Pirelli et Puma développent la basket Replica-X

Le partenariat entre Pirelli et Puma a conduit au développement de la Replicat-X, une sneaker révolutionnaire qui s’inspire du monde du sport automobile.

Pirelli et Puma sont des marques mondiales partageant la même passion pour le sport automobile, un secteur dans lequel le premier participe activement à plus de trois cent cinquante manifestations par an, tandis que le second est l’un des principaux fournisseurs de plusieurs équipes performantes.

Tous deux participent activement au championnat du monde de Formule 1; Pirelli en tant que fournisseur unique de pneumatiques tandis que Puma, fournisseur officiel de nombreuses équipes, a récemment annoncé son arrivée en F1 en tant que partenaire exclusif de vente au détail de marchandises.

Avec cette nouvelle entreprise commune créée sous la direction de Pirelli Design, Pirelli a pour objectif de cibler un nouveau public de jeunes amateurs (et moins jeunes) du streetwear – et quel produit représente mieux la génération Z que les baskets?

La semelle en caoutchouc surdimensionnée, conçue sur le thème de la bande de roulement et faisant appel au savoir-faire de Pirelli, procure contrôle et adhérence lors de la marche: elle reprend intentionnellement le dessin de la bande de roulement Cinturato Blue de Pirelli, utilisée en Formule 1 pour une adhérence maximale sur les surfaces mouillées

La nouvelle basket a une tige en microfibre perforée effet daim avec des empiècements latéraux en mesh pour plus de respirabilité et de confort.

La Replicat-X a été spécialement conçue par Puma pour Pirelli. Il s’agit d’une nouvelle pièce du puzzle de la nouvelle philosophie «track to road» de la marque Pirelli.

Le prix de cette basket Pirelli Replica-X développée en partenariat avec Puma coûte entre 120 euros et 130 euros selon les revendeurs.

Marko : Des propos « déformés »

Ce mercredi matin, nous vous rapportions les propos tenus par Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull, au site allemand Autobild.

Lors de cet entretien [que vous pouvez retrouver ici], Marko soupçonnait Mercedes d’avoir peut-être obtenu des données sur les pneus 2019 de Pirelli plus tôt que les autres équipes, ce qui aurait donné un certain avantage à l’équipe du constructeur allemand cette saison.

Mais le Dr Helmut Marko a tenu à rétablir la vérité concernant ses propos publiés par Autobild dans le cadre d’un entretien accordé à nos confrères de Speedweek.

L’Autrichien affirme qu’il n’a pas jamais voulu dire que Mercedes avait obtenu les données sur les pneus 2019 plus tôt que les autres équipes de F1.

« Non, je n’ai jamais dit ça. » déclare Helmut Marko à Speedweek. « Je n’ai jamais dit que Mercedes avait eu les pneus plus tôt [que les autres équipes]. »

« Cependant, Mercedes a toujours des problèmes avec les pneus avec une plus grande bande de roulement. Depuis que le nouveau type de pneu est utilisé [à bande de roulement plus fine], Mercedes n’a plus de problème, alors que les autres en ont. »

« Mais je ne veux pas me justifier lorsque certaines déclarations sont gonflées ou sorties de leur contexte. »

« J’ai juste dit: Ce type de pneu a été utilisé pour la première fois à Silverstone en 2018, et Mercedes a gagné souverainement. »

« Maintenant que ce type de pneu est utilisé de manière continue, Mercedes est la seule équipe à être immédiatement compétitive avec n’importe quel type de pneu sur n’importe quelle piste. Peu importe la température, toutes les autres équipes ont d’immenses problèmes. »

« Je suis pour des déclarations claires : Il ne peut être prouvé que Mercedes a obtenu la spécification de pneus plus tôt que les autres équipes. C’est pourquoi je ne dirais jamais cela en public. »

Helmut Marko explique que le problème que rencontrent les équipes avec l’exploitation des pneus Pirelli cette année n’était pas présent cet hiver aux essais hivernaux en raison des températures plus fraîches rencontrées en Espagne.

« Cet hiver, le problème n’était pas prévisible. Les essais hivernaux se déroulent sous des températures si basses, qu’on ne les retrouve nulle part ailleurs au cours de l’année. »

« A ce moment-là, on pensait que l’on pourrait toujours corriger cela d’une manière ou d’une autre, mais ça n’a pas été le cas. »

Le Grand Prix de France lance son application mobile officielle

Elle est enfin disponible, vous pouvez dès aujourd’hui télécharger l’application officielle du Grand Prix de France F1 sur l’Apple Store et le Google Play Store.

En amont de sa 60e édition du 21 au 23 juin prochain, le Grand Prix de France de Formule 1 lance son application mobile afin d’offrir à l’ensemble des spectateurs une expérience enrichie et en leur donnant toutes les informations nécessaires à leur venue au Circuit Paul Ricard du Castellet.

Totalement gratuite, cette application dédiée au Grand Prix de France vous permettra de connaître le programme de chaque journée sur le circuit, alors que des informations et un plan interactif sont également disponibles.

Dès que vous l’aurez téléchargé, l’application vous demandera quel pilote et quelle équipe vous soutenez en Formule 1, afin de pouvoir vous envoyer des notifications en rapport avec votre équipe ou pilote préférés.

Gros plus de cette application, afin d’optimiser votre expérience pendant le Grand Prix de France, vous pourrez retrouver toutes les informations relatives aux navettes, taxi/VTC, aéroport, hébergements et même en profiter pour découvrir la région.

Une carte interactive du circuit

Grâce à la carte interactive du circuit Paul Ricard, vous pourrez trouver tout ce dont vous avez besoin en un clic depuis la page d’accueil et le menu de l’application.

Entre autres services, vous pourrez trouver les points de restaurations, les zones d’animations, les toilettes, les différents accès [public, VIP…] ou encore les navettes.

Une web TV

L’application mobile du Grand Prix de France dispose également d’une section web TV dans laquelle des vidéos seront publiées tout au long du week-end du Grand Prix de France.

L’application Waze intégrée

Un lien vers l’application Waze, qui est partenaire du Grand Prix de France cette année, est également intégré à l’application mobile du GP de France.

Cette application mobile de navigation GPS s’appuie sur une cartographie modifiable par ses utilisateurs, ce qui fait que la navigation se fait en quasi temps réel tout en prenant en compte l’état du trafic.

Enfin, une section gaming est intégrée à l’application avec de nombreux quiz et jeux permettant aux utilisateurs de gagner différents lots.

Bref, si vous comptez vous rendre au Grand Prix de France cette année, l’application officielle du GP de France vous sera indispensable.

Application mobile Grand Prix de France disponible sur l’Apple Store et le Google Play Store.

Max Verstappen dément les rumeurs sur son éventuel départ de Red Bull

Max Verstappen a démenti les rumeurs selon lesquelles le pilote Red Bull envisageait de quitter son équipe pour rejoindre Mercedes.

Depuis quelques semaines, des rumeurs suggèrent que le pilote Red Bull pourrait être amené à chercher d’autres options que son équipe actuelle, afin d’avoir toutes ses chances de se battre pour le championnat du monde.

L’une de ces rumeurs envoyait directement le Hollandais chez Mercedes pour 2020, mais Max Verstappen a nié en bloc vouloir quitter son équipe, dans laquelle il assure se sentir très bien depuis 2016 maintenant.

« Mercedes fait maintenant un travail fantastique, mais je me sens très à l’aise avec l’équipe et il me semble que c’est le meilleur endroit pour moi pour le moment. » a déclaré Max Verstappen.

« Je ne me préoccupe même pas de telles choses. Je me sens bien au sein de l’équipe, je suis toujours très détendu, et je pense que cela aide également. »

« Nous avons passé beaucoup de temps ensemble ces dernières années, nous nous connaissons parfaitement. La communication est très bonne, et je m’amuse bien. »

Au championnat du monde, Max Verstappen occupe la quatrième position à seulement douze points de Sebastian Vettel. Depuis le début de l’année, le Hollandais a signé deux podiums avec sa Red Bull équipée du moteur Honda.

L’image que vous n’avez peut-être pas vue au Grand Prix du Canada

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton a pensé que Sebastian Vettel était tombé en panne à la fin du Grand Prix du Canada dimanche dernier.

L’image vous a peut-être échappé [voir la vidéo en bas de l’article] dimanche dernier à l’arrivée du Grand Prix du Canada, mais Lewis Hamilton s’est arrêté à côté de la Ferrari de Sebastian Vettel à l’entrée de la voie des stands. Le pilote Mercedes pensait que le quadruple champion du monde était tombé en panne et lui a proposé de s’asseoir sur sa voiture pour qu’il le ramène jusqu’au podium.

En réalité, sous le coup de la colère, après avoir reçu une pénalité de cinq secondes qui lui a fait perdre la course, le pilote Ferrari a garé sa monoplace à l’entrée de la voie des stands, alors qu’il ne comptait pas participer à la cérémonie du podium à ce moment précis.

Interrogé pour savoir ce qu’il pensait à ce moment-là, Sebastian Vettel explique qu’il n’avait pas vu que Lewis Hamilton s’était arrêté à côté de lui.

« Je n’y ai pas pensé peut-être, ok. Non, je ne regardais pas [dans la direction d’Hamilton].J’ai garé la voiture dans le parc fermé, mais un parc fermé différent de celui destiné aux trois premiers puis je suis allé à la pesée et c’est vrai qu’à ce moment-là je ne voulais pas revenir après ça. » explique Sebastian Vettel.

En colère après la course !

Le pilote allemand admet qu’il était en colère, mais après être passé par l’hospitalité Ferrari pour se calmer, le quadruple champion du monde a ensuite décidé de revenir pour la cérémonie du podium par respect pour ses concurrents.

« Je n’avais pas envie, j’étais clairement en colère et déçu, je pense que tout le monde peut comprendre pourquoi. Mais je pense que c’était aussi une question de respect envers Charles et Lewis ainsi que pour le représentant de l’écurie Mercedes sur le podium de prendre part à la cérémonie du podium. »

« Ce n’était certainement pas l’endroit ou j’avais envie d’être parce qu’à ce moment-là, vous avez juste envie de partir, je n’y étais pas de mon plein gré mais je me devais d’être là. »

Lewis Hamilton qui s’arrête pour aider Vettel à Montréal

https://twitter.com/F1/status/1138549464421916673

Une protection de visière a de nouveau fait surchauffer les freins de la voiture de Raikkonen

Le patron de l’équipe Alfa Romeo, Fred Vasseur, a révélé que Kimi Raikkonen a une nouvelle fois été victime d’une surchauffe de ses freins au Grand Prix du Canada.

Le manager français nous a révélé qu’une protection de visière de casque était une nouvelle fois venue se loger dans une écope de freins de la monoplace de Kimi Raikkonen [15e] en course dimanche dernier.

C’est la seconde fois cette année qu’une pareille aventure arrive au Finlandais, puisque déjà au Grand Prix d’Australie, le pilote Alfa Romeo avait failli abandonner en course suite à la surchauffe de ses freins arrière, après qu’une protection de visière soit venue se bloquer dans une écope de freins.

« Nous étions convaincus que nous pouvions avoir une bonne performance en course, cependant, nous avons dû procéder à un arrêt imprévu pour Kimi en raison de la présence d’une protection de visière – pas la sienne cette fois-ci – dans une écope de freins. » explique Vasseur.

« Antonio pour sa part a souffert d’un contact au premier tour, ce qui nous a empêché de rivaliser avec le reste du peloton. »

Des mises à jour sur la C38 pour les prochaines courses

Frederic Vasseur explique que l’équipe apportera des mises à jour sur la C38 lors des prochaines courses de la saison.

« Nous travaillons dur pour comprendre les performances des pneus et nous allons tirer le meilleur parti des développements que nous avons prévus pour les prochaines courses. »

« Je suis confiant que nous pourrons récupérer la vitesse que nous avons montrée plus tôt dans la saison et reprendre le combat pour des points. »

Toujours pas de point pour Giovinazzi

Le coéquipier de Kimi Raikkonen, Antonio Giovinazzi, a signé le meilleur résultat pour l’équipe à Montréal en terminant treizième, mais l’Italien a une nouvelle fois échoué à marquer des points.

« Terminer à la treizième place est une énorme déception. Nous pensions avoir la vitesse nécéssaire pour remonter un certain nombre de positions en course, mais finalement, le rythme n’était pas au rendez-vous et, en réalité, rien n’est allé dans notre direction. » regrette le pilote Alfa Romeo, Antonio Giovinazzi, qui n’a toujours pas marqué le moindre point cette année en F1.

« Nous devons vraiment trouver une solution pour être compétitifs le dimanche. Ça fait vraiment du mal de voir que nous avons atteint le bas du milieu de peloton. »

Alfa Romeo avant dernière au classement

En effet, l’équipe Alfa Romeo, qui occupait la quatrième position au classement constructeurs après le Grand Prix de Bahreïn, se retrouve désormais avant dernière. L’équipe suisse ne devance que Williams, qui n’a toujours pas marqué le moindre point en sept courses.

Vidéo : Quand Lando Norris fait peur à Jimmy Butler à Montréal

Lando Norris a embarqué à bord de sa McLaren, lors des Hot Laps Pirelli sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal, le joueur de basket-ball Jimmy Butler.

Installé au chausse pied dans l’habitacle de la McLaren en raison de sa grande taille, le joueur de basket-ball, qui évolue en NBA, n’était visiblement pas très à l’aise aux côtés du jeune Lando Norris.

Ce n’était pourtant qu’un tour à faible vitesse dans une voiture de tourisme, alors que les pilotes de F1 sont habitués à rouler deux fois plus vite dans leur monoplace.

Ce grand gaillard, qui semblait très détendu devant le garage McLaren lorsqu’il faisait une démonstration avec son ballon, a très vite changé d’attitude une fois à bord de la McLaren pilotée par Lando Norris.

Mercedes explique les problèmes qui ont touché la voiture d’Hamilton au Canada

L’équipe Mercedes est revenue sur le problème qui a touché la monoplace de Lewis Hamilton le week-end dernier entre les qualifications et le départ de la course.

Une fuite hydraulique a obligé l’équipe Mercedes à sortir l’unité de puissance du châssis de la monoplace de Lewis Hamilton deux heures avant le départ de la course dimanche dernier à Montréal, ce qui a mis l’écurie du constructeur allemand dans une situation tendue.

« Nous avons remarqué qu’il y avait eu des problèmes avec la voiture de Lewis juste avant la course. En fait, une partie du problème était déjà connue après les qualifications. » explique Andrew Shovlin dans son traditionnel débriefing d’après course.

« Nous avons démonté le fond plat, après avoir constaté qu’il y avait de l’huile: Cela signifie généralement qu’il y a une fuite quelque part. De plus, nous avons également pu voir dans les données que la pression hydraulique avait été réduite. »

« Le seul problème était que la voiture se trouvait à ce moment-là dans le parc fermé: à ce moment-là, nous n’avions pas le droit de toucher la voiture ni de voir où se trouvait exactement le problème. »

« Nous n’avions le droit de revenir que le dimanche sur la W10, et même dans ce cas, vous ne pouvez ajuster les choses que dans une mesure limitée. »

« Juste avant la course, nous pouvions voir ce qui se passait exactement et où se trouvait la fuite. Nous avons constaté que c’était un problème avec « l’actionneur de papillon ». Nous avons ensuite demandé à la FIA l’autorisation de remplacer cette pièce et immédiatement quelques pièces hydrauliques associées. »

« Au final, c’était un gros travail et il était donc devenu assez difficile de faire sortir Lewis du garage à temps. Le problème avec de telles choses est que vous pouvez rencontrer d’autres problèmes. »

« Supposons que nous démarrions le moteur et que nous rencontrions ensuite un nouveau problème: alors vous êtes en difficulté. Vous n’auriez pas le luxe de pouvoir démonter à nouveau le moteur. Heureusement, ce n’était pas le cas, et nous avons pu prendre le départ de la course et la terminer. »

Au final, Lewis Hamilton a remporté le Grand Prix du Canada, bien aidé il est vrai, par la pénalité de cinq secondes infligée à Sebastian Vettel.

Quand Whyte Bikes provoque Rich Energy sur Twitter

Le fabricant de vélo Whyte Bikes a publié un court message sur les réseaux sociaux cette semaine, déclenchant la colère de Rich Energy.

La bataille judiciaire opposant la société Rich Energy à Whyte Bikes est loin d’être terminée, puisque Rich Energy, le sponsor titre de l’équipe Haas en Formule 1, a perdu son procès le mois dernier lorsque la marque de boisson énergétique a été reconnue coupable de plagiat après une plainte déposée par Whyte Bikes, un fabricant de vélo.

C’est le logo symbolisant un cerf qui est au cœur de cette bataille judiciaire, puisque le fabricant Whyte Bikes a reproché à Rich Energy d’avoir copié son logo.

Whyte Bikes a donc déposé une plainte pour utilisation d’une copie de son logo sans autorisation, alors que le logo de Rich Energy était présent depuis le début de l’année sur les monoplaces de Romain Grosjean et Kevin Magnussen en Formule 1.

La High Court de Londres a rendu en mai dernier le jugement de cette affaire opposant les deux entités, et a donné raison à Whyte Bikes, ce qui veut dire que Rich Energy ne peut plus utiliser le logo en forme de cerf.

La société Whyte Bikes s’est vu accorder une injonction et des dommages-intérêts, ainsi qu’une déclaration d’invalidité, tandis que Rich Energy a fait appel de la décision et qu’une nouvelle audience aura lieu le 27 juin prochain.

Plus de logo au Canada

Au Grand Prix du Canada, Rich Energy a demandé à l’équipe Haas de retirer le logo en forme de cerf sur ses monoplaces, ainsi que sur l’équipement propre à l’écurie.

« Nous ne voulons pas de tapage médiatique pour l’équipe, et nous avons donc demandé à notre partenaire de retirer le logo en forme de cerf ce week-end. » déclarait Rich Energy dans un communiqué le week-end dernier à Montréal.

La guerre sur les réseaux sociaux

Cette semaine, la société Whyte Bikes a publié sur son compte Twitter une photo de son logo positionné sur une pancarte publicitaire et avec en toile de fond la Formule 1 de l’équipe Mercedes.

https://twitter.com/WhyteBikes/status/1138100890768945152

La photo a en réalité été prise au Mercedes-Benz World en Angleterre, ce qui n’a pas du tout plu à Rich Energy, qui s’est empressée de répondre à la provocation de Whyte Bikes.

https://twitter.com/rich_energy/status/1138109173722484736

« Profitez de la publicité gratuite tant que vous le pouvez. Tous ceux dont le QI est supérieur à leur âge réaliseront que vous êtes des minables. Oh nous rirons bien en temps voulu. En fait, nous investissons de l’argent en Formule 1 pendant que vous investissez zéro. Des parasites qui nous connaissaient 2 ans avant que nous soyons en F1. »

Robert Kubica n’a plus sa place en F1 selon Jacques Villeneuve

Jacques Villeneuve a une nouvelle fois exprimé son opinion concernant le retour de Robert Kubica en Formule 1, huit ans après l’accident dont le Polonais a été victime en Rallye.

Pour Villeneuve, Robert Kubica n’a tout simplement plus sa place en Formule 1, dans un sport qui devrait rester l’élite, alors que le Polonais est largement dominé par son jeune coéquipier depuis le début de la saison, et alors qu’il a terminé le Grand Prix du Canada avec trois tours de retard dimanche dernier.

« Je n’ai jamais été très favorable au retour de Robert en Formule 1. » a t-il déclaré à TV Sport. « La Formule 1 est un sport d’élite, ce ne sont que les meilleurs. »

« La seule chose qui compte, c’est que Robert est clairement plus lent que son coéquipier [George Russell], qui n’est qu’un débutant après tout. »

Interrogé pour savoir s’il pensait que les deux monoplaces de l’équipe Williams étaient différentes, le Canadien a répondu : « Je ne sais pas, je ne suis pas dans l’équipe. »

« Normalement, les machines sont semblables les unes aux autres. Cela pourrait être le cas, ou bien les réglages ne correspondent pas au style de pilotage de Robert. On ne peut pas tout voir de l’extérieur. »

Williams ne fait rien pour améliorer la situation

Villeneuve à une nouvelle fois réitéré son opinion sur le fait que l’équipe Williams est « morte » : « L’équipe est terminée, ils ne font rien pour améliorer la situation. »

« La seule chose qui compte pour eux, ce sont les recettes à la fin de l’année. L’année dernière, ils ont réalisé un bénéfice de 16 millions de dollars. Les investisseurs sont contents et ça leur suffit. »

Marko accuse Pirelli d’avoir aidé Mercedes

Pour Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull, l’équipe Mercedes aurait bénéficié de l’aide de Pirelli cette année pour développer sa monoplace.

En 2019, Pirelli a introduit des pneumatiques ayant une bande de roulement plus mince, afin d’éviter la surchauffe des gommes.

Mercedes semble avoir pris le dessus sur Ferrari cette année si l’on regarde la performance brute, et selon Helmut Marko, l’équipe du constructeur allemand aurait profité de ce léger changement.

« Disons-le ainsi: il est à noter que les changements de règles et les décisions récentes ont toujours été bénéfiques pour Mercedes. » explique Helmut Marko à Autobild.

« Un exemple: Pirelli a changé la bande de roulement des pneus pour 2019, afin qu’ils ne surchauffent pas. Mais en 2018, seule Mercedes avait un problème avec cela. »

« En 2019, soudainement, Mercedes obtient les températures toujours dans la fenêtre d’exploitation correcte. Tous les autres n’y sont pas. C’est marrant. »

Des données obtenues avant tout le monde ?

Helmut Marko estime que Mercedes aurait pu obtenir des données de la part de Pirelli bien avant tout le monde.

« Nous avons tous eu l’occasion de réagir, mais les concepts des voitures ont tous été conçus avec moins d’appui. » souligne l’Autrichien.

« Seule Mercedes a choisi une voie différente. Ils ont construit une voiture avec beaucoup d’appui et d’adhérence. Rétrospectivement, c’était exactement le moyen de gérer de manière optimale les pneus de nouvelle génération. »

« Bien que je ne puisse pas prouver que Mercedes ait reçu des données plus tôt que nous, je ne peux pas l’exclure. Cela ne renforce pas la confiance lorsque vous regardez la voiture « Liberty » [Liberty Media, les détenteurs des droits commerciaux de la F1] avec un numéro de Stuttgart et des pneus Pirelli. »

« Chez Red Bull, nous allons nous pencher de très prés sur le développement futur de la Formule 1 et il y aura également des discussions avec Pirelli. »

Pirelli se défend

« Cela n’a aucun sens d’affirmer que nous avons produit ces pneus pour Mercedes. » a déclaré Mario Isola, le directeur de Pirelli en F1.

« La FIA, la FOM, les équipes et les pilotes ont participé à la validation de ces pneumatiques. L’an passé, nous avons souffert d’une grande dégradation et les pilotes s’étaient plaint d’une surchauffe excessive. »

« C’est ce qui nous a poussés à améliorer le produit. Nous avons testé les nouveaux pneus à Abou Dhabi en comparaison de ceux de 2018. Nous avons ensuite fourni les mêmes composés pour les tests de Barcelone et personne ne s’est plaint. »

« Si Mercedes gagne, c’est uniquement parce qu’ils ont construit une voiture très performante. Ces pneus demandent davantage d’énergie, alors disposer d’une monoplace rapide est un plus pour les faire fonctionner. »

Honda : « L’écart avec Mercedes est plus grand que prévu »

Le directeur technique de Honda admet que l’écart de performance entre le moteur Honda et celui de Mercedes est encore trop important à ce stade de la saison.

Au cours des essais hivernaux, les équipes Red Bull et Toro Rosso ont fait preuve d’un grand optimisme par rapport aux performances du moteur Honda, mais désormais, elles doivent se rendre compte que l’écart avec Mercedes est bien plus grand que prévu.

« L’écart avec Mercedes est toujours très important. Il est même encore plus grand que prévu. » insiste le directeur technique de Honda, Toyoharu Tanabe.

« Bien-sûr, nous ne sommes pas heureux avec ça, mais heureusement, nous pouvons être compétitifs sur certaines courses. Mais il est clair que pour réduire l’écart nous avons encore besoin de nombreuses améliorations. »

Justement, Honda pourrait bien décider d’introduire son nouveau moteur [Spec 3] au Grand Prix de France, soit quatre courses plus tôt que prévu, alors que le motoriste nippon devait initialement introduire son ultime mise à jour pour le Grand Prix de Belgique ou d’Italie.

Une fiabilité améliorée

Cependant, même si l’écart avec le bloc Mercedes est encore très important, le moteur Honda fait désormais preuve d’une excellente fiabilité. Ces progrès en termes de fiabilité ont en grande partie été réalisés grâce aux trois années de galère passées avec McLaren entre 2015 et 2018.

« Au cours des années passées avec McLaren, nous avons beaucoup appris des moments négatifs. » souligne Tanabe.

« C’est une question d’apprentissage, et c’est ainsi que notre relation avec Red Bull s’améliore. Au final, nous souhaitons remporter le championnat ensemble. »

Pour Helmut Marko, Hamilton a sa part de responsabilité dans la pénalité de Vettel

Helmut Marko, le conseiller motorsport de l’équipe Red Bull, estime que la pénalité infligée à Sebastian Vettel dimanche dernier au Canada n’est pas justifiée.

Selon l’Autrichien, c’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a volontairement influencé la décision des commissaires en se plaignant à la radio lorsque la Ferrari de Vettel est revenue en piste.

« Sebastian n’a rien fait de mal, il avait les mains occupées pour garder sa voiture en piste. Hamilton aurait pu simplement passer à l’intérieur ou simplement freiner. » explique Helmut Marko à Autobild.

« Il avait également sa part de responsabilité pour éviter un accident. Cependant, il a délibérément pris le risque pour obtenir un avantage. C’est pour cela qu’il s’est immédiatement plaint à la radio. »

« La pénalité de Sebastian est donc injustifiée et laisse un arrière-goût amer. Le règlement doit être changé d’urgence. » insiste l’Autrichien.

Monaco 2016 : Hamilton n’a pas été pénalisé

Helmut Marko prend pour exemple le Grand Prix de Monaco 2016 durant lequel le pilote Mercedes a coupé la chicane du port, puis est revenu sur la Red Bull de Daniel Ricciardo, forçant l’Australien à se jeter sur les freins pour éviter le contact.

« Contrairement au Football, les commissaires ont suffisamment de temps pendant la course pour étudier la cas, mais aussi pour prendre un exemple précédent comme à Monaco en 2016 où Hamilton a commis une erreur dans la chicane du port et est revenu en piste, mais Ricciardo n’a rien dit, et contrairement à Sebastian, aucune pénalité n’a été infligée. »

« Cela détruit le sport. Les fans, surtout les jeunes, veulent que les meilleurs pilotes du monde se battent durement. Les duels entre Gilles Villeneuve et René Arnoux à Dijon en 1979 ont fait de ce sport ce qu’il est. »

« Ils ont quitté la piste à plusieurs reprises et son revenus, mais à la fin, ils ont célébré la victoire sans qu’aucune pénalité n’ait été infligée. »

Un bookmaker italien paye les parieurs ayant misé sur une victoire de Vettel au Canada

La SNAI, une société de paris sportifs en ligne, a décidé de payer les joueurs ayant misé dimanche dernier sur la victoire de Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada.

Dimanche dernier, Sebastian Vettel a bien franchi la ligne d’arrivée du Grand Prix du Canada, mais le pilote allemand a ensuite été rétrogradé en raison d’une pénalité de cinq secondes.

Mais un bookmaker italien a décidé de payer les joueurs ayant miser sur la victoire de Vettel, alors que les joueurs ayant parier sur une victoire de Lewis Hamilton ont également été payés.

« Chez SNAI, personne n’est pénalisé ! » peut-on lire sur une bannière présente sur le site web du bookmaker italien. « Nous payons même les paris sur Vettel gagnant. »

Paghiamo anche Vettel

« Suite à la décision de rétrograder Sebastian Vettel dans l’ordre d’arrivée du Grand Prix du Canada dimanche, nous avons décidé d’honorer à la fois le classement officiel et le vainqueur moral du GP. »

« Nous paierons en tant que gagnants les paris sur Lewis Hamilton et ceux sur le pilote Ferrari, en donnant crédit à tous les clients qui ont joué sur Vettel gagnant du GP un bonus égal à la victoire potentielle. Nous, nous faisons les choses justes. »

Le Grand Prix de France de Formule 1 soutient l’association Psychodon

Dans le cadre de la 60ème édition du Grand Prix de France de Formule 1 du 23 juin prochain, le GIP Grand Prix de France – Le Castellet soutiendra l’initiative portée par l’association Psychodon.

Cette association a pour but de mettre en relation les associations, les bénéficiaires et les mécènes et entreprises dans le champ de la santé psychique. Le Grand Prix de France de Formule 1 installera des bornes de dons dans l’ensemble de ses espaces d’hospitalités assurant la promotion de l’association Psychodon.

Les dons récoltés permettront au Psychodon de travailler avec différents acteurs sur des projets innovants et des initiatives locales sur le sujet de la maladie mentale.

« Le Grand Prix de France de Formule 1 est heureux de pouvoir apporter son aide à l’association Psychodon. » déclare Gilles Dufeignieux, directeur général du GIP Grand Prix de France.

« Nous espérons que la récolte de ces dons lors du prochain Grand Prix de France de Formule 1 aidera l’association Psychodon dans ses missions de recherche, d’accompagnement et de prévention autour de la maladie psychique. »

12 millions de Français touchés par la maladie

« 1 personne sur 5 dans le monde soit 12 millions de Français sont touchés par la maladie psychique. » explique Didier Meillerand, Fondateur du Psychodon.

« C’est un défi majeur de santé publique. Nous sommes très heureux que le Grand Prix de France de Formule 1 aide le Psychodon dans sa lutte contre le tabou qui pèse sur la maladie psychique et nous aidez à collecter des fonds pour le programme maladie psychique de la Fondation de France sur tous les territoires. »

Renault ne veut pas oublier les erreurs du début de saison, malgré le bon résultat au Canada

Cyril Abiteboul ne veut surtout pas que le très bon résultat obtenu par Renault au Grand Prix du Canada le week-end dernier, fasse oublier à ses employés les erreurs commises en début de saison.

Grâce à la sixième place de Daniel Ricciardo et la septième position de Nico Hulkenberg à l’arrivée du Grand Prix du Canada, l’équipe Renault est désormais revenue dans le match en occupant la cinquième position au championnat du monde.

L’équipe du constructeur français va désormais devoir confirmer lors de son Grand Prix à domicile la semaine prochaine sur le Paul Ricard, où Renault apportera une grande mise à jours sur sa RS19.

« Ce week-end est ni plus ni moins que le modèle de ce que nous nous étions fixé comme objectif et la démonstration que nous en sommes capables. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« Il faut que cela se poursuive dans les courses à venir et la 6eme place de Daniel et la 7eme de Nico, les meilleures possibles à ce stade dans des conditions normales, nous relancent pour la saison. »

« Plus globalement les pilotes ont été impeccables tout le weekend et Daniel a été exceptionnel dans son tour de qualification [le samedi], il nous a tous donné un sourire presque aussi large que le sien ! Le reste de l’équipe a assuré une exécution impeccable qui doit nous redonner confiance mais ne surtout pas nous faire oublier les erreurs du début de saison. »

« Nous restons donc très concentrés et conscients du travail qu’il reste à faire. Nous nous tournons vers le Grand Prix de France qui marque la deuxième étape de notre plan de redressement après celle qui portait sur le moteur et qui a bénéficié de toute la visibilité et la reconnaissance qu’elle méritait sur un des circuits les plus exigeants du calendrier. »

Ross Brawn veut que la FIA rende les décisions des commissaires plus transparentes

Ross Brawn estime qu’il faudrait travailler sur des solutions permettant aux commissaires de course d’expliquer leurs décisions aux fans.

Le manager sportif de la Formule 1, Ross Brawn, ne tient pas à donner son avis concernant la pénalité infligée à Sebastian Vettel dimanche à Montréal, mais le Britannique admet qu’il faudrait peut-être penser à rendre les décisions des commissaires plus transparentes pour les fans.

« La pénalité que les stewards ont infligée à Sebastian au Grand Prix du Canada a fait parler tout le monde, fans et gens de la F1. » a déclaré Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1.

« Comme je l’ai déjà dit, je peux comprendre ce que ressent Vettel et je sais que Ferrari a l’intention de faire appel de la décision. Je sais aussi quel travail difficile ont les stewards, car ils doivent prendre leur décision en très peu de temps, produisant un verdict pouvant influer sur le résultat de la course. »

« En tant que tel, je ne souhaite pas donner d’avis sur la décision, car j’aurais tort de le faire. J’ai beaucoup de respect pour le travail des stewards et pour leur professionnalisme et je pense qu’ils seraient les premiers à dire qu’ils préféreraient que le résultat de la course ne soit pas déterminé par une pénalité. »

« En même temps, je comprends à quel point il est difficile pour les fans de comprendre pourquoi le pilote qui monte sur la plus haute marche du podium n’est pas celui qui a franchi la ligne d’arrivée en premier. »

« C’est pourquoi la transparence est importante pour expliquer les décisions des commissaires sportifs, en particulier dans un sport aussi complexe que la Formule 1. »

« C’est comme dans le football où, malgré l’arrivée du VAR [vidéo], on s’interroge toujours sur la question de savoir si une main devrait être punie. avec une pénalité ou non. »

« Par conséquent, il pourrait être utile de travailler avec la FIA sur des solutions permettant aux commissaires sportifs d’expliquer leurs décisions aux fans et d’expliquer comment ils les ont prises. »

« Cela dit, j’ajouterais avec force qu’une telle décision n’a rien de sinistre. Vous pouvez être d’accord avec cela ou non, mais aucun de ceux qui jouent le rôle de steward chaque week-end n’a un agenda caché, et les fans peuvent en être certains. »

Emanuele Pirro : « Certaines décisions ne sont pas faciles à prendre »

Emanuele Pirro, l’un des trois commissaires de course chargé d’étudier et d’appliquer une éventuelle sanction à Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada, explique que sa décision n’était pas facile à prendre.

L’Italien, ancien pilote de Formule 1, a été la cible de critiques de la part de grands noms du sport automobile et de fans de la Scuderia Ferrari à la suite de la décision controversée dimanche dernier au Grand Prix du Canada d’infliger une pénalité de cinq secondes à Sebastian Vettel.

Nigel Mansell, Mario Andretti, Damon Hill ou encore Jenson Button n’ont pas hésité à critiquer ouvertement la décision des commissaires de course du Grand Prix du Canada.

« Je pense que le rôle des commissaires est de pénaliser les manœuvres dangereuses flagrantes, pas les erreurs honnêtes résultant d’une course serrée. Ce qui est arrivé au GP du Canada est inacceptable à ce niveau de notre grand sport. » a écrit Mario Andretti, champion du monde en 1978.

« C’est très très embarrassant. Aucun plaisir à regarder à cette course. Deux champions pilotant brillamment mais un résultat faussé. » a déploré Nigel Mansell pour sa part.

« Heureusement, j’ai aussi eu de nombreux messages de soutien, autant de la part de pilotes que de gens de la course. » explique Emanuele Pirro à Formula Passion concernant sa décision controversée.

« Ça fait mal, cependant, que de grands anciens pilotes comme Mario Andretti ou Nigel Mansell aient dit ce qu’ils ont dit. Certes, ce sont des champions qui participaient à des courses automobile où la lutte sans peur était le quotidien.

« Mais le monde et les courses ont changé, mille batailles ont été menées pour la sécurité et le la conduite en course n’en est pas exclue. C’est tout. »

« En tant que fan de course et de Ferrari en particulier, je suis désolé que la course se soit terminée ainsi. Comme vous pouvez bien le comprendre, il n’est pas facile de prendre certaines décisions, mais l’intégrité sportive doit passer avant tout le reste. En bref, la raison doit prévaloir sur le cœur et la passion. »

Romain Grosjean tombe nez à nez avec des cambrioleurs chez lui

Le pilote Haas Romain Grosjean s’est retrouvé nez à nez avec des cambrioleurs chez lui ce lundi soir, le Français ayant réussi à empêcher les voleurs de s’acquitter de leurs tâches.

L’épouse de Romain Grosjean, Marion Jolles Grosjean, a tenu à remercier publiquement Romain Grosjean sur les réseaux sociaux.

« Souvent, on dit des sportifs qui accomplissent de grandes performances qu’ils sont des héros. Je n’ai jamais été d’accord avec ce terme; ils ne sauvent pas le monde, ils l’embellissent! Bien sûr, c’est déjà beaucoup. » a écrit Marion Jollés Grosjean sur Instagram.

« Aujourd’hui cependant, je peux dire de mon mari qu’il est les deux: un sportif et un héros. Cette porte-fenêtre est celle par laquelle des cambrioleurs se sont introduits chez nous cette nuit. »

« Personne n’a été blessé heureusement, et nos enfants ne sauront même jamais rien de la frayeur qui a été la nôtre, grâce à Romain Grosjean qui n’a pas hésité à bondir face à eux pour leur barrer le chemin et protéger sa famille. »

« Je n’ai jamais aimé étaler notre vie privée dans la presse ou sur les réseaux, mais les héros gagnent à être connus, à être reconnus, et je vis avec l’un d’entre eux. Merci mon amour. »

Honda pourrait introduire son nouveau moteur au GP de France

Le motoriste japonais Honda pourrait bien avancer la date d’introduction de sa mise à jour moteur lors de la prochaine manche programmée au Castellet en France.

Initialement prévue pour le Grand Prix d’Italie au mois de septembre, cette seconde mise à jour moteur pour Honda pourrait arriver plus tôt que prévu au Grand Prix de France selon les dernières rumeurs du paddock.

Rappelons que Honda a déjà introduit une première mise à jour moteur au Grand Prix d’Azerbaïdjan il y a quelques semaines, ce qui a permis aux pilotes Red Bull et Toro Rosso de gagner en performance sur un tracé offrant la plus longue ligne droite du championnat.

En plus de cette mise à niveau moteur, Red Bull devrait également introduire au Grand Prix de France quelques nouveautés sur le châssis de la RB15 de Max Verstappen et Pierre Gasly.

Au Canada le week-end dernier, Honda a tout de même réussi à placer trois de ses monoplaces dans le top dix sur un tracé typé moteur, mais clairement, la performance du bloc V6 nippon reste à l’heure actuelle encore insuffisante pour aller titiller les Mercedes ou les Ferrari.

Le moteur que Honda introduirait en France la semaine prochaine serait déjà le troisième bloc V6 de l’année, ce qui veut dire qu’au prochain changement d’unité de puissance les pilotes écoperaient d’une pénalité de grille.