La saison 2018 touche bientôt à sa fin et la prochaine étape du calendrier mène les concurrents à Austin. Nick Chester, directeur technique châssis chez Renault, nous dévoile les secrets pour être performant sur le Circuit des Amériques.

Quels sont les principaux défis du Circuit des Amériques ?

C’est une piste intéressante avec des dénivelés et des secteurs variés. La montée qui débouche sur le premier virage est impressionnante.

C’est une véritable rampe propice aux freinages tardifs. Après cela, le premier secteur est très rapide et requiert de vifs changements de direction, à l’image des « S » de Suzuka. Le tronçon intermédiaire offre une ligne droite assez longue et des courbes à vitesse moyenne tandis que le final propose deux virages plus lents.

De quoi a-t-on besoin pour y être performants ?

Il faut une bonne efficacité aérodynamique, de bons appuis et peu de traînée, de la puissance et une monoplace prévisible et stable sur le plan des réglages. Sur ce dernier point, il n’y a rien de particulier à signaler, si ce n’est la grande variété de virages à affronter.

Le troisième secteur devrait nous convenir et nous tenterons d’extraire le maximum de la voiture dans le premier secteur, plus rapide.

Renault sera t-elle compétitive à Austin ? 

Nos deux pilotes aiment le circuit, en particulier Carlos, qui y semble de toute évidence à l’aise. L’an passé, il avait été impressionnant pour ses débuts avec Renault.

Le tracé pourrait jouer en faveur de notre ensemble, mais les écarts sont tellement faibles en milieu de tableau que nous devrons exploiter tout notre potentiel samedi et dimanche.

Seuls trois dixièmes de seconde pourraient séparer le septième du douzième sur la grille. C’est extrêmement serré. Nous devrons donc faire tout ce qui est en notre pouvoir pour sortir en tête de ce groupe.

Qu’avons-nous appris au Japon ?

Carlos a réalisé une excellente prestation en remontant du treizième au dixième rang sur un circuit où il est difficile de dépasser. Nous avons affiché un rythme de course compétitif après avoir souffert en qualifications.

Avec quatre courses au programme et cette bataille intense pour la quatrième place, l’équipe tentera-t-elle quelque chose de différent pour garder l’ascendant ?

Le peloton est extrêmement compact, mais cela n’impacte en rien notre préparation ou notre activité en piste puisque nous comptons marquer des points sur chaque week-end de course. Bien sûr, il y a beaucoup d’enjeux, mais il s’agit surtout de mettre l’accent sur l’exploitation optimale de la voiture. La partie ne fait que commencer !

Le patron de l’écurie Mercedes, Toto Wolff, a vanté le talent de Mick Schumacher après que ce dernier, âgé de 19 ans, ait remporté le championnat d’Europe de Formule 3 ce samedi à Hockenheim.

Fournisseur de moteur pour l’écurie Prema en Formule 3, Mercedes a accompagné le titre de Schumacher en F3 Europe cette année, et c’est donc en toute logique que Toto Wolff a salué la performance du pilote allemand.

« Félicitations à Mick pour son titre de champion d’Europe de Formule 3. » a déclaré Wolff. « Dés le début, l’attention s’est focalisée sur ce jeune homme, qui a subi beaucoup de pression. »

« Ce n’est pas facile de faire face à tout cela, surtout si la saison ne démarre pas dans les meilleures conditions, comme ce fut le cas. »

« Sa performance durant la seconde moitié de saison a donc été d’autant plus impressionnante, il a montré qu’il avait ce qu’il faut et qu’il peut devenir l’un des grands dans notre sport. »

« Nous sommes aussi évidemment ravis qu’il ait enregistré une 500° victoire en F3 pour Mercedes et qu’il ait remporté le titre dans une voiture propulsée par Mercedes. »

La suite logique pour Mick Schumacher serait d’aller en Formule 2, mais déjà, certaines rumeurs suggèrent que le fils du septuple champion du monde de F1 pourrait passer directement de la F3 à la F1 en 2019.

Gil De Ferran est devenu le directeur sportif de l’équipe McLaren en juillet dernier et a donc connu la partie de saison la moins agréable de l’équipe britannique avec des résultats anonymes depuis le Grand Prix d’Espagne.

La baisse de régime de l’équipe McLaren depuis le printemps est imputable à une erreur fondamentale dans la conception du châssis de la MCL33, ce qui a contraint l’équipe à stopper le développement pour identifier la cause de cet échec.

A partir de là, les séance d’essais libres du vendredi ont été utilisées comme de vrais tests grandeur nature pour expérimenter de nouvelles pièces et collecter un maximum de données pour la monoplace de la saison 2019.

Cela signifie que la performance de la MCL33 n’a cessé de chuter, mais McLaren considère que cet investissement est susceptible de générer de grands bénéfices pour la prochaine voiture.

« Nous avions besoin de comprendre certains des problèmes que nous rencontrions, notamment leur cause principale. » explique Gil De Ferran.

« Certaines des modifications n’ont pas fonctionné, il fallait donc comprendre pourquoi, tout cela s’est passé en début d’année. »

« Nous avons inclus certaines choses, mais c’est une course au développement, et il y a beaucoup de vérité dans le fait que nous sommes très concentrés sur la voiture de l’année prochaine et que nous essayons de fabriquer une meilleure voiture afin d’être plus compétitifs. »

La MCL33 souffre d’un manque de vitesse de pointe en raison d’une traînée excessive, ce qui n’est pas forcément compensé dans les courbes à basse vitesse.

Ces faiblesses ont été évidentes sur certains circuits du calendrier : « Certains circuits cette année ont mis en lumière plusieurs de nos faiblesses, il est difficile de penser qu’à Singapour nous avons fait une bonne course, mais Fernando a signé le meilleur tour en course et nous avons terminé avec ce que je pense être une solide septième position. »

En 2019, McLaren alignera Carlos Sainz et le jeune Lando Norris. Fernando Alonso pour sa part stoppera la Formule 1 à la fin de l’année et Stoffel Vandoorne devrait être titularisé en Formule E dans l’équipe HWA.

Alors qu’un Grand Prix de Formule 1 dans les rues de Miami n’aura finalement pas lieu cette année, une seconde course aux Etats-Unis sur le calendrier de la F1 est très attendue par beaucoup de fans et encore plus par le directeur de l’équipe américaine Haas.

Gunther Steiner, team principal de l’écurie Haas, estime que ce n’est qu’une question de temps pour qu’une seconde épreuve aux Etats-Unis voit le jour en catégorie reine du sport automobile.

Steiner pense que le nombre de fans de F1 aux USA est suffisamment important pour justifier la mise en place d’un autre Grand Prix en parallèle de celui déjà organisé au Texas à Austin sur le circuit du COTA.

« Je pense qu’il est très important pour la Formule 1 d’avoir une course aux Etats-Unis. » déclare Steiner. « Pendant longtemps, jusqu’à ce que le COTA soit au calendrier, il n’y en avait pas. »

« Je pense que la base de fans est de plus en plus importante, c’est important pour la Formule 1, mais aussi pour nous, car c’est notre Grand Prix national et nous sommes impatients d’y être. »

« Ce serait fantastique d’avoir une seconde course en Amérique, et je pense que nous allons y arriver. Il faudra un peu de temps, mais nous y arriverons. »

Au Japon, Carlos Sainz s’est battu pour arracher le dernier point en jeu. L’Espagnol se concentre désormais sur le prochain défi, le Grand Prix des États-Unis à Austin, un circuit qui lui a bien réussi dans le passé.

Pourquoi appréciez-vous le Grand Prix des États-Unis ?

« Austin est l’un de mes tracés préférés. Sa personnalité et son caractère diffèrent un peu des autres pistes au calendrier. On peut y ressentir toute la puissance d’une F1 tout en retrouvant un mélange parfait entre courbes rapides, lignes droites, freinages difficiles et virages à 90°. »

« Tout cela offre un superbe challenge aux pilotes. Le premier secteur est exceptionnel, très amusant au volant de ces monoplaces. C’est extrêmement rapide avec plusieurs changements de direction et beaucoup de forces g. J’aime vraiment ce genre de circuit ! »

Quels souvenirs gardez-vous de vos débuts chez Renault l’an passé à Austin ?

« C’est évidemment un circuit marquant puisque j’y ai disputé ma première course avec les couleurs Renault. L’équipe avait fourni un bel effort collectif et nous avions eu beaucoup de choses à apprendre en peu de temps. »

« Ce week-end avait été un succès et il m’avait permis de commencer mon aventure avec Renault sur une bonne note. Je me souviens avoir pris beaucoup de plaisir en qualifications, où nous avions atteint la Q3. Le dimanche avait été tout aussi agréable. »

« Nous étions performants et nous avions réalisé quelques dépassements. C’était une arrivée parfaite au sein de l’écurie et j’ai adoré chaque moment en jaune et noir depuis l’an dernier. »

Dans quel état d’esprit abordez-vous cette semaine de course ?

« Après ce point au Japon, je suis optimiste pour Austin. Ce circuit devrait convenir davantage à la voiture que Suzuka. Nous restons positifs et nous devons poursuivre le combat. »

« Nous savons que la seconde moitié de saison a été difficile pour tous les membres de l’équipe, mais elle démontre également tout notre engagement. »

« Même si nous n’avons pas le rythme que nous voulons, nous marquons toujours des points. Nous devons donc continuer de nous battre et d’avancer. Nous pouvons atteindre nos objectifs. »

Après la l’officialisation de l’arrivée de George Russell chez Williams au poste de pilote titulaire pour 2019, l’équipe de Grove doit encore annoncer le nom du second pilote qui se trouvera aux côtés du jeune britannique l’an prochain.

Claire Williams, la patronne de l’équipe, n’a cependant pas exclu de titulariser Esteban Ocon en 2019, alors que la formation britannique continue d’évaluer toutes les possibilités qui s’offrent à elle.

Williams n’est donc pas contre le fait de titulariser deux pilotes Mercedes l’an prochain, ce qui ferait de l’écurie une équipe B du constructeur allemand.

« Nous continuons à faire un gros travail d’évaluation des possibilités pour notre second baquet, il nous reste une courte liste de noms. » commente Claire Williams.

« Nous sommes très heureux des pilotes présents sur cette liste, et je pense que nous n’aurons pas besoin de beaucoup de temps avant de nous décider. »

« Bien entendu, Esteban [Ocon] fait partie des pilotes considérés. Nous serions juste fous de ne pas le faire. »

Parmi la liste des pilotes susceptibles de rejoindre l’équipe Williams en 2019, il y a bien-sûr l’actuel pilote titulaire Sergey Sirotkin, le pilote de développement Robert Kubica, Artem Markelov et Esteban Ocon.

Après deux rendez-vous difficiles, Nico Hülkenberg est déterminé à retrouver les points au moment où la saison entre dans sa dernière ligne droite sur le Circuit des Amériques

En quoi le Grand Prix des États-Unis est-il à part ?

« J’aime beaucoup me rendre au Texas pour le Grand Prix des États-Unis. Austin est une ville géniale, sans même parler de son ambiance. C’est l’endroit idéal pour organiser un week-end de course. »

« C’est en général un superbe événement où l’on prend beaucoup de plaisir. J’ai toujours envie de me mettre quelque chose sous la dent et l’Amérique s’y prête assez bien entre les burgers et autres tentations. »

« Même si je vais éviter les fast-foods avant la course, soyez sûrs que je dégusterai quelques spécialités locales dimanche soir. D’année en année, le Grand Prix des États-Unis s’avère être l’un des week-ends les plus amusants du calendrier. »

Que dire sur le Circuit des Amériques ?

« Son tracé se démarque vraiment des autres. Il est vraiment bien conçu avec de beaux enchaînements reliés les uns aux autres et il demande du rythme. Le premier secteur est similaire à Maggots-Becketts-Chapel de Silverstone, car il s’avale à toute vitesse et c’est ce dont les pilotes raffolent. »

« On doit trouver un bon équilibre entre les virages fluides et les deux longues lignes droites. Les freins et la consommation sont également mis à l’épreuve. Ce sont des sujets sur lesquels nous devrons être attentifs, mais Austin n’en reste pas moins une piste qui me donne le sourire ! »

Quel est l’état d’esprit du Hülk avant d’aborder le sprint final ?

« Les rendez-vous précédents ont été compliqués, mais nous sommes positifs et nous souhaitons rebondir sur les quatre derniers week-ends de la saison. »

« Cela ne s’est pas passé comme prévu au Japon, mais nous voulons en retenir les leçons pour arriver fin prêts à Austin. Je suis déterminé à être dans les points sur chacune de ces quatre courses, tout comme Carlos de l’autre côté du garage. »

« Nous allons donc déployer toute notre énergie pour tirer le maximum de notre ensemble et assurer cette quatrième place au Championnat Constructeurs. »

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, affirme que son équipe doit absolument surveiller Red Bull, l’Autrichien estimant que l’équipe basée à Milton Keynes pourrait devenir redoutable avec le moteur Honda l’an prochain.

Après douze années passées comme équipe cliente de Renault, Red Bull Racing sera équipée du moteur Honda à partir de la saison prochaine, ce qui commence à inquiéter Mercedes, qui a constaté de grands progrès de la part du motoriste japonnais ces derniers mois.

« Le moteur Honda a l’air très compétitif, et il y a de vrais compétiteurs chez Red Bull?, donc, nous allons les surveiller. » déclare Wolff.

« C’est formidable de les voir [Honda] faire de réels progrès. Nous sommes vraiment enthousiastes à propos des progrès réalisés et nous espérons vraiment les voir en 2019. »

Honda a introduit une grande mise à jour sur son moteur au Grand Prix du Japon la semaine dernière, ce qui a permis au motoriste japonais de faire de grands progrès en termes de performance pure.

Le motoriste nippon n’a pas communiqué davantage sur cette mise à jour, mais certains médias allemands affirment que le moteur Honda se rapproche du niveau de performance du bloc V6 Mercedes, certains allant même jusqu’à annoncer que le V6 Honda n’accuse qu’un retard de 50 chevaux sur le moteur du constructeur allemand.

Renault n’est pas encore certaine de pouvoir terminer à la quatrième place au classement des constructeurs cette année et va donc devoir trouver suffisamment de ressources pour continuer à marquer un maximum de points d’ici la fin de la saison.

L’équipe du constructeur français ne développe quasiment plus la RS18 en cette fin de saison, et une grande partie de l’équipe travaille déjà sur la monoplace 2019 depuis quelques mois.

Mais avec seulement huit points d’avance sur l’équipe Haas au championnat, Renault va devoir mettre tout en oeuvre pour conserver sa position alors qu’il ne reste que quatre courses à disputer cette saison.

« La quatrième place sera très disputée dans la dernière ligne droite de la saison, mais nous sommes optimistes au moment d’aborder le prochain rendez-vous aux États-Unis. » déclare Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing.

« Notre rythme de course est clairement compétitif par rapport aux autres équipes du peloton, mais nous devons absolument améliorer notre rythme sur un tour en qualifications. »

« Il y a actuellement très peu de différence entre la septième et la seizième position sur la grille de départ et nous devons nous assurer de figurer le plus haut possible le jour de la course. C’est là que se gagnent et se perdent les points. »

« Nous arrivons à la fin de notre cycle de développement, car nous nous concentrons de plus en plus sur les projets de 2019. Notre priorité immédiate reste d’atteindre les objectifs fixés au début de l’année. »

« Pour y parvenir, nous devons aborder les quatre dernières courses comme un mini-championnat. Austin est notre prochain défi et nous nous y rendons déterminés afin de faire nos preuves. »

Alors qu’il ne reste que quatre courses avant que le championnat du monde 2018 ne se termine, trois équipes de Formule 1 n’ont pas encore dévoilé leur Line-up complet pour la prochaine saison de F1.

Ce vendredi, l’équipe Williams a annoncé la titularisation du jeune George Russell à partir de la saison prochaine mais n’a pas encore dévoilé l’identité de son futur coéquipier.

Force India n’a toujours dévoilé l’identité de ses deux pilotes pour la saison 2019 et Toro Rosso doit encore annoncer le nom du futur coéquipier de Daniil Kvyat.

Un baquet chez Williams

Avec l’arrivée de Russell chez Williams en 2019, il semble désormais peu probable qu’Esteban Ocon rejoigne l’équipe de Grove, la formation britannique s’étant déjà opposé à la titularisation de deux pilotes issus de la filière Mercedes.

Les candidats les plus sérieux pour épauler Russell l’an prochain sont l’actuel pilote titulaire Sergey Sirotkin et le pilote de développement de l’équipe, Robert Kubica.

Selon plusieurs sources, Esteban Ocon prendrait la direction de l’équipe d’usine Mercedes pour devenir pilote de réserve pour une année, avant d’être titularisé aux côtés de Lewis Hamilton en 2020.

Un baquet chez Toro Rosso

Daniil Kvyat signera son grand retour en F1 en 2019, le Russe sera pilote titulaire pour l’équipe Toro Rosso mais son futur coéquipier n’est pas encore connu.

Là aussi, plusieurs noms ont circulé ces dernières semaines, mais les candidats les plus sérieux semblent être Alex Albon, Brendon Hartley et Mick Schumacher, même si ce dernier a été écarté de la liste par Helmut Marko il y a quelques semaines.

Stoffel Vandoorne, pressenti pendant un certain temps pour remplacer Brendon Hartley en 2019, ne fait désormais plus partie des potentiels pilotes pouvant rejoindre l’écurie italienne l’an prochain. Le Belge devrait en effet être annoncé dans les prochains jours chez HWA en Formule E.

Deux baquets chez Racing Point Force India

Il n’y a plus vraiment de suspens chez Racing Point Force India puisque l’écurie rachetée cet été par un consortium canadien dirigé par Lawrence Stroll, le père de Lance Stroll,  qui devrait en toute logique annoncer Sergio Perez et Lance Stroll pour 2019.

Stroll remplacera très certainement Esteban Ocon, qui devrait rejoindre pour sa part l’équipe d’usine Mercedes en tant que pilote de réserve.

Transferts 2019

Max Verstappen n’a pas été autorisé par son employeur à prendre le guidon d’une MotoGP, alors que le pilote Red Bull en avait fait la demande il y a déjà quelques mois de cela.

Verstappen avait émis le souhait de tester une MotoGP pour son plaisir personnel, à l’instar de Marc Marquez, qui avait pu tester une monoplace de F1 sur le Red Bull Ring en Autriche un peu plus tôt cette année.

Interrogé lors d’un événement organisé par son sponsor personnel Exact pour savoir s’il avait reçu l’autorisation de rouler en MotoGP, Max Verstappen a révélé que Red Bull avait mis son veto.

« J’aimerais pouvoir courir sur deux roues, mais je n’y suis pas autorisé. » a révélé Verstappen. « Je me suis acheté une Harley et j’ai demandé à l’équipe si je pouvais essayer une MotoGP, parce que Red Bull y est sponsor également avec KTM et Honda. Nous avons une piste, le Red Bull Ring, mais ils ont formellement dit non, parce que c’est trop dangereux. »

Le seul pilote ayant pu essayer une MotoGP durant sa carrière de pilote de F1 fut Fernando Alonso lors des Thanks Days organisés chaque année par Honda au Japon. L’Espagnol avait pris le guidon d’une Honda RCV213 à deux reprises en 2015 et 2016.