Selon Nico Rosberg : « Sebastian Vettel n’a plus aucune chance »

Nico Rosberg estime que Lewis Hamilton et Mercedes remporteront certainement le championnat du monde 2019, alors que seul Valtteri Bottas pourrait éventuellement arriver à battre Hamilton.

Depuis le début de la saison 2019, Mercedes a signé huit victoires sur les huit courses disputées, laissant la Scuderia Ferrari sans la moindre victoire jusqu’à présent.

Cette année, Ferrari ne semble pas en mesure de pouvoir venir chercher Mercedes, alors que Max Verstappen est, selon Nico Rosberg, le meilleur pilote de la grille après Lewis Hamilton.

« La saison de Max Verstappen est parfaite. » estime Nico Rosberg. « Après Lewis [Hamilton], il est le meilleur pilote de la grille. »

« Il arrive à tirer le maximum de sa voiture et marque le maximum de points qui peuvent être obtenus avec sa RB15. Il signe donc une saison parfaite, alors que P4 semble être le maximum qu’il puisse faire avec sa RB15. »

« Sebastian Vettel n’a plus aucune chance, il ne reste donc que Bottas et nous savons tous que ce sera difficile. Lewis a tout simplement les meilleurs outils pour remporter le titre. Ce sera son sixième, c’est incroyable ! »

« Et puis il y a aussi Mercedes, qui devrait aussi remporter le titre constructeur pour la sixième fois d’affilé. Nous n’avons jamais vu cela en Formule 1. »

Le message est clair : McLaren n’a aucun plan pour placer Alonso dans sa F1

Le week-end dernier, McLaren et Renault ont annoncé avoir signé un accord pour utiliser en commun le pilote russe Sergey Sirotkin en tant que pilote de réserve.

Lors de cette annonce, beaucoup se sont demandés pourquoi McLaren n’a pas tout simplement placé Fernando Alonso au poste de pilote de réserve, alors que l’Espagnol fait toujours partie de l’équipe McLaren en tant qu’ambassadeur.

Pour Andreas Seidl, le patron de l’équipe de Woking, l’agenda de Fernando Alonso ne permettait tout simplement pas d’être présent sur toutes les courses cette année, et c’est pourquoi cet accord entre Renault et McLaren a été signé.

« Il n’est pas possible pour Fernando d’être là à chaque course comme pilote de réserve. Nous travaillons en étroite collaboration avec Renault dans le cadre du partenariat sur l’unité de puissance et Sergey [Sirotkin] sera sur chaque circuit jusqu’au terme de la saison. » explique Andreas Seidl, team principal de l’équipe McLaren.

« Il était donc logique d’avoir cette entente et de partager les ressources avec Renault, puisqu’en cas d’urgence, nous avons immédiatement un pilote de réserve sur place. C’est la raison de cet accord. »

Plus de place pour Fernando Alonso chez McLaren

Concernant l’avenir du pilote espagnol au sein de l’équipe, le message est on ne peut plus clair de la part du nouveau directeur : « Nous n’avons aucun plan pour placer de nouveau Fernando dans la F1 chez McLaren. »

« Nous sommes très heureux avec Lando et Carlos, ils font un travail fantastique et ils sont notre futur. »

« Cependant, il reste toujours membre de l’équipe McLaren en qualité d’ambassadeur de la marque, et je pense qu’il y aura des discussions dans le futur concernant d’autres projets potentiels en course. »

Sebastian Vettel y croit encore : « Nous devons garder la tête basse »

Après une médiocre cinquième place au Grand Prix de France dimanche dernier, Sebastian Vettel ne veut pas encore baisser les bras pour la lutte au championnat.

Après les huit premières courses de l’année, la Scuderia Ferrari n’a toujours pas réussi à décrocher une seule victoire face à une équipe Mercedes qui reste invaincue cette saison avec huit succès consécutifs.

Le quadruple champion du monde avait déclaré après le Grand Prix du Canada que les prochaines courses seraient cruciales pour Ferrari, alors que la pause estivale devrait être selon lui la limite pour savoir si l’équipe continue de se battre ou si elle doit passer au développement de la monoplace 2020.

« Il est vrai qu’à ce stade de l’année, nous étions un peu plus compétitifs l’an denier, mais c’est comme ça. Cela n’a pas beaucoup de sens de discuter de notre dernière course ou des dix dernières, en termes d’écart et de résultat. » explique Sebastian Vettel.

« Je pense que le plus important est de revenir sur ces courses et de comprendre ce que nous pouvons faire de mieux. C’est cette approche qu’il faut avoir. »

Ferrari doit Garder la tête basse

Enfin, Sebastian Vettel admet qu’il a apprécié le Grand Prix de France, même si beaucoup l’ont décrite comme « une course ennuyeuse » : « J’ai apprécié la course, même si j’étais un peu seul. »

« Il aurait été plus préférable de se battre pour la victoire que pour la cinquième place, mais ce que nous devons faire avant tout, c’est de garder la tête basse et nous assurer de ne pas passer le reste de l’année à cet endroit [la cinquième place]. »

Au championnat du monde des constructeurs, la Scuderia Ferrari est deuxième et accuse désormais 140 points de retard sur Mercedes.

L’avenir d’Hulkenberg chez Renault se jouera après la pause estivale

Le patron de Renault n’écarte pas l’idée de se séparer de Nico Hulkenberg à la fin de la saison 2019, alors que l’Allemand arrive au terme de son contrat cette année avec Renault.

Nico Hulkenberg arrive au terme de son contrat avec Renault à la fin de la saison 2019, et pour l’instant, aucune discussion sérieuse n’a encore eu lieu entre lui et son employeur pour une éventuelle prolongation.

Interrogé sur le sujet au Grand Prix de France, Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, admet que Renault dispose de plusieurs options pour son line-up en 2020, dont le Français Esteban Ocon, qui patiente sagement sur le banc de touche chez Mercedes  depuis la fin de la saison 2018.

Sans jamais le citer directement, mais en y faisant clairement allusion, Cyril Abiteboul n’écarte pas l’option Esteban Ocon, alors qu’il faudra attendre après la pause estivale pour en savoir davantage.

« La situation est claire, nous avons un contrat de deux ans avec Daniel [Ricciardo], alors que le contrat de Nico prend fin à l’issue de cette année. » expliquait Cyril Abiteboul le week-end dernier au Grand Prix de France.

« Comme cela a déjà été commenté dans la presse, il existe des options dont je ne révélera pas les détails [Esteban Ocon], et qui pourront être activées. »

« Il est donc possible que nous poursuivions avec Nico, parce qu’il a clairement délivré pour l’équipe. Lorsqu’on regarde les changements opérés dans l’équipe, il est clair que les pilotes y sont pour quelque chose, ce n’est pas que les ingénieurs. »

« Mais comme le fait tout le monde, nous devons aussi considérer les différentes options, tout comme le fait Nico lui-même. Donc, la situation est ouverte pour lui comme pour nous. Nous pouvons aussi possiblement continuer notre projet ensemble, donc, on verra. Le bon moment pour en parler sera probablement après la pause estivale. »

Helmut Marko nie les rumeurs sur le remplacement de Gasly par Kvyat

Depuis ce dimanche soir, la rumeur selon laquelle Pierre Gasly serait remplacé par Daniil Kvyat avant la fin de la saison 2019 chez Red Bull ne cesse de grandir.

Après un Grand Prix de France où il a terminé onzième [puis finalement dixième en raison de la pénalité infligée à Ricciardo], le Français Pierre Gasly est au centre d’une rumeur qui suggère que le Normand ne terminera pas l’année avec son équipe en raison de son manque de rythme au volant de la RB15.

Après les huit premières courses de la saison, Pierre Gasly n’a marqué que 37 points, tandis que son coéquipier Max Verstappen, qui dispose du même matériel que lui, en a déjà marqué trois fois plus.

Cette rumeur a pris encore plus d’importance après les propos de Christian Horner, le team principal de l’équipe, qui a déclaré ce dimanche soir qu’une enquête allait être menée en interne pour voir s’il n’y avait pas « des problèmes cachés » sur la voiture du Français.

Mais le conseiller motorsport de Red Bull, Helmut Marko, a nié catégoriquement cette rumeur selon laquelle le Russe Daniil Kvyat allait être promu à la place de Gasly avant la fin de l’année.

« Non, c’est une fausse rumeur. » a déclaré Helmut Marko. « La semaine dernière c’était Nico Hulkenberg qui devait le remplacer, et maintenant c’est Daniil Kvyat. »

« Je parle avec beaucoup de personnes, et j’ai même discuté avec son père, Jean. Nous prévoyons de terminer cette saison avec Gasly. »

« Il doit juste s’inquiéter de la vitesse qu’il a montré en France, C’est la raison pour laquelle nous allons démonter sa voiture avant l’Autriche pour voir s’il y a un problème. »

Le Grand Prix d’Autriche 2019 est programmé ce week-end à Spielberg, il s’agira de la course à domicile de l’équipe Red Bull Racing.

GP d’Autriche : Les horaires

Neuvième manche de la saison 2019 de Formule 1, le Grand Prix d’Autriche se disputera cette semaine sur le circuit Red Bull Ring de Spielberg.

Voici le programme TV complet du Grand Prix d’Autriche 2019 [pour la France] qui sera diffusé sur les chaînes du groupe Canal+ en direct et en intégralité [séances d’essais libres, qualifications et la course].

Vendredi 28 juin – essais libres 1 et 2

La première séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche sera à suivre sur Canal+ Décalé à 10h50 et en direct. La seconde séance d’essais libres à Spielberg sera à suivre à partir de 14h55 toujours sur Canal+ Décalé.

Samedi 29 juin – essais libres 3 et qualifications

La troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche sera à suivre ce samedi sur Canal+ Sport à partir de 11h40 en direct.

Les qualifications du Grand Prix d’Autriche 2019 seront diffusées sur Canal+ Sport à partir de 14h50, toujours en direct de Spielberg en Autriche.

Dimanche 30 juin – la course

Le départ du Grand Prix d’Autriche 2019 sera donné à 15h10 ce dimanche 30 juin, vous pourrez voir la course sur Canal+, alors que l’antenne sera prise à partir de 14h55 pour l’émission la grille.

Nico Hulkenberg en avait encore sous le pied au Grand Prix de France

Le pilote Renault Nico Hulkenberg a admis qu’il lui en restait encore un peu sous le pied ce dimanche au Grand Prix de France.

Le pilote allemand, qui s’élançait treizième sur la grille de départ, a terminé la course à la neuvième position, alors qu’il est resté bloqué dans le trafic durant une grande partie de la course.

Finalement, en raison des deux pénalités de cinq secondes chacune infligées à son coéquipier Daniel Ricciardo après l’arrivée de l’épreuve, Hulkenberg a gagné une place et sera officiellement classé huitième du Grand Prix de France.

« Nous avons effectué une bonne remontée et c’est agréable de retrouver le top dix. La course aurait peut-être été différente si nous nous étions un peu mieux qualifiés, mais cela reste un bel effort de passer de la treizième à la neuvième place [huitième après la pénalité de Ricciardo]. » a déclaré Nico Hulkenberg après le Grand Prix de France.

« J’ai attaqué sans relâche, mais j’étais coincé dans le trafic et les dépassements sont difficiles sur ce circuit. J’en avais encore sous le pied, ce qui démontre que nous sommes performants le jour de la course. »

« Les derniers tours étaient vraiment amusants, intenses et disputés et j’étais content d’y avoir gagné quelques positions. Nous avons démontré que notre rythme de course était là, mais nous devons encore travailler sur un tour. »

Notez que Nico Hulkenberg ne bénéficiait pas de la Sepc B du moteur Renault ce week-end au Grand Prix de France, contrairement à son coéquipier.

Le pilote allemand étant déjà à la limite concernant le nombre de composants autorisés par saison, il devra écoper d’une pénalité de grille lors de l’introduction de cette Sepc B.

Bravo aux organisateurs du Grand Prix de France 2019

Très critiquée en 2018 en raison des problèmes de circulation aux abords du circuit Paul Ricard, force est de constater que l’édition 2019 du Grand Prix de France a été un franc succès sur le plan de l’organisation.

Cette année, l’objectif principal des organisateurs du Grand Prix de France était de faire en sorte d’éviter les bouchons que nous avons tous connus l’an dernier pour le retour de la Formule 1 en France après dix ans d’absence.

Le Grand Prix de France 2018 avait attiré les foules sur le circuit Paul Ricard et, alors que les organisateurs de l’épreuve française avaient effectué un énorme travail pour pouvoir accueillir tous les spectateurs sur le tracé varois, la gestion des routes et des flux de circulation était laissée aux autorités locales compétentes l’an dernier.

Pour cette édition 2019, les organisateurs ont appris de leurs erreurs de 2018 et se sont plus impliqués dans les problèmes de circulation. Ils se sont préparés durant une année pour faire en sorte que le Grand Prix de France 2019 soit une véritable fête populaire. L’organisation a donc mis en place une série de mesures qui ont permis d’améliorer nettement les flux autour du tracé varois.

Certes, la fréquentation du Grand Prix de France 2019 a été en légère baisse par rapport à l’an dernier [tout de même 135 000 spectateurs sur les quatre jours en 2019], mais force est de constater que les conditions de circulation tout autour du circuit Paul Ricard étaient parfaites cette année.

Alors comme nous avons plutôt tendance à critiquer facilement lorsque quelque chose ne va pas, je profite de ce billet d’humeur pour féliciter les organisateurs, membres du staff, commissaires et autres bénévoles du Grand Prix de France, qui ont fait un travail remarquable cette année.

Bravo à vous tous, à l’année prochaine…

Cesare Ingrassia

Frederic Vasseur chez Ferrari ? : « Tout est possible » répond le Français

Depuis quelques semaines court la rumeur selon laquelle le Français Fred Vasseur pourrait éventuellement remplacer Mattia Binotto au sein de la Scuderia Ferrari.

Mattia Binotto, qui a été nommé team principal de la Scuderia Ferrari en début d’année en remplacement de Maurizio Arrivabene, serait déjà sur la sellette si l’on en croit la rumeur qui court dans le paddock de la F1 depuis quelques semaines.

En effet, depuis le début de la saison 2019, la Scuderia Ferrari n’a toujours pas décroché la moindre victoire, alors que Mercedes s’est offert huit victoires en autant de courses depuis le début de l’année.

Plongée dans une crise profonde depuis quelques années déjà, la Scuderia Ferrari n’a plus remporté le titre mondial depuis 2008 et ne semble pas en mesure d’inverser cette tendance cette année, bien au contraire.

De son côté, Frederic Vasseur semble transformer tout ce qu’il touche en or puisqu’il peut se targuer d’avoir réussi à décrocher de multiples titres dans toutes les catégories auxquelles il a participé comme la Formule Renault, la F3 Euroséries, le GP2, la F2 ou encore le GP3.

Désormais à la tête de l’écurie Alfa Romeo en Formule 1 [depuis 2017 en remplacement de Monisha Kaltenborn, alors que l’écurie s’appelait encore Sauber], le Français continue d’appliquer avec méthodologie toutes les recettes qui lui ont permis d’obtenir de nombreux succès tout au long de sa carrière.

Fred Vasseur peut-il prendre les commandes de la Scuderia Ferrari ?

Alors que d’Alfa Romeo à Ferrari il n’y a qu’un pas, Fred Vasseur peut-il vraiment devenir le prochain team principal de l’équipe Ferrari en Formule 1 ?

« Tout est possible. » déclare Fred Vasseur au micro de Marion Jollès Grosjean sur TF1. « Oui, j’ai commencé en Formule Renault en étant quinzième ou vingtième ici [au Castellet] sur la grille, donc oui, tout est possible. »

« Moi je suis concentré sur ce qu’on fait aujourd’hui, parce que c’est le plus important, et je pense que Mattia [Binotto] fait du bon boulot et voilà, on verra plus tard [pour le reste]. »

Si un tel cas de figure devenait réalité, Frederic Vasseur rejoindrait alors le pilote qu’il a laissé partir à la fin de l’année dernière, Charles Leclerc, et avec qui il a œuvré chez Alfa Romeo en 2018 pour faire en sorte de faire remonter l’équipe dans la hiérarchie.

La FIA répond à Vettel : « Aucun problème avec le timing de l’extinction des feux »

La FIA a confirmé qu’il n’y avait eu aucun problème avec le timing de l’extinction des feux ce dimanche au départ du Grand Prix de France.

Certains pilotes, dont Sebastian Vettel, se sont dit surpris par le timing d’extinction des feux sur la grille de départ du Grand Prix de France ce dimanche.

Selon le pilote Ferrari, les feux se sont éteints assez rapidement, peut-être plus rapidement que d’habitude, ce qui a surpris les pilotes.

Interrogé après les déclarations de Sebastian Vettel, Michael Masi, le directeur de course de la FIA, a déclaré que la procédure d’extinction des feux a été tout à fait respectée au Paul Ricard.

« La séquence s’est bien passée, tout était dans les limites. » a déclaré Masi. « Je pense que quelques pilotes ont dit que c’était un peu rapide, mais c’était certainement dans les tolérances que nous avons. »

« Une fois toutes les voitures arrêtées, le feu apparaît cinq secondes, suivi de quatre feux, trois, deux et un. Après l’extinction du dernier feu, la course démarre. »

« C’est peut-être leur point de vue, mais d’un point de vue réglementaire, la procédure était bien dans les limites. »

Gasly sous pression : Red Bull va vérifier d’éventuels « problèmes cachés » sur sa voiture

Après son Grand à domicile où il a terminé à la onzième place, Pierre Gasly se retrouve désormais dans une situation de plus en plus compliquée.

Le Français, qui a rejoint l’équipe Red Bull Racing en début d’année n’a jamais réussi à battre son coéquipier Max Verstappen lors des sept premières courses de la saison.

Ce week-end au Grand Prix de France, Pierre Gasly a signé le neuvième temps aux qualifications, plus d’une seconde derrière son coéquipier Max Verstappen, et alors que le Français avait des gommes Tendres chaussées sur sa monoplace.

En course, Pierre Gasly a réussi à conserver la huitième position sur son premier relais, mais une fois les pneus durs montés sur sa RB15, le Français a dégringolé au classement pour terminer le Grand Prix de France à la onzième position.

Après la course, le directeur de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, a qualifié le résultat de Pierre Gasly de « frustrant », alors que le Britannique va demander une vérification de sa voiture pour voir s’il n’y aurait pas de « problèmes cachés. »

« Son premier relais sur les pneus Tendres a été plutôt bon, et il a réussi à conserver la huitième place avec une relative aisance. Il a même réussi à aller plus loin que prévu. » explique Christian Horner.

« Les mécaniciens ont ensuite effectué un arrêt aux stands incroyablement rapide, ce qui lui a permis de reprendre la tête devant Daniel [Ricciardo] qui tentait un undercut. »

« Malheureusement, sur le pneu dur, Pierre n’avait aucun rythme et a dégringolé au classement. Terminer onzième est frustrant car nous sommes en dehors des points, nous allons donc tout vérifier sur sa voiture pour nous assurer qu’il n’y a pas de problèmes cachés. »

Gasly récupère la dixième place après la course

Après l’arrivée du Grand Prix de France, Pierre Gasly a finalement récupéré la dixième position en raison d’une pénalité infligée à Daniel Ricciardo pour avoir dépassé l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen en dehors de la piste.

Le pilote français récupère donc le point de la dixième place, alors que son coéquipier Max Verstappen a terminé la course à la quatrième position.

Pierre Gasly ne comprend pas

Le pilote français ne comprend pas pourquoi sa monoplace manquait d’autant de rythme ce week-end au Grand Prix de France.

« Depuis les qualifications, je me suis battu pour l’adhérence et c’était la même chose en course. Pour le moment, je n’ai pas de réponse, mais je suis sûr que nous allons tout analyser pour comprendre exactement pourquoi nous avons manqué de rythme. » explique Gasly.

« J’ai essayé de faire tout ce que je pouvais à l’intérieur du cockpit mais je ne pouvais pas pousser la voiture car je glissais beaucoup. »

« Je n’ai jamais vraiment senti la voiture comme ça et avec l’Autriche la semaine prochaine, nous devrons rapidement travailler dur avec les gars pour revenir et tout mettre en place pour la prochaine course. Du côté du moteur, Honda pousse fort et c’est sûr qu’ils se développent, donc c’est positif. »

Surpris par le timing de l’extinction des feux au départ, Vettel a ensuite connu une course solitaire

Cinquième à l’arrivée du Grand Prix de France, Sebastian Vettel admet qu’il ne pouvait pas faire mieux avec une monoplace mal équilibrée en course.

Malgré quelques améliorations apportées sur sa Ferrari ce week-end au Grand Prix de France, Sebastian Vettel n’a jamais été en mesure de venir inquiéter les deux pilotes Mercedes depuis les premiers essais du vendredi.

Qualifié septième sur la grille de départ, le pilote allemand a d’abord été surpris par le timing de l’extinction des feux au départ, puis a ensuite connu une course solitaire.

« J’ai eu une course plutôt solitaire, mis à part un peu de confusion au départ, étant donné que le timing de l’extinction des feux nous a un peu surpris. » explique Vettel.

« C’était amusant de se battre avec les McLaren, d’abord Norris, puis Carlos. Le premier relais s’est plutôt bien passé et cela m’a permis de réduire l’écart entre Charles et Max. »

« Ensuite, dans le second relais, j’ai eu quelques problèmes d’équilibre et je ne me sentais pas totalement à l’aise avec la voiture. Je pense que la cinquième place est le maximum que nous puissions faire. »

« Nous devons encore comprendre pourquoi vendredi était si compliqué, certaines des pièces que nous avons apportées au Paul Ricard ne fonctionnant pas comme nous l’espérions. »

« Notre voiture n’est pas encore assez forte, et nous n’avons toujours pas le rythme pour battre Mercedes, mais je sais que tout le monde à Maranello travaille avec une pression positive et une passion très grande. »

Seul lot de consolation pour le quadruple champion du monde de Formule 1 ce week-end au Grand Prix de France, il a signé le meilleur temps en course dans le dernier tour, ce qui lui rapporte un point de plus.

Une erreur commise sous VSC a failli coûter la deuxième place à Bottas

Valtteri Bottas a commis une petite erreur au Grand Prix de France lorsque la direction de course a déployé une voiture de sécurité virtuelle en fin de course.

Le pilote Mercedes, qui a terminé la course second à 18 secondes de son coéquipier Lewis Hamilton, n’a pas respecté le delta imposé par la VSC et s’est donc retrouvé sous la menace directe de la Ferrari pilotée par Charles Leclerc en fin de course.

Dans le cadre du déploiement d’une voiture de sécurité virtuelle, les pilotes doivent impérativement respecter un delta de vitesse pour être certains de ne pas perdre ou de gagner un avantage avec la VSC.

Mais ce dimanche au Grand Prix de France, les commissaires de course ont décidé de déployer une VSC sur une période relativement courte pour permettre à un commissaire d’aller récupérer une quille arrachée par la Toro Rosso d’Alex Albon et qui se trouvait en plein milieu de la piste.

Mercedes a donc communiqué à son pilote Valtteri Bottas que cette période sous VSC ne durerait pas très longtemps, mais le Finlandais n’as pas très bien compris le message et s’est donc retrouvé avec la Ferrari de Leclerc collée à sa boîte de vitesses pour les derniers tours de course.

« Valtteri n’a pas été assez proche du delta au redémarrage et ce qui a permis à Charles [Leclerc] de se rapprocher. » explique Andrew Shovlin, ingénieur en chef chez Mercedes.

« Nous allons devoir voir avec lui ce qui n’a pas été afin de comprendre. Nous lui avions dit que ce ne serait pas une VSC très longue, mais peut-être que nous ne lui avons pas assez bien communiqué à quel point cela allait être bref. »

Au final, Valtteri Bottas a réussi à conserver sa seconde place, mais Charles Leclerc a terminé la course à seulement neuf dixièmes de la Mercedes de Bottas sous le drapeau à damier.

TF1 dévoile ses chiffres d’audience pour le Grand Prix de France

Le groupe TF1 a dévoilé les chiffres d’audience du Grand Prix de France, que la première chaîne de France a diffusé ce dimanche gratuitement.

Vous étiez 1,9 millions de téléspectateurs ce dimanche [300 000 de moins qu’en 2018] à regarder en direct le Grand Prix de France 2019 remporté par Lewis Hamilton sur le circuit Paul Ricard.

Cela représente pour la chaîne 27% de parts d’audience auprès des hommes âgés de moins de 50 ans et 29% auprès des hommes âgés de 15 à 34 ans.

Pour comparaison, vous étiez 2 millions de téléspectateurs à avoir regardé le Grand Prix de Monaco 2019 sur TF1 le mois dernier, alors qu’il s’agissait de la première des quatre courses que TF1 diffusera cette année.

En effet, après le Grand Prix de Monaco et le Grand Prix de France TF1 diffusera également en direct et gratuitement le Grand Prix de Belgique [1er septembre 2019] et le Grand Prix des Etats-Unis [3 novembre 2019].

Canal+ diffuseur officiel de la F1 en France

Bien-sûr, si vous souhaitez suivre l’intégralité de la saison 2019 de Formule 1, vous pourrez vous abonner à Canal+, qui détient les droits en exclusivité pour diffuser l’intégralité de la saison avec les séances d’essais libres, les qualifications et la course.

L’équipe de Canal+ composée de Margo Lafitte, Laurent Dupin, Julien Fébreau, Jacques Villeneuve, Franck Montagny et Thomas Sénécal vous feront vivre chaque saison à 100% avec des interviews exclusives, des reportages, des plateaux après chaque Grand Prix et des documentaires inédits.

Wolff pour la suppression de la chicane sur le Paul Ricard, la FIA se dit prête à étudier le cas

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a suggéré de retirer la chicane du Mistral dans la ligne droite du circuit Paul Ricard pour essayer d’améliorer le spectacle à l’avenir.

Ce week-end au Grand Prix de France, force est de constater que nous n’avons pas assisté à la course du siècle, avec un Grand Prix mené de bout en bout par Lewis Hamilton au volant de sa Mercedes.

Selon Wolff, la qualité d’un Grand Prix en termes de spectacle est spécifique à « un type de circuit » et qu’un changement sur le tracé varois pourrait faire en sorte d’améliorer le spectacle pour les prochaines éditions de la manche française.

« Le Paul Ricard a tous les ingrédients dont nous avons besoin : il est dans le sud de la France, c’est glamour, c’est un lieu fantastique. » explique l’Autrichien.

« Mais peut-être avons-nous besoin d’une très longue ligne droite plutôt que d’une chicane en plein milieu pour permettre de meilleurs dépassements. »

« Je pense que cela pourrait certainement augmenter le spectacle. Pour moi, la question à se poser est la suivante ; comment pouvons-nous avoir les meilleurs tracés possibles ? »

« Nous avons pu voir de bonnes courses à Montréal et à Bakou. Je pense que si nous établissons de bonnes règles pour 2021 en termes d’efficacité aérodynamique et de turbulences que vous créez derrière les voitures et que vous examinez de nouvelles réglementations sportives passionnantes, alors ce seront les bons ingrédients pour faire un bon show. »

« Mais comme dans le football, vous aurez toujours des matchs ennuyeux et des matchs passionnants. »

La FIA prête à examiner l’idée

Jusqu’à présent, la FIA a toujours refusé de supprimer la chicane dans la ligne droite du Mistral sur le circuit Paul Ricard, essentiellement pour des raisons de sécurité.

En effet, en supprimant cette chicane les monoplaces arriveraient dans le droite rapide de Signes bien plus vite qu’actuellement, et c’est ce point précisément qui inquiète la FIA.

Cependant, l’instance dirigeante de la F1 est ouverte au dialogue comme l’a confirmé le directeur de course Michael Masi.

« Je pense que c’est quelque chose que nous devrions examiner. » explique Masi. « Nous devrions l’examiner en fonction de ses mérites et des différentes données. »

« Cependant, nous risquerions d’avoir des conséquences inattendues, donc au stade actuel c’est non. Mais nous serions heureux d’examiner ce qui se présentera. »

 

Lando Norris a lutté sans direction assistée en fin de course au Paul Ricard

Cinquième sur la grille de départ du Grand Prix de France, Lando Norris a finalement terminé la course à la dixième place en raison d’un problème hydraulique sur sa monoplace.

A 20 tours de la fin, Lando Norris a rencontré des problèmes d’ordre hydraulique avec sa McLaren au Grand Prix de France, l’obligeant à ralentir considérablement son rythme, ce qui l’a placé dans une position très inconfortable dans le dernier tour.

Le Britannique s’est retrouvé sous pression lorsque la Renault de Daniel Ricciardo et l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen se sont rapprochées de lui, alors que Ricciardo l’a obligé à quitter la piste un court instant dans la chicane nord, lui faisant perdre deux positions, puis dans les derniers mètres, c’est Nico Hulkenberg qui a réussi à doubler le pilote McLaren.

« Un problème hydraulique, à environ 20 tours de l’arrivée, m’a coûté beaucoup de temps et a rendu la voiture très difficile à conduire. » nous explique Lando Norris [dixième à l’arrivée, puis neuvième après l’application de la pénalité de Ricciardo].

« Le volant est devenu très lourd et j’ai perdu la direction assistée. C’était vraiment difficile, je faisais de mon mieux pour ne pas perdre de places, mais c’était trop compliqué, j’avais perdu tellement de vitesse. »

Un week-end satisfaisant pour McLaren

Pour le patron de l’équipe britannique, le bilan du week-end est tout de même satisfaisant puisque ses deux pilotes ont terminé la course dans le top dix.

« Je suis très heureux du résultat du week-end, nous avons réussi à maintenir le rythme depuis les essais libres jusqu’aux qualifications et en course. » a expliqué Andreas Seidl, le team principal de McLaren.

« Nous objectif en course était de d’obtenir les positions que nous méritions, car il était clair que nous ne pouvions pas combattre Sebastian et Max. C’est pourquoi nous avons porté une attention toute particulière aux pneumatiques. »

« Malheureusement, un problème hydraulique est apparu sur la voiture de Lando lors de la seconde moitié de la course, Lando et les ingénieurs ont donc seulement essayé de préserver la mécanique jusqu’à la fin. »

« Ils ont réussi et ont donc fait un excellent travail. Mais dans le dernier tour, il y a tout de même eu un impact sur les changements de rapport avec la boîte de vitesses, le freinage et la direction. »

Lando Norris pourra tout de même se consoler avec le titre de « pilote du jour » au Grand Prix de France 2019.

Ferrari : « Nous sommes conscients qu’il reste beaucoup à faire »

Après un week-end plutôt compliqué pour Ferrari en France, le directeur de la Scuderia estime que le potentiel de la voiture devrait permettre à l’équipe de s’améliorer au fil des courses restantes.

En France, Ferrari a apporté plusieurs améliorations sur sa monoplace, dont certaines ont fonctionné, et d’autres pas.

Au final, Charles Leclerc a réussi à finir sur la troisième marche du podium, tandis que Sebastian Vettel n’aura pas réussi à faire mieux que la cinquième position à l’arrivée de l’épreuve au volant d’une monoplace en manque flagrant de rythme tout au long du week-end.

« C’était une course linéaire, le résultat final étant que Charles a réussi à maintenir sa position de départ à l’arrivée. » explique Mattia Binotto, le directeur de l’équipe Ferrari.

« Sebastian a réussi à se débarrasser des McLaren comme nous l’avions espéré, puis a mené une solide course en maintenant un rythme constant, à égalité avec ceux qui le précédaient. »

« Lorsque Verstappen s’est arrêté au stand, nous avons laissé Seb en piste pour quelques tours de plus, car la gestion des pneus était difficile, et risquaient de subir une dégradation importante en fin de course, comme nous avons pu le voir chez Mercedes. »

« Par conséquent, chaque tour supplémentaire que nous allions faire signifierait avoir des pneus plus frais vers la fin, ce qui aurait pu être important pour nous donner une chance de battre Max. »

Des signes encourageants

« En termes de performance, nous ne sommes pas encore là où nous voulons être. Nous savions que ce circuit serait difficile pour nous et terminer avec Charles juste derrière Bottas est encourageant. »

« Les développements que nous avons introduits depuis le Grand Prix d’Espagne nous ont permis de combler l’écart et nous ont montré que nous sommes sur la bonne voie. Certaines de ces mises à jour se sont révélées très utiles, d’autres malheureusement moins, mais nous savons que nous avons le potentiel de nous améliorer de manière significative. »

« À ce stade, nous sommes confiants, conscients qu’il reste encore beaucoup à faire, mais que nous sommes en mesure de développer la voiture et d’être compétitifs sur tous les circuits. »

Ricciardo réagit à sa pénalité, Renault se félicite des performances de son moteur

Renault a terminé le Grand Prix de France avec Daniel Ricciardo septième et Nico Hülkenberg neuvième. Une pénalité infligée à Ricciardo après la course l’a cependant privé de points tout en promouvant Nico Hülkenberg au huitième rang.

Après s’être rapproché de la McLaren de Lando Norris et avoir tenté une manœuvre dans le dernier tour de course, Daniel Ricciardo écopait d’une pénalité de dix secondes pour avoir dépassé le Britannique et l’Alfa Romeo de Kimi Räikkönen en dehors des limites de la piste. L’Australien a donc finalement terminé onzième du classement final.

« C’est clairement décevant de rétrograder en dehors des points avec cette pénalité infligée après la course, surtout pour la manche à domicile de l’équipe. » nous explique Daniel Ricciardo.

« Le dernier tour était très amusant. Nous étions engagés dans un duel où j’ai pris beaucoup de plaisir. J’ai préféré tenter le coup plutôt que de ne pas essayer du tout et je suis sûr que le public français et les téléspectateurs ont adoré. »

« C’est dommage d’être pénalisé pour cela, mais nous devons aller de l’avant le plus vite possible. Concernant la course en elle-même, j’ai l’impression de m’être un peu loupé au départ, surtout après une excellente réaction à l’extinction des feux. »

« J’ai freiné trop tôt au premier virage. Avec le recul, c’était une approche trop conservatrice et cela ne m’a pas facilité la tâche pour la suite même si nous avons su éviter les soucis par la suite. Il y a de nombreux points positifs à retenir et nous chercherons à répondre dès l’Autriche. »

Le moteur Renault à la fête

Du côté de l’équipe, le directeur général Cyril Abiteboul tire un bilan plutôt positif de ce Grand Prix de France, même si l’une de ses monoplaces a été exclue des points après l’application d’une pénalité.

Le manager français souligne la belle performance du moteur Renault ce week-end, avec tout de même les quatre monoplaces motorisées par le constructeur français dans le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

« Les voitures motorisées par Renault ont assurément animé ce Grand Prix ! Je crois que les septième et neuvième places représentaient le meilleur résultat possible à l’arrivée compte tenu de nos positions sur la grille et je suis convaincu que les fans en seront ravis. » déclare Cyril Abiteboul.

« Daniel n’a pas connu un départ idéal, mais il a su se battre grâce à une stratégie bien pensée et un pilotage agressif. Nico est resté dans l’échappement de Kimi tout au long de la course. Il était rapide, mais pas assez pour tenter et réussir une manœuvre. »

« La pénalité de dix secondes infligée à Daniel l’a exclu des points. C’est décevant, car il s’agissait probablement du moment le plus intense d’une épreuve assez terne avec quatre grands pilotes bataillant en toute sécurité et avec respect dans les derniers virages. »

« Avec tous les défis pour dépasser des voitures en piste, cela démontre une nouvelle fois que les qualifications déterminent l’issue du week-end. C’est aussi là que réside notre principal axe d’amélioration. »

Officiel : Daniel Ricciardo lourdement pénalisé au Grand Prix de France

Les commissaires de course du Grand Prix de France ont décidé de pénaliser le pilote Renault Daniel Ricciardo après l’arrivée de l’épreuve.

Les commissaires de course du Grand Prix de France reprochaient à l’Australien d’avoir doublé l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen en plaçant les quatre roues de sa monoplace en dehors des limites de la piste.

Comme le stipule la réglementation sportive de la FIA, les pilotes n’ont absolument pas le droit de mettre les quatre roues de leur monoplace en dehors des limites de la piste et d’en tirer un avantage.

Dans le cas de Daniel Ricciardo, les commissaires de course ont reproché au pilote Renault d’avoir gagné un avantage certain sur l’Alfa Romeo du Finlandais en le dépassant avec ses quatre roues en dehors de la piste.

Mais pour corser le tout, les commissaires de course ont aussi reproché à Ricciardo d’avoir poussé la McLaren de Lando Norris en dehors de la piste juste avant d’avoir doublé Kimi Raikkonen.

Daniel Ricciardo écope donc d’une pénalité de deux fois cinq secondes. Septième à l’arrivée du Grand Prix de France, il tombe donc à la onzième place et permet à Pierre Gasly de rentrer dans les points. Daniel Ricciardo écope également d’un point de pénalité sur sa Super Licence.

Steiner : « le pire weekend de l’équipe »

L’équipe Haas aura vécu un weekend très décevant : la voiture n’était visiblement pas à la hauteur durant ce Grand Prix de France 2019 et les pilotes ont du se battre en fond de grille.

Ghunter Steiner, team principal de l’équipe Haas a déclaré : « Ce weekend a été le pire que nous ayons vécu depuis que l’équipe existe. Nous devons absolument trouver des solutions à nos problèmes que ce n’est pas à cette place que nous voulons être. »

Magnussen a connu une course difficile. Lui, qui partait de la quatorzième position sur la grille, a fini la course à la dix-septième position doublé par Lance Stroll, Alexander Albon et Daniil Kvyat.

Romain Grosjean qui a dû abandonner devant ses fans français a déclaré : « J’ai tenté de tirer le meilleur de la voiture mais ce n’était pas suffisant. Même si l’équilibre de la voiture était bon, nous étions très lents. Nous devons tout analyser, essayer de comprendre. On est vraiment en difficulté. »

« Abandonner ici, c’est vraiment dur. Mais on était trop loin des points de toute façon et je pense que c’était la bonne décision. »

 

Au classement constructeurs, l’équipe Haas occupe désormais l’avant dernière position du classement avec 16 points inscrits en huit courses.La formation américaine devance seulement l’équipe Williams bonne dernière et qui n’a toujours pas marqué le moindre point cette année.