Selon, vous quel pilote réalisera le tour le plus rapide des qualifications du Grand Prix d’Espagne ?
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Published 31 mai 2025
Selon, vous quel pilote réalisera le tour le plus rapide des qualifications du Grand Prix d’Espagne ?
Published 31 mai 2025
Oscar Piastri a signé la meilleure performance de la dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Espagne, s’affirmant comme le favori pour les qualifications à venir sur le circuit de Barcelone-Catalogne. Avec un temps de 1:12.387, le pilote australien de McLaren, actuel leader du championnat, a relégué la concurrence à plus d’une demi-seconde.
Son coéquipier Lando Norris a dû se contenter de la deuxième place, à 0,526 seconde, après avoir été contraint de regagner les stands en raison d’un phénomène de « porpoising » survenu dans le rapide virage 9. Ce rebond aérodynamique, qui avait pourtant été atténué depuis l’introduction du nouveau règlement en 2022, a refait surface, poussant McLaren à relever l’arrière de sa monoplace pour éviter tout dommage supplémentaire.
Derrière le duo McLaren, Charles Leclerc (Ferrari) s’est classé troisième, suivi de George Russell (Mercedes) et Max Verstappen (Red Bull), tandis qu’Isack Hadjar (Racing Bulls) a été le seul autre pilote à terminer à moins d’une seconde du leader.
La séance a débuté lentement sous une chaleur accablante, avec une température de l’air flirtant avec les 30°C. Durant les 15 premières minutes, seuls Franco Colapinto (Alpine) et Gabriel Bortoleto (Stake) ont signé des chronos représentatifs, ce dernier prenant l’avantage sur son rival.
La hiérarchie a évolué avec l’entrée en piste progressive des favoris. Norris a d’abord pris la tête sur pneus mediums avant d’être battu par Carlos Sainz (Williams), puis par Leclerc et Russell à l’aide de gommes tendres. Ce dernier a provisoirement mené avec un tour en 1:13.396, bien que toujours loin des temps de référence du vendredi.
Verstappen a brièvement repris la main à 20 minutes du terme avec un tour en 1:13.375, devançant Russell de 0,021 seconde. Fernando Alonso, porté par le soutien du public catalan, s’est approché à 0,039 seconde du Néerlandais, sans toutefois pouvoir le détrôner.
Alors que les simulations de qualification s’intensifiaient, Norris semblait prêt à reprendre l’avantage avec un excellent premier secteur, avant d’être trahi par le retour du porpoising, le contraignant à écourter sa tentative.
C’est finalement Piastri qui a placé la barre très haut à un peu plus de dix minutes de la fin. Il a établi le meilleur temps du week-end, que personne n’a pu battre par la suite.
Derrière Hadjar, Antonelli (Mercedes) et Alonso ont pris les 7e et 8e positions. Lewis Hamilton, en difficulté sur sa Ferrari, s’est classé neuvième à plus d’une seconde de son ancien coéquipier chez Mercedes et à quatre dixièmes de Leclerc. Liam Lawson (Racing Bulls) a complété le top 10.
Oliver Bearman (Haas) a terminé bon dernier, à deux secondes de Piastri, mettant fin à la série de séances d’essais conclues en dernière position par Colapinto. À quelques heures des qualifications, McLaren confirme sa montée en puissance, tandis que ses rivaux continuent de chercher des réponses sur une piste où chaque détail comptera.
Published 31 mai 2025
Découvrez tous les résultats de la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Espagne de Formule 1 2025.
Classement des Essais Libres 3 du Grand Prix d’Espagne
# | Pilote | Écurie | Chrono | Pneu |
---|---|---|---|---|
1 |
Oscar PIASTRI
|
McLaren | 1:12.387 | S |
2 |
Lando NORRIS
|
McLaren | 1:12.913 | S |
3 |
Charles LECLERC
|
Ferrari | 1:13.130 | S |
4 |
George RUSSELL
|
Mercedes | 1:13.139 | S |
5 |
Max VERSTAPPEN
|
Red Bull | 1:13.375 | S |
6 |
Isack HADJAR
|
Racing Bulls | 1:13.382 | S |
7 |
Kimi ANTONELLI
|
Mercedes | 1:13.405 | S |
8 |
Fernando ALONSO
|
Aston Martin | 1:13.414 | H |
9 |
Lewis HAMILTON
|
Ferrari | 1:13.527 | S |
10 |
Liam LAWSON
|
Racing Bulls | 1:13.637 | S |
11 |
Gabriel BORTOLETO
|
Stake | 1:13.722 | M |
12 |
Nico HULKENBERG
|
Stake | 1:13.733 | S |
13 |
Carlos SAINZ
|
Williams | 1:13.758 | S |
14 |
Yuki TSUNODA
|
Red Bull | 1:13.892 | S |
15 |
Lance STROLL
|
Aston Martin | 1:13.904 | H |
16 |
Pierre GASLY
|
Alpine | 1:13.954 | S |
17 |
Franco COLAPINTO
|
Alpine | 1:14.085 | M |
18 |
Esteban OCON
|
Haas | 1:14.138 | S |
19 |
Alexander ALBON
|
Williams | 1:14.289 | S |
20 |
Oliver BEARMAN
|
Haas | 1:14.460 | S |
by Paul Vaussy
Published 30 mai 2025
De l’Italie à la France, puis de la France à l’Espagne, le cirque de la F1 ne s’arrête jamais lorsque le printemps touche à sa fin.
Le Grand Prix d’Espagne est une nouvelle course dominée par Max Verstappen ces dernières années. Les trois dernières éditions disputées en Espagne ont été remportées par le pilote Red Bull. Si sa domination récente est impressionnante, mais d’autres pilotes se sont illustrés sur ce circuit de manière toute aussi nette dans le passé.
Nous parlons bien sûr de Lewis Hamilton, qui a remporté cette course à six reprises, et de Michael Schumacher, qui compte également six victoires au Grand Prix d’Espagne à son palmarès. Cette fois-ci, ce n’est pas Hamilton qu’il faudra surveiller. Concentrez-vous plutôt sur McLaren-Mercedes, dont les pilotes sont à nouveau favoris pour monter sur le podium aux côtés de Max Verstappen.
La saison dernière, Verstappen était accompagné de Norris et Hamilton sur le podium, et l’on attend certainement une nouvelle confrontation entre les deux premiers nommés pour la victoire cette saison. Historiquement, Ferrari est l’équipe la plus dominante sur ce circuit, puisqu’elle y a remporté le plus de victoires. Néanmoins, difficile pour l’heure d’imaginer l’équipe italienne en position de remporter le Grand Prix à la régulière. Il ne serait cependant pas judicieux totalement négliger l’équipe menée par Frédéric Vasseur, complètement. Ferrari pourrait bien remettre les choses en ordre, car il est évident que nous n’avons pas encore vu le meilleur de Leclerc ou Hamilton. Enfin, le Britannique a l’occasion d’entrer dans l’Histoire en remportant sa 7e victoire sur le tracé de Catalogne, mais cela ne sera possible que s’il réalise une course parfaite, avec des qualifications réussies et une gestion efficace des pneus par son équipe…
Derrière, on suivra de près Williams, qui pourrait confirmer sa forme du début de saison sur ce tracé réputé complet. On saura sans doute mieux placer également les Alpine et l’on suivra de près l’ensemble des rookies de cette saison 2025, qui seront certainement plus à leurs aises en Espagne, sur ce tracé qu’ils ont déjà bien plus fréquenté lors de lors années dans les séries junior.
Published 30 mai 2025
Oscar Piastri a dominé les essais libres 2 à Barcelone, s’imposant comme le pilote à battre en vue du Grand Prix d’Espagne. L’Australien de chez McLaren a signé un impressionnant chrono de 1:12.760, devançant largement ses rivaux sur le circuit de Catalogne.
Max Verstappen (Red Bull) et Lando Norris (McLaren), tous deux crédités d’un temps identique de 1:13.070, se sont classés troisième et quatrième, le Néerlandais figurant devant au classement pour l’avoir réalisé en premier. George Russell (Mercedes) s’est intercalé entre eux grâce à un tour en 1:13.046, à 0,286 seconde de la référence établie par Piastri.
La performance de Verstappen, souvent en difficulté le vendredi cette saison, marque un progrès notable. Contrairement aux précédents week-ends, le quadruple champion du monde est resté discret à la radio, signe d’un comportement plus stable de sa RB21 sur cette piste.
Les températures élevées ont mis les pneus à rude épreuve tout au long de la deuxième séance, disputée sous 30°C dans l’air et 45°C sur l’asphalte. Norris s’est d’abord montré le plus rapide en pneus tendres avant que les relais en gommes mediums ne permettent à Russell de prendre temporairement la tête.
Piastri, jusque-là discret, a haussé le rythme au bon moment. Son meilleur tour, réalisé en pneus tendres, lui a permis de prendre la tête de la feuille des temps jusqu’à la fin de la séance, alors que la majorité des équipes se concentraient sur les longs relais.
Derrière les quatre premiers, Charles Leclerc (Ferrari) a pris la sixième place derrière Antonelli (Mercedes). Lewis Hamilton, lui, a connu une séance difficile : mécontent du comportement de sa monoplace, qu’il a qualifiée d’« inconduisible », il a terminé onzième, à plus de sept dixièmes de Piastri.
Fernando Alonso (Aston Martin), Pierre Gasly (Alpine) ainsi que le duo Racing Bulls, Isack Hadjar et Liam Lawson, se sont intercalés dans le top 10. Carlos Sainz (Williams) a fermé la marche des 14 pilotes regroupés en moins d’une seconde.
En queue de peloton, Franco Colapinto (Alpine) a terminé à 1,543 seconde de Piastri. L’Argentin, en difficulté depuis plusieurs séances, a une nouvelle fois terminé dernier, juste derrière Oliver Bearman (Haas), dont la séance a été perturbée par une sortie dans le gravier.
Le rythme affiché par McLaren, et en particulier par Piastri, laisse entrevoir un week-end prometteur pour l’équipe britannique, tandis que la hiérarchie reste serrée à l’approche des qualifications.
Published 30 mai 2025
Découvrez les résultats de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix d’Espagne de Formule 1 2025, qui s’est déroulée sur le circuit de Barcelone-Catalogne.
Classement des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Espagne
# | Pilote | Écurie | Chrono | Pneu |
---|---|---|---|---|
1 |
Oscar PIASTRI
|
McLaren | 1:12.760 | S |
2 |
George RUSSELL
|
Mercedes | 1:13.046 | S |
3 |
Max VERSTAPPEN
|
Red Bull | 1:13.070 | S |
4 |
Lando NORRIS
|
McLaren | 1:13.070 | S |
5 |
Charles LECLERC
|
Ferrari | 1:13.260 | S |
6 |
Kimi ANTONELLI
|
Mercedes | 1:13.298 | S |
7 |
Fernando ALONSO
|
Aston Martin | 1:13.301 | S |
8 |
Pierre GASLY
|
Alpine | 1:13.385 | S |
9 |
Isack HADJAR
|
Racing Bulls | 1:13.400 | S |
10 |
Liam LAWSON
|
Racing Bulls | 1:13.494 | S |
11 |
Lewis HAMILTON
|
Ferrari | 1:13.533 | M |
12 |
Nico HULKENBERG
|
Stake | 1:13.592 | S |
13 |
Yuki TSUNODA
|
Red Bull | 1:13.683 | S |
14 |
Carlos SAINZ
|
Williams | 1:13.721 | S |
15 |
Alexander ALBON
|
Williams | 1:13.839 | S |
16 |
Lance STROLL
|
Aston Martin | 1:13.839 | S |
17 |
Gabriel BORTOLETO
|
Stake | 1:13.959 | S |
18 |
Esteban OCON
|
Haas | 1:14.005 | S |
19 |
Oliver BEARMAN
|
Haas | 1:14.126 | S |
20 |
Franco COLAPINTO
|
Alpine | 1:14.303 | S |
by Paul Vaussy
Published 30 mai 2025
La visibilité accordée par Red Bull à son management de pilote est à la hauteur du niveau de risques que la compagnie est prête à prendre pour hisser jusqu’au sommet le prochain grand talent de la F1. Si l’agressive stratégie de Red Bull a fonctionné au fil des années en permettant notamment à Sebastian Vettel, Daniel Ricciardo, Carlos Sainz Jr et Max Verstappen de sortir du lot, nombreux sont ceux qui n’ont évidemment jamais vu les portes de la F1 s’ouvrir en dépit d’un soutien octroyé par le géant dès les plus confidentielles des séries junior. Retour en particulier sur la longue liste de pilotes ayant fait ou faisant encore partie du programme junior Red Bull depuis 2020.
Yuki Tsunoda
Pilote japonais soutenu conjointement par Honda et Red Bull. A fait ses débuts pour AlphaTauri en 2021. Toujours en F1 en 2025 au sein de l’équipe mère après sa promotion express en cours de saison 2025.
Liam Lawson
Pilote de réserve néo-zélandais pour Red Bull et Racing Bulls. A remplacé un pilote lors de courses de F1 en 2023 et 2024, avant de décrocher le volant Red Bull (et d’en être rapidement démis) en 2025. Actuel équipier d’Isack Hadjar chez Racing Bulls.
Jüri Vips
Pilote estonien écarté par Red Bull après une controverse. Court en Super Formula.
Jehan Daruvala
Pilote junior indien qui a couru en F2 et testé des voitures de F1. Passé à la Formule E.
Dennis Hauger
Pilote norvégien et champion de F3 en 2021. Fait toujours partie du programme junior de Red Bull en F2.
Jonny Edgar
Pilote junior britannique qui a connu des problèmes de santé. Pilote en Formule 3.
Isack Hadjar
Pilote français considéré comme l’un des meilleurs espoirs pour l’avenir. Monté en F1 cette année avec Racing Bulls.
Jak Crawford
Pilote junior américain en F2, faisant figure de favori à un passage en F1 dans un futur proche.
Ayumu Iwasa
Pilote japonais proche d’une percée en F1. Il court en F2.
Enzo Fittipaldi
Pilote brésilien-américain et podium en F2. Junior Red Bull depuis 2022.
Zane Maloney
Pilote barbadien soutenu par Red Bull. Il court en F2.
Arvid Lindblad
Jeune pilote anglo-suédois toujours en F3, considéré comme un espoir à long terme de Red Bull.
Yuto Nomura
Jeune pilote japonais en début de carrière dans le sport automobile.
Noel León
Pilote mexicain qui court en Formule Régionale Europe.
Souta Arao
Jeune pilote japonais qui gravit les échelons des formules juniors.
Published 30 mai 2025
Max Verstappen a reconnu que l’un des défis persistants de Red Bull en ce début de saison réside dans la finesse de la fenêtre de fonctionnement optimale de la RB21, jugée « extrêmement étroite ».
Cette particularité s’est révélée vraie à plusieurs reprises depuis le début du championnat, l’écurie autrichienne peinant souvent à trouver le bon équilibre dès les premières séances d’essais. Malgré ces débuts laborieux, Red Bull parvient généralement à redresser la barre en qualifications, voire à s’imposer le dimanche.
L’exemple d’Imola illustre parfaitement cette tendance : en difficulté lors des essais, Verstappen a tout de même décroché une place en première ligne avant de s’emparer de la victoire grâce à un départ décisif face à Oscar Piastri.
À la veille du Grand Prix d’Espagne, le quadruple champion du monde a confirmé que cette difficulté de mise au point dès le vendredi reste un point faible par rapport aux autres écuries de pointe, un constat que Red Bull connaît bien mais peine encore à corriger.
Lorsqu’on lui a demandé si Red Bull avait analysé comment mieux démarrer chaque Grand Prix, Verstappen a répondu : « Nous essayons cela chaque vendredi.
Mais pour une raison ou une autre, ce n’est pas si facile avec notre voiture, car il est très facile de sortir de la fenêtre, et ensuite, quand on y arrive, tout fonctionne plutôt bien. Mais cette fenêtre est très étroite, donc nous devons simplement voir ce que nous avons. Et j’espère, bien sûr, que cela fonctionnera tout de suite, mais si ce n’est pas le cas, nous essaierons de nouveau. »
Le quadruple champion du monde a pris un bon départ à Barcelone et a terminé les essais libres en deuxième position, même si Lando Norris avait trois dixièmes d’avance. Ce week-end est important après l’introduction de la nouvelle directive technique sur les ailerons avant, qui pourrait avoir un impact sur la lutte pour le titre du Néerlandais contre les pilotes McLaren.
« C’est possible, oui, mais ce n’est pas sûr », a déclaré Verstappen, lorsqu’on lui a demandé si la situation allait se clarifier à Barcelone. « Je sais que notre voiture n’est pas performante à basse vitesse et sur les circuits urbains. C’est un fait qui restera vrai après Barcelone. Je ne pense donc pas que Barcelone soit soudainement le circuit où tout se jouera. Je ne pense pas qu’on puisse dire ça. »
Published 30 mai 2025
Lando Norris a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Espagne, alors que les nouvelles directives de la FIA sur la flexibilité des ailerons avant entraient officiellement en vigueur. La réglementation, introduite en réponse à des plaintes formulées l’an dernier par plusieurs écuries, vise à limiter les déformations aérodynamiques jugées excessives sur certaines monoplaces.
Afin de ne pas perturber les programmes de développement hivernaux, la FIA avait accordé un délai de grâce de huit manches avant d’imposer cette restriction technique, réduisant la tolérance de flexion de 15 à 10 millimètres. C’est donc sur le tracé de Barcelone-Catalunya que les premiers ailerons conformes à cette nouvelle norme ont été dévoilés.
À la surprise générale, McLaren ne figurait pas dans le communiqué technique de la FIA publié avant le début de la séance, suggérant que l’écurie de Woking avait conservé son aileron précédent, preuve d’une certaine confiance dans la légalité de son design.
Sur la piste, Lando Norris, auréolé de sa victoire à Monaco, s’est immédiatement montré à son avantage. Le Britannique a bouclé un tour en 1:13.718, devançant Max Verstappen (Red Bull) de 0,367 seconde et Lewis Hamilton (Ferrari) de justesse. Treize pilotes se sont tenus dans un écart de moins de 1,1 seconde, signe d’un peloton extrêmement resserré.
Sous un ciel dégagé, avec 30 °C dans l’air et près de 50 °C sur l’asphalte, les conditions étaient idéales pour cette première séance. Norris a rapidement imposé le rythme avec un premier chrono en 1:16.095, avant de progresser à 1:15.259 sur pneus durs. George Russell (Mercedes), chaussé de gommes médiums, a brièvement pris la tête avant d’être dépassé successivement par Charles Leclerc (Ferrari), puis par Verstappen.
Le classement des EL1 du Grand Prix d’Espagne
Mais c’est bien Norris qui a frappé le plus fort, abaissant la référence sous les 74 secondes et ne laissant à personne l’occasion de revenir dans la dernière partie de la séance.
Derrière les leaders, Oscar Piastri (McLaren) s’est classé cinquième à 0,576 seconde de son coéquipier. Les Racing Bulls ont confirmé leur compétitivité avec Liam Lawson et Isack Hadjar en sixième et huitième positions, séparés par Oliver Bearman (Haas). Ryo Hirakawa, au volant de la deuxième Haas pour cette FP1, a terminé 17e après une légère excursion dans le gravier.
Yuki Tsunoda (Red Bull) s’est hissé au neuvième rang, devant Pierre Gasly (Alpine), alors que Russell a terminé onzième avec son temps établi sur des pneus médiums.
Chez Williams, Victor Martins, qui remplaçait Alex Albon pour cette, s’est classé 19e, à 1,804 seconde du meilleur temps. Il a devancé Franco Colapinto (Alpine).
Le week-end barcelonais débute donc sous le signe du rythme affiché par McLaren et du suspense entourant l’impact des nouvelles règles aérodynamiques, dont les véritables conséquences seront peut-être davantage visibles lors des prochaines sessions.
Published 30 mai 2025
Résultat des Essais Libres 1 du Grand Prix d’Espagne
# | Pilote | Écurie | Chrono | Pneu |
---|---|---|---|---|
1 |
Lando NORRIS
|
McLaren | 1:13.718 | S |
2 |
Max VERSTAPPEN
|
Red Bull | 1:14.085 | S |
3 |
Lewis HAMILTON
|
Ferrari | 1:14.096 | S |
4 |
Charles LECLERC
|
Ferrari | 1:14.238 | S |
5 |
Oscar PIASTRI
|
McLaren | 1:14.294 | S |
6 |
Liam LAWSON
|
Racing Bulls | 1:14.339 | S |
7 |
Oliver BEARMAN
|
Haas | 1:14.597 | S |
8 |
Isack HADJAR
|
Racing Bulls | 1:14.605 | S |
9 |
Yuki TSUNODA
|
Red Bull | 1:14.643 | S |
10 |
Pierre GASLY
|
Alpine | 1:14.746 | H |
11 |
George RUSSELL
|
Mercedes | 1:14.751 | M |
12 |
Lance STROLL
|
Aston Martin | 1:14.786 | S |
13 |
Fernando ALONSO
|
Aston Martin | 1:14.798 | S |
14 |
Nico HULKENBERG
|
Stake | 1:14.865 | H |
15 |
Carlos SAINZ
|
Williams | 1:14.935 | M |
16 |
Gabriel BORTOLETO
|
Stake | 1:15.155 | H |
17 |
Ryo HIRAKAWA
|
Haas | 1:15.298 | S |
18 |
Kimi ANTONELLI
|
Mercedes | 1:15.369 | M |
19 |
Victor MARTINS
|
Williams | 1:15.522 | H |
20 |
Franco COLAPINTO
|
Alpine | 1:15.530 | S |
by Paul Vaussy
Published 30 mai 2025
Après une carrière couronnée de succès dans le karting brésilien et européen, avec notamment une troisième place au championnat du monde 2019, Gabriel a fait ses débuts en monoplace en 2020.
Âgé de 15 ans, le jeune pilote représentant l’académie brésilienne KTF Sports a participé au prestigieux championnat italien de F4, l’un des plus compétitifs au monde, en bénéficiant de la structure technique du Prema Power Team. Lors de sa première saison, Gabriel a démontré son talent en remportant une victoire, une deuxième et une troisième place au Mugello et, sur le mythique circuit de Monza, il a accumulé une autre deuxième et une troisième place après d’impressionnantes remontées.
En 2021, il a disputé le Championnat européen de Formule régionale par Alpine (FRECA), anciennement connu sous le nom de F3 européenne et étape presque obligatoire pour les pilotes qui souhaitent suivre la voie de la F1, via la FIA F3 et la F2.Pour sa première année dans cette catégorie, au sein de l’équipe de Fernando Alonso, Bortoleto a décroché deux podiums et acquis beaucoup d’expérience.
En 2022, le Brésilien a couru pour l’équipe française R-Ace GP, vainqueur de la catégorie en 2021. Il a fait ses débuts fin janvier, lorsqu’il a participé à la F-Regional Asia, anciennement F3 Asia, remportant sa première course à Yas Marina, à Abu Dhabi. Toujours au Moyen-Orient, en préparation du championnat d’Europe, Gabriel a participé à la course de Dubaï, où il a décroché un nouveau podium. En FRECA, il a terminé l’année à la sixième place, avec deux victoires et une pole position lors de la dernière étape de l’année, à Mugello.
En 2023, suivant le cours naturel de sa carrière, Gabriel a participé au championnat FIA F3, la catégorie qui fait partie du programme de dix épreuves du championnat du monde de F1, ouvrant ainsi les portes du paddock de la F1 au Brésilien. Au cours d’une saison fantastique, il a mené le championnat dès le premier week-end et est devenu champion avec 45 points d’avance sur le deuxième.Grâce à ses excellents résultats en F3, Gabriel a été invité à participer au programme des jeunes pilotes de l’écurie McLaren F1 à partir de 2024, saison au cours de laquelle il a disputé le championnat FIA F2. Avec 2 victoires, 2 poles, 2 tours les plus rapides et 8 podiums, Gabriel a remporté le titre F1 dès sa première tentative, terminant 22e. Fin 2022, Gabriel avait annoncé qu’il avait rejoint A14, la société de gestion des pilotes d’Alonso, et après avoir remporté le titre de F3 et signé avec le programme de développement des pilotes de McLaren, il a effectué son premier test en F1 sur le Red Bull Ring en septembre 2024, au volant de la MCL36.Au moment où il a terminé ces essais, Mattia Binotto, directeur général et directeur technique de Sauber Motorsport, a désigné Gabriel comme l’un des candidats pour un siège chez Sauber en 2025, avant le rachat de l’écurie suisse par Audi.
Max Verstappen et Oscar Piastri ont tous deux soutenu la candidature de Gabriel, l’Australien partageant son expérience de ne pas avoir obtenu de volant immédiatement après avoir remporté le championnat de F2 en 2021 et espérant que le Brésilien éviterait le même sort.
Libéré par McLaren fin 2024, pendant le week-end du Grand Prix de São Paulo, des rumeurs ont circulé selon lesquelles Gabriel aurait signé un contrat avec Sauber pour la saison 2025. Sauber l’a confirmé le 6 novembre 2024, annonçant que le jeune pilote serait le coéquipier de Nico Hulkenberg dans le cadre d’un contrat pluriannuel. Bortoleto est ainsi devenu le premier champion de F2 à être directement promu en F1 depuis Mick Schumacher, promu chez Haas en 2021 après avoir remporté le championnat de Formule 2 en 2020.
by Paul Vaussy
Published 30 mai 2025
Nous avons compilé les statistiques pneumatiques depuis la création du championnat du monde de Formule 1 jusqu’à aujourd’hui pour savoir qui des manufacturiers pneumatiques, avait remporté le plus de courses dans l’histoire de la discipline.
Au fil des ans, nous avons vu tous les grands fabricants de pneus faire leur entrée en F1, avec plus ou moins de succès. Sur les 1122 Grands Prix disputés à ce jour, Goodyear en a remporté 370, soit 33 %.
Pirelli, qui est le fournisseur unique du championnat, a encore un peu de du chemin à parcourir, mais s’approche tranquillement de la référence : après le GP de Monaco, la marque italienne comptait 338 succès en F1.
A noter que F1Only n’inclut pas les 500 miles d’Indianapolis qui faisaient partie du championnat du monde entre 1950 et 1960 dans ces statistiques.
Goodyear |
370 |
Pirelli |
337 |
Bridgestone |
175 |
Michelin |
102 |
Dunlop |
81 |
Firestone |
39 |
Continental |
10 |
Englebert |
7 |
by Paul Vaussy
Published 29 mai 2025
Alors que le circuit d’Imola est retiré du calendrier, Max Verstappen admet qu’il s’agit de l’un des circuits qui lui a fait aimer la course automobile.
Peu après la mi-mai, le quadruple champion du monde a remporté une quatrième victoire consécutive sur le circuit italien, qui a accueilli pour la première fois la F1 (hors championnat) en 1963, puis une manche du championnat du monde à partir de 1980.
Bien qu’elle ne soit pas à la hauteur de circuits tels que Spa, Imola, malgré le côté tragique de son histoire, a toujours été très appréciée des pilotes et des fans, tout comme Monza, Silverstone, Zandvoort et Suzuka. Même si elle a été quelque peu castrée et qu’elle est devenue trop grande pour la formule actuelle (lourde et imposante), elle reste un défi, un circuit qui favorise les pilotes audacieux.
Hélas, alors que le sport se tourne vers le Qatar, l’Arabie saoudite et peut-être même Disneyland (un circuit ouvrira à Abu Dhabi en 2032 ou 2033), Imola va être abandonné, tandis que d’autres circuits classiques connaîtront le même sort ou seront utilisés à tour de rôle… jusqu’à ce qu’ils soient sortis de leur retraite, comme Istanbul et d’autres, lors de la prochaine pandémie.
Interrogé sur la perte d’un autre de ses circuits préférés, il a admis que c’était dommage.
« J’adore piloter ici », a-t-il déclaré après sa victoire dimanche, « mais en fin de compte, on est toujours tributaire de ce qu’on a, avec sa voiture. Je pense que ces dernières années, notre voiture a toujours très bien fonctionné ici.
Bien sûr, avant d’arriver ici ce week-end, je n’avais pas vraiment beaucoup d’espoir que nous puissions gagner une course ici. Mais ensuite, je pense qu’à partir d’hier, la voiture était plus compétitive sur un tour et, heureusement, aujourd’hui aussi.
Donc, oui. J’aime vraiment piloter ici, mais en même temps, la voiture doit aussi bien fonctionner pour pouvoir faire ça.
C’est dommage de perdre ce genre de circuits. Je comprends le point de vue de la F1, bien sûr, avec les nouveaux circuits sur lesquels nous allons courir. Il faut voir les choses d’un point de vue sportif et financier, n’est-ce pas ? Si l’on veut développer cette activité et la rendre plus populaire, je comprends.»
« Pour moi, bien sûr, personnellement, quand je parle simplement du plaisir de conduire, ce sont ce genre de circuits qui m’ont fait aimer la course en général », a-t-il admis, « même en karting, car c’est la même chose en karting, où certains circuits sont plus spéciaux que d’autres.
Bien sûr, quand on commence à regarder la Formule 1, il y a toujours ces quelques circuits où l’on… Je ne sais pas, on regarde les vitesses, on regarde à quel point ils sont difficiles à maîtriser », a-t-il ajouté. L’histoire de ce sport sur certains circuits… vous savez, tout cela est très spécial et rend les choses un peu plus émouvantes.
Donc, oui, c’est vraiment dommage pour moi personnellement, mais que puis-je y faire ? »
Published 29 mai 2025
Fernando Alonso a souligné le contraste entre les générations de pilotes en Formule 1, affirmant que les pilotes actuels répondent avec davantage de diplomatie aux critiques concernant le Grand Prix de Monaco, contrairement à ce qu’auraient fait des figures emblématiques comme Ayrton Senna ou Alain Prost.
Alors que la polémique autour de la règle des deux arrêts obligatoires lors de l’épreuve monégasque continue d’alimenter les débats, des voix comme celle d’Alex Wurz ont proposé des ajustements du tracé pour favoriser les dépassements. Le sujet s’est naturellement invité dans les discussions du paddock à Barcelone, à la veille du Grand Prix d’Espagne.
Interrogé à ce propos, Alonso a salué la retenue avec laquelle des pilotes comme Max Verstappen abordent la question, tout en estimant qu’une telle patience n’aurait probablement pas existé dans les années 1980 ou 1990. Selon l’Espagnol, des champions au caractère bien trempé comme Senna ou Prost auraient exprimé leur agacement de manière beaucoup plus directe face à des remises en cause du prestige ou du format de Monaco.
« Je n’ai jamais dépassé une seule voiture », a déclaré Alonso, « mais Lance [son coéquipier chez Aston Martin, Stroll] a dépassé Nico [Hülkenberg] dans le dernier tour. On voit un dépassement tous les dix ans, mais c’est la nature de Monaco. Je pense que Max en a parlé parce que vous lui avez posé une question sur Monaco, car la dernière chose qu’il a en tête en ce moment, c’est la course de Monaco, mais on n’arrête pas de parler de ce qui ne va pas au lieu de ce qui va bien. Il y a peut-être quelques idées parmi tous ceux qui sont impliqués dans ce sport, les pilotes, la FIA, les équipes, auxquelles nous pourrions réfléchir pour Monaco. Mais je ne pense pas qu’il soit nécessaire de faire quoi que ce soit, car il y a beaucoup de contenu à créer actuellement, et nous, les pilotes, nous sommes trop gentils, donc nous répondons à toutes les questions. Car si vous aviez posé la question à [Ayrton] Senna ou [Alain] Prost il y a 40 ans, alors qu’ils se battaient pour le championnat, ils auraient été moins polis que nous aujourd’hui. »
by Paul Vaussy
Published 29 mai 2025
C’est un fait, beaucoup de monde a découvert la F1 grâce à la série « Drive to Survive » sur Netflix, au point de tout de suite devenir accro. Après avoir dévoré la série, de nombreux nouveaux fans ont commencé à commencé à suivre les courses et les pilotes, par différents canaux, et pas uniquement en regardant les GP en eux-mêmes.
Il n’est pas surprenant que Mercedes et les marques cherchent à répliquer ce succès avec d’autres types de contenus. Les abonnés à Netflix peuvent désormais trouver le documentaire réalisé par le serive communication de Mercedes et produit sous le nom de l’un des sponsors majeurs de l’équipe autour du parcours du jeune Kimi Antonelli, le jeune homme dont la lourde mission au sein de l’équipe Mercedes est de prendre le baquet occupé pendant de longues années par Lewis Hamilton.
« Au coeur du plus grand changement de pilote de l’Histoire », n’hésite pas à annoncer l’affiche.
Sponsorisé par WhatsApp, ce docu offre une plongée dans l’univers de Mercedes et du jeune pilote.
Regardez le trainer du documentaire ci-dessous. « The seat » (le baquet) est diffusé sur Netflix depuis le 5 mai.
Vivian Odior, responsable marketing mondial chez WhatsApp, a déclaré : « Nous sommes ravis de permettre aux utilisateurs de se rapprocher encore davantage des coulisses d’un sport qu’ils aiment. Cette histoire et les messages WhatsApp qui l’accompagnent révèlent véritablement le parcours de Mercedes dans cette période charnière de son histoire. Nous avons toujours su que WhatsApp et la confidentialité que nous offrons à nos utilisateurs font partie intégrante du fonctionnement interne de Mercedes, en plus d’être un outil permettant de connecter les pilotes, les fans et tous ceux qui leur sont proches. C’est pourquoi ce partenariat est naturel et que nous savions que nous pouvions raconter cette histoire de manière authentique et ravir les fans du monde entier. »
Published 29 mai 2025
Lando Norris estime qu’il serait prématuré de sous-estimer Max Verstappen dans la lutte pour le championnat du monde, malgré un début de saison favorable à McLaren. Interrogé alors que la Formule 1 aborde son deuxième tiers de saison, le Britannique a jugé « idiot » d’écarter le triple champion du monde de la bataille pour la couronne.
Après huit Grands Prix, McLaren domine le classement pilotes, avec Oscar Piastri en tête devant Norris. Verstappen, actuellement troisième, accuse un retard de 25 points sur l’Australien. Le pilote Red Bull reste cependant dans le coup grâce à deux victoires et deux autres podiums depuis l’ouverture de la saison.
Même si l’écurie de Woking s’est imposée comme la force dominante sur cette première partie de championnat, Norris refuse de relâcher la vigilance face à un adversaire de la trempe de Verstappen, qu’il considère toujours comme l’un des principaux prétendants au titre.
« Mathématiquement, tous les pilots du championnat peuvent encore remporter le titre à l’heure actuelle », a déclaré Norris. « Donc, si vous pensez que tout se jouera entre Oscar et moi, je pense que vous êtes un peu naïf. Je pense qu’il y a encore beaucoup d’opportunités. Max peut encore gagner. Je m’attends à ce que Ferrari s’améliore au fil de la saison. Mais bon, nous courons contre Max tous les week-ends. Il est monté plusieurs fois sur le podium. Il a remporté des courses, il nous a battus à Imola de manière équitable parce qu’il était plus rapide. Je ne sais donc pas ce qui peut vous faire penser que tout se joue entre Oscar et moi. »
by Paul Vaussy
Published 29 mai 2025
Juan Pablo Montoya suggère que Sergio Perez devrait rejoindre Alpine plutôt que Cadillac. Ces dernières semaines, après avoir été écarté par Red Bull à la fin de 2024, il semble que le pilote mexicain Sergio Perez suscite à nouveau l’intérêt des écuries de Formule 1.
Le scénario Cadillac prend de l’ampleur. Les rumeurs continuent de circuler, et la possibilité que les deux parties se rencontrent et établissent un partenariat à long terme n’est plus farfelue. L’équipe Andretti a besoin de pilotes expérimentés, et Checo est l’un de ceux qui en ont accumulé beaucoup, ayant couru pour des équipes comme McLaren, Force India et, plus récemment, pour l’écurie basée à Milton Keynes.
Cependant, certains, comme Pablo Montoya, ne pensent pas que Cadillac soit le meilleur endroit pour Sergio Perez pour terminer sa carrière. L’ancien pilote colombien cite une autre écurie où Sergio Perez pourrait potentiellement connaître un plus grand succès : « Je pense qu’à l’heure actuelle, Perez fait tout ce qu’il peut pour s’assurer une place chez Cadillac pour 2026. Mais à mon avis, il serait beaucoup plus logique qu’il rejoigne Alpine. »
« Étant donné qu’il lui reste un ou deux ans avant de prendre sa retraite de la F1, une équipe comme Alpine serait beaucoup plus logique », a déclaré Juan Pablo Montoya à Sites de Aposta, avant de souligner un détail important qui pourrait empêcher Checo de viser réalistement l’écurie française. « Tout d’abord, nous devons voir ce que Franco Colapinto peut accomplir. C’est très difficile à dire pour l’instant. »
Pour l’instant, l’écurie Andretti semble la plus accessible, et le Colombien se dit « surpris que Cadillac ne soit pas intéressée par Sergio Perez comme pilote principal. L’autre pilote pourrait être Zhou. Guanyu a déjà piloté des moteurs Ferrari, et tous deux apportent des fonds importants. Des fonds que l’équipe pourrait investir dans la voiture », rapporte Crash.net.
Enfin, après avoir évalué toutes les variables, Juan Pablo Montoya s’est également exprimé sur la probabilité d’un retour chez Red Bull. Compte tenu des performances de Liam Lawson et Yuki Tsunoda cette année, il estime que cette possibilité est très improbable : « La seule personne capable de remplacer Yuki est Isack Hadjar (actuellement chez Racing Bulls). Il se débrouille bien en VCARB », a-t-il conclu.
Published 29 mai 2025
Il s’agira de sa deuxième sortie avec Haas cette saison, après avoir remplacé Ollie Bearman lors du Grand Prix de Bahreïn.
L’écurie Haas a annoncé que Ryo Hirakawa prendra le volant de la Haas lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Espagne, remplaçant Esteban Ocon ce week-end sur le circuit de Barcelona-Catalunya. Il s’agira de la deuxième apparition en EL1 du pilote japonais avec l’équipe américaine cette saison, après une première participation à Bahreïn en lieu et place d’Ollie Bearman.
Hirakawa avait déjà pris part aux EL1 du Grand Prix du Japon, à Suzuka, au sein de l’écurie Alpine. Il a toutefois quitté cette dernière peu après pour rejoindre officiellement Haas.
Âgé de 31 ans, Hirakawa est également programmé pour disputer les EL1 au Mexique et à Abu Dhabi, permettant à l’écurie de respecter l’obligation réglementaire de faire rouler un rookie à deux reprises dans la saison avec chacun de ses deux monoplaces.
Son intégration s’inscrit dans la continuité de la collaboration technique entre Haas et Toyota, constructeur avec lequel Hirakawa entretient des liens étroits.
Published 29 mai 2025
Liam Lawson a pris la défense de la stratégie adoptée par Racing Bulls lors du Grand Prix de Monaco, affirmant que l’équipe n’avait enfreint aucun règlement. Qualifié neuvième, tandis que son coéquipier Isack Hadjar partait cinquième, Lawson a volontairement ralenti le rythme en course pour permettre à Hadjar de réaliser ses deux arrêts obligatoires sans perdre de positions.
Ce choix tactique a soulevé des critiques, dans un contexte où chaque pilote devait observer une stratégie à deux arrêts. Williams a ensuite adopté une approche similaire avec Alex Albon et Carlos Sainz, également dans l’optique de maximiser les chances de terminer dans les points.
Lawson a conclu le week-end à la huitième place, signant ainsi son premier résultat de la saison. Il a tenu à souligner que l’équipe avait agi dans les limites du règlement en vigueur.
« Je n’ai vu aucune critique, j’ai pensé que tout était positif », a déclaré Lawson. « Nous avons pour mission de marquer autant de points que possible et d’adopter la meilleure stratégie possible. Nous n’avons rien fait d’illégal et la course a été très positive de notre côté. Nous n’avons rien fait d’illégal et la course a été très positive de notre côté. Ce n’est pas tant notre faute que celle de la nature du circuit, qui a rendu possible une telle chose. Nous ne pouvons pas le faire à Barcelone ou sur n’importe quel autre circuit. Il y avait de fortes chances que je sorte des points, et je savais après les qualifications [que je devrais peut-être adopter cette stratégie], et c’est pourquoi j’étais probablement plus déçu après les qualifications qu’autre chose. »
« Je savais que j’allais très probablement être dans cette position pour défendre, mais heureusement cela a fonctionné pour nous. Je n’ai certainement pas tout exécuté parfaitement, et honnêtement, il y a eu des week-ends cette année où j’ai eu de meilleurs week-ends dans la voiture ou où j’ai fait un meilleur travail, mais les résultats ne le montrent pas toujours en F1, mais cela fait partie du processus d’apprentissage. »
by Paul Vaussy
Published 29 mai 2025
La popularité des courses de F1 continue de monter en flèche, grâce à l’élargissement de leur public et à leur acceptation par le grand public. Ce sport de renommée mondiale fait sensation par son impact économique et ses retombées financières, qui ont accru son attrait et son audience.
Pour de nombreux pays l’organisation d’un Grand Prix constitue un formidable moteur économique en raison du potentiel énorme et de la popularité de ce sport. Si de nombreux lieux sont devenus incontournables au fil des ans, il est possible d’augmenter le nombre d’entrées ou d’introduire de nouveaux circuit pour ce sport.
Il y a toujours des rumeurs sur l’avenir des courses de F1. La F1 est toujours ouverte à la possibilité de changer de site d’une année à l’autre, ce qui suscite souvent des spéculations sur les circuits susceptibles d’accueillir des courses à l’avenir. Dans cet article, nous allons voir où se dérouleront les prochaines courses de F1 et passer en revue certaines rumeurs sur les circuits susceptibles d’accueillir des courses à l’avenir.
F1 2025 : villes et pays où se dérouleront les courses
2025 est une année importante pour le Championnat du monde de Formule 1 (FIA), qui célèbre son 75e anniversaire. Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a souligné l’héritage de la Formule 1 jusqu’à présent et le fait que la saison sera accueillie par 24 sites incroyables à travers le monde.
La saison 2025 de F1 a débuté en mars et se terminera en décembre, avec 24 courses comme en 2024. Sauf imprévu, il n’y aura pas de nouveau circuit ajouté au calendrier de la F1 en 2025. Les 24 circuits qui ont accueilli une course en 2024 ont tous signé un contrat pour revenir et figurer sur le calendrier de la F1 2025. Conformément à l’accord commercial actuel, la saison 2025 de F1 est limitée à 24 manches.
Le Grand Prix de Monaco 2025, qui vient de se dérouler en mai, devrait dans le futur, afin d’éviter tout autre conflit avec une grande compétition telle que l’Indy500, être reportée au mois de juin à partir de 2026.
Après le voyage au Canada, les dernières manches européennes débuteront avec le Grand Prix de Grande-Bretagne le 6 juillet. La pause estivale 2025 aura lieu entre le Grand Prix de Hongrie le 3 août et le Grand Prix des Pays-Bas le 31 août. Les courses néerlandaises seront suivies par celles de Bakou et de Singapour avant que le paddock de la F1 ne débarque en Amérique pour une longue série de courses. Des courses de F1 sont prévues à Austin, au Mexique, à Sao Paulo et à Las Vegas. Les deux dernières manches qui clôtureront la saison 2025 de F1 auront lieu au Qatar et à Abu Dhabi le 7 décembre.
Rumeurs à suivre dans le futur concernant la Formule 1
Récemment, le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a émis l’hypothèse que certaines manches européennes pourraient commencer à se dérouler tous les deux ans, en alternance. Il a également été suggéré que le circuit de Zandvoort, aux Pays-Bas, pourrait quitter le calendrier de la F1 en 2026. Suite à cette nouvelle évolution, il y aura probablement au moins une place libre dans le calendrier 2026 pour un nouveau circuit.
Par ailleurs, le Circuit de Barcelona-Catalunya sera remplacé par un nouveau circuit urbain à Madrid pour accueillir le Grand Prix d’Espagne en 2026. Parmi les circuits en lice pour figurer au calendrier, citons Bangkok, Qiddiya Speed Park, Incheon, Istanbul Park, Chicago, Osaka, Londres et Gujarat.
Le retour potentiel de la Formule 1 en Afrique a fait la une des journaux ces dernières années, l’Afrique du Sud et le Rwanda étant en tête des projets les plus sérieux. La dernière course a eu lieu à Kyalami en 1993. L’Afrique du Sud semblait prête à revenir après 30 ans d’absence en 2023, mais l’accord a finalement échoué en 2022.
Le Rwanda a également lancé une candidature officielle pour accueillir la Formule 1 à Kigali. Avant le gala de remise des prix de la FIA au Rwanda en décembre 2024, le président du pays a confirmé les rumeurs de discussions avec le PDG de la F1, Stefano Domenicali. Le circuit proposé a été conçu par l’ancien pilote de F1 Alexander Wurz et se trouve à environ 40 km de Kigali.
Le monde en constante évolution de la Formule 1 ne reste jamais longtemps statique. Il y a toujours de nouveaux développements sous la forme de nouveaux circuits, de moteurs améliorés, de transferts de pilotes et de nombreux autres facteurs. La saison 2025 de Formule 1 ne verra aucun nouveau circuit ajouté au calendrier 2024, mais la saison 2026 pourrait bien voir l’arrivée de nouveaux circuits.