Mick Schumacher : « mon père est toujours la référence »

Pour Mick Schumacher, champion 2020 de Formule 2 et désormais pilote titulaire pour l’équipe Haas en Formule 1, la référence absolue en catégorie reine reste son propre père, le septuple champion du monde Michael Schumacher.

Bien que le Britannique Lewis Hamilton ait égalé le record de titres mondiaux de Michael Schumacher la saison passée [sept titres] et qu’il devrait être en mesure de se battre pour un éventuel huitième sacre en 2021 [ce qui ferait de lui l’homme le plus titré de l’histoire de la F1], Mick Schumacher considère toujours son père comme une référence absolue en Formule 1.

Lorsqu’on lui demande clairement qui est son héros dans le sport automobile, Schumacher Jr répond : « Mon père! Je regarde définitivement ce qu’il a accompli et j’essaie d’en tirer les leçons. » explique le jeune Mick dans un entretien accordé au site de la Formule 1.

« Il est la référence depuis si longtemps et, pour moi, il est toujours la référence. Je me réfère donc à lui. »

« Que ce soit du côté sportif ou bien du côté humain, j’ai toujours admiré sa constance à travers toutes ces années et la façon dont il a gardé les pieds sur terre. »

« C’est quelque chose que j’apprécie beaucoup, mais aussi quelque chose dont je peux apprendre pour poursuivre ma carrière. »

En 2021, le jeune Mick Schumacher fera ses débuts en Formule 1 avec la petite équipe américaine Haas aux côtés du Russe Nikita Mazepin.

Haas devra attendre les essais hivernaux pour démarrer sa F1 2021

L’unité de puissance Ferrari montée à l’arrière des deux Haas cette saison ne pourra pas démarrer avant les tests de pré-saison programmés à Bahreïn au mois de mars (du 12 au 14 mars) en raison de l’impossibilité pour le personnel Ferrari de se rendre au Royaume Uni.

L’équipe américaine Haas – qui utilise de nombreux composants en provenance de chez Ferrari (moteur, boîte de vitesses, suspensions…) a décidé cette année d’assembler sa nouvelle monoplace dans son usine de Banbury en Angleterre, notamment parce que l’écurie va utiliser des composants issus du châssis 2020 et ces composants se trouvent justement au Royaume-Uni.

Mais si le fret peut voyager d’un pays à l’autre, ce n’est pas le cas pour le personnel des équipes qui, en fonction de leur pays d’origine, doit observer une quarantaine obligatoire d’au moins quinze jours.

C’est notamment le cas du chef d’équipe chez Haas, Guenther Steiner, qui est actuellement aux États-Unis : « Si je voulais prendre l’avion pour l’Angleterre, je devrai être en quarantaine pendant deux semaines. » explique Steiner à nos confrères d’AMUS.

« Il n’y a que des exceptions pour les athlètes. Mick Schumacher sera présent la première semaine de février pour tester son baquet pour la dernière fois. Nikita [Mazepin] le fera aussi une semaine plus tard. »

Dans ce contexte, les ingénieurs Ferrari censés faire démarrer le bloc V6 Hybride pour la première fois sur le châssis 2021 de la Haas ne pourront pas se rendre à Banbury, ce qui veut dire que le moteur de la Haas VF21 sera démarré pour la toute première fois juste avant le coup d’envoi des essais hivernaux au mois de mars.

Carlos Sainz a « pleinement confiance » dans le projet Ferrari

L’Espagnol Carlos Sainz – qui a rejoint la Scuderia Ferrari cette saison aux côtés de Charles Leclerc – est persuadé que l’équipe italienne a les capacités de revenir au sommet du sport après une période compliquée.

L’Espagnol arrive chez Ferrari en pleine période de jachère pour l’écurie italienne, qui n’a pas remporté la moindre victoire l’an dernier après dix-sept courses, tandis qu’elle a terminé à la sixième place au classement constructeurs, soit son plus mauvais résultat depuis 1980.

« En tant que pilote de course c’est un grand honneur et une grande responsabilité et j’ai vraiment hâte de débuter. » explique Carlos Sainz.

« Depuis mon premier jour où j’ai débuté la course, je n’avais que deux objectifs en tête: devenir pilote de Formule 1 et remporter le championnat du monde. »

« Après avoir atteint le premier, toute ma concentration et mes efforts sont désormais investis pour essayer d’atteindre le second et il n’y a pas de meilleur endroit que Ferrari pour y arriver. »

Carlos Sainz s’est engagé à donner le meilleur de lui-même cette saison pour aider Ferrari à revenir au sommet dès que possible, même s’il a admis que le processus pourrait prendre un peu de temps.

« Mon ambition est de contribuer à créer une équipe gagnante, de ramener la Scuderia au sommet et de remporter le championnat du monde. »

« Chaque équipe traverse des moments difficiles à un moment donné, cela fait partie de la Formule 1. Ce qui compte vraiment, c’est la capacité à rebondir. L’histoire a montré que les équipes ayant gagné dans le passé sont à nouveau capables d’être compétitives. »

« Ferrari est l’équipe la plus titrée de l’histoire de notre sport et il y a une raison à cela. S’il y a une équipe sur la grille qui peut se battre pour revenir au sommet, c’est bien Ferrari. »

« J’ai pleinement confiance dans le projet et, même si le processus peut prendre un certain temps, je suis certain que l’équipe reviendra. Ce dont vous pouvez être sûr, c’est que je ferai de mon mieux pour aider à raccourcir le processus autant que possible. »

Ferrari boucle une semaine complète de tests à Fiorano

Les cinq jours d’essais de la Scuderia Ferrari à Fiorano se sont terminés aujourd’hui, avec Mick Schumacher au volant le matin et le pilote d’essai Callum Ilott prenant le relais pour l’après-midi.

Pas moins de sept pilotes ont pris part au test: outre Mick Schumacher, Robert Shwartzman, Marcus Armstrong et Callum Ilott, les autres étaient les pilotes officiels Charles Leclerc et Carlos Sainz, ce dernier faisant ses débuts sur piste avec le Cheval cabré.

Le Français Giuliano Alesi a également fait ses adieux à la Ferrari Driver Academy, ayant fait ses premiers essais en Formule 1, 30 ans après les débuts de son père Jean dans l’équipe.

En cinq jours, la SF71H a parcouru plus de 500 tours, soit plus de 1500 kilomètres. Ce fut une expérience utile pour les pilotes mais aussi pour l’équipe, permettant à l’équipage de se remettre dans le rythme de la course, de tester toutes les procédures pour la saison à venir, qui au moins pour la première partie sera la même que l’année dernière.

Ce vendredi, Mick Schumacher est sorti en piste peu après 9h30 et a bouclé une cinquantaine de tours supplémentaires [50 tours bouclé également ce jeudi], le tout étant l’équivalant d’une distance de Grand Prix.

Maya Weug, la première fille à rejoindre la Ferrari Driver Academy, et James Wharton, qui a remporté la FDA Scouting World Finals, ont regardé les débats depuis les stands. Puis, à partir de 13h20, Callum Ilott, qui a terminé deuxième derrière Mick Schumacher au championnat de Formule 2 2020, a pris le relais au volant de la SF71H.

Ilott a fait près de 50 tours ce vendredi, parcourant tout le programme préparé par l’équipe sans aucun problème.

« Sept pilotes en piste sur les cinq jours, parcourant plus de 1500 kilomètres entre eux. Cela a  été une semaine très chargée pour l’équipe de Fiorano. » nous explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.

« L’aspect le plus important du test était de donner aux pilotes officiels de la Scuderia, Charles et Carlos, l’occasion de reprendre le volant après la pause hivernale. »

« Pour les gars de la FDA, c’était une autre occasion de faire l’expérience de la conduite d’une voiture de Formule 1. Pour Carlos et Marcus, le test était aussi une « première », car l’Espagnol faisait ses débuts avec sa nouvelle équipe et le Néo-Zélandais expérimentait une Formule 1 pour la première fois. »

« Pour Giuliano, le test représentait un cadeau d’adieu, car son temps avec la FDA a pris fin. Je pense que la meilleure chose à retenir à propos de la semaine a été l’ambiance dans le garage de notre circuit à domicile, avec tous les gars vraiment heureux d’être de retour sur la piste, de se préparer au mieux pour la saison à venir. »

La Scuderia Ferrari reprend maintenant les préparatifs de la saison à venir dans l’usine. Les pilotes Ferrari seront de retour en piste à Bahreïn à la mi-mars pour les essais hivernaux 2021.

Mick Schumacher a roulé pour Ferrari à Fiorano

Ce jeudi, l’Allemand Mick Schumacher a succédé à l’Espagnol Carlos Sainz au volant de la Ferrari SF71-H sur la piste de Fiorano en Italie dans le cadre d’un programme de cinq journées d’essais mis en place par l’écurie italienne pour sept de ses pilotes.

L’activité en piste a débuté lundi avec un programme divisé en trois parties: trois pilotes de l’académie – Giuliano Alesi, Marcus Armstrong et Robert Shwartzman – étaient en charge de « dépoussiérer » la Ferrari SF71-H sur la piste italienne.

Le mardi, c’est le pilote titulaire de l’équipe, le Monégasque Charles Leclerc, qui était en piste au volant de la SF71-H. Il s’agissait pour Leclerc de son premier roulage depuis la dernière course de la saison 2020 disputée à Abou Dhabi en décembre dernier.

Mercredi, le nouveau pilote Ferrari, Carlos Sainz, a pu à son tour prendre la piste pour ce qui était alors sa toute première sortie officielle au volant d’une monoplace rouge flanquée du cheval cabré.

Afin de débuter sa première saison en Formule 1 avec l’équipe américaine Haas aussi bien préparé que possible, l’Allemand Mick Schumacher – champion de Formule 1 en 2020 – a pris le relais de Carlos Sainz ce jeudi après-midi à Fiorano au volant de la SF71-h, 120 jours après son premier roulage au volant de la même monoplace le 30 septembre 2020

Schumacher s’est rapidement familiarisé avec la SF71H aujourd’hui et n’a rencontré aucun problème alors qu’il travaillait sur la première partie du programme conçu par les ingénieurs de la Scuderia.

Tout comme les autres pilotes qui ont pris le volant ces derniers jours, il a également fait des essais de départs et a accumulé un bon nombre de tours – plus de 50 – pour se familiariser avec une voiture de Formule 1.

Pour le fils du septuple champion du monde Michael Schumacher, il s’agissait de sa cinquième sortie au volant d’une voiture fabriquée par la société de Maranello.

« Être de nouveau assis dans une voiture de course, c’est un sentiment qui me manquait beaucoup. » a déclaré Mick Schumacher.

« Je pense qu’aujourd’hui a été définitivement une journée positive sur la piste. Nous avons réussi à boucler tout le programme que nous avions sans aucun problème et c’était clairement très utile de pouvoir parcourir autant de kilomètres au volant d’une voiture en vue de la saison à venir qui débutera dans environ un mois et demi avec les tests de pré-saison. »

« La SF71H est une voiture de 2018 mais son comportement sur piste et les sensations qu’elle donne au pilote sont très similaires, à la fois en termes de comportement sur piste et de stress physique. »

« Cela en fait une excellente base pour la préparation de la nouvelle saison. Piloter à Fiorano, c’est toujours bien de toute façon car la piste est technique et exigeante. »

« Ce fut un plaisir de retrouver à nouveau les ingénieurs et les mécaniciens avec lesquels j’ai travaillé en septembre dernier et je suis impatient de reprendre la voiture demain. »

Ce vendredi, Schumacher ouvrira également les débats du cinquième et dernier jour de cette semaine de tests pour Ferrari sur la piste de Fiorano, avant de céder le volant à son collègue membre de l’Académie, Callum Ilott. L’Anglais, qui est désormais le pilote d’essai de la Scuderia, courra toute l’après-midi de vendredi.

Sainz souligne l’importance de son premier test avec Ferrari

L’Espagnol Carlos Sainz – qui a pu rouler au volant d’une Ferrari de la saison 2018 ce mercredi et ce jeudi à Fiorano – souligne à quel point ce test privé organisé par son équipe a été important pour lui avant de pouvoir enfin prendre le volant de la monoplace de la saison 2021 lors des essais hivernaux au mois de mars.

Après deux saisons passées chez McLaren, Sainz a dû repartir de zéro et apprendre de nouvelles procédures, ainsi que mémoriser l’emplacement des multiples boutons positionnés sur le volant de la Ferrari.

Cet hiver, les essais hivernaux ont été réduits à seulement trois journées, ce qui veut dire que Sainz n’aura qu’une journée et demi au volant de la SF21 de cette saison, d’où l’importance de pouvoir réaliser un premier test à Fiorano pour essayer d’en apprendre un maximum.

Lorsqu’on lui demande si ce test privé au volant d’une monoplace vieille de deux saisons lui a été utile, le pilote espagnol a répondu: « C’est utile. Ce n’est pas utile à 100%, mais cela vous aide pour beaucoup de choses. » nous explique Carlos Sainz.

« Par exemple, j’ai commencé à apprendre le volant de la Ferrari, il est très différent de celui de la McLaren ou encore de la Renault [ses deux précédentes équipes]. Je dois m’habituer à trouver les bons boutons qui sont positionnés de façon différente sur le volant. »

« J’ai aussi parlé avec mes nouveaux ingénieurs. Avec tous les ingénieurs, tous les mécaniciens, et je continue d’ailleurs à apprendre tous les noms. » plaisante l’Espagnol.

« Nous avons fait un gros travail aujourd’hui (mercredi), nous avons pu boucler plus de cent tours et nous avons aussi réussi à compléter le programme. C’était donc une journée très positive, très importante pour moi. »

« Évidemment, j’insiste sur le fait que ce n’était pas la voiture de la saison 2021, je ne pourrais pas la tester avant Bahreïn (les essais hivernaux du 12 au 14 mars), mais c’est déjà un bon début. »

Première journée « inoubliable » pour Carlos Sainz chez Ferrari

Ce mercredi, l’Espagnol Carlos Sainz a fait ses débuts officiels au volant d’une Ferrari SF71-H de la saison 2018 sur la piste de Fiorano et a pu boucler plus d’une centaine de tours.

L’ancien pilote McLaren, qui fera équipe cette année avec le Monégasque Charles Leclerc à Maranello , a travaillé avec les ingénieurs qu’il avait déjà rencontrés lors de plusieurs réunions tenues au cours des dernières semaines et a également appris à connaître la mécanique et les procédures de la voiture, dont beaucoup seront également pertinentes pour la SF21 de cette année.

Aux abords de la piste étaient également présents le père du pilote Carlos Sainz Senior, le célèbre pilote de rallye champion du monde, son coéquipier Charles Leclerc, ainsi que le directeur de la Ferrari Driver Academy, Marco Matassa qui avait travaillé en étroite collaboration avec l’Espagnol pendant trois ans lorsqu’ils étaient tous les deux à la Scuderia Toro Rosso.

Carlos Sainz est le cinquième Espagnol à faire partie de la Scuderia. Avant lui, Fernando Alonso a couru pendant cinq saisons pour l’équipe de Maranello, participant à 96 Grands Prix, en remportant 11 et bien avant cela, le marquis Alfonso de Portago a couru cinq GP pour Ferrari, son meilleur résultat étant une deuxième place en 1956.

Il y a également eu deux pilotes d’essai: Pedro de la Rosa et Marc Gené, ce dernier étant  toujours impliqué avec le Cheval Cabré en tant qu’ambassadeur et tuteur pour les pilotes des programmes exclusifs XX et F1 Clienti.

« Un jour que je n’oublierai jamais! Ce matin, l’alarme s’est déclenchée à l’aube car nous avons eu une réunion très tôt avant de partir sur la piste. » a déclaré Sainz.

« Ensuite, nous nous sommes mis au travail et je suis très heureux de la façon dont la journée s’est déroulée. »

« Nous avons pu suivre un programme chargé et j’ai pu me familiariser avec l’ensemble du setup: les ingénieurs et les mécaniciens, le volant, les procédures qui sont évidemment un peu différentes de celles de la voiture que j’ai conduite la saison dernière.« 

« C’était très agréable d’avoir mon père à mes côtés à un moment aussi important de ma carrière. Et je voudrais remercier Mattia, Laurent et tout le monde chez Ferrari pour un accueil aussi chaleureux et une première journée si positive dans la voiture 2018. Je suis très content et je n’aurais pas pu souhaiter un meilleur départ. »

Carlos Sainz sera de nouveau en piste demain jeudi, avant de laisser sa place à Mick Schumacher, le nouveau pilote titulaire de l’équipe Haas en F1.

C’est le grand jour pour Carlos Sainz chez Ferrari

L’Espagnol Carlos Sainz – qui a rejoint la Scuderia Ferrari cette année – a effectué ses premiers tours de roue au volant d’une monoplace rouge ce mercredi matin à Fiorano.

Après Charles Leclerc ce mardi, c’est désormais au tour de son nouveau coéquipier Carlos Sainz de participer à un test privé sur la piste de Fiorano en Italie.

Le pilote madrilène a pris le volant d’une Ferrari SF71-H pour la toute première fois de sa carrière aujourd’hui et son programme consistera à s’habituer aux procédures propres à l’équipe italienne, ainsi qu’à travailler avec ses nouveaux ingénieurs.

Sainz sera de nouveau en piste ce jeudi pour un dernier galop d’essai avant de laisser sa place à Mick Schumacher, le nouveau pilote titulaire de l’équipe Haas en Formule 1 cette année.

Plus d’informations de cette première journée de tests pour Carlos Sainz seront publiés sur F1only.fr en fin de journée.

Charles Leclerc a connu une « journée parfaite » au volant de la SF71-H

Avec plus de 100 tours au compteur au volant d’une Ferrari SF71-H pour sa première journée de classe en cette année 2021, Charles Leclerc s’est beaucoup amusé ce mardi sur la piste de Fiorano.

Le Monégasque a pu reprendre la piste au volant d’une F1 pour la première fois depuis la dernière course de la saison 2020 disputée à Abou Dhabi en décembre dans le cadre d’un test privé organisé par son équipe cette semaine en Italie.

« Remonter dans la voiture était super, en fait c’était génial! Revoir mes mécaniciens, mettre la combinaison de course, faire mon échauffement, mettre mon casque et enfin sauter dans la voiture et appuyer sur le bouton du démarreur… le son d’un moteur Ferrari est toujours magique. » a déclaré Leclerc après sa journée de roulage.

« La journée était tout simplement parfaite et nous avons accompli tout le travail que nous avions prévu de faire. »

« Je me suis vraiment amusé! Je passe maintenant la main à Carlos et je lui souhaite la meilleure des chances pour demain (ce mercredi). »

En effet, ce mercredi c’est au tour du nouveau pilote de l’écurie italienne, Carlos Sainz, de prendre le volant d’une monoplace rouge pour la première fois de sa carrière.

L’Espagnol va profiter de cette première journée de tests pour s’habituer aux procédures Ferrari et travailler avec ses nouveaux ingénieurs. Il sera de nouveau en piste ce jeudi.

Rentrée des classes studieuse pour Charles Leclerc ce mardi à Fiorano

Le Monégasque Charles Leclerc était de retour au volant d’une Ferrari ce mardi 44 tours jours après le dernier Grand Prix de la saison 2020 disputé à Abou Dhabi en décembre dernier.

Charles Leclerc – qui vient de terminer une période de quarantaine après avoir contracté le Covid-19 lors de ses vacances à Dubaï – était sur la piste de Fiorano ce mardi au volant d’une SF71-H de la saison 2018.

Leclerc a pu boucler plus de 100 tours de piste aujourd’hui et a complété un programme concocté par Ferrari et visant à travailler sur certains domaines spécifiques en vue de la préparation de la saison 2021 avant les essais hivernaux programmés du 12 au 14 mars à Bahreïn et au cours desquels les pilotes pourront enfin piloter la monoplace 2021.

Présent sur place, le nouveau pilote Ferrari Carlos Sainz a pu regarder son coéquipier rouler aujourd’hui avant de faire ses débuts très attendus au volant d’une Ferrari ce mercredi.

Carlos Sainz sera également en piste ce jeudi matin, tandis que dans l’après-midi, ce sera au tour de Mick Schumacher de la Ferrari Driver Academy qui court pour Haas F1 Team cette année.

L’Allemand pilotera également vendredi matin, après quoi le pilote d’essai de la Scuderia Callum Ilott prendra le relais pour l’après-midi et clôturera cette semaine de tests organisée par l’équipe italienne.

Giuliano Alesi a fait ses adieux à Ferrari ce lundi

Le Français Giuliano Alesi a été le premier des sept pilotes ce lundi à avoir pris la piste au volant d’une F1 de la saison 2018 pour ce qui était la première des cinq journées de tests organisées par la Scuderia Ferrari à Fiorano.

30 ans après les débuts de son père, Jean Alesi, Giuliano a pu lui aussi faire ses débuts au volant d’une Formule 1 flanquée du numéro 28 – le même que celui utilisé par son père lors de son premier roulage avec une Ferrari en 1991.

Plus qu’un simple test, ce roulage était une journée spéciale pour Alesi, qui a clôturé son passage au sein de la Ferrari Driver Academy avant de partir vers l’Asie où un programme de course important l’attend.

« Je tiens à remercier Ferrari et la FDA pour cette fantastique opportunité d’aujourd’hui. » a déclaré Alesi après son test.

« Pouvoir monter dans le cockpit de la SF71H était incroyablement excitant, tout comme conduire la voiture sur piste avec mon père qui regardait et arborait le même numéro de course qu’il utilisait. »

« En termes de tenue de route, la voiture n’est pas trop difficile à conduire, mais la puissance était surprenante et ne semble jamais s’arrêter. »

« L’immédiateté et l’efficacité du freinage sont également impressionnantes. Ce test était le meilleur moyen pour moi de dire adieu à Ferrari. Maintenant, une nouvelle aventure m’attend en Asie et j’ai hâte qu’elle commence. »

Les temps signés par Alesi sur la piste de Fiorano lors de ce roulage n’ont pas été divulgués par Ferrari, mais le jeune homme a dû prendre la piste en premier avec des températures proches de zéro sur une piste légèrement humide.

Sainz refuse la comparaison : « il n’y aura jamais un autre Fernando Alonso »

Plutôt que de chercher à imiter son compatriote Fernando Alonso, l’Espagnol Carlos Sainz est déterminé à poursuivre sa carrière en Formule 1 à sa manière en tentant d’inscrire son propre nom dans les livres d’histoire.

Cette année, les deux Espagnols Fernando Alonso et Carlos Sainz seront de nouveau réunis sur la grille, avec Sainz en tant que pilote Ferrari et Alonso qui fera son grand retour en catégorie reine du côté de chez Alpine.

Les deux hommes se connaissent très bien depuis quelques années maintenant et Carlos Sainz n’a jamais caché que Fernando Alonso était son idole depuis sa plus tendre enfance.

Au cours de sa carrière, Carlos Sainz est passé par l’équipe Renault et est devenu cette saison le troisième espagnol à piloter pour l’équipe Ferrari, son prédécesseur étant Fernando Alonso entre 2010 et 2015.

Lorsqu’on lui demande s’il compte avoir la même carrière qu’Alonso en F1, Sainz insiste sur le fait qu’il souhaite avant tout écrire sa propre histoire.

« C’est délicat, parce que j’ai déjà été chez Renault, mais je n’ai pas remporté deux championnats du monde. » plaisante Sainz auprès de Crash.net.

« Je pense que les carrières sont toujours impossibles à comparer, parce que vous ne rejoignez pas les équipes en même temps, ce sont des délais complétement différents. »

« Mais ce que je peux vous dire, c’est qu’un jour je souhaite me battre pour un championnat du monde et je veux me mettre dans cette position le plus tôt possible, parce que je me sens prêt pour ce défi. »

« Il [Alonso] est un pilote extrêmement fort, mais il n’y aura jamais un autre Fernando Alonso. Il a été le premier, le pionnier, à bien des égards et j’essaie juste de faire ma propre carrière, ma propre façon de faire les choses, de voir les choses, de piloter et je verrai où cela me mène. »

Alors qu’il n’a pas encore commencé à courir pour Ferrari, Carlos Sainz a déjà pu ressentir en Espagne l’impact de faire partie d’une équipe aussi illustre que la Scuderia Ferrari.

« Je l’ai déjà senti depuis l’annonce, car c’était énorme en Espagne, et j’attends que cela continue d’augmenter. »

« Mais c’est une bonne chose, j’apprécie cela et c’est super d’avoir les fans de ton côté, d’avoir l’attention des médias. Je pense que ça n’apporte que des choses positives. »

« J’ai aussi toujours apprécié courir pour mon Grand Prix à domicile et ça s’est toujours bien passé, donc j’ai hâte d’y être pour être honnête. »

Giuliano Alesi au volant d’une Ferrari…30 ans après son père

Trois décennies après son père Jean, le jeune Giuliano Alesi a fait ses débuts au volant d’une Formule 1 Ferrari ce lundi 25 janvier sur la piste privée de Fiorano en Italie.

Giuliano Alesi – membre de la Ferrari Driver Academy – fait partie des sept pilotes (Carlos Sainz, Charles Leclerc, Callum Ilott, Robert Shwartzman, Mick Schumacher et Marcus Amstrong) qui participent cette semaine à des tests privés organisés par l’équipe italienne à Fiorano.

Pas moins de cinq journées de tests au volant d’une Formule 1 de la saison 2018 ont été programmées par Ferrari cette semaine, notamment pour permettre au nouveau pilote titulaire Carlos Sainz de prendre ses marques avec les procédures propres à Ferrari, ainsi que pour commencer à travailler avec ses ingénieurs.

Cette semaine spéciale de tests a débuté ce lundi avec le jeune Giuliano Alesi au volant de la SF71-H flanquée du numéro 28, le même que celui de son père lorsqu’il a fait ses débuts chez Ferrari en 1991 sur la même piste

Ce mardi, c’est le pilote titulaire Charles Leclerc qui prendra les commandes de la SF71-H sur la piste de Fiorano, tandis que Carlos Sainz devra encore patienter jusqu’au mercredi 27 janvier (en matinée) et aura une autre opportunité le jeudi 28 janvier (en matinée).

La Scuderia Ferrari obligée de clarifier les propos de son directeur

La Scuderia Ferrari a été obligée de clarifier certains propos tenus par Mattia Binotto et qui ont été déformés par certains médias.

Mattia Binotto, a donné une interview au Guardian [que nous avons publié ici] cette semaine dans laquelle le directeur de la Scuderia Ferrari mettait en garde la F1 face à des décisions hâtive aux lourdes conséquences dans le dossier du plafonnement budgétaire qui doit entrer en vigueur en 2021.

Depuis plusieurs semaines, la F1, la FIA et les dirigeants d’équipes discutent sur la possibilité d’abaisser encore un peu plus la limite budgétaire en 2021, alors que cette dernière a été fixée l’an dernier à 175 millions de dollars par saison.

Cette limite étant jugée trop haute par la majorité des équipes qui sont frappées de plein fouet par la crise économique actuelle, ce plafond devrait être abaissé à 130 millions de dollars. Mais deux des dix écuries [Ferrari et Red Bull Racing] s’opposent à ce que le plafond budgétaire soit aussi bas.

Dans l’interview publiée par The Guardian, Mattia Binotto mettait en garde la F1 face à des décisions trop hâtives en raison de l’état d’urgence actuel.

« Le niveau de 145 millions de dollars est déjà une demande nouvelle et exigeante par rapport à ce qui avait été établi en juin dernier. » a déclaré Binotto.

« Il ne peut être atteint sans de nouveaux sacrifices importants, notamment en termes de ressources humaines. »

« Si il devait descendre encore plus bas, nous ne voudrions pas être obligés de chercher d’autres options pour déployer notre ADN de course […] Nous sommes bien conscients que la F1 et le monde entier traversent actuellement une période particulièrement difficile à cause de la pandémie de Covid-19. »

« Cependant, ce n’est pas le moment de réagir à la hâte car il y a un risque de prendre des décisions à la suite de cette urgence sans en évaluer clairement toutes les conséquences. »

Ferrari n’a pas menacé de quitter la F1

A la suite de la publication de cette interview, bon nombre de nos confrères ont titré que Ferrari menaçait de quitter la F1, mais l’équipe de Maranello a tenu ce jeudi matin à clarifier les propos tenus par son directeur.

Par le biais d’un porte-parole, la Scuderia Ferrari indique que Mattia Binotto « n’émettait pas de menace de départ » dans son interview avec The Guardian, mais que le fait de fixer un plafond budgétaire trop bas forcerait Ferrari à essayer « de dispatcher une grande partie de son personnel sur d’autres programmes afin de sauvegarder l’emploi. »

Charles Leclerc serait content de continuer avec Vettel chez Ferrari

Charles Leclerc admet qu’il aimerait continuer à progresser aux côtés de Sebastian Vettel l’an prochain chez Ferrari.

Le contrat de Sebastian Vettel chez Ferrari arrive à son terme à la fin de cette saison 2020 et, pour l’instant, personne ne peut dire si le quadruple champion du monde continuera avec l’équipe italienne l’an prochain.

Cependant, la situation actuelle due à la crise du coronavirus laisse penser que le contrat du pilote allemand sera automatiquement reconduit par Ferrari l’an prochain, puisque aucun pilote de la grille n’a encore pu se distinguer en l’absence de course.

Pour sa part, le contrat de Charles Leclerc a déjà été reconduit par Ferrari et le pilote monégasque sera à Maranello au moins jusqu’en 2024. Lorsqu’on lui demande si le rapport de force et la nature de sa relation avec Vettel peut changer en raison de cette différence de traitement, le jeune Monégasque répond : « Très honnêtement, je ne sais pas. »

« Moi il faut que je me concentre sur ce que j’ai à faire sur la piste. Seb est un très très bon pilote, je serai content de le garder auprès de moi, mais je respecterai la décision de Ferrari dans tous les cas. » explique Charles Leclerc à Canal+.

« Après, on verra à l’avenir, mais je sais que j’ai énormément appris – et il me reste encore beaucoup à apprendre de Seb – donc, c’est pour ça que je serai content de continuer à l’avoir comme coéquipier. »

Charles Leclerc en faveur de courses de F1 en sens inverse

Le pilote Ferrari Charles Leclerc serait en faveur de l’organisation de courses en sens inverse cette année en F1.

En raison du report du début de la saison 2020 de F1 suite à la pandémie de coronavirus, la Formule 1 étudie à l’heure actuelle différents scénarios pour mettre en place un nouveau calendrier condensé.

Personne ne peut dire à l’heure actuelle quand et où débutera la saison 2020 de F1, ni même d’ailleurs si elle commencera bien un jour.

Mais dans le cas d’un début de saison 2020, plusieurs idées ont été évoquées pour permettre de disputer un maximum de courses cette année, dont celle d’organiser plusieurs Grands Prix sur un même tracé, ce qui ne serait pas un problème pour Charles Leclerc qui a été interrogé par Canal+.

« Ça changerait pas mal de choses, en plus de ça j’ai entendu parler qu’ils étaient en train de considérer que l’on pourrait faire deux courses, une dans le bon sens du circuit et l’autre en sens inverse. »

« Si c’est vraiment le cas, ce sera quelque chose de plutôt cool et je pense que ce serait bien pour la F1, on redécouvrirait les circuits sur lesquels on a beaucoup roulé, donc, ça pourrait être pas mal, mais je ne sais pas si tous les circuits peuvent se le permettre parce que bien-sûr il y a des règles de sécurité et normalement les circuits sont étudiés seulement dans un sens, mais ça pourrait être une bonne chose. »

Interrogé pour savoir ce qu’il pensait du fait que la saison 2020 pourrait être largement raccourcie, le Monégasque estime que cela pourrait permettre à certains pilotes de prendre plus de risques, ce qui pourrait peut-être créer quelques surprises.

« Ce sera une saison quand même et celui qui gagnera à la fin de l’année sera tout de même champion du monde, donc, ça reste tout aussi important. »

« Ce sera peut-être différent, prendre un risque sur une course ça pourrait du coup réussir à faire gagner beaucoup de points qui seront très importants vu qu’il y aura moins de courses, donc, il y aura peut-être plus de risques pris ou pas. »

« Mais en tout cas du côté pilote, je pense qu’il y aura un challenge en plus et ça nous poussera peut-être à essayer des choses qu’on aura pas essayé auparavant. »

Hamilton balaie la rumeur Ferrari : « Je suis avec mon équipe de rêve »

Le sextuple champion du monde Lewis Hamilton a fermement repoussé l’idée d’un transfert chez Ferrari dans un avenir immédiat.

Vendredi dernier, le tabloïd britannique The Sun a publié un article dans lequel il suggérait que les espoirs de Lewis Hamilton de rejoindre la Scuderia Ferrari étaient sur le point de s’envoler en raison des discussions positives entre Maranello et Sebastian Vettel au sujet d’un éventuel nouveau contrat pour l’Allemand.

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton a donc pris la peine de répondre directement aux journalistes du Sun sur le réseau social Instagram en précisant qu’il ne comptait pas quitter Mercedes, qui reste à l’heure actuelle son « équipe de rêve ».

« Tout d’abord, il n’y a pas de rêve d’aller dans une autre équipe. Je suis avec mon équipe de rêve. » a écrit le natif de Stevenage en réponse à la publication du Sun sur Instagram.

« Deuxièmement, il n’y a rien sur mon chemin, puisque je n’essaie pas de bouger. Je suis avec les gens qui ont toujours pris soin de moi depuis le 1er jour. Nous sommes la meilleure équipe. »

Les spéculations sur la possibilité que Hamilton passe chez Ferrari se sont intensifiées à l’époque du Grand Prix d’Abu Dhabi 2019, lorsque les rumeurs d’une réunion entre Hamilton et le président de Ferrari John Elkann ont commencé à circuler.

Et alors que Ferrari a concédé que les deux hommes s’étaient effectivement rencontrés, le PDG de la société, Louis Camilleri, a déclaré que les médias avaient « exagéré » le rendez-vous.

« C’était un événement social, qui a en quelque sorte été quelque peu disproportionné », a déclaré Camilleri aux journalistes lors d’un déjeuner de Noël avec Ferrari l’an dernier. « Ils ont des amis en commun. » a t-il souligné.

Rappelons que Lewis Hamilton est sous contrat avec l’équipe Mercedes jusqu’à la fin de cette saison 2020.

Pour Vettel, une saison raccourcie ne signifie pas un championnat au rabais

Sebastian Vettel estime qu’un championnat du monde raccourci en 2020 ne serait pas un championnat au rabais, bien au contraire.

Le pilote Ferrari, comme tous ses confrères, est dans l’attente depuis le mois de mars que la saison 2020 puisse enfin débuter.

Si à l’heure actuelle personne ne peut dire quand et où la saison 2020 de F1 commencera, tout le monde est bien conscient que les premières courses seront probablement très différentes de ce à quoi les gens sont habitués.

En effet, il a déjà été évoqué la possibilité de disputer les premières courses à huis clos en début de saison, ce que comprend parfaitement Sebastian Vettel, qui en a déjà discuté au sein du GPDA.

« Nous en avons beaucoup parlé au sein du GPDA [l’association des pilotes de Grand Prix]. C’est une décision très difficile à prendre. » explique Sebastian Vettel.

« D’un côté, vous avez la santé [financière] du sport si vous regardez du côté commercial, mais d’autre part, vous devez prendre en compte la santé des gens et bien-sûr surtout des fans. »

« C’est un sport qui se déroule en plein air, mais nous avons beaucoup de gens qui viennent regarder les courses. Nous devons donc nous assurer de prendre soin d’eux, mais de nous-mêmes aussi. »

« Il y a évidemment beaucoup d’options – que ce soit sans fans ou avec des fans. Mais personne n’aime courir devant des tribunes vides, ça fait un peu bizarre. »

« D’un autre côté, il y a la question de savoir quand sera le bon moment pour recommencer à courir et si une course à huis clos pourrait avoir lieu un peu plus tôt que ce à quoi nous sommes habitués. »

« Nous aimerions tous revenir à la normale, pas seulement pour la F1, mais tout le monde. Mais le meilleur remède sera d’être patient. C’est douloureux parce que je veux revenir dans la voiture, mais il y a beaucoup de gens qui veulent aussi beaucoup de choses. »

Il est également probable que la saison – en supposant qu’il y en ait une – sera considérablement plus courte que prévu. Mais Sebastian Vettel dit que cela ne devrait pas être une raison pour considérer que le championnat sera au rabais.

« Je ne pense pas que cela fasse une grande différence. Une saison est une saison, qu’il y ait 10, 20 ou 25 courses, il faut toujours être le plus régulier. »

« Au final, un championnat est un championnat. Avec 10 courses, il y aura sans doute beaucoup de choses à faire. »

Leclerc apprécie le simracing, mais est en manque de glamour

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a remporté le Grand Prix de Chine virtuel organisé ce dimanche par la Formule 1.

Après avoir remporté son premier Grand Prix virtuel en Australie il y a quinze jours, le Monégasque Charles Leclerc a remporté ce dimanche le Grand Prix de Chine virtuel.

Pour cette seconde manche de ce championnat virtuel organisé par la F1 pour faire patienter les fans en attendant que la saison 2020 puisse débuter, pas moins de sept pilotes de la grille actuelle étaient présents ce dimanche à Shanghai.

Après avoir pris le départ de la course depuis la pole position, le pilote Ferrari Charles Leclerc s’est finalement imposé au terme des 28 tours de course, devant le pilote Red Bull Alex Albon et Guanyu Zhou [Renault] qui hérite de la troisième place sur le podium après une pénalité infligée à Stoffel Vandoorne.

Il est bon de noter que pour son premier Grand Prix virtuel, le pilote McLaren Carlos Sainz a terminé à la dixième position.

Bien que très heureux d’avoir remporté la seconde manche de ce championnat virtuel, Charles Leclerc regrette tout de même le manque de glamour à l’arrivée de l’épreuve.

« J’apprécie vraiment beaucoup de jouer [en ligne] et de diffuser. J’apprécie encore plus quand je gagne, mais les célébrations d’après-course sont un peu différentes. » a déclaré Leclerc après sa victoire à Shanghai.

« Éteindre l’ordinateur et aller cuisiner des pâtes blanches est un peu moins glamour que de vaporiser du champagne sur le podium. »

La prochaine manche du F1 Esport Virtual Grand Prix se déroulera dans trois semaines, à la date initialement prévue pour le Grand Prix des Pays-Bas.

Mais comme le circuit de Zandvoort n’est pas présent dans le jeu F1 2019, les pilotes batailleront sur un autre circuit qui n’a pas encore été annoncé.

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