Kvyat n’a pas réfléchi à deux fois pour revenir chez Toro Rosso

Daniil Kvyat signe son grand retour en F1 cette année chez Toro Rosso, après avoir été remercié par son ancienne écurie fin 2017.

D’abord rétrogradé en 2016 de l’équipe Red Bull Racing à Toro Rosso, Daniil Kvyat a ensuite été remercié par son employeur et n’a pas participé au championnat du monde 2018 faute de volant.

Le Russe a trouvé refuge chez Ferrari l’an dernier, où il occupait un poste de pilote de développement dans le simulateur de la Scuderia.

Mais pour cette saison 2019, coup de théâtre, puisque Toro Rosso a décidé de donner une ultime chance à Daniil Kvyat en le titularisant aux côtés du jeune rookie, Alexander Albon.

Désormais, Daniil Kvyat assure qu’il a bénéficié de cette année sabbatique loin des paddocks et se sent définitivement prêt pour démontrer tout son potentiel.

“Pour être honnête, j’étais légèrement inquiet avant les essais hivernaux.” déclare Daniil Kvyat dans un entretien accordé à GPFans.

“J’étais éloigné d’une monoplace de F1, de la F1, et de la course sur piste, disons-le ainsi. Ce n’étaient pas des journées faciles qui ont précédé les tests, mais d’une autre manière, ce fut aussi des jours heureux.”

“En outre, il y avait un gros point d’interrogation sur la façon dont les choses iraient après si longtemps loin de la F1, notamment en termes de pilotage.”

“Mais au bout de seulement cinq tours, tout est revenu à la normale, et comme le disait Franz [Tost, le directeur de l’équipe Toro Rosso], je n’avais pas l’impression d’avoir été absent.”

Un congé sabbatique bénéfique

Daniil Kvyat pense que son congé sabbatique lui a été bénéfique et lui aura permis d’avoir une toute nouvelle approche de la course.

“Je pense que la situation est désormais différente par rapport à mon dernier passage en F1. Je pense que c’était une bonne chose d’avoir cette année pour réfléchir, et essayer de devenir meilleur en tant que pilote.”

“Espérons que les choses que j’ai changées dans mon approche de la course et du travail en général se refléteront sur la piste.”

Pas hésité une seule seconde pour revenir

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait réfléchi à deux fois avant de rejoindre son ancien employeur, qui l’avait pourtant laissé tomber quelques mois plus tôt, Kvyat assure qu’il n’a pas hésité une seule seconde.

“Je n’ai pas réfléchi à deux fois non. Je voulais revenir, j’avais beaucoup de choses à faire [avec Toro Rosso], et j’ai dit que je voulais revenir pour faire de mon mieux.”

“Désormais, je suis revenu à la normale, je me sens dans le coup, et je profite vraiment de chaque moment dés que je monte dans la voiture.”

Sainz répond à Helmut Marko, qui voit McLaren en fond de grille

Carlos Sainz a tenu à répondre à Helmut Marko, qui a fait quelques prédictions à la fin des essais hivernaux et qui pense que McLaren se retrouvera en fond de grille en 2019.

Le Dr Marko, consultant Motorsport pour l’équipe Red Bull, n’a pas hésité à dire la semaine dernière que Williams se battrait en fond de grille cette année avec l’équipe McLaren.

Interrogé sur les prédictions de Marko, Carlos Sainz a tenu à lui répondre et souligne que McLaren a fait de grands progrès cet hiver, alors que l’équipe se concentrera davantage sur la position qu’elle occupera à la fin de l’année.

“Je respecte ses prédictions, mais je sais où nous en sommes, c’est à dire à peu près là où nous étions l’année dernière.” explique Carlos Sainz.

“Je suis certain que ce sont ses chiffres qui l’ont emmené à dire cela, donc il n’y pas de raison de discuter. Tout ce que je peux dire, c’est que nous avons fait plus de tours [à Barcelone] que lors des précédentes années.”

“Mais il est juste impossible de dire si nous serons sixième ou neuvième, mais nous allons en Australie bien mieux préparés que les années précédentes.”

McLaren se concentre sur sa position finale

En fin de compte, Carlos Sainz insiste sur le fait que McLaren va se concentrer cette année sur la position dans laquelle l’équipe terminera la saison, et non pas celle où elle débutera l’année.

“Il y a eu beaucoup de progrès de la première semaine à la seconde [lors des essais hivernaux]. Nous n’avons rien apporté de nouveau, nous avons simplement optimisé ce que nous avions.”

“L’objectif est de terminer l’année dans une meilleure position par rapport à notre position de départ en début d’année, contrairement à l’année dernière où l’équipe devait se concentrer tôt sur la voiture de cette année.”

Renault ne veut plus faire partie d’une Formule 1 avec des équipes B

Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, se dit très inquiet du modèle économique introduit par Haas en Formule 1 en 2016.

L’écurie américaine est arrivée en F1 en 2016 en devenant une équipe cliente de Ferrari, qui lui fournit le moteur, la boîte de vitesses, les suspensions, la soufflerie et bien d’autres éléments et composants tout au long de l’année.

L’équipe Haas est en quelques sortes devenue l’équipe B de Ferrari, tout comme Racing Point avec Mercedes ou encore Toro Rosso avec Red Bull.

Mais selon le patron de Renault, cette situation ne peut plus durer en Formule 1 et est devenue invivable pour Renault, qui doit contrer une course à l’armement avec ses propres ressources, bien plus limitée finalement qu’une équipe d’usine associée à une équipe cliente.

Pour Cyril Abiteboul, ce système d’équipes satellites doit impérativement être revu par la FIA, alors que les prochaines règles sur le plafonnement des budgets devraient ne faire qu’empirer les choses.

“Haas a créé un précédent très difficile à faire oublier à tout le monde. Pour moi, il y a une époque avant et après Haas.” explique Cyril Abiteboul à AMUS.

“Cela a changé la Formule 1, peut-être pour toujours. Dix équipes sont en réalité devenues quatre ou cinq, et c’est quelque chose que nous n’avons pas pris en compte dans nos stratégies.”

“Vous ne pouvez pas gagner rapidement si vous n’avez pas d’équipe B, nous prenons cette situation très au sérieux, et je ne sais pas comment arrêter cette course à l’armement. Ces équipes satellites sont un élément de cette course à l’armement, cela doit être reconnu par la FIA.”

“Nous ne voulons pas faire partie d’une telle Formule 1, l’équipe nationale française est sous pression, alors que la nouvelle direction a hérité de ce projet de Formule 1 et souhaite maintenant voir les résultats. Si les objectifs ne sont pas atteints, vous devez en comprendre les raisons.”

“Ce système d’équipes satellites aide Ferrari et Haas, et avant de pouvoir battre Ferrari, je dois d’abord battre Haas. C’est de plus en plus difficile d’obtenir des sponsors et ce n’est pas un problème propre à Renault, mais pour tous ceux qui n’ont pas les moyens de se payer ce modèle.”

Le plafond budgétaire ne fera qu’empirer la situation

Selon Cyril Abiteboul, la limite budgétaire qui devrait être introduite en F1 en 2021 ne fera qu’empirer la situation.

“Si vous avez moins d’argent et de ressources, une telle situation vous aidera encore plus. Une équipe peut se concentrer sur le développement de l’aérodynamisme, l’autre sur le châssis. Cela crée une alliance fantastique. Si vous restez isolé comme nous, vous n’avez aucune chance.”

Pourquoi ne pas faire alliance avec McLaren ?

“Parce que nous sommes des équipes égales. Qui est le roi et qui est l’esclave? Peut-être que nous devrons parler à McLaren à un moment donné, mais cette alliance ne pourrait jamais être au même niveau que Ferrari et Haas, Mercedes et Racing Point, Red Bull et Toro Rosso.” insiste Abiteboul.

Bottas repart d’une feuille blanche avec un nouveau staff en 2019

Valtteri Bottas entamera sa troisième saison avec Mercedes en 2019 en ayant à ses côtés deux nouvelles personnes pour l’aider lors de ses week-ends de course.

Le pilote finlandais Valtteri Bottas aura un nouvel ingénieur de la performance cette saison, tandis qu’un nouvel ingénieur de course sera également à ses côtés tout au long de cette campagne 2019.

Valtteri Bottas espère tirer parti de la situation en repartant d’une feuille blanche cette saison, alors que le travail avec ses deux nouveaux ingénieurs a déjà débuté depuis la fin de l’année dernière.

“Il y a toujours un peu de travail à faire lorsque vous débutez une nouvelle relation pilote-ingénieur. J’ai également un nouvel ingénieur de la performance, donc, pour moi c’est un peu comme un nouveau départ.” explique le pilote Mercedes.

“Nous devons seulement apprendre à mieux nous connaître, et nous avons déjà commencé à le faire depuis la fin de la saison dernière, et je pense que c’était bien. Parfois les changements peuvent être bénéfiques, nous démarrons d’une nouvelle page, une page blanche.”

“Lors de toutes les réunions que nous avons eues en décembre et en janvier, au sujet de ma performance, de ce que nous pouvons faire de mieux pendant les week-ends de course, de mes faiblesses, et de mes forces, ce fut très sympathique de pouvoir travailler avec deux nouvelles personnes.”

“Nous apprenons toujours à nous connaître, et lorsqu’il s’agira de régler la voiture en un temps limité pendant les Grands Prix, nous verrons ce que nous pourrons faire, mais pour l’instant, tout se passe bien.”

Williams met à l’écart Paddy Lowe

L’écurie Williams, via un porte parole, a confirmé ce mercredi soir que le directeur technique de l’équipe, Paddy Lowe, prenait un congé “pour raisons personnelles” avec effet immédiat.

A à peine huit jours du premier Grand Prix de l’année en Australie, l’écurie britannique se sépare donc de son directeur technique, lui qui déclarait encore à Barcelone la semaine dernière qu’il ne comptait absolument pas quitter son poste.

Rappelons que l’équipe Williams a connu un début d’année compliqué, avec plus de deux jours de retard sur son programme dans la conception de sa monoplace.

On ne sait pas pour le moment si Paddy Lowe prend effectivement congés ou bien si le Britannique a été remercié par l’équipe Williams, mais une chose est certaine, cette nouvelle à seulement quelques jours du début de la saison 2019 n’est pas très bonne pour l’écurie.

Paddy Lowe a rejoint l’équipe Williams en 2017 en tant que directeur technique, et est devenu par la suite actionnaire de l’écurie britannique.

Ancien ingénieur chez McLaren et Mercedes, Paddy Lowe n’a pas réussi à faire remonter Williams dans la hiérarchie l’an dernier, et beaucoup estiment qu’il est le seul responsable du retard pris par l’équipe cette année.

Officiellement donc, Paddy Lowe n’exerce plus son rôle de directeur technique depuis ce mercredi pour des congés pour raisons personnelles, mais l’équipe Williams n’a pas encore confirmé son départ, même si cela y ressemble fortement.

Binotto insiste, la fiabilité devra être au rendez-vous chez Ferrari en 2019

Mattia Binotto, le directeur sportif de l’équipe Ferrari, insiste sur le fait que la fiabilité de la SF90 va jouer un rôle essentiel au cours de cette saison 2019.

Le manager de la Scuderia Ferrari insiste sur le fait que la SF90 n’est pas encore totalement au point niveau fiabilité, et cela s’est confirmé lors des essais hivernaux, où la monoplace de Maranello a connu quelques problèmes au cours des huit jours de tests.

Lors de la dernière journées des essais, la SF90 pilotée par Sebastian Vettel a subi une ultime panne d’ordre électrique, ce qui a obligé l’équipe italienne à mettre un terme à ses essais de façon prématurée.

Binotto le sait, si Ferrari veut battre ses rivaux cette année, il faudra que la Scuderia se présente à chaque Grand Prix avec une monoplace, non seulement très rapide, mais également très fiable, ce qui n’est encore le cas à seulement dix jours de la première manche de la saison 2019.

“La fiabilité sera un élément déterminant cette saison, je pense que cette saison sera très disputée et un seul point pourrait être crucial.” déclare Mattia Binotto.

“Pour le moment, je veux que notre voiture soit plus fiable que ce qu’elle est actuellement. Il est donc important d’identifier les problèmes pour les résoudre immédiatement. Je ne suis pas inquiet, mais si j’avais le directeur technique à mes côtés, je lui dirais de se concentrer sur tous les domaines [Binotto assume la double casquette de directeur d’équipe et directeur technique chez Ferrari].”

“Pour battre vos rivaux dans toutes les course, vous devez être extrêmement rapides, et c’est dans cet esprit que nous devons affronter tous les Grands Prix.”

“Nous devons faire tout notre possible, et ne jamais être satisfaits de ce que nous avons déjà accompli. Il ne s’agit pas d’être au même niveau que les autres – l’objectif doit être d’être plus fort que les autres. Et pour le moment, nous n’y sommes pas encore, mais cela reste notre objectif.”

Albon : “Pas de mauvaise surprise avec la STR14”

La rookie de la grille 2019, Alexander Albon, se félicite de pouvoir débuter sa carrière de pilote de F1 au volant d’une Toro Rosso bien née.

Le pilote thaïlandais a rejoint l’équipe Toro Rosso cette année où il travaillera aux côtés de Daniil Kvyat, qui signe pour sa part son grand retour en catégorie reine, après une saison passée loin du paddock.

Albon a souligné à l’issue des essais hivernaux 2019 la très bonne base de départ de la Toro Rosso STR14, une monoplace bien née selon lui et qui ne lui a offert aucune mauvaise surprise durant ces huit jours de tests en Espagne.

“Nous sommes contents de la voiture, il n’y a pas de mauvaises surprises.” assure Albon, qui débute sa carrière en Formule 1.

“A haute vitesse, basse vitesse et vitesse moyenne, la voiture est plus ou moins régulière. Il n’y a pas de mauvaises surprises, donc la confiance est vraiment bonne.”

“Il n’y a pas un domaine spécifique que nous devons particulièrement cibler, mais nous devons affiner la monoplace.”

“Tout a été très constant [pendant les tests], on s’est mis en route assez vite, et je pense que nous avions déjà une bonne base de départ dés le premier jour des tests. Depuis, nous avons simplement essayé des choses et regardé comment cela fonctionnait pour nous.”

Steiner : “Magnussen est plus stable mentalement”

Gunther Steiner, le patron de l’équipe Haas, pense que son pilote Kevin Magnussen est parfaitement capable de devenir champion du monde un jour.

Alors que la Formule 1 connaîtra en 2021 un grand changement dans la réglementation, le patron de l’équipe Haas estime que Kevin Magnussen pourrait très bien signer deux belles saisons en 2019 et 2020, puis être recruté par un top team pour 2021 et devenir champion du monde.

Pour Steiner, Magnussen a autant de chances qu’un autre pilote de décrocher le titre mondial, alors qu’il préférerait naturellement qu’il devienne champion du monde avec l’équipe Haas si possible.

“Il pourrait faire deux saisons fantastiques, et nous ne savons pas ce qui arrivera en 2021.” explique Steiner.

“Cela pourrait peut-être lui ouvrir la voie pour une grande équipe, et si cela arrive, nous serions les premiers à le soutenir.”

“Nous avons toujours cru en lui et nous serions fiers qu’il devienne champion du monde, alors que le règlement 2021 pourrait en sorte qu’il gagne une course pour nous.”

Plus de stabilité pour Magnussen

Gunther Steiner estime que Kevin Magnussen est devenu plus stable ces derniers mois, alors que le pilote danois est souvent précédé de sa réputation de bad boy en piste, en raison de manœuvres de défense plutôt musclées de sa part.

“Il est beaucoup plus stable mentalement.” précise Steiner. “Les deux premières années en F1 ont été difficiles pour lui parce qu’il n’y avait pas de stabilité.”

“Il l’a trouvée avec nous [la stabilité], il nous fait confiance, et en tant qu’humain, il a arrêté de penser aux risques qu’il prend et aux conséquences qui pourrait en découler.”

Sergey Sirotkin se dit désolé pour Williams pour ses problèmes lors des tests

L’ancien pilote Williams, se dit désolé de constater que son ancienne équipe a rencontré de grands problèmes en ce début de saison.

Le pilote russe, qui a roulé pour Williams lors de la saison 2018, a pu constater comme tout le monde le retard accumulé par l’équipe britannique en ce début d’année, ce qui l’a obligé à se rendre à Barcelone pour les essais hivernaux avec deux journées de retard sur le reste de la grille.

Au terme des huit journées de tests en Espagne, Williams est la lanterne rouge du classement en termes de performance, alors que l’écurie basée à Grove n’aura bouclé que 2639 kilomètres, bien loin des 5535 de Mercedes.

“Nous savons tous que l’équipe est dans une position très difficile, et en même temps, j’ai beaucoup de bons amis là-bas.” explique Sirotkin, qui fait désormais partie de l’équipe Renault en tant que troisième pilote.

“Je sais que nous n’avons travaillé ensemble qu’une seule année, mais c’est très long une année. Nous avons passé tant de journées ensemble sur le circuit et à l’usine et nous avons connu des situations difficiles.”

“Je sais combien de travail a été consacré au développement et je suis vraiment désolé de voir qu’il n’y aucun résultat en termes de performance en raison de circonstances difficiles, mais je préfère ne pas trop en dire à ce sujet car je connais les gens qui travaillent là-bas et je sais ce qu’ils valent. Je leur souhaite juste le meilleur, et j’espère qu’ils obtiendront ce qu’ils méritent.”

Sirotkin garde un pied en Formule 1

Le jeune russe travaillera pour Renault en F1 cette saison en tant que troisième pilote, tandis qu’il continuera de piloter pour SMP Racing dans le championnat du monde d’endurance.

“Nous avons toujours examiné nos options pour rester dans le paddock. Nous avons donc réussi à conclure un accord avec Renault et c’est excellent pour plusieurs raisons : C’est une grande équipe dans laquelle je connais beaucoup de monde, parce que j’était ici en 2016 et 2017.”

“C’est juste la situation idéale pour moi, après qu’il me soit devenu impossible de trouver une place en tant que pilote de course.”

Porsche a fait rouler sa monoplace pour la première fois

Le constructeur allemand, Porsche, a effectué le premier roulage officiel avec sa monoplace électrique qui participera à la prochaine saison de Formule E en 2020.

Le constructeur allemand fera son entrée officielle en Formule E lors de la saison 6, pour rejoindre notamment  Audi, BMW ou encore Mercedes.

La monoplace électrique de Porsche a effectué ses premiers tours de roue sur la piste de Weissach en Allemagne, et c’est le pilote titulaire, Neel Jani, qui a pu prendre pour la toute première fois le volant de sa future monoplace.

“Je suis très fier d’avoir pu prendre le volant pour ce baptême de piste pour Porsche en Formule E.” a déclaré le pilote suisse.

“Nous entamons un nouveau chapitre dans l’histoire sportive de la marque, et c’est très excitant d’en faire partie.”

“Tout s’est bien passé pendant ce premier test, et je dois dire que les premières impressions du groupe propulseur sont bonnes.”

Du côté de chez Porsche, on se félicite de n’avoir rencontré aucun problème lors de ce shakedown sur piste privée.

“Ce fut une journée importante pour toutes les personnes concernées par ce projet.” a déclaré Fritz Enzinger, vice président de Porsche Motorsport.

“Nous y travaillons depuis de nombreux mois, et ces premiers essais nous ont permis de nous familiariser aux challenges spécifiques de la Formule E, alors que le programme de tests va se poursuivre dans les prochaines semaines.”

Le rêve de Sergio Perez de rejoindre Ferrari s’est envolé

Le Mexicain Sergio Perez admet que son rêve de rejoindre la Scuderia Ferrari en Formule 1 s’est désormais envolé.

Sergio Perez, qui faisait partie de la Ferrari Driver Academy, était tout proche de signer avec la Scuderia Ferrari en 2014, mais un certain Kimi Raikkonen lui a volé la vedette à la dernière minute.

Le pilote mexicain n’a pas eu d’autre choix que de rejoindre l’équipe Force India [devenue Racing Point entre-temps] et avec laquelle il entamera cette saison sa sixième campagne.

Interrogé pour savoir si son rêve de rejoindre Ferrari était toujours présent, Sergio Perez admet que ses objectif personnels ont changé désormais.

“Les temps ont changé et mon objectif désormais est de franchir l’étape suivante avec mon équipe actuelle.” a déclaré Sergio Perez à Marca.

“Je suis profondément impliqué dans ce projet, nous vivons des moments formidables et pouvons faire de grandes choses.”

L’agent, qui manquait tant à Force India dans le passé, est désormais présent dans les caisses de l’équipe rachetée l’an dernier par un consortium canadien.

Ces ressources supplémentaires vont permettre aux deux pilotes de se battre pour le milieu de grille cette année, alors que Perez se demande encore s’il pourra aller chercher l’une des trois plus grosses équipes du haut de la grille.

“C’est vraiment super serré cette saison, je ne peux pas dire qui sera devant. On dirait que Alfa est très fort, mais je suis confiant quant au fait que nous serons de retour au milieu du peloton.”

Racing Point pourra t-elle aller chercher Red Bull-Honda ? : “Nous nous le demandons tous.” répond Sergio Perez.

“Nous devons juste attendre la première course de l’année pour voir où nous en sommes. Mais il ne faut jamais oublier qu’une saison de Formule 1 est longue, et vous devez donc faire preuve de patience.”

Zak Brown : “McLaren devait faire un reset”

Le PDG de McLaren, Zak Brown, admet que son équipe devait impérativement faire un reset avant d’attaquer une nouvelle saison de Formule 1.

Après plusieurs saisons de galère avec le motoriste Honda, McLaren espérait renouer avec les victoires en 2018 lorsque Renault est arrivé en tant que motoriste pour l’écurie de Woking.

Mais la campagne 2018 ne s’est pas déroulée tout à fait comme McLaren l’espérait, et il aura donc fallu effectuer un reset complet à la fin de l’année dernière pour permettre à McLaren de repartir sur de bonnes bases.

L’écurie britannique a effectué de grands changements au sein de sa structure dirigeante, alors que des grands noms du sport automobile sont encore attendus d’ici quelques semaines, comme Andreas Seidl [ancien directeur du programme Porsche en endurance] ou encore James Key [ancien directeur technique de l’équipe Toro Rosso].

“Nos attentes sont d’être de retour pour remporter des championnats du monde, mais ce que nous voulons d’abord, c’est gérer nos propres attentes quant au chemin qui nous mènera au succès.” déclare le PDG de McLaren à Race Fans.

“Le désir est là, les attentes sont là, mais ce sera une longue route et nous devions faire un reset, ce que nous avons maintenant fait.”

“Nous n’avons pas encore toutes les personnes qu’il faut pour mener à bien ce projet, en particulier, Andreas Seidl [directeur général des opérations] et James Key [directeur technique] [les deux hommes rejoindront l’équipe dans quelques semaines].”

Pour cette nouvelle saison, McLaren a connu des essais hivernaux relativement studieux, l’équipe britannique ayant parcouru plus de 4000 kilomètres en huit jours avec sa nouvelle monoplace, la MCL34.

Sainz : “Ferrari a une seconde d’avance sur McLaren”

Carlos Sainz estime que Ferrari sera capable de coller une seconde par tour à McLaren en ce début de saison 2019.

Le pilote espagnol a souligné les grands progrès réalisés par McLaren au cours de l’hiver, alors que l’écurie britannique a parcourus quelques 4064 kilomètres en huit jours de tests à Barcelone, soit le double de l’an dernier.

Carlos Sainz se dit très satisfait des chiffres obtenus jusqu’à présent avec la MCL34 lors des essais hivernaux, mais en toute franchise, l’Espagnol ne s’attend absolument pas à aller se battre à l’avant du peloton contre des Mercedes ou des Ferrari.

“On peut dire que c’est un bon départ, c’est sûr, avec ces 873 tours bouclés, je pense que c’est un bon chiffre.” déclare Carlos Sainz.

“L’équipe est arrivée aux essais hivernaux beaucoup mieux préparée, je pense qu’elle a appris de ses erreurs du passé et de la saison dernière, qui a été difficile pour l’équipe.”

“Nous allons en Australie bien mieux préparés que la saison dernière, nous connaissons mieux la voiture, nous connaissons mieux les domaines où nous devons nous améliorer. Cela nous donne une motivation supplémentaire, mais nous aide aussi à rester calme.”

“Nous ne savons où nous serons en Australie, mais il est certain que je préfère arriver avec 870 tours, plutôt que les 400 de l’an dernier.”

Ferrari, une seconde plus raide que McLaren

L’Espagnol estime que Ferrari ne jouera pas au même niveau que McLaren cette année, Sainz soulignant que McLaren se concentrera sur son propre travail avant d’aller chercher les trois plus grosses équipes.

“Ferrari, ce n’est un secret pour personne, ils ont beaucoup évolué. Ils se battront aux côtés des équipes habituelles, Mercedes et Red Bull.”

“Nous devons juste nous concentrer sur nous-mêmes et être un peu plus patient, parce que la Ferrari a un peu plus de tout pour le moment.” souligne le pilote McLaren en parlant de la vidéo On board de la Ferrari de Vettel à Barcelone.

“Je pense qu’ils peuvent nous mettre une seconde par tour, peut-être moins, peut-être plus. Après, le reste de la grille est très serré.”

“Nous ne savons pas ce que fait Renault, ni Alfa Romeo, ni Racing Point, et nous ne savons pas quel package ils apporteront à Melbourne. Nous ne savons rien nous ne savons pas qui sera devant ou derrière.”

Alonso peut revenir en F1 si une grande opportunité se présente

Fernando Alonso admet que si une grande opportunité se présentait à lui, il pourrait éventuellement réfléchir et revenir en Formule 1.

Le pilote espagnol Fernando Alonso a pris sa retraite du sport à la fin de la saison dernière, après dix-sept années passées au plus haut niveau, mais n’a jamais exclut un possible retour d’ici 2020.

Désormais ambassadeur de McLaren et pilote Toyota pour le championnat du monde d’endurance [WEC], le double champion du monde admet que si une belle opportunité se présente à lui, il pourrait signer son retour en catégorie reine du sport automobile.

“La Formule 1 vous manquera toujours, parce que c’est la voiture la plus rapide de la planète.” explique Alonso dans une entretien accordé à l’ancien pilote de F1, Rubens Barrichello.

“Bien-sûr, si vous avez une chance de pouvoir piloter pour une équipe de premier plan avec une réelle chance de gagner, vous dites oui à cette opportunité de revenir en F1.”

Indianapolis reste la priorité

Mais la priorité actuelle du pilote espagnol reste les 500 miles d’Indianapolis où il courra en mai prochain pour essayer de décrocher la triple couronne.

“Indianapolis est la priorité cette année, je ferais les dernières courses en WEC, mais ma priorité reste Indianapolis.”

“Je sais que c’est la plus difficile des trois courses de la triple couronne, en F1, si vous avez une bonne voiture, vous pouvez gagner le championnat.”

“Au Mans avec Toyota cette année, nous avions une très grande chance de gagner parce que nous avions la meilleure voiture, mais Indianapolis est très difficile.”

Volkswagen ne compte pas rentrer en F1 et va tout miser sur la Formule E

Stefano Domenicali, PDG de Lamborghini, assure que le groupe Volkswagen ne compte pas rentrer en Formule 1 dans un futur plus ou moins proche.

Jusqu’en 2015, les rumeurs suggéraient qu’une des marques du Groupe Volkswagen entrerait en Formule 1 en tant que motoriste, mais depuis, le scandale du diesel gate est passé par là et a considérablement changé la donne.

Le groupe allemand doit impérativement reconstruire son image et va tout miser sur l’électrique désormais, comme en témoignent la participation d’Audi au championnat de Formule E, tandis que Porsche fera son entrée dans la discipline l’an prochain.

Stefano Domenicali a indiqué à La Gazzetta Dello Sport que le scandale du diesel gate a fait en sorte que la Formule 1 n’est actuellement plus dans les plans du groupe Volkswagen.

“Après tout ce qu’il s’est passé, le groupe Volkswagen a décidé d’investir dans la Formule E.” indique Domenicali.

“C’est clairement pour montrer que le groupe est impatient de voir la technologie évoluer. Bien-sûr, j’aimerais revenir en Formule 1, mais ce n’est pas le bon moment.”

Domenicali, qui a été le patron de la Scuderia Ferrari entre 2008 et 2014, observe bien évidemment attentivement ce qu’il se passe en Formule 1.

Un mot sur la Ferrari SF90

Interrogé pour connaître son avis sur le niveau de compétitivité de la nouvelle Ferrari SF90 après huit jours de tests à Barcelone, le manager italien ne veut se risquer à aucune prédiction et souhaite le meilleur à son ancienne écurie.

“Je ne peux pas en dire plus, je pense qu’il peuvent faire une belle saison avec une voiture qui semble compétitive.”

Les pilotes Haas ont eu de bonnes sensations avec la VF-19

Romain Grosjean explique que sa monoplace 2019 lui a offert de bonnes sensations pendant les essais hivernaux à Barcelone.

Malgré quelques problèmes de fiabilité rencontrés au cours des huit journées de tests en Espagne, la Haas VF-19 a donné satisfaction à Romain Grosjean.

Au terme des essais hivernaux, l’équipe Haas se situe en milieu de grille avec 4055 kilomètres parcourus, à quasi égalité avec McLaren, qui a bouclé avec sa MCL34 873 tours de circuit, soit l’équivalent de 4065 kilomètres.

Interrogé pour savoir s’il pouvait constater une différence par rapport à sa monoplace 2018, Romain Grosjean indique qu’il a eu de bien meilleures sensations cette année qu’avec sa VF-18 de la saison dernière.

“Les qualifications à Melbourne vont nous dire ce que nous serons capables de faire, nous avons bien-sûr un petite idée, mais nous n’avons pas cherché la performance [pendant les tests].” explique Grosjean au journal danois Ekstra Bladet.

“Notre base est très bonne, mais nous ne nous sommes pas concentrés sur le chrono pendant les essais. Les sensations sont bonnes, comme l’année dernière, peut-être même mieux.”

Le coéquipier de Romain Grosjean, le Danois Kevin Magnussen, a lui aussi eu de bonnes sensations avec la VF-19, mais tout comme son voisin de garage, il est incapable de dire où se situe Haas en ce début de saison.

“Honnêtement, je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes.” explique Magnussen. “En fait, personne ne le sait, je peux juste vous dire que nous sommes très heureux de la voiture, nous avons de bonnes sensations, et nous voulons juste être compétitifs.”

La F1 veut promouvoir la technologie et offrir plus d’opportunités aux femmes

Chase Carey, PDG de la F1, a déclaré que la promotion de la technologie était l’une des deux “priorités stratégiques” que la F1 mettra en avant cette année.

Le PDG de la discipline reine du sport automobile a insisté sur le fait que la Formule 1 allait mettre en avant cette année plusieurs points dont deux principaux : Le leadership technologique et les opportunités offertes aux femmes dans ce sport.

“La première consiste à renforcer non seulement notre leadership technologique, mais également les incroyables résultats obtenus en matière d’efficacité et de durabilité pour nos voitures et nos moteurs hybrides.” indique Chase Carey, le PDG de la Formule 1.

“Nous continuerons d’investir dans les opportunités de réduction des émissions de carbone et dans d’autres initiatives pour être à la pointe de la technologie routière.”

Plus d’opportunités pour les femmes

“Deuxièmement, nous voulons continuer à souligner que la Formule 1 est un sport pour tous. Cela signifie continuer à mettre l’accent sur les opportunités offertes aux femmes sur et en dehors de la piste et à continuer à se développer en tant que sport mondial .”

“Nous voulons être un sport qui continue en même temps mystique et glamour, tout en étant ouvert et invitant à la fois.”

De nouveaux graphiques et angles de caméra

Carey a également indiqué que la F1 continuerait à “améliorer ses offres traditionnelles et numériques avec de nouvelles manières convaincantes, de nouveaux angles de caméra et de nouveaux graphiques, et bien plus encore.”

Gasly : “Pas de pression supplémentaire”

Pierre Gasly assure qu’il ne ressent pas de pression supplémentaire cette année du fait d’être arrivé dans l’une des plus grosses équipes de Formule 1.

Le Français Pierre Gasly a rejoint cette année l’équipe Red Bull Racing dans laquelle il travaillera aux côtés de Max Verstappen, considéré par beaucoup comme le futur grand champion du sport.

Mais lors des essais hivernaux, Gasly a été victime de deux gros crashs, le dernier en date ayant fait perdre un précieux temps de roulage à son équipe pour la dernière journée des essais.

Interrogé pour savoir s’il se sentait un peu plus sous pression cette année par rapport à sa première saison avec Toro Rosso, le Normand assure que non.

“Je ne ressens pas de pression supplémentaire.” indique Pierre Gasly à l’agence de presse GMM.

“Objectivement, j’en suis à ma seconde année en Formule1, et l’expérience est ce qui vous rend plus fort.”

“Après bien-sûr, il faut aussi avoir de la vitesse, alors qu’une partie importante du travail est d’arriver à comprendre la voiture, d’adapter votre style de pilotage et d’arriver à travailler avec des ingénieurs.

“Mais pour ma part, je vais juste essayer d’apprendre tout ça le plus rapidement possible.” ajoute t-il.

Mon objectif est de continuer à progresser en tant que pilote, il me reste encore beaucoup à apprendre. Je pense que pour le moment je suis à la meilleure place possible: une équipe championne du monde avec Max Verstappen en tant que coéquipier.”

“Il est l’un des pilotes les plus talentueux de la grille. Je suis heureux d’être ici et je vais tout donner.”

La RB15 a une bonne base

Pierre Gasly l’admet, la RB15 ne pourra peut-être pas décrocher des victoires dans un premier temps, mais après les essais hivernaux, le Français a pu s’apercevoir du potentiel de sa monoplace.

De façon générale, la voiture est assez bonne, le châssis, le moteur…La fiabilité est bonne aussi, ils ont fait un pas en avant [par rapport à l’an dernier].”

“Nous devons juste comprendre comment nous pouvons tirer le meilleur parti de notre voiture pour l’instant. Nous ne sommes peut-être pas les favoris pour le moment, mais nous allons travailler dur avant Melbourne pour essayer d’obtenir la meilleure voiture possible.”

Fernando Alonso a été impressionné par Ferrari aux essais hivernaux

Fernando Alonso estime lui aussi que Ferrari a été l’équipe la plus forte des essais hivernaux 2019, mais le pilote espagnol prévient que la situation était similaire l’an dernier.

Selon Fernando Alonso, la Scuderia Ferrari a laissé une très bonne impression après ces huit jours de tests à Barcelone, mais l’Espagno insiste sur le fait qu’il faudra voir si l’équipe italienne est capable de suivre le rythme imposé par les rivaux tout au long de la saison.

“Je pense que tout le monde a été très impressionné la première semaine, parce que Ferrari a été très forte, non seulement avec la performance, mais aussi avec le nombre de tours réalisés chaque jour.” explique Fernando Alonso.

“Mais je me souviens que quelque chose de similaire s’est passé la saison dernière, ils ont aussi été très forts tout l’hiver et lors des deux premières courses, mais vous savez bien que le championnat est très long.”

“Espérons juste que le championnat soit serré comme l’an dernier, et je pense que nous serons tous très heureux.”

Des problèmes de fiabilité sur la SF90

De l’aveu même du PDG de Ferrari, la SF90 est une monoplace bien née, mais qui souffre d’un problème de fiabilité avant même d’avoir débuté la nouvelle saison.

La nouvelle Ferrari qui participera à la nouvelle saison de Formule 1 est bien née.” a déclaré Camilleri ce mardi au salon international de l’automobile de Genève.

Nous sommes assez heureux après les essais de Barcelone, mais nous devons maintenant travailler sur la fiabilité.”

” Il est difficile de savoir où se situent les autres, mais nous sommes tous très heureux, même les pilotes.”

La SF90 est bien née, mais il faut améliorer la fiabilité selon le PDG de Ferrari

Selon le PDG de Ferrari, la nouvelle monoplace de l’écurie italienne est bien née, même si ce dernier admet qu’il va falloir améliorer la fiabilité avant Melbourne.

Présent ce mardi à Genève pour le salon international de l’automobile, le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, a déclaré que l’équipe Ferrari était très satisfaite du comportement et des performances de la SF90 après huit jours d’essais hivernaux à Barcelone.

Cependant, le manager égyptien [Louis Camilleri est né en Egypte],  a souligné l’importance d’améliorer la fiabilité de la SF90 avant la première course de la saison prévue dans dix jours en Australie.

“La nouvelle Ferrari qui participera à la nouvelle saison de Formule 1 est bien née.” déclare Louis Camilleri.

“Nous sommes assez heureux après les essais de Barcelone, mais nous devons maintenant travailler sur la fiabilité.”

“Il est difficile de savoir où se situent les autres, mais nous sommes tous très heureux, même les pilotes.”

Une surprise pour les fans à Melbourne

Le PDG de Ferrari en a profité pour confirmer que le logo Mission Winnow ne serait pas présent sur la carrosserie de la SF90 à Melbourne, en raison de la loi anti-tabac australienne, qui interdit la publicité pour du tabac, et ce, même si Philip Morris International a toujours nié un lien entre Mission Winnow et de la publicité pour du tabac.

A la place du logo Mission Winnow, la Scuderia Ferrari a donc préparé une petite surprise pour les fans de l’écurie italienne.

“Il y a eu des problèmes avec le département de la santé [australienne], et Philip Morris n’a pas eu le temps de trouver une solution.” indique Camilleri.

“Ce n’est pas une marque, cela n’a rien à voir avec du tabac, il s’agit d’une transition à la cigarette électronique. Quoi qu’il en soit, en Australie, nous aurons une surprise pour les fans.”