Classement et résultats de la Qualif Sprint du Grand Prix de F1 de Miami

Découvrez les résultats très attendus des qualifications Sprint avant la course sprint du Grand Prix de Miami 2025.

Résultat des Qualifs Sprint du Grand Prix de F1 de Miami 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:26.482 S
2
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:26.527 S
3
 
Lando NORRIS
McLaren 1:26.582 S
4
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:26.737 S
5
 
George RUSSELL
Mercedes 1:26.791 S
6
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:26.808 S
7
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:27.030 S
8
 
Alexander ALBON
Williams 1:27.193 S
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:27.543 S
10
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:27.790 S
11
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:27.850 M
12
 
Esteban OCON
Haas 1:28.070 M
13
 
Pierre GASLY
Alpine 1:28.167 M
14
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:28.375 M
15
 
Carlos SAINZ
Williams   M
16
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:29.028 M
17
 
Jack DOOHAN
Alpine 1:29.171 M
18
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:29.246 M
19
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:29.312 M
20
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:29.825 M

GP de Miami — EL1 — Piastri en tête, Norris dans le doute

Oscar Piastri a signé le meilleur temps de l’unique séance d’essais libres du Grand Prix de Miami, marquée par plusieurs incidents, dont une interruption de séance. L’Australien de McLaren a dominé les débats avec un tour bouclé en 1:27.128, reléguant Charles Leclerc (Ferrari) à plus de trois dixièmes et Max Verstappen (Red Bull) à 0,430 seconde.

La séance, écourtée à cinq minutes de la fin après un tête-à-queue puis un contact avec le mur d’Oliver Bearman (Haas), a empêché plusieurs pilotes, dont Lando Norris, de réaliser leur tour rapide en pneus tendres. Le Britannique avait pourtant réalisé un excellent deuxième secteur avant de devoir interrompre son effort.

Déjà perturbé en début de séance par la découverte d’objets laissés dans son cockpit – qu’il a immédiatement rapportés à son stand –, Norris a ensuite évité de justesse une collision avec Esteban Ocon (Haas), provoquant l’ouverture d’une enquête par la FIA. McLaren est également dans le viseur des commissaires pour avoir mis la voiture dans un « état dangereux », à cause des éléments laissé dans la monoplace. 

Avant l’interruption finale, les positions en tête ont évolué au fil de la montée en puissance des monoplaces. George Russell s’est un temps illustré malgré des soucis de direction sur sa Mercedes, avant que Carlos Sainz (Williams) et Verstappen ne prennent brièvement la tête. C’est finalement Piastri qui s’est imposé en haut de la feuille des temps, juste avant le drapeau à damier.

Derrière le trio de tête, Sainz et Alex Albon ont complété le top 5, suivis de l’impressionnant Isack Hadjar (Racing Bull). Russell, Yuki Tsunoda, Kimi Antonelli et Fernando Alonso complètent le top 10. Lewis Hamilton a terminé 13e, avec un chrono établi en pneus tendres, à l’inverse de Norris, 12e, resté en gommes médiums.

La séance, seule opportunité pour les équipes d’évaluer leurs réglages avant les qualifications sprint, s’est révélée particulièrement frustrante pour certains, dont Norris, qui devra rebondir rapidement dans un week-end déjà riche en enjeux.

Classement et résultats des Essais Libres 1 du Grand Prix de F1 de Miami 2025

Découvrez tous les résultats de la seule séance d’essais libres avant le Grand Prix de Miami 2025 !

Résultats des Essais Libres 1 du Grand Prix de F1 de Miami 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:27.128 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:27.484 S
3
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:27.558 S
4
 
Carlos SAINZ
Williams 1:27.678 S
5
 
Alexander ALBON
Williams 1:27.955 M
6
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:27.968 S
7
 
George RUSSELL
Mercedes 1:28.058 M
8
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:28.155 S
9
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:28.227 M
10
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:28.243 S
11
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:28.374 S
12
 
Lando NORRIS
McLaren 1:28.391 S
13
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:28.556 S
14
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:28.573 S
15
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:28.771 S
16
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:28.996 S
17
 
Pierre GASLY
Alpine 1:29.084 S
18
 
Esteban OCON
Haas 1:29.179 S
19
 
Jack DOOHAN
Alpine 1:29.357 S
20
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:29.362 S

Hamilton admet des débuts “difficiles” chez Ferrari : une adaptation plus longue que prévu

Lewis Hamilton a reconnu les défis rencontrés depuis son arrivée chez Ferrari, évoquant des premiers mois « difficiles » alors qu’il s’efforce de s’adapter à sa nouvelle équipe après plus d’une décennie passée chez Mercedes. Il rappelle toutefois que ses premiers mois passés dans l’écurie de Brackley avaient également été compliqués.

Le septuple champion du monde, qui a conquis six de ses titres sous les couleurs de l’écurie de Brackley, peine à trouver ses marques avec la SF-25. Mis à part une victoire lors de la course sprint en Chine, ses performances sur les cinq premières manches de la saison sont restées en deçà des attentes. Selon lui, il pourrait lui falloir une saison entière pour pleinement maîtriser sa nouvelle monoplace.

Son adaptation passe notamment par une phase d’apprentissage technique, avec des différences notables comme l’utilisation des freins Brembo – en lieu et place des Carbon Industrie de Mercedes – ainsi qu’un frein moteur, absent de son ancienne équipe. Autant de paramètres auxquels le Britannique, âgé de 40 ans, doit encore s’ajuster.

Hamilton souligne que cette période de transition n’est pas uniquement de son ressort. « Ce n’est pas seulement moi qui dois apprendre la voiture, c’est aussi l’équipe qui doit apprendre à régler la voiture pour moi », a-t-il expliqué.

Malgré les débuts compliqués, le soutien de Ferrari reste intact. Le directeur de l’écurie, Frédéric Vasseur, a récemment réaffirmé son engagement envers son pilote star, déclarant le soutenir « à 2 000 % ». En parallèle, Carlos Sainz, qu’Hamilton a remplacé cette saison, a confié qu’il n’était « pas surpris » par les difficultés actuelles de son successeur.

« Lorsque j’ai rejoint Mercedes, les six premiers mois ont été difficiles pour m’habituer à travailler avec de nouvelles personnes », a-t-il déclaré aux médias lorsqu’on lui a fait remarquer qu’il avait semblé rapide par moments lors des dernières courses.

« Il est évident que les ingénieurs avec lesquels je travaille actuellement ont l’habitude de régler une voiture pour un pilote différent et un style de conduite différent, et je suis habitué à conduire une voiture avec un style de conduite différent. C’est donc une combinaison de plusieurs facteurs [qui l’empêche de reproduire ces relais rapides de manière plus régulière]. »

Jack Doohan apprécie la franchise de Briatore : « Une icône, brutale, mais motivante » chez Alpine

Jack Doohan a salué la franchise de Flavio Briatore, dont l’arrivée chez Alpine a marqué un tournant pour l’écurie française. Interrogé sur les rumeurs concernant son avenir en Formule 1, le pilote australien a exprimé son respect pour l’approche directe du conseiller exécutif d’Alpine, nommé à ce poste l’an dernier pour aider l’équipe d’Enstone à retrouver le haut de la grille.

Depuis le retour de l’ancien dirigeant de Renault F1, certains progrès ont été constatés, bien que Briatore ne puisse pas tout maîtriser au sein de la structure. Connu pour son style tranchant et sa personnalité flamboyante, l’Italien continue de diviser, mais Doohan voit en lui une force motrice.

Loin d’être rebuté par la manière de faire du vétéran du paddock, le jeune pilote affirme au contraire en tirer de la motivation, soulignant son admiration pour la détermination et la rigueur de celui qui a déjà mené deux écuries à des titres mondiaux.

« C’est incroyable, c’est sûr », a déclaré Doohan à propos de la personnalité de Briatore. « Je pense que c’est une icône, quelqu’un que j’admire depuis très, très longtemps. Et j’aime son côté brutal et direct, il ne raconte pas de conneries, il ne tourne pas autour du pot, on sait très vite où il en est. Je préfère ça de loin aux rumeurs. »

Chez Alpine, la gestion des pilotes est un secteur clé désormais supervisé par Flavio Briatore. Le baquet de Jack Doohan a récemment été l’objet de nombreuses spéculations, notamment en lien avec Franco Colapinto. Dans ce contexte, des échanges ont eu lieu entre Doohan et le conseiller exécutif, au cours desquels ce dernier lui a prodigué des conseils déterminants pour l’avenir de sa carrière.

« Oui, bien sûr. Les choses étaient claires et je savais ce qui se passait. Il voulait juste que je réussisse, que tout se passe pour le mieux et que j’oublie le bruit, que j’oublie ce qui se passe, que je fasse simplement de mon mieux. Les choses n’arrivent jamais par hasard, rien ne fuite par erreur. Je pense donc qu’il faut garder la tête baissée, faire son travail et savoir distinguer le vrai du faux. »

Sondage – Quel pilote signera le meilleur temps de la Qualif sprint du Grand Prix de Miami 2025 ?

La F1 débarque ce week-end à Miami et l’événement se déroulera sous le format « sprint ». Cela veut donc dire que nous assisterons dès ce vendredi aux qualifications de la course sprint. Depuis le début de la saison, seul un week-end de course a accueilli une qualif et une course sprint, toutes les deux dominées par Lewis Hamilton, victorieux à Shanghai.

Toutefois, la dynamique semble plus sourire aux McLaren et à Oscar Piastri. Le jeune pilote australien, leader du Championnat du monde des pilotes a décroché sa seconde troisième de de la saison en remportant le Grand Prix d’Arabie Saoudite (après avoir triomphé en Chine et à Bahreïn).

Voyez-vous Oscar Piastri signer le meilleur temps de la Qualif Sprint, ou pensez-vous qu’un autre pilote peut créer la surprise à Miami ? 

Formule E : Quelle est l’évolution de la popularité du championnat électrique ?

Selon la Formule E, son audience télévisuelle mondiale cumulée a augmenté de 35 % d’une année sur l’autre pour atteindre 491 millions de téléspectateurs au cours de la saison 2023/24. La série a également affirmé que l’E-Prix de Mexico en 2025 avait attiré une audience cumulée de 10,5 millions de téléspectateurs sur CBS, ce qui, selon elle, a dépassé « toutes les courses de F1 sauf une pour une audience américaine au cours des deux dernières saisons ».

Ce dernier chiffre, en particulier, est une affirmation audacieuse et serait probablement contesté par la Formule 1, qui ne publie pas de chiffres d’audience cumulés. Et s’il est peut-être inévitable que d’autres séries de sports automobiles soient tentées de se comparer à la Formule 1, le championnat tente de se forger sa propre identité, ayant bien compris qu’avec Liberty Media à la barre de la F1, il devient de plus en plus difficile de se présenter comme le grand divertissement sport auto du futur comme l’espérait Alejandro Agag, le fondateur de la série.

La Formule E doit absolument voler de ses propres ailes. La comparaison avec la Formule 1 est plutôt motivée par l’admiration et le respect que le promoteur de la discipline a pour son ainée. Il s’agit-là juste d’une comparaison qui permet de rappeler aux gens que le championnat ne fait que commencer et qu’il n’est pas nécessaire de la considérer d’un point de vue compétitif mais plutôt comme un nouveau produit destiné à une audience différente.

Comparer les chiffres d’audience est une chose, mais l’écart entre la Formule E et la Formule 1 est mis en évidence lorsque l’on examine les performances financières des deux compétitions. Les derniers comptes de la Formule E montrent qu’elle a enregistré une perte de 42,4 millions d’euros (46,4 millions de dollars) en 2022/23. La Formule 1, quant à elle, a affiché un bénéfice d’exploitation de 492 millions de dollars en 2024 avec plusieurs milliards de chiffre d’affaires.

Bien que les pertes de la Formule E aient diminué de 35 % en glissement annuel, et que la comparaison de ses résultats avec ceux d’une série bien plus établie comme la Formule 1 soit injuste, cela ne masque pas le fait que le championnat est continuellement déficitaire.

Cadillac tease une annonce majeure pendant le week-end du Grand Prix de Miami

L’écurie Cadillac F1 a teasé une annonce majeure à venir lors du week-end du Grand Prix de Miami, attisant la curiosité alors qu’elle se prépare à intégrer la Formule 1 en tant que 11e équipe sur la grille.

La structure américaine, soutenue par General Motors et portée initialement par Michael Andretti, s’apprête à faire ses débuts en F1, ce qui porterait le nombre de voitures à 22 – une première depuis 2016. Alors que Miami accueille la première des trois manches disputées sur le sol américain cette saison, Cadillac entend visiblement marquer le coup avec une révélation prévue pour ce samedi.

Aucune précision n’a été donnée sur la nature de l’annonce, mais l’équipe n’a toujours pas dévoilé l’identité de ses futurs pilotes pour son entrée en lice. Cadillac a fait savoir par le passé qu’elle privilégiait un profil expérimenté pour encadrer ses premiers pas en catégorie reine. Parmi les noms évoqués figure celui de Sergio Perez, actuellement libre après avoir été remercié par Red Bull à l’issue de la saison 2024 de F1.

 
 
 
 
 
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Mercedes : un nouveau contrat pour George Russell attendu « avant l’été » selon Toto Wolff

George Russell devrait prolonger son aventure avec Mercedes dans un avenir proche, à en croire les déclarations de Toto Wolff. Le directeur de l’écurie allemande a confirmé que la signature d’un nouveau contrat pour le pilote britannique était attendue « très bientôt ».

Malgré des performances solides et un statut de valeur montante dans le paddock, l’avenir contractuel de Russell reste officiellement en suspens. Son engagement actuel avec Mercedes arrive à son terme à la fin de la saison, et les discussions en vue d’un renouvellement ont, jusqu’ici, été mises en attente.

« Je pense que ce sera avant l’été », a récemment déclaré Wolff lorsqu’on lui a demandé quel était le calendrier prévu.

S’adressant au New York Times, Russell, 27 ans, a exprimé une légère frustration face à un phénomène récent : les négociations contractuelles – et les signatures – ont lieu de plus en plus tôt.

« Quand Lewis (Hamilton) était là, ils ne discutaient jamais du contrat avant juin, juillet », a-t-il déclaré. « C’était toujours l’été. Ce qui est anormal, c’est probablement le nombre de pilotes qui ont signé si tôt. Je pense que beaucoup de pilotes qui sont obsédés par leur avenir sont peut-être ceux qui n’ont pas autant confiance en eux et qui ressentent le besoin d’avoir cette sécurité. »

L’année dernière, Wolff a mené une campagne acharnée pour sortir Max Verstappen du chaos chez Red Bull et le faire courir pour Mercedes. Certains pensent désormais que Wolff garde clairement le siège actuel de Russell potentiellement libre pour le Néerlandais en 2026.

« Maintenant, tout dépend si Max respecte son contrat », a déclaré l’ancien patron de Racing Bulls, Franz Tost, à Sport1. « S’il part, plusieurs équipes s’intéressent à lui, et Mercedes est la priorité absolue. »

David Croft réagit aux critiques des fans de Verstappen après une question sur l’avenir du pilote chez Red Bull

Pris pour cible sur les réseaux sociaux, David Croft, commentateur emblématique de Sky Sports F1, a répondu aux critiques formulées par certains supporters de Max Verstappen après une question posée au Néerlandais lors du Grand Prix d’Arabie saoudite.

L’incident est survenu pendant la traditionnelle conférence de presse des pilotes, où Croft a interrogé le quadruple champion du monde sur son avenir chez Red Bull, dans un contexte marqué par les récentes inquiétudes exprimées par le conseiller Helmut Marko. Ce dernier avait laissé entendre que Verstappen pourrait envisager un départ si les performances de l’écurie venaient à décliner.

Visiblement peu enclin à s’étendre sur le sujet, Verstappen a sèchement interrompu la première tentative de Croft avant que ce dernier ne relance en demandant si Marko se trompait dans son analyse. La réponse, un brin provocante, a été interprétée par Croft comme une plaisanterie, soulignant la relation cordiale qu’il entretient avec le pilote.

Mais certains fans de Verstappen, ignorant le ton complice entre les deux hommes, n’ont pas tardé à se mobiliser en ligne pour critiquer Croft, l’accusant de chercher à alimenter des rumeurs inutiles. Le commentateur de 54 ans n’en est pas à sa première polémique de ce genre et affirme rester imperméable à ce type d’attaques.

« Max n’y a pas prêté attention », a déclaré Croft au Times. « Je m’y attendais un peu, alors j’ai juste dit : « Helmut s’est trompé ? » Et il a répondu : ‘Concentre-toi sur tes commentaires.’ il plaisantait. »

« Max et moi avons une très bonne relation, je le connais depuis le début. Nous ne nous sommes jamais disputés, il n’est jamais venu me voir pour me dire : « Je n’aime pas ce que tu as dit ».

« Mais certains fans de Max s’en sont emparés et m’ont reproché ma question. C’est mon travail, les gens choisissent simplement de m’attaquer. Très bien. Vous pouvez m’attaquer autant que vous voulez. Je serai là lors de la prochaine conférence de presse, et cela ne m’empêchera pas de poser des questions. Quand on est sous les feux des projecteurs et sur les réseaux sociaux, il faut avoir la peau dure. »

Timo Glock critique la présidence de Mohammed Ben Sulayem à la tête de la FIA

Timo Glock a vivement critiqué le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, pointant du doigt les nombreuses controverses qui, selon lui, entachent la gouvernance de l’instance dirigeante du sport automobile.

L’ancien pilote de Formule 1 estime que Ben Sulayem « ne se rend pas service » au regard des critiques persistantes autour de sa présidence. Depuis son arrivée à la tête de la FIA, le dirigeant émirati a multiplié les décisions contestées, accentuant les tensions au sein du paddock.

Parmi les voix les plus critiques figure David Richards, ancien patron d’écurie en F1, qui s’est montré particulièrement incisif ces derniers mois. Les relations entre Ben Sulayem et les pilotes se sont également tendues, notamment après ses prises de position publiques sur l’usage du langage grossier.

La controverse a été relancée avec l’introduction en début d’année de l’annexe B du Code sportif international, qui prévoit des sanctions allant jusqu’à la suspension en cas de langage inapproprié ou de critiques envers la FIA. Une disposition qui a provoqué un tollé, notamment dans le WRC, où les pilotes ont organisé un boycott médiatique après la sanction infligée à Adrien Fourmaux.

En F1, Max Verstappen s’est montré peu bavard à l’issue du Grand Prix d’Arabie saoudite, préférant éviter les commentaires potentiellement répréhensibles après avoir écopé d’une pénalité. Pour Timo Glock, cette atmosphère pesante nuit à la spontanéité et à l’authenticité des échanges dans un sport où l’émotion fait partie intégrante du spectacle.

Selon lui, les choix de communication et de gestion de Ben Sulayem risquent de nuire durablement à l’image du sport automobile s’ils ne sont pas rapidement corrigés.

« J’ai rarement vu un président susciter autant de controverse », a-t-il déclaré à Sky Sports Germany. « Ce n’est pas bon pour le sport. Au final, ce que l’on veut voir, ce sont des émotions, y compris de la part des fans. Il ne se rend pas service dans sa position. »

Sondage – Voyez-vous Max Verstappen quitter Red Bull à l’issue de la saison 2025 de F1 ?

Depuis plusieurs mois, l’avenir de Max Verstappen chez Red Bull alimente les spéculations, mais rien n’indique encore clairement si le quadruple champion du monde quittera un jour l’écurie de Milton Keynes.

Les premières rumeurs d’un départ remontent au début de la saison dernière, en pleine tourmente médiatique autour de Christian Horner. Bien que le directeur d’équipe ait été blanchi à l’issue de l’enquête interne, la tension n’a pas diminué, notamment en raison d’un conflit supposé entre Horner et Helmut Marko, conseiller influent de Red Bull Racing.

Le climat interne s’est davantage tendu lorsque Jos Verstappen, père du pilote néerlandais, a publiquement critiqué la gestion d’Horner, alimentant les spéculations sur un possible départ de son fils. Mercedes est rapidement apparue comme une destination potentielle, avant d’annoncer l’arrivée du jeune Kimi Antonelli pour 2025.

En parallèle, les incertitudes autour de la compétitivité de la Red Bull RB21 cette saison – moins dominante que ses devancières – ainsi que les inquiétudes concernant le nouveau moteur développé pour 2026, ont ravivé les discussions sur l’avenir de Verstappen.

Le Néerlandais a été tour à tour lié à Mercedes et Aston Martin, deux écuries ambitieuses pour le prochain cycle réglementaire. Pourtant, malgré les rumeurs persistantes, Verstappen a maintenu qu’il restait pleinement engagé avec Red Bull et n’envisageait pas de départ à court terme.

 

 

George Russell présente sa nouvelle Mercedes « de tous les jours »

George Russell a dévoilé sa nouvelle « voiture de tous les jours » après avoir pris possession d’une Mercedes-AMG ONE.

Russell en est actuellement à sa quatrième saison en F1 en tant que pilote Mercedes, mais il est associé au constructeur allemand depuis 2017, date à laquelle il a rejoint son programme junior.

Le pilote de 27 ans a remporté trois Grands Prix avec l’équipe et s’est hissé à 15 reprises sur le podium, malgré son arrivée dans l’écurie alors que celle-ci traversait des difficultés avec sa monoplace.

Suite au départ de Lewis Hamilton chez Ferrari, Russell a pris le rôle de leader au sein de Mercedes.

Alors que cinq manches de la saison sont déjà passées, Russell a pris la parole sur les réseaux sociaux pour présenter sa nouvelle voiture de route.

Seuls 275 modèles de la Mercedes AMG ONE existent, et son moteur haute performance est une version modifiée du premier moteur turbo-hybride utilisé en F1.

 
 
 
 
 
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Quand Riccardo Patrese a refusé la Williams après la mort d’Ayrton Senna

Riccardo Patrese, ancien pilote de Formule 1, se souvient de l’accident tragique d’Ayrton Senna à Imola en 1994 et raconte comment il a vécu ce terrible moment.

Voici les souvenirs de l’Italien sur le podcast de Red Bull : « Je me suis proposé comme pilote d’essai pour Williams afin de les aider à développer la voiture avec des suspensions passives. L’objectif était de rester en forme et peut-être, si j’étais aussi rapide que je le pensais, de récupérer mon siège en 1995. Je suis arrivé à Imola avec cette proposition durant le tragique week-end du 1er mai. Après en avoir discuté avec Patrick Head et Frank Williams [les deux cofondateurs de l’équipe], nous nous sommes mis d’accord sur un test, surtout compte tenu des difficultés d’Ayrton [Senna] », précise-t-il.

« Il [Senna] a tout de suite montré beaucoup d’enthousiasme ; après tout, nous étions de bons amis et nous passions souvent du temps ensemble en vacances. En sortant du camping-car Williams, Ayrton m’a emmené dans les stands pour voir la voiture et me parler de ses difficultés dans le cockpit. Le lendemain, j’ai regardé le Grand Prix à la télévision, et nous savons tous ce qui s’est passé : malheureusement, Ayrton nous a quittés, et j’ai automatiquement compris que je pouvais le remplacer » a-t-il ajouté.

« Nous n’avons pas eu de nouvelles de Williams pendant un certain temps, jusqu’à Monaco. Frank m’a alors proposé une place en course au lieu d’un rôle de testeur, et à ce moment-là, j’ai dit oui. Cependant, pendant 15 jours, je n’ai pas pu dormir à cause de la perte de mon ami. Je savais que quelque chose de technique s’était produit et je craignais que cela ne m’arrive à moi aussi. Toutes ces pensées tourbillonnaient dans ma tête jusqu’à ce que je me rende compte qu’avec ces doutes, je ne pouvais pas revenir avec l’objectif que j’avais : gagner. En fin de compte, quelques jours plus tard, La Gazzetta dello Sport m’a appelé pour me demander de confirmer que je deviendrais le remplaçant d’Ayrton » a expliqué l’ancien pilote de Formule 1.

« À ce moment-là, j’ai répondu que j’avais décidé de me retirer officiellement de la Formule 1, et je l’ai immédiatement fait savoir à Frank Williams. Et ce fut officiellement la fin de ma carrière en F1 », a conclu Riccardo Patrese.

 

Le PDG de la F1 estime que le GP d’Imola est en danger après 2025

Stefano Domenicali laisse entendre qu’Imola pourrait disparaître du calendrier alors que l’intérêt mondial est grandissant.

La F1 court actuellement à Monza et Imola en Italie. Le contrat d’Imola expire à la fin de l’année 2025. La Thaïlande, l’Afrique du Sud et le Rwanda sont intéressés pour rejoindre le calendrier de la F1

Stefano Domenicali, directeur général de la Formule 1, a indiqué qu’Imola pourrait disparaître du calendrier de la série à la fin de cette saison.

Dans une interview accordée à Rai Radio en Italie, Domenicali a révélé que l’intérêt croissant d’autres pays pour l’organisation de courses de Formule 1 signifiait que des décisions difficiles devaient être prises en ce qui concerne le calendrier.

« L’Italie a toujours été et restera un élément important de la Formule 1 », a déclaré M. Domenicali. « Il sera de plus en plus difficile d’organiser deux courses dans le même pays parce que l’intérêt pour la F1 augmente et c’est une situation à laquelle nous devrons faire face dans les mois à venir.

C’est une situation que nous devrons gérer dans les mois à venir. Il est difficile pour cette situation d’Imola et de Monza de continuer à figurer ensemble au calendrier pendant longtemps.»

Seuls l’Italie et les États-Unis accueillent plus d’une course dans le calendrier actuel, et il est peu probable que la série cherche à réduire le nombre de courses dans ce dernier pays de sitôt, étant donné la taille du marché.

Trois courses – Imola, Mexico et Las Vegas – ont des contrats qui expirent à la fin de cette saison. De ce trio, Imola semble être la course la plus susceptible d’être retirée du calendrier, car la Formule 1 continuerait à courir à Monza pour maintenir sa présence en Italie.

Madrid accueillera le Grand Prix d’Espagne à partir de la saison prochaine, mais le Circuit de Barcelona-Catalunya a un contrat en cours pour accueillir une course de Formule 1 une année de plus, de sorte qu’il y aura deux Grands Prix en Espagne l’année prochaine.

Mais il est peu probable que cette situation perdure au-delà de 2026, de sorte que la Formule 1 évitera d’organiser deux courses dans le même pays à temps pour que les nouveaux marchés aient une véritable chance d’intégrer le calendrier. Le Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort disparaîtra également à la fin de la saison 2026, libérant ainsi de l’espace.

Parmi les pays intéressés par l’inscription au calendrier de la Formule 1, la Thaïlande est celui dont les discussions sont les plus avancées, même si elle ne fera ses débuts qu’en 2027 ou 2028 au plus tôt.

Le championnat étudie également la possibilité d’un retour en Afrique, l’Afrique du Sud travaillant sur une candidature et le Rwanda étant également sur les rangs.

 

Stake F1 veut faire « tourner les têtes » avec sa livrée spéciale GP de Miami

Stake est la première écurie de F1 à dévoiler une livrée spéciale avant le Grand Prix de Miami qui se tiendra ce week-end, s’appuyant sur un thème « striking art » (art saisissant) pour ce look unique.

L’écurie souhaite « faire tourner les têtes » avec cette livrée inspirée de la scène artistique dynamique de Miami. Nico Hulkenberg et Gabriel Bortoleto porteront des combinaisons de course qui « font écho » au thème de la livrée, qui sera également présente dans le garage et sur l’équipement de pit stop de l’équipe basée à Hinwil.
« Cette livrée est plus qu’un simple nouveau look, c’est une célébration de l’esprit créatif de Miami et de notre engagement à dynamiser ce sport pour nos fans », a déclaré Stefano Battiston, directeur commercial.

Stake F1 - Grand Prix de Miami
Stake F1 – Grand Prix de Miami

« Notre objectif, lorsque nous avons développé cette livrée avec Stake, était de nous démarquer, non seulement par notre dévouement sur la piste, mais aussi par notre audace et notre créativité en dehors de la piste. Notre équipe s’engage à créer des moments mémorables et des expériences captivantes, et cette édition spéciale Miami en est un parfait exemple. »

D’autres équipes telles que Ferrari et Racing Bulls ont dévoilé un aperçu de leur nouvelle livrée, dont le design sera dévoilé mercredi avant la quatrième visite de la F1 à Miami, qui sera à nouveau une épreuve de sprint en 2025. Mercedes a également dévoilé une ligne de vêtements spéciale, comprenant des tenues pour l’équipe, pour le week-end.

Franco Colapinto pressenti au volant de l’Alpine à Imola selon une indiscrétion d’un sponsor

Franco Colapinto pourrait effectuer ses débuts en Formule 1 avec Alpine lors du Grand Prix d’Émilie-Romagne, à Imola, si l’on en croit une déclaration involontaire de l’un de ses principaux soutiens.

C’est lors d’une interview diffusée sur la chaîne d’information argentine A24 qu’Horacio Marin, PDG de la société énergétique YPF – sponsor du pilote – a laissé entendre que Colapinto serait aligné par l’écurie à Imola. Alors que le dirigeant affirmait à plusieurs reprises ne pas connaître la date exacte des débuts du jeune Argentin, un micro resté ouvert a capté ses mots en aparté : « à Imola », laissant entendre que cette échéance pourrait être imminente.

Âgé de 21 ans, Franco Colapinto a rejoint Alpine cet hiver en tant que pilote de réserve après une saison encourageante en F2 et plusieurs apparitions convaincantes avec Williams. Il avait été un temps pressenti pour remplacer Jack Doohan.

Des rumeurs persistantes évoquaient une fenêtre de seulement quelques courses laissée à Doohan pour convaincre la direction d’Alpine, bien que l’écurie ait publiquement relativisé cette pression. La sortie accidentelle de Marin vient toutefois raviver ces spéculations, suggérant qu’un remplacement pourrait être plus proche que prévu.

La septième manche du championnat se tiendra à Imola, juste après le Grand Prix de Miami. À ce jour, ni Alpine ni Colapinto n’ont confirmé l’information, et le terme de « débuts » reste flou – il pourrait aussi bien s’agir d’une participation aux Essais Libres.

Ce possible changement intervient dans un contexte où Alpine cherche encore à retrouver de la stabilité après un début de saison en demi-teinte.

Ralf Schumacher défend Hamilton : « La Chine n’était pas un accident »

Ralf Schumacher a pris la défense de Lewis Hamilton, affirmant que le septuple champion du monde reste capable de briller au plus haut niveau, malgré un début de saison compliqué avec Ferrari. « La Chine n’était pas un accident », a-t-il déclaré dans le podcast de Sky Germany, en référence à la victoire du Britannique lors de la course sprint à Shanghai.

Depuis son arrivée au sein de la Scuderia, Hamilton peine à trouver ses marques. Son meilleur résultat reste pour l’instant cette performance en Chine, tandis que le Grand Prix d’Arabie saoudite a marqué un sérieux revers, où il a franchi la ligne avec plus de 30 secondes de retard sur son coéquipier Charles Leclerc.

Déconcerté par l’irrégularité de ses performances, Hamilton a reconnu ne pas avoir encore trouvé la clé de ses difficultés et qu’aucune solution immédiate ne se profilait.

À l’approche du Grand Prix de Miami, organisé également selon le format sprint, Hamilton espère renouer avec le niveau de compétitivité affiché en Chine. Pour Ralf Schumacher, l’épisode de Shanghai prouve que le pilote britannique a encore les ressources pour s’imposer, à condition que Ferrari parvienne à mieux cerner ses besoins techniques.

« Les attentes sont très élevées et Ferrari veut en avoir pour son argent », a déclaré Schumacher. « Cela signifie qu’il doit être performant. Il le sera probablement, car ce qui s’est passé en Chine n’était pas un accident. Ce n’est pas qu’il en soit incapable. Il doit simplement trouver les conditions et la voiture qui lui conviennent, et il y a certainement des circuits à venir qui lui conviennent. S’il abandonne maintenant, ce serait très prématuré. J’ai du mal à y croire, mais s’il le fait, l’équipe se concentrera alors entièrement sur Charles Leclerc et sur le développement de la voiture dans son sens. On ne peut pas développer deux voitures dans une même équipe, ça ne marche pas. La voie est alors toute tracée. »

La Scuderia Ferrari passe au bleu pour le Grand Prix de Miami

Ferrari a donné un nouvel indice sur la livrée spéciale de ses monoplaces pour le Grand Prix de Miami en dévoilant les combinaisons des pilotes pour le week-end à venir.

Les combinaisons rouges habituelles ont été entièrement redessinées pour le week-end à Miami, qui débutera vendredi avec les essais libres et les qualifications sprint. La nouvelle combinaison ignifugée est principalement blanche, avec la partie supérieure recouverte de bleu pour célébrer son sponsor principal HP.

Le week-end de course de F1 à Miami marque le premier anniversaire du nouveau partenariat entre Ferrari et HP. L’édition 2024 de la course verra également l’écurie italienne dévoiler une livrée spéciale. La livrée 2025 sera dévoilée mercredi, à l’approche du week-end à Miami, lorsque Lewis Hamilton et Charles Leclerc piloteront les deux SF-25 lors d’une démonstration sur la piste.

Ferrari aborde le week-end de course avec l’intention de remporter sa première victoire de la saison. Lors de la dernière course à Djeddah, Leclerc a décroché la troisième place, le premier podium de Ferrari cette année.

Bernie Ecclestone voit en Mick Schumacher un atout de poids pour une écurie américaine de F1

Bernie Ecclestone, ancien patron emblématique de la Formule 1, estime que Mick Schumacher représenterait un choix stratégique pour une écurie souhaitant s’imposer sur le marché américain en pleine expansion. Alors que la F1 connaît un essor sans précédent aux États-Unis, en grande partie grâce au succès de la série documentaire Drive to Survive sur Netflix, les enjeux commerciaux autour de la composition des équipes prennent une dimension nouvelle.

Avec trois Grands Prix désormais organisés sur le sol américain — à Miami, Austin et Las Vegas — et l’arrivée attendue d’une onzième équipe en 2026, celle de Cadillac, les spéculations vont bon train concernant les futurs pilotes de la structure soutenue par General Motors.

Parmi les noms évoqués pour rejoindre la future écurie figurent des profils expérimentés comme Sergio Perez, Valtteri Bottas ou Zhou Guanyu. Cadillac envisagerait également d’aligner un pilote américain, avec Colton Herta, régulièrement cité comme candidat crédible.

Mais pour Bernie Ecclestone, Mick Schumacher pourrait constituer une alternative pertinente. Fils du septuple champion du monde Michael Schumacher, le pilote allemand allie notoriété, potentiel marketing et expérience de la F1, autant d’atouts qui pourraient séduire une équipe désireuse de s’implanter solidement dans un marché aussi stratégique que celui des États-Unis.

Sans s’opposer à la présence d’un pilote local, Ecclestone souligne que le nom Schumacher bénéficie d’une résonance internationale, particulièrement forte sur le marché nord-américain. Une carte que Cadillac pourrait vouloir jouer pour marquer les esprits dès son arrivée sur la grille.

S’adressant à F1-Insider, Ecclestone a déclaré : « Si Michael avait été à ses côtés, Mick serait aujourd’hui un pilote régulier de Formule 1. Ce qui plaide en sa faveur : le nom Schumacher a encore plus de prestige aux États-Unis qu’en Europe. La Formule 1 pourrait continuer à utiliser ce nom. »

Schumacher n’a plus couru en F1 depuis la fin de la saison 2022. Haas l’avait écarté après deux saisons, préférant finalement Nico Hülkenberg. Depuis, Schumacher a été pilote d’essai et de réserve chez Mercedes, tout en courant pour Alpine dans le Championnat du monde d’endurance.

L’ancien patron d’AlphaTauri, Franz Tost, a également soutenu Schumacher pour un éventuel retour.
« J’espère qu’il n’est pas trop tard pour Mick », a ajouté Tost. « En Formule 1, on est vite oublié si on s’absente trop longtemps. Mais Mick a toujours ce qu’il faut. Avec une préparation adéquate, il serait un bon choix pour Cadillac. »