L’ingénieur de course de Lewis Hamilton, Peter Bonnington, a obtenu une promotion au poste de responsable de l’ingénierie chez Mercedes, ce qui veut dire que le Britannique ne suivra pas son pilote chez Ferrari l’an prochain.
Bonnington travaille aux côtés du septuple champion du monde Lewis Hamilton depuis 2013 lorsque le pilote britannique a rejoint l’équipe Mercedes. Ensemble, ils ont remporté pas moins de six titres mondiaux grâce à une excellente entente au cours de ces dernières années.
Mais lorsque Lewis Hamilton a annoncé en début d’année qu’il rejoindrait dès 2025 la Scuderia Ferrari, on ne savait pas si Bonnington [allias Bono] suivrait le septuple champion du monde à Maranello où bien s’il resterait chez Mercedes.
Cependant, avant le Grand Prix des Pays-Bas programmé ce week-end à Zandvoort, un porte-parole de l’écurie du constructeur allemand a confirmé à F1.com que Bonnington assumerait désormais un nouveau rôle avec effet immédiat au sein de l’équipe tout en continuant à être l’ingénieur de course de Lewis Hamilton pour le reste de la saison 2024.
A partir de l’an prochain, « Bono » continuera à assumer la double casquette responsable de l’ingénierie/ingénieur de course chez Mercedes, mais on ne sait pas encore avec quel pilote il travaillera, car Mercedes n’a pas encore nommé le remplaçant de Lewis Hamilton.
Le nouvel accord entre Bonnington et Mercedes s’inscrit dans la continuité d’une collaboration qui a débuté lorsque l’écurie s’appelait encore Honda, puis Brawn GP et enfin Mercedes. Durant cette période, Bono a pu travailler avec Michael Schumacher ou encore Jenson Button.
Après quelques semaines de repos, le triple champion du monde de F1, Max Verstappen, s’apprête à entamer la dernière moitié de la saison 2024 avec sa course à domicile aux Pays-Bas où l’Armée Orange [les fans de Verstappen] sera très certainement présente en masse dans les tribunes comme chaque année.
Avant cette quinzième manche de la saison, le pilote Red Bull Max Verstappen est toujours leader du championnat du monde des pilotes avec une avance de 78 points sur le Britannique Lando Norris. Pour sa course à la maison, le Néerlandais n’aura qu’un seul objectif en tête ce week-end : gagner.
« C’était bien de passer du temps à se détendre avec sa famille et ses amis pendant la pause estivale et je suis revigoré et prêt pour la deuxième moitié de la saison. » a déclaré Max Verstappen à la veille du Grand Prix des Pays-Bas.
« C’est génial de reprendre avec sa course à domicile. L’ambiance est toujours fantastique et les fans sont incroyables, c’est donc quelque chose de spécial pour moi. »
« C’est un superbe circuit, avec ses lignes droites courtes et sa piste étroite, et j’espère que nous pourrons revenir encore plus forts pour cette course. »
« Nous attendons avec impatience la semaine à venir et espérons pouvoir nous battre pour la victoire. » a ajouté le leader du championnat du monde.
Alors qu’il ne reste que dix Grands Prix à disputer cette saison, Max Verstappen n’est pas encore assuré de décrocher un quatrième titre mondial en Formule 1 malgré son avance, le pilote Red Bull ayant désormais une concurrence féroce face à lui, notamment du côté de chez McLaren ou encore Mercedes qui a progressé de façon spectaculaire avant la pause estivale.
Le directeur technique exécutif d’Alpine, David Sanchez, a défini les principaux objectifs sur lesquels l’équipe se concentrera au cours de la seconde moitié de saison 2024, après une première partie de campagne compliquée pour l’écurie du constructeur français.
Jusqu’à présent, l’année 2024 a été riche en événements pour Alpine, que ce soit sur ou hors piste – car en plus de faire face à plusieurs changements dans sa direction et ses structures techniques – l’équipe basée à Enstone au Royaume-Uni a également connu un manque de cohérence dans ses résultats.
Une première partie de saison faite de hauts et de bas donc pour Alpine qui occupe avant le Grand Prix des Pays-Bas la huitième place au championnat du monde des constructeurs avec seize points de retard sur la petite écurie américaine Haas, et alors qu’il ne reste que dix Grands Prix à disputer.
Ayant rejoint Alpine cette année après un très court passage par McLaren, David Sanchez affirme que Alpine aura pour objectif principal d’atteindre un niveau de performance plus constant lors de la deuxième moitié de saison afin d’augmenter de façon significative son total de points.
« En regardant comment nous avons terminé la première moitié de saison, notre objectif pour la deuxième partie de saison sera d’essayer de nous stabiliser du côté élevé de notre niveau de performance, ce qui consiste à essayer d’entrer régulièrement en Q3 en qualifications. » a expliqué Sanchez.
« C’est difficile parce que les meilleures équipes rendent la Q3 très chargée. Mais nous l’avons déjà vu : si nous pouvons extraire tout le potentiel de la voiture et apporter des améliorations, nous pourrons alors aspirer à être à la limite du top 10 et à y rester. »
« C’est l’un des objectifs clés : être constant et tirer le maximum de performance de la voiture. Si nous y parvenons, nous devrions marquer plus de points au championnat et nous verrons exactement jusqu’où nous pouvons aller à la fin de l’année. »
Parallèlement à cela, David Sanchez souhaite que l’équipe continue de développer son état d’esprit, un état d’esprit qu’il a identifié comme « différent » de l’attitude adoptée dans le passé.
« Un autre objectif pour l’équipe est d’essayer de continuer à construire les fondations du type d’état d’esprit de course que nous aimerions construire pour l’avenir. » a ajouté le Français.
« C’est différent de ce que nous avons connu ces derniers mois ou ces dernières années, mais c’est une transformation en cours, qui a déjà porté ses fruits et nous continuons certainement à bâtir sur celle-ci. »
Sur un plan plus personnel, David Sanchez a signé son retour à Enstone en mai dernier près de 20 ans après avoir débuté sa carrière en F1 avec Renault. Il est ensuite passé chez Ferrari pendant dix ans, puis McLaren pour seulement quelques semaines, avant de rejoindre Alpine.
Réfléchissant à la façon dont il s’est installé à Enstone, Sanchez a commenté : « J’ai rejoint l’équipe début mai après un début de saison difficile. »
« Je dois dire que l’équipe a bien réagi, car beaucoup de changements ont eu lieu en très peu de temps [notamment l’arrivée d’un nouveau Team Principal]. Nous avons examiné le plan de développement et essayé d’établir une voie à suivre pour développer la voiture de manière assez agressive. »
« Nous avons vu quelques évolutions en Belgique, ce qui a été une première étape. Nous en avons beaucoup d’autres à venir plus tard dans la saison, et jusqu’à présent, je dois dire que l’équipe a été formidable, donc je m’y suis plutôt bien intégré, et nous allons essayer de nous appuyer sur cela pour l’avenir et de continuer à apporter de plus en plus de performance. »
Red Bull a confirmé qu’il y aurait du changement du côté du garage de Sergio Perez lors de la reprise de la saison 2024 avec un nouvel ingénieur de course pour le pilote mexicain à partir du Grand Prix des Pays-Bas programmé ce week-end à Zandvoort (du 25 au 27 août).
Ingénieur de course de Sergio Perez depuis la saison 2021, Hugh Bird quittera temporairement ses fonctions à partir du Grand Prix des Pays-Bas pour observer un congé de paternité. Ce poste sera donc désormais occupé par Richard Wood, actuellement ingénieur performance chez Red Bull.
« Hugh, mon ingénieur de course, attend un bébé très bientôt, il va donc passer un peu de temps à la maison et je lui souhaite, ainsi qu’à sa famille, bonne chance pour le nouveau-né. Woody, mon ingénieur de performance, prendra le relais entre-temps. » a commenté Sergio Perez à la veille du Grand Prix des Pays-Bas.
Sergio Perez a ajouté que la pause estivale lui a permis de recharger les batteries après une première moitié de saison compliquée pour le Mexicain. Le coéquipier de Max Verstappen entame donc la seconde moitié de saison frais et revigoré : « J’ai hâte de remonter dans la voiture ce week-end. » a ajouté Perez.
« La pause a été très importante pour tout le monde dans l’équipe et dans l’ensemble du sport, avec autant de courses, tout le monde a désormais plus que jamais besoin de repos et de temps de récupération. »
« J’ai passé du temps au Mexique avec ma famille et je me sens reposé et prêt à entamer la deuxième moitié de saison, et je sais que mon équipe ressent la même chose. J’étais à Milton Keynes [à l’usine Red Bull] cette semaine avec eux. »
« Je sais ce que nous pouvons extraire de la voiture dans les semaines à venir et nous ferons notre mieux pour maximiser la seconde moitié de la saison 2024. »
Avant le Grand Prix des Pays-Bas, Sergio Perez occupe la septième place au championnat du monde des pilotes avec 19 points de retard sur le pilote Mercedes Lewis Hamilton.
Le pilote de réserve de la Scuderia Ferrari, Robert Shwartzman, sera en piste ce vendredi lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix des Pays-Bas programmé sur le tracé de Zandvoort.
Le jeune homme remplacera directement le Finlandais Valtteri Bottas au volant de la Stake lors des EL1 ce vendredi à Zandvoort. Ce roulage fait partie du programme des jeunes pilotes imposé par la Formule 1 et qui oblige les écuries de la grille à faire rouler des jeunes le vendredi.
« Comme lors des éditions précédentes, nous travaillons en partenariat avec la Scuderia Ferrari pour donner l’opportunité aux jeunes talents de participer aux séances d’essais. » a indiqué l’équipe Stake F1.
Le titulaire Valtteri Bottas pour sa part débutera son week-end lors des EL2 un peu plus tard dans la journée ce vendredi à Zandvoort.
Pour rappel, la saison 2024 de Formule 1 reprend ce week-end avec le Grand Prix des Pays-Bas. Vous pourrez suivre toutes les séances de roulage en direct sur notre site en accédant tout au long du week-end à notre Live Center accessible ici.
C’est un Lando Norris frais et complétement revigoré qui s’apprête à entamer la seconde moitié de saison, alors que le pilote McLaren est actuellement deuxième au championnat du monde.
Après avoir passé le plus clair de son temps avec sa famille et ses amis cet été, Lando Norris se sent d’attaque pour la dernière ligne droite de la saison 2024 qui reprend ce week-end à Zandvoort avec le Grand Prix des Pays-Bas, quinzième manche du championnat du monde.
« J’ai passé de très bons moments pendant les vacances d’été. » nous confie le pilote britannique à la veille du Grand Prix des Pays-Bas.
« C’est toujours bien de prendre un peu de repos et de se concentrer sur le temps passé avec sa famille et ses amis. Je me sens revigoré et prêt pour les dix dernières courses de l’année. »
« J’attends avec impatience le Grand Prix des Pays-Bas. C’est une bonne course pour débuter la deuxième moitié de la saison. » ajoute Norris.
« Il y a toujours beaucoup de fans dans le public qui apportent une ambiance formidable. C’est aussi un circuit agréable sur lequel piloter. J’espère que nous pourrons continuer là où nous nous sommes arrêtés et continuer à nous battre pour les victoires et les podiums. »
Avant la course à domicile du leader du championnat Max Verstappen, Lando Norris reste le plus proche adversaire du Néerlandais. Le pilote McLaren accuse un retard de 78 points sur le pilote Red Bull, alors qu’il reste encore dix Grands Prix et trois courses Sprint à disputer cette année.
Lewis Hamilton a expliqué qu’en tant que co-producteur du prochain film baptisé F1 il a eu son mot à dire concernant le scénario et le septuple champion du monde a veillé à ce qu’il soit le plus proche possible de la réalité.
Intitulé F1 , le film est réalisé par Joseph Kosinski et produit par Jerry Bruckheimer, Brad Pitt lui-même et le septuple champion de Formule 1 Lewis Hamilton, entre autres. F1 devrait être distribué dans les salles et en IMAX par Warner Bros. Pictures à l’international le 25 juin 2025 et en Amérique du Nord le 27 juin 2025.
Le film tourné dans différents paddocks de la Formule 1 met en vedette Brad Pitt dans le rôle de l’ancien pilote de Formule 1 Sonny Hayes, qui revient dans le sport pour s’associer à son coéquipier débutant Joshua Pearce – joué par Damson Idris – dans l’équipe fictive nommée APXGP.
Le tournage de F1 – dans lequel jouent également Kerry Condon, Javier Bardem, Tobias Menzies, Sarah Niles, Kim Bodnia et Samson Kayo – a eu lieu lors de véritables événements de la F1.
Lorsqu’on demande à Lewis Hamilton à quel point il a été impliqué dans la réalisation du film, le pilote Mercedes a déclaré au magazine Esquire : « Je connaissais Joe [Kosinski, le réalisateur] depuis Top Gun : Maverick par l’intermédiaire de Tom [Cruise]. »
« Tom m’a mis en contact avec Joe, et nous avons discuté de notre participation au film. Et puis nous sommes restés en contact. Puis nous nous sommes tous reconnectés pour parler de la possibilité de faire un film sur la Formule 1. Et puis nous avons suivi tout ce processus de travail avec un scénariste. »
Avant de commencer à tourner, un scénario a évidemment été écrit, et Lewis Hamilton a tenu à ce que les fans de Formule 1 puissent reconnaître leur sport préféré dans ce film : « Ehren [Kruger, le scénariste] a fait énormément de recherches, a regardé beaucoup de courses, est venu à plusieurs courses, puis est reparti et a écrit un scénario. »
« Mais nous nous sommes assis et avons discuté de ce qu’est la course automobile. Ensuite, une fois qu’il a écrit le scénario, je me suis assis avec lui et je lui ai dit que c’était des conneries, des choses qui ne semblent pas réelles et qui ne correspondent pas à ce qu’est la F1, et j’ai essayé de faire en sorte que ce soit aussi authentique que possible. »
« Puis, en parallèle, j’ai lancé une société de production, donc je suis producteur avec ces gars. J’ai pu être impliqué dans tous les domaines, donc je m’assure que le casting soit diversifié, que nous ayons une femme lors des arrêts au stand – ce que nous n’avons jamais eu sur les circuits. »
« Hans Zimmer était quelqu’un que je voulais avoir pour faire la musique du film, donc nous avons Hans Zimmer. Joe [Kosinski, le réalisateur] a été incroyable en m’incluant dans tout. »
Lorsqu’on lui demande quelles genres de « conneries » il a pu constater dans le scénario initial, le septuple champion du monde a ajouté : « Il s’agissait simplement de scénarios liés à la course. Les ingénieurs devaient parler un jargon technique. »
« Mais c’était surtout des scénarios de course et des séquences entre les dépassements et les arrêts au stand ou les stratégies et toutes sortes de choses de ce genre. Il y avait aussi un accident où la voiture heurtait le mur, se retournait, atterrissait sur ses roues et continuait à rouler, ce qui n’arrive pas en Formule 1. »
Dans le film F1, Brad Pitt incarne un ancien pilote qui revient sur les circuits quelques années plus tard pour aider un jeune pilote. Lorsqu’on demande à Hamilton s’il a pu rouler avec Brad Pitt sur une piste avant que le tournage du film ne débute, le Britannique a répondu : « Ouais. Nous sommes allés sur un circuit à Los Angeles, je l’ai emmené et je me suis ensuite assis sur le siège passager et il a conduit. »
« J’étais entraineur de pilotage quand j’étais jeune. C’était une façon de gagner un peu d’argent à temps partiel pendant que je courais. J’ai donc eu l’occasion de m’asseoir avec Dieu sait combien de pilotes non-pilotes. On peut immédiatement distinguer les bons et les mauvais. Il [Brad Pitt] était tout de suite dans le coup. »
« On pouvait voir qu’il avait ça. Il a ça dans son ADN. Il n’a simplement pas été capable de le perfectionner comme nous. Mais il a gros potentiel. »
Le directeur de Red Bull, Christian Horner, estime qu’il y aura une bataille « acharnée » entre les quatre meilleures équipes de la grille en F1 au cours des dix-huit prochains mois, les écarts ayant continué à se réduire à mesure que la saison 2024 progresse.
Avant la reprise de la campagne 2024 ce week-end à Zandvoort, Red Bull est leader du championnat du monde des constructeurs, mais l’écart avec McLaren – deuxième – n’est « que » de 42 points, tandis que Ferrari est à 63 points et Mercedes à 142 points.
Bien que la marge soit encore assez grande pour Red Bull, l’équipe de Milton Keynes voit peu à peu ses rivaux réduire l’écart et Christian Horner s’attend à voir une certaine convergence à un moment donné avec quatre équipes capables de se battre pour le titre mondial jusqu’à la fin de la saison 2025.
« Je pense que c’est formidable pour le sport, et c’était presque inévitable lorsque vous obtenez une cohérence dans les réglementations, vous obtenez toujours une convergence. » estime Horner.
« Je me souviens que lorsque j’ai commencé à courir en Formule 1, Ron Dennis [ancien patron de McLaren, ndlr] en parlait déjà en 2005. La convergence a toujours rapproché les équipes. »
« Bien sûr, nous aurons un grand changement de réglementation en 2026 qui entrainera des divergences, mais d’ici là, dans les dix-huit prochains mois, je pense que les quatre équipes se disputeront à égalité. »
Alors que Max Verstappen a accru son avance au championnat pilotes lors de la dernière course disputée en Belgique avant la trêve estivale, l’avantage de Red Bull sur McLaren au championnat constructeurs a une nouvelle fois diminué après que Sergio Perez ait fait face à un autre week-end difficile.
Christian Horner espère cependant que son équipe pourra se concentrer sur le championnat constructeurs lorsque la saison 2024 reprendra ce week-end aux Pays-Bas : « Pour nous, l’accent est mis sur le championnat des constructeurs, où nous avons encore perdu sept ou huit points à Spa. Nous devons renverser la situation après la pause à Zandvoort. » insiste le Britannique.
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Le conseiller motorsport de Red Bull, Helmut Marko, a indiqué qu’une décision concernant l’avenir du Néo-Zélandais Liam Lawson – actuellement pilote de réserve chez Red Bull – serait prise au mois de septembre.
Liam Lawson – âgé aujourd’hui de 22 ans – a impressionné beaucoup de monde en 2023 lorsqu’il a remplacé à la hâte l’Australien Daniel Ricciardo au volant de l’AlphaTauri pour plusieurs Grands Prix. Cependant, malgré ses performances remarquables au volant d’une monoplace de Formule 1, le pilote néo-zélandais a été laissé sur la touche pour 2024 et a dû se contenter d’un poste de réserviste.
Mais à partir du mois de septembre, Liam Lawson devra prendre une décision concernant son avenir et pourra contractuellement chercher un baquet ailleurs que dans le giron Red Bull, ce qui place finalement Red Bull sous pression car le jeune homme pourrait bien filer à la concurrence avec encore quatre baquets disponibles en Formule 1 pour 2025.
« C’est une période difficile pour quelqu’un comme Liam, surtout parce qu’il a sauté dans la voiture dans des circonstances très, très difficiles et s’en est très bien sorti. » a déclaré Helmut Marko à ESPN.
« Nous lui accordons une grande estime et il aura sa chance. Attendez un peu. En septembre, vous aurez une réponse. » a ajouté l’Autrichien.
Concrètement, Red Bull dispose encore d’un baquet libre pour 2025 chez Visa Cash App RB puisque seul Yuki Tsunoda a été titularisé pour la saison prochaine, ce qui n’est pas le cas de son coéquipier Daniel Ricciardo.
Adrian Newey, le directeur technique sortant de l’équipe Red Bull en F1, a expliqué qu’il ne s’intéressait pas à toutes les rumeurs qui circulent sur le web au sujet de son avenir.
Immédiatement après cette annonce, Adrian Newey a lui-même indiqué aux médias qu’il comptait prendre beaucoup de recul avec la Formule 1 afin de profiter de la vie et de sa famille, mais le Britannique a également indiqué qu’il reviendrait « probablement » dans le paddock après une pause bien méritée.
Depuis lors, les spéculations concernant l’avenir de Newey vont bon train et il ne se passe pas un jour sans qu’un « média » n’annonce l’arrivée officielle de l’ingénieur britannique dans une équipe de la grille. Annoncé chez Ferrari le lundi, Adrian Newey est ensuite annoncé chez Aston Martin le mardi, puis finalement annoncé chez McLaren le mercredi…
Interrogé lors d’une apparition dans le podcast Talking Bull de Red Bull sur ce qu’il ressentait en voyant son nom mentionné toutes les semaines dans les médias et sur les réseaux sociaux, Adrian Newey a expliqué : « C’est très facile, parce que je ne regarde pas vraiment les réseaux sociaux et je ne lis pas particulièrement les magazines. C’est quelque chose que j’ai arrêté de faire il y a longtemps. »
« Cela date de l’époque où je travaillais à Leyton House, où j’ai construit la première voiture en 1988. C’était une bonne petite voiture. Puis, en 1989 nous l’avons complétement ratée, et je suis donc passé du statut de héros du paddock de la F1 du côté des ingénieurs à celui d’idiot qui n’a connu qu’un seul succès. »
« Je me suis alors dit qu’on ne pouvait pas lire la presse quand elle était positive et s’énerver quand elle était négative. A ce moment-là, je me suis dit : « Ok, ne lis pas la presse ! ». »
« Mandy, ma femme, suit les réseaux sociaux. Elle me tient au courant de ce qui se passe, mais je n’en suis pas vraiment conscient. J’essaie simplement de mener ma vie sans me laisser influencer par elle. »
D’ailleurs, certains fans ont comparé le suspense autour de l’avenir de Newey à une véritable roulette russe, digne d’un casino en ligne argent réel, où chaque jour apporte une nouvelle rumeur aussi imprévisible qu’un tirage au sort.
Officiellement, Adrian Newey n’est plus impliqué dans les décisions stratégiques de l’équipe Red Bull en Formule 1 et sa présence sur les circuits n’est désormais plus devenue obligatoire. Il quittera définitivement son poste au début de l’année 2025.
La future équipe Audi F1 sera-t-elle prête à prendre le risque de signer Mick Schumacher aux côtés de Nico Hülkenberg ? Le champion du monde 1997 Jacques Villeneuve pense que oui.
Remercié par l’écurie Haas après deux saisons passées en F1 en tant que titulaire, Mick Schumacher doit depuis se contenter d’un poste de pilote de réserve pour Mercedes en F1 et d’un rôle de titulaire dans le championnat du monde d’Endurance avec Alpine faute de baquet disponible en catégorie reine pour lui.
Alors qu’il reste encore quatre baquets disponibles sur la grille de la F1 pour 2025 (Mercedes, Alpine, VCARB et Audi), les chances de voir Mick Schumacher revenir en catégorie reine en tant que titulaire semblent minces. Mais selon Jacques Villeneuve, le constructeur allemand Audi pourrait faire le pari d’un duo de pilotes 100% allemand en choisissant Schumacher.
« Il semble qu’aucune équipe ne souhaite que Mick Schumacher pilote pour elle. Mick et son équipe ont fait pression, mais personne ne semble vouloir l’intégrer à leur équipe. » constate Villeneuve dans les colonnes de InstantCasino.com.
« Le problème est que ses années en F1 ne se sont pas terminées de manière positive. Il fait peut-être mieux et montre des signes prometteurs à son poste, mais les preuves sont là pour que tout le monde puisse les voir. »
« Pour les équipes, c’est inquiétant : veulent elles prendre le risque d’espérer que Mick soit meilleur qu’il ne l’était ? Il ne semble pas que ce soit le cas pour le moment. »
« Si une équipe engage Mick, c’est parce qu’elle veut l’image de Schumacher et dans l’espoir qu’il soit meilleur qu’il ne l’était chez Haas. C’est un pari qu’Audi pourrait être prête à prendre. »
Après la trêve estivale de la F1, l’équipe Red Bull se trouve dans une situation inconfortable avec une monoplace en manque d’équilibre et une concurrence qui ne cesse de progresser course après course, ce qui place l’écurie autrichienne sous pression pour la deuxième moitié de saison.
Après un début de saison réussi, l’équipe Red Bull a vu ses rivaux se rapprocher de plus en plus au fil des courses disputées, notamment McLaren, qui a déjà remporté deux Grands Prix cette année et qui a également décroché dix podiums consécutifs juste avant la pause estivale de la Formule 1.
Les progrès remarquables de McLaren ont permis à l’écurie de Woking de dépasser la Scuderia Ferrari au championnat du monde pour se retrouver désormais deuxième derrière Red Bull.
Dans ce contexte, l’équipe de Milton Keynes doit impérativement trouver des solutions, mais la pause estivale de deux semaines imposée en Formule 1 n’autorise pas les écuries à travailler sur le développement des monoplaces, ce qui signifie que Red Bull n’aura peut-être aucune solution à introduire sur sa monoplace pour la prochaine course qui se dispute ce dernier week-end d’août à Zandvoort aux Pays-Bas.
« Pendant les vacances, il ne se passe rien pendant deux semaines, ce qui signifie qu’aucun travail sur la voiture n’est possible. » rappelle Helmut Marko, conseiller motorsport chez Red Bull, dans les colonnes de Speedweek.
« Nous devons résoudre nos problèmes et découvrir où est l’erreur car nous n’avons plus d’équilibre dans la voiture si l’on compare la situation actuelle avec les trois premières courses. »
« Mais il est difficile d’estimer la rapidité avec laquelle cela se produira. Je ne pense pas qu’une grande solution viendra à Zandvoort. Nous procédons à un brainstorming intensif et avons également des idées différentes. Mais je ne peux pas encore dire ce que nous mettrons en œuvre et comment. »
« Une chose est claire : les qualifications seront cruciales à Zandvoort car les dépassements y sont difficiles. »
« Max [Verstappen] pourrait certainement réussir une bonne qualification, car il a été bon récemment. Nous avons été les plus rapides en Autriche et également à Spa. En Hongrie, il nous manquait quelques centièmes, nous nous plaignons donc à un niveau élevé. »
Avant le Grand Prix des Pays-Bas, l’équipe Red Bull est toujours leader du championnat du monde des constructeurs avec 42 points d’avance sur McLaren, alors qu’il reste encore dix Grands Prix à disputer cette saison.
Le champion du monde de F1 1997 Jacques Villeneuve ne pense pas que Lewis Hamilton regrettera son choix d’avoir quitté Mercedes pour rejoindre l’écurie Ferrari à partir de la saison 2025.
En début d’année, Ferrari a confirmé l’arrivée du septuple champion du monde Lewis Hamilton à Maranello à partir de la saison 2025. Le Britannique – âgé de 40 ans en janvier prochain – deviendra chez Ferrari le coéquipier du Monégasque Charles Leclerc.
La décision d’Hamilton a été prise alors que son actuelle équipe Mercedes rencontre de grandes difficultés depuis 2022 lorsqu’une nouvelle réglementation technique a été introduite en Formule 1.
Cependant, Mercedes a fait des progrès remarquables en quelques courses lors de la première moitié de saison cette année, à tel point que Mercedes se positionne désormais comme la meilleure équipe derrière McLaren en termes de performance pure – bien que Ferrari soit toujours devant au championnat.
Lorsque InstantCasino.com demande à Jacques Villeneuve s’il pense que Lewis Hamilton pourrait regretter son choix de quitter une équipe Mercedes en progression pour rejoindre une Scuderia Ferrari plus en difficulté, le Canadien a répondu : « Non, Lewis Hamilton avait besoin de changement de toute façon. »
« Il ne regrettera pas d’avoir quitté Mercedes cette année. L’avenir à long terme de Mercedes n’était pas avec Hamilton, ils ont George Russell et préparent Kimi Antonelli à prendre sa place. »
« Les deux parties attendaient une excuse pour se séparer, sans que cela ne devienne un combat. Ferrari est le défi ultime, et si Hamilton peut remporter un championnat avec eux, il entrera sans doute dans les mémoires comme le plus grand de tous les temps, toutes générations confondues. »
« Peu importe le nombre de championnats remportés par Hamilton, car certaines de ses saisons avec Mercedes ont été faciles, ce sont ces défis qui le distinguent. »
Lorsqu’on lui demande s’il pense que Lewis Hamilton a des chances de remporter un huitième titre mondial avec la Scuderia Ferrari, Jacques Villeneuve a ajouté : « Lewis Hamilton peut certainement remporter un championnat avec Ferrari. »
« Cette équipe pourrait avoir la dernière marche qui lui manque chez Mercedes pour lui permettre de remporter un autre titre. Hamilton devra piloter comme il l’a fait à Silverstone [lorsqu’il a remporté le GP de Grande-Bretagne cette année], mais plus d’une fois par an. »
« Chez Ferrari, il aura le potentiel de piloter comme Max Verstappen le fait actuellement, et cela pourrait renforcer sa concentration mentale tout au long de la saison car c’est un nouveau défi. Cela consoliderait sa place dans l’histoire. »
La frustration face au manque de progrès chez Alpine au cours des deux dernières saisons a été l’une des principales raisons pour lesquelles Esteban Ocon a choisi de rejoindre l’écurie Haas à partir de la saison 2025.
Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les joueurs recherchent des plateformes offrant des évolutions constantes et des mises à jour pour garantir une expérience optimale, Esteban Ocon a préféré rejoindre une équipe où il voit un meilleur potentiel de progression et d’amélioration.
Avant la pause estivale de la Formule 1, l’équipe Haas a confirmé l’arrivée prochaine dans ses rangs du Français Esteban Ocon qui fera équipe à partir de la saison 2025 avec le Britannique Oliver Bearman.
Expliquant son choix face aux médias lors du week-end du Grand Prix de Belgique qui s’est tenu juste avant la trêve estivale, le Français a expliqué que la frustration face au manque de progrès d’Alpine a joué un grand rôle dans sa décision de rejoindre Haas.
« J’ai pris la décision il y a bien longtemps de relever un nouveau défi. » a déclaré Esteban Ocon, cité par Racer.
« Je voulais écrire ma propre histoire, et évidemment, cinq ans en Formule 1 avec la même équipe, c’est long en Formule 1. Nous avons réalisé de bonnes choses, nous avons réalisé des choses un peu plus difficiles par moments, mais c’est sûr que cette saison a été frustrante. »
« Ce n’est un secret pour personne ; personne n’est content au sein de l’équipe de notre situation actuelle. » a-t-il ajouté, alors que Alpine occupe la huitième place au championnat du monde des constructeurs avec seize points de retard sur Haas.
« Il n’y a pas eu suffisamment d’améliorations sur certains aspects et sur certains problèmes techniques que nous avons pu rencontrer il y a des années. Ce cercle de développement et d’améliorations techniques, nous n’y sommes pas parvenus et nous sommes confrontés aux problèmes que nous avions il y a trois ans sur la voiture actuelle, ce qui n’est pas possible en Formule 1. »
« Je souhaite évidemment le meilleur à cette équipe, nous avons obtenu ensemble mon premier podium, ma première victoire, et cela restera toujours spécial dans mon cœur. »
« Je leur souhaite le meilleur pour l’avenir, mais avant cela, il nous reste encore une demi-saison à terminer et j’espère pouvoir faire de mon mieux pour finir en beauté avec cette équipe. »
Valtteri Bottas garde espoir de voir son équipe Stake inscrire ses premiers points de la saison lors de la deuxième partie de l’année après un début de saison « difficile ».
A la trêve estivale, l’équipe Stake (future écurie Audi) est la seule de la grille à ne pas avoir marqué le moindre point et occupe donc la dernière place au championnat du monde des constructeurs. Entre problèmes de fiabilité et manque de mises à jour, les deux pilotes n’ont en effet jamais réussi à terminer dans les points au cours des quatorze premières manches de l’année.
S’exprimant après le Grand Prix de Belgique disputé début août, Valtteri Bottas a admis que la saison a été jusqu’à présent « difficile » : « Cela a été une année difficile pour nous. »
« Nous n’avons toujours pas marqué un seul point, ce qui n’était l’objectif de la saison. Nous voulions voir une trajectoire ascendante par rapport à l’année dernière, mais cela n’a pas eu lieu. » regrette Bottas.
« Nous avons commencé la saison avec une voiture qui n’était pas si facile à régler, et même en rythme pur, nous n’étions pas tout à fait au niveau. Nous avons fait quelques progrès depuis, mais plutôt à petits pas plutôt qu’à grands pas, contrairement à certaines équipes autour de nous. »
Pour la deuxième partie de saison, Valtteri Bottas espère qu’il sera en mesure d’extraire tout le potentiel de sa monoplace lors de chaque week-end afin de terminer cette campagne 2024 avec un maximum de points marqués, alors qu’il ne reste plus que dix Grands Prix à disputer.
« Nous avons besoin de rendre la voiture plus rapide. Cela vient en grande partie de la soufflerie, du bureau d’études, etc…De mon côté, je suis satisfait de mes performances, et mon travail pour le reste de la saison consistera à extraire tout ce que je peux du package de chaque week-end. C’est mon travail. » a ajouté le Finlandais dont le contrat avec Stake arrive à son terme à la fin de l’année.
Avant le Grand Prix des Pays-Bas 2024, c’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui est leader du championnat du monde avec 277 points inscrits depuis le début de la saison. Le Néerlandais devance le pilote McLaren Lando Norris de 78 points, tandis que le pilote Ferrari Charles Leclerc occupe la troisième place avec 22 points de retard sur Norris.
Quatrième de ce classement pilotes, Oscar Piastri n’est qu’à dix points de Charles Leclerc et devance Carlos Sainz de seulement cinq points. Sixième du classement, le pilote Mercedes Lewis Hamilton devance de 19 points le pilote Red Bull Sergio Perez, alors que George Russell occupe la huitième place avec 15 points de retard sur le Mexicain.
Les deux pilotes Aston Martin, Fernando Alonso et Lance Stroll, complètent le top dix au classement des pilotes avant la reprise de la saison 2024.
Classement pilotes F1 2024
P
Pilote
Equipe
Points
1
O. Piastri
McLaren
234
2
L. Norris
McLaren
226
3
M. Verstappen
Red Bull
165
4
G. Russell
Mercedes
147
5
C. Leclerc
Ferrari
119
6
L. Hamilton
Ferrari
103
7
K. Antonelli
Mercedes
63
8
A. Albon
Williams
46
9
N. Hülkenberg
Sauber
37
10
E. Ocon
Haas
23
11
I. Hadjar
VCARB
21
12
L.Stroll
Aston Martin
20
13
P. Gasly
Alpine
19
14
F. Alonso
Aston Martin
16
15
C. Sainz
Williams
13
16
L. Lawson
VCARB
12
17
Y. Tsunoda
Red Bull
10
18
O. Bearman
Haas
6
19
G. Bortoleto
Sauber
4
20
F. Colapinto
Alpine
0
21
J. Doohan
Alpine
0
Du côté du classement constructeurs, Red Bull est leader avec 408 points inscrits depuis le début de l’année, soit 42 de plus que McLaren qui est deuxième et 63 de plus que Ferrari troisième du championnat du monde.
Quatrième de ce classement, l’écurie Mercedes n’est qu’à 79 points de la troisième place occupée par Ferrari, tandis que Aston Martin est cinquième avec un retard de plus de 190 points sur Mercedes.
Sixième du championnat, l’équipe Visa Cash App RB devance Haas de seulement sept points, tandis que Alpine occupe la huitième place du classement avec seize points de retard sur l’écurie américaine.
Enfin en bas de classement, l’équipe Williams est avant-dernière avec seulement quatre points marqués avant la trêve estivale, alors que l’écurie Stake est la seule de la grille à ne pas avoir encore ouvert son compteur de points cette saison.
Après la traditionnelle pause estivale de quelques semaines, la Formule 1 reprend ses droits cette semaine avec la première course de la seconde moitié de saison programmée aux Pays-Bas sur le circuit de Zandvoort, théâtre de la quinzième manche du championnat du monde 2024.
Pour sa rentrée des classes, la Formule 1 s’apprête à disputer ses deux dernières courses en Europe avec le Grand Prix des Pays-Bas (du 23 au 25 août) et celui d’Italie sur le tracé de Monza (du 30 au 1er septembre). Ces deux courses sont programmées en back-to-back, c’est à dire qu’elles se suivent d’un week-end à l’autre.
Après la dernière course en Europe disputée à Monza, la F1 prendra la direction de Bakou en Azerbaïdjan, puis Singapour pour ce qui sera la dernière course du mois de septembre.
Direction ensuite les Etats-Unis sur le circuit d’Austin avec un week-end de Grand Prix Sprint (le quatrième de la saison), avant que les équipes ne prennent la direction du Mexique une semaine plus tard pour y disputer la vingtième manche de l’année sur le tracé de Mexico.
Le Brésil accueillera la 21ième manche de la saison et le cinquième week-end Sprint de l’année à partir du 1er novembre, tandis que Las Vegas accueillera la dernière course de l’année sur le sol américain après Miami et Austin visités plus tôt dans la saison.
Enfin, le Grand Prix du Qatar (du 29 novembre au 1er décembre) accueillera le dernier week-end Sprint de l’année sur le circuit de Losail, il s’agira également de l’avant-dernière manche de la saison 2024 avant le Grand Prix d’Abou Dhabi programmé une semaine plus tard sur le tracé de Yas Marina.
Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc sur notre Live Center à partir de ce vendredi 23 août pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix des Pays-Bas en direct.
le Team Principal de Haas a tenu à féliciter toute son équipe pour les progrès réalisés au cours des derniers mois et qui ont permis à l’écurie américaine de se hisser à la septième place au championnat du monde des constructeurs.
Nommé directeur d’équipe peu avant le début de la saison 2024 en remplacement direct de l’emblématique Gunther Steiner, le Japonais Ayao Komatsu a immédiatement mis en place sa propre méthode de management au sein de la petite structure américaine, et force est de constater que les résultats sont bien au rendez-vous.
Avec 27 points au compteur après les quatorze premières manches de l’année, l’écurie Haas devance Alpine de seize points au championnat du monde et n’est qu’à sept points de la sixième place actuellement occupée par Visa Cash App RB (à la trêve estivale).
« Avoir 27 points, c’est formidable, c’est plus du double de ce que nous avions obtenu l’an dernier. » a déclaré Ayao Komatsu, cité par le site du championnat.
« Mais plus que ça, je pense que c’est très encourageant de voir comment nous travaillons ensemble en équipe. Ce n’était pas le cas jusqu’à la fin de l’année dernière, donc pour moi, c’est le plus grand point positif et c’est certainement bon signe que nous allons dans la bonne direction. »
« Dès le premier jour, j’étais convaincu que nous avions les bonnes personnes, des personnes incroyables, et il s’agissait donc de mettre tout cela ensemble et de donner à ces personnes un environnement dans lequel elles pouvaient se produire. »
« Tout le monde – peut importe qui vous êtes – informaticien, ingénieur de course, pilote ou financier – tout le monde doit comprendre ce que vous faites et comment cela contribuera aux performances sur la piste. »
« Une fois que vous commencez à construire cela et à faire passer le message, une fois que tout le monde sait comment il contribue, cela favorise également le travail d’équipe. »
« Il n’y a pas de culture du blâme ; quand quelque chose ne fonctionne pas, nous devons aller au fond des choses sans que cela ne devienne une chasse aux sorcières. Créer un espace sûr pour chacun où chacun peut aller de l’avant est la clé. » insiste-t-il.
A la tête de l’emblématique Scuderia Ferrari depuis maintenant plus de vingt mois, le Français Frederic Vasseur s’emploi méthodiquement à transformer l’équipe italienne en interne afin de lui permettre de décrocher un titre mondial derrière lequel elle court depuis 2008.
Cette année, Ferrari – et donc Vasseur – ne font pas du bon travail puisque l’écurie italienne occupe à la trêve estivale la troisième place au championnat du monde des constructeurs avec 21 points de retard sur McLaren et plus de 60 points sur le leader Red Bull.
Si les critiques continuent à l’extérieur, en interne, la situation est bien différente avec un Frederic Vasseur proche de ses hommes et qui essaie d’inculquer à toute son équipe la bonne mentalité.
« Je pense que ce serait une erreur de penser qu’il existe une liste de choses à faire, car il s’agit bien plus qu’une démarche d’amélioration continue. » explique Vasseur dans un entretien exclusif pour le site du championnat.
« Nous n’avons pas besoin de faire une seule chose et dire que c’est fait. Ma liste de choses à faire consiste à convaincre tout le monde dans l’usine que c’est comme ça. »
« Chaque jour, nous devons essayer de faire mieux qu’hier. C’est encore plus vrai aujourd’hui en F1, avec des écarts si faibles entre les équipes et les voitures. Chaque détail fait une énorme différence en termes de résultats. La moyenne entre nous et les gars devant est d’environ trois ou quatre centièmes de seconde. »
« À Imola, il y avait trois voitures à un millième près. Nous devons garder cela à l’esprit et nous assurer que nous essayons dans tous les domaines de l’entreprise, de la production à la conception, en passant par les opérations sur piste et l’aérodynamique, de chasser chaque dixième. »
Depuis son arrivée dans l’équipe en 2023, Vasseur a essayé de faire évoluer la mentalité en tentant de donner au personnel la confiance nécéssaire pour repousser les limites de leurs domaines respectifs sans crainte d’être critiqué, pointé du doigt ou même renvoyé dans les cas les plus extrêmes.
« Si je dois être fier de quelque chose, ce n’est pas le résultat. Le résultat est une conséquence. » insiste Frederic Vasseur.
« C’est plutôt le fait que tout le monde est disposé à prendre des risques, un peu moins effrayé – la conséquence est le résultat. Le fait aussi que nous essayons de changer un peu les mentalités. C’est une question d’état d’esprit. »
« On ne peut pas garder de marge. Il faut prendre des risques partout. C’est une mentalité de course. C’est probablement aussi l’ADN de Red Bull. C’est là que nous devons faire un pas en avant. »
« Il y a des gens qui sont capables de voir les aspects positifs et d’autres qui se concentrent sur les points à améliorer. Je pense que je suis plutôt du genre à privilégier ce dernier. »
« Je ne passe pas de temps ni d’énergie à me demander chaque matin : « Sommes-nous satisfaits de ce que nous avons fait ? ». Le plus important est de se concentrer sur ses faiblesses et de maintenir une approche d’amélioration continue. »
« Mon travail consiste plutôt à ne pas tout blâmer, à les pousser ou à essayer de les motiver. Mon travail consiste parfois davantage à rester calme sur le positif et le négatif. »
« La réaction est toujours d’amplifier tout, en interne d’abord mais aussi en externe – avec les journalistes – et cette partie de mon travail consiste à convaincre tout le monde que nous ne sommes pas champions du monde après le Canada ou Monaco. Et nous ne sommes pas bien pires une semaine après le Canada. »
Après la trêve estivale, il restera dix courses à Ferrari pour tenter de se rapprocher de Red Bull qui reste l’équipe à battre actuellement. Vasseur le sait, ce ne sera pas simple, mais l’ambiance est bonne désormais chez Ferrari : « L’ambiance est là et elle est importante pour le résultat final. Nous devons garder l’attitude positive que nous avons et essayer de faire un meilleur travail. » a-t-il insité.
Le Team Principal de McLaren, Andrea Stella, a admis que la compétitivité de son équipe a été quelque peu surprenante compte tenu de son manque de grosses améliorations jusqu’à présent, mais l’Italien a insisté sur le fait que d’autres nouveautés techniques seront bientôt introduites sur la MCL38.
La campagne 2024 s’est avérée jusqu’à présent très fructueuse pour McLaren puisque l’écurie basée à Woking occupe avant la reprise de la saison la deuxième place au championnat du monde des constructeurs, a déjà remporté deux Grands Prix (Miami et Budapest) et ses pilotes sont montés à plusieurs reprises sur le podium.
Compte tenu de la réglementation sur les tests aérodynamiques mise en place en F1 – qui autorise les équipes qui ont terminé plus bas dans le championnat de l’année précédente à effectuer plus de tests, tandis que celles qui sont en tête reçoivent moins de temps sur une échelle mobile – McLaren aura le plus de temps de développement à sa disposition pour la deuxième partie de l’année parmi les quatre meilleures équipes, après avoir terminé 2023 en quatrième place du classement des constructeurs.
Mais lorsqu’on interroge Andrea Stella pour savoir quel impact cela pourrait avoir sur la deuxième partie de saison pour McLaren, l’italien a répondu :« En ce qui concerne l’ATR, je ne suis pas sûr. En effet, Red Bull a réalisé plus de développements sur la piste jusqu’à présent, en termes de pièces physiques livrées lorsque vous regardez la soumission, que ce que nous avons fait. » a expliqué Andrea Stella.
« Mais je ne peux parler que pour McLaren, nous semblons être en mesure de tirer profit de ce développement que nous avons accumulé, et je m’attends à ce que pour la deuxième partie de la saison, nous ayons à plusieurs reprises de nouvelles pièces. »
« D’une certaine manière, je suis surpris que nous ayons été si compétitifs, sachant qu’à partir de Miami, nous n’avons pas apporté beaucoup de nouvelles pièces sur la piste. » a-t-il insisté.
« Cela signifie donc que la mise à niveau de Miami était évidemment importante, mais certaines améliorations interviendront dans la deuxième partie de la saison. »
Avant la reprise de la saison 2024 programmée le dernier week-end d’août à Zandvoort, McLaren occupe la deuxième place au championnat du monde des constructeurs avec 42 points de retard sur Red Bull.