Avec déjà deux victoires à son actif cette saison, Max Verstappen remonte doucement mais sûrement au classement des pilotes 2019.

Désormais troisième à seulement sept points de Valtteri Bottas, le pilote Red Bull Max Verstappen se félicite de ses deux victoires et des progrès réalisés, mais le Hollandais estime que ce n’est pas encore suffisant.

« Nous ne devons pas oublier que j’ai aussi gagné en Autriche parce que Mercedes avait des problèmes de refroidissement. » souligne Max Verstappen dans un entretien accordé à De Telegraaf.

« Cela nous a bien-sûr aidé, mais de toute façon, j’ai gagné à deux reprises. C’est mieux que prévu à ce stade de la saison, nous avons fait de bons progrès, mais il faut que ce soit un peu mieux. »

Max Verstappen ne se fait pas trop d’illusions en revanche lorsqu’on évoque la possibilité de se battre pour le titre mondial cette année : « C’est presque impossible. Ensuite, Hamilton devrait avoir beaucoup de malchance. » souligne Verstappen, qui accuse 69 points de retard sur le pilote Mercedes au championnat.

« En revanche, cela semble absolument positif pour l’année prochaine, même si les autres ne resteront pas les bras croisés non plus, n’est-ce pas ? »

« Nous devons vraiment travailler dur pour combler l’écart, jusqu’à présent, je suis satisfait des progrès réalisés et avec Honda je pense qu’il y a encore beaucoup à gagner. »

A partir du Grand Prix de Belgique, Max Verstappen aura à ses côtés un nouveau coéquipier en la personne d’Alex Albon, fraîchement promu à la place de Pierre Gasly.

L’équipe Mercedes devrait annoncer son duo de pilotes pour la saison 2020 cette semaine avant le Grand Prix de Belgique.

L’équipe Mercedes devrait faire une annonce cette semaine avant le Grand Prix de Belgique, un duo de pilotes qui sera très probablement composé de Lewis Hamilton et Valtteri Bottas selon plusieurs sources concordantes.

Le pilote finlandais devrait être confirmé dans ses fonctions chez Mercedes pour une saison supplémentaire en 2020 aux côtés du Britannique Lewis Hamilton, ce qui sera la quatrième année pour Valtteri Bottas au volant de la flèche d’argent.

Les deux pilotes seront libres contractuellement à la fin de la saison 2020 et pourraient donc décider de quitter l’équipe pour rejoindre une autre écurie juste avant la saison 2021 et l’introduction des nouvelles réglementations en F1.

Ces nouvelles réglementations devraient rebattre les cartes en Formule 1 en 2021, ce qui devrait animer fortement le marché des transferts l’an prochain.

Esteban Ocon devrait rejoindre Renault

Le Français Esteban Ocon, qui occupe le poste de troisième pilote chez Mercedes cette année, devra patienter encore un peu avant de devenir pilote titulaire pour l’équipe Mercedes.

Le constructeur allemand s’est dit prêt à lâcher son jeune pilote pour qu’il puisse rejoindre une autre équipe et être présent sur la grille en 2020, mais la situation du Français pour la prochaine saison n’est pas très claire.

Les rumeurs envoient directement Esteban Ocon chez Renault en 2020 en remplacement de Nico Hulkenberg, mais selon les dernières informations, aucun contrat n’a encore été signé entre les deux parties.

Il se murmure en coulisses qu’Esteban Ocon pourrait également rejoindre l’équipe Haas à la place de Romain Grosjean si jamais Renault décide de prolonger Hulkenberg en 2020, mais tout laisse penser que l’écurie Haas continuera avec son duo actuel de pilotes l’an prochain [Grosjean et Magnussen].

Le quintuple champion du monde de MotoGP Marc Marquez a lancé un défi à son homologue en F1 Lewis Hamilton.

Dans un entretien accordé à Sportmail, le pilote MotoGP invite officiellement Lewis Hamilton à venir se mesurer à lui sur une piste, d’abord en F1, puis au guidon d’une MotoGP.

« Ce serait intéressant d’organiser un face à face, d’abord avec une voiture de Formule 1, puis avec une moto – parce que je sais qu’il roule à moto. » a déclaré Marc Marquez à Sportmail.

« Je discute avec lui parfois par le biais des réseaux sociaux et je sais qu’il roule vraiment bien. J’espère donc pouvoir au moins le rencontrer, nous étions proches l’an dernier, mais nous avions chacun des compromis et nous n’avons pas pu. »

« J’ai déjà testé sur le Red Bull Ring une Toro Rosso. Ce fut une très belle expérience. J’ai fait 40 tours et c’était un véritable test. »

« La vitesse était là mais l’expérience me manque. Je connaissais la configuration de la piste mais les points de freinage et la force d’appui étaient la chose la plus difficile à comprendre. Je pourrais m’y habituer sur un circuit normal … mais pas Monaco! »

« Piloter une Formule 1 sur un circuit normal ça va, vous pouvez trouver la limite, mais en pleine ville comme à Monaco, c’est plus difficile. »

Sergio Perez a déclaré qu’il n’avait jamais eu de monoplace capable de décrocher un podium au cours de sa carrière en F1 longue de neuf ans désormais.

Après neuf années passées en catégorie reine du sport automobile [Sauber, McLaren et Racing Point] le Mexicain Sergio Perez n’a décroché « que » huit podiums jusqu’à présent.

« Pour être honnête, au cours de ces neuf années je n’ai jamais eu une monoplace capable de signer un podium, peut-être quelques unes mais pas toutes. » admet Sergio Perez au site de la F1.

« Vous avez toujours pour objectif d’avoir la meilleure voiture possible sur la grille et, malheureusement, ce n’est pas encore arrivé pour moi. »

« La Sauber 2012 était une bonne voiture de course. Je pense que nous avons fait de bonnes choses avec cette voiture lors de quelques courses. C’était très impressionnant de voir ce que cette voiture pouvait faire. »

Une bonne gestion de la course

Le pilote mexicain souligne que son point le plus fort est son rythme et sa gestion de la course, c’est notamment grâce à ce point fort qu’il a été en mesure de maximiser ses chances d’obtenir des podiums au cours de sa carrière.

« Mon rythme de course est mon point le plus fort. Vous devez également vous assurer que la stratégie fonctionne bien. Je me souviens avoir réussi à décrocher deux podiums uniquement parce que je savais comment gérer la stratégie et décider quand m’arrêter. »

Pour la saison 2020, Sergio Perez a de fortes chances d’être de nouveau aux côtés de Lance Stroll chez Racing Point, une annonce étant attendue dans les prochains jours.

Nico Rosberg pense que le côté narcissique de Max Verstappen est certainement l’un de ses points les plus forts cette année, après son talent naturel.

Le champion du monde de F1 2016, Nico Rosberg, occupe désormais un poste d’observateur dans le paddock, notamment en étant consultant pour la télévision, alors que l’Allemand possède également une chaîne Youtube sur laquelle il n’hésite pas à partager son opinion.

Récemment, l’ancien pilote Mercedes a donné son avis sur le jeune Max Verstappen, qui du haut de ses 21 ans, a une nouvelle fois marqué les esprits lors de la première partie de saison en décrochant sa première pole position en F1 et en montant à cinq reprises sur le podium dont deux fois sur la plus haute marche.

Pour Nico Rosberg, Max Verstappen a un talent naturel indéniable, doublé d’une pointe de narcissisme, un peu comme Ayrton Senna, Michael Schumacher ou encore un certain Lewis Hamilton.

« Il a un talent naturel qui n’a rien à envier à celui de Senna ou de Hamilton. C’est le genre de talent qui se présente une seule fois tous les dix ans. » estime Nico Rosberg dans sa dernière vidéo sur sa chaîne Youtube.

« Il a certainement un côté narcissique, mais tous les plus grands pilotes avaient cela. C’était le cas de Schumacher, de Senna, ils avaient tous cette confiance que je n’avais malheureusement pas eu à ce niveau, lui il l’a, et pas qu’un peu. »

« Il y a tellement de pression, il se passe tellement de choses, il y a tant de politique que si on conserve cette confiance on reste protégé et concentré avec l’esprit libre. »

Au championnat du monde, Max Verstappen occupe la troisième place à seulement sept points du pilote Mercedes Valtteri Bottas.

Jolyon Palmer n’a pas été très tendre avec Renault – son ancienne écurie – qu’il n’hésite pas à critiquer ouvertement après une demi-saison compliquée pour l’équipe du constructeur français.

Après les douze premières courses de l’année, Renault se retrouve à la sixième position au classement des constructeurs 2019, bien loin de l’équipe McLaren [43 points], qui est désormais la quatrième force de la grille.

Palmer estime que la situation est humiliante pour Daniel Ricciardo, qui a quitté une équipe Red Bull devenue très forte cette saison.

« Renault – et Daniel Ricciardo en particulier – ont eu une sorte de spectacle d’horreur en 2019. » déclare Jolyon Palmer, l’ancien pilote Renault dans sa chronique pour la BBC.

« Après avoir enregistré des progrès constants depuis son retour en 2016, le constructeur français semble avoir fait un bond en arrière, malgré la signature d’un vainqueur de Grand Prix en la personne de Ricciardo. »

« Pour Ricciardo, cela doit être humiliant. Il a quitté Red Bull, qui a maintenant l’air plus fort qu’elle ne l’a jamais été pendant les années où l’Australien était à la barre, et Renault a maintenant fait un pas en arrière pour faire bonne mesure. »

« Ricciardo n’a marqué qu’un seul point au cours des cinq dernières courses, tandis que son coéquipier Nico Hulkenberg a connu des difficultés égales, voire pire, dans l’autre voiture. »

« Le moteur semble avoir fait un pas en avant, mais la fiabilité reste un talon d’Achille: quatre abandons peuvent être attribués au moteur. » souligne le Britannique.

« Dans l’ensemble, toutefois, la voiture reste trop lente et Renault n’est qu’à la sixième place au classement des constructeurs. »

Jolyon Palmer estime que les récents succès obtenus par Honda sont amplement mérités pour le motoriste japonais, après de nombreuses critiques essuyées au cours des dernières années.

L’ancien pilote Renault revient dans sa dernière chronique pour la BBC sur les gagnants et les perdants de cette première partie de la saison 2019 et le motoriste Honda figure naturellement du côté des gagnants pour le Britannique.

Avec six podiums, une pole position et deux victoires en douze courses, Honda a retrouvé de sa superbe cette année, bien aidé il est vrai, par le châssis de la Red Bull RB15 et le pilote Max Verstappen, qui a signé à lui tout seul cinq des six podiums, une pole et deux victoires.

« Le partenaire moteur de Red Bull est certainement le héros méconnu de la saison 2019. Dans le cadre de son partenariat avec Red Bull, la firme japonaise a parfaitement pris son envol. » analyse Jolyon Palmer pour la BBC.

« Le moteur est toujours en retrait en termes de performances pures par rapport au Ferrari ou au Mercedes, mais les progrès qu’ils ont réalisés sont effrayants. »

« Remporter des courses et signer leur première pole position dans l’ère hybride sont des succès bien mérités pour un motoriste qui a été traîné dans la boue ces dernières années lors de son partenariat malheureux avec McLaren. »

« Les excellentes performances de Toro Rosso cette saison sont aussi la preuve qu’il ne s’agit pas uniquement d’un succès uniquement dû à Red Bull. »

« Daniil Kvyat a décroché le premier podium de Toro Rosso depuis plus de dix ans avec le moteur Honda en Allemagne et, bien que Red Bull ait démarré lentement, la courbe de progression montrée devrait inquiéter Mercedes pour l’an prochain. »

Le pilote Williams George Russell brille par son absence ce week-end lors d’une représentation organisée par son équipe à Gdynia en Pologne.

L’équipe Williams organise ce week-end une démonstration dans la ville de Gdynia avec l’aide de son sponsor PKN Orlen.

Si le Polonais Robert Kubica est bien présent ce samedi pour participer à l’événement, son coéquipier George Russell brille par son absence, officiellement pour maladie.

« Nous sommes arrivés à Gdynia pour l’événement organisé par notre partenaire PKN Orlen au Verva Street Racing avec Robert. » a annoncé l’équipe Williams.

« Malheureusement, George n’est pas en mesure d’assister à l’événement pour cause de maladie, nous espérons qu’il ira mieux bientôt ! »

Coïncidence ou pas, le jeune pilote britannique a récemment déclaré devoir faire face à des commentaires haineux sur les réseaux sociaux de la part des fans polonais de son coéquipier Robert Kubica.

Russell est t-il vraiment malade ou a t-il simplement décliné l’invitation pour éviter tous problème avec les fans de Robert Kubica ?

Tatiana Calderon a connu une journée positive au volant d’une Formule 1 ce vendredi sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

La Colombienne a participé à une journée de tests avec Alfa Romeo Racing ce vendredi en France pour la troisième fois depuis l’année dernière.

Calderon était au volant d’une Sauber C32 de la saison 2013 équipée d’un moteur V8 et a pu notamment effectuer des simulations de course et de qualifications.

« Ce fut une journée très positive sur le circuit Paul Ricard, la troisième fois au volant d’une Formule 1 pour moi. Piloter une Formule 1 est toujours quelque chose de très spécial. » a déclaré Tatiana Calderon après sa journée de test ce vendredi au Castellet avec Alfa Romeo.

« Ce fut une journée très positive, avec une simulation de qualifications, une simulation de course, alors que j’ai eu le privilège de pouvoir travailler avec des personnes très professionnelles de l’équipe Alfa Romeo Racing. »

« Ils ont fait un grand travail, notamment avec toutes les informations que j’ai pu recevoir. Je pense que cela va me servir la semaine prochaine en Formule 2 pour la course à Spa. »

Ce samedi, c’est le pilote américain Juan Manuel Correa qui sera au volant de la Sauber C32 sur le circuit Paul Ricard pour une journée d’essais.

Andreas Seidl, qui est devenu team principal de l’équipe McLaren cette année, ne veut prendre aucun crédit pour le redressement des performances de l’équipe.

L’Allemand a débuté chez McLaren cette année, mais selon lui, les bonnes performances de l’équipe en ce début de saison sont à mettre au crédit de Zak Brown, qui a su mettre en place au fil des derniers mois une nouvelle dynamique à Woking.

« Lorsque j’ai pris mes fonctions, il y avait déjà cette atmosphère positive dans l’équipe. » explique Andreas Seidl au site de la Formule 1.

« Beaucoup de changements initiés par Zak [Brown, le PDG de McLaren] l’année dernière donnent des résultats maintenant. Personne ne pouvait s’attendre à ce que nous puissions faire ce saut cette année, surtout que nous nous battions contre Williams en fond de grille à Abou Dhabi [en 2018]. »

« J’ai vraiment pris mon temps au cours des derniers mois pour connaître l’équipe, connaître les gens et comprendre comment l’équipe fonctionne, parce que pour moi il est important d’avoir la meilleure image possible pour comprendre les points forts et les points faibles. »

« Ce que nous faisons maintenant, c’est que nous élaborons un plan clair indiquant comment nous voulons aborder l’avenir en équipe, et nous le faisons en parallèle de la saison en cours. »

« Je suis satisfait de notre position actuelle – nous avons 70 points maintenant, nous en avions 62 à la fin de la saison dernière. Mais il est important de ne pas se laisser emporter par cela. Il y a encore un long chemin à parcourir. Il n’y a pas de magie. Il est important que nous poursuivions cette tendance positive en tant qu’équipe. »

McLaren poursuit le développement de la MCL34

Seidl révèle que McLaren continuera à développer la MCL34 au cours de la seconde partie de la saison, tout en travaillant simultanément sur la voiture de l’année prochaine.

« Certaines personnes se concentrent déjà sur la voiture de l’année prochaine. La phase de conception initiale est revenue à un rythme plus normal, après des années où le changement de groupe d’alimentation était survenu assez tardivement ou avec des changements de personnel. »

« Le développement de la voiture de cette année a également démarré beaucoup trop tard. Je suis tout à fait optimiste sur le fait que nous pourrons passer à la prochaine étape avec la voiture pour l’année prochaine, mais en même temps, nous devons aussi rester réalistes. »

Fernando Alonso se dit satisfait de ses tests réalisés ces derniers jours au volant de la Toyota Hilux avec laquelle il prendra le départ du Dakar 2020.

Le pilote espagnol a effectué cette semaine des tests dans le désert de Namibie avec Toyota, et bien qu’il ait connu des journées positives, Alonso admet qu’il reste encore du travail avant d’être parfaitement opérationnel.

« Ce fut des journées positives durant lesquelles j’ai essayé d’apprendre tout ce qui était possible et j’ai aussi essayé d’absorber le plus d’informations que l’équipe m’a donné. » explique Fernando Alonso.

« Je pense que la mentalité actuelle est de prendre cette préparation comme une aventure, étape par étape. Vous devez tout apprendre en partant de zéro et essayer d’être meilleur chaque jour. »

Le pilote espagnol assure qu’il se mettra en mode compétition à partir du moment où il aura terminé les phases de test avec ce nouveau véhicule qu’il essaie d’appréhender depuis quelques jours.

« En chacun de nous il existe un esprit de compétition qui s’animera le moment voulu. » souligne le double champion du monde.

« Mais pour l’instant, il reste encore un long chemin à parcourir et je veux profiter de chaque kilomètre parcouru. »

Après ces tests en Namibie, Fernando Alonso participera à une manche du championnat d’Afrique du Sud de Rallye-Raid, le Harrismith 400.

Le PDG du circuit d’Austin estime que la Formule 1 n’existerait tout simplement pas aux Etats-Unis sans son circuit.

Bobby Epstein considère le circuit du COTA [Circuit Of The Americas], qui accueille le Grand Prix des Etats-Unis en F1 depuis 2012, comme la maison de la F1 aux Etats-Unis.

Cependant, le PDG du tracé situé à Austin au Texas se dit inquiet de savoir que Liberty Media est en négociation avec Miami pour organiser une seconde course sur le sol américain.

« Il est juste de dire que la F1 n’existerait pas aux États-Unis si nous n’avions pas construit de maison pour l’accueillir, ici au COTA. Il suffit de regarder à quel point nous avons contribué à créer une base de fans ici. » a déclaré Bobby Epstein, PDG du COTA à ESPN.

Le contrat d’Austin avec la Formule 1 expire en 2021 et donc être renégocié : « Je pense qu’un contrat à court terme serait ce qu’il y a de mieux pour les deux. » souligne Epstein.

« Vous ne souhaitez certainement pas vous enfermer dans quelque chose qui pourrait ne pas vous plaire à l’avenir. Nous ne pouvons même pas savoir comment le sport se développera à l’avenir. »

« Je veux juste dire que je pense qu’il y aura toujours un Grand Prix de F1 au COTA tant qu’il y aura la piste. C’est l’avantage d’avoir une structure permanente. »

Selon le PDG du COTA, l’arrivée d’une deuxième course aux Etats-Unis aura certainement un impact négatif sur la fréquentation du circuit.

« La base du public aux USA est potentiellement plus grande qu’en Europe, mais l’impact négatif d’une course sur l’autre peut aussi être énorme. »

Le pilote de F1 Lewis Hamilton a proposé son aide pour lutter contre les terribles incendies qui ravagent la forêt amazonienne.

Selon les observations satellite, près de 2500 nouveaux départs de feu ont été constatés en l’espace de 48 heures sur l’ensemble du territoire brésilien.

D’après l’INPE, 75 336 feux de forêt ont été enregistrés dans le pays depuis janvier jusqu’au 21 août, soit 84% de plus que sur la même période de l’an dernier. Selon un collectif d’ONG, 54% de ces feux concernent l’Amazonie.

Le pilote de Formule 1 Lewis Hamilton se préoccupe lui aussi des ces incendies qui brûlent la forêt amazonienne à un « rythme record » et propose son aide aux Nations Unies.

« C’est dévastateur de voir notre monde souffrir. La forêt amazonienne brûle à un rythme record et les incendies ont augmenté de 80% cette année par rapport à l’an dernier. » a écrit Lewis Hamilton sur les réseaux sociaux.

« Les scientifiques se réfèrent à la forêt amazonienne comme étant le poumon de la Terre, car elle produit 20% de l’oxygène que nous respirons. »

« Plus qu’un terrain de football est détruit chaque minute, le monde doit se rassembler et aider. Si vous ne l’avez pas déjà fait, merci de poster à ce sujet, il est essentiel que nous continuions à susciter l’action. »

Le pilote Mercedes s’adresse directement aux Nations Unies à la fin de son message, en proposant son aide : « S‘il y a quelque chose que je peux faire, je suis prêt à aider de toutes les façons possibles. »

 

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It is devastating to see our world suffer. The Amazon rainforest is burning at a record rate and there have been 80% more fires this year compared to last. Scientist refer to the Amazon as the earths lungs as it produces 20% of the oxygen we breath. More than a soccer field is being destroyed every minute everyday, the world needs to come together and help. If you haven’t already, please post about it, it is vital we continue to spark action. @unitednations if there is anything I can do, I’m ready to help in anyway I can. #healtheworld #brazil #pray

Une publication partagée par Lewis Hamilton (@lewishamilton) le 22 Août 2019 à 6 :43 PDT

Le PDG de l’équipe McLaren, l’Américain Zak Brown, estime que la mise en place d’un plafond budgétaire à partir de la saison 2021 permettra certainement à McLaren de se battre avec le trio de tête.

Les instances de la F1 sont toujours en pleine discussion concernant les futures règles qui seront introduites en catégorie reine du sport automobile en 2021, mais les équipes connaissent déjà les grandes lignes de la future réglementation technique et sportive.

Parmi les nouvelles mesures qui seront introduites en 2021, l’instauration d’un plafond budgétaire pour les équipes était devenue une priorité pour les instances, afin de réduire les coûts de chaque équipe, mais aussi pour permettre de réduire les écarts sur la piste.

Interrogé sur la mise en place de ce plafond budgétaire, le PDG de l’équipe McLaren pense que son écurie pourra certainement se battre avec le trio de tête à partir de 2021 avec l’introduction d’une limite budgétaire.

« Je suis enthousiasmé par les règlements 2021 même s’Ils ne sont pas encore finalisés, mais je pense que nous avons tous une bonne idée de ce à quoi ils vont ressembler. » explique le PDG de McLaren.

« Le plafond budgétaire augmentera le nombre d’équipes capables de courir à l’avant et je nous inclurais dans ce groupe. »

« J’aurais aimé que le plafond budgétaire soit moins élevé, mais je pense que 175 millions de dollars est un bon début. Cela réduira l’écart, mais j’aimerais voir un autre pas en avant la prochaine fois. »

Le PDG de l’équipe McLaren, l’Américain Zak Brown, ne tarit pas d’éloges sur son duo de pilotes composé de Carlos Sainz et Lando Norris.

Carlos Sainz et Lando Norris ont tous les deux rejoint l’équipe McLaren cette année et, dès leur première saison à Woking, ont apporté leur bonne humeur au sein de la structure britannique.

Cette bonne ambiance a permis en grande partie à McLaren de se redresser après trois saisons compliquées en collaboration avec le motoriste japonais Honda et une année 2018 un peu meilleure avec l’arrivée de Renault en tant que fournisseur de moteur.

Cette année, après les douze premières courses de la saison 2019, McLaren se retrouve quatrième au championnat du monde avec plus de 40 points d’avance sur l’équipe Renault, qui n’est que sixième.

Le PDG de McLaren, Zak Brown, a tenu à féliciter personnellement ses deux pilotes pour le travail accompli jusqu’à présent.

« Les deux pilotes ont été exceptionnels. Carlos est actuellement septième au championnat du monde et il a été un excellent leader d’équipe. » souligne le PDG de McLaren, Zak Brown.

« Il est très rapide, il est cohérent et, comme Lando [Norris], il est un excellent joueur d’équipe. Lando pour sa part a été très rapide et a piloté de façon très mature. Il n’a commis aucune erreur de débutant, comme d’autres pilotes ayant une expérience similaire ont pu commettre. »

« Je suis certain qu’il va en commettre, comme cela arrive à tous les pilotes, mais sa maturité et le rythme dont il fait preuve sont impressionnants. »

« Nous sommes en pleine période de reconstruction et nous avons besoin de stabilité. Carlos et Lando ont eu tous deux de bons résultats et nous en sommes satisfaits. »

La Renault R25 rentrera dans l’histoire en 2005 après avoir permis à Renault de décrocher le doublé pilote / constructeur.

Après avoir manqué le titre de justesse en 1983, Renault avait pris sa revanche en dominant l’élite du sport automobile avec ses moteurs lors de la décennie suivante.  À l’issue de la saison 1997, l’activité F1 entre en veille pour mieux revenir et prendre sa revanche sur le passé… Ce sera fait dès 2005 avec la R25 !

À l’origine d’une première révolution technologique en F1 avec le moteur turbocompressé, Renault a récidivé avec le V10 atmosphérique propulsant les Williams et Benetton aux titres mondiaux entre 1992 et 1997.

Fin 1997, Renault décide de prendre du recul dans la discipline, mais les équipes de Viry-Châtillon planchent déjà sur un éventuel retour. En 2000, Renault rachète l’écurie Benetton installée à Enstone.

Rebaptisée Renault F1 Team dès 2002, l’association entre Enstone et Viry-Châtillon gravit progressivement les échelons en atteignant la plus haute marche du podium au Grand Prix de Hongrie 2003 et au Grand Prix de Monaco 2004, tant avec son moteur grand angle qu’avec son successeur plus traditionnel.

Dès 2005, l’objectif de Renault est clair : remporter officiellement le titre mondial. 
Giancarlo Fisichella et Fernando Alonso sont chargés de mener l’équipe à la consécration avec une R25 conçue pour répondre au nouveau règlement : une suspension avant innovante pour gérer l’interdiction des changements de pneumatiques, une aérodynamique optimisée et un moteur apte à courir deux Grands Prix d’affilée.

Avec un début de saison tonitruant sous l’impulsion de Fernando Alonso, Renault s’échappe rapidement au classement général malgré les velléités de Ferrari et McLaren.

En dépit de cette opposition de classe mondiale, Fernando Alonso ne fléchit pas et remporte, à l’âge de 24 ans, son premier titre de champion du monde des pilotes en F1, Renault devenant pour sa part le premier constructeur généraliste de l’histoire de la F1 à réaliser le doublé pilote / constructeur.

Après un première partie de saison 2019 plutôt réussie, le motoriste Honda dresse un premier bilan positif à mi-saison.

Avec deux victoires, six podiums [cinq pour Verstappen et un pour Kvyat] et une pole position en douze courses, Honda se dit très satisfait des progrès réalisés cette année en termes de fiabilité, mais aussi de performances sur son unité de puissance.

Masamitsu Motohashi, l’ingénieur en chef de Honda, explique également que certains problèmes seront résolus en seconde partie de saison.

« Notre puissance a augmenté par rapport à l’année dernière, et durant un week-end de course, nous avons également pu améliorer le châssis et le moteur. » explique l’ingénieur en chef de Honda à Autosport au Japon.

« Si vous ne regardez que l’unité de puissance, elle a vraiment évoluée, mais certains problèmes devront être résolus en seconde partie de saison. »

« La fiabilité a été nettement améliorée depuis le milieu de l’année dernière, et nous pouvons désormais nous concentrer sur l’amélioration des performances. Nous n’avons pas rencontré de problèmes majeurs cette année, et nous avons une base solide dans une certaine mesure. »

Rappelons que Honda introduira sa dernière mise à jour moteur au Grand Prix d’Italie, alors qu’un tout nouveau carburant sera également disponible à partir du Grand Prix de Russie.