Pirelli va en apprendre beaucoup sur ses pneus à Melbourne

Le patron de Pirelli s’attend à avoir beaucoup de réponses à ses questions lors de la première manche de la saison en Australie cette semaine.

En 2019, Pirelli a décidé de simplifier sa gamme en passant de sept à cinq composés et en les renommant, C1, C2, C3, C4 et C5. Le pneu le plus dur est le C1, alors que le plus tendre de la gamme est le C5.

Après les essais hivernaux, Pirelli n’a pas encore pu constater avec précision si ses pneus 2019 étaient plus performants et se dégradaient moins que la précédente génération. Le Grand Prix d’Australie sera donc un moment de révélation pour le manufacturier unique de la F1.

« Nos nominations dur, médium et tendre cette année sont à peu près équivalentes aux composés médium, tendre et ultra-tendre de la saison 2018. » explique Mario Isola, le directeur de Pirelli en F1.

« Cela devrait permettre aux pilotes de pousser fort du début à la fin de chaque relais. Après un test très productif à Barcelone, nous sommes convaincus que la gamme de pneus 2019 est en passe de répondre à nos objectifs, qui associent performance et durabilité. »

« Bien entendu, un certain nombre d’aspects – tels que la dégradation sur la durée d’un relais – ne seront révélés qu’après des essais libres en Australie. »

« Une autre considération importante en Australie consistera à voir comment les nouvelles règles aérodynamiques fonctionnent et si cela conduit à davantage de dépassements, ce qui est difficile à établir lors des tests. »

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Robert Kubica a beaucoup de choses à découvrir pour sa première course

Après une absence de huit ans, Robert Kubica fera son grand retour en F1 cette semaine à Melbourne pour la première course de la saison 2019.

Loin des paddocks pendant huit ans en raison d’un accident de Rallye au cours de l’hiver 2011, le Polonais Robert Kubica sait qu’il va devoir réapprendre beaucoup de choses.

Depuis sa dernière course en 2010, le monde de la Formule 1 a beaucoup évolué, notamment avec l’arrivée des moteurs hybrides, qui ont obligé les pilotes à avoir une approche différente pendant les courses.

« Ce sera un Grand Prix avec beaucoup d’émotions pour moi. » nous explique Kubica. « Ce sera un seconde début [de carrière] pour moi après avoir été absent du sport pendant de nombreuses années. »

« Ma dernière course de Formule 1 a eu lieu à Abou Dhabi en 2010, alors je suis impatient d’aller en Australie avec quelques choses à découvrir et à apprendre. »

« J’espère pouvoir profiter du week-end et que tout se passera sans heurts pour que je puisse me concentrer sur ma conduite et découvrir une nouvelle Formule 1. »

« Piloter une Formule 1 est une chose, mais piloter en course en est une autre. Au fil des ans, je pense que l’approche des courses a changé, alors j’ai beaucoup de choses à découvrir mais j’attends avec impatience. »

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Williams a dû redoubler d’efforts pour être prête pour le GP d’Australie

L’équipe Williams admet qu’elle a dû redoubler d’efforts pour permettre à ses pilotes d’avoir une monoplace prête pour la première course de la saison à Melbourne.

L’écurie britannique, Williams, a débuté les essais hivernaux 2019 avec plus de deux jours de retard sur le reste de la grille, ce qui ne lui a pas permis de boucler l’intégralité des programmes préparés pour les tests hivernaux avec sa nouvelle monoplace.

De plus, Williams s’est présentée à Barcelone avec une monoplace légèrement en infraction avec la réglementation 2019, ce qui a obligé les ingénieurs à modifier le système de suspensions avant de la FW42, ainsi que les rétroviseurs, qui auraient été jugés non conformes à Melbourne.

C’est donc après de longues heures de travail à l’usine de la part des ingénieurs et mécaniciens que l’écurie britannique arrive à Melbourne pour la première course de la saison.

« Pour nous, il a fallu un travail énorme de la part de tout le monde à Grove pour préparer suffisamment de pièces, mettre en place toutes nos procédures et veiller à ce que les pilotes soient dans la meilleure position possible pour commencer la compétition. » explique Dave Robson, ingénieur de course principal chez Williams.

« La première course est toujours l’une des plus intéressantes car on voit pour la première fois l’ordre réel des performances. »

« En ce qui concerne le circuit en lui-même, c’est une piste assez inhabituelle qui peut être assez bossellé et où il est difficile de freiner. Elle impose de nombreuses exigences à la fois en termes de maniabilité, mais aussi d’endurance des pilotes, mais également en termes d’aérodynamisme. »

« La passionnante chicane à grande vitesse du T11 / 12 étant particulièrement exigeante. C’est un bon test pour les pilotes et les voitures, mais cela peut donner des résultats inhabituels. Enfin, nous souhaitons à tous nos fans un bon début de saison. »

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Ferrari ne veut pas simplement gagner, mais souhaite débuter un nouveau cycle en 2019

Mattia Binotto, le nouveau directeur sportif de la Scuderia Ferrari, est revenu sur la relation qu’il entretenait avec l’ancien directeur, Maurizio Arrivabene.

Malgré les rumeurs d’une guerre interne entre les deux hommes, Mattia Binotto insiste sur le fait que sa relation avec Maurizio Arrivabene était très bonne chez Ferrari, même si les deux hommes pouvaient avoir quelques divergences sur certains aspects de la gestion de l’équipe  pendant les week-ends de course.

« Je travaille chez Ferrari depuis 25 ans, j’ai eu la chance de vivre des moments glorieux avec Jean Todt, Ross Brawn, Michael Schumacher et Stefano Domenicali. » explique Binotto au Corriere Della Serra.

« Notre relation personnelle a toujours été bonne, il n’y a jamais eu de combats, les difficultés sont apparues dans la vision, la gestion du groupe, où pendant les week-ends de course nous avions des points de vues différents. »

« Arrivabene a lui-même évoqué le fait que je puisse devenir le chef de l’équipe. C’était un choix de la société, et je suis reconnaissant envers Ferrari pour sa confiance et son estime. »

Une promotion inattendue

Mattia Binotto insiste cependant sur le fait qu’il ne s’attendait absolument pas à devenir directeur technique de la Scuderia. En outre, le nouveau directeur sportif explique que la décision de l’ancien président de Ferrari, Sergio Marchionne, était due à la nouvelle organisation horizontale qu’il souhaitait pour la Scuderia.

« Ma promotion était complétement inattendue, parce que j’avais déjà été promu pour diriger le département moteur en 2014. »

« Je pense qu’avec cette seconde promotion, Marchionne voulait briser le moule, pas seulement chez Ferrari, mais dans la F1, alors que je n’avais encore jamais conçu de voiture en tant que directeur technique. »

Débuter un nouveau cycle en 2019

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari ne veut pas seulement se contenter de remporter le titre mondial cette année, mais il souhaite également débuter un nouveau cycle, alors que depuis 2014, c’est Mercedes qui domine la Formule 1.

« C’était un vrai pari en total connexion avec cette organisation horizontale. Le plus difficile est de nous organiser aujourd’hui, mai aussi demain, l’organisation d’une structure prête pour les règles de 2021. »

« Il s’agit de rationaliser les processus, afin que tout le groupe regarde au delà de ce qui est bien pour moi. Les rênes de ce jeu sont entre mes mains et je suis bien conscient que ce sont mes collaborateurs qui peuvent faire la différence. »

« Nous ne sommes pas ici pour gagner une saison, nous sommes ici pour ouvrir un tout nouveau cycle. » conclut Binotto.

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Renault : « Beaucoup d’attentes pour cette première course »

Renault aborde la première course de la saison 2019 avec beaucoup d’optimisme après huit journées d’essais productives en Espagne lors des tests hivernaux.

L’écurie du constructeur français sait que la lutte sera serrée parmi les équipes formant le peloton cette année, mais Renault compte sur une fiabilité sans faille pour essayer de marquer un maximum de points tout au long de l’année.

« Le Grand Prix d’Australie, premier de la saison, est un moment fort et plus particulièrement cette année avec la présence de Daniel Ricciardo dans nos rangs. Nous nous y rendons unis et animés d’une détermination sans faille. » déclare Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« Nous disposons d’un nouveau châssis qui a montré du potentiel à Barcelone. Le groupe propulseur a progressé et notre duo de pilotes composé de Daniel et Nico est peut-être l’un des plus fort de la grille. »

« Nous sommes impatients de les voir mettre en valeur leur expérience et leur talent en piste. Il y a beaucoup d’attentes pour cette première course, d’autant qu’il s’agira de la première de Daniel dans notre écurie et qu’il évoluera à domicile. » 

« Les deux semaines d’essais hivernaux à Barcelone ont été productives. Nous avons en grande partie bouclé notre programme grâce à un très bon kilométrage. » 

« Mais, seule la course donne les réponses, permet de se situer mais aussi de progresser, c’est l’heure de vérité. La première course est un des moments les plus intenses de la saison pour toutes les équipes. »

« La performance du groupe propulseur est là, en nette progression, conforme à nos objectifs et c’est une réelle satisfaction. Vu le niveau de fiabilité constaté à Barcelone, la sensibilité fiabilité sera un peu différente. »

La fiabilité sera essentielle

« Si la fiabilité ne fera pas gagner de points facilement comme cela a pu être le cas dans le passé, la perte de points suite à des abandons sera d’autant plus pénalisante. Nous allons donc être particulièrement vigilants sur ce point dès le début de saison. » 

« Le calendrier compte 21 courses, soit autant d’occasions de poursuivre notre progression. L’objectif de nous rapprocher des meilleurs est ambitieux mais nous sommes déterminés et chaque détail sera pris en compte. »

« Nous croyons en nos capacités et notre objectif est de donner le ton d’une bonne saison en commençant de la meilleure des manières en Australie dès ce week-end. »

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Ricciardo ne sera pas déçu si Red Bull termine devant Renault à Melbourne

Daniel Ricciardo ne sera pas déçu de voir une Red Bull le devancer à l’arrivée du Grand Prix d’Australie, première manche de la saison 2019 de Formule 1.

Pour le pilote Renault, Daniel Ricciardo, qui a quitté l’équipe Red Bull Racing à la fin de la saison 2018, ce ne sera pas une déception si Red Bull bat Renault au GP d’Australie ce week-end.

Ricciardo est bien conscient que Renault n’est pas encore au niveau de l’équipe de Milton Keynes en ce début d’année; même si le pilote australien ne cache pas qu’il souhaiterait pouvoir battre l’un des trois meilleures équipes au moins une fois cette année.

« Je savais qu’au moins à Melbourne Red Bull serait devant. » explique Daniel Ricciardo. « Je ne serais pas déçu s’ils nous battaient là-bas, parce que je pense que nous sommes sur une route différente. »

« Je suppose qu’un grand nombres de gens pensent que si Renault bat Red Bull ce serait bien. Mais nous n’en sommes pas encore là, et si nous arrivons à battre l’une des trois meilleures équipes, je serai excité. »

« Je pense que Renault dispose de ressources suffisantes pour entrer dans ce monde [celui des trois meilleures équipes], ce n’est pas quelque chose d’inatteignable. Ce n’est peut-être pas pour cette année, mais nous progressons. »

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Coulthard : « Le duo Vettel-Leclerc est dangereux pour Hamilton »

Selon David Coulthard, Lewis Hamilton ba devoir se méfier du nouveau duo de pilotes de la Scuderia Ferrari, Sebastian Vettel et Charles représentant un duo « dangereux » pour le Britannique en 2019.

David Coulthard estime que le duo formé par Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen l’an dernier n’a pas été capable de pousser Lewis Hamilton dans ses derniers retranchements.

Mais pour cette nouvelle saison, Coulthard estime que l’arrivée de Charles Leclerc va clairement changer la donne, l’Écossais estimant que le jeune monégasque va pousser Vettel, ce qui deviendra encore plus dangereux pour Hamilton.

« En ce qui concerne Lewis, le duo Sebastian Vettel et Charles Leclerc sera à mon avis plus dangereux que Sebastian Vettel et Kimi Raikkonen. » a déclaré Coulthard

« Je n’ai pas vu Kimi remporter beaucoup de courses la saison dernière, c’est ça la réalité, et je serai très surpris si Charles [Leclerc] ne sabrerait pas le champagne sur le podium au moins à deux reprises cette année. »

« Il est jeune, enthousiaste et assez rapide pour pousser Vettel. Cela mettra non seulement Sebastian sur ses gardes, mais Lewis aussi. »

« Ferrari n’a pas joué de sa meilleure main la saison dernière. Je ne suis pas certain que Seb et Kimi ont eu l’impression de recevoir un soutien optimal. »

« S’ils veulent vraiment donner du fil à retordre à Lewis, l’équipe va devoir se dépasser un peu plus et les pilotes aussi. »

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Hamilton pilotera une MotoGP « tôt ou tard »

Lewis Hamilton n’écarte pas l’idée de piloter une MotoGP un jour, mais le Britannique annonce que ce sera en loisir, pas en compétition.

Le quintuple champion du monde de Formule 1, Lewis Hamilton, a rendu visite aux pilotes MotoGP ce week-end à Losail, où se disputait le Grand Prix du Qatar.

Grand passionné de motos, Lewis Hamilton a insisté sur le fait qu’il essayerait une MotoGP tôt ou tard, mais uniquement pour s’amuser.

« Je piloterai certainement une MotoGP tôt ou tard. » a annoncé Lewis Hamilton ce dimanche lors de sa visite au Grand Prix MotoGP du Qatar.

« J’ai commencé à courir en kart à l’âge de huit ans et ces gars-là ont fait de même, mais avec une minimoto. Je suis beaucoup plus lent qu’eux et je suis trop vieux pour changer de discipline, même si j’aime ça pendant mon temps libre. »

Hamilton; qui est un grand admirateur de Valentino Rossi, six fois champion dans la catégorie MotoGP, a déclaré ne pas avoir entendu parler des rumeurs selon lesquelles le Britannique et l’Italien échangeraient leurs machines un jour.

« Je dois aller au ranch, on en parle depuis des années, on doit le faire, même pendant la saison, juste pour essayer, mais je n’ai rien entendu à propose de cet échange. » confie Lewis Hamilton.

« Ce serait fous de piloter sur la même piste que Valentino, je suis vraiment un grand fan de lui, mais je pense qu’il devrait tout m’apprendre. »

« J’ai commencé à faire des tests en 2018 et je me suis beaucoup amusé, et je ne suis pas si  mauvais, mais je ne suis pas assez rapide, si je n’étais pas impliqué en Formule 1, je testerais ces machines toute la journée. »

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L’équipe Haas est prête à attaquer la saison selon Grosjean

Après huit jours de tests à Barcelone durant lesquels la Haas VF-19 a rencontré quelques problèmes de fiabilité, Romain Grosjean assure que son équipe est désormais prête pour Melbourne.

Le pilote français, Romain Grosjean, pense que son équipe a réussi à venir à bout des problèmes de fiabilité qui ont perturbé ses essais en Espagne il y a quelques jours.

Mais pour Romain Grosjean, pas de panique, la voiture avec laquelle il participera à la saison 2019 semble bien née.

« La préparation pour l’Australie s’est très bien passée, le plus important était d’avoir un bon ressenti dés le début avec la voiture. » assure Grosjean.

« A partir du moment où vous avez ce bon pressentiment, alors cela veut dire que la voiture est bien née. »

« C’est vraiment important pour bien débuter la saison, être capable de débuter sur une bonne note. Les essais se sont bien déroulés en général, nous avons quelques petits problèmes de fiabilité, mais nous avons bien travaillé pour les régler. »

« Je pense que nous sommes désormais prêts pour la première course, bien-sûr, vous en voulez toujours plus, mais, ensuite, tout dépend de la nature de chaque circuit. »

« Il va nous falloir les bons réglages pour débuter à Melbourne, et ensuite, les affiner pour Bahreïn, la Chine, et ainsi de suite. »

La F1 prête à quitter Silverstone pour conserver le GP d’Angleterre

Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1 n’écarte pas l’idée d’organiser un Grand Prix de Grande-Bretagne sur un circuit autre que celui de Silverstone.

Ce n’est plus un secret, l’avenir du Grand Prix de Grande-Bretagne sur le circuit de Silverstone reste plus qu’incertain, mais la Formule 1 compte bien garder au calendrier le GP de Grande-Bretagne, même s’il faudra changer de circuit.

Le manager sportif de la F1 a déjà fait savoir que la FOM chercherait une autre alternative à Silverstone pour que l’une des courses historiques du championnat du monde de F1 puisse avoir lieu pour encore quelques années.

« Je ne pense pas que ce soit le dernier Grand Prix de Grande-Bretagne, que ce soit à Silverstone ou ailleurs. » explique Ross Brawn à la BBC.

« Courir au Royaume-Uni est important pour nous, et évidemment, Silverstone est lieu du Grand Prix de Grande-Bretagne depuis de nombreuses années. »

« Mais la plupart d’entre-nous se souviennent qu’il y a déjà eu des courses à Brands Hatch, et il ne semblait pas étrange d’organiser une course là-bas une année, puis à Silverstone un autre année. »

« Nous sommes déterminés à organiser un Grand Prix en Grande-Bretagne et, espérons-le, à Silverstone, mais pour l’instant, il n’y a aucune certitude. »

Le Parc Fermé est désormais accessible

Ayant rencontré des problèmes de jeunesse, j’ai dû réinstaller et revoir en profondeur la plate forme du Parc Fermé que j’ai mis en place vendredi soir.

Toutes les personnes qui se sont inscrites sur le Parc Fermé entre vendredi soir et ce dimanche matin devront malheureusement se réinscrire via ce lien : http://leparcferme.fr/inscription-2/

Une fois connecté, vous pourrez découvrir le Parc Fermé et ses nombreuses options qui s’offrent à vous.

Vous pourrez notamment publier des articles comme un vrai journaliste, postez vos photos prises lors de vos déplacements sur les circuits, partager votre passion avec d’autres fans de F1, faire des sondages, partager des vidéos des différents réseaux sociaux, etc …Il n’y a pas de limite, sauf celle de votre imagination.

Vous aurez également accès aux profils des autres membres et vous pourrez donc vous mettre en relation tous ensemble.

De mon côté, je vais créer différents groupes que vous verrez apparaître au fil de l’année, et dans lesquels vous pourrez venir dialoguer sur un thème prédéfini.

Un réseau encore jeune

Bien évidemment, le Parc Fermé est un réseau tout jeune et doit encore se faire connaître (je compte donc sur vous).

Je travaille sur la plate forme du parc fermé au quotidien pour l’améliorer jour après jour et je serai donc très attentif à vos remarques et suggestions, tandis que vous remarquerez quelques changements au quotidien.

C’est gratuit et ça le restera

Le Parc Fermé est naturellement gratuit et le restera à vie, puisqu’il s’agit de VOTRE plate forme sur laquelle vous pourrez échanger tous ensemble de votre passion commune.

A très bientôt sur le Parc Fermé : http://xn--leparcferm-k7a.fr/

 

 

Vettel n’a pas pu se faire d’idée précise sur le nouvel aileron avant

Sebastian Vettel ne sait pas quoi penser du nouvel aileron avant introduit cette année en F1, et qui est censé rendre les dépassements plus faciles.

Comme la plupart des pilotes, Sebastian Vettel a pu tester les effets du nouvel aileron avant lorsqu’il suivait une monoplace pendant les essais hivernaux à Barcelone.

Selon le pilote Ferrari, il est impossible de tirer des conclusions après les essais hivernaux, en raison de la différence de réglages, d’emport de carburant, ou encore de pneus entre chaque équipe.

Cependant, comme la majorité des pilotes, Vettel a pu constater une nette différence du système DRS dans les lignes droites.

« J’ai pu suivre des voitures lors de la première semaine des essais, mais aussi lors de la seconde. C’est toujours difficile de tirer des conclusions de ce qui se passe lors des essais, parce que personne ne roule en même temps dans les mêmes conditions. » explique le pilote Ferrari.

« Nous n’avons pas les mêmes pneus, pas le même niveau d’usure et pas la même quantité d’essence embarquée. »

« Mais selon moi, cela reste encore assez difficile de suivre une autre voiture. Les monoplaces sont en plein développement, donc, je pense que les ailerons vont encore s’améliorer au fil de la saison. »

« Il restera à juger la situation en course, mais je peux me tromper. En tout cas, le DRS plus grand est plus efficace, mais nous souhaitons tous voir des dépassements le plus naturel possible. »

Verstappen : « L’Albert Park n’est pas la piste la plus simple pour dépasser »

Max Verstappen estime que Red Bull posséde une bonne monoplace pour ce début de saison, même si évidemment, le Hollandais n’a pour l’instant aucune idée précise de l’endroit où se trouve son équipe.

A seulement une semaine de la première course de l’année, Max Verstappen se dit confiant quant à ses chances d’être performant sur l’une des pistes qu’il affectionne particulièrement, même si le circuit de l’Albert Park de Melbourne n’est pas le plus facile pour dépasser.

« J’ai toujours hâte d’aller en Australie et je suis prêt à courir de nouveau. » a déclaré Verstappen.

« Même si la saison débute plus tôt cette année, l’hiver m’a paru long. Mais Melbourne est un week-end intéressant, car c’est le début de la saison et personne ne sait vraiment où il se trouve, encore plus avec le changement de réglementation et notre nouveau moteur. »

« Le tracé de l’Albert Park est intéressant, il est bosselé et possède de nombreux virages rapides, donc c’est amusant si la voiture est bien équilibrée. »

« Ce n’est pas la piste la plus simple pour dépasser, parce que les lignes droites ne sont pas longues, mais cela reste toujours possible. »

Le pilote Red Bull estime que les essais hivernaux disputés à Barcelone ont été prometteurs pour son équipe, même si le dernier jours, Verstappen n’a pu boucler que 29 tours en raison d’un problème de boîte de vitesses sur sa RB15.

« Si l’on regarde les longs relais pendant les essais hivernaux, nos performances sont prometteuses, et nous espérons être compétitifs dés le début de la saison. »

« Je pense que nous avons une bonne voiture, mais nous le saurons pas avant le premier week-end de course. »

Binotto n’a pas été surpris de la vitesse de Leclerc lors des essais

Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari, n’a pas du tout été surpris de voir un Charles Leclerc aussi compétitif que son coéquipier lors des essais hivernaux.

Leclerc, qui en est à sa seconde saison en Formule 1 et la première avec Ferrari, a signé un chrono très similaire à celui de Sebastian Vettel lors des essais hivernaux, ce qui a impressionné certains observateurs qui ne s’attendaient pas à voir le Monégasque aussi rapide dés ses premiers tours de roues avec la SF90.

Malgré tout, cela n’a pas impressionné le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, qui savait très bien à quoi s’attendre avec Charles Leclerc.

« Charles est un très bon pilote, certainement très rapide. » explique Binotto. « Mais à Barcelone, nous voulions d’abord qu’il connaisse bien la voiture et il s’agissait d’affiner le contact entre les pilotes et les techniciens. »

Le sujet concernant le statut de pilote numéro 1 attribué d’office à Sebastian Vettel a été largement débattu ces derniers jours, mais Mattia Binotto a insisté sur le fait qu’il n’a jamais fait de comparaison entre ses deux pilotes lors des essais hivernaux.

« Une vraie comparaison avec Sebastian Vettel n’était pas possible et ce n’était pas le but. A la fin des tests, ils ont réalisé des chronos similaires, et nous avons pu voir la vitesse de Charles. »

Vous pouvez discuter de cet article au Parc fermé, et n’oubliez pas de voter !

Malgré des problèmes de fiabilité, Magnussen est satisfait de sa Haas

Le pilote Haas, Kevin Magnussen, se dit impatient de voir où se situe son équipe par rapport au reste de la grille.

Depuis son arrivée en Formule 1 en 2016, l’écurie américaine Haas n’a cessé de progresser et a terminé la saison 2018 au cinquième rang du championnat constructeurs, après une belle bagarre avec l’équipe Renault pour la quatrième place.

Lors des essais hivernaux 2019,  la formation américaine a rencontré quelques problèmes de fiabilité avec sa monoplace, essentiellement sur le moteur Ferrari monté à l’arrière de la VF-19.

Mais malgré ces petits défauts de jeunesse, Kevin Magnussen admet qu’il a été agréablement surpris par le comportement de sa monoplace durant ces tests, le Danois ayant pu constater des progrès en terme d’équilibre par rapport à l’an dernier.

« Nous sommes arrivés à Barcelone et avons constaté que tout le monde allait plus vite que l’an dernier. » explique Kevin Magnussen.

« J’ai pu sentir plus d’adhérence avec la voiture, mais, chose encore plus importante, j’estime que l’équilibre n’était pas trop différent et qu’il était plus fort dans certains domaines. »

« Après, oui, nous avons rencontré quelques problèmes, mais finalement, c’est à ça que servent les tests. Désormais, je suis juste impatient de voir ce que nous serons capables de faire par rapport aux autres équipes. »

Kevin Magnussen entamera cette année sa troisième saison avec l’équipe Haas, il fera équipe avec le Français Romain Grosjean.

Le clip surréaliste de la F1 et de The Chemical Brothers

La Formule 1 a fait son apparition dans le dernier clip vidéo du duo britannique The Chemical Brothers, qui évoque l’histoire d’un chien qui s’entraîne à devenir pilote de Formule 1.

Ce scénario surréaliste rappelle inévitablement l’histoire de Laïka, cette chienne envoyée dans l’espace en 1957.

Laïka a été envoyée par l’URSS à bord de l’engin spatial Spoutnik 2, un mois à peine après le lancement du premier satellite artificiel Spoutnik 1. Le succès de Spoutnik 1 ayant été considérable, les soviétiques désiraient franchir un nouveau pas : envoyer un être vivant dans l’Espace.

Dans le dernier clip vidéo de The chemical Brothers, dont le thème fait partie de la nouvelle identité sonore de la F1, on peut voir un chien s’entraîner pour devenir pilote de F1, alors que ce dernier fixe la télévision lors de la diffusion de plusieurs Grands Prix.

La FIA a validé le lancement d’une « série d’appel d’offres » pour 2021

Ce jeudi, dans le cadre du conseil mondial du sport automobile, la FIA a validé le lancement d’une série d’appel d’offres pour le développement de la réglementation technique 2021.

Alors que la FIA a déjà lancé un appel d’offres plus tôt ce moi-ci pour la fourniture de boîtes de vitesses pour toutes les équipes pour la période de 2021 à 2024, on peut s’attendre à ce que plusieurs autres pièces supplémentaires soient standardisées sur les F1 à partir de la saison 2021.

Au terme du dernier conseil mondial du sport automobile qui s’est tenu à Genève ce jeudi, la FIA a publié un court communiqué dans lequel elle précise : « Le conseil a approuvé le lancement d’une série d’appel d’offres concernant le développement en cours du règlement technique 2021. »

Cette série d’appel d’offres devrait viser à rendre la Formule 1 plus équitables à partir de 2021, alors que le plafonnement budgétaire sera également l’un des grands chantiers de la discipline au cours des deux prochaines années.

Toutes ces mesures devraient permettre de réduire les écarts entre les plus grandes équipes et le milieu de la grille, ce qui devrait améliorer le spectacle et donc l’attrait de la Formule 1 pour les spectateurs.

Nico Hulkenberg : « Battre Daniel ne sera pas facile »

Nico Hulkenberg se dit impatient d’affronter son nouveau coéquipier, Daniel Ricciardo, qui a rejoint l’équipe Renault cette saison.

Le pilote allemand entamera sa troisième campagne avec Renault cette année et aura à ses côtés un tout nouveau coéquipier, l’Australien Daniel Ricciardo, qui a quitté Red Bull Racing à la fin de la saison dernière.

Hulkenberg est bien conscient du challenge qui l’attend cette saison avec Ricciardo de l’autre côté du garage, mais le pilote Renault se dit impatient d’en découdre.

« Ce sera important pour moi de réaliser une bonne saison, et mon objectif sera de terminer devant mon coéquipier au championnat, mais battre Daniel ne sera pas facile. » explique l’Allemand.

« Nous verrons bien comment les choses évolueront, mais je devrai certainement livrer le meilleur de moi-même, alors que jusqu’à présent, ce fut à chaque fois suffisant pour battre mon coéquipier. »

« Je sais que Daniel sera un coéquipier redoutable, cela ne fait aucun doute, mais je suis vraiment impatient et excité à l’idée de relever ce défi. »

Depuis son arrivée chez Renault en 2017, Nico Hulkenberg a couru aux côtés du Britannique Jolyon Palmer et de l’Espagnol Carlos Sainz.

L’an dernier, Nico Hulkenberg a terminé la saison 2018 à la septième position avec 69 points inscrits en 21 courses. Son ancien coéquipier, Carlos Sainz, a terminé quant à lui à la dixième position.

Leclerc : « Nous avons une voiture pour gagner »

Charles Leclerc, le nouveau pilote Ferrari, estime qu’il aura une monoplace capable d’aller chercher des victoires cette année en F1.

L’équipe Ferrari a terminé les essais hivernaux tout en haut de la feuille des temps à Barcelone et la SF90, bien qu’elle ait été victime de quelques problèmes de fiabilité, a laissé une très, très bonne impression après ces huit jours de tests.

Pour Charles Leclerc, qui a rejoint l’écurie italienne cette année, la SF90 sera capable de gagner des courses en 2019, mais le jeune monégasque sait que ce sera avant tout à lui de faire le job derrière le volant.

« C’est un rêve pour moi [de faire partie de l’équipe Ferrari], après, comme n’importe quel pilote, ce qu’on veut c’est faire le meilleur résultat. » explique Charles Leclerc.

« Je pense que cette année nous aurons une voiture pour gagner.  Rien n’est démesuré avec Ferrari, et je pense que cela dépendra juste de moi, ce sera à moi de faire le job derrière le volant, ça c’est une certitude. »

« Mais bon, pour l’instant moi je ne veux pas y penser, je préfère me concentrer sur moi-même, faire le boulot que j’ai à faire dans la voiture, et après, les résultats arriveront si je le fais bien. »

Charles Leclerc travaillera tout au long de la saison aux côtés du quadruple champion du monde de F1, Sebastian Vettel.

Abiteboul : « Cette saison doit être celle où nous rejoignons les meilleurs »

L’équipe Renault s’apprête à aborder la nouvelle saison 2019 avec optimisme et compte bien se rapprocher des meilleurs cette année.

Quatrième au championnat du monde 2018, l’équipe Renault s’est armée cette année d’un duo de pilotes solide avec Nico Hulkenberg et Daniel Ricciardo, qui arrive tout droit de chez Red Bull Racing, après une décennie passé dans le giron de la marque de boissons énergisantes.

Pour 2019, Renault souhaite passer à la vitesse supérieur en comblant son retard sur les plus grandes équipes, et l’écurie basée à Enstone compte s’y prendre en ayant un moteur bien plus puissant que les années précédentes.

Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing, estime qu’il est grand temps pour Renault de passer la vitesse supérieur cette saison concernant le développement de l’unité de puissance, tandis que le manager français ne cache pas que l’équipe s’appuiera également sur les connaissances techniques de Daniel Ricciardo en provenance de chez Red Bull.

« Oui, la RS19 est bien née, et en plus il [Ricciardo] vient avec un référentiel qui est quand même assez exceptionnel. On est tous d’accord pour dire que Red Bull est un Benchmark. » a déclaré Cyril Abitetboul au micro de TF1.

« Nous avons un handicap moteur depuis un peu trop de saisons maintenant, donc, cette saison, ce doit être la saison où nous rejoignons les meilleurs, et je pense que nous avons les moyens d’avoir cette ambition-là ».

Plus ou moins 50 chevaux de plus

Selon Cyril Abiteboul, l’unité de puissance Renault 2019 affiche une puissance nettement supérieur à celle de l’unité de puissance 2018, soit environ 50 chevaux de plus.

« Notre handicap côté moteur devrait être comblé. Nous avons fixé des objectifs élevés pour cette année, que nous avons atteints. » expliquait Cyril Abiteboul à L’Equipe à Barcelone pendant les essais hivernaux.

« Cela fait un peu trop longtemps que nous le traînons [le handicap], les chiffres du banc d’essais cet hiver étaient bons, et ceux sur la piste sont en corrélation. »

« Nous avons désormais la confirmation des progrès réalisés qui étaient dans le plan de restructuration. Mais ce gain moteur devra être comparé à celui de la concurrence à Melbourne. »

« Je ne veux donner aucun chiffre précis, mais je dirais que nous sommes désormais entre 20 et 50 chevaux de plus que la spécification 2018 de notre moteur. »