Sans vouloir manquer de respect aux fans du monde entier, les Japonais restent toujours un cran au dessus lorsqu’il s’agit de venir supporter les pilotes de F1 à Suzuka.
Vous y êtes désormais habitués, lorsque la F1 débarque à Suzuka pour le Grand Prix du Japon, c’est un vrai festival de fans déguisés auquel on peut assister durant quatre jours.
Les fans japonais restent à l’heure actuelle les plus passionnés du calendrier de la F1, alors qu’ils ne se contentent pas seulement de venir soutenir un pilote en particulier, mais bel et bien l’intégralité du paddock en passant par les chefs d’équipe et même les journalistes.
Comme chaque année, les fans japonais sont toujours présents en masse dans les aéroports, les gares et devant les hôtels dès la journée de mercredi qui précède le Grand Prix du Japon, soit cinq jours avant le départ de la course.
Toujours très courtois, respectueux, extrêmement patients, débordants d’imagination avec leurs costumes et toujours très attentionnés, nous nous devions de rendre hommage aux meilleurs fans du monde en publiant cet article.
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L’équipe Renault ne compte pas baisser les bras dans sa bataille l’opposant à McLaren pour la quatrième place au championnat constructeurs et prévoit donc d’introduire quelques nouveautés sur la RS19 à Suzuka.
Cinquième au championnat du monde des constructeurs, l’équipe Renault continuera de se battre jusqu’au bout pour essayer de déloger l’équipe McLaren, qui reste ancrée au quatrième rang depuis plusieurs courses maintenant.
Ce week-end pour le Grand Prix du Japon, Renault a prévu quelques nouveautés sur le package aéro de la RS19, notamment un nouvel aileron avant, ainsi qu’un nouveau fond plat.
D’autres éléments seront introduits sur la RS19 au cours des prochaines courses, alors qu’il ne reste que cinq Grands Prix avant la fin de l’année.
« Nous apportons un nouvel aileron avant à Suzuka. Nous avons également une nouvelle lame de châssis. À l’extérieur, les modifications sont assez subtiles, mais nous en attendons davantage d’appuis et d’adhérence. » nous confirme Nick Chester, directeur technique de Renault.
« C’est tout un défi de maîtriser Suzuka et cela requiert une bonne adhérence du train avant dans le premier secteur pour les changements rapides de direction à grande vitesse, mais aussi assez de stabilité pour donner confiance au pilote. »
« C’est également une piste très sensible à la traînée et à la puissance du moteur. L’aileron arrière peut être au cœur d’un difficile compromis. Enfin, Suzuka est très populaire auprès du public avec une atmosphère toujours incroyable ! »
Dix-septième manche de la saison 2019 de Formule 1, le Grand Prix du Japon se dispute ce week-end sur le circuit de Suzuka.
Avec sept heures de décalage horaire par rapport à la France, il vous faudra vous lever très tôt ce week-end pour profiter des premières séances d’essais libres du Grand Prix du Japon 2019 et dont voici les horaires détaillés.
Vendredi 11 octobre – Essais libres 1 et 2
Ce vendredi 11 octobre, vous devrez être devant votre téléviseur à partir de 03h00 du matin (heure française) si vous souhaitez ne rien rater de la première séance d’essais libres du Grand Prix du Japon 2019.
La seconde séance d’essais libres d’une durée de 90 minutes est programmée à 07h00 du matin (heure française), ce qui devrait vous laisser le temps de boire votre tasse de café installé devant une séance de roulage juste avant d’attaquer votre journée de travail.
Samedi 12 octobre – Journée annulée !
Pour cette journée de samedi, il n’y aura aucune activité sur le circuit de Suzuka en raison du Typhon Hagibis qui devrait toucher le Japon.
Dimanche 13 octobre – Les qualifications et la course
La séance de qualifications du Grand Prix du Japon a été reportée au dimanche 13 octobre à 10h00 (heure locale), soit 03h00 du matin en France.
Le départ du Grand Prix du Japon 2019 sera donné à 07h10 (heure française), ce qui vous donnera l’occasion d’être déjà debout bien avant 07h00 pour préparer un petit déjeuner bien copieux à votre moitié(e).
Une tempête tropicale nommée Hagibis va continuer de s’intensifier ce lundi à l’approche des îles Mariannes du nord et pourrait devenir un Super-Typhon en fin de semaine à l’approche du Japon.
Selon les dernières prévisions météo, une tempête nommée Hagibis devrait traverser les îles Marianne du nord ce lundi [ouest de la mer des Philippines] avant d’être reclassée en Super Typhon lorsqu’elle atteindra les côtes du Japon en fin de semaine.
Hagibis est le 19° cyclone tropical en 2019 dans le bassin du Pacifique occidental et devrait, selon les dernières prévisions, suivre une route allant vers le nord-ouest où elle rencontrera une eau plus chaude, ce qui lui permettra de devenir un typhon – l’équivalent d’un ouragan dans l’Atlantique.
La trajectoire précise d’Hagibis n’est pas encore connue par les services de météorologie et il encore un peu trop tôt pour déterminer avec exactitude quelles régions du Japon seront impactées par Hagibis.
Nous publierons notre traditionnel bulletin météo d’avant Grand Prix ce jeudi, juste avant le Grand Prix du Japon, alors que vous pourrez suivre l’évolution en temps réel grâce à notre partenaire météo Célinium.
La Formule 1 a confirmé ce vendredi les dates des essais hivernaux 2020 qui se dérouleront sur le circuit de Barcelone en Espagne.
Les équipes de F1 auront six jours [au lieu de huit en 2019] d’essais de pré-saison sur le Circuit de Barcelona-Catalunya pour peaufiner leurs voitures en piste avant la campagne 2020.
Traditionnellement, il y avait deux sessions d’essais de quatre jours sur le site du Grand Prix d’Espagne, mais avec une course supplémentaire ajoutée au calendrier l’année prochaine, un compromis a été trouvé.
En 2020, deux sessions d’essais hivernaux de trois jours seront organisées, la première se déroulant du 19 au 21 février 2020 et la seconde du 26 au 28 février 2020, avec un écart de quatre jours entre les deux.
Pas d’essais en milieu de saison en 2020
Les deux sessions de tests en pleine saison, qui étaient programmées cette année à Bahreïn et en Espagne, ont été retirées du programme 2020, ce qui mettra l’accent sur le contrôle des pièces lors des séances d’essais libres du vendredi la saison prochaine.
La Formule 1 a donc choisi de réduire encore un peu plus les séances d’essais privés à partir de la saison 2020.
Max Verstappen admet désormais ouvertement qu’il doute de pouvoir se battre pour le titre mondial en 2020 au volant de sa Red Bull-Honda.
Bien qu’il ait décroché cette année six podiums dont deux victoires au volant de sa Red Bull à moteur Honda, le Néerlandais Max Verstappen commence à émettre des doutes quant à ses chances de se battre pour le titre mondial l’an prochain.
Selon lui, à machine équivalente, il serait deux dixièmes plus rapide que Lewis Hamilton et Charles Leclerc cette année.
« Avec la même machine que Lewis Hamilton ou Charles Leclerc, je pense que je serais deux dixièmes plus rapide. » annonce Max Verstappen à De Telegraaf.
« Il est fréquent de dire que Red Bull se situe au même niveau que Mercedes et Ferrari, mais en réalité, ce n’est pas le cas, car nous sommes plus en retard que ce pensent les gens. »
Max Verstappen espère donc avoir une monoplace 2020 bien plus compétitive que celle de cette saison.
« J’ai piloté fort toute l’année, mais les performances n’étaient pas au même niveau que les résultats obtenus. Nous avons fait mieux que ce que nous méritions réellement avec la voiture. Avant Singapour, je pensais pouvoir me battre pour le titre en 2020, mais désormais, j’ai de gros doutes à ce sujet. »
Le clan Verstappen s’impatiente
Le clan Verstappen semble désormais s’impatienter, puisque Jos Verstappen, le papa de Max, se dit très inquiet du manque de performance affiché par la voiture de son fils depuis le Grand Prix de Belgique et estime que l’équipe va devoir réagir rapidement pour fournir à son fils une monoplace capable de se battre pour le championnat du monde en 2020.
« Nous sommes très inquiets pour l’amélioration [des performances] à court terme. Nous allons bientôt discuter avec l’équipe de ce que nous pouvons faire à ce sujet, parce que tout cela dépend essentiellement du matériel que nous recevons, et cela ne suffit pas pour le moment. » a déclaré Jos Verstappen.
« Nous devrions être plus proches [de Mercedes et Ferrari], mais c’est finalement plus difficile que nous le pensions. C’est très frustrant, parce qu’avant la pause estivale les choses se passaient bien et après la pause nous nous sommes un peu arrêtés. »
« Les autres ont progressé, surtout Ferrari, Max ne peut rien y faire, nous ne dépendons que de l’équipe. Nous sommes un peu en retard avec la monoplace et nous sommes un peu en retard avec le moteur. Nous devons travailler plus fort sur cette combinaison, parce que nous voulons participer à la lutte pour le championnat du monde l’année prochaine. »
L’ancien pilote Renault Jolyon Palmer regrette le fait qu’une voiture de sécurité ait pu aider Mercedes à remporter le Grand Prix de Russie dimanche dernier à Sotchi.
A Sotchi, la Scuderia Ferrari semblait être en mesure de pouvoir décrocher un doublé dimanche dernier tant le rythme pur de la SF90 était supérieur à celui des Mercedes.
Mais l’abandon de Sebastian Vettel sur panne mécanique au 27° tour de course a obligé la direction de course à déployer une voiture de sécurité virtuelle, ce qui a permis aux pilotes Mercedes de se jeter dans la voie des stands et ressortir en tête.
Jolyon Palmer, qui travaille désormais comme consultant sur les Grands Prix de F1, estime dans sa dernière chronique pour la BBC que la voie des stands devrait être fermée lorsque la direction de course déploie une VSC ou une voiture de sécurité.
« La voiture de sécurité virtuelle a mis un terme à la perspective d’une arrivée palpitante au Grand Prix de Russie. » explique Palmer.
« Sans cela, Lewis Hamilton, avec des pneus plus Tendres et un meilleur rythme, aurait lutté pour dépasser Charles Leclerc. »
« Mais la VSC a donné l’avantage à Hamilton – cela réduit le temps perdu dans les stands, parce que les autres pilotes doivent ralentir en piste – et il s’est donc retrouvé confortablement devant Leclerc avec de meilleurs pneus. »
« Les gens vont commencer à se plaindre que la VSC ou la voiture de sécurité ruine la course. Silverstone cette année a été une autre course ruinée par une voiture de sécurité, offrant à Hamilton une autre victoire facile. »
« Le revers de la médaille est que les voitures de sécurité ont créé des courses meilleures. Rappellez-vous la Chine l’année dernière, lorsque Ricciardo [Daniel] a remporté la course, et Melbourne, lorsque Sebastian Vettel a remporté la course sous le nez de Mercedes grâce à la voiture de sécurité. »
« Cela peut aller dans les deux sens, mais en fin de compte, il s’agit de savoir si la concurrence est loyale. La stratégie peut jouer un rôle bénéfique sous une voiture de sécurité. Si vous restez [en piste] plus longtemps avant de rentrer au stand, vous aurez plus de chances d’obtenir un avantage lorsqu’une voiture de sécurité fera son apparition, comme ce fut le cas pour Mercedes à Sotchi. »
« Mais en réalité, tout dépend aussi de la chance et vous devez réfléchir pour savoir si c’est le bon choix. Il semble étrange qu’une course puisse être gagnée ou perdue sous VSC, alors que le but de cette dernière est de neutraliser la course et c’est pour cela que les voitures doivent tourner à une vitesse spécifique pour que les écarts restent les mêmes. »
« L’une des solutions pour éviter cela serait de fermer la voie des stands sous VSC ou voiture de sécurité, afin d’obliger les pilotes à prendre la pénalité de temps dans les stands. Il y a peut-être d’autres solutions, mais je pense que ce serait un moyen juste de s’assurer, comme en Russie, que le spectacle soit présent jusqu’au bout. »
Le débat est lancé, qu’en pensez-vous ? Laissez votre avis dans les commentaires au bas de cet article.
Daniel Ricciardo félicite son équipe Renault d’avoir effectué un grand pas en avant en améliorant les performances de son moteur cette année.
Le pilote australien estime que Renault a fait un grand pas en avant cette année concernant les performances de son unité de puissance, ce qui permis à l’équipe du constructeur français de réduire l’écart en termes de performance avec Ferrari et Mercedes.
« C’est vraiment bien. Depuis le début de l’ère hybride, il était évident que Renault n’avait pas le package le plus fort, ce n’est un secret pour personne et ça a toujours été une faiblesse pour eux. » explique Daniel Ricciardo.
« Mais cette année, absolument. Ils ont fait un grand pas en avant, c’était nécéssaire et ils l’ont fait. Cela leur a également enlevé beaucoup de pression, parce que de l’extérieur, il y avait beaucoup de pression de la part des médias. Je suis content pour eux qu’on ait réussi à franchir ce pas. »
L’Australien admet que la prochaine étape pour Renault consiste à améliorer son châssis et son package aéro afin de permettre à l’équipe du constructeur français de se battre contre les meilleures équipes.
« Nous connaissions notre déficit moteur par rapport à Mercedes et Ferrari ces dernières années, alors être un peu plus proches d’eux désormais c’est beaucoup mieux. »
« Ce qui est évident désormais, c’est que nous avons du travail à faire sur le châssis et l’aérodynamique. Renault a coché une grosse case cette année avec l’unité de puissance, donc l’année prochaine, si nous pouvons cocher la case châssis, nous pourrons être compétitifs. »
Au championnat du monde des constructeurs, Renault est actuellement cinquième avec 33 points de retard sur l’écurie McLaren.
Il est impossible de ne pas avoir pensé au fameux « Multi 21 » du Grand Prix de Malaisie 2013 ce dimanche en regardant le Grand Prix de Russie.
A Sotchi ce dimanche, Sebastian Vettel a semble t-il outrepassé une consigne d’équipe donnée par Ferrari à ses deux pilotes avant le départ de la course et qui consistait à faire en sorte de signer un doublé pour la Scuderia.
La consigne passée aux deux pilotes était la suivante : Charles Leclerc, qui s’élançait en pole position, devait offrir l’aspiration à Sebastian Vettel [troisième sur la grille], afin de permettre au quadruple champion du monde de doubler la Mercedes de Lewis Hamilton [second sur la grille] avant le premier virage.
Mais le problème est que Sebastian Vettel a pu profiter au départ non seulement de l’aspiration de Charles Leclerc, mais aussi de celle de Lewis Hamilton, ce qui a propulsé l’Allemand en tête de la course avant le premier virage.
Une fois passé ce premier virage, Charles Leclerc a immédiatement allumé sa radio pour demander à son équipe à quel moment il récupérerait sa position. La Scuderia a alors demandé à Vettel de s’exécuter, mais le quadruple champion du monde ne semblait pas vouloir rendre la place à son coéquipier.
Au contraire, Sebastian Vettel creusait encore plus l’écart avec la Ferrari de Charles Leclerc en début de course jusqu’au moment où l’écurie a demandé à Sebastian Vettel d’abandonner [officiellement pour un problème sur le système hybride de sa SF90].
Ce non respect des consignes par Sebastian Vettel nous a fait inévitablement penser à l’épisode du Multi 21 avec Mark Webber au Grand Prix de Malaisie 2013.
Qu’est-ce que le Multi 21 ?
Le Multi 21 est une consigne d’équipe connue sous le nom code « Multi 21 » et utilisée par l’équipe Red Bull lors de la saison 2013 de Formule 1.
Cette consigne donnée par le team principal de l’équipe depuis le muret des stands impose aux deux pilotes de figer leur position en course et de ne pas s’attaquer afin d’assurer un doublé [2-1] pour l’écurie sous le drapeau à damier.
Mais en 2013 au Grand Prix de Malaisie, Sebastian Vettel, qui roulait alors pour l’équipe Red Bull aux côtés de l’Australien Mark Webber, n’a pas respecté la consigne d’équipe Multi 21 ordonnée par son écuire et a attaqué son coéquipier au 38° tour de course.
Sebastian Vettel, dont la monoplace était chaussée de pneus Tendres, a décidé d’outrepasser la consigne d’écurie communiquée par radio et attaque tout de même Mark Webber, dont la monoplace était chaussée de pneus durs, qui résistera pendant plusieurs virages avant de céder sa position à l’Allemand.
Au drapeau à damier, Sebastian Vettel a remporté le Grand Prix de Malaisie 2013 et prend la tête du championnat. Mark Webber terminera second du Grand Prix de Malaisie, alors que dans la « cool room » le pilote australien, furieux, répétera à plusieurs reprises à son coéquipier Sebastian Vettel « Multi 21 Seb ».
Après la seizième manche de la saison 2019 disputée ce dimanche en Russie, les classements F1 pilotes et constructeurs ont évolué.
Grâce à sa victoire ce dimanche en Russie, Lewis Hamilton reste leader du championnat du monde des pilotes avec 322 points inscrits depuis le début de l’année.
Classement des pilotes 2019
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Au classement des constructeurs, Mercedes reste leader avec 571 points inscrits depuis le début de la saison 2019. Ferrari est toujours seconde, tandis que Red Bull Racing conserve sa troisième place.
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a remporté le Grand Prix de Russie 2019.
Le quintuple champion du monde devance son coéquipier Valtteri Bottas et la Ferrari de Charles Leclerc au drapeau à damier.
Max Verstappen, Carlos Sainz, Alex Albon, Sergio Perez, Lanod Norris, Kevin Magnussen et Nico Hulkenberg complètent le top dix à l’arrivée.
L’équipe Mercedes a signé ce dimanche un neuvième doublé cette année, grâce à une stratégie difficilement compréhensible pour le commun des mortels et alors que les deux pilotes Ferrari étaient en tête de la course durant la première partie du Grand Prix.
Résumé du GP de Russie 2019
Romain Grosjean abandonne au premier tour
Le pilote Haas Romain Grosjean a été percuté par l’arrière par l’Alfa Romeo d’Antonio Giovinazzi dans le premier tour de course, ce qui a envoyé sa monoplace dans les barrières de protection. Fin de la course pour le Français, qui s’élançait de la huitième position ce dimanche.
Cet incident a obligé la direction de course à déployer la voiture de sécurité pour permettre aux commissaires de dégager l’épave de Romain Grosjean.
Ricciardo obligé de rentrer au stand dès le premier tour
Le pilote Renault, impliqué dans l’accrochage avec Romain Grosjean et Giovinazzi, a dû rentrer à faible vitesse au stand dès le premier tour en raison d’une crevaison. L’Australien abandonnera au 26° tour en raison des dommages causés à sa monoplace.
Kimi Raikkonen pénalisé pour un faux départ
Le pilote Alfa Romeo Kimi Raikkonen a effectué un faux départ. Le Finlandais a lâché son embrayage quelques secondes trop tôt et a donc été sanctionné par la direction de course d’une pénalité de passage par la voie des stands.
Charles Leclerc demande à Ferrari qu’on lui rende sa position
Alors qu’il s’élançait depuis la pole position ce dimanche, Charles Leclerc a reçu l’ordre de la part de son équipe d’aider Sebastian Vettel [troisième] au départ de la course. L’Allemand a pu profiter de l’aspiration de son coéquipier pour s’emparer de la tête de la course avant le premier virage.
Quelques tours plus tard, Charles Leclerc a demandé à son équipe à ce qu’on lui rende sa position « comme le prévoyait le plan », mais Sebastian Vettel a refusé de s’exécuter.
Il faudra attendre le 27° tour de course, après l’arrêt au stand de Sebastian Vettel, pour revoir Charles Leclerc en tête.
Sebastian Vettel abandonne un tour plus tard
Au 28° tour de course, Ferrari a demandé à Sebastian Vettel d’abandonner en raison d’un problème sur la partie hybride. Le pilote allemand semblait surpris à la radio en demandant « vous êtes sûr ? » tout en s’exécutant.
Hamilton en tête de la course
L’abandon du quadruple champion du monde, qui a garé sa monoplace en bord de piste, a obligé la direction de course à déployer une voiture de sécurité virtuelle, ce qui a profité à Lewis Hamilton, qui s’est arrêté au stand pour chausser des gommes neuves. Le Britannique est ressorti de la voie des stands en tête de la course avec une belle avance sur la Ferrari de Charles Leclerc.
Abandon des deux pilotes Williams
A la reprise de la course, le pilote Williams George Russell a dû abandonner après avoir cassé un disque de frein à l’avant de sa monoplace. Son coéquipier Robert Kubica abandonne lui aussi quelques minutes plus tard.
L’accident de George Russell a obligé la direction de course à déployer une autre voiture de sécurité en piste.
Charles Leclerc rentre au stand une seconde fois
Désormais troisième de la course, Charles Leclerc a profité de la voiture de sécurité pour rentrer au stand pour chausser des pneus neufs Tendres sur sa Ferrari et ainsi lui permettre d’attaquer jusqu’au drapeau à damier.
Mais le Monégasque n’arrivera pas à doubler les deux Mercedes de Valtteri Bottas et Lewis Hamilton, il termina le Grand Prix de Russie sur la troisième place du podium.
Kevin Magnussen pénalisé
Le pilote Haas a écopé d’une pénalité de cinq secondes pour ne pas avoir respecté le passage obligatoire derrière les panneaux au virage numéro 2. Il termine la course à la neuvième position.
Suivez le Grand Prix de Russie 2019, seizième manche de la saison 2019, en direct du circuit de Sotchi.
Le départ du Grand Prix de Russie 2019 sera donné ce dimanche 29 septembre à 13h10 (heure française). C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position sur la grille de départ devant la Mercedes de Lewis Hamilton et l’autre Ferrari pilotée par Sebastian Vettel.
Pour suivre l’évolution de la météo en temps réel pour cette journée de dimanche à Sotchi, vous pouvez cliquer sur ce lien.
La grille de départ du Grand Prix de Russie a encore été modifiée depuis la fin des qualifications ce samedi soir à Sotchi.
En effet, suite à son crash survenu aux qualifications du Grand Prix de Russie ce samedi, le pilote Red Bull Alex Albon s’est vu infliger une pénalité après que son équipe ait décidé de changer la spécification du fond plat de sa voiture pour le départ de la course.
Qualifié dix-huitième, Alexander Albon prendra finalement le départ du Grand Prix de Russie depuis la voie des stands ce dimanche.
Notez que la grille de départ ci-dessous est mise à jour en temps réel dès qu’une pénalité est infligée à l’un des pilotes.
McLaren et Mercedes-Benz ont annoncé ce samedi que l’équipe McLaren sera motorisée par Mercedes à partir de la saison 2021.
Après trois saisons passées aux côtés de Renault entre 2018 et 2020, l’équipe britannique McLaren sera donc motorisée de nouveau par Mercedes à partir de la saison 2021.
« Cet accord est une étape importante dans notre plan à long terme pour revenir au succès en Formule 1. Mercedes est la référence, à la fois en tant qu’équipe et en termes d’unité de puissance, il est donc naturel que nous chercherons à obtenir une relation de confiance avec la société pour la prochaine étape de notre voyage. » a déclaré le PDG de McLaren, Zak Brown.
« Cette annonce témoigne de la confiance de nos actionnaires et est un message important pour nos investisseurs, notre équipe, les partenaires et les fans avec qui nous nous sommes engagés à revenir à l’avant de la grille. »
« 2021 sera une étape importante pour nous alors que nous continuerons notre combat pour être de retour à l’avant, il est donc essentiel que nous ayons les éléments clés en place pour nous permettre de préparer la nouvelle ère du sport. » a déclaré pour sa part Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.
« Nous attendons avec impatience de renouveler notre relation avec Mercedes à partir de 2021. En même temps , Renault reste à la fois un partenaire précieux et un concurrent redoutable, et nous continuerons à rester concentrés sur la poursuite de notre collaboration jusqu’à la fin de la saison, ainsi que la prochaine. »
Renault Sport Racing et McLaren Racing ont conclu d’un commun accord de ne pas renouveler leur contrat de fourniture moteur F1 au-delà de la saison 2020.
Comme nous vous le rapportions ce matin, Renault et McLaren ne continueront pas l’aventure ensemble en Formule 1 à partir de la saison 2021.
» Depuis le début de notre collaboration, McLaren est passé de la 9ème place à la 4ème place au Championnat des Constructeurs. On peut donc parler d’une relation fructueuse. En se projetant au-delà du contrat actuel, en 2021, il est apparu que Renault et McLaren avaient des ambitions différentes pour leur relation. » a déclaré Cyril Abiteboul, le directeur de Renault Sport Racing.
« Tous les éléments constitutifs de cette décision ont été envisagés et pesés depuis plusieurs semaines dans la mesure où 2021 sera une saison clé pour toutes les écuries et il est important d’avoir aujourd’hui une vision plus précise des forces et des ambitions en présence. »
« Cette décision est cohérente avec le choix de Renault d’être une écurie complète avec l’ambition de revenir au premier plan. »
« Renault continuera la saison prochaine d’honorer ses engagements auprès de McLaren Racing, comme cela a toujours été le cas au cours de sa longue histoire de motoriste. »
Renault et McLaren Racing continueront donc de travailler ensemble lors de la prochaine saison de F1 en 2020 pour ce qui sera leur dernière année en commun.
Moins d’une semaine après le Grand-Prix de Singapour, la F1 sera ce week-end à Sotchi à l’occasion de la 16ème course de la saison.
Pour cette 6ème édition (toutes remportées par Mercedes), il est temps de faire le point sur les dernières prévisions météo.
Situation génération : Un vaste anticyclone au nord de la Mer Noire continuera à prendre de l’expansion tout en se décalant vers l’Est au cours du week-end. Plus au sud, un petit creux barométrique engendrera un temps humide et doux jusqu’à samedi après-midi.
Vendredi 27 septembre – Essais libres 1 et 2
Les deux séances d’essais libres devraient se dérouler majoritairement sous un ciel très nuageux avec un risque important d’averses. Avec 17°C au lever du jour, le mercure devrait atteindre 22°C au courant de l’après-midi.
Le vent sera léger tout au long de la journée (inférieur à 10km/h) et s’intensifiera en fin de journée à l’approche d’un front froid qui traversera la région en soirée.
Samedi 28 septembre – Essais libres 3 et qualifications
Après une nuit pluvieuse, la journée de samedi débutera avec un ciel très chargé et toujours humide. La pluie fera progressivement place à un temps couvert et quelques rayons de soleil sont tout de même attendus en après-midi.
Côté température, il fera plus frais que la veille avec 19°C pendant la séance des qualifications. Le vent soufflera entre 5 et 15km/h et sera orienté du Sud-Ouest.
Dimanche 29 septembre – La course
Le retour d’un temps majoritairement ensoleillé est attendu pour dimanche. Les nuages seront encore présents mais ne devraient pas gêner le déroulement de la course.
Le vent soufflera du Sud-Ouest (15km/h) et le mercure ne devrait pas dépasser 20°C pour la course qui commencera à 14h10, heure locale (13h10, heure de France).
La météo en temps réel à Sotchi
En raison de l’instabilité des conditions météo pour les prochains jours, nous continuons de suivre la situation et ne manquerons pas de publier une mise à jour de ce bulletin météo en cas de changement majeur.
En attendant et comme pour les courses précédentes, vous pouvez consulter les prévisions horaires (mise à jour toutes les dix minutes) sur le site de notre partenaire météo Celinium en cliquant sur ce lien:Celinium.
La FIA a rejeté l’appel interjeté par Alfa Romeo après le Grand Prix d’Allemagne.
Ce mardi, la cour d’appel Internationale de la FIA se réunissait place de la Concorde à Paris pour examiner l’appel d’Alfa Romeo, suite à la double pénalité infligée à l’équipe après le Grand Prix d’Allemagne 2019.
Après le Grand Prix d’Allemagne 2019, les deux pilotes Alfa Romeo ont reçu chacun une pénalité de 30 secondes après l’arrivée de la course pour avoir utilisé au départ de l’épreuve un réglage d’embrayage non conforme.
Ces pénalités ont fait sortir les deux pilotes du top dix, ce qui veut dire que l’équipe Alfa Romeo a perdu tous ses points marqués au Grand Prix d’Allemagne.
L’équipe suisse dirigée par le Français Frederic Vasseur a donc décidé d’interjeter appel de la décision des commissaires, assurant avoir suffisamment de preuves pour disculper ses deux pilotes.
La cour d’appel de la FIA rejette l’appel d’Alfa Romeo
Ce mardi, la cour d’appel de la FIA a décidé de rejeter l’appel de l’équipe Alfa Romeo. Les résultats du Grand Prix d’Allemagne 2019 sont donc désormais officiels et Robert Kubica conserve son point acquis en terminant dixième grâce à l’exclusion des deux pilotes Alfa Romeo du top dix.
La Formule 1 ne s’arrête pas cette semaine et continue sa route vers la Russie pour la seizième manche de la saison 2019 qui se disputera sur le circuit de Sotchi.
Seizième épreuve de la saison 2019, le Grand Prix de Russie se tiendra du 27 au 29 septembre sur le tracé de Sotchi situé au bord de la mer noire.
Vendredi 27 septembre – Essais libres 1 et 2
La première séance d’essais libres du Grand Prix de Russie débutera ce vendredi 27 septembre à 10h00 (heure française), alors que la seconde séance d’essais libres se disputera à partir de 14h00 (heure française).
Samedi 28 septembre – Essais libres 3 et qualifications
La troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Russie se disputera ce samedi 28 septembre à partir de 11h00 (heure française), tandis que la séance de qualifications sera à suivre à partir de 14h00 (heure française).
Dimanche 29 septembre – La course
Le départ du Grand Prix de Russie 2019 sera donné ce dimanche 29 septembre à 13h10 (heure française) et sera à suivre en direct commenté sur F1only.fr.
C’est le pilote Ferrari Sebastian Vettel qui a remporté le Grand Prix de Singapour 2019 ce dimanche.
Le quadruple champion du monde de Formule s’offre ce dimanche à Singapour sa toute première victoire de l’année avec Ferrari, la première depuis le Grand Prix de Belgique 2018.
Derrière, Charles Leclerc, Max Verstappen, Lewis Hamilton, Valtteri Bottas, Alex Albon, Lando Norris, Pierre Gasly, Nico Hulkenberg et Antonio Giovinazzi complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve.
C’est grâce à un arrêt au stand prématuré que Sebastian Vettel a réussi aujourd’hui à décrocher sa première victoire de l’année devant son coéquipier Charles Leclerc, très mécontent de ne pas avoir eu la priorité pour exécuter le premier arrêt, alors qu’il était en tête de la course.
Malgré l’apparition de trois voitures de sécurité, Sebastian Vettel est resté le leader de la course jusqu’au drapeau à damier. L’Allemand reprend de la confiance en lui aujourd’hui grâce à cette victoire, après quelques erreurs commises lors des Grands Prix précédents.
Résumé du Grand Prix de Singapour
Sainz percuté au départ par Nico Hulkenberg
Le pilote McLaren Carlos Sainz a été percuté par l’arrière par la Renault de Nico Hulkenberg dans le premier tour de course. Ce contact a provoqué une crevaison sur la monoplace de Sainz, obligeant l’Espagnol à rentrer au stand pour pour effectuer un changement de pneus.
Nico Hulkenberg est lui aussi rentré dans les stands pour changer de pneus, le pilote Renault est ressorti en piste avec les gommes dures.
Vettel bouscule les stratégies
Sebastian Vettel a été le premier pilote parmi les leaders à s’arrêter ce dimanche, ce qui a eu pour conséquence de bousculer complétement les stratégies de ses concurrents.
Charles Leclerc, qui était alors leader de la course, a payé cash cet undercut exécuté par Sebastian Vettel, puisque le pilote monégasque s’est retrouvé derrière son coéquipier en ressortant des stands après son premier arrêt.
Lewis Hamilton piégé
Le pilote Mercedes Lewis Hamilton s’est retrouvé en tête de la course après le premier arrêt des deux pilotes Ferrari, mais il était déjà trop tard pour le Britannique, qui ne pouvait plus s’arrêter au stand sans voir les deux Ferrari lui passer devant.
Valtteri Bottas sacrifié par Mercedes
C’est finalement Valtteri Bottas qui s’est arrêté avant son coéquipier, mais l’équipe Mercedes a demandé au Finlandais de lever le pied avec sa monoplace équipée de pneus neufs pour ne pas se retrouver devant Lewis Hamilton [qui joue le championnat] lorsque ce dernier aura effectué son arrêt.
Valtteri Bottas s’est tout de suite exécuté et a vu la monoplace de Lewis Hamilton lui passer devant au 27° tour de course.
Daniel Ricciardo percuté par l’Alfa Romeo de Giovinazzi
Au 34° tour de course, et alors qu’il se battait pour la cinquième place en partant depuis le fond de la grille, le pilote Renault Daniel Ricciardo a été percuté par l’Alfa Romeo d’Antonio Giovinazzi.
La roue arrière droite de la Renault de Ricciardo a crevé après ce contact entre les deux hommes, obligeant l’Australien à rentrer au stand. Il ressortira dix-huitième.
Voiture de sécurité déployée au 35° tour de course
La première voiture de sécurité a été déployée au 35° tour de course après un contact entre la Haas de Romain Grosjean et la Williams de George Russell.
Le pilote français a voulu faire l’extérieur au Britannique, mais Russell a insisté pour conserver sa position. L’avant de la voiture de Grosjean a alors touché l’arrière de la Williams de Russell, qui est allé taper le mur. Il s’agit du premier abandon de la saison pour George Russell.
Seconde voiture de sécurité au 43° tour de course
C’est l’abandon sur panne mécanique qui a obligé la direction de course à déployer la seconde voiture de sécurité ce dimanche.
Troisième voiture de sécurité au 50° tour de course
Au 50° tour de course, une troisième voiture de sécurité a été déployée après un contact entre la Toro Rosso de Daniil Kvyat et l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen.
Le Russe Daniil Kvyat a été un peu trop optimiste au freinage du premier virage en jetant sa monoplace à l’intérieur du virage en doublant Kimi Raikkonen. Le contact entre les roues de deux monoplaces a brisé une biellette de direction sur l’Alfa Romeo du Finlandais, qui a dû abandonner.
Pierre Gasly dans les points
Le Français Pierre Gasly a terminé la course à la neuvième place ce dimanche grâce à une stratégie audacieuse en prenant le départ avec les pneus durs montés sur sa Toro Rosso.