Suivez le Grand Prix de Singapour 2019, quinzième manche de la saison de F1, en direct depuis le circuit de Marina Bay.
Le départ du Grand Prix de Singapour 2019 sera donné ce dimanche à 14h10 (heure française). C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera en pole position devant la Mercedes de Lewis Hamilton et la Ferrari de Sebastian Vettel.
Pour suivre la météo en temps réel pour cette journée de dimanche à Singapour, vous pouvez cliquer sur ce lien.
Voici la grille de départ définitive du Grand Prix de Singapour 2019, prenant en compte les différentes pénalités infligées aux pilotes.
Ce samedi soir après les qualifications du Grand Prix de Singapour, le pilote Renault Daniel Ricciardo a été disqualifié pour avoir utilisé trop de puissance sur le système MGU-K monté sur son unité de puissance.
Renault a expliqué que cela était dû à un passage sur vibreur, ce qui a provoqué un sur-régime durant une microseconde, ce qui a eu pour conséquence de dépasser la limite des 120 KW autorisés par la FIA.
Renault n’a pas fait appel de cette décision des commissaires de course du Grand Prix de Singapour, ce qui veut dire que Daniel Ricciardo a perdu sa huitième position.
Renault a décidé ce dimanche matin de procéder au changement de deux éléments sur la monoplace de Ricciardo : le MGU-K et le boitier électronique. L’Australien s’élancera depuis la fond de la grille.
Autre pilote pénalisé à Singapour, le Mexicain Sergio Perez. Le pilote Racing Point a reçu une nouvelle boîte de vitesses sur sa monoplace avant les qualifications à la suite d’un contact avec un mur en EL3.
Sergio Perez a donc reculé de cinq positions sur la grille de départ du Grand Prix de Singapour, il s’élancera depuis la quinzième position ce dimanche.
Le Grand Prix de Singapour 2019 sera à suivre en direct commenté à partir de 14h00 sur F1only.fr en cliquant sur ce lien.
Le pilote Renault Daniel Ricciardo a été exclu des qualifications du Grand Prix de Singapour ce samedi après la violation d’un article du règlement technique de la F1.
Les commissaires de course du Grand Prix de Singapour reprochent au pilote Renault d’avoir dépassé la limite de puissance de 120 KW lors de la séance de qualifications du Grand Prix de Singapour.
Il a été établi à l’audience, et sans aucun doute aux yeux des commissaires sportifs, que le concurrent avait dépassé la limite de flux de puissance du MGU-K autorisée par le règlement technique.
La méthode de régulation de cette limite est bien connue et comprise des équipes. L’équipe Renault n’a pas contesté le fait que la voiture ait dépassé la limite, ni la méthode employée pour la surveiller.
Daniel Ricciardo est donc exclu des qualifications du Grand Prix de Singapour, l’Australien prendra le départ de la course ce dimanche depuis le fond de la grille.
Voici la grille de départ du Grand Prix de Singapour, quinzième manche de la saison 2019 de Formule 1.
Les pilotes de F1 prendront le départ du Grand Prix de Singapour ce dimanche 22 septembre à 14h10 (heure française) sur le tracé de Marina Bay.
C’est Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche à Singapour. Le pilote Ferrari aura à ses côtés sur la grille de départ la Mercedes de Lewis Hamilton.
Derrière, Sebastian Vettel, Max Verstappen, Valtteri Bottas, Alex Albon, Carlos Sainz, Daniel Ricciardo, Nico Hulkenberg et Lando Norris complètent le top dix sur la grille de départ.
Notez que la grille de départ ci-dessous prend en compte la pénalité de cinq positions pour Sergio Perez [changement de boîte de vitesses], ainsi que la disqualification de Daniel Ricciardo et sera mise à jour en temps réel d’ici le départ de la course programmé ce dimanche à 14h10.
C’est Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position sur la grille de départ du Grand Prix de Singapour 2019 ce dimanche.
Le pilote Ferrari a décroché la pole position ce samedi dans les rues de Singapour avec un meilleur tour signé en 1.36.217.
Le Monégasque devance la Mercedes de Lewis Hamilton pour un dixième et l’autre Ferrari pilotée par Sebastian Vettel pour deux dixièmes.
Max Verstappen, Valtteri Bottas, Alex Albon, Carlos Sainz, Daniel Ricciardo, Nico Hulkenberg et Lando Norris complètent le top dix de ces qualifications.
Résumé des qualifications du GP de Singapour
Romain Grosjean éliminé en Q1
Impossible pour Romain Grosjean de placer sa monoplace en Q2 ce samedi à Singapour. Le pilote Haas a tout tenté lors de la Q1, mais les performances de sa VF-19 ne lui ont pas permis d’y arriver. Le Français prendra le départ de la course depuis la dix-huitième place.
Pierre Gasly ne passe pas en Q3
Le Français Pierre Gasly n’a pas réussi à passer en Q3 ce samedi. Le pilote Toro Rosso a signé le treizième temps de ces qualifications, mais il pourra prendre le départ de la course depuis la douzième position ce dimanche grâce à la pénalité de cinq places dont a écopé Sergio Perez.
Kimi Raikkonen touche le mur en Q2
Le pilote Alfa Romeo n’a pas réussi à passer en Q3 à Singapour. Le Finlandais a commis une toute petite erreur dans un tour rapide et est allé touché le mur avec sa monoplace.
Pas de gros dégâts sur son Alfa Romeo, mais Kimi Raikkonen n’a pas réussi à améliorer ses performances lors de son seconde essai.
Robert Kubica et l’équipe Williams ont décidé d’un commun accord de se séparer à la fin de la saison 2019 de Formule 1.
L’équipe Williams a annoncé ce jeudi à Singapour le départ de Robert Kubica à la fin de la saison 2019, après une année en tant que titulaire aux côtés de George Russell.
« Je voudrais remercier Robert pour son travail acharné et respecter sa décision de quitter l’équipe à la fin de la saison 2019. Robert a été un membre important de l’équipe à la fois en tant que pilote de réserve et de développement, puis en tant que l’un de nos pilotes de course en 2019. » a déclaré Claire Williams.
« En 2019, il a assumé le rôle de pilote de course en s’associant à George Russell et a marqué le premier point de l’équipe au Grand Prix d’Allemagne. » a déclaré Williams.
Robert Kubica remercie l’équipe Williams
Le Polonais a tenu à remercier l’équipe britannique pour son soutient au cours des deux dernières saisons.
« Je voudrais remercier l’équipe pour les deux dernières années et pour m’avoir aidé à rendre mon retour sur la grille de Formule 1 possible. » a déclaré le Polonais.
« J’ai apprécié le temps passé avec ROKiT Williams Racing, à la fois en tant que pilote de réserve et de développement et en tant que pilote de course, mais je pense que le moment est venu pour moi de passer au chapitre suivant de ma carrière. »
L’équipe Haas a confirmé la présence de Romain Grosjean pour la saison 2020 aux côtés de Kevin Magnussen pour une cinquième année consécutive.
L’équipe américaine a annoncé ce jeudi matin à Singapour la reconduction du contrat de Romain Grosjean pour une cinquième année consécutive, mettant un terme définitif aux rumeurs persistantes qui suggéraient l’arrivée imminente de Nico Hulkenberg à la place du Français.
« L’expérience, et le besoin qui en découle, a été l’une des pierres angulaires de l’équipe Haas F1. Avec Romain Grosjean et Kevin Magnussen engagés pour l’équipe en 2020, nous avons toujours un duo de pilotes qui nous offre une solide plateforme pour poursuivre notre croissance. » a déclaré Gunther Steiner, directeur de l’équipe Haas.
« Leur compréhension de la façon dont nous travaillons en équipe et notre connaissance de ce qu’ils peuvent fournir au volant nous offrent une continuité précieuse et une base solide pour continuer à renforcer notre équipe. »
« L’année 2019 a été difficile pour nous avec la fluctuation des performances de la VF-19, mais notre capacité à exploiter nos expériences combinées nous aidera à apprendre, à nous améliorer et à aller de l’avant en tant qu’unité en 2020. »
Pour la 15ème course de la saison, la F1 se déplace en Asie du Sud-Est et plus précisément à Singapour.
Située à l’extrême sud de la péninsule Malaise, la république de Singapour est connue pour son climat équatorial (très chaud et très humide) tout au long de l’année.
Au centre de la zone de convergence intertropicale et des Alizés maritimes, les conditions météo de cette région sont très changeantes. On peut passer d’un soleil radieux à une violente averse en quelques minutes et inversement. Voyons de plus près les dernières prévisions météo pour ce Grand Prix qui se déroulera de nuit.
Situation générale : Située à équidistance entre un puissant anticyclone (à l’ouest de l’Australie) et une dépression très creuse (au large de Taiwan), la ville de Singapour devrait connaître un temps typique de saison et ce, pour les 3 jours du Grand Prix à savoir un temps très chaud et très humide.
Vendredi 20 septembre – Essais libres 1 et 2
La première séance d’essais libre se déroulera en plein jour et sera de toute évidence la séance la plus chaude des trois jours. Le mercure devrait avoisiner 32°C et avec la très forte humidité, le ressenti thermique devrait dépasser 38°C! Le ciel sera généralement ensoleillé avec de faibles passages nuageux.
Pour la seconde séance d’essais libre, les températures devraient baisser de quelques degrés. Bien que le risque soit faible, il n’est pas exclu d’avoir une petite averse entre les deux séances.
Samedi 21 septembre – Essais libres 3 et qualifications
Les conditions pour samedi seront sensiblement les mêmes avec une température de 29°C dans l’air (et 35°C ressenti) au moment de la qualification. Le vent orienté du Sud-Est soufflera modérément entre 5 et 15 km/h et ne sera pas suffisant pour rafraîchir le paddock.
Dimanche 22 septembre – La course
Même si l’épreuve se déroulera entièrement de nuit (le départ sera donné à 20h10 heure locale), les températures chaudes (il fera 29°C lors de l’extinction des feux rouges) et le fort taux d’humidité régneront pendant toute la durée de l’épreuve.
Les risques de pluie sont faibles et le vent sera toujours léger de secteur Sud-Est. Les pilotes devront donc composer avec des conditions désagréables et devront absolument penser à bien s’hydrater. Cette course est tellement difficile sur les organismes, qu’il n’est pas rare de voir des pilotes épuisés sur le podium.
La météo pour le GP de Singapour en temps réel
Si vous souhaitez obtenir les prévisions heure par heure (mise à jour deux fois par heure) pour le Grand Prix de Singapour, vous pouvez consulter le site de notre partenaire météo Celinium en cliquant sur ce lien:Celinium.
Cette année, la FIA a décidé d’ajouter une troisième zone de DRS sur le circuit de Marina Bay pour le Grand Prix de Singapour.
Cette nouvelle zone d’activation du DRS se situe entre les virages 13 et 14, avec un point de détection situé 102 mètres avant le virage 13. Le point d’activation quant à lui se situe 78 mètres après le virage 13.
La première zone de DRS du circuit de Marina Bay se situe toujours dans la ligne droite de départ/arrivée, tandis que la seconde est toujours dans la ligne droite après le virage numéro 5.
Les zones de DRS sur le circuit de Marina Bay à Singapour
Quinzième manche de la saison 2019 de F1, le Grand Prix de Singapour est est la prochaine course programmée au calendrier.
Le Grand Prix de Singapour, qui se disputera de nuit sur le tracé urbain de Marina Bay, est considéré comme l’un des plus difficiles de la saison en raison de son longueur et des températures élevées auxquelles les pilotes doivent faire face.
Petite particularité, certaines séance d’essais libres se déroulent de jour à Singapour, alors que la course, ainsi que les qualifications se dérouleront bien de nuit.
Vendredi 20 septembre – Essais libres 1 et 2
Le week-end du Grand Prix de Singapour débutera avec les traditionnels essais libres du vendredi. La première séance d’essais libres du Grand Prix de Singapour est programmée à 10h30 (heure française), alors que la seconde séance débutera à 14h30 (heure française).
Samedi 21 septembre – Essais libres 3 et qualifications
La troisième et dernière séance du Grand Prix de Singapour 2019 débutera à 12h00 (heure française). Les qualifications seront à suivre à partir de 15h00 (heure française).
Dimanche 22 septembre – La course
Le départ du Grand Prix de Singapour, quinzième manche de la saison 2019, sera donné ce dimanche 22 septembre à 14h10 (heure française).
Le patron de Ferrari, Mattia Binotto, est revenu sur son parcours au sein de la Scuderia au fil des années, lui qui est rentré à Maranello en tant que stagiaire en 1995.
Comme beaucoup d’entre vous, le rêve de Mattia Binotto était de pouvoir un jour travailler en Formule 1 avec Ferrari et ce rêve est devenu réalité en 1995 lorsque le Suisse intègre la Scuderia en tant que stagiaire après des études en Italie.
Binotto a ensuite gravi les échelons au sein de l’écurie italienne grâce à ses compétences et a travaillé avec de grands pilotes comme Jean Alesi, Eddy Irvine ou encore Michael Schumacher.
En 2019, Mattia Binotto est nommé directeur sportif de la Scuderia Ferrari en remplacement de Maurizio Arrivabene, il garde en même temps le rôle de directeur technique de l’équipe.
« C’était un rêve certainement. » répond Mattia Binotto au micro de la RTBF lorsqu’on lui demande si travailler en F1 était un rêve pour lui.
« Quand j’étais enfant, quand j’étais gamin, je jouais avec les petites voitures rouge. C’était ma passion, mon grand père était passionné, je regardais les courses avec lui et je me suis toujours dit ‘j’aimerais bien une fois travailler chez Ferrari, arriver là-bas avec une petite Fiat 500 et à la rigueur être aérodynamicien’. »
Des débuts chez Ferrari en 1995
« J’ai travaillé pour Ferrari, mais je n’ai jamais été aérodynamicien. Mais c’est vrai que ça été un rêve. »
« Ça n’a pas été un rêve d’être dans le rôle que j’occupe aujourd’hui, ce fut tout simplement la conséquence de ces années en ayant travaillé chez Ferrari. Le rêve était vraiment de faire partie de l’équipe. »
« J’ai commencé comme stagiaire. » rappelle Mattia Binotto, qui est passé par le département des moteurs puis est devenu directeur technique de la Scuderia en 2016 suite au départ surprise de James Allison.
Binotto souligne également avec beaucoup d’humour qu’il ne comprenait rien à la mécanique d’une Formule 1 lors de ses débuts en 1995 : « Quand j’ai terminé l’université, j’ai effectué un Master en Italie qui s’approchait du monde du véhicule, j’ai ensuite fait un stage chez Ferrari, il m’ont embauché. »
« Et puis, j’ai commencé en 1995, je suivais les essais privés en tant qu’ingénieur moteur. Je n’y comprenais rien [rire], peut-être même aujourd’hui ! »
« Je me souviens, je travaillais avec Jean Alesi ou Gerhard Berger, ça c’était la première année. Une des choses que j’aime bien, c’est de pouvoir travailler avec beaucoup de pilotes. »
L’époque Michael Schumacher
« Bien-sûr, l’époque avec Michael était spéciale, j’en garde des souvenirs incroyables. Mais il n’y a pas eu que lui, j’ai connu pleins de pilotes. J’ai beaucoup travaillé avec Eddy Irvine, qui est une personne très amusante. On s’appelle encore, on se parle, ça été toute une épopée. Je pense qu’avoir pleins de souvenirs comme ça, c’est sympa. »
La pression en tant que chef de la Scuderia Ferrari
« La pression, il ne faut pas y penser. » explique Binotto. « Je crois qu’on est concentrés sur notre travail, que ce soit à l’usine ou sur les Grands Prix, on est concentrés sur ce qu’on fait. »
« Ensuite, après 25 ans de Formule 1, on sait ce que c’est la pression et on essaie encore une fois de la gérer, donc, ce n’est pas le côté le plus difficile. »
« C’est vrai que la pression chez Ferrari est encore plus élevée, devoir gagner est toujours notre objectif, même pour hier, pas pour demain. Mais je suis également convaincu que la stabilité et la patience est importante dans ce métier. De mon côté, j’essais de laisser de côté la pression et d’être concentré sur le travail. »
Le patron de l’équipe de Maranello aime souvent rappeler à ses troupes qu’il est impératif d’avoir « la fun attitude » afin de trouver un certain équilibre entre rigueur et détente.
« La joie est indispensable. C’est un métier avec un compromis pour la vie familiale très élevé. J’ai toujours dit ‘on ne travaille pas chez Ferrari, on vit à l’usine’ . »
« Donc on sait à quelle heure on commence le matin, mais on ne sait jamais à quelle heure on termine le soir. Je suis plus souvent avec mes coéquipiers, mes collègues, qu’avec ma famille, donc, il faut quand même que l’on trouve un côté fun. »
« C’est indispensable, et en plus, je suis sûr que si l’on s’amuse on travaille mieux et il y a donc plus de chances de pouvoir atteindre l’objectif. »
Esteban Ocon admet que sa passion pour la F1 en a pris un coup au cours des deux dernières années, après avoir été obligé de « lâcher » son baquet chez Racing Point fin 2018.
A la fin de la saison 2018, le Français Esteban Ocon n’a pas eu d’autre choix que de laisser sa place à Lance Stroll, le fils du nouveau propriétaire de l’équipe Racing Point.
Ocon s’est alors retrouvé sans le moindre baquet pour la saison 2019 et a trouvé refuge chez Mercedes où il occupe depuis le début de l’année le poste de pilote de réserve de l’écurie championne du monde en titre.
Malgré deux bonnes saisons avec l’équipe Racing Point [ex Force India], le jeune pilote français a dû faire face à la dure réalité de la Formule 1 où les intérêts économiques priment bien souvent sur les résultats sportifs, ce qui lui a fait perdre « un peu d’amour » pour ce sport qu’il aime tant.
« C’est décevant, j’ai perdu un peu d’amour pour ce sport. » déclare Esteban Ocon dans un entretien accordé à AMUS lorsqu’on lui demande s’il n’est pas un peu déçu d’avoir vécu une année Off.
« Les choses qui se passent hors piste sont devenues soudainement plus importantes que ce qui se passe en piste. Mais vous devez faire face à cela, ce sont les meilleures voitures et les meilleures équipes de la planète. Il y a toujours un mauvais côté dans une entreprise, moi je préfère voir le bon [côté]. »
Une année d’observation
Le Français admet que pendant une année complète dans le garage Mercedes il a pu observer tout ce qu’il n’avait pas le temps de voir lorsqu’il pilotait pour Force India.
« Ce que l’équipe attend d’un pilote, comment l’équipe réagit face à des situations difficiles. Comment traiter avec leurs pilotes, ce sont des aspects que vous ne remarquez généralement pas, et que le pilote dans son cockpit n’entend pas tout. »
« J’ai pu regarder pendant une année de l’extérieur, et je pense que cela m’aidera à prendre les bonnes décisions, à réagir correctement à différents scénarios, à rendre l’équipe heureuse. »
« J’étais en plein cœur de la « silly season » [marché des transferts] et je connais maintenant la politique autour de tout ça. Le travail par contre est très complexe et je préfère la course. »
A la fin de la saison 2019, Esteban Ocon rejoindra l’équipe Renault avec laquelle il a signé un contrat de deux saisons avec une option d’un an.
Le double champion du monde de Formule 1 Mika Hakkinen, estime que Sebastian Vettel va devoir rapidement se refaire une réputation, après son erreur commise au Grand Prix d’Italie.
Le Finlandais pense que Sebastian Vettel va rebondir avant la fin de la saison, alors que le pilote Ferrari a déjà commis plusieurs erreurs en course cette année, dont la plus récente à Monza dimanche dernier lui a valu de terminer le Grand Prix d’Italie à plus d’un tour de son coéquipier Charles Leclerc.
Hakkinen, qui est désormais consultant pour la société de paris en ligne Unibet et également ambassadeur de McLaren, a la profonde conviction que le quadruple champion du monde va rebondir très vite, ne serait-ce que pour restaurer sa réputation.
« Gagner pour Ferrari, de plus à Monza, sera certainement une journée que le jeune homme n’oubliera jamais. » déclare Mika Hakkinen.
« C’est une victoire importante pour lui, pour l’équipe, mais aussi pour son coéquipier Sebastian Vettel. Le succès d’une course à une autre est précisément la manière avec laquelle vous remportez un championnat du monde. »
« Le patron de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto, se retrouve maintenant dans une situation où son pilote numéro 1, Sebastian Vettel, est battu par le jeune pilote numéro 2, Charles Leclerc, ce qui pourrait potentiellement créer des tensions. »
« Cependant, Sebastian est un pilote de course très mature et, en tant que quadruple champion du monde, il aura de bonnes et de mauvaises périodes dans sa carrière. »
« Il a eu une mauvaise course dimanche, ce qui l’a empêché même de soutenir Charles lorsque les deux Mercedes ont pris la Ferrari [de Leclerc] en chasse. Mais je suis sûr que Sebastian s’est rendu compte que Charles a fait un excellent travail et qu’il a besoin désormais de restaurer sa réputation rapidement. »
Cyril Abiteboul assume pleinement la décision de Renault d’avoir signé au tout dernier moment Daniel Ricciardo en 2018, alors que des négociations étaient très avancées entre Esteban Ocon et l’équipe du constructeur français.
L’an dernier, Esteban Ocon était très proche de signer un contrat avec l’équipe Renault pour la saison 2019 aux côtés de Nico Hulkenberg, mais au tout dernier moment, l’Australien Daniel Ricciardo s’est manifesté en annonçant qu’il quitterait Red Bull à la fin de la saison 2018.
Alors qu’un accord verbal a été donné entre Renault et Mercedes pour faire signer Esteban Ocon, l’équipe du constructeur français a fait volte-face et a décidé de signer Daniel Ricciardo à la dernière minute.
La conséquence a été lourde pour Esteban Ocon, qui venait de refuser un contrat chez McLaren en pensant être certain d’aller chez Renault en 2019.
Finalement, le Français a dû se contenter d’une place de pilote de réserve chez Mercedes pour la saison 2019 en attendant une autre opportunité, qui est finalement arrivée avec l’annonce de Renault qui a décidé de se séparer de Nico Hulkenberg pour la saison 2020 et de le remplacer par Esteban Ocon.
Avec du recul, Cyril Abiteboul assume pleinement sa responsabilité dans le fait que Ocon n’a pas pu piloter en 2019 après son volte-face.
« Effectivement, nous avions pris cette décision là [de signer Ricciardo] relativement tard dans le process, je le reconnaît et je l’assume. » a déclaré Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.
« Tout le monde a été capable de mettre le passé derrière – là où il doit être – et de se poser la question de ce qui était le mieux pour Renault, pour Mercedes et encore une fois pour Esteban. »
« Nous sommes très contents de retravailler avec Esteban pour les deux prochaines saisons. Par son parcours, Esteban connait la valeur et la difficulté de la F1, l’exigence de tous les instants et la volonté sans faille qui sont nécessaires pour avoir une chance de succès. »
« Au-delà de son talent, sa mission sera de nous faire profiter de son énergie et de son envie naturelles exacerbées par une année sans course. »
« Il a montré ces dernières années sa capacité à marquer des points, un très grand professionnalisme sur et en dehors de la piste et son expérience récente en tant que pilote de réserve de la meilleure équipe actuelle sera un atout précieux pour faire progresser l’équipe toute entière. »
Esteban Ocon rejoindra l’équipe Renault après le Grand Prix d’Abou Dhabi au mois de décembre. Le pilote français devrait prendre part aux tests Pirelli au volant d’une Renault RS19.
Ross Brawn, a déclaré qu’il était « essentiel » pour Ferrari de redonner confiance à Sebastian Vettel dans le cas où la Scuderia devait disputer le titre mondial en 2020.
Sebastian Vettel a lentement mais sûrement dérivé dans l’ombre de son coéquipier Charles Leclerc, fort de deux victoires d’affilée entre la Belgique et l’Italie.
Pour ne rien arranger, le pilote allemand a commis une énorme erreur au Grand Prix d’Italie en partant à la faute tout seul et en percutant la Racing Point de Lance Stroll.
Le quadruple champion du monde a écopé pour cela d’une pénalité de dix secondes et de trois points sur son permis. Pour Ross Brawn, la priorité pour Ferrari est désormais de redonner confiance à Vettel.
« Vettel est clairement l’un des grands de notre sport, mais en cette période difficile, il a vraiment besoin du soutien de l’équipe pour regagner la confiance qui semble lui faire défaut pour le moment. » a déclaré Brawn.
« Cela, en plus de poursuivre le développement de la voiture, doit être une priorité pour Mattia Binotto dans les prochaines semaines. »
« Ce ne sera pas facile, mais c’est essentiel surtout en ce qui concerne 2020. Cependant, ce qui s’est passé dans la course est dû à lui seul. »
« Sebastian a fait deux erreurs au sixième tour en faisant un tête à queue, puis en percutant Stroll. Ces erreurs sont encore pires à la lumière de la double victoire de Leclerc à Spa et Monza. »
« C’est un fait inévitable que, quel que soit le pilote et quelles que soient les qualités de l’équipe, votre premier rival est toujours votre coéquipier. »
« Dans une certaine mesure, Sebastian vit ce qu’il a ressenti chez Red Bull lors de sa dernière année là-bas, en 2014, quand il s’est retrouvé face à Daniel Ricciardo, un jeune pilote au rythme incroyable. »
Le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, a tenu à prendre la défense se son pilote Sebastian Vettel après un Grand Prix d’Italie cauchemardesque pour l’Allemand.
Ce dimanche à Monza, Sebastian Vettel s’est sabordé tout seul au sixième tour de course en effectuant un tête à queue à l’entrée de la chicane Ascari.
En repartant en piste, le quadruple champion du monde a percuté la Racing Point de Lance Stroll, ce qui lui a valu une pénalité de dix secondes et trois points sur son permis.
Le pilote Ferrari, qui a finalement terminé à la treizième position à plus d’un tour de son coéquipier Charles Leclerc, a dû faire face aux critiques après le Grand Prix d’Italie. Mais le PDG de Ferrari a volé au secours de l’Allemand en prenant sa défense.
« Nous allons devoir remonter le moral de Seb [Vettel] » a déclaré Louis Camilleri après le Grand Prix d’Italie ce dimanche à Monza.
« Les pilotes [Ferrari] sont au même niveau, Nous avons commencé la saison comme ça, les choses se sont développées avec le temps, mais je n’aime pas le fait que les gens essaient de rayer Seb.C’est un pilote exceptionnel, et je suis très confiant quant au retour de Seb »
Sans grande surprise, c’est la pilote Ferrari Charles Leclerc qui a été élu pilote du jour ce dimanche au Grand Prix d’Italie.
Le pilote Ferrari a décroché la victoire ce dimanche à Monza, il devance sur la ligne d’arrivée la Mercedes de Valtteri Bottas et celle de Lewis Hamilton.
« Une course avec tant de pression, je n’en ai jamais eue dans ma carrière. En plus les courses sont quand même assez longues en Formule 1, je crois que j’ai eu un seul tour avec plus d’une seconde d’avance sur le deuxième, donc je ne pouvais pas me permettre de faire une erreur, même si j’en ai fait quelques petites, mais ça ne m’a jamais coûté une position. » a déclaré le vainqueur de l’épreuve à l’arrivée.
Au championnat du monde des pilotes, Charles Leclerc grimpe à la quatrième position et n’est plus qu’à trois points de Max Verstappen désormais.
Après la quatorzième manche de la saison 2019 disputée ce dimanche à Monza, les classements pilotes et constructeurs ont encore évolué.
Au classement des pilotes, grâce à sa seconde victoire de sa carrière, Charles Leclerc est passé devant son coéquipier Sebastian Vettel et occupe désormais la quatrième place du classement à seulement 3 points de Max Verstappen.
Le classement des pilotes 2019
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Au classement des constructeurs, Mercedes reste leader avec plus de 500 points inscrits depuis le début de l’année. En revanche, grâce aux cinquième et sixième positions des pilotes Renault, l’équipe du constructeur français récupère la cinquième position au classement, 18 points derrière McLaren.
Le pilote Ferrari Charles Leclerc a signé la pole position ce samedi au Grand Prix d’Italie en 1.19.307.
Le pilote Ferrari devance au drapeau à damier la Mercedes de Lewis Hamilton pour 39 millièmes et la seconde Mercedes de Valtteri Bottas pour 47 millièmes.
Sebastian Vettel, Daniel Ricciardo, Nico Hulkenberg, Carlos Sainz, Alex Albon, Lance Stroll et Kimi Raikkonen complètent le top dix de ces qualifications.
Charles Leclerc est l’auteur d’une pole position ce samedi au Grand Prix d’Italie dont on entendra certainement beaucoup parler puisque huit des dix pilotes du top dix n’ont pas pu signer de chrono dans leur dernier tour lancé, ce qui a offert automatiquement la pole position au pilote Ferrari grâce à son premier temps signé au début de la Q3.
Pour le dernier run en Q3 huit pilotes sont sortis au même moment sur la piste, mais aucun n’a voulu se retrouver le premier du peloton en raison du manque d’aspiration.
En effet, à Monza l’aspiration d’une monoplace peut offrir environ deux dixièmes à la monoplace suiveuse, ce qui nous a conduit à une situation complétement absurde à la fin de la séance où seuls deux pilotes [Leclerc et Sainz] ont pu franchir la ligne de chronométrage avant la fin de la séance et ainsi leur permettre de boucler un tour rapide.
Carlos Sainz et Charles Leclerc ont été les deux seuls à pouvoir aller signer un chrono à la fin de la Q3, mais le pilote Ferrari avait déjà signé un excellent temps en début de Q3 et n’a donc pris aucun risque en se contentant de ce temps.
C’est donc une séance de qualifications très discutable à laquelle les fans ont dû assister ce samedi à Monza, bien dommage pour le spectacle et le sport…
Résumé des qualifications du GP d’Italie
Sergio Perez victime d’une panne mécanique en Q1
A quatre minutes de la fin de la Q1, Sergio Perez a été victime d’une panne mécanique avec sa Racing Point, ce qui a obligé la direction de course à agiter un drapeau rouge pour permettre aux commissaires de dégager la monoplace mal placée du pilote mexicain.
Problème moteur pour Max Verstappen
A la reprise de la Q1 après le drapeau rouge, Max Verstappen s’est jeté dans la voie des stands pour aller signer un chrono, mais le pilote Red Bull s’est rapidement plaint d’un manque de puissance moteur sur son tour de sortie.
Le Néerlandais a pu rejoindre son garage et n’a pas signé le moindre chrono lors de cette séance de qualifications. C’est un moindre mal pour le pilote Red Bull, qui doit de toute façon s’élancer depuis le fond de la grille ce dimanche en raison de pénalités pour changement de moteur.
Romain Grosjean éliminé dès la Q1
Le pilote français Romain Grosjean n’a pas réussi à passer le cap de la Q1 ce samedi à Monza. Le pilote Haas prendra le départ du Grand Prix d’Italie depuis la seizième place provisoire [en attendant l’application de toutes les pénalités] ce dimanche.
Antonio Giovinazzi ne passe pas en Q3 pour 2 millièmes
Pour deux millièmes, Antonio Giovinazzi n’a pas réussi à passer en Q3 ce samedi. C’est son coéquipier Kimi Raikkonen qui a sorti l’Italien en Q2.
Norris et Gasly n’ont pas tenté la Q3
Pénalisés sur la grille de départ dès le début du week-end et certains de partir depuis le fond de la grille ce dimanche, les deux pilotes Lando Norris et Pierre Gasly ont participé à la Q2 uniquement pour aider leur coéquipier respectif en leur offrant l’aspiration.
Mercedes piège Ferrari en Q3
Les deux pilotes Mercedes ont piégé les pilotes Ferrari en début de Q3 en sortant des stands en premier puis en garant leur monoplace à la sortie de la voie des stands.
Les deux pilotes Ferrari ont été obligés de sortir sur la piste avant tout le monde et c’est Sebastian Vettel qui a été le grand perdant puisqu’il s’est retrouvé premier de cordée sans aucune aspiration.
Kimi Raikkonen dans le mur
Kimi Raikkonen a envoyé sa monoplace dans le mur en Q3. Le Finlandais a perdu le contrôle de la C38 dans la Parabolica, il est allé taper assez fort la barrière de pneus avec l’arrière de sa voiture. Le pilote va bien mais n’a pas signé de chrono en Q3 et sa voiture est bien endommagée.
Cet incident a obligé une nouvelle fois la direction de course à agiter le second drapeau rouge de la séance pour permettre aux commissaires de dégager l’épave de Kimi Raikkonen et réparer les barrières.
Voici la grille de départ du Grand Prix d’Italie 2019 qui se disputera ce dimanche 08 septembre sur le circuit de Monza.
C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui a signé la pole position ce samedi à Monza. Le Monégasque devance la Mercedes de Lewis Hamilton et celle de Valtteri Bottas.
Sebastian Vettel, Daniel Ricciardo, Nico Hulkenberg, Carlos Sainz, Alex Albon, Lance Stroll et Kimi Raikkonen complètent le top dix de cette grille de départ du Grand Prix d’Italie.
Notez que la grille de départ du Grand Prix d’Italie ci-dessous est mise à jour en temps réel dès qu’une pénalité est infligée à un pilote et ce, jusqu’à l’heure du départ de la course ce dimanche à 15h10.