennes en fin de soirée samedi prochain pourrait bien nous offrir un Grand Prix de Belgique pluvieux ce dimanche.

Pour les journées de vendredi et de samedi, les prévisions sont assez optimistes et n’annoncent pas de pluie, malgré la présence de quelques nuages au dessus du circuit de Spa-Francorchamps.

Les températures quant à elles devraient être relativement élevées en début de week-end [aux alentours des 29°], tandis que le mercure devrait sensiblement baisser pour la journée de dimanche [dix degrés de moins] avec l’arrivée d’une perturbation.

Nous publierons notre bulletin météo complet pour le Grand Prix de Belgique 2019 ce jeudi 29 août en partenariat avec célinium, notre partenaire météo basé au Canada. Restez connectés.

Alex Albon assure qu’il n’a gardé aucune rancœur envers Red Bull après avoir été exclu du programme des jeunes pilotes en 2012.

Le pilote thaïlandais Alex Albon s’apprête à participer au Grand Prix de Belgique à sa première course au volant de la Red Bull RB15, anciennement pilotée par le Français Pierre Gasly, qu’il remplace jusqu’à la fin de la saison.

Albon, qui faisait partie du programme des jeunes pilotes Red Bull et dont il a été exclu en 2012 pour manque de performance, prend aujourd’hui une certaine revanche.

Alors qu’il n’avait encore jamais piloté une monoplace de Formule 1 jusqu’en 2019, le Thaïlandais a suffisamment impressionné ses employeurs au cours des douze premières courses de l’année pour qu’ils lui fassent confiance et lui confie le volant de la Red Bull à partir du Grand Prix de Belgique.

Loin d’être amer à propos de son licenciement en 2012, Alex Albon assure qu’il comprenait parfaitement pourquoi Red Bull avait pris la décision de l’exclure du programme à ce moment-là.

« À l’époque, je ne pilotais pas très bien et il n’y avait aucune raison de me garder dans le programme, alors non, il n’y en a pas. » admet Alex Albon dans un entretien accordé au site de la F1.

« C’est bien que je sois une surprise pour la plupart des gens. J’aimerais presque, d’une certaine manière, souhaiter que ce ne soit pas une surprise! Mais c’est bien que les gens soient contents de la façon dont ça se passe. »

Cette semaine, Alex Albon a moulé son baquet dans la RB15 à l’usine Red Bull de Milton Keynes en Grande-Bretagne.

L’une des deux zones de DRS sur le circuit de Spa-Francorchamps a été réduite de 20 mètres pour cette édition 2019 du Grand Prix de Belgique.

Pour cette édition 2019 du Grand Prix de Belgique, la FIA a décidé de réduire de 20 mètres la première zone de DRS située sur la ligne droite de Kemmel après la sortie du Raidillon sur le circuit de Spa.

En 2018, la point d’activation du DRS était situé à 210 mètres après le virage 4 [raidillon], alors que cette année, les pilotes ne pourront pas activer le DRS avant 230 mètres.

Cette réduction d’une des zones de DRS à Spa est une initiative de la FIA, qui souhaite réduire considérablement la dépendance du DRS lors des courses. La Fédération a d’ailleurs déjà supprimé plusieurs zones de DRS sur différents circuits cette année, comme à Silverstone ou encore Hockenheim.

Le point d’activation de la seconde zone de DRS sur le tracé de Spa est en revanche toujours situé 30 mètres après le virage 19, alors que le point de détection est placé 160 mètres avant le virage 18.

Le Canadien Lance Stroll fait partie des rares pilotes qui n’apprécient pas particulièrement le circuit de Spa en Belgique.

Le pilote Racing Point admet qu’il n’a jamais été un grand fan du toboggan des Ardennes, alors que le raidillon ne l’a jamais impressionné, le mythique virage se prenant désormais pied au plancher avec les monoplaces modernes.

Le Grand Prix de Belgique est également la seconde course à domicile pour Stroll, puisque sa maman est Belge.

« Je me sens prêt à reprendre la course après les vacances. Cela me semble une éternité depuis Budapest et j’attends avec impatience la deuxième partie de la saison. Je pense que nous pouvons être plus forts dans les courses à venir, alors que de nouvelles pièces sont à venir. » nous explique Lance Stroll.

« Nous ne cesserons certainement pas de pousser car il reste neuf courses et de nombreuses occasions de marquer de bons points. »

« Spa n’a jamais été mon circuit préféré absolu – ce qui est assez inhabituel car je sais que la plupart des pilotes aiment y courir. C’est évidemment une piste légendaire avec des virages spéciaux et une très grande vitesse. Tout le monde parle d’Eau Rouge, mais c’est un virage à fond désormais, il faut donc être très précis pour aller le plus vite possible. »

« Obtenir une sortie propre du virage 1 est également très important, car vous êtes à fond sur votre élan tout au long de la montée jusqu’au virage cinq. »

« Le fameux climat du Spa ajoute également un effet dramatique, car vous savez qu’il y a toujours de fortes chances qu’il pleuve le week-end. Le tour est très long aussi, alors même s’il est mouillé dans une partie du tour, il peut être sec à l’autre bout de la piste. »

« C’est une autre course à domicile pour moi car ma mère est belge, alors c’est un peu plus spécial pour moi. J’aimerais bien entamer la deuxième partie de l’année avec un bon résultat. »

L’équipe Williams a confirmé la présence de Nicholas Latifi au volant de la FW42 ce vendredi à Spa pour la première séance d’essais libres du Grand Prix de Belgique.

Le pilote canadien, réserviste de l’équipe Williams, effectuera ce vendredi sa troisième sortie officielle de l’année au volant de la FW42 dans le cadre d’une séance d’essais libres. Il remplacera l’un des deux pilotes officiels, mais l’équipe ne nous a pas précisé lequel.

« Nicholas nous rejoindra vendredi pour sa troisième session en EL1 de la saison et il sera intéressant de savoir comment la voiture a changé depuis sa dernière course en France. » nous explique Dave Robson, ingénieur en chef chez Williams.

« Après avoir constaté quelques améliorations dans nos performances à Budapest. Le programme du vendredi consistera à comprendre comment adapter au mieux la voiture à Spa et à tirer le meilleur parti des pneus Pirelli lors des qualifications. »

Rappelons que Nicholas Latifi est un très sérieux candidat pour remplacer Robert Kubica la saison prochaine chez Williams. Le Canadien bénéficie de l’appui financier de son père, riche homme d’affaires.

« J’ai vraiment hâte de retrouver la voiture pour les EL1 à Spa. » nous confie Latifi. « Après la pause estivale, je ressens toujours un besoin urgent de conduire car il me semble que je suis resté longtemps hors de mon baquet. »

« Avoir la possibilité de vivre cette expérience dans une monoplace actuelle sur un circuit comme Spa sera quelque chose de spécial. Je n’ai pas piloté la FW42 depuis le EL1 au Grand Prix de France et il y a eu beaucoup de développement depuis. »

« Ce sera un bon test pour moi-même et pour l’équipe, qui pourra obtenir un autre avis sur la direction prise par la voiture. Comme toujours, mon objectif reste le même: maximiser le kilométrage et donner le meilleur retour possible pour aider l’équipe à passer aux EL2. »

Romain Grosjean admet que la situation de son équipe au championnat du monde est plus compliquée que l’an dernier, mais le Français estime que tout peut encore arriver.

Au championnat du monde, l’équipe Haas occupe actuellement l’avant dernière place avec 26 points marqués depuis le début de l’année, et bien que la situation ne soit pas très confortable pour l’écurie américaine, Romain Grojean pense que tout peut encore arriver en neuf courses.

« Oui, tout peut arriver, c’est pourquoi vous ne devriez jamais abandonner. Nous allons évidemment faire de notre mieux, mais sur le papier, les choses sont un peu plus compliquées que l’année dernière. » nous explique Romain Grosjean.

« Mais encore une fois, avec une bonne pause estivale et une bonne compréhension de nos problèmes, nous pourrions revenir à l’objectif avec de fréquentes arrivées dans les points, tout comme en Autriche, où nous avons marqué 22 points dans une épreuve. »

Pour sa part, Romain Grosjean occupe la dix-septième position au classement des pilotes avec seulement 8 points marqués en douze courses et avec un taux d’abandons de 50% à son actif.

Ce week-end au Grand Prix de Belgique, Romain Grosjean bénéficiera de la même spécification aéro [la dernière évolution] que son coéquipier Kevin Magnussen.

L’équipe Haas a confirmé que ses deux pilotes auront le même package amélioré sur leur monoplace ce week-end au Grand Prix de Belgique.

Depuis quelques courses, les deux pilotes Haas roulent avec des packages différents sur leur monoplace, Romain Grosjean ayant demandé à rouler avec la spec aéro de Melbourne.

Plusieurs tests ont été réalisés par l’équipe, qui a donc décidé de monter la même specification aéro sur ses deux voitures ce week-end à Spa.

« Pour Spa, nous serons en piste avec notre package amélioré, le même utilisé au Grand Prix d’Allemagne à Hockenheim. » a confirmé Gunther Steiner, le team principal de l’équipe.

« Nous avons beaucoup appris et essayé d’améliorer la voiture en modifiant certains composants. Les deux voitures auront les mêmes spécifications et nous espérons pouvoir en apprendre davantage à ce sujet. »

Pour la seconde partie de la saison, l’équipe Haas pourrait décider de passer toutes ses ressources sur la monoplace de la prochaine saison, mais l’écurie américaine va d’abord devoir réaliser des tests.

« L’attention s’est déjà portée, en partie, sur la voiture 2020. Nous devons voir ce que nous pouvons trouver dans la soufflerie, avec les petits développements que nous effectuons ici pour la voiture 2019, et si nous apportons des kits de mise à niveau. Nous ne savons pas encore. »