Hamilton a du mal à imaginer un huitième titre en F1

Bien qu’il n’a officiellement toujours pas signé de contrat avec Mercedes pour la saison 2021, le Britannique Lewis Hamilton a déjà commencé à réfléchir à ses objectifs pour ce qui sera sa quinzième saison en Formule 1.

Le septuple champion du monde a égalé le nombre de titres de Michael Schumacher en 2020 et aura donc cette année la possibilité de devenir l’homme le plus titré de l’histoire de la Formule 1 s’il décroche un huitième championnat du monde.

Interrogé par la presse italienne sur cette possibilité de devenir octuple champion du monde de Formule 1 cette année, le principal intéressé admet avoir du mal à y croire.

« Obtenir un huitième championnat du monde serait quelque chose d’incroyable, je ne peux même pas évaluer la portée d’un tel chiffre. » a déclaré Hamilton à la Gazetta Dello Sport.

« En tout cas, je concentrerai mes efforts pour l’obtenir. Mais j’imagine une saison difficile, je peux vous l’assurer, parce qu’en 2020, Red Bull a déjà montré qu’elle était très forte. »

Au cours de sa carrière, Lewis Hamilton a remporté six de ses sept titres mondiaux avec l’équipe Mercedes entre 2014 et 2020. Seul le championnat 2016 (remporté par son ancien coéquipier Nico Rosberg) lui a échappé depuis l’introduction des moteurs hybrides en 2014.

Mattia Binotto sait que son temps ne sera pas infini chez Ferrari

Malgré la saison 2020 « compliquée » vécue par la Scuderia Ferrari, le directeur de l’équipe italienne, Mattia Binotto, sait qu’il a le soutien total de la part de ses dirigeants, bien que le  Suisse sait également que son temps au sein de la plus célèbre écurie de Formule 1 ne sera pas « infini ».

Mattia Binotto a succédé à Maurizio Arrivabene en 2019, année où Ferrari a terminé à la seconde place du championnat constructeurs derrière Mercedes.

Mais pour sa seconde année à la tête de la Scuderia, Binotto n’a pu que constater la dégringolade dans l’ordre hiérarchique l’an dernier, Ferrari terminant à une sixième position au championnat, son pire résultat depuis la saison 1980.

Malgré les mauvais résultats, Mattia Binotto est resté aux affaires chez Ferrari en 2021, l’écurie de Maranello ayant préféré miser sur une certaine stabilité plutôt que de « couper des têtes ».

« Il n’y aucun changement dans nos plans, aucun changement dans notre avenir. » a déclaré Binotto.

« Je sais bien-sûr que mon temps n’est pas infini. Je suis aussi conscient du fait qu’en tant qu’équipe nous devons bien faire, et cela est valable pour moi aussi dans les prochaines saisons. »

Revenant sur la saison 2020, Mattia Binotto admet que son équipe a performé bien en dessous de la normale : « Dans l’ensemble, ce fut une saison très intense, dense, difficile à bien des égards, où notre performance était insuffisante. »

« Terminer sixième au championnat des constructeurs est une mauvaise chose, car cela n’était pas arrivé depuis 1980. Mais c’est une saison où je pense que nous avons beaucoup investi dans l’avenir. »

« Nous essayons de créer les bases solides nécessaires pour devenir très compétitifs et, espérons-le, ouvrir un nouveau cycle pour l’avenir. »

La Scuderia Ferrari participera à la saison 2021 avec son plus jeune duo de pilotes depuis 1968 avec l’arrivée cette année de Carlos Sainz aux côtés de Charles Leclerc.

Mick Schumacher : « mon père est toujours la référence »

Pour Mick Schumacher, champion 2020 de Formule 2 et désormais pilote titulaire pour l’équipe Haas en Formule 1, la référence absolue en catégorie reine reste son propre père, le septuple champion du monde Michael Schumacher.

Bien que le Britannique Lewis Hamilton ait égalé le record de titres mondiaux de Michael Schumacher la saison passée [sept titres] et qu’il devrait être en mesure de se battre pour un éventuel huitième sacre en 2021 [ce qui ferait de lui l’homme le plus titré de l’histoire de la F1], Mick Schumacher considère toujours son père comme une référence absolue en Formule 1.

Lorsqu’on lui demande clairement qui est son héros dans le sport automobile, Schumacher Jr répond : « Mon père! Je regarde définitivement ce qu’il a accompli et j’essaie d’en tirer les leçons. » explique le jeune Mick dans un entretien accordé au site de la Formule 1.

« Il est la référence depuis si longtemps et, pour moi, il est toujours la référence. Je me réfère donc à lui. »

« Que ce soit du côté sportif ou bien du côté humain, j’ai toujours admiré sa constance à travers toutes ces années et la façon dont il a gardé les pieds sur terre. »

« C’est quelque chose que j’apprécie beaucoup, mais aussi quelque chose dont je peux apprendre pour poursuivre ma carrière. »

En 2021, le jeune Mick Schumacher fera ses débuts en Formule 1 avec la petite équipe américaine Haas aux côtés du Russe Nikita Mazepin.

Haas devra attendre les essais hivernaux pour démarrer sa F1 2021

L’unité de puissance Ferrari montée à l’arrière des deux Haas cette saison ne pourra pas démarrer avant les tests de pré-saison programmés à Bahreïn au mois de mars (du 12 au 14 mars) en raison de l’impossibilité pour le personnel Ferrari de se rendre au Royaume Uni.

L’équipe américaine Haas – qui utilise de nombreux composants en provenance de chez Ferrari (moteur, boîte de vitesses, suspensions…) a décidé cette année d’assembler sa nouvelle monoplace dans son usine de Banbury en Angleterre, notamment parce que l’écurie va utiliser des composants issus du châssis 2020 et ces composants se trouvent justement au Royaume-Uni.

Mais si le fret peut voyager d’un pays à l’autre, ce n’est pas le cas pour le personnel des équipes qui, en fonction de leur pays d’origine, doit observer une quarantaine obligatoire d’au moins quinze jours.

C’est notamment le cas du chef d’équipe chez Haas, Guenther Steiner, qui est actuellement aux États-Unis : « Si je voulais prendre l’avion pour l’Angleterre, je devrai être en quarantaine pendant deux semaines. » explique Steiner à nos confrères d’AMUS.

« Il n’y a que des exceptions pour les athlètes. Mick Schumacher sera présent la première semaine de février pour tester son baquet pour la dernière fois. Nikita [Mazepin] le fera aussi une semaine plus tard. »

Dans ce contexte, les ingénieurs Ferrari censés faire démarrer le bloc V6 Hybride pour la première fois sur le châssis 2021 de la Haas ne pourront pas se rendre à Banbury, ce qui veut dire que le moteur de la Haas VF21 sera démarré pour la toute première fois juste avant le coup d’envoi des essais hivernaux au mois de mars.

Un premier aperçu du nouveau virage numéro 10 de Barcelone

Les travaux visant à modifier profondément le virage numéro dix du circuit de Barcelone sont désormais terminés et les dirigeants du tracé espagnol ont publié un premier aperçu de la nouvelle trajectoire que vont emprunter les pilotes.

Cet hiver, le circuit de Catalunya a débuté des travaux pour modifier le fameux virage numéro dix de son tracé en supprimant l’angle fermé du virage pour le rendre beaucoup plus « rond » en empruntant pour cela une partie de l’échappatoire qui est située à l’extérieur.

Cette importante modification permettra aux pilotes de Formule 1 d’entrer dans le virage 10 avec beaucoup plus de vitesse qu’auparavant, ce qui devrait logiquement se répercuter sur le temps au tour.

Pour le moment, la nouvelle longueur du circuit n’a pas encore été dévoilée, mais elle devrait en toute logique varier de quelques mètres et il sera donc difficile de comparer les temps au tour de cette année avec ceux des saisons précédentes.

Pour voir quel impact peut avoir ce nouveau virage numéro dix sur le temps au tour d’une Formule 1, il faudra patienter jusqu’au mois de mai au Grand Prix d’Espagne (7 au 9 mai), puisque les essais hivernaux ne se dérouleront pas à Barcelone cette année (à Bahreïn du 12 au 14 mars).

En attendant donc, les dirigeants du tracé espagnol se sont contentés de publier une courte vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle on voir la nouvelle trajectoire que vont emprunter les pilotes à partir de cette année.

Carlos Sainz a « pleinement confiance » dans le projet Ferrari

L’Espagnol Carlos Sainz – qui a rejoint la Scuderia Ferrari cette saison aux côtés de Charles Leclerc – est persuadé que l’équipe italienne a les capacités de revenir au sommet du sport après une période compliquée.

L’Espagnol arrive chez Ferrari en pleine période de jachère pour l’écurie italienne, qui n’a pas remporté la moindre victoire l’an dernier après dix-sept courses, tandis qu’elle a terminé à la sixième place au classement constructeurs, soit son plus mauvais résultat depuis 1980.

« En tant que pilote de course c’est un grand honneur et une grande responsabilité et j’ai vraiment hâte de débuter. » explique Carlos Sainz.

« Depuis mon premier jour où j’ai débuté la course, je n’avais que deux objectifs en tête: devenir pilote de Formule 1 et remporter le championnat du monde. »

« Après avoir atteint le premier, toute ma concentration et mes efforts sont désormais investis pour essayer d’atteindre le second et il n’y a pas de meilleur endroit que Ferrari pour y arriver. »

Carlos Sainz s’est engagé à donner le meilleur de lui-même cette saison pour aider Ferrari à revenir au sommet dès que possible, même s’il a admis que le processus pourrait prendre un peu de temps.

« Mon ambition est de contribuer à créer une équipe gagnante, de ramener la Scuderia au sommet et de remporter le championnat du monde. »

« Chaque équipe traverse des moments difficiles à un moment donné, cela fait partie de la Formule 1. Ce qui compte vraiment, c’est la capacité à rebondir. L’histoire a montré que les équipes ayant gagné dans le passé sont à nouveau capables d’être compétitives. »

« Ferrari est l’équipe la plus titrée de l’histoire de notre sport et il y a une raison à cela. S’il y a une équipe sur la grille qui peut se battre pour revenir au sommet, c’est bien Ferrari. »

« J’ai pleinement confiance dans le projet et, même si le processus peut prendre un certain temps, je suis certain que l’équipe reviendra. Ce dont vous pouvez être sûr, c’est que je ferai de mon mieux pour aider à raccourcir le processus autant que possible. »

Le pilote français Pierre Gasly testé positif au Covid-19

Le pilote français, Pierre Gasly, a annoncé ce dimanche soir qu’il avait été testé positif au Covid-19. Selon le protocole, il s’est immédiatement placé à l’isolement et a prévenu toutes les personnes avec lesquelles il a été en contact ces derniers jours.

Il a annoncé lui même la nouvelle sur les réseaux sociaux, en précisant qu’il se sentait bien et qu’il pouvait continuer son entrainement.

« Je voulais vous faire savoir que j’ai été testé positif au Covid-19. Je l’ai signalé à toutes les personnes avec lesquelles j’ai été en contact ces derniers jours. »

« Je suis actuellement à l’isolement et je suis le protocole des autorités médicales locales. Je me sens bien et je vais continuer à suivre mon programme d’entrainement de chez moi, où je vais rester à l’isolement. »

Pierre Gasly est le sixième pilote de Formule 1 à avoir été testé positif au Covid-19 après Sergio Perez, Lance Stroll, Lando Norris, Lewis Hamilton et Charles Leclerc.

George Russell : « Lewis Hamilton est une légende »

George Russell n’a pas manqué de se faire remarquer la saison dernière lorsqu’il a remplacé Lewis Hamilton chez Mercedes le temps d’un Grand Prix.

Ayant manqué la victoire de peu, le pilote Williams espère avoir marqué les esprits et pouvoir profiter d’autres opportunités à l’avenir.

Il a en tout cas forcé l’admiration de Lewis Hamilton, qui n’a pas tarit d’éloge après sa performance à Sakhir.

Des compliments qui ne sont pas montés à la tête de Russell : « Recevoir des éloges aussi élevés signifie énormément, mais je ne me laisse pas affecter par ça car Lewis ne fera pas de différence dans ma carrière. »

« Je fait ce que j’ai à faire, je dois aller en piste et faire de mon mieux. Si je ne prouve rien en piste, peu importe que chaque pilote dise que je suis le meilleur. Je dois parler sur la piste. » a confié Russell dans une interview à The Sportman.

Le jeune britannique ne minimise cependant pas le talent de son compatriote : « Lewis [Hamilton] est une légende, de toute évidence le plus grand et statistiquement, il sera le plus grand de tous les temps d’ici la fin de l’année, j’en suis sûr. »

« J’ai le plus grand respect pour lui, pour ce qu’il fait sur la piste, la manière dont il travaille avec les ingénieurs. Mon respect pour lui a énormément grandi au cours des quatre dernières années. »

Mais Russell ne se focalise pas seulement du septuple champion sur monde dans son approche de la course. Il a observé les meilleurs pilotes de la discipline pour s’en inspirer : « J’avais l’habitude de regarder et de prendre les meilleurs aspects de chaque pilote. »

« La vitesse pure et simple de Lewis et ce qu’il fait sur la piste, quelqu’un comme [Fernando] Alonso qui tire le meilleur parti de chaque situation, [Juan Pablo] Montoya, qui est vraiment agressif. »

« Même en dehors des pistes, tout le monde aimait Jenson [Button] et la façon dont il traitait les médias. C’était un des favoris des fans. » conclut le Britannique.

Claire Williams revient sur les dernières années difficiles de Williams

Le Grand Prix d’Italie 2020, sur la piste de Monza, a marqué la fin de la présence de la famille Williams en Formule 1.

En effet, la mythique équipe britannique créée par Frank Williams a été vendue plus tôt dans l’année à des investisseurs américains voyant ainsi la famille Williams se retirer de l’entreprise.

Cette vente est intervenue suite à des difficultés financières consécutives à la crise sanitaire mondiale et à une série de mauvais résultats de l’équipe ces dernières saisons : « Les trois dernières années de mon mandat ont été incroyablement difficiles. » a déclaré Claire Williams, l’ancienne directrice de l’équipe, au magazine britannique The Spectator.

« Mais il y avait des circonstances atténuantes pour lesquelles nous nous sommes retrouvés dans cette situation lorsque j’ai accepté le poste. »

« En fait, les gens oublient que lorsque j’ai pris en main, j’ai hérité d’une équipe qui, au cours des trois dernières saisons consécutives, avait terminé neuvième, huitième et neuvième. »

« J’ai dirigé l’équipe pendant neuf mois et j’ai réussi à l’amener en moins d’un an à la troisième place du championnat, deux années de suite. Et puis nous en avons eu deux cinquième place au championnat. »

« Ce n’est pas mal pour une équipe qui a toujours été la perdante, qui avait beaucoup moins de personnel, beaucoup moins de ressources et beaucoup moins d’argent que les équipes contre lesquelles nous étions en compétition. » se justifie ainsi Claire Williams.

La fille de Frank Williams a dû également faire face à de nombreuses critiques : « Nous avons reçu beaucoup de soutien et nous l’avons conservé pendant les premières années de notre régression. »

« Mais par la suite, je pense que les gens ont commencé à se détourner un peu de nous et surtout, je pense, de moi. À juste titre d’ailleurs, j’étais le chef et j’étais la responsable. »

« J’ai reçu beaucoup de critiques. J’ai fait l’objet d’un examen minutieux. Il y a toute une série d’injures, apparemment, sur les réseaux sociaux. Mais, de mon côté, je ne pouvais pas faire attention à cela. »

« Cela m’aurait absorbé une énorme quantité d’énergie négative et je devais concentrer mon attention sur l’équipe et prouver à tout le monde que je pouvais le faire. »

« Plusieurs fois, les gens ont dit :« oh, c’est parce qu’elle est une femme » mais aussi : « elle n’est là que parce qu’elle est la fille de Frank, faites la sortir ». Je sais qu’il y a eu beaucoup de critiques de la sorte. »

« Je me fiche de ce que les gens pensent ou écrivent à ce sujet surtout venant de personne qui n’ont jamais été un jour à ma place et qui ne connaissent pas la vérité. »

Magré tout, la santé financière de l’équipe n’a pas permis à Claire Williams de redresser la situation : « Je pense que j’aurais pu le faire si j’avais eu plus de temps et si j’avais eu l’argent. »

« Mais nous n’avions pas le luxe d’avoir un énorme sponsor titre ou un constructeur automobile qui pouvait investir 100 millions dans l’équipe année après année. » conclut la Britannique.

Antonio Giovinazzi n’est pas frustré de ne pas piloter pour Ferrari

En 2021, l’équipe Alfa Romeo va conserver son duo de pilotes composé de Kimi Raïkkönen et Antonio Giovinazzi.

Le pilote italien a été placé dans l’équipe suisse par la Scuderia Ferrari dont il est l’un des pilotes. Cependant, il ne semble pas être une option à moyen terme pour la mythique équipe italienne.

En effet, Ferrari a préféré donner du temps en piste cette semaine à quatre jeunes pilotes de la Ferrari Driver Academy : Mick Schumcacher, Calum Ilott, Robert Shwartzman et Marcus Armstrong.

Assuré d’un baquet de titulaire pour 2021 chez Alfa Romeo, Antonio Giovinazzi préfère se concentrer sur son travail avec l’équipe : « Pour l’instant, je ne me concentre pas sur les autres. » a-t-il déclaré dans une interview à nos confrères de Crash.net.

« Je suis concentré sur moi-même, c’est ce que nous faisons toujours et j’essaie de m’améliorer. Nous verrons ensuite ce qui peut se passer. »

« Se concentrer sur d’autres pilotes n’est pas quelque chose qui me rendra meilleur, alors je me concentre uniquement sur moi-même. » précise encore l’Italien.

Même  s’il avait déjà effectué un roulage avec la Scuderia en 2017, avec une monoplace de 2015,  Giovinazzi garde toujours dans un coin de la tête son rêve de piloter un jour pour Ferrari : « C’est le rêve [de conduire pour Ferrari], mais bien sûr, je sais que Carlos sera là pendant quelques années, ainsi que Charles. »

En effet, Charles Leclerc est en contrat avec Ferrari jusqu’en 2024 alors que son nouvel équipier espagnol à signé pour deux saisons, jusqu’en 2023.

Giovinazzi reste donc concentré sur son travail avec Alfa Romeo : « On ne sait jamais ce qui va se passer, donc pour l’instant je me concentre sur la réussite pour Alfa Romeo. »

« Je sais que je conduirai pour Alfa Romeo la saison prochaine et mon objectif est maintenant de bien faire avec eux, puis nous verrons ce qui se passera en 2022. »

« Je fais également partie de cette famille et c’est formidable de sentir le soutien de Ferrari. Maintenant, je cours pour Alfa Romeo et je veux faire le meilleur travail possible avec eux. »

« Je suis sûr que je fais du bon travail ici et alors nous verrons ce que l’avenir nous réserve. Pour le moment, je suis concentré pour avoir un bon résultat ici et ensuite nous verrons ce qui va se passer. »

« Bien sûr, avoir le soutien de Ferrari est également une bonne chose pour ma carrière. » conclut l’Italien.

Charles Leclerc : « je suis naturellement impatient »

La saison 2020 de l’équipe Ferrari a été très compliquée mais, malgré tout, Charles Leclerc aura réussi à se montrer à son avantage, notamment en dominant son équipier, le quadruple champion du monde, Sebastian Vettel.

Mais pour le Monégasque, le plus difficile aura été de gérer ses frustrations dans les moments les plus compliqués.

Il a néanmoins conscience de son caractère impatient : « Je suis naturellement impatient. J’aime bien quand tout fonctionne très précisément, surtout dans le cadre professionnel. » a confié le pilote Ferrari dans une vidéo promotionnelle pour le sponsor Armani.

Son état d’esprit lorsqu’il commet des erreurs, est également très important. Il préfère les aborder comme une force pour le futur : « Je ne suis pas quelqu’un qui regarde trop en arrière. Chaque fois que je fais une erreur, je la vois comme quelque chose de positif. »

« Je suis sûr que je peux apprendre de tout ça et devenir une meilleure personne. »

Son entourage est également très important dans son approche de la course : « Je prends mes décisions avec les personnes qui sont proches de moi et en qui j’ai confiance. » précise encore le pilote Ferrari.

En 2021, Charles Leclerc pourra compter sur son nouvel équipier, l’Espagnol Carlos Sainz, pour atteindre l’objectif de la troisième place du championnat des constructeur fixé par son équipe.

 

Russell se sent plus en confiance après avoir remplacé Hamilton chez Mercedes l’an passé

George Russell a vécu une saison 2020 étonnante, marquée notamment par sa pige chez Mercedes lors du Grand Prix de Sakhir, en remplacement de Lewis Hamilton, touché par la Covid.

Une expérience qui aurait pu se solder par un résultat bien meilleur que la 9ème place qu’il a finalement accrochée en course : « C’était incroyable comment tout s’est passé à la dernière minute. Cela a été confirmé mercredi soir et j’étais dans la voiture vendredi. »

« Le week-end s’est déroulé aussi bien que possible, jusqu’à ce que ce ne soit plus le cas, si on peut dire. » s’est confié le Britannique à nos confrères de The Sportman.

Le pilote, retourné chez Williams après cette pige et confirmé au sein de l’équipe britannique pour 2021, est reconnaissant envers l’équipe Mercedes de lui avoir offert cette opportunité : « Je me suis lancé avec l’approche selon laquelle cela ne briserait pas ma carrière mais que je pourrais potentiellement réussir quelque chose. »

« Et je pense que c’était un tremplin important vers, je l’espère, un long avenir en F1 pour moi. »

« J’étais vraiment reconnaissant de cette chance, évidemment pas dans les circonstances que j’aurais souhaité, mais néanmoins avec le temps assez restreint que nous avions, cela m’a donné une chance de montrer ce que je peux faire. »

« Nous avons eu l’occasion de gagner la course deux fois, mais malheureusement, elle nous a échappé à deux reprises. »

« En tant que pilote, au fond de vous, vous y croyez, mais jusqu’à ce que vous gagniez, il peut toujours y avoir un petit élément inconnu. »

« On se sait jamais. Si Lewis devait sauter dans une Williams, où finirait-il ? Le simple fait d’avoir cette chance a définitivement renforcé ma confiance en moi. » conclut George Russell.

Lawrence Stroll dément les rumeurs de rachat d’Aston Martin

Cette semaine, des rumeurs ont fait état d’un possible rachat d’Aston Martin par un autre constructeur automobile.

En effet, la marque chinoise Geely aurait fait part de son intérêt pour devenir actionnaire d’Aston Martin.

Lawrence Stroll, le président exécutif de la marque britannique, cité par un porte parole d’Aston Martin, a tenu à démentir rapidement ces informations : « Lawrence Stroll a décrit la rumeur comme une connerie absolue et totalement fausse. »

« Il [Stroll] a poursuivi en disant qu’il ne pouvait pas être plus enthousiasmé et croire sincèrement au succès futur de l’équipe à long terme. » précise encore le porte parole à nos confrères de RacingNews365.com.

Aston Martin va faire ses débuts en Formule 1 cette année, sous l’impulsion de Lawrence Stroll désireux de relancer sportivement la marque britannique.

Ayant racheté l’équipe Force India en 2019 et après l’avoir renommé Racing Point pour participer à la saison 2020, l’homme d’affaire canadien à choisi de mettre en avant la marque Aston Martin dont il est devenu président exécutif en avril 2020.

Pour cette nouvelle saison, l’équipe a réussi à attirer le quadruple champion du monde de F1, Sebastian Vettel, qui fera équipe avec Lance Stroll.

 

 

 

Yuki Tsunoda va essayer de limiter des erreurs « inévitables » pour un débutant en F1

Cette semaine, la nouvelle recrue de l’équipe Alpha Tauri, Yuki Tsunoda, a pris le volant d’une Formule 1 et plus précisément d’une Toro Rosso STR14 de la saison 2019, sur la piste d’Imola.

Même si ça n’était pas la première expérience du Japonais dans une monoplace de Formule 1, ce roulage lui a permis de s’acclimater à l’équipe et à ses procédures.

L’ancien pensionnaire du championnat F2 est en tout cas très motivé et lucide à l’approche de cette nouvelle aventure dans la discipline reine du sport automobile : « Ça sera ma saison de rookie et je vais pousser fort dès le début pour m’adapter le plus possible à la voiture. »

« Cependant, je n’ai pas peur de faire des erreurs et je vais bien sûr essayer de les limiter. Mais elles sont inévitables au début. »

« Je suis convaincu que je peux apprendre de mes erreurs, comme je l’ai prouvé l’année dernière en Formule 2. »

« Je suis vraiment heureux d’avoir le soutien des fans japonais, et je suis fier d’être celui qui offre un autre pilote japonais à la F1, après Kamui Kobayashi en 2014. »

Depuis le début de sa carrière en Europe, Tsunoda a dû s’adapter à un style de vie assez éloigné de celui qu’il connaissait dans sa ville natale de Kanagawa : « Quand je suis arrivé en Europe pour la première fois, j’ai vécu en Suisse et tout le monde parlait français, ce qui n’était pas facile. »

« C’était également difficile en ce qui concerne la nourriture. J’aime bien manger et j’aime les sushis et la cuisine japonaise en général et devoir changer mon alimentation m’a un petit peu stressé. »

« Cette nouvelle façon de vivre m’a rendu la vie un peu plus difficile, mais l’équipe et mon entraîneur m’ont beaucoup aidé. Je me suis finalement adapté et je suis heureux d’être là aujourd’hui. »

Le pilote japonais arborera le numéro 22 sur son Alpha Tauri, un choix dicté par son admiration pour un champion du monde : « Quand je courais en karting, mon numéro était le 11. Mais en F1 il est déjà pris par Sergio Perez. Du coup, je l’ai doublé pour obtenir le 22. »

 « J’aime aussi ce numéro car c’était le numéro de Jenson Button, un pilote que je respecte beaucoup lorsqu’il a remporté le championnat du monde de Formule 1 en 2009. C’est aussi un numéro utilisé par le pilote japonais Takuma Sato. »  conclut Tsunoda.

Ferrari boucle une semaine complète de tests à Fiorano

Les cinq jours d’essais de la Scuderia Ferrari à Fiorano se sont terminés aujourd’hui, avec Mick Schumacher au volant le matin et le pilote d’essai Callum Ilott prenant le relais pour l’après-midi.

Pas moins de sept pilotes ont pris part au test: outre Mick Schumacher, Robert Shwartzman, Marcus Armstrong et Callum Ilott, les autres étaient les pilotes officiels Charles Leclerc et Carlos Sainz, ce dernier faisant ses débuts sur piste avec le Cheval cabré.

Le Français Giuliano Alesi a également fait ses adieux à la Ferrari Driver Academy, ayant fait ses premiers essais en Formule 1, 30 ans après les débuts de son père Jean dans l’équipe.

En cinq jours, la SF71H a parcouru plus de 500 tours, soit plus de 1500 kilomètres. Ce fut une expérience utile pour les pilotes mais aussi pour l’équipe, permettant à l’équipage de se remettre dans le rythme de la course, de tester toutes les procédures pour la saison à venir, qui au moins pour la première partie sera la même que l’année dernière.

Ce vendredi, Mick Schumacher est sorti en piste peu après 9h30 et a bouclé une cinquantaine de tours supplémentaires [50 tours bouclé également ce jeudi], le tout étant l’équivalant d’une distance de Grand Prix.

Maya Weug, la première fille à rejoindre la Ferrari Driver Academy, et James Wharton, qui a remporté la FDA Scouting World Finals, ont regardé les débats depuis les stands. Puis, à partir de 13h20, Callum Ilott, qui a terminé deuxième derrière Mick Schumacher au championnat de Formule 2 2020, a pris le relais au volant de la SF71H.

Ilott a fait près de 50 tours ce vendredi, parcourant tout le programme préparé par l’équipe sans aucun problème.

« Sept pilotes en piste sur les cinq jours, parcourant plus de 1500 kilomètres entre eux. Cela a  été une semaine très chargée pour l’équipe de Fiorano. » nous explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.

« L’aspect le plus important du test était de donner aux pilotes officiels de la Scuderia, Charles et Carlos, l’occasion de reprendre le volant après la pause hivernale. »

« Pour les gars de la FDA, c’était une autre occasion de faire l’expérience de la conduite d’une voiture de Formule 1. Pour Carlos et Marcus, le test était aussi une « première », car l’Espagnol faisait ses débuts avec sa nouvelle équipe et le Néo-Zélandais expérimentait une Formule 1 pour la première fois. »

« Pour Giuliano, le test représentait un cadeau d’adieu, car son temps avec la FDA a pris fin. Je pense que la meilleure chose à retenir à propos de la semaine a été l’ambiance dans le garage de notre circuit à domicile, avec tous les gars vraiment heureux d’être de retour sur la piste, de se préparer au mieux pour la saison à venir. »

La Scuderia Ferrari reprend maintenant les préparatifs de la saison à venir dans l’usine. Les pilotes Ferrari seront de retour en piste à Bahreïn à la mi-mars pour les essais hivernaux 2021.

Hamilton envisagera la retraite quand il ne prendra plus de plaisir en F1

Le septuple champion du monde, Lewis Hamilton, a indiqué qu’il envisagerait de partir en  retraite qu’à partir du moment où il ne prendrait plus de plaisir à piloter une monoplace de Formule 1.

Le pilote britannique, aujourd’hui âgé de 36 ans, est arrivé en Formule 1 en 2007 et a fait ses débuts avec l’écurie McLaren-Mercedes avec laquelle il a décroché son premier titre mondial l’année suivante.

En 2013, le pilote britannique a décidé de rejoindre l’équipe Mercedes avec laquelle il remportera ses six autres titres mondiaux entre 2014 et 2020 (Rosberg a été sacré champion  en 2016).

Bien que sa suprématie en F1 depuis plusieurs saisons maintenant pourrait laisser penser que Lewis Hamilton ne prend plus de plaisir, le principal intéressé assure qu’il a toujours un large sourire dès qu’il prend la piste au volant de sa Mercedes et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il ne compte pas s’arrêter dans l’immédiat.

« Pour moi personnellement, nous sommes tous aux prises avec quelque chose. Vous devez trouver ce qui vous passionne et ce que vous aimez faire, et moi personnellement, dans mon parcours, il y a eu un moment où c’est devenu trop sérieux. » a expliqué Lewis Hamilton dans le podcast Formula Succes publié par Crowstrike.

« Nous n’avons qu’une seule vie et vous devez apprécier ce que vous faites. Vous devez trouver le bonheur chaque jour dans ce que vous faites, et je pense que cela a été très important pour moi de pouvoir vivre l’instant présent. »

« [la F1] est un espace très compétitif dans lequel je suis, mais lorsque je monte dans la voiture et que je baisse la visière, que l’équipe démarre la voiture et que je quitte le garage, j’ai le plus grand des sourires et encore aujourd’hui après toutes ces années de course. »

« S’il y a un jour où cela n’arrive plus, que je n’ai plus le sourire, ce sera alors le moment pour moi de passer à autre chose. »

A la veille de la saison 2021 de Formule 1 qui débute le 28 mars avec le Grand Prix de Bahreïn, Lewis Hamilton n’a officiellement toujours pas signé le moindre contrat avec son équipe Mercedes.

Mais Toto Wolff, le directeur exécutif de l’écurie du constructeur allemand, a récemment indiqué que les avocats des deux parties « travaillent dur » et qu’un accord ne devrait plus tarder maintenant.

Cependant, Wolff a également précisé que le futur contrat de Lewis Hamilton avec Mercedes ne devrait probablement pas être supérieur à deux ans.

« Je ne pense pas. » a répondu Wolff au micro de la télévision allemande RTL lorsqu’on lui demande si Hamilton prolongera pour les trois prochaines années chez Mercedes.

« Le paysage est en train de changer avec le plafonnement budgétaire et l’arrivée de la nouvelle réglementation [en 2022]. Nous devrons donc garder les yeux ouverts et nous discutons donc de ce que doivent être les termes par rapport à cela. »

La voie des stands de Melbourne va être élargie

Le PDG du Grand Prix d’Australie, Andrew Westacott, a confirmé que des travaux en vue d’élargir la voie des stands du tracé de l’Albert Park de Melbourne allaient être lancés prochainement.

La voie des stands de l’Albert Park sera élargie de deux mètres, ce qui devrait permettre, selon les organisateurs, une augmentation de la limite de la vitesse à partir de cette saison.

Jusqu’à présent, la vitesse dans la voie des stands de l’Albert Park était limitée à 60 km/h en raison de l’étroitesse de cette dernière, mais grâce à ces travaux, cette limite de vitesse pourrait être relevée à 80 km/h ce qui entrainerait une perte de temps réduite lors de la traversée de la pit lane en course.

« Depuis que la piste a été démontée et que la voie des stands a été reconfigurée – je suppose que les dessins ont été réalisés en 1994, 1995 pour la première course en 1996 – les voitures sont devenue beaucoup plus grandes. » explique Westacott à Speedcafe.com.

« Nous l’avons donc élargi en prenant un peu de distance sur la droite des pilotes [lorsqu’ils sortent en piste]. Nous avons élargi la voie des stands de deux mètres. »

Le fait d’élargir la voie des stands aura pour conséquence de supprimer la bande de pelouse qui était alors située entre le bord de la piste et le muret des stands et qui avait couté à Daniel Ricciardo en 2019 un accrochage sur une plaque d’égout « cachée » dans cette pelouse.

En outre, les organisateurs du Grand Prix d’Australie envisagent désormais de resurfacer la piste avant la date de l’événement programmé au mois de novembre (le GP d’Australie a été reporté en raison de la crise sanitaire), alors qu’initialement, ils devaient débuter ces travaux de resurfaçage après la course de 2020.

« Maintenant que la course a été reportée en novembre, cela va nous permettre d’avoir un bon aperçu et une fenêtre de temps pour faire le travail. »

« Il se peut que nous le fassions avant l’événement de cette année étant donné qu’il s’agit d’un événement en novembre plutôt qu’en mars. »

Le Grand Prix d’Australie est programmé du 18 au 21 novembre 2021sur le tracé de l’Albert Park de Melbourne.

Gasly a besoin de retourner dès que possible dans « sa base » en Normandie

Désormais domicilié à Milan en Italie pour être au plus près de l’usine AlphaTauri, le Français Pierre Gasly ressent cependant toujours le besoin de revenir dans sa Normandie natale pour voir ses proches.

Comme tous les pilotes de Formule 1, Pierre Gasly est constamment en mouvement tout au long de l’année et rares sont les moments où il peut se ressourcer auprès de ses proches en Normandie.

Mais pour le vainqueur du Grand Prix d’Italie 2020, il est devenu impératif de pouvoir rentrer  à « sa base » dès que possible pour pouvoir trouver un bon équilibre entre la vie à 300 à l’heure du paddock de la F1 et une vie un peu plus « normalisée ».

« Ici [en Normandie] c’est ma base, ma base familiale. » explique le pilote AlphaTauri à nos confrères de Turbo (interview complète ici).

« Alors aujourd’hui je vis à Milan mais ma famille est en Normandie, j’ai grandi ici jusqu’à l’âge de 13 ans avant de partir au Mans pour mes études, tous mes amis d’enfance sont également ici près de Rouen, donc c’est un peu mon pilier. »

« Mais je reconnais que même si ça devient de plus en plus compliqué de rentrer, j’essaye toujours de revenir pour les fêtes et ainsi passer un moment en famille pour que l’on puisse savourer et partager les bonnes aventures ainsi que les émotions, bonnes ou mauvaises avec tous mes proches. »

Lorsqu’on lui demande quelle est la différence entre le Pierre Gasly que l’on peut voir le week-end dans le paddock et celui que l’on voit chez lui en famille, le Français répond : « Pas tant de différence en fait. »

« Il faut toujours que je batte mes frères (rires). J’ai tout le temps un esprit de compétiteur. Quand je rentre, je suis toujours très actif même si avec la Covid c’est un peu plus compliqué. »

« Habituellement, c’est une période où je vais jouer au tennis avec mes potes, aller jouer au foot, au golf, badminton. J’ai besoin d’entretenir cet esprit de compétition, je ressens le besoin de me surpasser tout le temps. »

« Sur la piste quand je suis dans mon univers, je suis concentré à 100%. Il n’y a que la performance qui m’importe et je suis dans ma bulle. Alors quand je reviens ici, je laisse un peu plus de place à ma famille en me consacrant à mes nièces, mes neveux, mes grands frères et mes parents. »

« C’est ce qu’il y a de plus important [la famille]. C’est vrai que pour moi ils ont fait énormément depuis que je suis tout petit. Mes parents connaissent la vie dans laquelle j’évolue aujourd’hui. Cette vie, ils l’ont rêvé avec moi, ils sont passionnés de sport automobile, ils ont fait des sacrifices pour que je puisse en arriver là où j’en suis. »

« Ils savent également quels sont les sacrifices que cela demande de mon côté pour pouvoir être au top niveau et réaliser des performances au plus haut niveau. Mes parents font partie du projet. »

« Ça me fait plaisir de leur rendre un peu ce qu’ils m’ont donné. Je suis heureux lorsque, par exemple, je les vois venir sur les Grands Prix avec un immense sourire. »

« J’attache beaucoup d’importance aux valeurs, des valeurs que j’apprécie aussi chez d’autres personnes, chez mes amis. » insiste Pierre Gasly.

« Ces valeurs sont essentielles pour moi parce que je n’aime pas les gens arrogants, les gens qui ont des comportements que je n’apprécie pas et du coup j’essaye de ne pas reproduire ce genre de chose. »

« Mais en réalité, je reste moi-même. J’ai une vie atypique, j’évolue dans un monde incroyable et lorsque je rentre en Normandie, je change d’univers pour basculer dans une vie complètement normalisée. »

« Ma vie quand je suis dans les paddocks, c’est voyager, prendre à peu près 110 vols à l’année, aller dans tous les pays du monde, dans les plus beaux hôtels de la planète et piloter les meilleures voitures, les voitures les plus rapides au monde. »

« Je vis dans deux mondes complètements différents mais j’ai besoin de cette balance, cet équilibre pour trouver le bon compromis dans ma vie personnelle. »

Cette saison, Pierre Gasly fera équipe avec un nouveau coéquipier chez AlphaTauri, le Japonais Yuki Tsunoda.

Des séances d’essais libres réduites en F1 en 2021

Lors de la publication des horaires de chaque Grand Prix pour la saison 2021, la Formule 1 a confirmé ce vendredi la réduction de la durée des deux premières séances d’essais libres programmées le vendredi.

Les EL1 et EL2 duraient jusqu’à présent 90 minutes chacune, mais à partir de la saison 2021, ces deux séances ne dureront plus que 60 minutes, tout comme les EL3 programmés le samedi et dont la durée a toujours été d’une heure.

La Formule 1 a justifié ce changement par la volonté de voir les pilotes être obligés de prendre la piste plus rapidement lors des séances d’essais libres.

Autre changement concernant les essais libres, le début des EL1 le vendredi sera programmé à 11h30, tandis que les EL2 débuteront à 15h00 et les EL3 à 12h00.

Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, les week-ends de Grands Prix continueront donc d’être programmés sur trois jours en 2021 du vendredi au dimanche (plus une quatrième journée le jeudi pour les médias).

Autre nouveauté cette année, le départ des Grands Prix le dimanche se fera désormais à l’heure pile et non plus avec les fameuses dix minutes de décalage comme auparavant, tandis que le départ des courses européennes sera donné à 15h00 et non à 14h00.

Horaires des GP de F1 en 2021 (heure locale)

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La F1 annonce les horaires des Grands Prix en 2021

La Formule 1 a annoncé ce vendredi les horaires de chaque course et la réduction de la durée des trois séances d’essais libres lors des Grands Prix de F1 pour cette saison 2021.

Jusqu’à présent, les deux premières  séances d’essais libres du vendredi duraient 90 minutes chacune, mais à partir de cette saison 2021, elles ne dureront plus que 60 minutes, tout comme les EL3 le samedi.

Cette réduction à une heure du temps d’essais obligera les équipes à s’engager davantage sur la piste pour permettre aux fans de voir des Formule 1 rouler et éviter des séances monotones où plusieurs équipes laissent leurs monoplaces au garage.

Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, les week-ends de Grands Prix seront toujours programmés sur trois jours avec les deux premières séances d’essais libres le vendredi et les EL3 et qualifications le samedi, tandis que le départ de la course sera donné le dimanche.

Concernant les horaires des Grands Prix pour la saison 2021, il est bon de noter que le départ des courses sera désormais donné à l’heure pile et non plus avec dix minutes de décalage, tandis que pour les courses en Europe, l’heure de départ sera de 15h00.

Évidemment, les horaires diffusés ce vendredi par la Formule 1 s’appuient sur le calendrier provisoire dévoilé il y a de cela quelques semaines, mais la situation sanitaire mondiale pourrait venir perturber les plans de la catégorie reine et des reports, voir une annulation, de certaines épreuves ne sont pas à écarter.

Horaires des GP F1 en 2021 (heure locale)

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